Le secteur crevettier génère 100 millions d’euros par an
mercredi 29 octobre 2008, par Léa Ratsiazo
<http://www.madagascar-tribune.com/Le-secteur-crevettier-
genere-100,9667.html>
Le secteur crevettier constitue l’un des points forts du secteur
halieutique malgache. Il génère en moyenne 100 millions d’euros par
an, emploie environ 9 000 personnes à temps plein (pêche artisanale,
pêche et aquaculture industrielle), fait vivre plus de 30 000
familles de pêcheurs traditionnels et représente environ 40 000
emplois indirects, selon les données de la mission économique de
l’Ambassade de France à Madagascar. Selon l’INSTAT, les exportations
malgaches de produits de la mer ont atteint une valeur d’exportation
de 141,8 millions d’euros pour un volume total de 33 000T en 2006. Le
premier poste d’exportation, en termes de valeur, concerne les
crevettes fraîches, préparées ou congelées (67% des exportations),
suivi des conserves de thon (25%).
Le secteur est un outil de développement économique et social
important dans les zones très enclavées.
Filière surexploitée et en crise
Aussi bien l’activité de pêche que celle de l’aquaculture sont
menacées depuis ces 3 dernières années. Les zones de pêche
crevettière, à différente intensité, sont toutes touchées par la
diminution des ressources causée par les mauvaises pratiques de la
pêche traditionnelle : usage d’engins de pêche prohibés (filets
moustiquaires) et non respect du repos. Une forte érosion du prix de
vente sur les marchés internationaux en raison de l’abondance de
crevettes d’origine asiatique et latino-américaine accentue les
difficultés de la filière. En outre, les redevances sur les licences
de pêche restent relativement stables. La Direction de la Pêche et
des Ressources Halieutiques, appuyée par des organismes de
développement, promeut la pisciculture en cage et le développement
d’écloserie. L’aquaculture crevettière s’est développée depuis 1992
dans les tannes sèches des mangroves de l’Ouest et du Nord de
Madagascar (Morondava, Majunga, Soalala, Ankarana). Il existe
actuellement 7 fermes aquacoles industrielles. Parmi les espèces de
crevettes pêchées dans les eaux malgaches, deux offrent des
performances intéressantes en aquaculture, à savoir, le « Penaeus
monodon » (black tiger) et le « Penaeus indicus » (crevette blanche).
La filière est globalement déficitaire depuis 2005 en raison des
baisses de productivité, des problèmes pathologiques, d’une
augmentation des charges liée à l’augmentation du prix du carburant
(qui représente près de 22% des charges) et celui des matières
premières alimentaires (40% des charges) et enfin de la concurrence
sur le marché mondial des crevettes white d’élevage bas de gamme des
pays asiatiques qui affecte la production malgache haut de gamme et
respectant des critères de responsabilité sociale et environnementale.
Réduction d’efforts de pêche
Les professionnels et le gouvernement, aidés des bailleurs de fonds
(notamment l’Agence Française de Développement et le Fonds Français
pour l’Environnement Mondial), ont commencé à entreprendre des
efforts de gestion concertée du secteur : surveillance des pêches
pour le respect de la période de fermeture, réduction des navires de
pêche, détaxation du gas-oil pour les fermes aquacoles et autre
respect des dispositifs d’exclusion des tortues marines afin de
redresser la filière de la pêche et d’aquaculture, déficitaire depuis
3 ans. Les efforts doivent êtres poursuivis, notamment pour les
démarches d’éco-certification et la réduction de l’effort de pêche,
mais des mesures d’urgence sont attendues par les professionnels.
Cameroun : le gouvernement veut développer l’aquaculture
Linternationalmagazine.com, publié le 25/09/2008
Le gouvernement camerounais a lancé mercredi un projet de
développement de l’aquaculture dont le financement est estimé à 171
millions de francs CFA.
Le ministère camerounais de l’Elevage, des pêches et des industries
animales, Aboubakary Sarki, a indiqué qu’une partie du financement
serait assurée par l’Organisation des Nations unies pour
l’alimentation et l’agriculture (FAO) à hauteur de 155 millions de
francs CFA tandis que le reste proviendrait de l’Etat camerounais.
Le projet a pour objectif de « promouvoir une aquaculture durable qui
passe par la formation des pisciculteurs ».
