Cher Sidiki,
Je trouve que c'est une question très intéressante... C'est vrai
qu'on encourage la prise en compte du genre dans les projets de
développement, mais qu'en est-il chez nous ? Je ne sais pas. J'ai
sollicité certains collègues, je te communiquerais leurs réponses.
Peut-être que des gens de la liste pourront aussi te répondre. En
attendant, voici le témoignage d'une piscicultrice française qui
présente son métier sur:
<http://passions.forumpro.fr/metiers-f165/piscicultrice-t1672.htm>
moi, je suis piscicultrice . avec mon ami, on s occupe de deux
piscicultures. un pisciculture est plusieur bassins, on s occupe en
fait d un elevage de truites, on travaille pour un grand groupe, qui
possede plusieur piscicultures et une "usine" ou il transforme les
truites :filets, truite eviceré, paves ect...
on recoit les truites bébé (alvens) et on doit les faire grossir
250g, 600g,ou 1kg, une fois prete elle partens dans un camion qui
vien les cherché pour les amené a l usine. On produit 200tonne de
truites
c est un boulo tres prenant, on travaille tout les jours meme les
week end, on ne doit jamais laissé les pisci sans surveillence, on
est mini d un bippeur, qui sonne au moindre probleme et qui sonne
trop souvent.
On les nourris tout les jours on ramasse les mortes,.......
actuellemnt on tris les truites on vide un bac qui contient en
moyenne 3tonnes on fait pasé les truite dans une machine qui les
envois dans different bac selon leur taille.
a la base je suis hydrotherapeute, j ai arrete ce metier pour venir
en pisciculture c est agreable on travaille a dehors tout le tant
bianca s en plain pas au contraire elle travaille avec nous, on se
muscle enorment, le sule souci c est qu on travaille tout les jour
avec mon cheri on s arrange pour le week end qu on puisse avoir un
peu de temps, pendant que l un dort et fait se qu il veut du week l
autre s occupe des pisciculture
c est un metier dur mais passionnant
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Je suis une femme "vaillante" de lEurope
francophone intéressée par lAquaculture qui
travaille sur la recherche de marqueurs de
sélection chez le tilapia liés à des caractères
d'intérêts comme le sex-ratio, la
thermosensibilité (la capacité d'une descendance
de tilapia à être masculinisée par la
température), la tolérance à la salinité, ...
La nature de mon travail me conduit pour
l'instant davantage à être dans mon laboratoire
pour développer et valider ces marqueurs, mais
l'étape suivante sera d'utiliser ensuite ces
marqueurs sur le terrain, pour sélectionner plus
rapidement les poissons et j'espère plus
efficacement des individus porteurs de caractères
intéressants pour l'aquaculture.
Helena D'Cotta
>De : sidiki keita <<mailto:sidikikeita@yahoo.fr>sidikikeita(a)yahoo.fr>
>Date : 9 novembre 2008 17:29:43 HNEC
>À :
><mailto:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk>sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>Objet : [Sarnissa-french-aquaculture] Re
>: [Bilan et Sondage] Votre avis nous intéresse !
>Répondre à :
><mailto:sidikikeita@yahoo.fr>sidikikeita(a)yahoo.fr,
><mailto:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk>sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
>Bonjour toutes et tous
>
>Merci Lionel pour la description que tu viens de
>faire sur les 2 semaines de fonctionnement de la liste.
>
>A propos je suis pour le principe actuel de
>fonctionnement de la liste jusqu a ce que d
>autres suggestions et remarques soient portees
>par des participants comme le cas de " presentation par theme"
>
>Je constate l absence des expertes dans les debats;
>Ou bien alors les femmes en Europe francophone
>ne sont pas interessees par la speculation? ce
>qui me surprendrait pour avoir travaille avec certaines sur des projets.
