Chers membres SARNISSA
Très heureux de vous rencontrer tous, j'ai suivi les nombreuses discussions
intéressantes de votre forum et j'espère que je peut être en mesure de
contribuer à l'avenir
Mon nom est Richard Cook du Royaume-Uni et mon domaine d'intérêt est la
gestion durable des ressources aquatiques. Plus récemment, j'ai travaillé
dans divers pays asiatiques mise en place d'installations d'aquaculture et
de la mise en œuvre des systèmes environnementaux et de qualité pour le
producteur norvégien de tilapia (s), et GenoMar Trapia
Je suis très passionné par la gestion de l'environnement et de qualité pour
l'aquaculture et le considèrent comme l'un des éléments les plus importants
dans l'industrie de l'aquaculture d'aujourd'hui. Je voudrais bien continuer
à contribuer à la croissance réussie à long terme de l'industrie et, par
conséquent décidé de mettre en place un groupe de consultants à cet effet.
S'il vous plaît voir www.eaqua.co.uk pour plus d'informations
Cordialement,
Richard Cook
Managing Director
eAqua Ltd
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Bonjour,
Pour les personnes concernées, vous pouvez télécharger le Manuel de gestion des aires protégées d'Afrique francophone à cette adresse
http://www.awely.org/index.php?option=com_content&task=view&id=158&Itemid=1…
Merci à James Muir/Will Leschen
Amitiés
Lionel
Le 17 mai 2010 à 08:52, William Leschen a écrit :
> Manual for managers of protected areas in African French speaking countries
>
> Background
> Protected areas in French speaking countries are very divers, from a national park with its public management to conservation areas managed by local communities. Whatever the case, these protected areas seem to develop less attention than PA from English speaking countries. In reason of a lower abundance of large mammals and of a less developed tourism history, these areas are less visited. Add to this the fact that most of the books dealing with the management of protected areas are written in English and so are no understood by most of the warden on the field.
>
> The idea to write a Manual for manager was born during training sessions where the new concepts of management were presented. The first objective was to collect all the presentations of the training sessions and to give them to a large panel of wardens. The second origin of the manual was a project of a book describing the life of a manager of a national park. Both ideas were incorporated into a single project: the manual.
>
> Development
> The main objective of the manual is to provide on a simple way answers to questions that are often asked by managers and wardens during their daily tasks. The manual would like to help managers to do other thinks than searching for publications and in particular their work on the field. Texts are written so that each subject is presented in a logical way to take a decision: what is the problem? what is the issue? Why is it important? When is it necessary to intervene? Who is the responsible? How to do? These questions are developed in different chapters dealing with the different aspects of the management.
>
> The authors
> The writing team is composed of 95 persons: managers of protected areas in France and in Africa, NGO representatives, veterinary, scientists... from 15 African French speaking countries, but also from English speaking countries (United Kingdom, South Africa and Australia). The objective was to share as much information as possible so to develop a very useful manual
>
> The manual
> It is published on a CDrom and send to as many protected areas as possible. All requests for the manual could be send to Patrick Triplet (patrick.triplet1(a)orange.fr) with the indication of the address and of the number.
>
> Its reference is:
>
> Triplet P. (2009) Manuel de gestion des aires protégées d’Afrique francophone. Awely, Ministère de l’écologie, 1234 p.
>
> It could be load at :
>
> http://www.awely.org/index.php?option=com_content&task=view&id=158&Itemid=1…
>
> There is a specific group on Facebook
>
> http://www.facebook.com/group.php?gid=171592822154
>
>
> Patrick
> Patrick Triplet
> Syndicat Mixte Baie de Somme
> 1, place de l'Amiral Courbet
> F 80 100 Abbeville
> +33 (0)6 86 67 97 92
> The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
> The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number SC 011159.
Bonjour,
Vous trouverez ci-joint quelques photos de la visite de la Banque
Mondiale à Royal Fish Bénin.
Bravo à Maurice !
Amitiés
Lionel
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Type: application/pdf
Taille: 3210161 octets
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Bonjour tout le monde,
Je m'appelle Yolaine Beyens, et depuis quelques mois, je suis inscrite à votre mailing list. Je reste impressionnée par son activité! Je n'avais pas encore eu le temps d'écrire quelques mots pour me présenter. Voilà qui sera fait!
De formation initiale en biologie marine, j'ai fait un master en pêche et aquaculture dans le Pays de Galles. Depuis, après un séjour en Irlande où j'ai travaillé dans une ferme marine (conchyliculture), j'ai tourné mes pas vers l'Afrique où j'ai grandi, et un peu Haïti. J'ai acquis 10 ans d'expériences majoritairement en pêche artisanale dans des projets de développement en tant qu'Assistante Technique (un peu en empoissonnement de plan d'eaux à partir de piscicultures en Haïti). C'est un peu plus récemment, que je me suis intéressée aux conditions d'hygiène à respecter pour avoir un poisson de qualité pour les pêcheurs et les mareyeurs et aussi plus globalement les critères d'accès à appliquer pour les gouvernements et les services d'inspection des produits halieutiques pour accéder au marché européen. Mes dernières missions sont l'évaluation des conditions sanitaires de la pêche artisanale et de la formation
en Bonnes Pratiques d'Hygiène aux acteurs de base. Je fonctionne à présent en court - terme, de la Belgique.
________________________________
In respect of the environment, please do think twice before printing this mail!
Yolaine BEYENS
Fisheries Expertise
Dieweg 30A, B - 1180 - Brussels (Belgium)
Tel/Fax : + 32 (0)2 374 36 25
Mail : yolaine_beyens(a)yahoo.fr
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Bonjour Lionel,
Je viens par ce message faire la présentation de
l'aquaculture en Guinée suivant le Genre comme demandé.
Je
voudrais signifier ici l'intérêt que revêt ce concept "Genre en
aquaculture"dans le but d'une harmonisation des avantages d'un
développement de la pisciculture surtout familiale en Afrique sub
sahariènne, gage de l'accroissement du taux de consommation per catica
et des revenus des ménages ruraux plus exposés à l"insécurité
alimentaire.
Par ailleurs, j'aurais voulu que nous analysions le
"Genre en aquaculture" dans sa dimension réelle de concept de
développement durable. Ce qui signifie de savoir que le genre est
différent de proportion de femmes par rapport aux hommes dans les
maillons d'une activité donnée.
Qu'en cela ne tienne, voici les
données sur la Guinée
conakry
1- Institutions de
formation en pêche et aquaculture: Il n'existe aucune dans mon
pays. Cependant, la pisciculture générale est dispensée comme matière
dans les instituts agro zootechniques et vétérinaire ( préfectures de
Faranah 1984 et Dalaba 2009) et les écoles nationales professionnelles
de l'élevage ( préfectures de Macenta 1989, Kankan 1989 et Mamou1990).
Suivant
les informations données pendant ma formation Universitaire 83-89,
celui qui nous a enseigné la pisciculture disait qu'il a commencé à
donner ce cours en 1980.
2- Les
diplômés en pêche aquaculture: Au regard de ce qui précède, il
n'existe pas de diplômés femmes et hommes en aquaculture sortis des
institutions de formation en guinée. Tous les diplômés en pêche et
aquaculture évoluant dans le privé (très rare) ou dans l'administration (
pour la plupart) sont
des personnes ayant résidé à l'extérieur ou bénéficié de formations
postes universitaires dans les pays comme: France ( Nantes), Canada,
USA, Belgique (Liège),
En plus, pour le grand nombre des cadres,
les certificats et attestations disponibles sont obtenus à travers des
stages de formation théorique et pratique de 4 à 12 mois dans les pays
comme: Côte d'ivoire, Sénégal, Corée du nord, chine, japon, Malaisie,
France, Belgique, Egypte,
- Proportion de femmes: Aucune femme à ma connaissance
dans le privé et 2 hommes qui se réclament sortants des écoles
professionnelles de la Côte d'Ivoire
3- Au niveau du Ministère de la pêche et de l'Aquaculture:
Tous les cadres de ce département sont des diplômés en Zootechnie,
Médecine vétérinaire, Biologie, Biochimie,
Agronomie, Aménagement, ......
- Ceux qui ont fait des études
postes universitaires il y a : 0 Femme contre plus de 5 hommes
- Pour
les stages: en aquaculture 1 femme contre plus de 10 hommes; en pêche
plus de 30 hommes contre moins de 10 femmes.
En ce qui concerne
ma Direction nationale (pêche continentale et aquaculture) sur un
effectif de 45 personnes il n'y a que 4 femmes dont 3 à conakry et 1 à
N'Zérékoré. Ce qui ne signifie pas qu'il n'y a aucune autre dans les
autres services du Ministère de la pêche et de l'aquaculture peu
maîtrisés par moi. Je ferai mon possible pour m'informer au près du D R
Humaine.
Comme je l'ai signifié
plus haut, en terme de concept "Genre" il est utile et important de
savoir la position de décision de ces femmes, leur appartenance
ethnique, leur âge, pourquoi pas leur état physique...; bref
c'est pas seulement le nombre qui importe en
analyse "genrée", il y a les autres aspects
Thème très
intéressant à explorer aussi dans la mise en œuvre des projets.
Cordialement
à toutes et tous
Sidiki KEITA, Directeur régional de la pêche et de l'aquaculture, N'Zérékoré
République de Guinée, Conakry
Tel: (00224) 63460143/ 60578389/ 64460143
Email: sidikikeita(a)yahoo.fr
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voici un sujet pertinent à mon avis sur lequel l'on pouttait achanger
je m'onteresse beaucoup aux question genre et développement de l'aquaculture
l'on pourrait y revenir les jours avenir
Mme Colette KABORE
Ingénieur Halieute , spécialiste en genre et développement
Direction Générale des Ressources Halieutiques
03 B.P. 7044, Ouagadougou 03
Tél. (226) 50356036
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Bonjour tout le monde,
Merci beaucoup Lionel Dabbadie,
Cette information est très importante pour moi car j'ai une idée de repeupler aussi l'Est de Madagascar (Soanierana-Ivongo jusqu' à Brickaville) par l'espèce Astacoïdes madagascariensis, qui est une écrevisse géante qui est très menacée de disparition à cause de la sur-exploitation et surpêche.
Cordialement,
Romaric Hubert TSARAMARO
--- En date de : Mer 12.5.10, Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr> a écrit :
De: Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
Objet: [Sarnissa] Projet de ré-introduction des poissons en voie d'extinction dans leurs habitats naturels dans le nord-est de Madagasca
À: "Liste Sarnissa" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Cc: "Beyens Yolaine" <yolaine_beyens(a)yahoo.fr>, scorp92(a)free.fr
Date: Mercredi 12 mai 2010, 21h03
Bonsoir à tous,
Vous trouverez sur le site http://madcichlides.free.fr le descriptif d'un projet très intéressant et original qui m'a été signalé par Yolaine Beyens: Projet de ré-introduction des poissons en voie d'extinction dans leurs habitats naturels dans le nord-est de Madagascar. Reconstitution de la population de « Paratilapia polleni » par la reproduction en captivité et ré-introduction des alevins dans les principales rivières de la région.
Bien amicalement à tous
Lionel
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
Bonsoir à tous,
Vous trouverez sur le site http://madcichlides.free.fr le descriptif
d'un projet très intéressant et original qui m'a été signalé par
Yolaine Beyens: Projet de ré-introduction des poissons en voie
d'extinction dans leurs habitats naturels dans le nord-est de
Madagascar. Reconstitution de la population de « Paratilapia polleni »
par la reproduction en captivité et ré-introduction des alevins dans
les principales rivières de la région.