« L’aquaculture est aujourd’hui la seule alternative au Cameroun, car
les côtes n’ont plus suffisamment de poissons », a affirmé le
coordinateur national du projet, Fotso Kamga.
Le Cameroun produit chaque année 5 000 tonnes de poisson, ce qui
représente 2 % des besoins nationaux, indiquent les statistiques
officielles.
Bonsoir à tous,
Nos collègues ivoiriens pourraient-ils nous en dire plus sur la
composante aquacole de cet agropole ?
Merci
Agriculture durable : Le district de Yamoussoukro s’offre un agropole
<http://presse.ivorian.net/?p=71>
Fratmat-26/7/2008
A l’instar d’Aquitaine et Champagne en France et de Laval au Canada,
le district de Yamoussoukro a créé son agropole autour du cacao
biologique de Toumbokro.
A l’unanimité des conseillers présents à la deuxième session du
conseil qui s’est tenue samedi dernier à la Fondation Félix Houphouet-
Boigny, le district de Yamoussoukro a décidé de créer un Agropole. De
façon concrète, il s’agit d’une entité autonome qui aura la lourde
responsabilité d’anticiper sur le futur, en se donnant les moyens de
produire le maximum de vivres. Pour assurer la sécurité alimentaire
des populations du district, ainsi que celle des nombreux
travailleurs que le transfert imminent de la capitale, va y drainer.
Comme l’a expliqué son concepteur, M. Yao André, directeur de
l’agriculture et du développement rural au district de Yamoussoukro,
l’Agropole qui vient donc d’être créée, est un pôle d’excellence qui
fera de la production agricole dans toute sa diversité, depuis le
riz, les cultures maraîchère, cacaoyère et caféière. En ce qui
concerne l’aspect production animale, il s’agira d’élevage de vaches
laitières, d’aviculture, d'AQUACULTURE. C’est donc un centre qui
regroupera différents intervenants du monde agricole et pastoral. En
tant que tel, il favorisera le rapprochement permanent entre ces
intervenants, qu’ils soient paysans, industriels, acheteurs,
enseignants, chercheurs, …. De façon à donner lieu à des échanges qui
serviront de catalyseur au développement de ce secteur primordial de
l’économie. Les infrastructures et les services que l’Agropole
offrira, permettront ainsi d’attirer des partenaires nationaux et
internationaux, préoccupés par un développement agricole et rural
durable, gravitant autour de l’agriculture biologique. Pour la
réalisation de son projet, le district de Yamoussoukro dispose de
deux sites précieux. La plantation Guiglo située au coeur de la
ville. Il s’agit essentiellement d’un centre récréo-touristique à
vocation environnementale d’une superficie de 100 hectares abritant
un verger de café et de cacao, qui hébergera les services
administratifs de l’Agropole.
Le second site est celui de l’ex-plantation d’Etat située à 25 km de
Yamoussoukro, à Toumbokro. Il renferme 2000 hectares de terres
propres aux collectivités du secteur agricole.
Produire suffisamment de vivres pour la sécurité alimentaire
Au chapitre de la sécurité alimentaire, cette nouvelle structure et
ses futurs partenaires entendent valoriser le riche patrimoine
agricole, fait de bas-fonds rizicoles aménagés qui s’étalent sur plus
de 6000 hectares, dont le Yabra et ses 1500 hectares. Qui seront tous
mis en valeur pour la production de riz à haut rendement, à raison de
deux productions dans l’année, pour couvrir les besoins alimentaires
du district. Pour le patron de l’agriculture au district de
Yamoussoukro, l’objectif visé ici par cette nouvelle entité est de
parvenir à produire plus de 100.000 tonnes de riz par an, en
multipliant les rotations saisonnières, sur ces espaces déjà aménagés
par le président Félix Houphouet-Boigny, dans les années 1980, afin
d’intéresser les jeunes au travail de la terre, dans la région des Lacs.
Quant aux autres spéculations, un programme a déjà démarré depuis
deux ans, avec la formation de jeunes déscolarisés qui le
souhaiteraient. Un fonds de 50 millions de FCFA a même été mis
récemment à leur disposition afin que ceux-ci puissent embrasser des
activités diverses dans le domaine agricole. Notamment dans le
maraîcher, pour la culture du maïs, du manioc, etc. Tandis que les
groupements de femmes commerçantes de vivriers commencent à être
financés. Ce programme est appelé avec l’Agropole, à prendre de
l’envol avec l’arrivée de nouveaux partenaires techniquement et
financièrement plus nantis, pour une production à grande échelle,
permettant aux jeunes de vivre convenablement du fruit de leurs efforts.
