Bonjour,
A la suite de mon inscription, je vous transmets une petite présentation. Je suis étudiant en Licence Aquaculture Continentale et Aquariologie à Nancy (Nord Est de la France). J’ai effectué principalement des stages en Aquariologie. Néanmoins, dans le cadre de ma formation antérieur, le CREUFOP (SMEL), j’ai effectué un stage de deux mois au BENIN dans une ONG spécialisée dans le développement de l’aquaculture. J’ai découvert le site à la suite d’une récente intervention pendant ma formation sur la gestion des milieux aquatiques !
Je reste disponible pour toute question. Merci pour l’accueil,
Julien Loubet.
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous !
Vous avez dû vous en rendre compte... Il y a moins de messages depuis
le début de cette semaine ! :-) En fait, il y a eu un problème sur le
serveur (normalement résolu maintenant), mais ça va aussi être
l'occasion d'un changement, suite à certains retours d'abonnés. Les
informations que je postais auparavant sur la liste seront désormais
disponibles sur le site web http://www.sarnissa.org/ et uniquement là.
Vous pouvez y accéder grâce à vos identifiants et mots de passe, que
vous devriez tous avoir. Si ça n'est pas le cas, vous pouvez me
demander de vous adresser le fichier excel et la procédure pour les
obtenir. Vous pouvez aussi télécharger le fichier en cliquant sur le
lien suivant :
<http://www.sarnissa.org/tiki-download_file.php?fileId=85>
A partir de maintenant, la liste est réservée aux discussions et
débats. N'hésitez pas à l'utiliser !
Bien amicalement
Lionel
Dear Jean Francois - translated reply from Ken.
Amicalement
Will
Salut JF,
Merci pour vos commentaires. Je ne suis pas vraiment la capacité de test pour des périodes successives de stress car je n'ai qu'une piscine et ne peut donc pas exécuter un groupe de contrôle. Toutefois, je ne suis en déduire les taux de croissance qu'il est petit. Par rapport à la norme de swimup-GM-450 en neuf mois-je obtenir environ 60% le taux de croissance. Mixte de poissons, où les femmes semblent croître à environ 55% de taux d'hommes, une distribution de 2:1 M: F, indique environ 85% de croissance en moyenne. Cela impliquerait que je suis la réalisation sur seulement 70% de mon taux de croissance potentiel. Toutefois, la croissance des exploitations agricoles (stock d'environ 3 poissons par mètre carré) dans ma région, qui sont importés à l'aide de la RFY, stock 30 jours tous les hommes en avril et ont un poids moyen de seulement 350 grammes par Novembre (environ 78 % De la norme figure). Ainsi, par rapport à ce chiffre, je suis atteindre environ 90% de la ferme, d'autres taux de croissance.
Après quelques années de tri, j'ai trouvé que 3 sortes (environ 35 g, 70 g GM 110), donne-moi un ensemble ordonné de la poissons. Je ne sorte plus de deux fois au cours de croître à. Comptage de la capture de l'original, qui fait un total de six sortes au cours du cycle de vie. Depuis poissons de taille similaire, semblent faire mieux ensemble, je suppose que certains qui compense le stress. Tri à la nuit semble aussi produire beaucoup moins de stress que le tri dans la journée.
Depuis ma piscine est continue la production et les ventes, j'ai vraiment besoin de leur triés régulièrement pour les ventes de toute façon.
Aussi, j'aime bien la stabilité d'être en mesure de produire mon propre alevins.
J'ai trouvé que les femmes semblent tenir à leur groupe d'âge de sexe masculin.
Tout d'autres suggestions sur la façon d'augmenter la croissance et de réduire le stress etc alors que la gestion d'un bi-sexe tilapia ferme sont les bienvenus.