Bien amicalement à tous
Lionel
Bonjour Salomon,
Merci pour ces informations extrêmement intéressantes ! Tu fais bien de pointer du doigt cette formation hors des pays d'origine. Je vais faire suivre la demande aux principales universités françaises, belges et européennes qui forment des cadres africains francophones en aquaculture. Je ne sais pas s'il est possible d'obtenir des statistiques auprès d'eux.
Bien amicalement
Lionel
Le 11 mai 2010 à 21:39, Salomon Hinnoudé a écrit :
> Bonjour Lionel,
> J'espère que tu te portes à merveilles. A propos des données recherchées par
> nos deux amis, je ne suis vraiment pas en position de bien répondre.
> Néanmoins, je voudrais porter à ta connaissance qu'au Bénin, il n'y a aucune
> institution universitaire offrant des formations en aquaculture; par
> conséquent, il n'ya pas de diplômé(e)s en aquaculture à proprement parler
> et qui soit formé au Bénin. Ainsi, plus de 80 pour cent des cadres et
> techniciens(MSc, PhD, DEA, Ingénieurs BAC+5,Ingénieurs BAC+4,BTS,DESS,DEAT,
> BEAT...)diplômés intervenant dans le domaine de l'aquaculture tant au niveau
> de la formation universitaire qu'au niveau du MAEP(Ministère de
> l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche) sont formés dans d'autres pays.
> Par ailleurs, quelques cours (pisciculture générale, écologie des milieux
> aquatiques, océanographie, démographie des poissons, pisciculture appliquée,
> hydrobiologie...) intègrent la formation des Licences Professionnelles,
> Ingénieurs Agronomes et des DESS (Option Aménagement et Gestion des
> Ressources Naturelles[AGRN]) formés à la FSA (Faculté des Sciences
> Agronomiques) et des Ingénieurs des travaux, Licences
> Professionnelles(option Production et Santé Animales et option Aménagement
> et Protection de l'environnement) formés à l'EPAC(Ecole Polytechnique
> d'Abomey-Calavi).Notons que ces deux entités de formation sont sous la
> tutelle de l'Université d'Abomey-Calavi(UAC), l'une des deux universités
> d'Etat au Bénin. De plus, certaines initiatives fiables sont menées par le
> docteur Ibrahim IMOROU TOKO(Professeur Assistant au Département d'AGRN et
> Responsable du Labo d'aquaculture) de la Faculté d'Agronomie de l'Université
> de Parakou(la deuxième université d'Etat au Bénin) afin que la Formation en
> aquaculture pleine place au sein de cette université.
> Concernant, le nombre de femmes et d'hommes intervenant au MAEP et à la
> Direction des Pêches au Bénin, je n'en ai vraiment pas une idée précise.
> J'essayerai de vous rechercher ces infos au plus vite et ceci dans la mesure
> de mes possibilités. Je n'hésiterai pas à vous informer de données
> nouvelles éventuelles.
> Bien cordialement,
>
> Salomon V. HINNOUDE,
> Ingénieur en Production & Santé Animales
> Professeur Certifié de Pêche & Aquaculture au
> Lycée Agricole Médji de Sékou (LAMS), BENIN
> Chef-Secteur Pêche & Aquaculture
> GSM : (+229) 95490863 / 96211147
> COURRIEL : hinnoude.salomon(a)yahoo.fr
>
>
>
>
> -----Message d'origine-----
> De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
> [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de
> Lionel Dabbadie
> Envoyé : mardi 11 mai 2010 14:28
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Cc : Sidiki Keita; Matar Diouf; Célestin Blé; Mudnakudu Nandeesha; Philippe
> Laleye; M.J. Williams; Célestin Boua Atsé; Pouomogne Victor
> Objet : [Sarnissa] Relance / Le genre en aquaculture
>
> Bonjour,
>
> Je me permets de vous relancer sur le thème du genre en aquaculture, n'ayant
> pas vu passer de message. Je pense qu'il serait dommage que l'Afrique
> francophone ne soit pas du tout représentée alors que nous avons sur la
> liste des membres appartenant à diverses universités et ministères des
> pêches et de l'aquaculture. Serait-il possible de lister les pays sur
> lesquels nous devrions pouvoir obtenir quelques données ? Je pense que sur
> Côte d'Ivoire, Cameroun, Bénin, peut-être Guinée et Sénégal nous devrions
> pouvoir collecter quelques données. Qu'en pensez-vous ?
>
> Merci et bien amicalement
>
> Lionel
>
>
>
> Le 2 mai 2010 à 16:58, Lionel Dabbadie a écrit :
>
>> Bonjour à tous,
>>
>> Le thème a déjà été abordé par Sidiki.
>>
>> Nandeesha Mudnakudu et Merryl Williams collectent actuellement des données
> sur le genre en aquaculture pour la préparation d'un article à la prochaine
> Conférence Globale sur l'Aquaculture 2010 qui se tiendra à Phuket fin
> septembre. Ils n'ont aucune donnée sur l'Afrique et l'Amérique latine et
> sont donc demandeurs d'assistance dans ces régions. Ils aimeraient obtenir
> les données suivantes:
>>
>> (a) Nombre d'hommes et de femmes diplômés aux différents cycles
> universitaires dans les institutions offrant des formations en aquaculture
> et pêche. Dans la mesure du possible, ils souhaitent obtenir les données sur
> une longue période historique, mais si cela est trop compliqué, au moins sur
> les périodes où les données sont disponibles facilement.
>>
>> (b) Nombre d'hommes et de femmes enseignants dans les institutions offrant
> des formations en aquaculture et pêche.
>>
>> (c) tout commentaire, remarque ou données que vous souhaiteriez voir
> abordé sur ce thème
>>
>> Ils souhaiteraient aussi des données sur le nombre d'hommes et de femmes
> dans les ministères des pêches des différents pays.
>>
>> Merci pour votre aide !
>>
>> Lionel
>>
>>
>>
>> Gender disaggregated data are being gathered as a background material for
> preparing a paper for panel discussion in the upcoming Global Conference on
> Aquaculture by Dr. Meryl Williams. The panel would discuss the issues
> related to human capacity development and gender issues in aquaculture. As
> the event is now postponed to September, 2010 , there is better opportunity
> for us to gather more information and strengthen discussion . In this
> regard we request the following information from those associated with the
> educational institutions to provide following information. Information from
> Africa and Latin America would be most welcome since information is totally
> lacking from those regions.
>>
>> (a) Number of men and women passed out at the undergraduate and
> postgraduate levels from the institutions offering Fisheries and Aquaculture
> education . We would appreciate information from inception to most recent
> year - if gathering information from old records would be difficult, kindly
> gather information for whatever the years readily available.
>>
>> (b) Number of men and women faculty in those institutions offering
> fisheries and aquaculture courses
>>
>> (c) Any other matter that you wish to highlight , please feel free to
> include
>>
>> We would also appreciate information on the number of men and women staff
> in the Department of Fisheries of various countries , if the data is easily
> available.
>>
>> In Asia , we are looking information from China, Vietnam , Thailand ,
> Indonesia , Philippines.
>>
>>
>>
>> _______________________________________________
>> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
>> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>>
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
Bonjour,
Voici les nouvelles études de cas disponibles en téléchargement, notamment une en français de Célestin Blé disponible sur:
https://aquaculturecompendium.wiki.zoho.com/La-Pisciculture-dans-le-Centre-….
Notez aussi en français, la revue de Gabriel Kombozi Limbeya Bolomo
https://aquaculturecompendium.wiki.zoho.com/Country-Policy-Reviews.html
Bien amicalement
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Gareth Richards \(CABI\)" <g.richards(a)cabi.org>
> Date : 11 mai 2010 13:03:10 HAEC
> À : <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : Rép : [Sarnissa] New items on the SARNISSA Aquaculture Compendium wiki
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear colleagues,
>
> An update on new resources added to the SARNISSA Aquaculture Compendium wiki (https://aquaculturecompendium.wiki.zoho.com/) over the last month.
>
> New Case Studies from SARNISSA (see https://aquaculturecompendium.wiki.zoho.com/Case-Studies.html)
>
> The development of small-scale freshwater aquaculture in Mozambique
> Blessing Mapfumo
> Aquaculture Advisor, INFOSA, The Intergovernmental Organisation for Marketing Information and Technical Advisory Services for the Fisheries Industry in Southern Africa
> - this is Blessing’s second contribution to SARNISSA – many thanks!
>
> La Pisciculture dans le Centre-ouest et le Sud-ouest de la Côte d’Ivoire : Situation actuelle et enjeux de l’encadrement technique par l’ONG APDRACI
> Célestin M Blé
> Centre de Recherches Oceanologiques, BP V 18 Abidjan, Côte d'Ivoire.
>
>
> New Country Policy Review from SARNISSA (see https://aquaculturecompendium.wiki.zoho.com/Country-Policy-Reviews.html)
>
> Rapport sur l’inventaire descriptif et bilan critique des politiques et programmes nationaux de développement aquacole en République Démocratique du Congo
> Gabriel Kombozi Limbeya Bolomo
>
>
> Many thanks to the SARNISSA team and, especially to the authors, for providing this material to be made available to all the SARNISSA members through the Aquaculture Compendium.
>
> Best wishes,
>
> Gareth
> CABI
> P Think Green - don't print this email unless you really need to
>
> ************************************************************************
> The information contained in this e-mail and any files transmitted with it is confidential and is for the exclusive use of the intended recipient. If you are not the intended recipient please note that any distribution, copying or use of this communication or the information in it is prohibited.
>
> Whilst CAB International trading as CABI takes steps to prevent the transmission of viruses via e-mail, we cannot guarantee that any e-mail or attachment is free from computer viruses and you are strongly advised to undertake your own anti-virus precautions.
>
> If you have received this communication in error, please notify us by e-mail at cabi(a)cabi.org or by telephone on +44 (0)1491 829199 and then delete the e-mail and any copies of it.
>
> CABI is an International Organization recognised by the UK Government under Statutory Instrument 1982 No. 1071.
>
> **************************************************************************
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
Bonjour à tous,
L'offre d'emploi vient d'être republiée avec nouvelle date limite de dépôt des candidatures
Bien amicalement
Lionel
http://www.reunionnaisdumonde.com/spip.php?article2615
Chargé d’appui à la filière aquacole - Ingénieur halieute
Organisme : FRANCE VOLONTAIRES
Lieu : Mozambique
Niveau d’études : Bac +4
Niveau d’expérience : Débutant
Secteur d’activité : Ingénieur, Pêche, Solidarité internationale
Statut professionnel : Employé
Type de contrat : CDD
Offre d’emploi : Volontaire dans l’océan Indien
MISSION : APPUI A LA FILIERE AQUACOLE
En lien avec l’Association Réunionnaise de Développement de l’Aquaculture (ARDA) et l’Association des Producteurs de Crevettes du Mozambique
Lieu : Région de Quelimane (Nord-Est du Mozambique)
Profil recherché :
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Formation académique dans le domaine de l’halieutique (formation type ingénieur agronome ou Mater 2 Pro en Ecologie Tropicale)
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Bonnes facultés d’adaptation et de compréhension du milieu de la pêche
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Pratique de l’Anglais courant
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Pratique de l’espagnol ou du portugais
LES FICHES DE MISSIONS SONT DISPONIBLES ET PEUVENT ETRE CONSULTEES
Pour obtenir plus d’information sur le statut de Volontaire avec France VOLONTAIRES, prière de vous référer au site www.france-volontaires.org Ou appelez au 0262 30 96 18 Limite d’âge entre 21 et 30 ans. Durée de l’engagement : 24 mois. Les départs dans les pays d’affectation sont programmés tout au long de l’année.
