Salut peter,
La region du Nord de l'Equateur n'avait pas benefie d'un programme sur la pisciculture. Mais il y a un potentiel reel comme vous le soulignez. Les alevins de bonne soiuche sont trouvbable a Kinshasa, il y a qlq fermes qui en disposent, même chez ERAIF par exemple. Il y a des livres sur comment elever le Tilapia edites par l'ancien projet pisciculture et j'en ai.
Simon Mutala
------Message d'origine------
De : Peter Corey
Expéditeur : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
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Objet : [Sarnissa] Support d'aquaculture en République Démocratique du Congo (RDC)
Envoyé: 13 fév, 2012 01:35
Salut membres de SARNISSA française:
En 2008, j'ai été en RDC pour une visite d'exploration pour l'aquaculture durable. Je vais retourner au Congo au mois d'Avril cet année pour le support d’aquaculture dans le mêmes région, Gemena, Province Équateur. Je veux donner certain fonds aux éleveurs qui existe déjà et les éleveurs potentiels pour se procurer les outils et les alevins. Je voudrais aussi offrir un peu d’instruction pour une meilleur pratique d’aquaculture. A mon avis le nord de la RDC est une région ou l'aquaculture peut faire une grande différence pour les familles rurales et peut aussi apporter un gagne-pain durable.
Je voudrais savoir s’il y avait les personne ou des organisations qui support actuellement l'aquaculture dans la région que j’ai déjà mentionner ci-dessus?
Merci beaucoup pour votre aide,
Peter Corey
Nova Scotia, Canada
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Envoyé par mon smartphone BlackBerry
Bien sur que nous sommes là en présence du coût social du progrès. C'est certainement ce à quoi nous devons nous attendre dans le cas du barrage du kandadji en construction au Niger. Partout où l'agriculture au sens strict se développe, elle se fait au détriment de l'élévage. le challenge est désormais pour nous de réaliser les conditions douces de réalisations des deux activités concurrentes. Mais l'agrobusiness peut et doit se développer en assurant la promotion des deux activités.
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L'agrobusiness ne fait pas bon ménage avec l'élevage
Nous vous proposons ici, un extrait d'une enquête publiée dans « L'Evènement » du 1er février 2012. Depuis le début des années 2000, les autorités burkinabè ont engagé une politique de promotion de l'agrobusiness. L'Etat encourage les salariés et tous ceux qui possèdent les moyens d'investir dans l'agriculture. L'agrobusiness est envisagé comme l'instrument de promotion d'une agriculture moderne, compétitive et intégrée au marché. Cependant, l'intrusion de ces nouveaux acteurs dans le monde rural n'est pas sans conséquences pour les acteurs traditionnels.
Gros enjeux autour du barrage de Lou
[Déplacement d'un troupeau de zébus]<http://www.abcburkina.net/images/stories/foto_2012/zebu_0226.jpg>[L'espace manque de plus en plus pour l'élevage traditionnel]<http://www.abcburkina.net/images/stories/foto_2012/zebus_2157.jpg>A Lou, village situé à moins de 7km de Sapouy, les problèmes fonciers se sont accrus avec la construction d'un grand barrage qui permet le développement du maraîchage. La compétition pour la terre y est très rude. Ceux qu'on appelle les " nouveaux acteurs ", les agrobusiness men, ont envahi les périmètres autour du barrage. Ce qui n'est pas sans conséquences pour les acteurs dits traditionnels, à savoir les éleveurs et les agriculteurs classiques. Ici, les menaces de déguerpissement des éleveurs sont mises à exécution. "
Depuis la construction du barrage en 2005, ils ne font que nous déguerpir d'un endroit à un autre. En 2009, ils nous ont fait quitter nos maisons pour vendre les terres aux agrobusiness men. Cette année encore, ils sont encore là. Ils sont venus montrer un coin à un monsieur en voiture. C'est à peu près à 50 m de ma maison. J'étais assis sous mon hangar et je les entendais parler. Ils étaient 4 avec un véhicule. C'est un type du nom de Pamoin qui les a amenés. ", soutient Idrissa Boly, éleveur, la soixantaine bien sonnée.
