Bonjour,
Voici deux réponses traduites de nos collègues anglophones sur la
question du professeur Mutambe de RD Congo.
Many thanks to C. Dupuy and K. Veverica !
De : DUPUY Christophe <christophe_otropic(a)yahoo.fr>
Date : 8 juillet 2009 22:20:30 GMT+08:00
Bonjour doc,
Voici quelques prix pour votre étude :
- Type Cubisystem (cubes plastic qui s’emboitent, cages carrées) :
Cages de 4mx4m (prof : 3m): 5250 euros la cage
Filet de 4mx4mx3m : 900 euros le filet
Ancrage : 1600 euros / cage
Montage : 600 euros / cage
Soit un total de 175 euros / m3
- Type Circulaire monté par fournisseur : (cages circulaires en PE)
Cages de diamètre 8m (prof : 3m) : 4250 euros la cage
Filet : 2800 euros le filet
Ancrage – balisage : 8900 euros / cage
Montage : 2700 euros / cage
Soit un total de 125 euros / m3
Pour les fournisseurs, je vous les indiquerais ultérieurement. A ce
prix, il faut aussi ajouter le transport, les droits de douanes etc.
Vous pouvez aussi les construire vous même.
Bien cordialement.
Christophe Dupuy.
+33(0)6 26 36 39 45
christophe_otropic(a)yahoo.fr
De : "Karen L. Veverica" <veverkl(a)gmail.com>
Date : 9 juillet 2009 11:51:47 GMT+08:00
Les cages fabriquées en Ouganda font 2mx2mx2m. leur coût est d'environ
80 US$. Les cages sont faites en nylon, nouées et traitées au bitume.
Nous estimons leur durée de vie à 2 ans.
Les techniques employées pour produire du poisson dans ces cages sont
basées les méthodes d'élevages en cages à faible volume-haute densité.
A la récolte, la densité est de 150-200 kg par mètre cube; parfois
plus; le maximum ayant été d'environ 700 kg/mètre cube.
Les fabricants de cages peuvent les faire à des dimensions sur
commande. Pour des expérimentations, nous utilisons souvent des cages
de 1 mètre cube. J'ai amené une cage-échantillon au Ghana; elle est au
WRI.
Faites moi savoir si vous souhaitez en tester quelques unes. Nous
allons devoir faire preuve de créativité pour le transport, mais tout
est possible.
Karen L. Veverica
Auburn University Dept. of Fisheries and Allied Aquacultures, USA
office: +1-334-844-9201
cell: +1-334-332-1560
Chief of Party
USAID Fisheries Investment for Sustainable Harvest (F.I.S.H.)
Uganda phone +256- 782-970-622
www.ag.auburn.edu/fish/international/uganda/
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Merci d'avoir diffusé mon message à nos différents collègues.
Salutations vespérales
Prof MUTAMBUE SHANGO
Secrétaire Académique et de la Recherche
ERAIFT / Université de Kinshasa
B.P. 15.373, Kinshasa
République Démocratique du Congo
Tel : 00 243 815830347
--- En date de : Mar 7.7.09, Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr> a écrit :
De: Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
Objet: [Sarnissa-french-aquaculture] Price of fish cages
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk, sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Mardi 7 Juillet 2009, 16h07
Could someone provide Prof. Mutambe with data on market prices of fish
cages ? He will conduct experiments and would like to conduct a price
survey on the various options available. Thank you !
Est-ce que quelqu'un peut renseigner le prof Mutambe ? Merci !
> Mon cher Lionel
>
> Appelé à faire des expériences d'élevage en cage, j'aurai voulu
> savoir si je peux par votre intermédiaire avoir une idée des prix de
> différents types de cages que l'on trouve dans le commerce.