Le dossier de candidature (lettre de motivation et CV) sera à adresser à France VOLONTAIRES par mail aux adresses suivantes : volontariat.afvpaaoi(a)wanadoo.fr et draaoi(a)wanadoo.fr. Tous les dossiers reçus seront traités
ASSOCIATION FRANCAISE DES VOLONTAIRES DU PROGRES - Mai 2010
Bonjour à tous,
Voici avec encore un peu de retard la traduction Google des liens ajoutés en mars sur la page:
http://www.sarnissa.org/tiki-index.php?page=Latest%20Media%20African%20Aqua…
J'ai en sorte que les titres soient compréhensibles. Comme d'habitude, si certains passages de la traduction automatique vous posent problème, n'hésitez pas à me contacter (sachant que la plupart des liens des pays francophones sont en français).
Bien amicalement à tous
Lionel
L’aquaculture en Afrique / mise à jour d'avril 2010
Monde
• Les cultures d’algues aident à réduire l’impact du réchauffement climatique
la culture d’algues réduit l’impact du réchauffement climatique, comme il a la capacité à absorber le dioxyde de carbone, selon M. Sakthivel, président, Fondation de l’Aquaculture de l’Inde, à Chennai. Cette fondation est la promotion de la culture d’algues en aidant les parties prenantes pour obtenir des prêts bancaires, subventions publiques, donner une formation technique gratuite et de la commercialisation, M. Sakthivel dit The Hindu ici le vendredi. «Depuis la bio-extrait d’engrais à partir d’algues Kappaphycus a des hormones de croissance pour les plantes, il va être une source importante pour la production de bio-engrais en Inde pour faciliter l’agriculture biologique. engrais Bio peut être extrait d’algues humides », le Dr Sakthivel ajouté. Un million de tonnes d’algues pourraient être produites en un an et environ 10 000 familles pourraient gagner leur pain quotidien en moyenne. Environ un millier de familles sont engagés dans la culture d’algues dans la baie de l’île de Palk. Chaque famille peut obtenir un minimum de Rs. 500 à Rs. 1 000 par jour [3].
• L’élevage du tilapia en Colombie-Britannique
Sjostrom a été en affaires depuis 2000, et avec l’Amérique du Nord multiplient la demande, il est aujourd’hui l’un des agriculteurs de 100 tilapia plus aux États-Unis et au Canada. La consommation annuelle de tilapia aux États-Unis a quadruplé entre 2003 et 2006, ce qui en fait le plus populaire de fruits de mer quatrième, derrière la crevette, le thon et le saumon. de risque Sjostrom en pisciculture a été motivée, au moins en partie, par ce qu’il a vu plus de 35 ans de pêche commerciale du saumon, le flétan, le thon et le hareng. Préoccupée par les dommages causés aux stocks et l’habitat causée par certaines pêches en Colombie-Britannique sauvages, le natif de Port Hardy entamé une seconde carrière comme une terre de poissons agriculteurs sec quand il était dans son milieu des années 50 - Droit à l’époque, il vendit sa ligneur à saumon et est sorti de la pêche commerciale pour de bon. Il ne savait pas quand il a commencé l’agriculture que son approche durable, présentent un intérêt potentiel pour l’avenue du saumon d’élevage de l’industrie en Colombie-Britannique, qui est actuellement assiégée par les groupes environnementaux et les amateurs de poissons de toutes les allégeances de son impact sur les écosystèmes marins et le saumon sauvage du Pacifique [6].
• Du poisson durable pour les animaux de compagnie
En 2020, les produits pour animaux de compagnie vendus sous des marques Pedigree, Whiskas, Cesar et Sheba ne contiendra aucun poisson de la pêche non durable, conformément à un engagement pris par Mars Petcare. La compagnie prévoit de remplacer les poissons entiers et les filets de poisson de la pêche sauvage par « produits durables ». Une première étape vers cet objectif sera atteint cette année avec une sélection de produits qui seront certifiés par le Marine Stewardship Council (MSC), une organisation qui travaille à promouvoir les pratiques de pêche durable [10].
• L’élevage du tilapia à Martinsville
Le sénateur américain Mark Warner en tournée Blue Ridge de l’aquaculture, le mardi pour se renseigner sur l’entreprise et son rôle potentiel dans le réaménagement de l’économie de la région. Blue Ridge L’aquaculture est le plus grand producteur au monde de tilapia à l’aide à l’intérieur des systèmes de recirculation de l’aquaculture, selon son site Web. La société produit 4 millions de livres de poisson par an et les expédie aux clients de haut en bas de la côte Est, selon le site et vice-président Franklin Jim. Warner a visité plusieurs installations de l’entreprise, y compris un 80 000 pieds carrés »naissent chambre » où les réservoirs étaient remplis de poissons à différents stades de croissance. Chaque réservoir 58.000 gallons détient plus de 30.000 poissons, a déclaré M. Martin. Au moment de la récolte, chaque réservoir produit entre 53.000 et 55.000 livres de poisson, dit-il. Chacun pèse environ 1,75 livres, at-il ajouté. Il faut environ neuf mois pour un poisson d’aller d’un œuf au point qu’elle peut être récoltée, Franklin a dit. Le processus de Blue Ridge est un usage plus efficace des ressources beaucoup plus, comme la terre et l’eau, de la pêche traditionnelle, selon Martin. Martin et Franklin ont dit qu’ils estiment Blue Ridge de l’aquaculture, à travers un partenariat public-privé avec Virginia Tech, pourrait aider à sensibiliser les entrepreneurs et les agriculteurs sur de meilleures façons de produire du poisson national. Cela est important, disent-ils, parce que les États-Unis importent actuellement environ 80-85 pour cent des Américains se nourrissent de poisson [11].
• Une étude financée par l’UE appelle à la prudence sur l'élevage des poissons transgéniques
Des chercheurs suédois ont tiré la sonnette d’alarme: la fuite de poissons transgéniques dans l’environnement naturel pourrait déclencher de nombreux problèmes et d’affecter le bien-être des gens. La recherche de l’Université de Göteborg en Suède fait partie de l’ERATS («risque écologique, l’évaluation des saumons transgéniques»), financé en vertu de la Curie Actions Marie - Bourses internationales sortantes instrument de l’UE sixième programme-cadre de la (6e PC). Une préoccupation majeure, disent les chercheurs, est que les poissons transgéniques serait battu leurs homologues naturels. Mais il est difficile de déterminer comment les poissons échappés transgéniques sur l’environnement naturel, en raison d’un environnement de laboratoire n’est pas exactement la même chose en tant que milieu naturel. «Une option consiste à cultiver les poissons transgéniques sur les terres, ce qui rendrait impossible évasion», le chercheur suédois a expliqué. «Au moins fertiles poisson doit être conservé dans un système fermé. L’élevage commercial de poissons transgéniques n’est pas autorisée partout, mais un certain nombre de demandes pour de telles opérations sont en cours d’évaluation par les autorités européennes et américaines [13].
• Gestion des eaux usées plus efficace
Une meilleure gestion des eaux usées pourrait améliorer la sécurité et la qualité de l’eau. Un document d’orientation publié par le Partenariat mondial de l’eau, met en évidence la nécessité d’intégrer des eaux usées dans les eaux de la gestion des ressources. Une meilleure gestion des eaux usées peut aider à lutter contre la pénurie d’eau et la pollution, dit l’auteur. Cela exige une approche intégrée qui englobe l’ensemble du cycle de l’eau, des ressources en eau disponibles pour le traitement et la réutilisation. Peu de pays en développement traitement des eaux usées - seulement un pour cent des eaux usées des ménages et l’industrie en Afrique est traitée - mais beaucoup ne le réutiliser, le plus souvent pour l’irrigation. Cependant bien que cette pratique peut accroître les rendements et les revenus des agriculteurs, elle exerce significative de la santé publique et des risques environnementaux - y compris la contamination des eaux souterraines et augmentation de l’incidence des maladies diarrhéiques - s’ils sont accompagnés d’un traitement efficace et de la réglementation [14].
• La France lance une nouvelle campagne pour améliorer l’image de la pisciculture
Critiqué pour la production de polluants et de mauvais poissons, les poissons d’élevage français du secteur «refuse le mélange » avec les poissons de l’industrie agricole »basée en Asie ou en Afrique ». Pascal Le Gal, président du Comité interprofessionnel de l’aquaculture (CIPA) se plaint de la mauvaise image du secteur. « Nous n’avons aucune raison d’avoir honte de ce que nous faisons ». En lançant une campagne de marché en avril, avec une nouvelle étiquette et ouverture au public d’une douzaine d’entreprises, l’industrie veut surmonter les stéréotypes. Le secteur compte 450 à 500 sites et 2.500 emplois directs (10.000 indirects) [18]. Mais la campagne de l’industrie qui refuse le mélange avec ses homologues asiatiques et africains ont également soulevé des réactions de l’industrie des mollusques française qui refuse le mélange avec le secteur de la pisciculture française [19].
Algérie
• Six étangs empoissonnés
Six autres étangs dans la wilaya de Ain Temouchent ont été ensemencés avec des alevins de carpe, en plus des alevins de carpe 250 stockés dans le barrage de Sidi Amar. Cette opération a été menée en collaboration avec le Centre de recherche national pour le développement de la pêche et l’aquaculture (CNRDPA) de Bousmaïl, la Direction des ressources en eau et de la commission chargée de stocker des étangs dans la wilaya. Cette nouvelle espèce an de poissons seront stockés. Il s’agit notamment de la carpe, le brochet, le mulet et le tilapia. Deux fermes privées seront en vigueur pendant la première moitié de 2010 dans la wilaya de Ain Temouchent. Le premier d’une ferme volonté de produire 600 tonnes / an de loup de mer et de dorades. Le second sera de produire 1.000 tonnes / an de semelles et 4 millions d’alevins, dit le CHRO [7].
• Un décret exécutif pour réglementer les activités aquacoles
Compte tenu du développement de l’aquaculture, un décret exécutif a été publié en vue de définir les termes et conditions d’octroi de la concession pour l’établissement d’une industrie de l’aquaculture. Le décret établit également un cahier des charges que le concessionnaire est tenu de se conformer à la [20].
• L'Algérie et le Vietnam signent plusieurs accords de coopération
Vietnam et de plusieurs accords de coopération Algérie, y compris un mémorandum d’entente et de coopération dans le domaine de la pêche et l’aquaculture. Il a été signé par le ministre délégué aux Affaires maghrébines et africaines Abdelkader Messahel, et le vice-ministre de l’Agriculture et du Développement rural du Vietnam, Quang Minh N’Guyen [29].
Congo
• Les fortes pluies détruisent les étangs de pisciculture à Kananga
Les fortes pluies sur la ville de Kananga dans la province du Kasai occidental ont complètement détruit les viviers de poissons de plusieurs. La plupart d’entre eux ont perdu tous les poissons qu’ils contenaient, générant une perte importante pour farlers poissons. Des destructions similaires ont également été enregistrés dans Nganza et Katoka [1].
