Bonjour,
Dans le temps, H. Hogendoorn avait rédigé sa thèse de doctorat sur le
Clarias et avait publié une intéressante monographie sur ce poisson :
Hogendoorn, H., 1983. The African catfish (Clarias lazera C. & V.,
1840). A new species for aquaculture. Dissertation, Agriculture
University, Wageningen, The Netherlands, 135 pp., 22 figs., 27
tables, 1 appendix, English and Dutch summaries, includes reprints
from Aquaculture.
Je pense que cela reste une référence incontournable. Y figure une
publication sur les effets de la densité d'empoissonnement, la taille de
l'étang et les conditions de polyculture avec le nilotica. Cette
dernière expérimentation avait d'ailleurs été conduite à Foumban et il
devrait y rester quelques traces (à demander à Monsieur Atemkeng, s'il
est encore en charge de la ferme en lui remettant mes meilleurs bonjours).
Pour avancer sur ce problème, il serait bon de procéder à des
expérimentations qui analysent les effets respectifs de la taille
d'empoissonnement relative des T.n. et de C.g., des densités
d'empoissonnement de départ de chaque espèce, et du sex ratio des T.n.
Déjà avec ces trois facteurs pris dans trois relations différentes, on
arrive à une variété de situations intéressantes. On peut y ajouter le
type de nourriture prépondérant : nourriture artificielle ou nourriture
naturelle par fertilisation intensive Les résultats de ces
expérimentations seront l'objet d'une analyse factorielle, pour
déterminer les effets relatifs et combinés de ces facteurs. Selon que
l'on veut complexifier ou non l'analyse, il convient de rajouter ou de
retrancher d'autres facteurs... !
Voilà quelques idées s'ils vous en manquaient...
Bien à vous,
G. Delincé
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Bonsoir,
Je reposte sur la liste française la demande du Dr Oumarou Njifonjou !
Amitiés
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Oumarou Njifonjou" <njifonjo(a)caramail.com>
> Date : 11 novembre 2008 19:41:54 HNEC
> À : "Lionel Dabbadie" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Cc : Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Salut Lionel
> Je suis attentivement les debats tres interessants sur le tilapia.
> Je suis actuellement entrain de mettre en place au centre de
> recherche halieutique de Limbe un prototype d'aquaculture en
> circuit ferme pour tester le clarias et les autres especes et
> pourquoi pas le tilapia. Je suis donc a la recherche d'une
> documentation pratique sur le sujet. Pouvez-vous me donner des
> pistes pour la trouver? J'aimerai que ceux qui ont travaille sur le
> domaine me donnent des conseils et des conduites a tenir.
> Merci d'avance a tous
> Oumarou
>
> Dr Oumarou NJIFONJOU SRHOL-IRAD PMB 77 Limbe Cameroon Tél: (237) 77
> 61 91 49 Fax: (237) 33 23 76 E-mail: njifonjo(a)caramail.com
>
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Bonjour à tous,
Je me réjouis également de rejoindre cette nouvelle liste très active et qui compte qlq amis.
Je travaille depuis 4 ans sur la faisabilité de l'élevage du picot rayé (siganus lineatus) un herbivore marin tropical tres apprécié chez moi en Nouvelle-Calédonie. Cette étude pilote, sur l'élevage larvaire et le grossissement de espèce a permis de parfaire la mise au point d’un process d’écloserie, de décrire sa biologie larvaire et de mettre en évidence que l'especeest un excellent candidat pour le développement durable de l’aquaculture, sujet fréquemment abordé sur la liste.
Cette étude pilote a constitué un préalables indispensables au dimensionnement d’un outil de production (une écloserie pour produire 100T et un site de grossissement en cage, en cour de construction) un début d'une production commerciale en cages est prévu en 2009.