>
> Bonne journée
>
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
<http://www.aepf-paris.fr/2009/06/30/proposition-demploi-en-aquaculture.html
>
Ia orana,
Je me présente M. Sylvain DUPIEUX et je suis actuellement en contrat de
Volontariat pour le Développement (CVD) au service de la pêche (SPE) de
Polynésie. Dans ce cadre, je suis particulièrement chargé du suivi d’un
projet d’essai d’élevage en cages jusqu’à la vente d’une espèce locale
de poissons lagonaire le Paraha peue (Platax orbicularis) avec un
pisciculteur dont la ferme est située à Bora Bora. Le démarrage du
projet est prévu pour la fin de l’année 2009. L’espèce en question est
étudiée depuis + de 5 ans maintenant par une équipe en R & D du SPE et
il nous est possible aujourd’hui d’entamer la phase de mise en marché
via le secteur privé.
Afin de suivre les élevages sur place, notre partenaire privé recherche
un(e) candidat(e) titulaire d’un diplôme de niveau maîtrise minimum BAC
+ 4 (master 1) en biologie marine (option : aquaculture ou biologie des
poissons) de moins de 30 ans natif de Polynésie. Dans le cas contraire
le candidat ainsi que ses parents (ou tuteur) doivent résider en
Polynésie depuis plus de 5 ans. Il doit impérativement être présent sur
le territoire avant le mois d’octobre (2009).
Le poste consiste à accompagner et gérer cette étude expérimentale
d’élevage de Paraha peue sur la ferme piscicole de Bora Bora (Bora Bora
Aquaculture) pour une durée minimale de 12 mois. Elle débutera durant le
dernier trimestre de l’année 2009. Une formation sera dispensée au sein
de l’équipe SPE/Ifremer au COP de Vairao avant le démarrage de l’étude.
Localement, le champ d’action étant limité, nous souhaiterions
solliciter les AEPF de métropole pour diffuser cette proposition
d’emploi à durée déterminée aux étudiants polynésiens ou autres,
correspondant aux critères de sélection, qui seraient intéressés pour un
poste en aquaculture de responsable de production dans le secteur privé.
Le candidat sera sous contrat CVD
(http://www.sefi.pf/SefiWeb/SefiPublic.nsf/Mesures/CVD?OpenDocument)
pour un salaire brut de 200 000 cfp/mois pour une durée minimale de 12
mois (renouvelable une fois) et devra logé sur Bora Bora à proximité de
la ferme.
Pour toutes personnes intéressées et désireuses d’acquérir de
l’expérience dans la gestion d’une entreprise piscicole il suffit
d’adresser un CV accompagné des dates provisoires de retour en Polynésie
par courriel à l’adresse suivante : sylvain.dupieux(a)ifremer.fr.
Merci pour votre soutien.
Sylvain.
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Bonjour,
Un poste de professeur en ichtyologie et pêche à Rhodes University
(parler anglais est à priori indispensable) posté sur la liste FISH-
SCI. Pour plus d'informations, consulter le site web indiqué dans
l'annonce.
Bien amicalement à tous
Lionel
> See www.ru.ac.za/jobs/currentvacancies/academic/icthyologyorfisheriesscience
> for further details.
> ----------------
>
> Department of Ichthyology and Fisheries Science, Rhodes University
>
>
> Closing date: 31 July 2009
>
>
> PROFESSOR/ASSOCIATE PROFESSOR/SENIOR LECTURER
>
> Contribute to a dynamic academic department from as early a date as
> possible.
>
> All applicants must have a PhD in a relevant discipline. Candidates
> must
> have knowledge and experience in the fields of ichthyology and/or
> fisheries
> science; a strong research track record with publications in peer-
> reviewed
> journals; and a proven record of postgraduate supervision and,
> preferably,
> undergraduate teaching.
>
> Candidates must indicate the level at which they are applying and
> their CV
> should reflect a commensurate level of achievement.
>
> The appointee may be expected to serve as Head of Department and
> leadership
> qualities and an ability to work in teams are important. A proven
> ability to
> attract research funds and manage projects will be important
> considerations
> in making this appointment.
>
> Recognising that diversity is important in achieving excellence,
> Rhodes
> University especially encourages South African members of designated
> groups
> to apply.