• Les chinois prennent le contrôle du site de N’Sele
600 ha du Domaine Industriel agropastoral de la N’Sele (DAIPN) ’s de 3500 hectares sont maintenant sous le contrôle de la société chinoise ZTE Agribusiness Congo Sprl. Cela fait partie d’un accord signé par le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Elevage, Norbert Basengezi Katintima. La ferme possède 11 DAIPN étang qui ont été réhabilités et de produire des alevins [2].
Egypte
• Lancement du projet biocarburants aquacoles
Basée à Houston projets énergétiques développement de la société Energy Allied International et la Fondation d’eau de mer et Global eau de mer, Inc, pionniers dans le développement de systèmes intégrés d’eau de mer des systèmes d’agriculture (ISAS), ont signé un protocole d’entente pour élaborer à l’échelle commerciale au monde la première base des biocarburants eau de mer du projet en Egypte: « Nouveau Nil Co. » Il sera l’un des plus gros investissements des biocarburants à ce jour au Moyen-Orient ou en Afrique. ISAS est un modèle de production des biocarburants de pointe qui utilise l’eau de mer des effluents de l’aquaculture comme un engrais naturel à se développer de grandes plantations de l’halophyte (résistante usine de sel naturellement) salicornes, qui peuvent générer des volumes lourde de grade d’huile végétale de haute pour utilisation comme matières premières des biocarburants. Nouveau Nil plans pour produire des dizaines de millions de LTS de biocarburants à partir d’un projet de site ha-50.000. Conjointement avec l’entreprise de conception d’architecture de premier plan et projet de plomb conseiller en planification de la, Gensler, les développeurs envisagent actuellement l’emplacement des sites potentiels le long de la Méditerranée et côtes de la mer Rouge. Déjà avoir appliqué avec succès le modèle ISAS en Erythrée après avoir procédé à la recherche générale et le développement au Mexique, les développeurs sont sûrs de parvenir à des résultats favorables de même en Égypte [32].
Côte-d’Ivoire
• L'Association France-Bénin
L’ Association France-Bénin sera présenté le film réalisé par son président George Dutreuil sur ses diverses activités, y compris un centre de pisciculture en Côte-d’Ivoire [28].
Kenya
• Les éleveurs de poissons des terres arides
Les fermes piscicoles sont en germination improbable des lieux - les zones arides des terres arides du Ukambani. Des centaines d’étangs de pisciculture sont en cours de construction dans la région et d’autres régions arides et semi-arides Merci terres à un projet du gouvernement visant à stimuler l’économie rurale. Les circonscriptions sont dans les zones d’aquaculture élevé de centre du Kenya, Kenya occidental, et des parties de la vallée du Rift, Nyanza, de l’Est et régions de la côte, avec des plans à grande échelle dans d’autres régions dans les états financiers de l’année prochaine. Connu sous le nom de pisciculture programme de l ‘entreprise, l’entreprise est une aubaine pour les agriculteurs comme Maingi dont le gouvernement s’appuie désormais sur l’approvisionnement alevins pour empoissonner les étangs 28000 à être mis en place par Juillet de cette année. Dans le cadre du programme géré par le ministère de la Pêche, les agriculteurs sont aidés à construire un étang et les stocker à la qualité des alevins, gratuitement. Le Sh1.12 milliards programme a été lancé en Janvier et jusqu’à présent, certains sont prêts 13 444 étangs rapport à l’objectif de 28.000. M. Sammy Macharia du ministère des pêches dit du Trésor a jusqu’ici publié Sh623 millions, suffisamment pour construire 14.000 étangs de pisciculture, les stocks de juvéniles et d’acheter RSS pour durer huit mois lorsque le poisson est prêt pour la récolte. Outre le poisson-chat et le tilapia, il se cabre à la vente, M. Maingi soulève des milliers d’alevins qui il fournit aux agriculteurs soutenus par le programme. Jusqu’à présent, il a livré 30.000 alevins de Taita Taveta, Kitui (10.000), Machakos (30.000) et Kajiado du Nord (30.000) [22].
• Sh138 millions de dollars pour les pisciculteurs
Pisciculture dans le Rift du Nord a généré plus de Sh138 millions l’an dernier, plus d’agriculteurs sont aventurés dans le sous-secteur en raison de ses rendements attrayants. Une moyenne de 1,012 tonnes métriques de poisson ont été produites à partir de l’aquaculture. Les captures devrait augmenter suite à des campagnes agressives par le ministère des Pêches. Moi Université a joué un rôle dans l’éducation des agriculteurs dans les poissons modernes techniques agricoles dans l’Ouest du Kenya région. Dans le même temps, les agriculteurs des forêts privées de la région gagnent des millions de shillings à partir du sous-secteur en raison de la hausse des prix des produits de lots boisés. Le revenu annuel à partir de produits du bois a augmenté de Sh9.8 millions de dollars pour Sh14. 5 millions [25].
Madagascar
• Intermarché s'engage pour un commerce responsable avec Unima et l’UNICEF
Intermarché signé au siège du groupe à Bondoufle (France), un accord de partenariat avec les producteurs de crevettes Unima, en provenance de Madagascar. Ce partenariat porte sur l’élaboration d’une opération de marché du 4 mai au 15 pendant Fairtrade de deux semaines. Pour chaque kilo de crevettes de Madagascar acheté, Intermarché s’est engagé à faire don d’un euro pour la construction d’une école et une bibliothèque dans un village de Besoka, Ouest de Madagascar. Cette répond à trois objectifs:
• S’engager dans une action concrète qui répond aux besoins réels
• Promouvoir une aquaculture durable des crevettes juste
• Permettez aux clients de découvrir un nouveau produit présentant des caractéristiques spécifiques
Avec cette opération, les fonds collectés servent à financer la construction d’une école secondaire publique en partenariat avec l’UNICEF. L’ouverture est prévue pour Octobre 2010. L’Alliance française, déjà partenaire sur le programme Unima seront également associés à ce projet pour la fourniture de matériel d’apprentissage et de la bibliothèque de l’école [30].
Mali
• Un fonds koweïtien pour développer la pisciculture
Le Fonds koweïtien a accordé un prêt Mali une valeur de 7,5 milliards de FCFA pour le développement de l’irrigation dans le Bani et Sélingué. Ce programme permettra également de construire 270 hectares d’étangs de pisciculture. Il est prévu qu’elle produira annuellement 880 tonnes de poissons. Le programme touchera directement près de 12.000 agriculteurs et quelque 100.000 à 110.000 personnes. Cet accord de prêt est le onzième entre le Mali et le Fonds koweïtien du Mali. Le Mali est le premier partenaire du Fonds en Afrique [4].
• Conflit foncier dans Nossombougou s’arrête projet de pisciculture
Nossombougou village, situé dans le cercle de Kolokani est actuellement l’objet d’un litige foncier qui oppose M. Diallo Cheickna Wélé et certains résidents de la localité. M. Cheickna Diallo Wélé a acquis 100 hectares Nossombougou d’établir une ferme laitière et de poissons. Les estimations de cet investissement était d’environ 2,8 milliards de francs CFA. Toutefois, un conflit foncier arrêter l’investissement et de projet jusqu’à maintenant [15].
Maroc
• SM le Roi inaugure les laboratoires centraux de l’INDH
Sa Majesté le Roi inaugure à Casablanca, les laboratoires centraux de l’Institut national de recherche halieutique (INRH), fait pour un investissement total de 90 millions de DH (MDH). Après avoir dévoilé une plaque commémorative et coupé le ruban, le Souverain a effectué une tournée à travers le scientifique nouvelle structure, construite sur un terrain de 8.000 m2, qui comprend 15 laboratoires qui peut accueillir une centaine de spécialistes en recherche sur les pêches. Dans le cadre du plan stratégique « Halieutis », ces laboratoires sont organisés en trois divisions consacrées à la recherche sur les ressources marines, l’océanographie et de l’aquaculture, et de surveillance de la qualité et la sécurité du milieu marin [17].
Namibie
• Des poissons et crocodiles dans les carrières des mines Uis
L’étain carrières ancienne mine d’Uis, tantôt pleine d’eau, deviennent les lieux de reproduction du tilapia, poisson-chat ... et les crocodiles du Nil occidental - qui est commercialement. Johan van der Westhuizen, un homme d’affaires local et créateur du Tilapia de l’ISU et ferme de crocodiles, de pépinière et d’élevage, a déjà obtenu son plan glissant avec pépinière et l’éclosion des installations à sa loge, et un système de culture à la carrière du côté sud de la vieille mine d’étain. Le tilapia d’élevage sont par milliers, et depuis qu’il a commencé en août dernier, il a déjà éclos 50 000 «menu fretin» (alevins). Il a également déjà fourni 120 poissons aux points de vente à Windhoek, et le but est de pousser la production à quatre tonnes par mois. L’écloserie est composé de plusieurs petits bassins, où les poissons sont élevés, éclos et soigné dans des conditions idéales jusqu’à ce qu’ils soient assez grands pour passer à la «cages flottantes» dans la carrière de la mine. Dans les huit mois, les poissons atteignent une taille de production avant d’être récoltées et vendues. Comme pour les crocodiles, les plans sont en mouvement, là aussi, et Van der Westhuizen attend de subir l’opération et en cours d’exécution en fin d’année. La ferme croc seront également organisées à la carrière, et le produit principal sera croc-en cuir avec un produit dérivé sous la forme de viande - déjà sur le menu de plusieurs restaurants et auberges à travers le pays et commercialisé pour sa santé zéro Cholestrol de qualité. Le projet a récemment reçu une subvention de près de N 800 000 $ du gouvernement japonais [12].
• Construction d'une nouvelle unité de production de poissons
Le ministère des Pêches et des ressources marines (MFMR) a commencé la construction d’un nouveau poisson de sélection végétale au Leonardville km au sud 170 de Gobabis la semaine dernière. Il sera l’un des plus équipés usine de pays plus grand et de son genre. Le projet coûtera environ 36 millions NAM (USD 4,9 millions). «La ferme, contrairement à d’autres, sera équipé d’une écloserie, une pépinière ainsi que d’un étang-out croissance pour l’élevage de tilapia et le silure. Ce sera la première du genre en Namibie, a déclaré le directeur de l’aquaculture Dr Ekkehard Klingelhoeffer, rapports Informante. La ferme d’élevage Leonardville emploiera environ 30 collaborateurs permanents et un montant supplémentaire de 30 à 60 agents temporaires pour le bon fonctionnement de l’usine. La capacité initiale de production de l’usine sera d’environ 36 tonnes par an et, idéalement, à la pleine production, 120 tonnes par an [23].
Nigeria
• Kado: pas d'eau, mais le plus gros marché aux poissons d’Abuja
Marché aux poissons de Kado situé à vie dans un camp à Abuja est probablement le plus grand marché de poissons au sein de la FCT et de ses environs. Selon les résultats, les différentes espèces sont dérivées de sources nombreuses, mais un pourcentage plus élevé sont de la partie ouest du pays notamment Ijebu Ode et Ibadan. Il est également appris que de nombreux habitants de la FCT sont actuellement engagés dans la pisciculture. Le marché a commencé il ya dix ans et a fini par être le siège des commerçants de poisson dans le FCT. M. Raji a déclaré le poisson-chat, avec de nombreuses variétés, est le plus populaire parmi les autres. Electric est le poisson le plus cher, mais a peu de viande très à la consommation. Il a une épaisse couche très. Les gens les achètent à des fins spécifiques. Le peu de viande pour la consommation laissés par sa nature est très délicieux. Une petite taille de ces poissons pesant 2,2 kg et coûte pas moins de N3, 000. M. Jerry S. Adamu du l’Institut nigérian des Pêches, New Bussa et membre du Nigeria Union des Pêcheurs Professionnels et de la mer des aliments (NUFAS), dit depuis le poisson exposition 2005 à Le Méridien Hôtel dans le FCT, de nombreuses personnes ont investi dans la pisciculture au Nigeria. Il ne s’agit pas seulement du poisson frais uniquement. Alhaji Ibrahim Suleiman Kano a déclaré que le marché se concentre majorly sur la vente de poisson frais, mais le manque de puissance constante les a forcés à se plonger dans des affaires de poisson séché. Ceux qui fréquentent le marché, toutefois, confirmé que les prix des poissons sont abordables à Fish Kado marché [14].
