Merci Mme Mbaye
Vous venez d'integrer un forum dynamique
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Le mar. 18 nov. 2014 12:27 HNEC, Mame Diarra Loum a écrit :
>Je m'appelle Mme MBAYE, sénégalaise et je suis nouvelle au forum
Bonjour à tous
Après 7 ans passé à Maurice je suis au Gabon conseiller en charge de la filière halieutique. Je recherche d'éventuels investisseurs pour l'aquaculture. Le Gabon est un pays béni des dieux pour cette activité. Je suis à votre écoute. Cordialement
Jean-Yvon Thepaut
Tel: +241 02048092
BP 9696 Libreville
Gabon
Salut, on m'appelle Gisèle. Je suis Zootechnicienne de formation. Je fais actuellement mes recherches sur les Clarias et Tilapias à l'Université de Kinshasa et à l'Université catholique de Louvain. Je suis particulièrement intéressée à la nutrition et la production des poissons, et compte me lancer dans cette voie parmi tant d'autres. Merci de m'avoir acceptée parmi vous.
Chers Messieurs,
Mon compte a été plus d'une fois piraté. Aussi je souhaite de la part de
ceux qui peuvent encore être en possession de l'infiormation de m'en faire
part.
En effet il y a quelques années j'ai reçu dans ma boite des images de:
- l'alevinage du tilapia en chine;
- l'agriculture sur l'eau des étangs (des tomates, laitue etc)
Objet: FW: OBJECTIF 2014 - Enquêtes de production
Mes amis,
Chaque année, le Global Aquaculture Alliance tente d'aider l'industrie à une enquête anonyme des résultats et des attentes des agriculteurs. Dans le passé, ce qui a impliqué la plupart des crevettes, mais cette année ils sont de mener un sondage de tilapia et le poisson-chat agriculteurs en Afrique. S'il vous plaît trouver ci-joint le formulaire d'enquête assez simple. Si vous souhaitez participer, vous pouvez envoyer le formulaire dûment rempli de nouveau à moi. Les noms des répondants ne sont pas partagées avec le public et a lieu dans la plus stricte confidentialité. S'il vous plaît partager avec d'autres qui aimeraient participer.
Amicalement
Randy
Randall Brummett, Ph.D.
Spécialiste principal des pêches (aquaculture et des pêches intérieures) de la Banque mondiale
1818 H Street NW
Washington, DC 20433
USA
Tel: + 1 202 473 2853
Subject: FW: GOAL 2014 -- Production Surveys
Friends,
Each year the Global Aquaculture Alliance tries to help the industry with an anonymous survey of results and expectations from farmers. In the past, this has mostly involved shrimp, but this year they are piloting a survey of tilapia and catfish farmers in Africa. Please find attached the pretty simple survey form. If you would like to participate, you can send the completed form back to me. The names of respondents is not shared with the public and is held in strictest confidence. Please share with others who might like to participate.
Cheers,
Randy
Randall Brummett, PhD
Senior Fisheries Specialist (Aquaculture & Inland Fisheries) World Bank
1818 H Street NW
Washington, DC 20433
USA
Tel: + 1 202 473 2853
-----Original Message-----
From: William Leschen
Sent: 26 August 2014 21:39
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: GOAL 2014 -- Production Surveys
Subject: FW: GOAL 2014 -- Production Surveys
Friends,
Each year the Global Aquaculture Alliance tries to help the industry with an anonymous survey of results and expectations from farmers. In the past, this has mostly involved shrimp, but this year they are piloting a survey of tilapia and catfish farmers in Africa. Please find attached the pretty simple survey form. If you would like to participate, you can send the completed form back to me. The names of respondents is not shared with the public and is held in strictest confidence. Please share with others who might like to participate.
Cheers,
Randy
Randall Brummett, PhD
Senior Fisheries Specialist (Aquaculture & Inland Fisheries) World Bank
1818 H Street NW
Washington, DC 20433
USA
Tel: + 1 202 473 2853
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The University of Stirling has been ranked in the top 12 of UK universities for graduate employment*.
94% of our 2012 graduates were in work and/or further study within six months of graduation.
*The Telegraph
The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number SC 011159.
