Bonjour à tous,
Pour ceux que cela intéresse, voici un fichier pdf qui récapitule toutes les informations qui ont été postées sur la page Facebook de Sarnissa, de son lancement en décembre 2009 à aujourd'hui:
http://filex.cirad.fr/get?k=wIjaVyBHg884nRXh3Wv
Nous engageons ceux d'entre vous qui le souhaitent à rejoindre cette page qui est mise à jour de manière quasi quotidienne, non seulement par Will et moi mais aussi par les membres de Sarnissa qui souhaitent partager facilement des informations.
Bien amicalement
Lionel
Voici le lien:
http://filex.cirad.fr/get?k=2EXKkKfO4uog9aeG5k3
Bonne chance pour le téléchargement, j'espère que ça marchera mieux
Bien amicalement
Lionel
Le 17 juil. 2010 à 23:20, sarnissa-french-aquaculture-owner(a)lists.stir.ac.uk a écrit :
> De : "hinnoude salomon" <hinnoude.salomon(a)yahoo.fr>
> Date : 17 juillet 2010 23:19:34 HAEC
> À : <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : RE: [Sarnissa] Vidéos
>
>
> Ok, met le en téléchargement et on verra bien si c'est facilement
> récupérable
> Bonne nuit,
>
> Salomon
>
> -----Message d'origine-----
> De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
> [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de
> Lionel Dabbadie
> Envoyé : samedi 17 juillet 2010 21:44
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa] Vidéos
>
> Je sais bien, hélas, Salomon... Pour la présentation sur la co-construction,
> j'ai fait une version avec juste la bande son compressée (sans image, format
> mp3), mais elle fait quand même 10 Mo. Je peux la mettre en téléchargement
> si c'est plus facile pour certains d'entre-vous.
>
> Bien amicalement
>
> Lionel
>
> Le 16 juil. 2010 à 20:26, hinnoude salomon a écrit :
>
>> Cher Lionel
>> Tu sais, ce qui m'intéresse le plus dans tout ça, ce sont les vidéos et je
>> me suis rendu compte qu'il faut des connexions internet vraiment Haut
> débit
>> pour en avoir accès. Cela me fait très mal. J'ai pu installer MOZILLA
>> FIREFOX, de même que le module complémentaire. Merci
>> Bien amicalement,
>>
>> Salomon
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Je sais bien, hélas, Salomon... Pour la présentation sur la co-construction, j'ai fait une version avec juste la bande son compressée (sans image, format mp3), mais elle fait quand même 10 Mo. Je peux la mettre en téléchargement si c'est plus facile pour certains d'entre-vous.
Bien amicalement
Lionel
Le 16 juil. 2010 à 20:26, hinnoude salomon a écrit :
> Cher Lionel
> Tu sais, ce qui m'intéresse le plus dans tout ça, ce sont les vidéos et je
> me suis rendu compte qu'il faut des connexions internet vraiment Haut débit
> pour en avoir accès. Cela me fait très mal. J'ai pu installer MOZILLA
> FIREFOX, de même que le module complémentaire. Merci
> Bien amicalement,
>
> Salomon
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Bonjour à Tous,
Je suis entrain de faire une étude d'identification des poissons de la rivière Lubi, alors, je demande sur la ligne s'il ya quelqu'un qui peut m'aider avec des informations sur les méthodes applicables ici chez-nous en afrique, procédures et calculs de stock de poissons d'une rivière afin qu'on arrive à dire que cette rivière a atteint son exploitation maximum.