>
>Amicalement
>
>Sidiki keita
>
>
___________________________________
Dr. Helena D'Cotta
CIRAD-PERSYST
Aquaculture Research Unit, TA B-20/A, Bur.A18
Campus International de Baillarguet
34398 Montpellier cedex 5, France
Tel : 33 - (0) 467593951; Fax : /3825
dcotta(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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Pisciculture : Le barrage n°3 ensemencé
lundi 6 octobre 2008.
<http://www.lefaso.net/spip.php?article29083>
Les alevins en bassin enclos augmenteront le potentiel du barrage en
poisson.
Le ministère de l’Agriculture, de l’Hydraulique et des Ressources
halieutiques a procédé, vendredi 3 octobre 2008 à l’empoissonnement
du barrage de Tanghin, au secteur n°3 de Ouagadougou.
Environ 300 kg d’alevins ont été mis dans le bassin en clos du
barrage n°3 de Tanghin à Ouagadougou, vendredi 30 octobre 2008. Ainsi
ensemencé, le bassin d’une capacité de 400 m2 devrait donner quatre à
cinq tonnes de poissons dans sept ou huit mois. Toute chose qui
contribue au renforcement de la faune ichthyenne.
L’opération a été pilotée par le ministère de l’Agriculture, de
l’Hydraulique et des Ressources halieutiques avec au premier plan, le
chef du département, Laurent Sédégo. Celui-ci a expliqué que
l’activité piscicole est économiquement rentable pour le Burkina Faso
eu égard à l’énorme potentialité hydrique du pays, aux revenus
qu’elle procure aux pêcheurs et à son apport à la préservation et
protection de l’environnement. En effet, a-t-il soutenu, les nombreux
barrages, plus de 1500 dont 600 pérennes construits dans le cadre de
la politique de maîtrise des eaux de surface se prêtent bien à
l’aquaculture. Et le ministère en charge des Ressources halieutique
envisage d’exploiter ses sites potentiels grâce à la pisciculture en
bassin enclos, ce qui permettra d’augmenter l’offre de poisson, en-
dessous de la demande nationale.
Il va donc initier les acteurs de la pêche, en l’occurrence les
pêcheurs à cette nouvelle technique. M. Sédégo a indiqué, qu’ils
seront outillés à cet effet, afin de pouvoir réaliser leur bassin et
contribuer à l’empoissonnement des barrages et autres retenues d’eau,
cela dans leur propre intérêt. Mais pour le moment, leur rôle
consiste à surveiller, entretenir les bassins enclos et déverser la
nourriture aux alevins.
"Nous devons éloigner les prédateurs de poissons des enclos pour
éviter qu’ils ne les détruisent, " a confié le président de la
Fédération pour la filière pêche, Robert Kafando. Il a salué le
travail abattu par le ministère en charge des Ressources halieutiques
pour soutenir et développer la filière pêche. Pour lui la technique
du bassin enclos vient à point nommé pour combler la baisse de la
faune ichtiyenne et améliorer l’activité des pêcheurs puisque à terme
ces derniers pourront augmenter leur production et par voie de
conséquence, leur revenu.
Ceux-ci, selon leur représentant, sont par ailleurs confrontés au
manque de matériel de pêche. Le directeur des Ressources
halieutiques, Idrissa Zampaligré, a situé le contexte de l’opération,
en ces termes : "Il s’agit d’une phase pilote qui va concerner une
quinzaine de sites d’eau". Le système d’élevage en bassin enclos, de
son avis, permet une meilleure exploitation des eaux de pluies ainsi
que l’entretien des plans d’eau à travers le curage des surfaces
occupées.
Des résultats satisfaisants
Il ressort de ses propos qu’il est possible de réaliser plusieurs
enclos de pisciculture en fonction de l’étendue du site d’eau et les
risques de déperdition sont réduits comparativement à la pisciculture
en cage. Le coût de réalisations des bassins enclos est d’environ 750
000 F CFA. Dix unités-pilotes ont été installées en 2007 dans
différentes régions du Burkina Faso. Les populations desdites régions
ont participé activement à la réussite de la pisciculture pour avoir
compris son importance.