Je m' intéresse a l'impact des rejets piscicole sur l'environnement, des espèces herbivores, (qui semblerait moi problématique qu'une espèce carnivore...) Les rejet polluant aquacole (azote et phosphore), sont principalement issues du métabolisme des protéine. On peux donc raisonnablement penser que ces rejets se trouverai frottement réduit a avec un régine totalement ou partiellement a base de proteine végétale. Nous prévoyons de dévellopper des collaborations scientifiques sur le sujet et de mettre en place un suivi pour démontrer ce dernier avantage, qui ne semble pas avoir été démontré chez les herbivores, avez vous des commentaires ou des références sur le sujet ?
merci aux animateurs tres productifs
Frank Le GARREC
BP 2525 98 847
Nouméa
Nouvelle-Calédonie
(687) 79 86 78
><))))°>
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Bonjour à tous,
Dans les années 90 avait été soulignée
l'importance de caractériser génétiquement les
stocks domestiques et sauvages de tilapia.
Depuis, l'essor de l'aquaculture du tilapia s'est
largement poursuivi, plaçant ce groupe d'espèces
en seconde position des productions mondiales de
poissons d'aquaculture. L'importance de ce groupe
d'espèces a favorisé le développement de souches
sélectionnées (synthétiques ou non), dans un
premier temps hors d'Afrique (entre autre aux
Philippines), avec parfois des ré-introductions
en Afrique (qui ont fait l'objet de discussions
sur cette liste). Plus tard, je crois que dans
différents pays d'Afrique, des programmes de
caractérisation génétique, d'amélioration
génétique et/ou de création de souches
synthétiques locales ont été entrepris.
Pouvez-vous me dire quels sont les pays d'Afrique
qui ont entrepris de telles démarches génétiques,
et pour ceux qui n'ont pas investi dans de telles
démarches, quel type de gestion des souches
locales est en place dans les piscicultures ou
dans les centres de production d'alevins.
Merci d'avance,
Amicalement,
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour,
Attention, l'adresse de la liste est sarnissa-french-
aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Amitiés
Lionel
De : "Imad Saoud" <is08(a)aub.edu.lb>
Date : 18 novembre 2008 06:54:42 HNEC
À : <sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk>
Cher Frank, bonjour. Premierement, permettez moi de m'excuser pour
mon Francais, je suis Anglophone.
Je travaille depuis qu'elques annees sur Siganus rivulatus pour les
memes raisons que toi. Je travaille beacoup maintenant sur la
nutrition. Je n'ai jamais fait d'ecloserie, principallement a cause
de manque de fonds. Ca m'interesse beaucoup de travailler avec vous.
Mon CV se trouve dans mon site internet en bas de ce e-mail. Si ca
vous interresse, on pourait parler plus.
Arrivaderci.
Imad Patrick Saoud, PhD
Aquaculture and Aquatic Science
Dept. of Biology
American University of Beirut, Bliss St., Beirut, Lebanon
http://staff.aub.edu.lb/~is08/
The greatness of a person is not through the memory of him after his
death but rather by how much his deeds help humanity long after he is
forgotten. I.P.S.
Bonsoir à tous,
Quelqu'un a-t-il des conseils à donner à Cyrille Bogne Sadeu pour son
mémoire sur l'association tilapia-silure ?
Merci !
Lionel
Le 13 nov. 08 à 13:11, Cyrille Bogne Sadeu a écrit :
> Bonjour
> je suis étudiant camerounais, je prépare un master en aquaculture à
> l'université de Dschang au Cameroun
> pour mon mémoire, je me propose de travailler la conception et la
> mise d'un système d'élevage piscicole à l'ouest du Cameroun basé
> sur l'association tilapia silure. je souhaiterai poursuivre ce
> travail dans une thèse qui tenterait de modeliser les interactions
> entre des associations piscicoles dans les systèmes de production
> semi intensif en zon tropicale
> j'aurai souhaité que vous m'aidiez dans la bibliographie en même de
> me faire avancer dans mon travail.