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Bonjour à tous,
Pour information (merci Will), le secrétariat du NEPAD organise un
dialogue entre le NEPAD et les institutions de recherches et les
universités du 28 au 31 juillet 2009 à Accra.
Pour plus de détails, contacter SloansC(a)Nepad.org
Bien amicalement
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Will Leschen" <william.leschen(a)stir.ac.uk>
> Date : 6 juillet 2009 20:33:20 GMT+08:00
> À : <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Cc : "'Lionel Dabbadie'" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Objet : FW: NEPAD-Tertiary Institutions Dialogue Meeting Accra Ghana
> 28-31 July 09
>
> Dear All,
>
> I wish to inform you that NEPAD Secretariat in collaboration with our
> partners CTA; FARA and Regional University Forums, is calling for a
> dialogue
> between NEPAD and Universities/Research Institutions to deepen our
> collaboration around the NEPAD agenda. The dialogue will be co-
> hosted by
> University of Ghana and FARA in Accra from 28th to 31st July 2009.
>
> The dialogue will also cover issues specifically on fisheries and
> aquaculture science and capacity development; this will in part
> cover the
> agenda which should have been dealt with during the NEPAD meeting
> which was
> postponed in at the University of Malawi in April.
>
> Please contact SloansC(a)Nepad.org for details
>
> Best regards,
>
> Sloans
>
> Sloans K. Chimatiro, PhD
>
> Senior Fisheries Advisor
>
> NEPAD Secretariat
>
> Block B, Gateway Park
>
> Corner Challenger & Columbia Avenues
>
> Midridge Office Park
>
> Midrand 1685
>
> South Africa.
>
> Tel. +27 11 256 3606
>
> Fax +27 11 206 3824
>
> Cell +27 83 380 8512
>
> <http://www.nepad.org/> http://www.nepad.org
>
> Please take note of the new address & office phone number
>
>
>
>
>
>
>
> --
> Academic Excellence at the Heart of Scotland.
> The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
> number SC 011159.
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Nous voudrions remercier tous ceux qui ont envoyé des propositions pour le
concours Sarnissa d'études de cas, et féliciter les deux gagnants qui sont:
- Laurence Evans d'Afrique du Sud. Son étude de cas est:
Lancement et achèvement d'une ferme crevettière commerciale, Amatikulu
Prawns (Pty) Ltd, de 1989 à 2004 (Kwazulu Natal, Afrique du Sud)
- Fanseri Bouari du Mali. Son étude de cas est:
L'amélioration des techniques de production piscicole en étang sur les
périmètres irrigués de lOffice du Niger au Mali
Les ouvrages Ecological Aquaculture par Hutchinson et Aquaculture par C.
Ferra (Collectif, Vuibert) seront offerts aux gagnants comme prix
respectifs. Les gagnants vont aussi recevoir un abonnement de 6 mois au
Compendium Aquaculture en ligne http://www.cabicompendium.org/ac/home.asp.
Ces deux études de cas vont maintenant être rédigées par leurs auteurs et
une fois achevées, seront mises à la disposition de tous les acteurs clés de
Sarnissa. Bien que le concours soit terminé, nous sommes toujours heureux de
recevoir de nouvelles propositions d'études de cas, sachant que les auteurs
des études de cas retenues et rédigées reçoivent une indemnité de 300 euros.
Merci de consulter le lien ci-dessous pour plus de détails.
http://www.sarnissa.org/tiki-index.php?page=Case+Studies+Competition
Bien cordialement
Will Leschen
Début du message réexpédié :
De : "Will Leschen" <william.leschen(a)stir.ac.uk>
Date : 6 juillet 2009 18:36:09 GMT+08:00
À : <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Cc : "'Lionel Dabbadie'" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>, "'Gareth Richards
\(CABI\)'" <g.richards(a)cabi.org>, "'Olivier MIKOLASEK'"
<olivier.mikolasek(a)cirad.fr>
Objet : Case studies competition winners
We would like to thank all of those who sent in titles for the SARNISSA case
studies competition. We have chosen two winners one English language and
one for French language.