Ainsi a-t-on enregistré des taux de croissance compris entre 0,6 à
1,5 g par poisson et par jour, dans un intervalle de cinq à huit
mois. Les alevins étaient nourris de son produit agricole, de déchets
de brasserie ou de cuisine, consolidés avec un faible apport
d’aliments industriels. Leurs poids de départ se sont multipliés plus
de dix fois.
A Ouahigouya par exemple, les alevins de 15 g introduits dans les
bassins enclos sont devenus des poissons de 250 à 300 g. Le concept
de pisciculture en bassin enclos a été imaginé pour mieux adapter le
système d’aquaculture au contexte climatique de pays sahélien comme
le Burkina Faso, à l’hydrologie des plans d’eau et à l’environnement
socio-économique.
Le ministre Laurent Sédégo a, à cette occasion d’empoissonnement,
visité le Centre d’approvisionnement des produits de pêche (CADIPP).
Les responsables du Centre se sont chargés de lui présenter leurs
activités, les différents locaux et leurs matériels de travail. Il a
assisté à l’enlèvement d’un lot de barres de glace produite par le
Centre. C’est sur des notes de satisfaction que le ministre a bouclé
sa visite, se disant disposé à recevoir les doléances des pêcheurs et
à écouter leurs préoccupations dans un cadre bien organisé.
Séraphine SOME (serasome(a)yahoo.fr)
Ugandan Reply from English forum to Helena and JF Barolier
Cher William,
En Ouganda, la production de près de 100% de sexe masculin hybride entre Oreochromis niloticus et O. honorrum a été tentée sur la station expérimentale dans les années soixante par Y. Prugnin. Il n'est pas clair sur ce que l'exploitation succès a été obtenu, mais élevé de défaillances découlant de la production d'alevins en raison de l'invasion des étangs par les stocks sauvages ont été signalés. La méthode arrêtée à la fin des années soixante-dix avec la perte de la mère pure stocks.
En outre, la production d'aussi haut que 99% des hommes ratios ont été réalisés sur la station en utilisant la testostérone de méthyle en 2002-3, mais l'extension des travaux à la ferme a été conested en raison de la contravacies d'utiliser des hormones dans l'alimentation et l'stocpped travail. La politique est en train de changer et cette méthode a été autorisée dans le pays bien que son usage est encore limité à une exploitation privée.
Sinon, l'usage du poisson-chat africain (Clarias gariepinus) est la méthode de tilapia contrôle de la population dans les étangs en Ouganda.
Merci,
Owori-Wadunde
Établissement des relations diplomatiques Vietnam-Centrafrique -
11/11/2008
Pham Gia Khiêm, vice-Premier ministre et ministre vietnamien des
Affaires étrangè- res, et Dieudonné Kombo-Yaya, ministre
centrafricain des Affaires étrangères, de l'Intégration et de la
Francophonie, ont signé hier à Hanoi le communiqué commun sur
l'établissement des relations diplomatiques entre la République
socialiste du Vietnam et la République centrafricaine.
La République centrafricaine considère le Vietnam comme un pays
d'Asie avec lequel il faut prioritairement développer les relations
d'amitié et de coopération, a déclaré Dieudonné Kombo-Yaya lors de
son entretien hier à Hanoi avec Pham Gia Khiêm. Le chef de la
diplomatie vietnamienne a affirmé que dans sa politique extérieure
multilatérale, le Vietnam prenait en considération le développement
de relations d'amitié et de coopération avec les pays africains, dont
la Centrafrique.
Pays agricole, cette dernière souhaite acquérir des expériences
vietnamiennes dans ce domaine, notamment dans la culture du café et
du riz ainsi que l'aquaculture. Le but est de développer la
coopération Vietnam-Centrafrique dans l'agriculture grâce au concours
financier de l'Organisation internationale de la Francophonie. Sans
oublier l'industrie nucléaire, le textile-habillement, la fabrication
de chaussures et de produits pharmaceutiques.