> Merci
> Cordialement
>
>
>
> <strong>BOGNE SADEU Cyrille</strong><em>
> Ingénieur des Eaux,Forêts et Chasses </em>
> <em>Diplômé en Agroforesterie
> </em>Tel: (237) 99 78 55 43/ 74 34 75 17
>
>
>
D'après la FAO, le changement climatique aura un
impact profond sur la pêche & sur l'aquaculture
Les variations de température et d'autres
éléments résultant du changement climatique
auront un impact profond sur la pêche et
l'aquaculture, avec des conséquences
significatives sur la sécurité alimentaire pour
certaines populations, selon la FAO.
Cette mise en garde a été lancée à l'ouverture
d'un colloque scientifique de quatre jours sur le
changement climatique et la pêche marine, qui
s'est tenu à Rome du 8 au 11 juillet 2008.
Niveau important de vulnérabilité
La pêche de capture est fondamentalement
différente d'autres systèmes de production
alimentaire dans ses liens et ses réactions au
changement climatique et les effets sur la
sécurité alimentaire qui en résultent, selon la FAO.
A la différence de la plupart des animaux
terrestres, les espèces animales aquatiques
utilisées pour la consommation humaine sont
poïkilothermes, ce qui signifie que leurs
températures corporelles varient selon les températures ambiantes.
Tout changement de température de l'habitat
influence de manière significative leur
métabolisme, leur taux de croissance,
productivité, leur reproduction saisonnière et
leur susceptibilité aux maladies et aux toxines.
Impacts déjà ressentis
Les impacts du changement climatique sur la pêche
et l'aquaculture déjà observés sont énumérés ci-après:
Dans les eaux marines, les évolutions et les
événements climatiques extrêmes augmenteront en
fréquence et en intensité, avec le plus connu de
ces derniers, le phénomène El Niño dans le Pacifique Sud.
Le réchauffement continu des océans de la planète
est susceptible de se poursuivre, mais avec des
différences géographiques et une certaine
variabilité. Le réchauffement est plus intense
dans les eaux de surface, mais il n'est pas
exclusif à ces dernières: l'océan Atlantique
montre notamment des signes clairs de réchauffement des eaux profondes.
On a déjà observé des changements de répartition
de poissons dus aux variations climatiques,
impliquant généralement une expansion vers les
pôles des espèces qui vivent dans les eaux
chaudes et une contraction de celles vivant dans les eaux froides.
Des variations de la salinité des océans sont
constatées, avec une augmentation de la salinité
des eaux de surface dans les régions les plus
exposées à l'évaporation de la plupart des
océans, alors que les zones marines dans les
latitudes élevées enregistrent une baisse de la
salinité due à des précipitations et des
écoulements plus importants, à la fonte des
glaces et à d'autres événements atmosphériques.
Les océans deviennent aussi plus acides, avec des
conséquences négatives probables sur de nombreux
récifs coralliens et les organismes quils abritent.
Implications pour la sécurité alimentaire
Bien que de grandes différences régionales
existent, le monde de la pêche pourrait être
profondément bouleversé, indique la FAO.
Pour les communautés qui vivent de la pêche,
toute diminution de la disponibilité locale ou de
la qualité des poissons ou toute accentuation de
l'instabilité de leurs moyens dexistence posera des problèmes très graves.
Les communautés de pêcheurs situées dans les
latitudes élevées et ceux qui dépendent de
systèmes susceptibles d'évoluer sous l'influence
du climat, tel que le phénomène de lupwelling
(terme anglais désignant la remontée des eaux
froides profondes, riches en nutriments, vers la
surface de l'océan) ou les récifs coralliens,
auront la plus forte exposition aux impacts liés au climat.
En outre, les communautés de pêcheurs situées
dans les deltas, sur les atolls coralliens et les
côtes recouvertes de glace seront
particulièrement vulnérables à l'élévation du
niveau de la mer et aux risques associés aux
inondations, à l'intrusion du sel et à l'érosion côtière.
