Thanks James for this comment, I will translate and forward you any
French reply !
Hello Lionel,
Au Nigeria, nous avons une production annuelle de Clarias gariepinus
de 84000 tonnes qui a stimulé le développement de l'aquaculture ces
10 dernières années. Les gens apprécient particulièrement ce poisson
chat, et développent même maintenant des produits fumés à valeur
ajoutée afin de les exporter vers des marchés ethniques en Europe et
aux Etats-Unis. Nous avons réalisé un manuel de reproduction et
d'élevage du poisson-chat pendant que j'étais là bas.
Je suis d'accord qu'il y a de nombreuses espèces intéressantes pour
l'élevage en Afrique, mais nous avons choisi celles dont la biologie
est connue, à croissance rapide et conversion alimentaire élevée...
et pour lesquelles existe un gros marché. Il faut se rappeler que
nous n'avons pas toujours les espèces que nous voudrions. La
meilleure espèce pour l'élevage est celle qui grossit rapidement sur
aliment et atteint une taille commercialisable avant maturité sexuelle.
Bien cordialement
Jim
Début du message réexpédié :
> De : "James Miller" <jimfishafrica(a)gmail.com>
> Date : 5 novembre 2008 10:49:47 HNEC
> À : "Lionel Dabbadie" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Objet : Rép : [Sarnissa-african-aquaculture] [FRxEN Cross-post]
> Pourquoi le niloticus? Why niloticus?
>
> Hello Lionel,
>
> In Nigeria we have a 84,000 ton annual production of Clarias
> garipinus that has driven the aquaculture industry for the past 10
> years there. They have a particular appreciation for this catfish
> and they are now smoking it as a value added product and exporting
> it to ethnique markets in Europe and the US. We completed a
> Manual on Catfish Hatchery and Production while I was there.
>
> I agree there are many good species in Africa for culture, but we
> have gone with those whose biology is known and has a fast rate of
> growth with efficient feed conversions....... and for which there
> is a big market. Remember we don't always have what we want in
> species.....The best species for culture is one that grows fast on
> feeds and reaches a marketable size before attaining sexual maturity.
>
> With best regards,
>
> Jim
>
>
> --
> Jim Miller
> 707 Timberwyck Drive
> Hixson, Tennessee
> USA 37343
> Tel. +1-423-875-4962; 423-598-8350
> E-mail: jimfish(a)bledsoe.net
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Bonjour à tous et à toutes.
Je commencerai par exprimer ma fierté vis a vis des contributions de taille et informations sur l'aquaculture en Afrique. En vous lisant je demeure convaincu que quelque chose est faite et continue d'être faite en Aquaculture. Mais le chemin est long et nous tous Africains devrons penser et gérer autrement ce secteur. Connaissons nous vraiment ce que ce domaine peut avoir comme impact positif en vers nos populations? Pourquoi depuis que l'aquaculture existe en Afrique nous ne parvenons pas à occuper une place considérable dans le classement mondial? Pourtant on n'a pas besoin de puits de 400m de profondeur pour avoir l'eau. Nous avons les especes les plus exploitées dans le monde, nous avons de jeunes diplomés dans ce domaine, les pêcheries sont presque toutes surexploitées, l'agriculture connait des difficultés, le chomage ne cesse de prendre de l'ampleur car pas mal de pêcheurs se rconvertissnet vers d'autres activités qu'attendons
pour faire emeger l'aquaculture qui pourtant est une solution à beaucoup de problemes.
La chine est leader grace à l'appui de son gouvernement en matiere de fomation, de vulgaristion et d'assistance, l'union europeenne appui les fermiers europeens et nos gouvernements ignorent ils l'ampleur économique de ce secteur? je remercie vivement les personnes qui ont pensé mettre en ligne ce site; bravo à vous.
Cependant il me semble qu'il serait meilleur d'aborder les dicussions par theme comme l'a suggerer un des intervenants.