Mais bien au delà de la sécurité alimentaire, Agropole Yamoussoukro a
la lourde mission de créer les conditions d’un développement agricole
durable au niveau du district, voire à l’échelle nationale.
Vers la transformation des produits agricoles du district
Prenant appui sur la plantation d’Etat de Toumbokro qui lui a été
rétrocédée par l’Etat de Côte d’Ivoire, dans le cadre du transfert
des compétences aux collectivités, Agropole Yamoussoukro devra
produire, transformer, commercialiser, faire de la recherche agricole
et surtout stimuler l’écotourisme à Yamoussoukro.
Sous cet angle, le district a fait des efforts remarquables depuis la
cession des plantations, en se donnant les moyens de restaurer le
verger au bord de l’agonie et de réunir les conditions en vue de
produire du cacao biologique. Ce qui permet à la Côte d’Ivoire d’en
être le 3e pays producteur du monde. Aujourd’hui, ce cacao est
transformé en Italie, en chocolat biologique appelé “Le Boigny d’or”
qui est un produit très prisé sur le marché international. Quant au
café, il sera transformé sur place, en café moulu. Il s’agit selon
Yao André, de débuter l’industrialisation agricole de la Côte
d’Ivoire, en faisant en sorte qu’une bonne partie de la production
soit transformée sur place. Car durant des décennies, la Côte
d’Ivoire s’est contentée d’être exportatrice de fèves. Ce qui ne lui
a jamais permis d’imposer son propre prix sur le marché
international, afin de tirer véritablement profit de son rang de
premier producteur mondial de cacao, à l’instar du diktat des pays
pétroliers auquel toute la planète est assujettie depuis des mois.
“L’agriculture est fondamentale pour notre pays et donc nous avons
des matières premières qu’il faut pouvoir transformer. Et ce n’est
pas sorcier de le faire”, a-t-il ajouté. A défaut, indique-t-il, la
Côte d’Ivoire doit pouvoir importer des produits semi-finis,
notamment de la poudre de cacao et de café.
Pour soutenir la production et la transformation, Agropole
Yamoussoukro a un volet recherche. A cet effet, un laboratoire
faisant appel aux compétences des chercheurs des grandes écoles de
Yamoussoukro et de tout le pays, va ouvrir. Avec en perspective, la
création d’une université agricole pour la sous-région. “On est bien
avancé avec d’autres universités internationales qui attendent à nos
portes. C’est vrai qu’il faut le partenariat avec les pays
développés, mais il faut d’abord et avant tout, exploiter les
compétences ivoiriennes et africaines. Donc toutes les structures
scolaires qui sont à Yamoussoukro sont un grand avantage pour nous”,
a révélé le patron de l’agriculture du district. Avant d’insister
pour dire qu’il s’agit d’une agriculture basée sur une production
purement biologique, prenant en compte le volet environnemental et la
préservation de la nature sur les sites de l’Agropole, pour un
développement durable.
Un hôtel des planteurs en pleine forêt de café et de cacao à Guiglo
L’un des aspects qui préoccupe l’Agropole est l’écotourisme à
Yamoussoukro. A ce niveau, il est question de construire sur le site
de la plantation Guiglo, un prestigieux hôtel sous les cacaoyers et
les caféiers. Qui jouxtera un petit zoo de 6 hectares, afin que les
visiteurs qui s’offriront le plaisir de se promener dans cette forêt,
se sentent en pays essentiellement agricole. De même, toutes les
grandes rencontres sur le café et le cacao pourront se tenir en ces
lieux.
En ce qui concerne la commercialisation, Yao André estime que l’Uemoa
et la Cedeao sont de vastes marchés porteurs, qu’il faut exploiter
pour le développement de la coopération Sud-Sud. Plutôt que de viser
toujours les marchés internationaux trop compliqués et sans pitié.