Congratulations to:
Laurence Evans from South Africa - his case study is:
The rise and demise of the commercial shrimp farm, Amatikulu Prawns (Pty)
Ltd., 1989 to 2004 (Kwazulu Natal, South Africa)
Fanseri Bouari from Mali his case study is:
Amélioration des techniques de production piscicole en étang sur les
périmètres irrigués de lOffice du Niger au MALI
(Improvement of fish production in ponds in the irrigated areas of the Niger
in Mali)
The publications: Ecological Aquaculture by Hutchinson, and Aquaculture by
De C. Ferra, (Collectif Vuibert Vuibert)
March 2008 are being given as the respective prizes. The winners have also
been given a 6 month subscription to the online Aquaculture Compendium
http://www.cabicompendium.org/ac/home.asp.
These two case studies will now be written by the authors and when completed
will be made available to all sarnissa stakeholders. Although the
competition is now finished we still would welcome further relevant and
appropriate case study titles and authors noting that we are giving 300
euros for each approved completed case study. Please see link for details
http://www.sarnissa.org/tiki-index.php?page=Case+Studies+Competition+
Best wishes
Will Leschen
T
_____
Academic Excellence at the Heart of Scotland.
The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number SC
011159.
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Checked by AVG - www.avg.com
Version: 8.5.386 / Virus Database: 270.13.5/2220 - Release Date: 07/05/09
17:54:00
Bonjour,
Suite au message de Mr Kayode taiwo qui date du 17 juin concernant une demande d'info sur la production de Carpe et de Barracuda. Le texte exact est le suivant:
________________________________
Good day All,
Please do we have any institute that train on Carp and barakuda fish culturing ?
Kayode taiwo
ANIMAL WORLD
Portharcourt,
Nigeria
________________________________
La moindre des choses est certainement de me présenter aux membres de Sarnissa.
J'ai une formation de responsable de production et chef de projet. Spécialisé en écloserie marine avec une bonne expérience sur les espèces Méditerranéenne. J'ai eu la chance de débuter ma carrière dans les années 90 à la Ferme Marine du Douhet avec une extraordinaire équipe d'écloseur.
Ensuite je suis partis en Grêce travailler dans une écloserie marine pour une personne qui possédait des lots de géniteurs de différentes espèces achetés à des pêcheurs locaux. J'ai donc pu faire des essais sur des espèces (Dentex, Puntazzo ...) dite "nouvelle", à l'époque, en parallèle de notre production de Sparus aurata (Dorade) et de Dicentrarchus labax (Bar).
En 2004 financé par mon conseil régional j'ai monté un petit projet de production de poissons tropicaux marins destiné au marché de l'aquariophilie. Avec des résultats en larvaire très intéressant sur différentes espèces de Pomacentridae, Pseudochromidae, Gramatidae, Bleniidae.
J'ai également travaillé dans un bureau d'étude sur différent projet en Bulgarie et aux Emirats Arabe Unis.
J'ai découvert le site de Sarnissa l'année dernière et lis de façon assidu, les courriels qui me parviennent. J'ai passé 18 ans de ma vie en Afrique et si je fais ce métier c'est elle m'a donné envie de le faire. Je suis pêcheur, plongeur et donc passé des moments merveilleux là-bas. Si je peux donc apporter mon humble contribution a ce continent, je le ferai.
La réflexion sur la pisciculture marine en Afrique m'a donc évidemment interpellé !!
Concernant le Barracuda, il me semble que le ministère des pêches et aquaculture espagnol possède un site sur l'île de Mallorque qui possède ou a possédé (2008) des barracudas en captivité. J'en ai eu la confirmation hier via une personne qui travaille sur l'ile et a visité la structure. Il m'a affirmé que lors de sa visite, il a vu des larves dans des bassins .......