Le Sénégal s'est longtemps interessé à l'aquculture à l'instar de beaucoup d'Afrique mais les résultats ont été trés modestes. Vu l'existance des potentialités enormes et sachant que ce secteur est devenu incournable pour compenser le déficit de production que la pêche connait de nos jours, le Gouvenement s'interresse d'avantage à cette activité. C'est dans ce cadre que l'APA (agence pour la Promotion de l'Aquaculture est nait depuis 2 ans). le Sénégal s'est fixé comme objectif de produire 100 000t onnes de poissons par an et ce programme est entrain d'etre executé meme s'il ya un peu de retard. Il existe d'autres programmes dans ce sens pour faire développer l'aquaculture au Sénégal. l'on peut citer le PIC financer par l'université de Liege en collaboration avec l'université de Dakar, lequel projet se fixe comme objectif principal de valoriser le potentiel écologique et hydroagricole de la vallée du fleuve sénégal avec
l'aquaculture intensive d'Oreochromis niloticus.
Toutefois les privés doivent aussi s'intéresser d'avantage à ce secteur et pour cela beaucoup d'efforts doivent être faits dans l'information et la formation.
bien à vous
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Bonsoir,
Des participants de la liste ont-il participé à cet atelier riz et
aquaculture ?
Merci
Lionel
Sécurité alimentaire en Afrique - Accroître la productivité du riz
Article publié sur le web le 21/10/08
<http://www.congo-siteportail.info/Securite-alimentaire-en-Afrique-
Accroitre-la-productivite-du-riz_a1853.html>
L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture
(FAO) organise à Ouagadougou du 20 au 24 octobre 2008, un atelier
régional sur le riz et l'aquaculture. Le riz est une source
d'alimentation dont la demande est croissante en Afrique. Raison pour
laquelle, des spécialistes préconisent que la sécurité alimentaire
des populations dans le domaine dépendra aussi de l'accroissement
durable de la production rizicole locale.
Dans cette optique, l'Organisation des Nations unies pour
l'alimentation et l'agriculture (FAO) organise un atelier régional,
du 20 au 25 octobre 2OO8 à Ouagadougou. La rencontre vise trois
objectifs essentiels. Il s'agit d'abord, d'examiner la situation et
les contraintes qui caractérisent le développement de la riziculture
et de l'aquaculture. Ensuite, partager les technologies et programmes-
clés ainsi que les résultats obtenus dans le cadre de la coopération
avec le Japon.
Enfin, les participants vont aider à l'identification des domaines
techniques spécifiques qui devront être traités par les ateliers
nationaux ou sous-régionaux après 2009. Il ressort que sur le plan du
potentiel de production, plus de six cent millions d'hectares de
superficie totale de terres arables sont disponibles en Afrique.
Les zones réservées à la riziculture représentent approximativement
1,6% de ce total. Le potentiel de développement de la riziculture en
Afrique est donc considérable. Mais, c'est un domaine qui se heurte
aux obstacles comme les politiques publiques défavorables à
l'agriculture et à la riziculture, en particulier. Il y a
l'approvisionnement en intrants agricoles et les crédits insuffisants
et irréguliers.
De l'avis du représentant de la FAO au Burkina Faso, François Rasolo,
l'atelier de Ouagadougou a une importance capitale. En effet, selon
M. Rasolo, outre l'augmentation de la productivité rizicole en
cultures irriguées et de bas-fond, seront aussi abordés les sujets
tels que l'intégration de l'irrigation et l'aquaculture, l'accès au
marché.
"Cela constitue une opportunité pour partager les programmes et
technologies-clés d'Asie et d'autres pays en développement avancés et
pour discuter des informations pertinentes avec les participants
d'Afrique de l'Ouest", a-t-il souligné.
Pour sa part, le ministre délégué en charge de l'Enseignement
technique, Maxime Somé, représentant son homologue en charge de
l'Agriculture, la flambée des prix des produits alimentaires a
surtout touché le riz.
Toute chose qui selon lui, a rendu compétitif le riz de production
locale. C'est pourquoi, le gouvernement à entendre le ministre, a
pris des mesures importantes dont le but essentiel "est d'arriver à
doubler la production de riz en passant de 152 000 tonnes à 260 000
tonnes de riz paddy au terme de la campagne agricole en cours".