Les pays aux capacités limitées d'adaptation aux
changements climatiques, même s'ils sont situés
dans des secteurs à faible risque, sont également vulnérables.
Cependant, la FAO estime que, pour les
communautés qui dépendent de la pêche, les
impacts des changements physiques et biologiques
liés au climat seront aussi variés que les changements eux-mêmes.
Des impacts négatifs et positifs sont probables,
selon les circonstances locales et selon la
vulnérabilité et la capacité d'adaptation des communautés affectées.
Un secteur clé en danger
Tant au niveau local que mondial, la pêche et
l'aquaculture jouent un rôle crucial en
fournissant de la nourriture et des revenus.
Environ 42 millions de personnes travaillent
directement dans le secteur, la grande majorité dans les pays en développement.
En prenant en compte celles qui travaillent dans
des industries associées de traitement, de
commercialisation, de distribution et
d'approvisionnement, la filière pêche procure des
moyens d'existence à plusieurs centaines de millions de personnes.
Les aliments issus de la mer ont une qualité
nutritionnelle élevée, représentant 20 % ou plus
de la prise de protéines animales moyenne par
habitant pour plus de 2,8 milliards de personnes,
la plupart dans les pays en développement.
Le poisson est également le produit alimentaire
le plus largement commercialisé et une source
majeure de recettes d'exportation pour nombre de
pays pauvres. Ce secteur a une importance
particulière pour les petits Etats insulaires.
Dans le cadre de l'attention croissante qu'elle
consacre aux effets du changement climatique sur
la pêche et l'aquaculture, la FAO a organisé, en
avril dernier, un atelier d'experts sur cette
problématique et ce, en prévision du Sommet de
juin 2008 sur la sécurité alimentaire, le
changement climatique, et les bioénergies.
Ce groupe de travail a élaboré un document
proposant une vue d'ensemble qui étudie ces
questions et les risques encourus, et propose des
actions possibles que les gouvernements et les
décideurs pourraient prendre pour commencer à s'adapter.
Le colloque de cette semaine doit approfondir et
élargir la connaissance scientifique sur la
manière dont le changement climatique affecte les
écosystèmes marins et les communautés qui en
dépendent. Il est coparrainé et coorganisé par la
FAO, Global Ocean Ecosystem Dynamics (GLOBEC) et
le réseau européen dorganismes scientifiques qui
se consacrent à létude de limpact des
changements climatiques sur les écosystèmes marins (EUR-OCEANS).
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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<http://www.fishforafrica.org/index_fichiers/Page353.htm>
<http://minilien.com/?WxKYz8JO13>
Poisson pour l’Afrique est un organisme indépendant à but non
lucratif canado-américain, dédié au développement intégré et durable
de l'aquaculture et des pêches dans les pays de la CEDEAO (Communauté
Économique des États de l'Afrique de l’Ouest). C’est un organisme de
recherche et de développement, fournisseur de services aux
institutions gouvernementales et non gouvernementales, aux
organisations de producteurs et aux individus.
Mission
« Faire de l’aquaculture un outil efficace de lutte contre la faim,
la malnutrition et la pauvreté en Afrique de l’Ouest »
Vision
«Ëtre le centre d’excellence de la CEDEAO en matière de
développement aquacole et rural intégré »
Parmi les membres d'honneur listés sur la page web, un grand
monsieur, le professeur de la Noüe
Jean-Yvon Thepaut
Conseiller Pêche auprès du PM de Maurice ,je suis en charge de :
Création d'un Fish Auction Market dernière génération (utilisent exclusivement les énergie renouvelable) avec un portail de vente en ligne . démarrage des travaux début 2009 et du développement de la pêche côtière artisanale.