Vietnamiens et Centrafricains apprécient l'établissement des
relations diplomatiques entre les 2 pays. Ils ont également affirmé
leur détermination à intensifier ces liens dans l'intérêt des 2
peuples ainsi que pour la paix, la stabilité, la coopération et le
développement dans la région comme dans le monde.
À cette occasion, le ministre centrafricain Dieudonné Kombo-Yaya a
invité Pham Gia Khiêm à effectuer une visite dans son pays.
L'invitation a été acceptée et la date sera fixée par voie diplomatique.
Giang Ngân/CVN
(11/11/2008)
<http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?
xt=xt33&page=newsdetail&newsid=47132>
Niamala : BAKARY TOGOLA, UN PAYSAN MODÈLE
l'Essor n°16316 du - 2008-11-04 08:00:00
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Ce sont 352 hectares, toutes spéculations confondues, que ce fermier
des temps modernes a semés cette année dans le secteur
Le Premier ministre était le week-end dernier dans le cercle de
Bougouni pour mesurer l'état de la campagne agricole. Modibo Sidibé a
fait un premier arrêt à la pépinière de plants de pourghère de Bakary
Coulibaly à Kéléya. Dans cette localité, l'huile de pourghère fait
fonctionner un générateur d'électricité qui alimente le village. 53,5
hectares (ha) de pourghère ont été plantés pour approvisionner la
station d'électricité qui a une capacité de 400 abonnés. Mais
actuellement seuls 135 abonnés sont branchés, à cause de la faible
capacité de production d'huile par la presse, a indiqué Bakary
Coulibaly. Le Premier ministre a promis d'examiner la doléance pour
augmenter la capacité de cette presse d'extraction.
Cap ensuite sur Babilena (située à 12 kilomètres de Koumantou). Là,
Modibo Sidibé a assisté à une partie de la récolte du riz du champ de
Salif Koné. Il s'agit d'un champ expérimental de production de
semences que celui-ci a accepté de conduire avec 7 variétés de riz
nerica semé dans une clairière. L'expérience est destinée à tester
les capacités de la céréale à pousser sur des espaces abandonnés ou
jugés inaptes à la culture.
Pour palier l'insuffisance de semences de riz nerica que le pays a
connue au départ de la campagne, le gouvernement a encouragé la
multiplication des parcelles semencières. C'est ainsi que dans la
région de Sikasso sur une prévision de 1300 ha, 890 ha vont produire
des semences de riz nerica.
DIFFICULTÉS CONJONCTURELLES. Salif Koné s'attend à récolter au moins
4 tonnes à l'ha sur ces parcelles. Il s'est engagé à reproduire
l'expérience lors des autres campagnes agricoles. Il a notamment
sollicité des pouvoirs publics, la poursuite de la subvention des
intrants pour le riz, les autres cultures, les équipements et la
facilitation de l'accès au crédit agricole.
A peu de distance de là, s'étend une parcelle de coton et de mil
exploitée par Samou Sidibé. Ce dernier a évoqué les difficultés
auxquelles les producteurs de coton ont été confrontés cette année,
notamment l'absence totale de subvention. Il a aussi déploré le
retard accusé dans le paiement du coton de la campagne précédente -
les derniers versements ont été effectués il y a seulement une
quinzaine de jours.
Le gouvernement n'a pas délaissé la culture du coton, comme le
pensent des producteurs, a tenu à préciser le Premier ministre.
Seulement des difficultés conjoncturelles sont venues entraver le
démarrage de la campagne qui trouveront bientôt leurs solutions, a-t-
il promis. Le gouvernement a pris toutes les dispositions pour payer
le plus vite possible le coton de cette campagne et la ristourne
prévue sur le coton de la campagne précédente sera aussi rapidement
payée, a assuré Modibo Sidibé.
Le clou de la visite du chef du gouvernement aura été celle effectuée
sur les parcelles agricoles de Bakary Togola, producteur modèle de
Niamala située à 24 kilomètres de Koumantou et aussi président de
l'Assemblée permanente des chambres d'agriculture du Mali (APCAM).