Ken
From: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] On Behalf Of kwbetts
Sent: 22 November 2008 09:14
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: Re: [Sarnissa-african-aquaculture] FW: Gender control for tilapia production Mixed sex graded system
Hi JF,
Thanks for your comments. I don't really have the ability to test for successive stress since I have only one pool and so cannot run a control group. However, I do infer from growth rates that it is small. Compared to the standard swimup-to-450 gm in nine months I get about 60% growth rate. Mixed fish, where females seem to grow at about 55% of rate of males, a 2:1 distribution of M:F, would indicate about 85% growth on average. That would imply that I am acheiving only about 70% of my potential growth rate. However, the grow out farms (stocked at about 3 fish per sq meter) in my area, that are using the imported fry, stock 30 day old all males in April and have an average weight of only about 350 grams by November (about 78% of the standard figure). So compared to that figure, I am acheiving roughly 90% of the other farm's growth rate.
After a couple years of sorting, I have found that 3 sorts (about 35 gm, 70 gm 110 gm), gives me a well ordered set of fish. I do sort them two more times during grow out. Counting the original catching, that makes a total of six sorts during the life cycle. Since fish of similar size seem to do better together, I guess that that offsets some of the stress. Sorting at night also seems to produce a lot less stress than sorting in the day.
Since my pool is continuous production and sales, I really do need them sorted regularily for sales anyway.
Also, I really like the stability of being able to produce my own fry.
I have found females that appeared to keep up with thier male age group.
Any additional suggestions of how to increase growth and reduce stress etc. while managing a bi-sex tilapia farm are most welcome.
Ken
On Fri, 21 Nov 2008 16:45:03 +0000, William Leschen wrote
>
>
>
> From: JF Baroiller [mailto:baroiller@cirad.fr]
> Sent: 21 November 2008 16:45
> To: William Leschen; sarnissa-french-aquaculture Mailing List
> Subject: Re: [Sarnissa-african-aquaculture] Gender control for tilapia production Mixed sex graded system
>
> Dear Ken,
>
> It sounds cunning !
>
> My only concern is the effect of successive stress (the successive sorting for size) on the growth rate.
> A long time ago (when my hair were not white...) we compare the growth rate of groups of juveniles (the size at which you should begin the sorting for size) which were manipulated 5 times (during a 3 months period) or not manipulated. The growth rate was strongly inhibited in the manipulated groups because of the successive stress.
>
> Following your sorting for size, did you also find some rare females growing very fast ? A few of them can have growth rate very similar to the males.
>
> Thank you very much for your interesting message.
>
> JF Baroiller
>
> Cher Ken,,
>
> C'est astucieux !
>
> Ma seule inquiètude est que ces tris successifs constituent des stress successifs avec des effets négatifs sur la croissance.
> Il y a quelques temps (quand je n'avais pas encore de cheveux blancs...), nous avions comparé la croissance de groupes de juvéniles (à la taille où vous devez commencer à voir des dimorphismes de croissance et où vous commencez vos tris successifs) qui étaient manipulés (péchés et aussitôt remis dans leur structure d'élevage) 5 fois en 3 mois ou au contraire des groupes que l'on ne péchait jamais. Au bout de 3 mois, les groupes manipulés présentait des poids moyen beaucoup plus faibles que ceux des lots non manipulés. La seule différence entre les lots était la manipulation (même famille, même densité, même alimentation, ...). Cette moins bonne croissance était liée au stress des manipulations successives.
>
> Sinon, quand vous faites vos tris, vous arrivé-t'il de trouver des femelles dans les animaux les plus gros ? En effet, on trouve parfois des femelles qui ont des croissances très proches de celles des mâles.