• Lagos présente son évaluation agricole
Il est devenu une tradition pour les ministères de l’État de Lagos à rendre compte de leurs réalisations perçu chaque année, alors qu’il était en ligne avec celle du ministère de l’Agriculture et de coopération, sous la direction du chef Enock Ajiboso a présenté ses tableaux de bord la semaine dernière. S’exprimant lors de la Khalto Centre de presse Bagauda, Alausa, en commémoration de trois ans au Bureau de l’administration, le commissaire à l’Agriculture a noté que la tâche de nourrir plus de 18 millions de personnes dans l’État est une tâche énorme dans un état mégapole qui a la plus forte population densité et que le problème est plus complexe avec son statut industriel de haute, avec beaucoup de besoins concurrents pour la terre. Le ministère de l’Agriculture de l’État, par exemple, a élargi sa marine Agriculture (LASMADEP) l’initiative en mettant à profit son potentiel aquatiques vers la production de poisson s’est accélérée en l’état. L’initiative LASMADEP a créé 400 emplois directement aux bénéficiaires et plus de 10.000 emplois indirects pour les fabricants cage, pour nourrir les meuniers et les ventes, la commercialisation du poisson, les transformateurs et le stockage, entre autres, avec la possibilité de spécialisation. Le ministère a également pris des mesures pour reconstituer le seuil de la baisse des plans d’eau à l’état pour améliorer débarquement du poisson. L’initiative a également été AGRIC_YES conçu pour produire de première classe entrepreneuriale agriculteurs d’élite dans le domaine des volailles, la pisciculture, l’agriculture et tous les bee_keeping de légumes de saison ainsi que de corriger les problèmes de l’ancien règlement systèmes agricoles dans l’État. Enock Ajiboso a déclaré: «A ce jour, Cage et le système de culture Pen s’est diversifiée dans la culture de tilapia et Chrysicthes (Obokun) en plus du poisson chat qui est déjà populaire dans l’État. Initiative privée a augmenté le nombre de cages de neuf à la phase pilote à 29 échelle de l’État. Les communautés dans lesquelles les étapes pilotes ont été créés ont pris possession des installations ainsi que repeupler même sur une base durable. « Le Ikorodu Fish Farm Estate, qui a été entièrement souscrites produit actuellement à 60 p. cent de sa capacité. Une moyenne de 3.000 tonnes de poisson frais a été produite chaque année de la succession avec plus de 400 emplois créés directement et indirectement plus de 100.000 emplois. Un centre d’incubation technologique a été ajoutée avec les couvoirs et les installations de transformation qui ajoutent de la valeur de la succession. Autorisation a également été donné pour la mise en place d’un marché moderne des poissons dans le sstate qui faciliteraient l’accès des citoyens à acheter du poisson à tout moment et le jour indépendamment du acheteurs emplacement de l’. « Avec le succès enregistré à Ikorodu, le ministère a autorisé un terrain agricole 60 ha à Ketu, Ereyun à Epe LGA 400 parcelles pour une autre capacité Fish Farm Estate. Le terrain a été examinée et disposées à la clôture de l’avant, la porte et le bureau de chantier en place . Le domaine qui sera le plus grand poisson Ferme Propriété de l’Afrique va produire environ 20.000 tonnes de poissons frais par an « , a déclaré le commissaire [24].
Sénégal
• Modernisation de l’agriculture: Madické Niang veut la participation de la Turquie
Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Madické Niang a exhorté mardi à Dakar la Turquie à s’engager dans la modernisation de l’agriculture du pays pour l’aider à améliorer le rendement. ‘’Si le commerce est la principale composante de la coopération entre les deux pays, nous devons explorer d’autres domaines comme l’agriculture, mais aussi la santé, de l’élevage, l’aquaculture », a déclaré le ministre qui a ouvert la deuxième Commission mixte entre le Sénégal et la Turquie [9] [21 ].
• La surexploitation entrave le développement de la pêche
Le Sénégal a adopté dans les dernières décennies une politique d’incitation pour accroître la capacité de capture de la pêche. Mais cette politique doit maintenant faire face aux problèmes de conservation et de gestion durable des ressources halieutiques. Pourtant, selon les statistiques du ministère de l’Economie Maritime du Sénégal, le revenu du secteur est d’environ 185 milliards de francs CFA (environ 385 millions de dollars) par an. Le secteur offre également plus de 600.000 emplois directs et indirects. L’aquaculture est encore à ses débuts, bien que son développement dans les quelques dernières années a été l’une des priorités des autorités sénégalaises. Sa part dans la production totale de poisson dans le pays n’était que de 0,03 pour cent en 2009. Diene Ndong, chef de projets et de planification à l’Agence nationale de l’aquaculture (ANA) estime que le déclin des stocks de poissons est liée à l’inefficacité des systèmes de production. «Le Sénégal a l’intention d’intégrer le club des pays les poissons d’élevage avec un objectif de production de 159.000 tonnes d’ici à 2015, représentant une contribution de 34 pour cent de la consommation intérieure de poisson, at-il dit à IPS [16].
• L’Agence de l’aquaculture veut transformer le Sénégal en un ’’pays aquacole’’
L’Agence nationale de l’aquaculture travaille à faire de l’aquaculture du Sénégal « irréversibles », a déclaré un de ses fonctionnaires, Ly Aminata Ndiaye. Notre objectif est la durabilité, a déclaré Mme Ndiaye qui a assisté à la 10e Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA). Pour atteindre ses objectifs, Ndiaye a révélé que l’Agence a établi un plan opérationnel stratégique, élaboré en partenariat avec l’alimentation des Nations Unies et l’agriculture (FAO). L’objectif est d’atteindre 26.000 tonnes en 2010 et 150.000 tonnes en 2015 [31].
Tunisie
• Huit nouveaux projets d’aquaculture de Bizerte
Le secteur de la pêche sera renforcé à Bizerte par huit projets d’aquaculture. Ces projets comprennent l’élevage en cage de poissons de mer (3 projets), et de la conchyliculture à Bizerte le lac et dans la mer (3) et de la pisciculture dans les barrages (2). Le coût total plus de 21 millions 227 mille dinars. Ils vont créer 122 emplois directs et produisent près de 1.500 tonnes de poissons et de crustacés par an [5].
• Tunisie-Arabie saoudite une coopération sur l’agriculture
Un calendrier de mise en œuvre des différents axes de la coopération dans l’agriculture a été adopté lors de la visite par le ministre tunisien de l’Agriculture, des ressources en eau et de la pêche dans le Royaume de 2 à 6 avril 2010. Les deux pays ont convenu de développer une coopération dans la plantation de palmier à huile, l’emballage dates, ainsi que la pêche et la pisciculture. L’Arabie saoudite côté exprimé son souhait de bénéficier de l’expérience tunisienne, en particulier concernant la production de vaccins de la pisciculture, dans des cages flottantes et de l’examen des possibilités d’investissement offertes dans ce domaine [8].
• La production agricole a augmenté de 50% depuis le Changement, affirme le président Ben Ali
Ces dernières années, la Tunisie a enregistré une augmentation dans le volume de récolte des cultures comme les céréales, l’huile d’olive, les produits laitiers et légumes de parvenir à une production agricole de 50% depuis 1987 contribue à 10% du PIB du pays l’, 10% des exportations et 18 % dans le secteur de l’emploi. Ces performances, qui ont une influence positive sur la balance commerciale alimentaire « , a atteint un taux de couverture annuelle de 94% pendant la période du 10e Plan par rapport aux estimations de% » 90, a déclaré le président Ben Ali dans son discours à l’ouverture vendredi du 14e Congrès de l’agriculture tunisienne et l’Union de la pêche (UTAP). En ce qui concerne la pisciculture, l’exploitation des richesses de la pêche et la préservation de l’équilibre biologique, le chef de l’Etat chargé «de créer un fonds pour le financement de repos biologique, ainsi que l’augmentation de 50% le plafond des investissements destinés à des projets d’aquaculture ». En outre, il a ordonné à « réaliser une étude scientifique sur les différentes techniques de pêche, en tenant compte des exigences relatives à la conservation des pêcheries, la richesse» [26] [27].
REFERENCES
[1] http://www.en24heures.com/rd_congo/destruction-a-kananga-des-etangs-piscico… (consulted on April 6, 2010)
[2] http://congoforums.net/kinshasa_12/agriculture_les_chinois_reprennent_le_si… (consulted on April 6, 2010)
[3] http://www.thehindu.com/2010/04/03/stories/2010040354070600.htm (consulted on April 6, 2010)
[4] http://www.afriquejet.com/afrique-de-l'ouest/mali/mali:-des-fonds-koweitien-pour-la-riziculture-2010032446448.html (consulted on May 10, 2010)
[5] http://www.espacemanager.com/a-la-une/tunisie-huit-nouveaux-projets-aquacol… (consulted on May 10, 2010)
[6] http://www.bcbusinessonline.ca/bcb/top-stories/2010/04/02/fish-farming-tila… (consulted on May 10, 2010)
[7] http://temouchent-info.com/ensemencement-de-six-plans-d%e2%80%99eau-en-alev… (consulted on May 10, 2010)
[8] http://www.infotunisie.com/?p=37749 (consulted on May 10, 2010)
[9] http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=66903 (consulted on May 10, 2010)
[10] http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/en-bref-… (consulted on May 10, 2010)
[11] http://www.martinsvillebulletin.com/article.cfm?ID=23182 (consulted on May 10, 2010)
[12] http://allafrica.com/stories/201004050141.html (consulted on May 10, 2010)
[13] http://ec.europa.eu/research/headlines/news/article_09_09_16_en.html (consulted on May 10, 2010)
[14] http://www.weekly.dailytrust.com/index.php?option=com_content&view=article&… (consulted on May 10, 2010)
[15] http://www.afribone.com/spip.php?article25570 (consulted on May 10, 2010)
[16] http://www.ipsinternational.org/fr/_note.asp?idnews=5781 (consulted on May 10, 2010)
[17] http://www.nouvelle-afrique.com/Maroc-S-M-le-Roi-inaugure-les-laboratoires-… (consulted on May 10, 2010)
[18] http://www.romandie.com/infos/news2/100411074244.hhxvg1qq.asp (consulted on May 10, 2010)
[19] http://aquaculture-aquablog.blogspot.com/2010/04/pisciculture-pas-damalgame… (consulted on May 10, 2010)
[20] http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=25382 (consulted on May 10, 2010)
[21] http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=57772 (consulted on May 10, 2010)
[22] http://www.nation.co.ke/News/regional/Fish%20farmers%20net%20profits%20in%2… (consulted on May 10, 2010)
[23] http://www.fis.com/fis/worldnews/worldnews.asp?monthyear=&day=16&id=36227&l… (consulted on May 10, 2010)
[24] http://allafrica.com/stories/201004081009.html (consulted on May 10, 2010)
[25] http://www.nation.co.ke/business/news/Fish%20rake%20in%20Sh138%20million%20… (consulted on May 10, 2010)
[26] http://www.tunisiaonlinenews.com/?p=37251 (consulted on May 10, 2010)
[27] http://www.infotunisie.com/?p=38647 (consulted on May 10, 2010)
[28] http://www.lepopulaire.fr/editions_locales/limoges/france_benin_presente_le… (consulted on May 10, 2010)
[29] http://www.algerie-dz.com/article18443.html (consulted on May 10, 2010)
[30] http://www.communique-express.com/environnement/intermarche-s%E2%80%99engag… (consulted on May 10, 2010)
[31] http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=67353 (consulted on May 10, 2010)
[32] http://www.fis.com/fis/worldnews/worldnews.asp?monthyear=&day=13&id=36175&l… (consulted on May 10, 2010)
LETS BE GOOD FRIENDS
Friendship is sharing with laugher & Happiness!
