Merci à Géovanne NZIENGUI pour cette présentation, très intéressante
eu égards aux discussions récentes sur les tilapia non nilo
(domestication O schwebischi). D'autres personnes travaillent sur
cette espèce ?
> Je suis Géovanne NZIENGUI de Nationalité Gabonaise. J’ai connu ce
> projet d’échange au travers de Mr JF Baroiller et de
> Mr Pierre Morissens que je remecie d’ailleurs de m’avoir inscrit.
> Je suis agent à la direction générale des pêches
> et de l’aquaculture dans mon pays, j’ai une expérience moyenne en
> aquaculture pour avoir participé au projet d’élevage de O niloticus
> en cages flottantes au lac Onangué dans l’équipe de Dr MBEGA Jean
> daniel. Depuis trois ans je suis en formation en France notamment
> à l’UMII
> et cette année je suis en M2 du parcours BGAE et de la spécialité
> Bioressources aquatiques de l’environnement méditerannéen et
> tropical (BAEMT)
> je conte travailler sur un projet de domestication de O schwebischi
> pour les besoins d’une pisciculture de repeuplement et commerciale
> dans
> le Moyen Ogooué au gabon. J’ai commencé à faire une synthèse
> bibliographique sous l’encadrement de J LAZARD et F CLOTA. Je
> compte faire aboutir ce projet
> et j’espère que lors des débats sur ce site je pourrai trouver des
> orientations de personnes expérimentées et pouvoir interéssés des
> institutions,ONG, associations
> sr ce projet.
> Amicalement !
Très peu d'information disponible sur internet à propos du
schwebischi. On trouve quand même quelques photos et son nom évoqué
dans des études de R. Brummett et G. Teugels :
<http://minilien.com/?26JAw5FWUO>
<http://www.mekonginfo.org/mrc_en/doclib.nsf/0/
DD7094D7927FE66C47256FE000275F6F/$FILE/FULLTEXT.pdf>
Il y a aussi une fiche signalétique issue de la thèse de Patrick
Mouguiama-Daouda "Les dénominations ethnoichtyologiques chez les
Bantous du Gabon : étude de linguistique historique", où on apprend à
prononcer son nom en bantou :
<http://minilien.com/?26nbbeBu5E>
<http://www.ddl.ish-lyon.cnrs.fr/gabon/Poisson/Fish.asp?
Action=Edit&Fish_id=19>
Est-ce lui que les médias appellent le "Tilapia du Gabon" ? :
Gabon: Le tilapia du Gabon en phase d'expérimentation pour une
pisciculture plus diversifiée
Gabonews (Libreville)
28 Juillet 2008
Publié sur le web le 29 Juillet 2008
Murielle Mendoua
Libreville
Le département de l'Economie forestière chargé de la Pêche et de
l'Aquaculture, procède actuellement à l'expérimentation de l'élevage
du poisson tilapia du Gabon (Lambaréné), dans le but de mieux cerner
les différents éléments qui pourraient concourir à son alimentation,
pour une pisciculture plus variée, composée des espèces halieutiques
du Gabon, a constaté GABONEWS.
Avec le développement du secteur piscicole au Gabon, les responsables
en charge de ce département mettent les bouchées doubles, en vue de
diversifier les espèces de poissons élevés, notamment avec une série
d'expériences faites sur le tilapia de Lambaréné, qui pourrait
également être d'un apport non négligeable pour la pisciculture au
Gabon.
Signalons que le tilapia actuellement en élevage au sein des
différentes stations piscicoles du pays, provient d'Egypte, un choix
qui s'explique par le fait que ce poisson répond convenablement aux
normes d'un élevage moderne.
Ainsi, ces expériences sont axées sur le tilapia des lacs, mais
également celui des eaux courantes.
Communiqué de Presse Cirad
vendredi 21 novembre 2008
Le Projet EVAD (Evaluation de la durabilité des systèmes aquacoles)
tient son séminaire final, les 24 et 25 novembre 2008 au Cirad de
Montpellier. EVAD est partie prenante du Programme Fédérateur
Agriculture et Développement Durable financé par l’Agence Nationale
de la Recherche et associe le Cirad, l’Ifremer, l’Inra, l’IRD et
l’Université de Montpellier I.