“Le produit premier de la Côte d’Ivoire, c’est le cacao. Il faut
sensibiliser les gens et les amener à le consommer en leur expliquant
ses vertus. Il faut créer le besoin. Il y a quelques années, aucun
Africain ne connaissait le cellulaire. Aujourd’hui, personne ne peut
s’en passer. C’est cela qu’il faut faire. Et c’est en apprenant ainsi
à commercer entre nous, que nos producteurs pourront vivre décemment
de leur travail. Il faut donc apprendre à transformer et à consommer
nos produits entre nous, avant de viser les autres pays trop
compliqués et exigeants”, a -t-il insisté.
Un ouvrage à consulter sur internet
> Pisciculture en eau douce: le tilapia, Maisonneuve et Larose, 1993
> Pisciculture en eau douce: le tilapia, Maisonneuve et Larose, 1993.
> View the document, (introduction). View the document, Introduction.
> View the document ...
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Pour info, transmis par un collègue, sur un sujet qui nous préoccupe.
Traduction synthétique (le message original en anglais est présenté en fin
de message)
From: Nadia Ehlinger <nehlinger(a)itg.be>
Date: 2008/11/3
Sujet: Atelier IFAD sur "Communautés de pratique pour le développement de
l'élevage, des pêches et de l'aquaculture en faveur des pauvres"
Bonjour,
L'IFAD est heureux de vous inviter à un atelier sur les "Communautés de
pratique pour le développement de l'élevage, des pêches et de l'aquaculture
en faveur des pauvres" qui se tiendra à Rome, au siège de l'IFAD du 12 au 13
Janvier 2009.
Il est organisé dans le cadre de l'initiative "Approche innovante de gestion
de la connaissance à destination des services d'assistance technique". Le
but est de construire des communautés de pratiques qui permettent
d'améliorer le développement et les programmes de lutte contre la pauvreté,
grâce à la création, au partage et à l'utilisation de la connaissance.
L'atelier débutera le lundi 12 janvier à 9h00 et se terminera le mardi 13
janvier 2009. Un forum de discussion en ligne sera lancé pour les
participants qui ne seront pas en mesure de se rendre à Rome. Il comportera
les présentations en temps réel, les documents de travail et les
transcriptions; les conférences seront diffusées en direct sur le web.
Un modérateur sera chargé de poser les questions posées par les intervenants
à distance.
Pour plus d'information, rendez-vous sur http://www.ifad.org/lrkm/index.htm
ou sur le blog http://ifadlivestock.blogspot.com/
Cliquez sur
http://www.surveymonkey.com/s.aspx?sm=zHX52ofjPsD75Fnufd0mFQ_3d_3d
pour vous enregistrer avant le 20 novembre 2008.
N'hésitez pas à contacter Mme. Silvia Sperandini s.sperandini(a)ifad.org
pour plus de renseignement
---------- Forwarded message ----------
From: Nadia Ehlinger < <mailto:nehlinger@itg.be> nehlinger(a)itg.be>
Date: 2008/11/3
Subject: IFAD Workshop on "Communities of Practice for Pro-poor Livestock
and Fisheries/Aquaculture Development" (first call)
To:
Hello,
IFAD is pleased to invite you to a workshop on "Communities of Practice for
Pro-poor Livestock and Fisheries/Aquaculture Development" which will be held
in Rome, IFAD HQ on 12-13 January 2009.
This activity is organized within the framework of the IFAD "Innovative
Knowledge Management Approach for Technical Advisory Services" initiative.
This IFAD effort aims at building Communities of Practice which, by
facilitating the creation, sharing and use of knowledge will improve the
effectiveness of rural development and poverty reduction programs.
Kindly find attached the Final Report of the Need Assessment that was
launched in July 2008 and intended to identify common problems, areas of
work, strategies, opportunities and priorities for pro-poor livestock
development.
The Workshop will provide an opportunity to consolidate and operationalise
what anticipated by the Survey and in particular to:
- Identify common priorities, strategies and areas for action among CoP
stakeholders;
- Share participant' views and experiences on livestock and
fisheries/aquaculture related issues;
- Provide a common ground for building new partnerships and establishing new
strategic working relationships among development partners to promote
livestock as a tool for poverty reduction.
The initiative is led by Antonio Rota, Senior Technical Adviser on Livestock
and Farming Systems, Technical Advisory Division, with the support of the
Productive Assets and Technology (PAT) Cluster and in collaboration with the
IFAD Thematic Group on Community-Based Natural Resource Management.