Concernant l'aquaculture introduite au Burkina Faso en 1956, Maxime
Somé a précisé que son développement a été très lent si bien que le
pays ne produit qu'environ 10 000 tonnes, soit le tiers de la
consommation.
Au cours des échanges, le Burkina Faso pourra donc bénéficier des
expériences des autres Etats pour accroître sa production dans les
deux domaines.
Le secteur crevettier génère 100 millions d’euros par an
mercredi 29 octobre 2008, par Léa Ratsiazo
<http://www.madagascar-tribune.com/Le-secteur-crevettier-
genere-100,9667.html>
Le secteur crevettier constitue l’un des points forts du secteur
halieutique malgache. Il génère en moyenne 100 millions d’euros par
an, emploie environ 9 000 personnes à temps plein (pêche artisanale,
pêche et aquaculture industrielle), fait vivre plus de 30 000
familles de pêcheurs traditionnels et représente environ 40 000
emplois indirects, selon les données de la mission économique de
l’Ambassade de France à Madagascar. Selon l’INSTAT, les exportations
malgaches de produits de la mer ont atteint une valeur d’exportation
de 141,8 millions d’euros pour un volume total de 33 000T en 2006. Le
premier poste d’exportation, en termes de valeur, concerne les
crevettes fraîches, préparées ou congelées (67% des exportations),
suivi des conserves de thon (25%).
Le secteur est un outil de développement économique et social
important dans les zones très enclavées.
Filière surexploitée et en crise
Aussi bien l’activité de pêche que celle de l’aquaculture sont
menacées depuis ces 3 dernières années. Les zones de pêche
crevettière, à différente intensité, sont toutes touchées par la
diminution des ressources causée par les mauvaises pratiques de la
pêche traditionnelle : usage d’engins de pêche prohibés (filets
moustiquaires) et non respect du repos. Une forte érosion du prix de
vente sur les marchés internationaux en raison de l’abondance de
crevettes d’origine asiatique et latino-américaine accentue les
difficultés de la filière. En outre, les redevances sur les licences
de pêche restent relativement stables. La Direction de la Pêche et
des Ressources Halieutiques, appuyée par des organismes de
développement, promeut la pisciculture en cage et le développement
d’écloserie. L’aquaculture crevettière s’est développée depuis 1992
dans les tannes sèches des mangroves de l’Ouest et du Nord de
Madagascar (Morondava, Majunga, Soalala, Ankarana). Il existe
actuellement 7 fermes aquacoles industrielles. Parmi les espèces de
crevettes pêchées dans les eaux malgaches, deux offrent des
performances intéressantes en aquaculture, à savoir, le « Penaeus
monodon » (black tiger) et le « Penaeus indicus » (crevette blanche).
La filière est globalement déficitaire depuis 2005 en raison des
baisses de productivité, des problèmes pathologiques, d’une
augmentation des charges liée à l’augmentation du prix du carburant
(qui représente près de 22% des charges) et celui des matières
premières alimentaires (40% des charges) et enfin de la concurrence
sur le marché mondial des crevettes white d’élevage bas de gamme des
pays asiatiques qui affecte la production malgache haut de gamme et
respectant des critères de responsabilité sociale et environnementale.
Réduction d’efforts de pêche
Les professionnels et le gouvernement, aidés des bailleurs de fonds
(notamment l’Agence Française de Développement et le Fonds Français
pour l’Environnement Mondial), ont commencé à entreprendre des
efforts de gestion concertée du secteur : surveillance des pêches
pour le respect de la période de fermeture, réduction des navires de
pêche, détaxation du gas-oil pour les fermes aquacoles et autre
respect des dispositifs d’exclusion des tortues marines afin de
redresser la filière de la pêche et d’aquaculture, déficitaire depuis
3 ans. Les efforts doivent êtres poursuivis, notamment pour les
démarches d’éco-certification et la réduction de l’effort de pêche,
mais des mesures d’urgence sont attendues par les professionnels.