D’emblée, Jérôme Lazard, chercheur au Cirad et coordinateur d’EVAD
dresse le tableau : « 2008 marque un tournant historique pour
l’aquaculture. C’est la première fois que sa production est aussi
importante que celle de la pêche".Il précise : « les ressources
halieutiques (liées à la pêche) ont atteint leur maximum, soit 90 à
95 millions de tonnes par an, l’aquaculture vient donc compenser une
pêche qui a atteint son plafond».
C’est justement l’Asie qui joue un rôle majeur (92% de l’aquaculture
mondiale) avec une production dite « à chaîne alimentaire courte »
soit des poissons d’eau douce comme les carpes et les tilapias qui se
nourrissent essentiellement de végétaux. Les pays industrialisés du
Nord élèvent des poissons de mer carnivores et « à chaîne
alimentaire longue ».
Vers une aquaculture durable et participative
Portée par ce contexte de croissance rapide au niveau mondial mais
hétérogène selon les zones géographiques, l’aquaculture croise de
nombreuses questions globales mais aussi des questions très locales.
C’est précisément ce qui a conduit le collectif de chercheurs EVAD à
s’intéresser à la durabilité de cette activité agricole particulière,
notamment au travers de sa « dimension territoriale ».
Des enquêtes de terrain approfondies ont été menées qui impliquaient
tous les acteurs de la filière aquacole (producteurs, institutions
régulatrices, services de recherche et d’encadrement, provendiers,
distributeurs, etc.). Le contexte environnemental, économique et
social ainsi que les particularités des gouvernances ont été pris en
considération sur cinq zones d’études reflétant des enjeux contrastés
pour l’aquaculture :
- La Bretagne qui voit sa production intensive de truite d’eau douce
se réduire tandis que s’intensifient les pressions réglementaires
dans un contexte environnemental très contraint et une stagnation des
marchés.
- La Méditerranée où la pression foncière et touristique sur la côte
pousse à terme les systèmes de production en cage à évoluer vers
d’autres modèles et qui se caractérise actuellement par des
concentrations d’exploitations.
- Les Philippines dont les systèmes piscicoles côtiers extensifs
(étangs saumâtres) s’inscrivent dans un contexte aquacole national
fortement marqué par l’économie du pays.
- Le Cameroun où le développement de l’innovation piscicole est
directement lié aux dynamiques de diversification des systèmes de
production agricoles dans un contexte de changements sociaux et
économiques profonds.
- L’Indonésie dont la pisciculture artisanale s’insère le plus
souvent dans d’autres activités agricoles ou non agricoles et dont le
développement rapide peut soulever la question de son impact
environnemental.
La démarche « EVAD »
Le séminaire final du projet Evad se propose d’effectuer une
véritable restitution de toutes les opérations réalisées sur les
terrains et de leurs résultats.
Un « Guide de co-construction d’indicateurs de développement durable
en aquaculture » a été réalisé et sera présenté aux participants
durant le séminaire. Il reprend la logique du projet et la méthode
générique « EVAD » d’analyse des facteurs du développement durable de
l’aquaculture selon la démarché basée sur l’emboitement « Principes,
Critères, Indicateurs ».
Comme l’explique Jérôme Lazard : « les diagnostics obtenus dans le
cadre d’EVAD ne sont pas que la photographie d’une réalité donnée.
Ils doivent constituer un outil d’aide à la décision en matière de
pilotage des exploitations et de mise en œuvre de politiques de
développement durable ».
Le travail réalisé au cours du projet devrait permettre par ailleurs
de consolider et d’élargir le groupe de recherche - organismes et
équipes scientifiques du Nord et du Sud - ainsi que conforter la
mise en œuvre d’une approche interdisciplinaire et multi partenariale
du développement durable de l’aquaculture sur de nouveaux terrains et
d’autres systèmes de production agricoles.