A l'instar des autres éleveurs, Idrissa s'est installé dans le village depuis les années 1980. Il souligne que c'est bien avant l'avènement de la révolution du 4 Août 1983. Un autre chef de famille du nom de Boly Ousmane témoigne de ses espoirs déçus : "On nous disait que la construction du barrage allait nous soulager parce que nos animaux n'allaient plus souffrir. Nous avons alors beaucoup contribué pour que les travaux de construction avancent vite en fournissant viande et lait aux ouvriers. A l'inauguration, nous avons offert encore un taureau, des moutons et des poulets pour la fête. Mais à la fin, ça été tout le contraire de nos attentes. C'est le début de nos malheurs, on a perdu nos maisons, nos champs, nos pâturages et nos animaux ont des difficultés pour accéder au barrage. "
Pourtant, à la construction du barrage en 2005, les responsables du village et les autorités administratives locales avaient délimité " deux bonnes pistes à bétail " pour les éleveurs. Mais ces derniers assurent que ça n'a jamais été respecté. L'année suivante, les maraîchages ont remplacé les pistes à bétail. La pression foncière est très forte dans le village à cause du barrage. Les éleveurs sont allés se plaindre auprès du chef du village.
Il a fait délimiter quatre autres pistes à bétail. Pour les éleveurs, ces pistes sont tellement étroites qu'une charrette aurait du mal à y passer. Pour faire abreuver leurs animaux au barrage, ils sont obligés alors de passer par la voie Lou-Sapouy avec tous les dangers que cela comporte aussi bien pour les hommes que pour les animaux. "
Le chef a voulu nous aider, mais on a l'impression qu'il ne maitrise pas les vendeurs. Ce sont ses frères, enfants et petits enfants qui vendent les terres. Depuis que son fils Kadidi a vendu là où on a vécu depuis 20 ans, cela a libéré tous ceux qui souhaitaient vendre nos terres, mais qui avaient peur.", affirme Idrissa Boly. En 2009, ce dernier, avec une dizaine d'autres familles, ont été déguerpis de leurs maisons sans dédommagement. Aujourd'hui, ce sont des champs de manioc, de bananes et de tomates qui se dressent sur les lieux. Aujourd'hui encore, ces éleveurs de Lou vivent dans l'angoisse d'un autre déguerpissement.
Le problème, c'est que maintenant, ils ne savent plus où aller car ils sont aux pieds de la forêt. Le code de l'environnement du Burkina interdit formellement l'installation des animaux dans la forêt. Au mois de novembre dernier, nous avons appris que le chef du village a convoqué une réunion où étaient présents ceux qui vendent les terres et les éleveurs. Il a formellement interdit à ses frères de s'aventurer vers les éleveurs pour vendre encore la terre. Il a également fait délimiter des pistes à bétail qui avaient été bouchées par les champs des agrobusiness men. Ces différentes mesures ont été bien accueillies par les éleveurs et les autorités locales, preuve que l'implication des chefs peut (ndlr : parfois) résoudre les problèmes fonciers.
Par Idrissa Barry de « L'Evénement »
le mercredi 1er février 2012
Pour lire l'ensemble de l'enquète cliquer ici<http://www.lefaso.net/spip.php?article46150>
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From: Evina Serge [mailto:evigeo2002@yahoo.fr]
Sent: 29 February 2012 11:45
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: Re : [Sarnissa] Fw: Fisheries Courses, scholarships possible
bonjour mes chers,
au regard des nouvelles orientations de la pisciculture au Cameroun vers une véritable piscicultute industrielle, je désir avoir des conseil spossible la documentations sur l'élevage des poissons en circuit fermé.
merci et bonne journée.