Bonjour toutes et tous,
Dans le cadre du renforcement de capacités des ressources humaines et d'appui à la définition de plan stratégique de développement d'une pisciculture durable en Guinée, il est prévu le recrutement d'un Assistant technique en appui à la Direction nationale de la pisciculture (DNP) de Guinée conakry.
Le projet de pisciculture à l'origine de ce poste, est cofinancé par l'AFD et de l'UE dont la DNP assure la maître d'ouvrage.
Bonne réception
Sidiki KEITA,
Directeur National de la Pisciculture
Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture
BP: 307
Conakry, République de Guinée
Tel: (00224) 644 460143 / 621 131017
657 717020 / 631 460143
Chers tous,
L'ERAIFT vous informe de la formation qu'elle organisera du 1 au 5 septembre sur la rédaction de projet et la recherche de financement, formation avec "coaching" post formation, très appréciée à Kinshasa, Libreville et Yaoundé et une formation très innovante à Luki, visant les acteurs de terrain qui souhaitent développer leur capacité en eco-tourisme et recherche dans la canopée, formation intitulée:"Initiation à la grimpe d'arbres en milieu tropical" animée par des spécialistes belges actifs dans le basin d'Amazonie.
N'hésitez pas à nous demander des informations complémentaires.
D'avance merci pour une bonne diffusion de ces informations.
Franche collaboration
ERAIFT
salut Borrel
je tiens à te féliciter pour la problématique que tu as lancé sur le forum autour du développement de l'aquaculture en ASS. la question est si importante qu'elle captive et les réactions en sont une preuve. pour ma part je contribue à ce débat et apporter ma vision du développement de l'aquaculture en ASS. toutes les interventions sont justes je veux juste compléter. déjà il faut retenir que l'activité piscicole est plus ancienne que nos états car elle date des années 1950 donc on n'était pas encore indépendant.
le secteur routier en Afrique a progressé au vu des routes bitumées, le secteur éducatif pareil avec le nombre d'enseignant nationaux et les établissements qui se sont construits, le secteur santé avec les médecins et infirmiers formés et les hôpitaux et centre de santé construits.
la pisciculture par contre a régressé. le nombre de bassins piscicole diminuent avec le temps et le secteur ne demeure plus une priorité des gouvernements de par les budgets alloués. la formation n'a pas réellement suivi, les techniciens de niveau supérieur doctorat, maitrise et ingénieurs en pisciculture est très limité dans nos états. les promoteurs privés de la filière aquacole n'existent quasiment pas si ce n'est des financements non nationaux.
les projets de développement des années 1970 aussi n'ont rien pu donner pour booster l'activité piscicole.
ce diagnostic ainsi posé il vient maintenant aux temps des suggestions.
le développement durable de l'aquaculture en ASS passe par la formation de technicien de haut niveau, de niveau moyen et du niveau basique. a cela s'ajoute la promotion de la filière piscicole avec des publicités, l'organisation des journées portes ouvertes etc. aussi une loi qui encourage les promoteurs, facilite l'accès au site, protège l'environnement. la banque doit accompagner et financer les projets de création des fermes piscicole en restreignant les conditions notamment taux d'intérêt et délais de remboursement. enfin, les gouvernements devraient limités les conditions d'accès aux entreprises étrangères qui veulent investir dans l'aquaculture en ASS.je suis optimiste l'aquaculture en ASS va se développer.
Géovanne Aymar NZIENGUI DJIEMBI
Directeur de l'Aménagement et de la
Restauration des Écosystèmes Aquatiques
Boulevard Triomphal Omar BONGO
Libreville Gabon
tel +(241) 06204273
From: jerome.lazard(a)cirad.fr
To: borrelkuate(a)yahoo.com; sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Thu, 17 Jul 2014 20:44:27 +0200
Subject: Re: [Sarnissa] Le developpement de l'aquaculture en ASS, quelles orientations?