Une visite impressionnante au regard d'une part de l'immensité de ces
champs et d'autre part du dynamisme dont fait preuve leur
propriétaire pour diversifier ses sources de revenus. Bakary Togola
fournit un bel exemple de producteur-fermier moderne. Le patron de
l'APCAM, est aussi président de l'Union nationale des sociétés
coopératives de producteurs de coton (UNSCPC), président du syndicat
des cotonniers et vivriers du Mali (SYCOV et 2è vice-président du
Réseau des chambres d'agriculture de l'Afrique de l'ouest (RECAO).
20 HA DE PARCELLES SEMENCIERES. Bakary Togola a semé cette année 187
hectares de riz nerica dont 102 ha à Niamala, 40 ha à Bougouni, 25
hectares à Dialakoroba et 20 hectares de cultures semencières. Le
rendement moyen attendu sur ses parcelles est de 5 tonnes à l'hectare.
Bakary Togola possède également 100 hectares de maïs "Denbanyuman"
dont le rendement moyen attendu est de 6 tonnes à l'ha, 17 hectares
de coton conventionnel, avec 1,2 tonne à l'hectare attendu, 8 ha de
niébé, 9 d'arachide, 10 de mil, 15 de sorgho, 2 de tournesol, 4 de
banane. Ce sont au total 352 hectares toutes spéculations confondues
qu'il il a semés dans le secteur. Il possède en sus 250 ha de riz à
l'Office du Niger.
Bakary Togola fait de l'apiculture et dispose pour l'exploitation de
ses champs de divers équipements. Son cheptel est évalué à 250 têtes
de bovins dont 40 b?ufs de labour et 90 moutons et chèvres. Il
possède des étangs piscicoles empoissonnés avec 10.000 alevins. La
contrainte majeure à laquelle il fait face est l'absence
d'équipements de post-récolte.
Le village de Niamala a réservé un accueil très chaleureux à la
délégation du Premier ministre. La fête (folklore et chants de
chasseurs) était à la hauteur de l'événement. "Bakary Togola, un
paysan modèle pour les générations futures", pouvait on lire sur les
tee-shirts portés par des jeunes filles et garçons.
Modibo Sidibé a eu l'occasion de vérifier la véracité de ce slogan
lors de la visite des immenses champs. Il a assisté avec le promoteur
et les ministres qui l'accompagnaient à une séance de battage et de
récolte de riz avant de gagner les berges de l'étang piscicole. Le
Premier ministre a félicité Bakary Togola pour ses efforts qui ont
abouti aux résultats visibles. Il a appelé les jeunes et les autres
producteurs à suivre son exemple.
Le Premier ministre s'est avoué impressionné par les résultats
atteints par Bakary Togola. Il a salué les prouesses des producteurs
qui vont permettre au pays d'atteindre les objectifs de production de
l'Initiative riz et plaidé pour la poursuite de l'opération et son
extension à d'autres spéculations, afin de permettre au pays
d'atteindre les objectifs de production de céréales de 10 millions de
tonnes à l'horizon 2012. L'initiative riz a été l'accélérateur de
cette ambition qu'il faut entretenir, a jugé le chef du gouvernement.
Quant au ministre de l'Agriculture Tiémoko Sangaré, il a salué le
courage et le dévouement des producteurs à accompagner l'initiative,
notamment ceux qui se sont employés à multiplier les semences de riz
nerica. Leurs actions permettront au pays d'accroître ses capacités
d'approvisionnement en semences nerica.
Outre le ministre de l'Agriculture, la délégation du Premier ministre
comprenait le gouverneur de la région de Sikasso, Mamadou Issa Tapo,
les ministres de l'Élevage et de la Pêche, Mme Diallo Madeleine Bâ,
de l'Administration territoriale et des Collectivités locales, le
général Kafougouna Koné, la représentante résidente de la FAO au
Mali, Mme Mariam Mahamat Nour, les directeurs nationaux et régionaux
des structures concernées, les représentants nationaux et régionaux
des chambres d'Agriculture et les responsables administratifs et
communaux.