>
> Merci pour votre intéressant message,
>
> JF Baroiller
>
> Quand vous faites vos tris, vous arrive-t'il de trouver
>
> At 11:54 21/11/2008, you wrote:
>
>
> Content-Language: en-US
> Content-Type: multipart/alternative;
> boundary="_000_8ED3F2CA5B78E142B8193376C57330F8E1958A45B8EXCH2007adsti_"
>
>
>
> From: kwbetts [ mailto:kwbetts@meabt.com]
> Sent: 21 November 2008 06:56
> To: William Leschen
> Subject: Re: [Sarnissa-stakeholders] Gender control for tilapia production
>
> Hi,
>
> My situation is a bit unique since I depend on my fry. Since I have no reliable source of healthy quality male fry, I raise mixed sex. My semi-intensive green water recirculated pool produces about 30 to 40 thousand fry in a year of which I need up to 11 thousand for grow out. In the one pool, I have an area of high density cage nets and about 2/3 of the pool I intentionally keep stocked with about 100 to 200 breading tilapias. Since my breading season runs from Oct through Nov and March through April with winter between them, I catch virtually all the fry in a baited umbrella net at a rate up to 800 per day (about 30 minutes of fishing) taking me through June to catch almost all of them. Of all that I catch I keep my grow out needs plus almost 50% extra. Then, rather than sexing them all, I sort the fish for size a couple of times in a way that separates out the slow growers (most of which will be females) and discard up to 1/3 of all that I previously kept. So, by the time they reach 100 grams, they are mostly males and have the runts removed. Of the fastests growing groups of these, I restock my breading area for the next breading season.
>
> Manged bi-sex Tilapia. Sound complex? Not really, its in getting the process right. Advantages? No need for expensive and unreliable improted fry. No need for chemicals. No need for highly reliable and labour intensive hand sexing.
>
> Ken
>
> On Wed, 19 Nov 2008 11:58:49 +0000, William Leschen wrote
> > From French forum
> >
> > Dear all,
> >
> > We all know the importance of sex control for tilapia production in the majority of the numerous farming conditions of this species group. It is not necessary to remind you all that numerous techniques have been used up till now (hybridisation), or is more classically used for sex control such as manual sexing, hormonal inversion and use of YY males. Each of these techniques has been often discussed showing their advantages and disadvantages. We all know farmers who use one or another approach depending on his constraints which are essentially the cost, the facility for its use and its efficiency.
> > However, it is harder to have a relative estimation of which farmers used which approach.
> >
> > Would you share this information telling us if:
> >
> > you use mainly a) manual sexing, b) hormonal inversion, c) off-springs of YY males, d) hybridisation, and mentioning which rearing conditions you are using (monoculture, polyculture, extensive or semi-intensive conditions). Or do you use predators and if it is the case which species do you use (Hemichromis, Heterobranchus, Clarias, Lates)? Finally, what is the main justification of your choice?
> >
> > Thank you very much,
> >
> > Helena D'Cotta and JF Baroiller
> > ___________________________________
> >
> > Dr. Helena D'Cotta
> > CIRAD-PERSYST
> > Aquaculture Research Unit, TA B-20/A, Bur.A18 Campus International de Baillarguet
> > 34398 Montpellier cedex 5, France
> > Tel : 33 - (0) 467593951; Fax : /3825
> > dcotta(a)cirad.fr<mailto:dcotta@cirad.fr>
> > http://aquatrop.cirad.fr/
> >
> > PS from Will - See video clip (link below) of Helena and Jean Francois at work.
> >
> > Please note clip is in a section of main news report
> >
> > http://minilien.com/?aPNxm6nYpr
> > http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=e31a_invite&video_number=0
> >
>
> No virus found in this incoming message.
> Checked by AVG - http://www.avg.com<http://www.avg.com/>
> Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1801 - Release Date: 11/20/2008 9:11 AM
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
> Dr J.F. Baroiller
> CIRAD-Persyst,
> UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
> Campus International de Baillarguet
> TA B-20/A, Bur.A18
> 34398 Montpellier cedex 5
> France
>
> *: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
> Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
> * baroiller(a)cirad.fr
> http://aquatrop.cirad.fr/
> <http://aquatrop.cirad.fr/>
> No virus found in this incoming message.
> Checked by AVG - http://www.avg.com
> Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1801 - Release Date: 11/20/2008 9:11 AM
Chers tous,
Nous connaissons tous l'importance du contrôle du
sexe pour la production de tilapia dans la
plupart des nombreuses conditions d'élevage
possible chez ce groupe d'espèces. Inutile de
vous rappeler que différentes techniques ont été
(hybridation) ou sont classiquement utilisées
(principalement le sexage manuel, l'inversion
hormonale et l'utilisation de mâles YY) pour un
tel contrôle du sexe. Chacune de ces techniques a
été présentée à de nombreuses reprises avec ses
avantages et ses contraintes. Nous connaissons
tous des pisciculteurs qui utilisent plutôt une
approche ou plutôt l'autre, en fonction de ses
contraintes (essentiellement le coût, la facilité
de mise en oeuvre et l'efficacité). Il est par
contre plus difficile d'avoir une idée précise de
la proportion relative de pisciculteurs qui
utilisent l'une ou l'autre de ces approches.