The workshop will begin on Monday, January 12 at 9:00am (registration at
8:30) and end on Tuesday, January 13, 2009.
An online discussion forum will be open to participants which are unable to
attend the conference in Rome. It will host real time presentations, working
papers and transcripts; while the conference sessions will be covered
through live web casting. Registered web casts of the single sessions will
be made available at the online discussion forum.
A moderator will regularly capture online comments and questions which will
be brought to the attention of the conference participants in Rome.
Additional information will be available shortly at the web site
<http://www.ifad.org/lrkm/index.htm> http://www.ifad.org/lrkm/index.htm <
<http://www.ifad.org/lrkm/index.htm> http://www.ifad.org/lrkm/index.htm>
and at the Blog <http://ifadlivestock.blogspot.com/>
http://ifadlivestock.blogspot.com/ < <http://ifadlivestock.blogspot.com/>
http://ifadlivestock.blogspot.com/> .
Please click here <
<http://www.surveymonkey.com/s.aspx?sm=zHX52ofjPsD75Fnufd0mFQ_3d_3d>
http://www.surveymonkey.com/s.aspx?sm=zHX52ofjPsD75Fnufd0mFQ_3d_3d> to fill
the online registration form (deadline: 20 November 2008). A tentative
agenda is attached.
Please don't hesitate to contact Ms. Silvia Sperandini for any further
information at <mailto:s.sperandini@ifad.org> s.sperandini(a)ifad.org.
Kind regards
Nadia Ehlinger
Institute of Tropical Medicine Antwerp
Departmen <<image001.gif>> t of Animal Health
Be-Troplive Secretariat
Nationalestraat 155
2000 Antwerp
BELGIUM
E-mail: <mailto:nehlinger@itg.be> nehlinger(a)itg.be
<http://www.itg.be> www.itg.be
tel.: 0032/ <http://3.247.63.52> 3.247.63.52
fax.: 0032/ <http://3.247.62.68> 3.247.62.68
VAT: 0410.057.701
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Vincent PORPHYRE
CIRAD - UPR 18 Systèmes d'élevage & Produits Animaux
Tel. +262.2.62.49.92.55 (off)
Fax. +262.2.62.49.92.95
Secr. +262.2.62.49.92.02
Mail. vincent.porphyre(a)cirad.fr
Website. http://pigtrop.cirad.fr
CIRAD - Station Ligne-Paradis
7 chemin de l'IRAT, F-97410 Saint Pierre
Réunion - FRANCE (DOM)
Website UPR. http://www.cirad.fr/ur/systemes_elevage
Perso page. http://agents.cirad.fr/index.php/Vincent+PORPHYRE
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Nom: Workshop on Communities of Pratice - FINAL Agenda.pdf
Type: application/pdf
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Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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Nom: Report on Findings - Final Draft 2-October.pdf
Type: application/pdf
Taille: 639132 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous,
Même si le thème de la liste concerne l'aquaculture, pourriez-vous me
dire si, de temps en temps, vous souhaitez recevoir de type
d'information qui concerne la pêche mais me semble soulever des
débats intéressants pour l'aquaculture ?
Merci de me répondre de préférence par email privé à sarnissa(a)gmail.com
Bien amicalement
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Anyes Estay" <Anyes.Estay(a)msc.org>
> Date : 3 novembre 2008 16:58:16 HNEC
> À : "Anyes Estay" <Anyes.Estay(a)msc.org>
> Objet : L'écolabel MSC renforce sa présence en France
>
> L'écolabel MSC renforce sa présence en France
> Le MSC prévoit d'ouvrir un bureau à Paris à l'automne prochain,
> pour répondre à la forte demande de produits de la mer durables en
> provenance de pêcheries certifiées MSC.
> Le Marine Stewardship Council (MSC) [1] a élargi son équipe
> française en vue d'ouvrir un bureau à Paris à l'automne 2009.
> 2,191,000 tonnes de produits de la mer [2] sont vendus chaque année
> en France. Les attentes des consommateurs français, sensibilisés
> aux problèmes de la surpêche, ont evolué et renforcé l'attrait pour
> les produits de la mer durables.