MERCI et à bientôt
Ir. André MULANGU KABAMBA
Master en Sciences Agronomiques
Doctorant à l'Unité de Recherches
en Aquaculture (URA)
Faculté des Sciences Agonomiques
Chef de Travaux à l'Université
Officielle de Mbujimayi (UOM)
République Démocratique du Congo
Tél : (243)(0) 81 604 35 97
(243)(0) 85 144 28 67
E - mail : andremulangu(a)yahoo.fr
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
J'en profite pour donner le lien vers la page du Centre d'Analyse Stratégique sur les cessions d’actifs agricoles à des investisseurs
étrangers dans les pays en développement :
http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=1196
Le rapport complet peut être téléchargé là:
http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/rapp_CAS_Cessions_actifs_agricoles_25j…
La vidéo de la remise du rapport là:
http://www.dailymotion.com/video/xdyjsw_remise-du-rapport-sur-les-cessions_…
et le dossier de presse, là :
http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/CAS_Rapport_Actifs_agricoles_DossierPr…
Avec tout ça, vous devriez avoir de bonnes lectures pour cette fin de semaine !
Bien amicalement
Lionel
Le 16 juil. 2010 à 16:23, sarnissa-french-aquaculture-owner(a)lists.stir.ac.uk a écrit :
> De : Shango Mutambw <mutambwe(a)yahoo.fr>
> Date : 16 juillet 2010 16:22:52 HAEC
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : Re : [Sarnissa] Lien vers le document adressé par Jean-François Baroiller
>
>
> Merci
>
> Prof MUTAMBUE SHANGO
> Secrétaire Académique et de la Recherche
> ERAIFT / Université de Kinshasa
> B.P. 15.373, Kinshasa
> République Démocratique du Congo
> Tel : 00 243 815830347
Bonjour,
Suite au récent message posté sur la liste, je vous propose un débat extrait du site web http://farmlandgrab.org/14283, qui montre deux points de vue qui s'opposent sur la question. Je rappelle aussi le récent rapport publié par la FAO/IIED/FIDA (en anglais) sur les modèles économiques qui pourraient permettre aux petits producteurs de tirer profit des gros investissement agricoles (« Accaparement des terres » ou opportunité de développement ?):
http://www.fao.org/docrep/012/al297e/al297e00.pdf
Le rapport est en anglais mais en cliquant sur les liens ci-dessous, vous trouverez une communication en français de l'un des auteurs, Lorenzo Cotula ainsi qu'une note synthétique de l'IIED:
http://tetis.teledetection.fr/index.php?option=com_docman&task=doc_download…http://www.iied.org/pubs/pdfs/17069FIIED.pdf
Bien amicalement
Lionel
Faut-il ouvrir les terres africaines aux investisseurs agricoles étrangers ?
Je vous propose un débat interessant entre deux économistes africains, James Shikwati, directeur de l’Inter Region Network au Kenya, qui publie AfricanExecutive.com et Franklin Cudjoe, directeur du think tank IMANI au Ghana et rédacteur d’AfricanLiberty.org, autour de la question de savoir si les terres africaines doivent être ouvertes à des baux pour être cultivées par des investisseurs étrangers. L’argument est que cela pourrait faire reculer la faim en Afrique.
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James Shikwati : Les Pays riches utilisent la famine pour prendre les fermiers africains en otage
Un délégué lors d’une récente réunion des Propriétaires Européens a posé la question : « Est-il déplacé d’avoir des fermiers européens qui s’installent dans les pays pauvres pour y nourrir ceux qui ont faim ? ». Envoyer des fermiers mercenaires en Afrique sous les guises de la lutte contre la faim est totalement déplacé. La famine est utilisée pour détenir le « milliard le plus pauvre » de l’Afrique en otage par les nations riches.
Les économies développées et émergeantes sont prêtes, une fois encore. La Corée du Sud lorgne sur un million d’hectares à Madagascar ; le Qatar cherche 100 000 hectares au Kenya ; l’Arabie saoudite vise 9000 hectares au Soudan ; une firme basée à New York voudrait louer 400 000 hectares au sud Soudan ; une firme britannique a acheté 45 000 hectares en Tanzanie ; une firme suédoise négocie un bail pour 100 000 hectares et la liste continue…
Tout cet accaparement cupide de terres passe sous des qualificatifs aseptisés tel qu’ « investissement étranger » ou encore « développement de terres pour accroître les rendements ». La réinvention de l’ancienne stratégie coloniale qui vint en Afrique au nom de la « civilisation » et aujourd’hui au nom du défi de la famine, ne permet pas de répondre à la question de l’échec des africains à nourrir eux-mêmes leur continent en premier lieu.