Je suis d'accord avec Mr Mirera David, il n'y a pas a ma connaissance d'institut qui travaille sur les poissons marin en Afrique équatorial et occidental .... Pourquoi ? Est-ce une question de site ?
Je pense qu'il y a des espèces qui peuvent avoir un potentiel intéressant. Par expérience je suis convaincu que certaines espèce sont possible à produire a produire sur place, le point critique serait certainement le grossissement avec un manque de site disponible. En effet le plateau continental est très peu large et les côtes très peu protégé de la houle océanique.
La solution serait donc peu être de mettre en place ces structures a terre et de profiter du biseau salé ou des marées. Le choix du site revêt évidemment d'un aspect fondamental
Exemple: Zone de lagune nécessitant un relevage d'eau faible (coût opérationnels) et facilitant les rejets (investissements, autorisations)
Pour le Barracuda, il m'est arrivé en plongé d'observer à certaine saison dans le canal de Vridi (marée montante) des bancs de Barracuda de 15-20 individus d'environ 1m de long, calé dans le courant. C'est un poisson très calme qui a besoin pour la repro de bon courant. Nous trouvions des petits individus dans les mangroves et loin dans la lagune Ebrié (Côte d'ivoire). Lorsque l'on trouvé des gros Barracuda en lagune il était souvent solitaire ! Je n'ai malheureusement jamais vu de fraie.
Pour le Redsnapper c'est un poisson qui se domestique apparemment très bien et pond facilement en bassin. Le soucis se pose après ! La larve d'une taille entre 2,4 et 2,7 mm possède une très petite bouche et donc sa première alimentation en proies vivantes et assez complexe et doit passer durant les premiers jours par un apport de copépodite, larves de moule ou .... La rotifère de souche super small est légèrement trop gros. J'ai observé en écloserie des larves de centropyge de taille similaire à la larve de redsnapper "bouder" des rotifères même de taille adapter à leur bouche parce que la proie ne nageait pas de façon saccadé comme un copépode. Cela n'est qu'une observation personnel. Mais je reste persuadé que pour ce type de larve le copépode est la solution (qualité nutritive et taille).
D'un point de vu technique la meilleur méthode à mon avis est le "mésocosm". Technique que j'ai pratiqué sur le Bar et la Daurade mais aussi sur le mérou avec des résultats trés honorable et un coût de production plus que satisfaisant.
La référence en la matière est Mr Pascal Divanach qui travaille au laboratoire de biologie marine de crête.
Cette technique est certainement la meilleure est la première étape du process d'une aquaculture durable. Le développement de cette technique en Afrique est certainement une solution pour la production d'alevins par les populations local
Christophe Dupuy.
+33(0)6 26 36 39 45
christophe_otropic(a)yahoo.fr
~ ~ ><)))°> Save a tree. Do not print this message if not really necessary.
De la part de Will
From: Louis Gnagbe [mailto:LouisG@nepad.org]
Sent: 22 June 2009 15:12
Subject: signing of landmark agreement on funding of NEPAD Spanish
Fund (2) (2).doc
COMMUNIQUE DE PRESSE
L’ESPAGNE SIGNE UN ACCORD DE FINANCEMENT DE CINQUANTE (50) MILLION
D’EUROS AVEC LE SECRETARIAT DU NEPAD, POUR UN PROGRAMME VISANT
L’AUTONOMISATION DES FEMMES AFRICAINES.
Madrid, Espagne, mercredi, le 17 Juin 2009, 13:00 h. Le gouvernement
espagnol et le secrétariat du Nouveau Partenariat pour le
développement de l'Afrique (NEPAD), (un programme de l'Union
Africaine), ont signé un accord de financement d’une valeur de
cinquante (50) millions d'euros pour la mise en œuvre du programme
NEPAD fond espagnol pour l’autonomisation des femmes africaines.
L'accord a été signé par Mr. José Manuel Albarès, Directeur Adjoint du
Département de la coopération pour l'Afrique sub-saharienne, de
l'Agence Espagnole pour la Coopération Internationale (AECI) et, Dr.