Friendship is helping each other when it seems there's no hope!
Friendship is taking time to encourage one another!
In Friendship you and I can learn from each other also offer good advice to our selves especially in some circumstances that are beyond our control.
There's a miracle called "Friendship." Oh what a miracle in just keeping it real! The "Friendship" dwells way down deep in the heart and soul of a person or individuals.
You don't know how this "Friendship" happens. It just happens so soulfully. It is a light from the "Friendship" that provides sunlight to the soul whenever it happens. But you know and you have to recognize the gift from above.
My name is Anita from United States of America . Hope to tell you more about myself as soon as I hear from you.
cya!
Anita Peter
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Bonjour à tous,
A la demande de certains d'entre-vous, il a été décidé de changer la balise qui s'ajoute automatiquement au sujet de tous les messages envoyés sur la liste. Elle était en effet trop longue et masquait le sujet du message dans la fenêtre de visualisation des logiciels d'email.
La nouvelle balise est beaucoup plus courte: [Sarnissa].
Certains d'entre-vous l'utilisaient peut-être pour trier automatiquement les messages. Si tel est le cas, pour que le tri continue à se faire, il vous suffit de remplacer [Sarnissa-french-aquaculture] par [Sarnissa] dans le filtre automatique.
Bien amicalement
Lionel
Bonjour,
veuillez trouver le point de vue de Ram traduit de la liste anglaise
On est en plein dans les difficultés concrètes de la mise en oeuvre
d'une décision politique publique ambitieuse.
J'ai la la chance de travailler avec Harisson et je sais qu'il est bien
conscient des difficultés.
Il s'avère que nous démarrons avec Harisson, d'autres chercheurs et
étudiants une petite opération de Recherche Action avec une quinzaine
d'agriculteurs qui ont bénéficié de ce programme dans la Région Ouest du
Kenya (près de la ville de Kisii). Il nous faut effectivement
coconstruire avec les producteurs un modèle de pisciculture viable
capable de lever les contraintes énumérées mais aussi de valoriser les
opportunités locales. Je vous tiendrai au courant de la suite.
bien cordialement,
Olivier
ci-joint une vue de google de la zone (2009) avec la Station de
Recherche du KMFRI à Kisii et une vue de qq étans paysans
Ram Bhujel a écrit :
Dear Dr Harrison Charo-Karisa,
Merci pour votre e-mail concernant plan ambitieux du gouvernement
kenyan. C'est très intéressant. Chaque pays a besoin d'un tel plan
ambitieux s'ils veulent
développer l'aquaculture pour le bénéfice de millions de personnes
impliquant ceux vivent dans les zones rurales. De nombreux pays
asiatiques ont fait beaucoup de choses.
En ce qui concerne le plan du Kenya vous avez dit que ce n'est pas réellement le le manque d'alevins / alevins mais le problème est le transport. Mon calcul montre 14.000 étangs (en supposant minimum de 200 mètres carrés de stockage des étangs à 2 poisson / m 2 minimum) ont besoin de plus de 5 millions d'alevins pour l'empoissonnement non compris les la mortalité durant le prégrossissemet pour lesquels vous aurez besoin d'ajouter un autre 20-30 pour cent au-dessus de cela. Il s'agit en fait d'estimation pour le tilapia alors que pour
le poisson-chat, vous devrez peut-être 10 fois plus car ils sont normalement stockés à des densités plus élevées. Je me demande si le plan prévoit un tel niveau de la production d'alevins, avant ou pendant la durée du projet
Vous dite que le transport est le problème. Si le transport d'alevins
est un problème, alors le transport des aliments sera également un
problème. Vous avez mentionné qu'il y a des fabricants d'aliments prête
à produire, mais doivent ils livrer ou les agriculteurs ont besoin de
venir à eux. Plus important encore, même si un aliment de qualité est
disponible, les agriculteurs auront besoins de savoir si elles peuvent
faire des profits en nourrissant avec de tels aliments de qualité
produits par des sociétés privées? Eh bien, le gouvernement peut
subventionner durant la période du projet et rendre cela moins cher mais
ce qui se passera après? Si les fabricants d'aliments ne peuvent pas
vendre, ils vont laisser . Les étangs seront abandonnés et il y aura un
autre retour en arrière pour l'l'histoire de développement de l'aquaculture.
La meilleure chose serait le gouvernement réfléchisse sur comment les
alevins et des aliments peut être produit localement et si les poissons
peuvent être vendus (aussi bien localement
que dans les villes éloignées et même à l'étranger) pour faire des
bénéfices. Produire des alevins est localement simple, si 2-3
agriculteurs dans un groupe d'agriculteurs d'un endroit sont formés.
L'alimentation peut être fait en utilisant des sous-produits agricoles -
bon marché ou quoi que ce soit des aliments fait à la ferme. L' étang
peut être fertilisé pour verdir l'eau à l'aide des fumiers animaux,.en
particulier pour le tilapia. Poisson-chat et le tilapia (pas sexe
inversé) peut être cultivés ensemble afin que alevins de tilapia servent
de nourriture au poisson-chat. Pour le poisson-chat, ils peuvent aussi
se nourrir des viscères de poulet ou de déchets provenant des abattoirs
de bétail. Pour plus d'informations, s'il vous plaît, vous pouvez
trouver un rapport préparé par l'un de vos collègues Kenya (un
partenaire de SARNISSA) écrit de son point de vue après avoir réalisé un
mois de tournée en Asie. Si vous êtes impliqué dans la planification,
vous pouvez trouverez beaucoup d'idées utiles et intéressantes
applicables au contexte kenyan.
With best wishes,
Ram C. Bhujel, PhD
(SARNISSA Partner from Asia)
Coordinator EU Aqua-InternshipAARM, Asian Institute of Technology (AIT)
POBox 4, Klong Luang, Pathumthani 12120
Tel: 66-02-524 5222
Fax: 66-02-524 6200
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Taille: 121096 octets
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Chers tous,
Je trouve que l'histoire de Valentin est source d'inspiration et nous
connaissons tous des histoires similaires. Toutefois, voici quelques
remarques que m'inspire cette histoire et les vidéos postées par Will:
1. Valentin a mis 13 ANS pour arriver à cela en Haiti. Ceux d'entre
nous qui travaillent sur des projets de développement savent que les
financements ne sont garantis que quelques années. A l'origine,
Valentin est allé en Haiti sur un petit projet du Rotary
International. Ce qui est courageux de sa part, c'est que Valentin est
resté indépendamment de toute certitude de financement et est resté
fidèle à sa vision, avec ou sans bailleur de fond.
2. Le nombre d'haitiens directement assistés par Valentin est bien
inférieur à 1000 personnes. Ça ne me pose pas de problème, mais ça en
pose à la plupart des bailleurs de fonds. Quand il faut "faire du
chiffre" avant la fin de projets courts, les effets durables sont
presque toujours négligeables.
3. Valentin l'a fait de la meilleure manière: commencez petit,
démontrez un petit succès qui est très important pour les familles qui
en bénéficient, et la croissance suivra (jusqu'à ce qu'un nouveau
facteur limitant apparaisse)
4. Notez que Valentin a utilisé son argent personnel pour lancer
l'écloserie car il n'est pas parvenu à convaincre les grosses agences
gouvernementales d'utiliser une fraction de leurs millions pour la
construire. Une raison est que sa demande était trop PETITE. Les
grosses agences ont besoin de gros projets car leurs coûts
administratifs sont élevés. C'est là que les ONG et le donneur que
Valentin a fini par trouver (du Royaume Uni) apparaissent. Il faut
maintenant que les grosses agences reconnaissent cela et changent leur
manière de travailler. Des petits financements peuvent être mis à
disposition dans le cadre de plus gros projets de développement. Même
l'USAID évolue dans le sens de mieux utiliser les organisations
locales pour la mise en oeuvre de ses projets. Mais ils ne travaillent
pas avec des start-ups; ils cherchent des organisations qui ont déjà
une solide expérience vérifiable. Et même ainsi, vous n'êtes jamais
sûr d'obtenir un financement dont vous savez pourtant qu'il
permettrait de faire un très bon boulot.
5. Valentin a bénéficié d'un petit peu de soutien technique de son
université -il n'en a pas eu beaucoup besoin- mais c'est toujours bien
de pouvoir s'appuyer sur quelqu'un avec qui il est possible de
discuter et d'échanger des informations. Conserver vos contacts !
Quelques conseils:
- n'espérez pas que vos efforts aboutissent à moins de 10 ans. Si
c'est le cas, c'est super. Mais s'ils sont obtenus en peu de temps, il
y a de bonnes chances qu'ils disparaissent aussi très vite. La
publicité précoce est aussi dissuasive.
- commencez petit et faites du travail de qualité; les bons exemple de
pisciculture rentable et durable se diffuseront d'eux même
- vous devrez probablement faire des sacrifices personnels en cours de
route. Du temps, de l'argent, votre carrière, parfois votre famille.
Essayez de ne pas sacrifier votre santé, car nous avons besoin de gens
comme vous.
- vous avez plus de chances d'échouer que de réussir, et plus de
chances que votre travail ne soit pas apprécié plutôt que reconnu.
C'est ce qui rend plus agréable les quelques succès et reconnaissances.
- évitez d'entrer en compétition les uns les autres -il y a plein de
travail pour tout le monde- en particulier pour ce qui n'est pas payé
Bon travail et bonne chance à tous !
Karen L. Veverica
Department of Fisheries and Allied Aquacultures
International Center for Aquaculture and Aquatic Environments
Auburn University, Alabama, USA
office: +1-334-844-7366
cell: +1-334-332-1560
cell in Uganda:+256-782-970622
Début du message réexpédié :
> De : "Karen L. Veverica" <veverkl(a)gmail.com>
> Date : 3 mai 2010 18:27:51 HAEC
> À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : Rép : [Sarnissa-african-aquaculture] Valentin developing
> aquaculture in Haiti
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear all,
> I find that Val 's story is inspirational and that many of us know
> of similar stories. However, note a few things from this story and
> from the videos that Will posted:
> 1. Val has spent over 13 YEARS to do this in Haiti. Those of us who
> work on development projects know that funding is assured only for a
> few years. Val originally went to Haiti on a small project for
> Rotary International. The courageous thing is that Val stayed on
> beyond the assured project funding and kept to his vision-no matter
> if there was a donor or not.