Seriez-vous d'accord pour partager cette
information, en disant si vous utilisez plutôt le
sexage manuel, l'inversion hormonale, les
descendances de mâles YY, l'hybridation, dans
quelles conditions d'élevage (monoculture,
polyculture, extensif, semi-intensif) ou si au
contraire vous utilisez des prédateurs et si oui,
quels types de prédateurs (Hemichromis,
Heterobranchus, Clarias, Lates), et quelle est la
justification première de votre choix ?
Amicalement à tous,
JF Baroiller & Helena D'Cotta
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Dear Ken,
It sounds cunning !
My only concern is the effect of successive
stress (the successive sorting for size) on the growth rate.
A long time ago (when my hair were not white...)
we compare the growth rate of groups of juveniles
(the size at which you should begin the sorting
for size) which were manipulated 5 times (during
a 3 months period) or not manipulated. The growth
rate was strongly inhibited in the manipulated
groups because of the successive stress.
Following your sorting for size, did you also
find some rare females growing very fast ? A few
of them can have growth rate very similar to the males.
Thank you very much for your interesting message.
JF Baroiller
Cher Ken,,
C'est astucieux !
Ma seule inquiètude est que ces tris successifs
constituent des stress successifs avec des effets négatifs sur la croissance.
Il y a quelques temps (quand je n'avais pas
encore de cheveux blancs...), nous avions comparé
la croissance de groupes de juvéniles (à la
taille où vous devez commencer à voir des
dimorphismes de croissance et où vous commencez
vos tris successifs) qui étaient manipulés
(péchés et aussitôt remis dans leur structure
d'élevage) 5 fois en 3 mois ou au contraire des
groupes que l'on ne péchait jamais. Au bout de 3
mois, les groupes manipulés présentait des poids
moyen beaucoup plus faibles que ceux des lots non
manipulés. La seule différence entre les lots
était la manipulation (même famille, même
densité, même alimentation, ...). Cette moins
bonne croissance était liée au stress des manipulations successives.
Sinon, quand vous faites vos tris, vous
arrivé-t'il de trouver des femelles dans les
animaux les plus gros ? En effet, on trouve
parfois des femelles qui ont des croissances très proches de celles des mâles.
Merci pour votre intéressant message,
JF Baroiller
Quand vous faites vos tris, vous arrive-t'il de trouver
At 11:54 21/11/2008, you wrote:
>Content-Language: en-US
>Content-Type: multipart/alternative;
>
>boundary="_000_8ED3F2CA5B78E142B8193376C57330F8E1958A45B8EXCH2007adsti_"
>
>
>
>From: kwbetts [mailto:kwbetts@meabt.com]
>Sent: 21 November 2008 06:56
>To: William Leschen
>Subject: Re: [Sarnissa-stakeholders] Gender control for tilapia production
>
>Hi,
>
>My situation is a bit unique since I depend on
>my fry. Since I have no reliable source of
>healthy quality male fry, I raise mixed sex. My
>semi-intensive green water recirculated pool
>produces about 30 to 40 thousand fry in a year
>of which I need up to 11 thousand for grow
>out. In the one pool, I have an area of high
>density cage nets and about 2/3 of the pool I
>intentionally keep stocked with about 100 to 200
>breading tilapias. Since my breading season
>runs from Oct through Nov and March through
>April with winter between them, I catch
>virtually all the fry in a baited umbrella net
>at a rate up to 800 per day (about 30 minutes
>of fishing) taking me through June to catch
>almost all of them. Of all that I catch I keep
>my grow out needs plus almost 50% extra. Then,
>rather than sexing them all, I sort the fish for
>size a couple of times in a way that separates
>out the slow growers (most of which will be
>females) and discard up to 1/3 of all that I
>previously kept. So, by the time they reach 100
>grams, they are mostly males and have the runts
>removed. Of the fastests growing groups of
>these, I restock my breading area for the next breading season.