Cameroun : le gouvernement veut développer l’aquaculture
Linternationalmagazine.com, publié le 25/09/2008
Le gouvernement camerounais a lancé mercredi un projet de
développement de l’aquaculture dont le financement est estimé à 171
millions de francs CFA.
Le ministère camerounais de l’Elevage, des pêches et des industries
animales, Aboubakary Sarki, a indiqué qu’une partie du financement
serait assurée par l’Organisation des Nations unies pour
l’alimentation et l’agriculture (FAO) à hauteur de 155 millions de
francs CFA tandis que le reste proviendrait de l’Etat camerounais.
Le projet a pour objectif de « promouvoir une aquaculture durable qui
passe par la formation des pisciculteurs ».
« L’aquaculture est aujourd’hui la seule alternative au Cameroun, car
les côtes n’ont plus suffisamment de poissons », a affirmé le
coordinateur national du projet, Fotso Kamga.
Le Cameroun produit chaque année 5 000 tonnes de poisson, ce qui
représente 2 % des besoins nationaux, indiquent les statistiques
officielles.
Bonsoir à tous,
Nos collègues ivoiriens pourraient-ils nous en dire plus sur la
composante aquacole de cet agropole ?
Merci
Agriculture durable : Le district de Yamoussoukro s’offre un agropole
<http://presse.ivorian.net/?p=71>
Fratmat-26/7/2008
A l’instar d’Aquitaine et Champagne en France et de Laval au Canada,
le district de Yamoussoukro a créé son agropole autour du cacao
biologique de Toumbokro.
A l’unanimité des conseillers présents à la deuxième session du
conseil qui s’est tenue samedi dernier à la Fondation Félix Houphouet-
Boigny, le district de Yamoussoukro a décidé de créer un Agropole. De
façon concrète, il s’agit d’une entité autonome qui aura la lourde
responsabilité d’anticiper sur le futur, en se donnant les moyens de
produire le maximum de vivres. Pour assurer la sécurité alimentaire
des populations du district, ainsi que celle des nombreux
travailleurs que le transfert imminent de la capitale, va y drainer.
Comme l’a expliqué son concepteur, M. Yao André, directeur de
l’agriculture et du développement rural au district de Yamoussoukro,
l’Agropole qui vient donc d’être créée, est un pôle d’excellence qui
fera de la production agricole dans toute sa diversité, depuis le
riz, les cultures maraîchère, cacaoyère et caféière. En ce qui
concerne l’aspect production animale, il s’agira d’élevage de vaches
laitières, d’aviculture, d'AQUACULTURE. C’est donc un centre qui
regroupera différents intervenants du monde agricole et pastoral. En
tant que tel, il favorisera le rapprochement permanent entre ces
intervenants, qu’ils soient paysans, industriels, acheteurs,
enseignants, chercheurs, …. De façon à donner lieu à des échanges qui
serviront de catalyseur au développement de ce secteur primordial de
l’économie. Les infrastructures et les services que l’Agropole
offrira, permettront ainsi d’attirer des partenaires nationaux et
internationaux, préoccupés par un développement agricole et rural
durable, gravitant autour de l’agriculture biologique. Pour la
réalisation de son projet, le district de Yamoussoukro dispose de
deux sites précieux. La plantation Guiglo située au coeur de la
ville. Il s’agit essentiellement d’un centre récréo-touristique à
vocation environnementale d’une superficie de 100 hectares abritant
un verger de café et de cacao, qui hébergera les services
administratifs de l’Agropole.
Le second site est celui de l’ex-plantation d’Etat située à 25 km de
Yamoussoukro, à Toumbokro. Il renferme 2000 hectares de terres
propres aux collectivités du secteur agricole.