> 2. The numbers of Haitians directly assisted by Val is likely well
> under 1,000. I do not have a problem with this- but most of the
> donor agencies do. In the effort to "get the numbers up" by the end
> of the short projects, the lasting effects are almost always
> negligible.
> 3. Val did it the better way: start small, show small success that
> is very important to the families benefiting and the expansion will
> happen, (but only to the point that the next limiting factor appears).
> 4. Note that Val used his own money to start the hatchery because he
> could not convince the big government agencies to use some of their
> multi-millions to do this. One reason is that it is too SMALL of a
> request. The big agencies need to have big projects because their
> administrative costs are so high. This is where the NGO's come in
> and the donor that Val eventually found (from the UK). The big
> agencies are now getting to recognize this and changing some of the
> ways they operate. Small grants can be applied for under some of the
> larger development projects. Even USAID is moving towards using
> local organizations in some of the implementation of its projects.
> But they do not work with start-ups; they look for an oraganization
> that has a verifiable track record. Even so, you will not always be
> successful in attracting a grant for what you know will be really
> good work.
> 5. Val received a small bit of technical backstopping from his
> school- he didn't need much- but it is always good to have someone
> with whom you can discuss things and exchange information. Keep your
> contacts.
> Some advice:
> • Do not expect your efforts to yield significant and long-lasting
> results before 10 years. If they do, that is great. But if they
> happen in a short time, chances are, they will become un-done in a
> short time also. Early publicity is especially a deterrent.
> • Start small and with quality- good examples of truly profitable
> and sustainable fish farming will spread themselves.
> • You will likely need to make some personal sacrifices along the
> way. Time, money, career, sometimes family. Try not to make the
> personal sacrifice of health because we need people like you around.
> • You are more likely to fail than succeed and more likely to work
> un-appreciated than appreciated. It only serves to make those few
> occasions of success and appreciation sweeter.
> • Avoid competing with each other- there is plenty of work for
> everyone- especially the unpaid kind.
> Good work and good luck to all,
> Karen L. Veverica
> Department of Fisheries and Allied Aquacultures
> International Center for Aquaculture and Aquatic Environments
> Auburn University, Alabama, USA
> office: +1-334-844-7366
> cell: +1-334-332-1560
> cell in Uganda:+256-782-970622
>
> On 5/3/2010 7:32 AM, William Leschen wrote:
>>
>> Translated from French Forum
>>
>> Dear all
>> The activities and results of Valentin in Haiti are welcome, and
>> should be encouraged and disseminated widely. This leads me to the
>> contribution of the diaspora in various development sectors of our
>> countries. Aquaculture has long been of benefit to many programs
>> and development initiatives. Unfortunately, the results across
>> Africa have been mixed. In addition to initiatives already under
>> way, one might think to introduce measures similar to that of
>> Valentine, ie the extent to which the Diaspora could contribute to
>> the development of the aquaculture sector in Africa. What do you
>> dear members of SARNISSA think ?
>> Cordially
>> Celestine Ble
>> Cote D’Ivoire
Bonjour,
La traduction de la réponse de Harisson (forum de langue anglais).
Harisson est en charge de la coordination du programme national
d'aquaculture.
cordialement,
Olivier
Articles
Business Daily (6 mai 2010)
http://www.businessdailyafrica.com/Company%20Industry/-/539550/911504/-/ite…
Daily Nation (7 mai 2010)
http://www.nation.co.ke/business/news/-/1006/838552/-/heh2ofz/-/index.html
-------------------------------------------------------------------
Ceci est en réponse à un article figurant dans le Business Daily (6 mai
2010), indiquant que le programme Productivité Entreprise de la
Pisciculture au Kenya
est au point mort et n'atteindra pas son objectif.
Il n'est pas vrai que nous manquons d'alevins au Kenya et ce n'est
pas que le Kenya n'a pas de plan pour ce programme ambitieux. Le
problème est
d'ordre logistique, les alevins doivent être transportés sur de vastes
distances
dans les régions du pays où les étangs sont creusés. Cela nécessite
transport et en raison de l'impraticabilité de certaines routes en
raison de la
de fortes pluies le poisson ne peut pas être livré à temps. Il ne s'agit
donc
pas d'un manque ou de mauvaise planification comme certains peuvent le
supposer. Dans tous les cas,
il n'était pas dans l'intention du secrétariat du gouvernement de
relancer l'aquaculture
en stockant tous les poissons en une seule fois. Le stockage doit être
échelonnées afin d'éviter un surplus sur le marché du poisson local.
Il est bon de noter que, en dehors des bassins de creuser, le gouvernement
alloué des fonds et des efforts pour améliorer la capacité de production
de fingerlings des exploitations piscicoles du gouvernement et a apporté
son soutien à
plusieurs exploitations privées afin d'assurer que les semences de
qualité du poisson soient produites.
L'institut de recherche KMFRI a en cours d'exécution
des programmes de sélection pour amélioration des semences de
poisson-chat et de tilapia. Grâce à un
réseau reliant le gouvernement et les écloseries privées à des
noyaux d'élevage, le Kenya est en mesure de fournir les alevins
nécessaires.
À long terme, même les plus reculés partie du pays aura assez de
semences de poissons provenant d'une source à proximité.
Le Kenya a également lancé un programme très ambitieux pour s'assurer
que les
secteur privé est pleinement impliquée dans la production d'aliments
poissons de qualité .
Plusieurs entreprises de renom sont maintenant en production d'aliments
poissons de qualité de
type extrudé. Cela signifie que les agriculteurs désireux devrait être
en mesure de
obtenir l'aliment nécessaire, quelque chose qui n'a jamais été
possible dans l'histoire du Kenya.
En outre, la formation et de vulgarisation a été renforcée par le
recyclage des employés du gouvernement et le recrutement d' agriculteurs
formateurs dans toutes les circonscriptions où le projet est
entrepris. Ces agents de vulgarisation et les agriculteurs ont déjà
commencé à
former tous les agriculteurs bénéficiaires sur tous les aspects de la
production de poisson
de la gestion de l'étang, à la récolte et la manutention post-récolte,
et en outre la commercialisation. Bien que le projet n'est pas parfait dans
mise en œuvre, beaucoup de planification a été entrepris pour assurer une
réussite du projet.
Il n'est donc pas vrai que le projet de pisciculture est bloqué en raison
d'une mauvaise planification ou de l'absence d'intrants nécessaires.
Cordialement,
Dr. Harrison Charo-Karisa,
National Chairman Aquaculture Development Working Group/ESP Secretariat &
Program Coordinator Aquaculture,
Kenya Marine and Fisheries Research Institute,
Nairobi & Sagana Aquaculture Research Centre,
P.O. Box 58455, Nairobi,
Kenya
Tel: +254 72555514
Harrison Charo a écrit :
> Dear colleagues,
>
> This is in response to a story appearing in the Business Daily (6 May
> 2010) indicating that the Kenya Fish Farming Enterprise Productivity
> program is stalling and not meeting its target.
>
> It is not true that we are lacking fingerlings in the Kenya and it is
> not that Kenya did not plan for this ambitious program. The problem is
> one of logistics, fingerlings have to be transported over vast remote
> parts of the country where the ponds are being dug. This requires
> transport and due to impassableness of some of the roads due to the
> heavy rains the fish cannot be delivered on time. Therefore this is
> not about shortage or poor planning as some may suppose. In any case,
> it was not the intention of the government's aquaculture stimulus
> secretariat to stock all the fish at once. The stocking has to be
> staggered to avoid a glut in the local fish markets.
>
> It is good to note that, apart from digging ponds, the government
> allocated some funds and efforts towards improving the fingerling
> production capacity of government fish farms and gave support to
> several private farms to ensure that quality fish seed is produced.
> The Kenya Marine and Fisheries Research Institute is running selective
> breeding programs for catfish and tilapia seed improvement. Through a
> network connecting the government and private hatcheries to the
> breeding nuclei, Kenya is able to provide for its required fish seed.
> In the long run, even the remotest part of the country will have
> enough fish seed from a source close by.
>
> Kenya has also embarked on a very ambitious program to ensure that the
> private sector is fully involved in production of quality fish feed.
> Several reputable companies are now producing quality fish feed of the
> extruded type. This means that willing farmers should be able to
> obtain as much feed as required, something that has never before been
> possible in the history of Kenya.
>
> Furthermore, the training and extension work has been strengthened by
> refresher training for the government workers and recruitment of
> Trainer farmers from all the constituencies where the project is
> undertaken. These extension officers and farmers have already started
> to train all the beneficiary farmers on all aspects fish production
> from pond management, harvesting, post harvest handling, value
> addition to marketing. Although the project is not perfect in
> implementation, a lot of planning was undertaken to ensure a
> successful project.
>
> It is therefore not true that the fish farming project is stalled due
> to poor planning or lack of necessary inputs.
>
> Best regards,
>
>
> Harrison
>
Dr. Harrison Charo-Karisa,
National Chairman Aquaculture Development Working Group/ESP Secretariat &
Program Coordinator Aquaculture,
Kenya Marine and Fisheries Research Institute,
Nairobi & Sagana Aquaculture Research Centre,
P.O. Box 58455, Nairobi,
Kenya
Tel: +254 72555514
L'ARDA propose un :
Stage de césure M2 Pro / Ingénieur
Année 2010
Durée : 6 mois – à partir de juin 2010
Intitulé : Observation des flux migratoires des populations de poissons et de crustacés diadromes de l'île de la Réunion.
Sujet :
En réponse aux objectifs d'atteinte du bon état écologique de l'ensemble des masses d'eau d'ici 2015, l'application de la Directive Cadre sur l'Eau (DCE) à la Réunion implique la mise au point d'indicateurs métriques, permettant d'évaluer la qualité biologique des eaux. De nombreuses lacunes quant à la biologie et l'écologie des peuplements indigènes d'eau douce de la Réunion constitue non seulement un frein à l'atteinte de cet objectif, mais également à l'amélioration de la gestion et la conservation de la biodiversité réunionnaise.
Les peuplements indigènes de poissons et de crustacés d'eau douce de l'île de la Réunion présentent une forte originalité : il s'agit de migrateurs diadromes, c'est-à-dire dépendants du milieu marin environnant pour la reproduction et/ou le développement larvaire. A ce jour, le statut migrateur, les stratégies biologiques et la complexité du cycle biologique rendent complexe l’étude de l'écologie de ces espèces. La phase de vie en eau douce représente une étape importante dans la vie du poisson (croissance, atteinte de la maturité sexuelle, reproduction), mais la survie de l’espèce dépend pour une grande part de la phase marine. Ces particularités rendent donc délicate l’interprétation de l’évolution des peuplements observés en rivière, notamment en terme d'évaluation de la qualité du milieu et/ou de l'état des stocks exploités.
Le stage proposé a pour objet l'analyse et l'interprétation d'observations du suivi du recrutement de juvéniles sur trois embouchures de rivières, afin d'en caractériser les variations spatiales et temporelles. Ce travail vise non seulement à valider la stratégie de suivi adoptée (méthode d’échantillonnage, identification des individus et de leur période de recrutement, …), mais doit à terme éclairer l’expertise des peuplements en rivière (RP) par l’établissement d’indicateur relatifs de la qualité du recrutement (Richesse, Abondance). Le candidat utilisera les données disponibles en base TEMPOI® afin d'en extraire :
- des listes des espèces observées (tous stades confondus),
- des données d'abondances totale et relative (Nombre d'individus par unité de surface),
- des structures en taille des différentes populations observées.