M. COULIBALY
<http://www.essor.gov.ml/jour/cgi-bin/view_article.pl?id=20410>
Lorsque je reçois le message de P. Morissens au niveau de la
modération, il semble "normal", mais il n'apparaît pas correctement
une fois distribué par le serveur de liste. Pour éviter tout nouveau
problème, à compter de maintenant, je filtrerai les messages de
Pierre afin de les poster moi même.
Voici le message de Pierre Morissens:
Cher Gabriel, chers tous,
Je trouve qu'avec ce courrier de Gabriel, le forum prend une dimension
particulièrement prometteuse: un jeune chercheur en thèse ouvre son
sujet à
tous pour avis, suggestions et aide. N'est-ce pas sur la base de ce
genre de
questions que pourront s'établir des discussions utiles, pratiques et
tissant
des liens réels entre les participants du forum? Le sujet de thèse
aborde de
front une question fondamentale: l'échec (relatif dans certains pays)
de la
pisciculture en Afrique au cours des 50 dernières années; les causes
de cet
échec sont au coeur du questionnement de nombreuses institutions de
recherche
et de développement. D'autres thésards, étudiants, chercheurs
souhaitent-ils
ouvrir aux participants du forum leurs sujets d'étude? Il me semble
que cela
serait passionant.
Amicalement à tous,
Pierre
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An english version of this message follows / une version anglaise du présent message suit!
Chers amis du forum,
Par le présent, je voudrais vous briffer sur mon projet de thèse et solliciter votre aide sous toutes formes possibles.
En effet, ma thèse qui porte sur le développement de l'aquaculture en Afrique a pour titre "Aspects technico-économiques d'une aquaculture durable dans les pays de la CEDEAO: cas du Togo". C'est un doctorat pluridisciplinaire (qui allie ma formation en développement rural et en sciences animales). Il vise à:
- analyser les causes profondes et spécifiques des échecs du passé;
- identifier les atouts, problèmes et contraintes;
- établir la situation de référence;
- idenditifier les leviers sur lesquels agir et des actions pertinentes à mener;
- élaborer des outils d'aide à la décision (modèles de production & cartes SIG de possibilités aquacoles)
Le projet est mené sous la direction de Dr Joël de la Noüe (que certains d'entre vous connaissent) et sous la supervision de la Direction de l'Élevage et de la Pêche (DEP/MAEP) en collaboration avec l'Institut Togolais de la Recherche Agronomique (ITRA). Il peut paraître très ambitieux, je l'avoue, mais il se veut une contribution concrète au développement de l'aquaculture au Togo. Il s'inspire de tout ce qui a déjà été fait dans le domaine par la FAO, le WorldFish Center, JP. Kaudjhis, etc.
Lors de mon sejour à Monpellier en 2006 pour le Cours d'Aquaculture Tropicale, l'idée avait été présenté aux Profs Lazard (à qui je doit toujours un document) et Baroiller. Je retourne donc au Togo en janvier 2009 pour la seconde phase de la collecte des données et en même temps pour le lancement des activités de Poisson pour l'Afrique.
Vous comprenez maintenant mon intérêt pour la partie de nos échanges qui a porté sur le développement aquacole en Afrique. Votre aide, quelle qu'elle soit, serait très appréciée.
Le projet manque aussi de financement adéquat. S'il peut s'inscrire dans un programme quelconque de financement de recherche ou de bourses en votre connaissance, nous vous serions très reconnaissants de nous filer l'information.
Merci d'avance.
===================
Dear friends of the forum,
Hereby, I would like to brief you on my thesis project and request from you assistance in any form.