Produire suffisamment de vivres pour la sécurité alimentaire
Au chapitre de la sécurité alimentaire, cette nouvelle structure et
ses futurs partenaires entendent valoriser le riche patrimoine
agricole, fait de bas-fonds rizicoles aménagés qui s’étalent sur plus
de 6000 hectares, dont le Yabra et ses 1500 hectares. Qui seront tous
mis en valeur pour la production de riz à haut rendement, à raison de
deux productions dans l’année, pour couvrir les besoins alimentaires
du district. Pour le patron de l’agriculture au district de
Yamoussoukro, l’objectif visé ici par cette nouvelle entité est de
parvenir à produire plus de 100.000 tonnes de riz par an, en
multipliant les rotations saisonnières, sur ces espaces déjà aménagés
par le président Félix Houphouet-Boigny, dans les années 1980, afin
d’intéresser les jeunes au travail de la terre, dans la région des Lacs.
Quant aux autres spéculations, un programme a déjà démarré depuis
deux ans, avec la formation de jeunes déscolarisés qui le
souhaiteraient. Un fonds de 50 millions de FCFA a même été mis
récemment à leur disposition afin que ceux-ci puissent embrasser des
activités diverses dans le domaine agricole. Notamment dans le
maraîcher, pour la culture du maïs, du manioc, etc. Tandis que les
groupements de femmes commerçantes de vivriers commencent à être
financés. Ce programme est appelé avec l’Agropole, à prendre de
l’envol avec l’arrivée de nouveaux partenaires techniquement et
financièrement plus nantis, pour une production à grande échelle,
permettant aux jeunes de vivre convenablement du fruit de leurs efforts.
Mais bien au delà de la sécurité alimentaire, Agropole Yamoussoukro a
la lourde mission de créer les conditions d’un développement agricole
durable au niveau du district, voire à l’échelle nationale.
Vers la transformation des produits agricoles du district
Prenant appui sur la plantation d’Etat de Toumbokro qui lui a été
rétrocédée par l’Etat de Côte d’Ivoire, dans le cadre du transfert
des compétences aux collectivités, Agropole Yamoussoukro devra
produire, transformer, commercialiser, faire de la recherche agricole
et surtout stimuler l’écotourisme à Yamoussoukro.
Sous cet angle, le district a fait des efforts remarquables depuis la
cession des plantations, en se donnant les moyens de restaurer le
verger au bord de l’agonie et de réunir les conditions en vue de
produire du cacao biologique. Ce qui permet à la Côte d’Ivoire d’en
être le 3e pays producteur du monde. Aujourd’hui, ce cacao est
transformé en Italie, en chocolat biologique appelé “Le Boigny d’or”
qui est un produit très prisé sur le marché international. Quant au
café, il sera transformé sur place, en café moulu. Il s’agit selon
Yao André, de débuter l’industrialisation agricole de la Côte
d’Ivoire, en faisant en sorte qu’une bonne partie de la production
soit transformée sur place. Car durant des décennies, la Côte
d’Ivoire s’est contentée d’être exportatrice de fèves. Ce qui ne lui
a jamais permis d’imposer son propre prix sur le marché
international, afin de tirer véritablement profit de son rang de
premier producteur mondial de cacao, à l’instar du diktat des pays
pétroliers auquel toute la planète est assujettie depuis des mois.
“L’agriculture est fondamentale pour notre pays et donc nous avons
des matières premières qu’il faut pouvoir transformer. Et ce n’est
pas sorcier de le faire”, a-t-il ajouté. A défaut, indique-t-il, la
Côte d’Ivoire doit pouvoir importer des produits semi-finis,
notamment de la poudre de cacao et de café.
Pour soutenir la production et la transformation, Agropole
Yamoussoukro a un volet recherche. A cet effet, un laboratoire
faisant appel aux compétences des chercheurs des grandes écoles de
Yamoussoukro et de tout le pays, va ouvrir. Avec en perspective, la
création d’une université agricole pour la sous-région. “On est bien
avancé avec d’autres universités internationales qui attendent à nos
portes. C’est vrai qu’il faut le partenariat avec les pays
développés, mais il faut d’abord et avant tout, exploiter les
compétences ivoiriennes et africaines. Donc toutes les structures
scolaires qui sont à Yamoussoukro sont un grand avantage pour nous”,
a révélé le patron de l’agriculture du district. Avant d’insister
pour dire qu’il s’agit d’une agriculture basée sur une production
purement biologique, prenant en compte le volet environnemental et la
préservation de la nature sur les sites de l’Agropole, pour un
développement durable.