Il y a des cas où les communautés avec des technologies de culture supérieures louent les terres à l’Etat sur le continent. Mais on ne reconnaît pas les conflits entre les communautés et leur Etat, qui ont mené à ces larges parcelles de terre « oisive ». Dans les cas où les propriétaires africains louent la terre, les analystes ne cherchent pas à savoir pourquoi les banques internationales sont promptes à financer les extérieurs avec des prêts agricoles pour « nourrir » l’Afrique et produire des biocarburants, plutôt que de financer les entrepreneurs locaux.
Les baux extérieurs dans les pays pauvres traitent le symptôme plutôt que la maladie elle-même. Par exemple en Afrique les baux sont négociés avec des organisations, c’est à dire les Etats, qui n’ont jamais été réformé pour atteindre une légitimité auprès de leur administrés. De tels accords de bail ne répondent pas aux problématiques des fermiers, en particulier pourquoi les fermiers dans les pays pauvres ne peuvent produire de manière concurrentielle pour se nourrir eux-mêmes et le reste du monde. Envoyer des fermiers mercenaires revient à perpétuer l’idée préjudiciable que ceux qui possèdent déjà assez doivent posséder plus et que ceux qui ne possèdent que peu doivent le céder.
L’Europe, les USA, le Japon parmi d’autres, ont reçu une série de pétitions sur l’impact négatif de leurs subventions agricoles sur l’agriculture africaine. Depuis les indépendances, les prix pour les produits africains, des denrées agricoles aux minerais, ont toujours été fixés par les pays occidentaux, influençant ainsi grandement la quête pour une croissance durable, pour une valeur ajoutée africaine et un pouvoir de négociation. Les décideurs politiques occidentaux ont rappelé ces cinq dernières décennies aux Africains la faiblesse du leadership sur le continent. Quelle élément fait soudain supposer aux dirigeants occidentaux que les l’Afrique s’est enfin dotée des bons dirigeants pour négocier ces terres avec leurs fermiers ?
Cet élan d’acquisition de terres africaines pour nourrir les populations des économies émergentes obscurcit le fait que la famine sur le continent est un problème artificiel. Les élites des pays développés et émergents pactisent avec les élites africaines qui ne voient que le court terme pour déposséder les fermiers africains de la possibilité de nourrir eux-mêmes le continent. Les fermiers africains sont privés de financements et de technologies, et rendus esclaves de régimes commerciaux injustes qui leur rendent difficile l’accès aux marchés nationaux, régionaux et internationaux.
La quête de location des terres africaines prouve qu’il existe une demande importante pour le produit agricole du continent. Il est impératif que les Etats africains prenne l’avantage de cela, non pas en louant la terre à des extérieurs, mais en fournissant un cadre institutionnel permettant d’accroître la productivité du secteur agricole africain. Il est aussi extrêmement urgent de revoir ces politiques foncières héritées des Etats coloniaux de manière à donner le pouvoir aux africains d’utiliser leur terre pour leur profit et celui du reste du monde.
L’effet de court terme de ces baux aux extérieurs sera de générer des revenus pour le maintien des élites politiques. L’effet de long terme sera de conserver le viol psychologique dans l’esprit de l’africain, qui lui a, depuis plus de cinq siècles, fait croire qu’un africain n’a pas les capacités de se confronter aux défis quotidiens. EN dernière analyse, cette folie des baux aux extérieurs prépare le continent à une autre étape d’épisodes violents, alors que la citoyenneté du contiennent demeure spectatrice du marché.
James Shikwati, directeur de l’Inter Region Economic Network, Kenya, AfricanExecutive.com.
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Réponse à James Shikwati par Franklin Cudjoe
Dans son dernier article, James Shikwati tente d’éclipser une compréhension de base de ce qui incite les populations à investir dans une économie.