In fact, my thesis which relates to aquaculture development in Africa is titled “Technical and economic aspects of a sustainable aquaculture in ECAWAS countries: case study of Togo ". It is a multi-disciplinary doctorate (which combines my background in rural development and in animal sciences). It aims at:
- analyzing the major and specific causes of failures of the past;
- identification of the assets, problems and constraints;
- establishment of the baseline
- identification of levers on which to act and relevant actions to carry out;
- development of decision-making tools (production models of & GIS aquaculture possibilities maps)
The project is implemented under the direction of Dr. Joel de la Noüe (who some among you know already) and under the supervision of the Directorate of Livestock and Fishery (DEP/MAEP) in collaboration with the Togolese Institute of Agronomic Research (ITRA).
It can appear very ambitious, I guest, but it wants to be a concrete contribution to the aquaculture development in Togo. It is inspired from all what was already done in the field by FAO, WorldFish Center, JP. Kaudjhis, etc.
During my stay in Monpellier in 2006 for the Course on Tropical Aquaculture, the idea had been presented to Profs Lazard (from whom I still owe a document) and Baroiller. I’ll go back to Togo in January 2009 for the second phase of data collection and for launching of Fish for Africa’s field activities.
You now understand my interest for the part of our exchanges which related to the aquaculture development in Africa. Your assistance, whatever it is, would be highly appreciated.
The project also misses adequate funding. If it can fit in an unspecified research or scholarships funding programme of your knowledge, we would be very grateful to you for giving us the information.
Thank you in advance.
__________________________________________________________________
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Cher Gabriel,
Je joins à ce message un document de Johann Rupert, son exposé pour
l'édition 2008 du Anton Rupert Memorial, à l'Université de Pretoria.
Cette Université célèbre son centenaire cette année et est une des
institutions académiques les plus anciennes et les plus respectées
d'Afrique du Sud. L'exposé traite essentiellement de l'Afrique du
Sud, mais un grand nombre d'idées, de concepts ou de causes, etc.
sont aussi pertinents pour l'Afrique Sub-Saharienne. Anton Rupert a
construit un empire économique en Afrique du Sud, puis dans le monde,
à partir de années 1940. Il a pratiquement commencé sans rien du
tout, juste une bonne formation et la volonté de réussir.
Lire ce document donne des éclairages sur les points 1, 2 et 4 de vos
questions. Le fait est que, nous vivons en Afrique, et nous seuls,
Africains, pouvons faire en sorte que ce continent fonctionne. Cela
n'arrivera qu'un fois que nous aurons acquis la volonté que cela arrive.
Le document est en anglais, j'espère juste que quelqu'un pourra le
traduire (NdT: Euuuuuhhh... :-)))) ).
Amitiés
Johan
Dear Gabriel,
Herewith a document by Johann Rupert, delivering the Anton Rupert
Memorial Lecture for 2008, at the University of Pretoria. This
University is 100 years old this year, one of the oldest and
academically most respected in South Africa. The lecture deals
mainly with South Africa, but a lot of the ideas/ concepts/ causes,
etc are also relevant to Sub-Saharan Africa. Anton Rupert built an
economic empire in South Africa, later worldwide, from the 1940's
onwards. He started with literally nothing, only a good education
and the will to succeed.
Reading this document will highlight points 1, 2 & 4 of your
questions. The fact of the matter is, we live in Africa, we are
Africans, and only we Africans can make this continent work. This
will only happen when we acquire the will to make this happen.
The document is in English, I can only hope that someone will be able
to translate it.
Regards,
Johan
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Domaine d’intervention de Jica Bénin
Les domaines prioritaires d’intervention de Jica au Bénin sont
l’éducation, la santé et le développement rural (eau potable,
agriculture et pêche). Ainsi, sont en cours dans notre pays le Bénin,
la Phase IV de construction de salle de classe, le Projet
d’Aménagement des Installations et Equipements de l’Hôpital de la
Mère et de l’Enfant Lagune de Cotonou, l’étude de la promotion de
l’aquaculture continentale pour le développement rural. Par ailleurs,
le Japon s’apprête à lancer les études pour la 6ème phase de
l’hydraulique villageoise.
<http://lautrefrat.ongpeopleonline.net/?p=83>
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