Officer in charge de la Competent Authority qui contrôle les bateaux et les unités de traitements de produits de la mer qui exportent vers UE et qui met en place les réglementations et le code de bonne conduite de l'aquaculture mauricienne qui est a ses premiers balbutiements , que le gouvernement a la volontés de promouvoir , mais avec un encadrement légale sans faille afin d'éviter toute dérive.
Je cherche un max d'informations et de conseils pour que l'aquaculture Mauricienne soit au minimum une aquaculture durable voir même BIO.
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[English version below]
Voici une traduction en français du dernier communiqué de presse du
WWF, par mes soins. Je ne crois pas qu'il y ait de traduction
officielle en français de ces dialogues. Si je me trompe, merci de me
corriger et de m'indiquer où les trouver.
<http://www.worldwildlife.org/who/media/press/2008/
WWFPresitem10620.html>.
Pour éviter ce qui ressemble fort à une absence semble-t-il pas
involontaire, mais potentiellement dommageable, des pays francophones
sur les autres Dialogues, il serait peut-être intéressant que les
gens concernés par la Sériole et le Cobia nous fasse partager leurs
commentaires sur ce type d'initiative ?
Bien amicalement
Lionel
Le Dialogue Aquaculture Sériole & Cobia du WWF lancé en Février
Pour diffusion: 12 Novembre 2008
Jill Schwartz
Jill.Schwartz @ wwfus.org
(202) 822-3458
WASHINGTON, DC: Le processus de création de la première série de
normes visant à minimiser les impacts environnementaux et sociaux de
l'élevage du Cobia et de la Sériole sera lancé en février, lors de la
séance inaugurale du dialogue Aquaculture Sériole et Cobia.
Les experts mondiaux et les parties prenantes de l'aquaculture de la
Sériole et du Cobia sont attendus à la séance publique, qui se
tiendra mi-février à Seattle, Etat de Washington, en marge de la
conférence Aquaculture America. Elles se concentreront sur les normes
applicables à Seriola rivoliana, Seriola lalandi et Seriola
quinqueradiata (également connu sous le nom de Kampachi, Hamachi ou
hiramasa) et ainsi qu'au Cobia élevé en Amérique.
"Il ya un besoin pressant d'établir des normes de durabilité pour ces
espèces, car elles sont maintenant prêtes à connaître une croissance
explosive», a déclaré Neil Anthony Sims, président de l'Ocean Steward
Institute, une association de négociants en produits aquacoles
marins. "Les critères qui permettent d'évaluer les exploitations
agricoles - et de les récompenser - encourageront les producteurs à
adopter de meilleures pratiques. Et ce qui est meilleur pour les
fermiers est aussi meilleur pour nos océans. "
L'un des principaux objectifs de la réunion sera d'identifier les
principaux impacts environnementaux et sociaux liés à l'élevage de la
Sériole et du Cobia, des espèces qui sont cultivées en cages à
proximité de la côte.
Les participants produiront aussi des lignes directrices pour
envisager chaque impact et développer les critères qui indiqueront
les directions permettant de les réduire. Lors de futures réunions,
les participants créeront les indicateurs proprement dits, afin de
mesurer l'intensité de chaque impact. L'ensemble de ces informations
fournira un cadre permettant l'élaboration des normes.
«Notre démarche est claire - créer des normes qui puissent être
évaluées et qui soient axées sur leur efficacité maximale», indique
le Dr Aaron McNevin, spécialiste aquaculture du WWF qui va aider à
coordonner les réunions de ce dialogue. "Ce qui est le plus
important, c'est de s'assurer que ces normes sont crédibles. Cela ne
se fera pas sans un dialogue ouvert et transparent ".
D'autres actions concerneront la mise en place d'une comité directeur
chargé de gérer le Dialogue, ainsi que l'identification des priorités
de recherche qui doivent être entreprises pour combler les déficits
d'information propres à ce type d'aquaculture.