Message de J. Arrignon et je remercie au passage l'APDRA-F pour avoir
accepté de diffuser ce document interne sur la liste Sarnissa
Début du message réexpédié :
> De : Jacques ARRIGNON <jacques-arrignon(a)orange.fr>
> Date : 10 novembre 2008 09:19:25 HNEC
> À : lionel.dabbadie(a)cirad.fr
> Objet : Réexp : Lettre d'information APDRA-F Octobre 2008
>
> Cher collègue,
>
> J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre courriel "sarnissa" et je
> vous félicite pour l'exhortation que vous lancez pour davantage de
> contributions à votre forum, de la part des spécialistes
> francophones.
> Dans cette perspective, ci-joint une lettre d'information de
> l'APDRA, mais que vous possédez peut-être déjà.
>
> Bon courage et bien cordialement.
>
>
> De : "APDRA-F" <contact.apdraf(a)free.fr>
> Date : 3 octobre 2008 11:38:33 HAEC
> À : <contact.apdraf(a)free.fr>
> Objet : Lettre d'information APDRA-F Octobre 2008
>
>
> Bonjour à tous,
>
> Veuillez trouver en pièce jointe la lettre d'information du mois
> d'octobre.
>
> Bonne lecture!
>
> Isabelle Hanquiez
> Chargée de communication

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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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Nom: Lettre info Octobre 2008.pdf
Type: application/pdf
Taille: 1173876 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Etat des lieux de l'aquaculture, avec Chantal Cahu
(Clémence Mortier)
Alors que la pêche intensive rend de plus en plus préoccupant le
renouvellement des stocks, l'augmentation de la demande mondiale en
produits d'origine aquatique ne cesse de croître. Il est urgent de
trouver des solutions alternatives à la raréfaction des ressources
halieutiques. Chantal Cahu, biologiste à l'Ifremer au département
physiologie fonctionnelle des organismes marins, nous explique les
enjeux de l'aquaculture.
<http://minilien.com/?8nkrEOTtY9>
<http://www.laradiodelamer.com/podcast/environnement/ecoutez-etat-des-
lieux-de-l-aquaculture-avec-chantal-cahu-804.html>
Toutes ces informations sont anciennes. Si vous en avez de plus
récentes, n'hésitez pas à les poster ici ! Merci
Guinée Pisciculture : retrouver le goût du poisson frais par Denise
Williams, Abdoulaye Diari Diallo
(SYFIA-Guinée) Condamnée jusque là au poisson congelé comme la
plupart des régions enclavées, la Guinée forestière se lance dans la
pisciculture et découvre avec délice le goût du poisson frais. A
Diécké, une petite "révolution bleue" est en marche.
"Ici, à Diécké, plus question de jeter le son de riz et de maïs.
Désormais nous l'envoyons à l'écloserie où un sac de son de 10 kg
rapporte 1 kg d'alevins", déclare fièrement une vieille personne
retraitée de cette localité guinéenne à plus de 1000 km de Conakry.
"Aujourd'hui, nous consommons du poisson frais produit sur place.
Quelle chance !" s'exclame un cadre de la pêche et de l'élevage.
"Dieu merci avec 1500 Francs guinéens le kg, (7,5 F cfa) on a du bon
poisson. Certes celui congelé est vendu au même prix, mais la qualité
fait la différence", renchérit un villageois
Démarré en 1994, le projet de pisciculture artisanale installé à
Diécké par l'Association des Volontaires du Progrès et l'ORSTOM, un
institut de recherche français, et la Société guinéenne de palmiers à
huile et d'hévéas (SOGUIPAH) soulève actuellement l'enthousiasme des
nouveaux pisciculteurs comme des consommateurs.