>
> Travaillant en étroite collaboration avec l'ensemble des parties
> prenantes de la filière pêche, le MSC utilise son programme d'éco-
> étiquetage et de certification pour mettre en avant les pêcheries
> durables et bien gérées auprès des consommateurs. En choisissant
> les produits labellisés MSC, les consommateurs encouragent la
> gestion responsable de nos ressources halieutiques et contribuent à
> une meilleure santé de nos océans.
>
> La certification MSC est accordée par des organismes de
> certification indépendants qui évaluent les pêcheries et les
> entreprises de transformation au regard des référentiels du MSC
> pour la pêche durable et la traçabilité des produits de la mer. Ce
> mécanisme de contrôle par des tiers garantit la crédibilité et la
> rigueur du programme du MSC. C'est l'unique écolabel
> internationalement reconnu pour la pêche sauvage qui réponde aux
> Directives de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation
> et l'agriculture (FAO) [3] ainsi qu'au Code de bonne pratique pour
> la définition de normes à but social ou environnemental de
> l’Alliance ISEAL (Alliance Internationale d’Accréditation et
> d’Etiquetage Social et Environnemental) [4].
>
> Hubert Carré, directeur du Comité National des Pêches Maritimes et
> des Elevages Marins (CNPMEM) encourage les pêcheries françaises à
> réfléchir à la possibilité d’une écolabellisation, qu’elle soit
> d’initiative publique ou privée. Daniel Lefèvre, Président du
> Comité Régional des Pêches Maritimes de Basse-Normandie a déclaré:
> « Le MSC est pour nous un excellent moyen de faire reconnaitre la
> gestion durable de nos pêcheries et surtout de le faire savoir aux
> consommateurs. C’est également un outil efficace pour fédérer les
> pêcheurs et les autres acteurs de la filière autour d’un projet
> commun, afin d’assurer la pérennité à long terme de notre activité,
> que ce soit sur un plan économique, social ou environnemental».
>
> Cinquante-sept produits de la mer labellisés MSC sont actuellement
> distribués en France. Ainsi, de plus en plus de distributeurs
> français comme Casino et Carrefour optent pour les produits MSC. Le
> distributeur stéphanois Casino a commencé à proposer des produits
> MSC à sa marque en octobre 2007 et vend désormais dix-huit produits
> éco-labellisés MSC toutes marques confondues. Carrefour de son coté
> offre un choix de 11 produits éco-labellisés MSC.
>
> Matthieu Lambeaux, directeur général de Findus France, a déclaré :
> "Les consommateurs sont inquiets par rapport aux problèmes de la
> surpêche. Beaucoup d'entre eux ne savent pas comment agir. Chez
> Findus, nous voulons les aider à faire le meilleur choix
> environnemental. C'est pourquoi nous soutenons l’éco-label MSC
> depuis le début et en faisons la promotion auprès de nos clients
> et consommateurs. Nous sommes engagés à élargir notre gamme de
> produits MSC en 2009. Je suis totalement convaincu que d’ici à 12
> mois, non seulement nous aurons une reconnaissance grandissante du
> label MSC par les consommateurs mais aussi de plus en plus
> d’entreprises proposant des produits MSC".
>
> De même, après un lancement couronné de succès à l’export,
> Chancerelle, numéro 3 de la conserve de poissons en France,
> s’apprête à lancer, sous sa marque Connétable, la première gamme de
> conserves de poissons éco-labellisés MSC en France.
>
> Edouard Le Bart et Agnès Estay vont concentrer leurs activités sur
> le marché français. Nicolas Guichoux, directeur du MSC pour
> l'Europe a déclaré: "Je suis ravi d'accueillir Edouard et Agnès au
> sein de l'équipe. Le développement du MSC a démarré en Europe du
> Nord et dans les pays germanophones. Aujourd'hui, la France devient
> une priorité pour le MSC. Notre équipe élargie va nous permettre de
> mieux répondre à l'intérêt croissant de l'ensemble des acteurs de
> la pêche, transformation et distribution dans notre programme mais
> aussi de développer la notoriété de notre logo auprès des
> consommateurs français".