De : "rbrummett(a)worldbank.org<mailto:rbrummett@worldbank.org>" <rbrummett(a)worldbank.org<mailto:rbrummett@worldbank.org>>
À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>; sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk>
Envoyé le : Mercredi 29 février 2012 0h48
Objet : [Sarnissa] Fw: Fisheries Courses, scholarships possible
The Wageningen-UR Centre for Development Innovation (CDI) runs short annual courses in different areas of the fisheries sector for practicing professionals. These courses are useful for staff from both government and NGO who are working in fisheries management, research, higher education, training and fisheries development. In some cases the Netherlands Fellowship Programme (NFP) <http://www.nuffic.nl/international-students/scholarships/scholarships-admin…> offers scholarships for both courses that are on offer in 2012:
Fisheries governance
15 October – 02 November, 2012, Wageningen, the Netherlands
Introduction
In this training course the participants will learn about fisheries governance and the relation with fisheries management approaches. The course will provide insights on challenges that fisheries governance face and explores ways to strengthen fisheries governance. It offers a framework in which participants will acquire insights and skills to bring stakeholders in the fisheries system together, to help them understand each other’s perspectives, manage their conflicts and learn together. The training programme is interactive, and uses case studies to illustrate the effect and impact of different management approaches and practices. Training methods include small group activities, role plays, excursions and individual assignments.
Application
Interested candidates can apply to Wageningen UR Centre for Development Innovation for admission to the training. Click here to apply.<http://www.cdi.wur.nl/UK/newsagenda/agenda/Fisheries_governance.htm>
Ecosystem approach to fisheries
12 – 30 November, 2012, Wageningen, the Netherlands
Introduction
To manage fisheries, information about fishers, catch and effort, fish stocks, fish processing and trade is needed. Information, its collection, analysis and evaluation are central in this course. Information forms the basis for policy choices, management plans, monitoring and evaluations. In the ecosystem approach to fisheries the scope of management activities (and the information needed) is extended beyond the topics and groups mentioned to include the mutual influence of fishing and the ecosystem of which the fish are part plus the effects of other human activities on the aquatic ecosystem. The course ‘Ecosystem approach to Fisheries’ will discuss the selection, analysis and evaluation of the data that are needed, and will assist you to make the step from a target species oriented approach towards an ecosystem approach to fisheries management. The course is useful for staff from both government and NGO who are working in fisheries management, research, higher education, training and fisheries development.
Application
Interested candidates can apply to Wageningen UR Centre for Development Innovation for admission to the training. Click here to apply.<http://www.cdi.wur.nl/UK/newsagenda/agenda/Ecosystem_approach_to_fisheries.…>
NFP Country list
To be eligible for an NFP fellowship, you must be a national of one of the following 60 countries:
Afghanistan Albania Armenia Autonomous Palestinian Territories Bangladesh Benin Bhutan Bolivia Bosnia-Herzegovina Brazil Burkina Faso Burundi Cambodia Cape Verde Colombia Costa Rica Cuba DR Congo Ecuador Egypt El Salvador Eritrea Ethiopia Georgia Ghana Guatemala Guinea-Bissau Honduras India Indonesia Iran Ivory Coast Jordan Kenya Kosovo Macedonia Mali Moldova Mongolia Mozambique Namibia Nepal Nicaragua Nigeria Pakistan Peru Philippines Rwanda Senegal South Africa Sri Lanka Sudan Suriname Tanzania Thailand Uganda Vietnam Yemen Zambia Zimbabwe
MENA Fellowship information
For nationals of the following seven countries it is possible to apply for a MENA scholarship: Algeria, Iraq, Lebanon, Morocco, Oman Tunisia and Syria. The MENA scholarship programme aims to contribute to capacity building within organizations and institutions. The MENA scholarship programme is initiated and fully funded by the Netherlands Ministry of Foreign Affairs. For more information please click here to go to the website.<http://www.nuffic.nl/international-students/scholarships/scholarships-admin…>
For more information contact: maria.vansoelen(a)wur.nl<mailto:maria.vansoelen@wur.nl> or suzanne.vanderwielen(a)wur.nl<mailto:suzanne.vanderwielen@wur.nl>
Please feel free to circulate this email within your network!