>
>Manged bi-sex Tilapia. Sound complex? Not
>really, its in getting the process
>right. Advantages? No need for expensive and
>unreliable improted fry. No need for
>chemicals. No need for highly reliable and labour intensive hand sexing.
>
>Ken
>
>On Wed, 19 Nov 2008 11:58:49 +0000, William Leschen wrote
> > From French forum
> >
> > Dear all,
> >
> > We all know the importance of sex control for
> tilapia production in the majority of the
> numerous farming conditions of this species
> group. It is not necessary to remind you all
> that numerous techniques have been used up till
> now (hybridisation), or is more classically
> used for sex control such as manual sexing,
> hormonal inversion and use of YY males. Each of
> these techniques has been often discussed
> showing their advantages and disadvantages. We
> all know farmers who use one or another
> approach depending on his constraints which are
> essentially the cost, the facility for its use and its efficiency.
> > However, it is harder to have a relative
> estimation of which farmers used which approach.
> >
> > Would you share this information telling us if:
> >
> > you use mainly a) manual sexing, b) hormonal
> inversion, c) off-springs of YY males, d)
> hybridisation, and mentioning which rearing
> conditions you are using (monoculture,
> polyculture, extensive or semi-intensive
> conditions). Or do you use predators and if it
> is the case which species do you use
> (Hemichromis, Heterobranchus, Clarias, Lates)?
> Finally, what is the main justification of your choice?
> >
> > Thank you very much,
> >
> > Helena D'Cotta and JF Baroiller
> > ___________________________________
> >
> > Dr. Helena D'Cotta
> > CIRAD-PERSYST
> > Aquaculture Research Unit, TA B-20/A, Bur.A18
> Campus International de Baillarguet
> > 34398 Montpellier cedex 5, France
> > Tel : 33 - (0) 467593951; Fax : /3825
> > <mailto:dcotta@cirad.fr>dcotta(a)cirad.fr
> > http://aquatrop.cirad.fr/
> >
> > PS from Will See video clip (link below) of
> Helena and Jean Francois at work.
> >
> > Please note clip is in a section of main news report
> >
> > <http://minilien.com/?aPNxm6nYpr>http://minilien.com/?aPNxm6nYpr
> > http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=e31a_invite&video_number=0
> >
>
>No virus found in this incoming message.
>Checked by AVG - http://www.avg.com
>Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1801
>- Release Date: 11/20/2008 9:11 AM
>_______________________________________________
>Sarnissa-african-aquaculture mailing list
>Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Merci à Géovanne NZIENGUI pour cette présentation, très intéressante
eu égards aux discussions récentes sur les tilapia non nilo
(domestication O schwebischi). D'autres personnes travaillent sur
cette espèce ?
> Je suis Géovanne NZIENGUI de Nationalité Gabonaise. J’ai connu ce
> projet d’échange au travers de Mr JF Baroiller et de
> Mr Pierre Morissens que je remecie d’ailleurs de m’avoir inscrit.
> Je suis agent à la direction générale des pêches
> et de l’aquaculture dans mon pays, j’ai une expérience moyenne en
> aquaculture pour avoir participé au projet d’élevage de O niloticus
> en cages flottantes au lac Onangué dans l’équipe de Dr MBEGA Jean
> daniel. Depuis trois ans je suis en formation en France notamment
> à l’UMII
> et cette année je suis en M2 du parcours BGAE et de la spécialité
> Bioressources aquatiques de l’environnement méditerannéen et
> tropical (BAEMT)
> je conte travailler sur un projet de domestication de O schwebischi
> pour les besoins d’une pisciculture de repeuplement et commerciale
> dans
> le Moyen Ogooué au gabon. J’ai commencé à faire une synthèse
> bibliographique sous l’encadrement de J LAZARD et F CLOTA. Je
> compte faire aboutir ce projet
> et j’espère que lors des débats sur ce site je pourrai trouver des
> orientations de personnes expérimentées et pouvoir interéssés des
> institutions,ONG, associations
> sr ce projet.