M. Shikwati assume une position conspirationniste qui n’aide pas vraiment ce qui aurait dû être son principal argument qui est que « il est impératif que les Etats africains prenne l’avantage de cela, non pas en louant la terre à des extérieurs, mais en fournissant un cadre institutionnel permettant d’accroître la productivité du secteur agricole africain ».
Accroître la productivité en agriculture signifie aussi la capacité d’entreprendre à grande échelle – et non la vie agricole paysanne voire nomade dont nous faisons l’expérience depuis la nuit des temps. Or, premièrement, les locaux n’ont pas le type de financement pour faire cela et leurs propres Etats s’affairent à constituer des goulots d’étranglement – par exemple par les difficultés à obtenir des actes de propriété, qui clairement empêchent d’utiliser les terres comme hypothèque pour des prêts bancaires. Lorsque les prêts bancaires existent, les taux d’intérêt, réglementés, sont prohibitifs. A ce jour 60 000 litiges fonciers attendent dans les tribunaux du Ghana, parfois depuis plus de dix ans. Cela a des chances de faire fuir les investisseurs du secteur agricole ! L’agriculture contribue à 40 % du PIB du Ghana, sans doute je pense parce qu’elle emploie 70% des Ghanéens, la plupart des paysans qui font usage de méthodes basiques de culture mais totalisant 6 % des prêts à l’agriculture. Et à en croire certains chiffres, le reste de l’allocation de ces prêts n’apporte pas grand chose : nous importons toujours 40 % du riz et des volailles.
Sans doute James Shikwati appelle-t-il l’Etat à mettre de côté de nombreuses terres pour une agriculture collectivisée. Nous avons pris cette voie tortueuse il y a cinq décennies, avec les résultats que l’on sait. Imaginons le chaos au Kenya si l’Etat devait superviser la redistribution des terres – sachant qu’il n’a pas encore récupéré des conflits postélectoraux liés en grande partie à la question foncière.
En dehors de cela James Shikwati avertit les propriétaires fonciers africains de se méfier des étrangers prétendant vouloir nourrir les affamés locaux. Mais ne vont-ils payer des impôts et employer des locaux ? Voilà une suggestion que Meles Zinawe en Ethiopie saisirait au vol : il a soutenu que permettre aux Ethiopiens de posséder leur terre leur ferait la vendre aux multinationales. Il semble avoir cependant oublié un principe élémentaire de marché : cela demande un acheteur et un vendeur à un prix sur lequel ils se sont accordés. Si le prix en vaut la peine, l’acheteur doit avoir un projet pour rendre cette terre rentable. Il ne faut alors pas s’étonner si l’Ethiopie dispose de 60% de terres arables mais n’en cultive que 10%. Et bien sûr l’Ethiopie trouve l’aide alimentaire pratique comme moyen pour contenir ses citoyens, en permanence dépendants de leur Etat.
Plutôt que de faire fuir les investisseurs, pourquoi ne pas créer des accords selon lesquels par exemple il doivent installer au niveau local des usines de conditionnement agricole pour ajouter encore de la valeur à leur produit. Cargil et Nestlé au Ghana sont tenus de faire cela avec notre cacao et ils trouvent la solution acceptable. Et imaginons les effets de ricochet simplement en termes d’emploi ! Mais évidemment j’imagine que cela ne pourra arriver que lorsque la campagne qu’endossait à une époque James Shikwati pour arrêter l’aide internationale, génératrice de corruption et d’absence d’état de droit, sera entendue par les Etats occidentaux.
Franklin Cudjoe, directeur d’IMANI, Ghana, rédacteur d’AfricanLiberty.org.
Salut à tous,
quelqu'un pourrait il me renseigner sur un site ou une entreprise qui
comercialise le type de structure d'élevage indiqué par les photos en fichier
joint? merci d'avance.