With warm regards,
Peter van der Heijden
Ingrid Gevers
Course coordinators
[Change Subscription<http://sub.ezinedirector.net/?fa=m&s=142247012&c=965041483>] [Cancel Subscription<http://sub.ezinedirector.net/?fa=r&id=142247012&c=965041483>]
_______________________________________________
Sarnissa-african-aquaculture mailing list
Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:Sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour à tous,
Existe-t-il des spécialistes de l'élevage industriel du Cobia parmi nous?
Je cherche des informations assez techniques sur son élevage pour un ami notamment sur les questions suivantes :
* le procédé de production pour un élevage bio
* l'alimentation conseillée pour un élevage bio
* le prix moyen des alevins
* où se procurer les alevins dans la région de Maurice - Mascareignes.
* le ratio moyen nombre d'alevin / nombre de poissons (ou le taux de mortalité)
* quel type de cage faut-il acheter?
* quelle serait la densité finale en kg à espérer
* ...
S'il existe des spécialistes, pourrais - je avoir leur adresse email?
Merci beaucoup d'avance!
Yolaine
Fisheries Expertise
Dieweg 30A, B - 1180 - Brussels (Belgium)
Tel/Fax : + 32 (0)2 374 36 25
Mail : yolaine_beyens(a)yahoo.fr
Skype : yolaine_beyens
In respect of the environment, please do think twice before printing this mail!
Yolaine BEYENS
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Cher Peter,
Merci de l’attention particulière que vous accordez à l’aquaculture congolaise. Je suis membre de sarnissa et j’évolue dans une institution de formation en plein capitale de la RDC.
La production des alevins de qualité est réellement le grand problème dans le pays et dans cette contrée en particulier.
Le projet que je connais dans cette contrée (région de l'équateur) n’envisage pas un soutien aux aquaculteurs, c’est juste en rapport avec le lac mai ndombe. Votre action sera donc la bienvenue et vous pouvez compter sur nous.
Salutations cordiales
GKM
Bonjour, Peter,
Je suis actuellement dans le Nord-est, la Province Orientale, territoire de Mambasa en République Démocratique du Congo. Le constant est tel que vous vennez de le décrire. Ici, l'aquaculture n'a pas encore bien démarée, or à mon avis elle serait la bienvenue pour une bonne gagne pain dans cette partie du pays.
Albert BULIMWENGU WALANGA
GSM:
+243 (0) 99 76 73 808
+243 (0) 85 33 14 292
+243 (0) 81 27 40 630
E-mail: albertwalanga(a)yahoo.fr
Facebook: bulimwenguwalanga
Skype: albertwalanga
--- En date de : Lun 13.2.12, Peter Corey <peter.corey(a)ns.sympatico.ca> a écrit :
De: Peter Corey <peter.corey(a)ns.sympatico.ca>
Objet: [Sarnissa] Support d'aquaculture en République Démocratique du Congo (RDC)
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Lundi 13 février 2012, 3h35
Salut membres de SARNISSA française:
En 2008, j'ai été en RDC pour une visite d'exploration pour l'aquaculture durable. Je vais retourner au Congo au mois d'Avril cet année pour le support d’aquaculture dans le mêmes région, Gemena, Province Équateur. Je veux donner certain fonds aux éleveurs qui existe déjà et les éleveurs potentiels pour se procurer les outils et les alevins. Je voudrais aussi offrir un peu d’instruction pour une meilleur pratique d’aquaculture. A mon avis le nord de la RDC est une région ou l'aquaculture peut faire une grande différence pour les familles rurales et peut aussi apporter un gagne-pain durable.
Je voudrais savoir s’il y avait les personne ou des organisations qui support actuellement l'aquaculture dans la région que j’ai déjà mentionner ci-dessus?
Merci beaucoup pour votre aide,
Peter Corey
Nova Scotia, Canada
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