> Amicalement !
Très peu d'information disponible sur internet à propos du
schwebischi. On trouve quand même quelques photos et son nom évoqué
dans des études de R. Brummett et G. Teugels :
<http://minilien.com/?26JAw5FWUO>
<http://www.mekonginfo.org/mrc_en/doclib.nsf/0/
DD7094D7927FE66C47256FE000275F6F/$FILE/FULLTEXT.pdf>
Il y a aussi une fiche signalétique issue de la thèse de Patrick
Mouguiama-Daouda "Les dénominations ethnoichtyologiques chez les
Bantous du Gabon : étude de linguistique historique", où on apprend à
prononcer son nom en bantou :
<http://minilien.com/?26nbbeBu5E>
<http://www.ddl.ish-lyon.cnrs.fr/gabon/Poisson/Fish.asp?
Action=Edit&Fish_id=19>
Est-ce lui que les médias appellent le "Tilapia du Gabon" ? :
Gabon: Le tilapia du Gabon en phase d'expérimentation pour une
pisciculture plus diversifiée
Gabonews (Libreville)
28 Juillet 2008
Publié sur le web le 29 Juillet 2008
Murielle Mendoua
Libreville
Le département de l'Economie forestière chargé de la Pêche et de
l'Aquaculture, procède actuellement à l'expérimentation de l'élevage
du poisson tilapia du Gabon (Lambaréné), dans le but de mieux cerner
les différents éléments qui pourraient concourir à son alimentation,
pour une pisciculture plus variée, composée des espèces halieutiques
du Gabon, a constaté GABONEWS.
Avec le développement du secteur piscicole au Gabon, les responsables
en charge de ce département mettent les bouchées doubles, en vue de
diversifier les espèces de poissons élevés, notamment avec une série
d'expériences faites sur le tilapia de Lambaréné, qui pourrait
également être d'un apport non négligeable pour la pisciculture au
Gabon.
Signalons que le tilapia actuellement en élevage au sein des
différentes stations piscicoles du pays, provient d'Egypte, un choix
qui s'explique par le fait que ce poisson répond convenablement aux
normes d'un élevage moderne.
Ainsi, ces expériences sont axées sur le tilapia des lacs, mais
également celui des eaux courantes.
Communiqué de Presse Cirad
vendredi 21 novembre 2008
Le Projet EVAD (Evaluation de la durabilité des systèmes aquacoles)
tient son séminaire final, les 24 et 25 novembre 2008 au Cirad de
Montpellier. EVAD est partie prenante du Programme Fédérateur
Agriculture et Développement Durable financé par l’Agence Nationale
de la Recherche et associe le Cirad, l’Ifremer, l’Inra, l’IRD et
l’Université de Montpellier I.
D’emblée, Jérôme Lazard, chercheur au Cirad et coordinateur d’EVAD
dresse le tableau : « 2008 marque un tournant historique pour
l’aquaculture. C’est la première fois que sa production est aussi
importante que celle de la pêche".Il précise : « les ressources
halieutiques (liées à la pêche) ont atteint leur maximum, soit 90 à
95 millions de tonnes par an, l’aquaculture vient donc compenser une
pêche qui a atteint son plafond».
C’est justement l’Asie qui joue un rôle majeur (92% de l’aquaculture
mondiale) avec une production dite « à chaîne alimentaire courte »
soit des poissons d’eau douce comme les carpes et les tilapias qui se
nourrissent essentiellement de végétaux. Les pays industrialisés du
Nord élèvent des poissons de mer carnivores et « à chaîne
alimentaire longue ».
Vers une aquaculture durable et participative
Portée par ce contexte de croissance rapide au niveau mondial mais
hétérogène selon les zones géographiques, l’aquaculture croise de
nombreuses questions globales mais aussi des questions très locales.
C’est précisément ce qui a conduit le collectif de chercheurs EVAD à
s’intéresser à la durabilité de cette activité agricole particulière,
notamment au travers de sa « dimension territoriale ».