Un hôtel des planteurs en pleine forêt de café et de cacao à Guiglo
L’un des aspects qui préoccupe l’Agropole est l’écotourisme à
Yamoussoukro. A ce niveau, il est question de construire sur le site
de la plantation Guiglo, un prestigieux hôtel sous les cacaoyers et
les caféiers. Qui jouxtera un petit zoo de 6 hectares, afin que les
visiteurs qui s’offriront le plaisir de se promener dans cette forêt,
se sentent en pays essentiellement agricole. De même, toutes les
grandes rencontres sur le café et le cacao pourront se tenir en ces
lieux.
En ce qui concerne la commercialisation, Yao André estime que l’Uemoa
et la Cedeao sont de vastes marchés porteurs, qu’il faut exploiter
pour le développement de la coopération Sud-Sud. Plutôt que de viser
toujours les marchés internationaux trop compliqués et sans pitié.
“Le produit premier de la Côte d’Ivoire, c’est le cacao. Il faut
sensibiliser les gens et les amener à le consommer en leur expliquant
ses vertus. Il faut créer le besoin. Il y a quelques années, aucun
Africain ne connaissait le cellulaire. Aujourd’hui, personne ne peut
s’en passer. C’est cela qu’il faut faire. Et c’est en apprenant ainsi
à commercer entre nous, que nos producteurs pourront vivre décemment
de leur travail. Il faut donc apprendre à transformer et à consommer
nos produits entre nous, avant de viser les autres pays trop
compliqués et exigeants”, a -t-il insisté.
Un ouvrage à consulter sur internet
> Pisciculture en eau douce: le tilapia, Maisonneuve et Larose, 1993
> Pisciculture en eau douce: le tilapia, Maisonneuve et Larose, 1993.
> View the document, (introduction). View the document, Introduction.
> View the document ...
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Pour info, transmis par un collègue, sur un sujet qui nous préoccupe.
Traduction synthétique (le message original en anglais est présenté en fin
de message)
From: Nadia Ehlinger <nehlinger(a)itg.be>
Date: 2008/11/3
Sujet: Atelier IFAD sur "Communautés de pratique pour le développement de
l'élevage, des pêches et de l'aquaculture en faveur des pauvres"
Bonjour,
L'IFAD est heureux de vous inviter à un atelier sur les "Communautés de
pratique pour le développement de l'élevage, des pêches et de l'aquaculture
en faveur des pauvres" qui se tiendra à Rome, au siège de l'IFAD du 12 au 13
Janvier 2009.
Il est organisé dans le cadre de l'initiative "Approche innovante de gestion
de la connaissance à destination des services d'assistance technique". Le
but est de construire des communautés de pratiques qui permettent
d'améliorer le développement et les programmes de lutte contre la pauvreté,
grâce à la création, au partage et à l'utilisation de la connaissance.
L'atelier débutera le lundi 12 janvier à 9h00 et se terminera le mardi 13
janvier 2009. Un forum de discussion en ligne sera lancé pour les
participants qui ne seront pas en mesure de se rendre à Rome. Il comportera
les présentations en temps réel, les documents de travail et les
transcriptions; les conférences seront diffusées en direct sur le web.
Un modérateur sera chargé de poser les questions posées par les intervenants
à distance.
Pour plus d'information, rendez-vous sur http://www.ifad.org/lrkm/index.htm
ou sur le blog http://ifadlivestock.blogspot.com/
Cliquez sur
http://www.surveymonkey.com/s.aspx?sm=zHX52ofjPsD75Fnufd0mFQ_3d_3d
pour vous enregistrer avant le 20 novembre 2008.