Si vous souhaitez assister à la réunion, contactez Aaron McNevin
(Aaron.McNevin @ wwfus.org) avant le 30 janvier. Pour plus
d'information sur les Dialogues, rendez-vous sur
www.worldwildlife.org/seriolacobiadialogue
Ce dialogue est l'un des huit Dialogues initiés par le WWF,
actuellement en cours au niveau mondial. Des normes sont également en
cours d'élaboration pour le saumon, le tilapia, la crevette, le
pangasius, la truite, l'ormeau et quatre types de mollusques
(palourdes, pétoncles, huîtres et moules). Pour plus d'informations
sur les dialogues, rendez-vous sur www.worldwildlife.org / aquadialogues
[English version]
I am concerned about what looks like a low participation of French
speaking countries in the various WWF Dialogues. I already posted
several emails on this topic on Sarnissa's list (http://
www.sarnissa.org), and I give here a personal translation into French
of the last WWF Press Release on Cobia and Seriole Dialogue, because
we have members working with these species on the French list. Please
find enclosed the copy of the original press release, from <http://
www.worldwildlife.org/who/media/press/2008/WWFPresitem10620.html>.
Please feel welcome to comment. As much as possible, I will try to
translate into French and English the various comments and post them
on the respective forum... as long their abundance do not exceed my
working capacity (if some people want to help me, they are
welcome) ! :-)))
Cheers
Lionel
Seriola and Cobia Aquaculture Dialogue Kicks Off in February
New Initiative Raises Dialogue Count to 12 Species
For Release: Nov 12, 2008
Jill Schwartz
Jill.Schwartz(a)wwfus.org
(202) 822-3458
WASHINGTON, DC: The process of creating the world’s first set of
credible standards for minimizing the key environmental and social
impacts of the cobia and Seriola aquaculture industries will begin in
February, when the inaugural meeting of the Seriola and Cobia
Aquaculture Dialogue is held.
The world’s leading Seriola and cobia farming experts and
stakeholders are expected to attend the open meeting, to be held mid-
February in Seattle, Washington in conjunction with the Aquaculture
America conference. They will focus on standards for Seriola
rivoliana, Seriola lalandi and Seriola quinqueradiata (also known as
kampachi, hamachi or hiramasa) and cobia that are farmed in the
Americas region.
“There is a pressing need to establish sustainability standards for
these species, as they are now poised on the brink of explosive
growth,” said Neil Anthony Sims, president of the Ocean Stewards
Institute, an open ocean aquaculture trade association. “Criteria
that allow individual farms to be evaluated – and rewarded - will
encourage producers to aspire to better practices. What is then
better for the farmers is also then better for our oceans.”
One of the main goals of the meeting will be to identify the key
environmental and social impacts related to the farming of cobia and
Seriola species which are grown in cages in the ocean and near shore.
Participants also will create the guiding principles for addressing
each impact and develop the criteria that will provide direction on
how to reduce each impact. At future meetings, participants will
create indicators that will address how to measure the extent of each
impact. All of this information will be the framework for creating
standards.
“Our marching orders are clear – create measurable and performance-
based standards,” said WWF Aquaculture Specialist Dr. Aaron McNevin,
who will help coordinate the Dialogue meetings. “What’s most
important is to make sure the standards are credible. That won’t
happen without an open and transparent dialogue.”
Other agenda items will be creating a steering committee to manage
the Dialogue, as well as identifying research that needs to be done
to address any areas of disagreement between Dialogue participants
and fill information gaps related to this type of aquaculture.
If you would like to attend the meeting, contact Aaron McNevin at
Aaron.McNevin(a)wwfus.org by January 30th. For more information about
the Dialogue, go to www.worldwildlife.org/seriolacobiadialogue
This Dialogue is one of eight WWF-initiated Dialogues underway
globally. Standards also are being developed for salmon, tilapia,
shrimp, pangasius, trout, abalone and four types of molluscs (clams,
scallops, oysters and mussels). For more information about the
Dialogues, go to www.worldwildlife.org/aquadialogues