Des enquêtes de terrain approfondies ont été menées qui impliquaient
tous les acteurs de la filière aquacole (producteurs, institutions
régulatrices, services de recherche et d’encadrement, provendiers,
distributeurs, etc.). Le contexte environnemental, économique et
social ainsi que les particularités des gouvernances ont été pris en
considération sur cinq zones d’études reflétant des enjeux contrastés
pour l’aquaculture :
- La Bretagne qui voit sa production intensive de truite d’eau douce
se réduire tandis que s’intensifient les pressions réglementaires
dans un contexte environnemental très contraint et une stagnation des
marchés.
- La Méditerranée où la pression foncière et touristique sur la côte
pousse à terme les systèmes de production en cage à évoluer vers
d’autres modèles et qui se caractérise actuellement par des
concentrations d’exploitations.
- Les Philippines dont les systèmes piscicoles côtiers extensifs
(étangs saumâtres) s’inscrivent dans un contexte aquacole national
fortement marqué par l’économie du pays.
- Le Cameroun où le développement de l’innovation piscicole est
directement lié aux dynamiques de diversification des systèmes de
production agricoles dans un contexte de changements sociaux et
économiques profonds.
- L’Indonésie dont la pisciculture artisanale s’insère le plus
souvent dans d’autres activités agricoles ou non agricoles et dont le
développement rapide peut soulever la question de son impact
environnemental.
La démarche « EVAD »
Le séminaire final du projet Evad se propose d’effectuer une
véritable restitution de toutes les opérations réalisées sur les
terrains et de leurs résultats.
Un « Guide de co-construction d’indicateurs de développement durable
en aquaculture » a été réalisé et sera présenté aux participants
durant le séminaire. Il reprend la logique du projet et la méthode
générique « EVAD » d’analyse des facteurs du développement durable de
l’aquaculture selon la démarché basée sur l’emboitement « Principes,
Critères, Indicateurs ».
Comme l’explique Jérôme Lazard : « les diagnostics obtenus dans le
cadre d’EVAD ne sont pas que la photographie d’une réalité donnée.
Ils doivent constituer un outil d’aide à la décision en matière de
pilotage des exploitations et de mise en œuvre de politiques de
développement durable ».
Le travail réalisé au cours du projet devrait permettre par ailleurs
de consolider et d’élargir le groupe de recherche - organismes et
équipes scientifiques du Nord et du Sud - ainsi que conforter la
mise en œuvre d’une approche interdisciplinaire et multi partenariale
du développement durable de l’aquaculture sur de nouveaux terrains et
d’autres systèmes de production agricoles.
Message de J. Arrignon et je remercie au passage l'APDRA-F pour avoir
accepté de diffuser ce document interne sur la liste Sarnissa
Début du message réexpédié :
> De : Jacques ARRIGNON <jacques-arrignon(a)orange.fr>
> Date : 10 novembre 2008 09:19:25 HNEC
> À : lionel.dabbadie(a)cirad.fr
> Objet : Réexp : Lettre d'information APDRA-F Octobre 2008
>
> Cher collègue,
>
> J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre courriel "sarnissa" et je
> vous félicite pour l'exhortation que vous lancez pour davantage de
> contributions à votre forum, de la part des spécialistes
> francophones.
> Dans cette perspective, ci-joint une lettre d'information de
> l'APDRA, mais que vous possédez peut-être déjà.
>
> Bon courage et bien cordialement.
>
>
> De : "APDRA-F" <contact.apdraf(a)free.fr>
> Date : 3 octobre 2008 11:38:33 HAEC
> À : <contact.apdraf(a)free.fr>
> Objet : Lettre d'information APDRA-F Octobre 2008
>
>
> Bonjour à tous,
>
> Veuillez trouver en pièce jointe la lettre d'information du mois
> d'octobre.
>
> Bonne lecture!
>
> Isabelle Hanquiez
> Chargée de communication

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Nom: Lettre info Octobre 2008.pdf
Type: application/pdf
Taille: 1173876 octets
Desc: non disponible
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