N'hésitez pas à contacter Mme. Silvia Sperandini s.sperandini(a)ifad.org
pour plus de renseignement
---------- Forwarded message ----------
From: Nadia Ehlinger < <mailto:nehlinger@itg.be> nehlinger(a)itg.be>
Date: 2008/11/3
Subject: IFAD Workshop on "Communities of Practice for Pro-poor Livestock
and Fisheries/Aquaculture Development" (first call)
To:
Hello,
IFAD is pleased to invite you to a workshop on "Communities of Practice for
Pro-poor Livestock and Fisheries/Aquaculture Development" which will be held
in Rome, IFAD HQ on 12-13 January 2009.
This activity is organized within the framework of the IFAD "Innovative
Knowledge Management Approach for Technical Advisory Services" initiative.
This IFAD effort aims at building Communities of Practice which, by
facilitating the creation, sharing and use of knowledge will improve the
effectiveness of rural development and poverty reduction programs.
Kindly find attached the Final Report of the Need Assessment that was
launched in July 2008 and intended to identify common problems, areas of
work, strategies, opportunities and priorities for pro-poor livestock
development.
The Workshop will provide an opportunity to consolidate and operationalise
what anticipated by the Survey and in particular to:
- Identify common priorities, strategies and areas for action among CoP
stakeholders;
- Share participant' views and experiences on livestock and
fisheries/aquaculture related issues;
- Provide a common ground for building new partnerships and establishing new
strategic working relationships among development partners to promote
livestock as a tool for poverty reduction.
The initiative is led by Antonio Rota, Senior Technical Adviser on Livestock
and Farming Systems, Technical Advisory Division, with the support of the
Productive Assets and Technology (PAT) Cluster and in collaboration with the
IFAD Thematic Group on Community-Based Natural Resource Management.
The workshop will begin on Monday, January 12 at 9:00am (registration at
8:30) and end on Tuesday, January 13, 2009.
An online discussion forum will be open to participants which are unable to
attend the conference in Rome. It will host real time presentations, working
papers and transcripts; while the conference sessions will be covered
through live web casting. Registered web casts of the single sessions will
be made available at the online discussion forum.
A moderator will regularly capture online comments and questions which will
be brought to the attention of the conference participants in Rome.
Additional information will be available shortly at the web site
<http://www.ifad.org/lrkm/index.htm> http://www.ifad.org/lrkm/index.htm <
<http://www.ifad.org/lrkm/index.htm> http://www.ifad.org/lrkm/index.htm>
and at the Blog <http://ifadlivestock.blogspot.com/>
http://ifadlivestock.blogspot.com/ < <http://ifadlivestock.blogspot.com/>
http://ifadlivestock.blogspot.com/> .
Please click here <
<http://www.surveymonkey.com/s.aspx?sm=zHX52ofjPsD75Fnufd0mFQ_3d_3d>
http://www.surveymonkey.com/s.aspx?sm=zHX52ofjPsD75Fnufd0mFQ_3d_3d> to fill
the online registration form (deadline: 20 November 2008). A tentative
agenda is attached.
Please don't hesitate to contact Ms. Silvia Sperandini for any further
information at <mailto:s.sperandini@ifad.org> s.sperandini(a)ifad.org.
Kind regards
Nadia Ehlinger
Institute of Tropical Medicine Antwerp
Departmen <<image001.gif>> t of Animal Health
Be-Troplive Secretariat
Nationalestraat 155
2000 Antwerp
BELGIUM
E-mail: <mailto:nehlinger@itg.be> nehlinger(a)itg.be
<http://www.itg.be> www.itg.be
tel.: 0032/ <http://3.247.63.52> 3.247.63.52
fax.: 0032/ <http://3.247.62.68> 3.247.62.68
VAT: 0410.057.701
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Vincent PORPHYRE
CIRAD - UPR 18 Systèmes d'élevage & Produits Animaux
Tel. +262.2.62.49.92.55 (off)
Fax. +262.2.62.49.92.95
Secr. +262.2.62.49.92.02
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Nom: Report on Findings - Final Draft 2-October.pdf
Type: application/pdf
Taille: 639132 octets
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