La suite sur:
<http://www.syfia.info/index.php5?
view=articles&action=voir&idArticle=253>
Afrique Pisciculture : l'Afrique commence à se jeter à l'eau
par Charlotte Lazard
(Syfia) L'Afrique, où le poisson d'eau douce est apprécié, n'a pas de
tradition piscicole. Pourtant, depuis une vingtaine d'années, la
pisciculture commence à s'y développer, très étroitement associée à
l'agriculture. Les différentes techniques permettent aujourd'hui une
production de 50 000 t. C'est presque cent fois moins que les pêches
maritimes, mais c'est un début prometteur.
"Le poisson, c'est bon!", pouvait-on lire sur les maillots des petits
Ivoiriens dans les années soixante-dix. C'est vrai qu'on aime le
poisson en Afrique. Les femmes savent bien le préparer, en sauce ou
braisé, avec l'attiéké ou le riz, et les hommes le pêcher, en mer
comme en rivière. Il n'y a qu'à voir les pêcheurs Somonos au Mali,
les Imragen en Mauritanie et les piroguiers de toute la côte pour
s'en convaincre.Pourtant, curieuse contradiction, on ne sait pas
l'élever, le "cultiver", comme en Asie. Mais, si l'on sait
reconnaître un étang, une cage ou un enclos, on voit que la
pisciculture se développe. Encore modeste, cette activité nouvelle
est en train de modifier les habitudes et même les paysages. Dans les
années quatre-vingt dix, vingt ans après le lancement des premières
expériences, l'élevage du poisson devrait devenir une véritable
spéculation agricole. Peut-être même industrielle.Pour l'heure, la
plus répandue est la pisciculture en étang. Elle demande un minimum
d'outils, d'argent et de savoir faire. Beaucoup d'agriculteurs, en
Côte d'Ivoire notamment, ont creusé des étangs dans des bas-fonds, à
côté des rizières ou en aval immédiat de petites retenues
artificielles qui servent à irriguer les champs ou à abreuver les
animaux. Ils y ont mis des Sarotherodon, ou Oreochromis niloticus,
autrement dit des carpes, plus communément connues sous le nom de
tilapia.
La suite sur...
<http://minilien.com/?ZmABpXbUjx>
<http://www.syfia.info/index.php5?
view=articles&action=voir&idArticle=1434>
Translated reply from English forum
Salut Sammy, William et d'autres,
Je suis d'accord avec Sammy sur la non-fiabilité de l'Afrique le poisson-chat recrutement efficace méthode de contrôle pour le tilapia. Toutefois, il a aussi à voir avec les densités d'élevage de poissons-chats. Les traditionnels 10% du poisson-chat à moi n'a jamais et ne fonctionnera jamais. Laissez-nous stock entre 25% à 40%. Cela a toujours bien fonctionné. Catfish est un "paresseux" prédateur et à faible densité ne fait pas les travaux. Habituellement, à ce rythme vous aurez assez uniforme poisson-chat tailles.
Merci de vous continuer avec les différents débats
Enos
Enos Were
Gestionnaire de l'aquaculture
Dominion Farms Limited
Private Bag, Siaya Kenya
Equipe de France
Au Kenya, la part sexage est couramment utilisé, mais avec seulement environ 60% de réussite. Clarias est utilisé comme un prédateur dans une installation de contrôle biologique, ce n'est pas très parce que l'un succès mai terminer avec quelques gros poisson-chat qui ne sont pas efficaces dans le contrôle de la prolifération de tilapia.
Macharia
-----Original Message-----
From: sammy Macharia [mailto:sammacharia@yahoo.co.uk]
Sent: 20 November 2008 09:18
To: William Leschen
Subject: Re: [Sarnissa-stakeholders] Gender control for tilapia production
French Team
In Kenya, hand sexing is commonly used but with only about 60% success. Clarias is used as a predator in a biological control setup, this is not very success because one may end up with a few big caftfish that are not effective in controlling the tilapia proliferation.