Cher collègue,Après 50 ans de projets de recherche, de R&D et de développement de l’aquaculture de toutes sortes conduits en ASS, directement ou indirectement sous la houlette des états, nous en sommes aujourd’hui à un niveau de production très faible. Cette évolution ainsi que la situation actuelle ont été largement analysés dans divers documents et publications, dont les références ont été amplement cités sur Sarnissa.Ma position, déjà largement exprimée sur ce forum, est qu’aujourd’hui, en ASS, la priorité absolue est à donner aux opérateurs privés (à commencer par les producteurs) autour desquels les filières aquacoles sont à construire. Les états ont un rôle à jouer dans cette construction dans le cadre d’un partenariat étroit avec le secteur privé. Si les portes doivent être grand ouvertes aux investisseurs et opérateurs privés disposant d’un niveau minimum de technicité (moyens humains) et de moyens financiers de façon à pouvoir « peser » sur les dynamiques à stimuler, les projets institutionnels de recherche et de R&D me paraissent « dépassés » d’autant que les fonds disponibles pour ces opérations se tarissent considérablement.Mes propos s’appuient sur 2 exemples de « success story » de développement de l’aquaculture en ASS : celui de l’élevage du poisson-chat africain au Nigeria et celui de l’élevage du tilapia sur le lac Volta au Ghana (250 000t et 35 000t respectivement en 2013). Dans les deux cas, des opérateurs privés (PME et industriels) ont fourni l’armature permettant la structuration de filières viables et aboutissent à des niveaux de production significatifs ce qui aujourd’hui constitue un indicateur « vital ».Bien cordialement, Jérôme Lazard De : Sarnissa-french-aquaculture [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de borrel kuate
Envoyé : lundi 14 juillet 2014 20:14
À : Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk; Sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Objet : [Sarnissa] Le developpement de l'aquaculture en ASS, quelles orientations? Bonsoir cher membres,Un problème me turlupine depuis un certain temps et j’aimerai bien que vous me donniez vos points de vue sur la question.En effet, je me questionne sur l’orientation du développement de l’aquaculture en Afrique Sub-Saharienne, en Afrique centrale et plus particulièrement au Cameroun. Cette confusion nait de la divergence qu’il me semble apparaitre entre la vision gouvernementale et celle des Chercheurs. Le gouvernement tend à une industrialisation de l’aquaculture à travers des tentatives comme le ‘Projet pilote de pisciculture en cage au Cameroun ’ et celui d’élevage en systèmes recirculés. Les chercheurs de leur cote au vue des orientations de leurs travaux de recherche, des projets qu’ils élaborent (Projet SyPiEx par exemple), optent pour une durabilité de l’activité. Ces deux objectifs poursuivis sont certes nobles l’un comme l’autre, mais ma fois sont quelque peu divergents. N’est-il pas important au moment où les divers acteurs semble se mettre résolument a la tâche d’accorder les violons afin d’impulser de façon définitive une dynamique durable ? Comment véritablement assurer une durabilité de l’aquaculture et la rentabilité de l’activité piscicole en Afrique Sub-Saharienne ? Quelles sont les limites ?BORREL KUATEEcole Des Sciences et de Médecine VétérinaireUniversité De Ngaoundéré -Cameroun
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
Bonsoir
cher membres,
Un problème me turlupine depuis un certain temps et
j’aimerai bien que vous me donniez vos points de vue sur la question.
En effet, je me questionne sur l’orientation du
développement de l’aquaculture en
Afrique Sub-Saharienne, en Afrique centrale et plus particulièrement au
Cameroun. Cette confusion nait de la divergence qu’il me semble apparaitre
entre la vision gouvernementale et celle des Chercheurs.
Le gouvernement tend à une industrialisation de l’aquaculture
à travers des tentatives comme le ‘Projet pilote de pisciculture en cage au
Cameroun ’ et celui d’élevage en systèmes recirculés. Les chercheurs de leur
cote au vue des orientations de leurs travaux de recherche, des projets qu’ils
élaborent (Projet SyPiEx par exemple), optent pour une durabilité de l’activité.
Ces deux objectifs poursuivis sont certes nobles
l’un comme l’autre, mais ma fois sont quelque peu divergents. N’est-il pas
important au moment où les divers acteurs semble se mettre résolument a la
tâche d’accorder les violons afin d’impulser de façon définitive une dynamique
durable ? Comment véritablement assurer une durabilité de l’aquaculture et
la rentabilité de l’activité piscicole en Afrique Sub-Saharienne ? Quelles
sont les limites ?
BORREL
KUATE
Ecole Des Sciences et
de Médecine Vétérinaire
Université De
Ngaoundéré -Cameroun