Dr Cyrille N'Gouan KOUASSI
Chercheur - Hydrobiologiste
Chef de Programme Pêche et Aquaculture Continentales
Centre Nationale de Recherche Agronomique (CNRA)
Côte d'Ivoire
Adresse : 08 BP 33 Abidjan 08
Tél: (225)22 44 28 58
Fax: (225)22 44 21 08
Cel: (225)05 78 24 55 / 03 48 90 18
Email: cyrillengk(a)yahoo.fr
________________________________
De : Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
À : cyrillengk(a)yahoo.fr
Envoyé le : Jeu 15 juillet 2010, 6h 43min 11s
Objet : Re: recherche d'infos
Bonjour Cyrille,
Je vais me renseigner, mais je te conseillerais de poster la question
directement sur les listes francophones
(sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk) et anglophones
(sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk)
Bien amicalement
Lionel
Le 14 juil. 2010 à 19:36, Cyrille N'Gouan KOUASSI a écrit :
cyrillengk(a)yahoo.fr has sent you the following via YouSendIt
>Salut Lionel connais tu un site qui commercialise le type de bassin sur les
>photos. merci d'avance
>
>2 files were sent to you:
>Bassins polygonaux.doc
>Bassins polygonaux.doc
>
>Size: 606 KB Files will be available for download until July 21, 2010 10:36
>PDT. Download
>
>If the above link does not work, you can paste the following address into your
>browser:
>https://rcpt.yousendit.com/909300105/b118e903ec7e3bca16b1386349e1ba20
>YouSendIt, Inc. | Privacy Policy
>1919 S. Bascom Ave., Campbell, CA 95008
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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Nom: Bassins polygonaux.doc
Type: application/msword
Taille: 310272 octets
Desc: non disponible
URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Début du message réexpédié :
> From: dnp [mailto:dnp@cefib.com]
> Sent: 07 June 2010 16:19
> To: William Leschen
> Subject: Recherche de spécialistes
>
> Bonjour Will,
>
> Un opérateur économique malien va investir dans la pisciculture intensive en
> eau douce. Il veut construire une ferme où il pourra produit 75/kg/m3.
>
> Il m'a chargé de lui trouver un technicien spécialiste capable de conduire
> ses activités. Il est souhaitable que le candidat soit un francophone.
>
> Pourriez-vous nous aider à en trouver.
>
> Merci et à bientôt.
>
--
Visitez mon blog / Visit my blog :
http://aquaculture-notes.blogspot.com/
Bonjour Salomon,
La plupart est sur des sites qui ne permettent pas de les télécharger mais si tu as le logiciel Firefox, tu peux quand même essayer d'installer l'extension DownloadHelper qui te permettra d'en récupérer quelques-unes (sous réserve que les copyrights le permettent). Pour plus d'info:
http://www.downloadhelper.net/
Bien amicalement
Lionel
Le 13 juil. 2010 à 17:44, hinnoude salomon a écrit :
> Bonjour Lionel,
> Pourrais-tu m'indiquer comment télécharger les vidéos aquacoles disponibles
> sur le site de SARNISSA ? J'ai maintes fois essayer sans succès...
> Bien à toi
> Salomon
>
> -----Message d'origine-----
> De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
> [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de
> Lionel Dabbadie
> Envoyé : mercredi 7 juillet 2010 21:40
> À : Liste Sarnissa
> Objet : Re: [Sarnissa] Co-construction d'un modèle de pisciculture dans la
> Région Ouest, Cameroun
>
> Bonjour Salomon,
>
> Tu peux la télécharger à cette adresse:
>
> http://filex.cirad.fr/get?k=7uZ4H3BrNlM2xFIhfNd
>
> Bien amicalement
>
> Lionel
>
>
>> De : "hinnoude salomon" <hinnoude.salomon(a)yahoo.fr>
>> Date : 7 juillet 2010 20:29:14 HAEC
>> À : <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
>> Objet : RE: [Sarnissa] Co-construction d'un modèle de pisciculture dans la
> Région Ouest, Cameroun
>>
>>
>> Salut Lionel,
>> Cette vidéo est-elle en téléchargement libre? Si oui, comment?
>> Amicalement,
>> Salomon
>
> -------------- section suivante --------------
> Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
> URL:
> <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2
> 0100707/9bb3986a/attachment.htm>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
--
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