Macharia
--- On Wed, 19/11/08, William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk> wrote:
> From: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
> Subject: [Sarnissa-stakeholders] Gender control for tilapia production
> To: "sarnissa-stakeholders Mailing List" <sarnissa-stakeholders(a)lists.stir.ac.uk>
> Date: Wednesday, 19 November, 2008, 11:58 AM
> From French forum
>
>
>
> Dear all,
>
>
>
> We all know the importance of sex control for tilapia
> production in the majority of the numerous farming
> conditions of this species group. It is not necessary to
> remind you all that numerous techniques have been used up
> till now (hybridisation), or is more classically used for
> sex control such as manual sexing, hormonal inversion and
> use of YY males. Each of these techniques has been often
> discussed showing their advantages and disadvantages. We all
> know farmers who use one or another approach depending on
> his constraints which are essentially the cost, the facility
> for its use and its efficiency.
>
> However, it is harder to have a relative estimation of
> which farmers used which approach.
>
>
>
> Would you share this information telling us if:
>
>
>
> you use mainly a) manual sexing, b) hormonal inversion, c)
> off-springs of YY males, d) hybridisation, and mentioning
> which rearing conditions you are using (monoculture,
> polyculture, extensive or semi-intensive conditions). Or do
> you use predators and if it is the case which species do you
> use (Hemichromis, Heterobranchus, Clarias, Lates)? Finally,
> what is the main justification of your choice?
>
>
>
> Thank you very much,
>
>
>
> Helena D'Cotta and JF Baroiller
>
> ___________________________________
>
>
>
> Dr. Helena D'Cotta
>
> CIRAD-PERSYST
>
> Aquaculture Research Unit, TA B-20/A, Bur.A18 Campus
> International de Baillarguet
>
> 34398 Montpellier cedex 5, France
>
> Tel : 33 - (0) 467593951; Fax : /3825
>
> dcotta(a)cirad.fr<mailto:dcotta@cirad.fr>
>
> http://aquatrop.cirad.fr/
>
>
>
> PS from Will - See video clip (link below) of Helena and
> Jean Francois at work.
>
>
>
> Please note clip is in a section of main news report
>
>
>
> http://minilien.com/?aPNxm6nYpr
>
> http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=e31a_invite&video_number=0
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-stakeholders mailing list
> Sarnissa-stakeholders(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-stakeholders
No virus found in this incoming message.
Checked by AVG - http://www.avg.com
Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1800 - Release Date: 11/19/2008 6:55 PM
Le 19 nov. 08 à 19:40, William Leschen a écrit :
Bonjour Sidiki,
Votre demande sur le rôle des femmes dans l'aquaculture en Europe est en fait un vraiment un comme disent les gens comme nous passons notre temps de taper sur la parité hommes / femmes dans l'aquaculture, au Bangladesh, les Philippines, l'Afrique et le peuple etc aboutir à l'écriture et des rapports. Mais ce qui est disponible pour l'Europe? Je ne sais pas sur la France mais certainement pour le Royaume-Uni très peu. Nous pouvons peut-être obtenir des statistiques de la part du gouvernement t depts. Annuel de registres - EAFP et ces organisations.
De toute façon j'ai envoyé autour d'une demande à notre groupe de l'Institut à Stirling. Voyons ce qu'ils viennent avec. Jai toujours de mon jeune temps où j'ai l'habitude de travailler de plus en plus de poissons que les femmes sont généralement beaucoup mieux que les hommes dans les couvoirs - Je suis peut-être être sexiste! Mais il a été basé sur l'expérience et l'observation et aussi le plus révélateur des taux de survie et de mortalité!
Amicalement
Will
Stirling UK
Excusez mon francais
Hello Sidiki ,
Your request about role of females in European aquaculture is actually a really telling one as people like us spend our time banging on about gender in aquaculture in Bangladesh, Philippines, Africa etc and people end up writing papers and reports. However what is available for Europe?? I don't know about France but certainly for UK very little. We can perhaps get some statistics from the government t depts. Annual registers - EAFP and such organizations.
Anyway Ive sent round a request to our group in the Institute in Stirling. Let us see what they come up with. Ive always maintained from my younger days when I actually used to work growing fish that women were generally much better than men in hatcheries - maybe I am being sexist!! But it was based on experience and observation and also most tellingly survival rates and mortalities !!
Best wishes
Will