Le candidat aura également pour objectif de caractériser les périodes de recrutement et de reproduction des principales espèces, ainsi que de déterminer leur variabilité spatiale et temporelle.
Organisme d’accueil : ARDA, BP 16, Z.I. Les Sables, 97 427 Etang Salé
Tél. : (+262) 0262 26 50 82 - Fax : (+262) 0262 26 50 01
Encadrement des stagiaires : Henri GRONDIN (grondin.arda(a)wanadoo.fr), Marine RICHARSON (richarson.arda(a)orange.fr)
Planning prévisionnel :
- Semaines 1-4 : Analyse bibliographique
- Sem. 5-12 : Travail de laboratoire
- Sem. 13-22 : Analyse des données et rédaction du mémoire
- Sem. 23-24 : Préparation de l’oral
Le stagiaire sera amené à participer aux échantillonnages mensuels.
Merci à Will pour l'information sur Facebook. Voici la traduction d'un article de Time Magazine. Voir aussi les liens proposés par Will.
Valentin Abe
Transformer le secteur des pêches d'Haiti
par Bill Clinton
Cette année, j'ai été particulièrement influencé par toutes les personnes que j'ai rencontré à Haiti, qui ont réalisé des choses incroyables après le tremblement de terre et même avant, après les quatre ouragans. L'une d'entre elles est un homme de 47 ans originaire de Côte d'Ivoire qui, après ses études à l'Université d'Auburn, est allé à Haiti pour élever du poisson, donner du travail aux haïtiens et générer des revenus. Tout son système est alimenté par l'énergie solaire et implique des pisciculteurs dont le revenu a été multiplié par 2 ou 3. J'ai rencontré un homme qui avait 8 enfants et qui m'a déclaré avoir pu les envoyer à l'école pour la première fois grâce à son partenariat avec Valentin. Des personnes comme lui, il y en a dans le monde entier. On ne les remarque pas, mais ils ont une influence profonde sur les personnes dont ils influencent les vies.
Clinton est le 42ème président américain et le fondateur de la fondation William J. Clinton
Le 2 mai 2010 à 23:51, William Leschen a écrit :
> Valentin Abe - Ivorian ex Auburn Univ student now developing aquaculture in Haiti – See attached article in Time Magazine written by Bill Clinton following a visit to Haiti – Bravo Valentin
>
> Also videos below available on SARNISSA website
>
> http://vimeo.com/8103726
>
> http://vodpod.com/watch/3511684-time-100-the-fish-that-could-feed-haiti
>
> Related links:
>
> http://socialenterprisefund.org/projdirectors_11.html
>
> http://www.ob.org/haitiprojects/news/2010/me_2010_0119_floating_fish_farms_…
>
>
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Nom: ValAbe inTime.pdf
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bonjour,
une dernier N° de la revue /*In*/*/ternational Journal of /**/Biological
and Chemical Sciences/*, *Vol. 4, No. 2, **April 2010 *où plusieurs
membres de SARNISSA ont publié voir ci-après:
Production comparée de zooplancton en bassins fertilisés avec la fiente
de volaille et la bouse de
vache. Hyppolite AGADJIHOUEDE, Clément Agossou BONOU, Antoine CHIKOU,
Philippe LALEYE.
Pages 432 - 442.
Some biological aspects of Brycenus nurse, Hydrocynus forskali,
Micralestes acutidens
(Characidae) and Labeo coubie (Cyprinidae) from a reservoir in Ilorin,
Nigeria. C. G. ACHIONYE–NZEH. Pages 515-519.
Les facteurs d’adaptation et d’implantation du Kanga, Heterotis
niloticus (Cuvier, 1829), dans le
fleuve Nyong (Cameroun). David NGUENGA, R.E. BRUMMETT. Pages 530-534.
bien cordialement à tous
Olivier
Int. J. Biol. Chem. Sci. a écrit :
>
> Dear Scientists,
>
> Compliments of the season.
>
>
>
> We are delighted to inform you that the 15^th issue of the journal
> IJBCS (i.e. */International Journal of /**/Biological and Chemical
> Sciences/*, *Vol. 4, No. 2, **April 2010*) is out. Please, find
> attached the *Contents, *the* Editorial Board* and the *Author Guide*
> of the journal.
>
>
>
> *The 16^th issue will be published in **June 2010. We look forward to
> receiving your sound manuscripts. ***
>
>
>
> *_NB:_** 6 issues of IJBCS are published per year (February, April,
> June, August, October, December).*
>
>
>
> Int. J. Biol. Chem. Sci. is available online at
> *http://ajol.info/index.php/ijbcs* and is indexed in the *African
> Index Medicus* (http://indexmedicus.afro.who.int).
>
>
>
> *Please,* *forward this message and the attached files to all the
> bio-scientists and chemists you know*.
>
> An acknowledgement of this mail will be highly appreciated.
>
> Best regards.
>
>
>
> *The Editor-in-Chief*
>
> */International Journal of Biological and Chemical Sciences/** (IJBCS)***
>
> * *
>
> *Dr Donatien Gatsing, PhD*
>
> Department of Biochemistry,
>
> Faculty of Science,
>
> University of Dschang,
>
> P.O. Box 154 Dschang,
>
> CAMEROON.
>
> Tel: +237 77 51 67 40,
>
> Fax: +237 33 45 11 02.
>
>
>
>
>
>
>
>
>
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Nom: IJBCS - Editorial Board-April 2010.PDF
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Nom: Author Guide - IJBCS-updated.pdf
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Nom: IJBCS-4-2-April 2010-Contents.pdf
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Bonjour à tous,
Une petite révolution aujourd'hui à Montpellier, à l'occasion de la conférence IAALD. Les centre du CGIAR (dont fait partie le worldFish Center) ont annoncé un partenariat avec Google Books pour mettre à la disposition du plus grand nombre les ouvrages pour lesquels il possède les copyright.
Pour vous faire une idée de l'offre, tapez des mots clés (comme aquaculture) sur la page
http://books.google.com/
Bonnes consultations à tous !
Bien amicalement
Lionel
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Bonjour à tous,
La FAO prépare depuis plusieurs mois sa stratégie dans le domaine de la petite aquaculture (SSA-Small Scale Aquaculture: acronyme anglais susceptible de créer de la confusion avec le suffixe SSA de Sarnissa qui signifie Sub-Saharian Africa-Afrique Sub-Saharienne). En effet, la SSA, au même titre que les autres activités agricoles des petits agriculteurs, devrait connaître un net regain d'intérêt dans les mois et années qui viennent. Ainsi, la présidente du consortium Agreenium (qui réunit notamment le Cirad et l'INRA) Marion Guillou rappelait le 15 avril 2010 dans Nature que la récente conférence du GCARD avait permis aux pays en développement d'envoyer aux organismes de la recherche agronomique internationale un message sur ce retour en force du secteur.
C'est dans ce contexte que Melba Reantaso du Service de la Gestion et de la Conservation de l'Aquaculture de la FAO a organisé la semaine passée un atelier d'experts dont le thème était "Améliorer la contribution de la petite aquaculture à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et au développement socio-économique". Il s'est tenu du 21 au 24 avril 2010 à Hanoi, avec l'appui de l'Institut de Recherche en Aquaculture n°1 (RIA 1). Outre l'équipe FAO, emmenée par son chef Jiansan Jia, étaient présents l'Asian Institute of Technology, l'Université de Stirling, le WorldFish Center, le Seafdec, Infofish, l'ICAFIS, le DANIDA, le NACA, UP Visayas, le MARD Vietnam, le CIFE indien, l'Université de Nha Trang, l'Université de Kasetsart University, l'Université de Can Tho, l'Université de Western Sydney, ainsi que différents consultants. L'Afrique était représentée par Betty Niandat (Department of Fisheries, Kenya), Petter Ziddah (Department of Fisheries, Ghana) et Wilson Mwanja (Ministry of Agriculture, Animal Industry and Fisheries, Uganda).
Cet atelier a été un succès plein. Il a été organisé avec des séances plénières le matin destinées à brosser l'état de l'art, et des séances de travail type "remue-méninges" l'après midi, suivies d'une session de restitution à l'ensemble du groupe. A cause des problèmes du transport aérien en Europe, j'ai raté la première journée intitulée "Comprendre la petite aquaculture, sa contribution, son potentiel et ses défis", avec des exposés, de P. Edwards, P. Townsley, T. Pongthanapanich, B. Belton, Le Xuan Sinh. La deuxième journée était consacrée à l'identification des leviers permettant de renforcer la contribution de la petite aquaculture, avec des exposés de I. Ahmad, S. Anthonysamy, K. Yamamoto, D. Kumar, Le Than Luu, W. Miao et P. Smith. Enfin, la troisième journée visait à définir un plan d'action pour protéger la petite aquaculture des menaces, risques, crises et urgences auxquelles elle doit faire face, avec des exposés de W. Mwanja et B. Nyandat, D. Soto, P. Fernandez, P. Bueno, R. Agbayani, MC Nandessha et R. Subasinghe.
Ces trois journées ont permis de très nombreux échanges d'autant plus intéressants que la diversité des points de vues a réellement permis de faire progresser la réflexion. Il est apparu que l'expression "petite aquaculture" recouvre une immense diversité de situations et que les définitions actuellement utilisées par les Etats sont souvent incompatibles entre-elles. L'atelier a tout de même permis d'identifier de nombreuses actions permettant de renforcer la contribution de la petite aquaculture à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et à la croissance économique, et de déboucher sur un plan d'action où tous les intervenants ont proposé des domaines dans lesquels ils étaient susceptibles de contribuer au renforcement de la petite aquaculture.
Je pense que la dynamique sarnissa pourrait permettre de contribuer à cette réflexion, notamment en Afrique francophone. D'ailleurs, le projet a été évoqué à de multiples reprises au cours des discussions.
Bien amicalement
Lionel
Bonjour à tous,
Vous trouverez à cette adresse une interview d'Olivier Mikolasek sur le projet Sarnissa.
http://iaald.blip.tv/file/3547971/
Merci à Gareth !
Bien amicalement
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Gareth Richards \(CABI\)" <g.richards(a)cabi.org>
> Date : 28 avril 2010 13:47:17 HAEC
> À : "Lionel Dabbadie" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Cc : "William Leschen" <william.leschen(a)stir.ac.uk>, "Olivier MIKOLASEK" <olivier.mikolasek(a)cirad.fr>
> Objet : Olivier on video
>
> Lionel,
> Something for the French SARNISSA listserve. Olivier talks about SARNISSA after his presentation at the CABI session on ‘innovations in agricultural knowledge sharing’ at IAALD 2010.
> http://iaald.blip.tv/file/3547971/
> Cheers
> Gareth
>
> P Think Green - don't print this email unless you really need to
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>
> CABI is an International Organization recognised by the UK Government under Statutory Instrument 1982 No. 1071.
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http://www.blip.tv/file/3547971/
VIDEO: Montpellier, 27 avril 2010 Réunion IAALD Association internationale des specialistes de l'information agricole. Olivier Mikolasek (Cirad) présente l'expérience de SARNISSA, l'aquaculture durable des réseaux de recherche en Afrique subsaharienne, en expliquant ce que le projet et comment il utilisede nouveaux outils de web social a l'appui de ses buts et objectifs.
Voir plus a www.iaald.org<http://www.iaald.org>
Bravo Olivier!! Et merci Gareth Richards de CABI