Ibrahim Assane Mayaki, le Secrétaire Exécutif du NEPAD. La cérémonie
de signature a eu lieu au cours de la réunion du Comité directeur du
fond espagnol.
La signature de l'accord: de gauche à droite, Dr. Ibrahim Assane
Mayaki (Secrétaire Exécutif du Secrétariat du NEPAD) et Mr. José
Manuel Albarès, Directeur Adjoint du département de la coopération
pour l'Afrique sub-saharienne, de l'Agence espagnole pour la
coopération internationale (AECI)
En vertu de cet accord, le gouvernement espagnol, par le biais de
l'Agence espagnole pour la coopération internationale (AECI) allouera
un montant de dix (10) millions d'euros chaque année, pendant cinq
(5) ans au Secrétariat du NEPAD. Ce fonds servira à la mise en œuvre
du programme NEPAD Fonds espagnol pour l'autonomisation des femmes
africaines.
Ce fonds accorde des subventions à divers organismes pour la mise en
œuvre des activités qui contribuent à l'autonomisation des femmes et,
la promotion de l'égalité des sexes en Afrique subsaharienne. En 2008,
46 organisations féminines, à travers le continent, ont bénéficié de
ce programme.
Ce nouvel accord porte sur le renforcement institutionnel,
l'autonomisation des organisations de la société civile et, le
développement des entreprises (autonomisation économique) pour les
femmes.
Avec la signature de cet accord, le NEPAD Fonds espagnol va
prochainement lancer un appel à proposition.
Réunion du comité directeur du NEPAD Fonds espagnol au siège de
l'Agence espagnole pour la coopération internationale (AECI), à Madrid
en Espagne.
Contact : Louis Napo Gnagbe, NEPAD/ Cell : + 27 83 440 45 18, Louisg(a)nepad.org
Academic Excellence at the Heart of Scotland.
The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number
SC 011159.
...............................................................................................................................................
COMMUNIQUÉ DE PRESSE 09/59 FR
Contact:
Hilary Clarke
Relations presse, FAO
(+33) 06 570 52514
hilary.clarke(a)fao.org
L'éveil d'un géant africain?
400 millions d’hectares de savane guinéenne exploitables commercialement
Rome, 22 juin 2009 - Une vaste bande de savane africaine traversant 25
pays a le potentiel de transformer plusieurs pays africains en
protagonistes mondiaux en matière de production de matières premières
agricoles, selon un ouvrage que vient de publier la FAO et la Banque
Mondiale.
L'ouvrage, en anglais, intitulé Awakening Africa's Sleeping Giant -
Prospects for Commercial Agriculture in the Guinea Savannah Zone and
Beyond tire ces conclusions positives en comparant la région en
question au nord-est thaïlandais et au Campo Cerrado brésilien.
Aujourd'hui, seulement 10 pour cent de la savane guinéenne - vaste
étendue de quelque 600 millions d'hectares (du Sénégal jusqu'en
Afrique du Sud) dont 400 millions conviennent à l'exploitation
agricole - est effectivement cultivé.
La savane guinéenne, tout comme le Cerrado et le nord-est de la
Thaïlande, présente des inconvénients géophysiques: cycles de pluie
abondants mais imprévisibles, des sols pauvres et une densité élevée
de la population dans le cas de la Thaïlande; isolement, sols enclins
à l'acidité et aux toxines et faible densité de population pour le
Cerrado.
Cependant, les gouvernements qui se sont succédé dans les deux pays
ont créé les conditions favorables à la croissance agricole,
conditions, selon le livre, «caractérisées par des politiques
macroéconomiques propices, une infrastructure appropriée, un capital
humain important, des services administratifs compétents et une
stabilité politique».
Certes, selon l'étude, l'Afrique est, aujourd'hui, mieux placée pour
parvenir au développement rapide de son agriculture que ne l'était le
nord-est de la Thaïlande ou le Cerrado au moment de la transformation
de leur agriculture à partir de 1980.