>
> Les coordonnées de l'équipe française du MSC sont ci-dessous:
> Marine Stewardship Council
> 3rd floor, Mountbarrow House
> 6-20 Elizabeth Street
> London SW1W 9RB
> Royaume Uni
>
> Edouard Le Bart
> Responsable Commercial France
> edouard.lebart(a)msc.org
> +44 20 7811 3332
>
> Agnès Estay
> Chargée de communication
> anyes.estay(a)msc.org
> +44 20 7811 3314
>
> FIN
> Notes aux Editeurs
> [1] Le Marine Stewardship Council (MSC) est une organisation
> mondiale à but non lucratif créée en 1997 pour trouver une solution
> au problème de la surpêche. Le MSC gère le seul programme reconnu
> universellement d’éco-label et de certification environnementale
> pour la pêche sauvage. En matière de certification des pêcheries,
> le MSC est le seul éco-label qui répond aux exigences du Code de
> bonne conduite pour la mise en place de référentiels sociaux et
> environnementaux d’ISEAL (l’Alliance Internationale
> d’Accréditation et d’Etiquetage Social et Environnemental) et le
> seul à être en accord avec les directives pour l’étiquetage
> écologique de la FAO, l'organisation des Nations Unies pour
> l'alimentation et l'agriculture.
>
> Les directives de la FAO quant à l’Etiquetage écologique du poisson
> et des produits des pêches de captures marines exigent :
> - une évaluation objective des pêcheries effectuée par un tiers
> basée sur des preuves scientifiques;
> - des processus transparents permettant la consultation des
> différents parties prenantes et de procédures d’opposition;
> - des normes qui reposent sur la durabilité des espèces ciblées,
> des écosystèmes et sur les pratiques de gestion.
>
> Les bureaux du MSC sont situés à Londres, Seattle, Tokyo, Sydney,
> La Haye, Édimbourg et Berlin. Au total, plus de 120 pêcheries sont
> inscrites auprès du MSC, dont 35 sont certifiées, 80 sont en cours
> d’évaluation et 20 à 30 autres sont en évaluation préliminaire
> confidentielle. Ces pêcheries enregistrent des prises annuelles de
> plus de 5 millions de tonnes de poissons et fruits de mer. De tous
> les poissons et fruits de mer destinés à l'alimentation humaine,
> elles représentent plus de 42 % des prises mondiales de saumon
> sauvage, 40 % des prises mondiales de poissons à chair blanche et
> 18 % des prises mondiales de homard. À l’échelle planétaire, plus
> de 1 700 produits de la mer affichent l’éco-label bleu du MSC grâce
> à la certification de ces pêches. Pour de plus amples
> renseignements, veuillez consulter le site www.msc.org.
> [2] Ce chiffre est extrait des "Chiffres Clés de la filière pêche
> et aquaculture en France –Edition 2008" de l'Ofimer.
>
> [3] Les Directives de la FAO peuvent être téléchargées à partir du
> lien suivant: ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/008/a0116t/a0116t00.pdf.
> [4] Le Code de Bonne Pratique de l'Alliance ISEAL est disponible en
> anglais à partir du lien suivant: www.isealalliance.org/code.
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Une conférence de Denis Lacroix, responsable des relations
internationales pour la Méditerranée de l'Ifremer, Jean-Claude Guary,
directeur de l'Institut national des sciences et techniques de la mer
(Intechmer) et Jacques Foos, professeur titulaire de la chaire
d'Isotopes et applications.
Mini lien: <http://minilien.com/?VpfVA3atUl>
Lien direct: <http://medias.cnam.fr/jsp/fiche_actualite.jsp?
STNAV=&RUBNAV=&CODE=1180345825880&LANGUE=0&RH=med_cnam>
Sur terre, il y a bien longtemps que l'homme est passé de la chasse à
l'élevage et de la cueillette à la culture mais sur mer,... cette
révolution se passe sous nos yeux! La pêche était à l'origine de la
quasi totalité des produits aquatiques consommés par l'homme il y a
un siècle. Aujourd'hui, elle ne représente plus que 60% de cet apport
et sa part va diminuant en raison de la surexploitation des deux
tiers des espèces pêchées et d'autre part, du développement de
l'aquaculture.
Un article de Guy Delincé, sous titré "Le débat continue: Quel type
d’aquaculture convient
le mieux à l’Afrique sub-saharienne ?" qui exprime très clairement
les termes du débat
<http://icsf.net/icsf2006/uploads/publications/samudra/pdf/french/
issue_16/art06.pdf>