Il y a plusieurs raisons à cela: une croissance rapide de l'économie,
de la population et des villes qui a favorisé l'expansion des marchés
internes; des conjonctures politiques intérieures favorables et une
amélioration du monde des affaires dans beaucoup de pays; des
investissements domestiques et étrangers accrus vers l'agriculture
ainsi que le recours aux nouvelles technologies.
Les petits exploitants en première ligne
Selon l'étude, pour que le développement soit équitable et pour éviter
tout conflit social, il faudrait que la transformation de
l'agriculture soit conduite par les petits exploitants agricoles,
suivant en cela le modèle thaïlandais, et contrairement à ce qui s'est
passé au Brésil (grosses exploitations agricoles dirigées par de
riches fermiers).
«L'agriculture commerciale en Afrique peut et doit impliquer les
petits exploitants afin de maximiser la croissance et d'en étendre
largement les bénéfices», affirme Michael Morris, éminent économiste
agricole auprès de la Banque mondiale, à Madagascar.
«La production mécanisée à grande échelle n'offre pas d'avantages
évidents en ce qui concerne les coûts, sauf dans certaines
circonstances spécifiques, et elle conduirait plutôt à des conflits
sociaux», a-t-il ajouté.
L'expérience de la Thaïlande et du Brésil montre que lorsque des
petits fermiers sont impliqués dans le développement, cela stimule la
demande locale tout en accélérant la réduction de la pauvreté.
Toutefois, dans le cas de produits de base de faible valeur marchande,
il est peu probable que des ménages exploitant un, deux hectares ou
moins gagnent suffisamment d'argent pour sortir de leur condition de
pauvres. Aussi le modèle émergeant d'agriculture commerciale en
savane guinéenne doit-il fournir aux producteurs de ces produits des
opportunités de diversification, selon l'étude.
Les coûts pour l'environnement
L'utilisation des terres de la savane guinéenne pour l'agriculture
entraînera inévitablement des coûts pour l'environnement, mais cette
agriculture peut elle-même être bénéfique pour l'environnement,
indique l'étude.
«La commercialisation de l'agriculture grâce à l'intensification peut
réduire les dégâts causés à l'environnement en ralentissant la
progression de l'agriculture vers des terres fragiles et/ou précieuses
pour l'environnement», affirme encore Michael Morris.
«Toutefois, l'intensification comporte des risques pour
l'environnement du fait de la destruction d'écosystèmes vulnérables et
de l'utilisation excessive d'engrais et de pesticides. En cas
d'intensification de l'agriculture, les gouvernements doivent prendre
soin d'en surveiller les effets sur l'environnement et mettre en place
des mesures pour réduire ou éviter les dégâts. A cet égard, il est
heureusement possible de tirer des leçons de la masse d'expériences
accumulées par différents pays», indique pour sa part Guy Evers, chef
du Service Afrique au Centre d'investissement de la FAO.
L'ouvrage dont il est question ici est une version abrégée d'une étude
réalisée par des fonctionnaires de la Banque mondiale avec le concours
technique d'experts de la FAO et un financement de l'Italie.
Nouvelles FAO sur l'Internet: http://www.fao.org/newsroom/fr/
...............................................................................................................................................
Radio: Liliane Kambirigi, Chargée d'information (Radio), (+39) 06 570
53223
TV: Bou Downes, Chargée d'information (TV), tel. (+39) 06 570 55980 /
53963
Photos: La phototèque de la FAO offre des photos de résolution
supérieure sans aucun coût: http://www.fao.org/newsroom/fr/photo/index.html
Ce communiqué de presse a été publié par le Bureau Relations avec les
médias FAO (FAO, www.fao.org). Pour vous désabonner de ce service des
nouvelles, veuillez envoyer un courriel au mailserv(a)mailserv.fao.org
avec uniquement le message suivant "unsubscribe Media-G-French-L"
--
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