Merci à Malcolm Beveridge pour cette information sur le Septième symposium scientifique de la WIOMSA:
Le septième Symposium scientifique de la WIOMSA se tiendra à Mombasa, au Kenya du 24 au 29 Octobre 2011.
Le colloque est organisé conjointement par l'Association de l'Océan Indien Occidental des Sciences Marines (WIOMSA) et le Kenyan Marine and Fisheries Research Institute (KMFRI).
La date limite de soumission des résumés est le 30 avril 2011.
Pour plus de renseignements, consulter: http://bit.ly/hZGLz9
Amitiés à tous
Lionel
Bonjour à tous,
Pour info, encore une belle activité de l'ARDA à la Réunion. Vous trouverez le dossier de presse et le programme du cours à la fin de ce message (en cliquant sur les liens). Merci à Thomas Raynaud de l'ARDA !
En attendant la troisième édition.
Bien amicalement
Lionel
L'aquaculture au centre de la Recherche réunionnaise et mondiale
L’ARDA (Association Réunionnaise pour le Développement de l'Aquaculture) organise son deuxième séminaire de formation international en écloserie tropicale de poissons marins, pendant toute cette semaine, à la Station Marine du Port. Pour l'occasion, les plus grands spécialistes de l'aquaculture tropicale marine ont été invités. Une douzaine d'étudiants de métropole vient également profiter de ce séminaire dans le cadre d'un Master 2. L'opportunité de faire le point sur une filière amenée à connaître un essor important dans quelques années après l'annonce par la Région de la construction d'un centre muséologique dédié à l'aqualculture sur le site de la ZAC des Sables à l'Etang-Salé.
Le site d'aquaculture de l'Etang-Salé accueillera dans quelques années un musée dédié
L'ARDA tenait mercredi après-midi une conférence de presse sur sa station marine dans l'enceinte du port de pêche. La recherche aquacole marine continue de progresser et de stimuler de plus en plus d’applications industrielles. La collaboration internationale permet le partage et le développement des compétences régionales et nationales et fournit l’opportunité de faire avancer la recherche appliquée face à des problèmes de production aquacole.
La Réunion est bien entourée
C’est dans ce but que l’ARDA, l’Association Réunionnaise de Développement de l’Aquaculture, l’IISBA (International Initiative for Sustainable and Biosecure Aquafarming, USA) et le laboratoire Virginia Tech - VSAREC (Virginia Seafood Agricultural Research and Extension Center, USA) ont lancé plusieurs projets de collaboration depuis 2005 : publications, réunions, programmes d’étude… Un premier séminaire s’est déroulé en mars 2007. Cette seconde rencontre réunit les plus grands spécialistes de la recherche dans le domaine de l’aquaculture marine tropicale.
L’ARDA ouvrira donc les portes de sa Station Marine du Port afin d’y accueillir, outre les intervenants, une quinzaine de participants étrangers (Madagascar, Afrique du Sud, Singapour, Indonésie, Maldives, Australie, et USA) ainsi que 12 étudiants métropolitains en Master II. Ceux-ci suivront une formation spécialisée en écloserie aquacole marine de poissons tropicaux. Les participants sont des techniciens, scientifiques, directeurs techniques désireux de renforcer leur savoir et leur pratique dans le domaine de l’élevage des poissons tropicaux.
Parallèlement à l’équipe de Recherche et Développement de l’ARDA, se joindront des scientifiques et des consultants de renommée internationale pour dispenser une formation complète aussi bien théorique que pratique et pour tous niveaux.
Donner un coup de pouce à la nature
Au programme de ce séminaire, des travaux dirigés comprenant un suivi et un apprentissage complet de toutes les étapes de production d’une écloserie tropicale de poissons marins, en prenant l’exemple de l’ombrine tropicale, espèce déjà élevée à La Réunion en baie de Saint Paul.
La formation porte sur les différentes techniques d’écloserie de poissons marins : de la gestion des géniteurs pour l’obtention de pontes au pré-grossissement de juvéniles avant leur envoi en ferme de grossissement. Elle inclut un apprentissage sur les techniques de production contrôlée de proies vivantes, les techniques de sevrage précoce et les nouvelles techniques d’élevage larvaire. Elle portera aussi sur les récentes techniques de traitement de l’eau à basse énergie. Un échange de travail qui se tient jusqu'au 19 février 2011 à la Station Marine du Port.
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Nom: ARDAWS2011.pdf
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Sarnissa
Je suis heureux d apprendre a l equipe sarnissa que je participe a une formation en Suede sur les changements climatiques avec le theme la rizipisciculture comme alternative d adaptation et attenuation organise par l agence Internationale Suedoise de Developpement . Cest dire que la conference sur l aquqculture comme mesure d adaptation et d attenuation des changements climatiques vient a point nomme. Sandy
--- En date de : Jeu 3.2.11, Lionel Dabbadie <dabbadie(a)ait.ac.th> a écrit :
De: Lionel Dabbadie <dabbadie(a)ait.ac.th>
Objet: [Sarnissa] FAO: 5E SESSION DU SOUS-COMITÉ DE L'AQUACULTURE DU COFI
À: "Liste Sarnissa" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Date: Jeudi 3 février 2011, 7h35
Bonjour,
La 29ème session du comité des pêches se déroule actuellement à Rome. Vous pouvez suivre son avancée sur ce site bilingue anglais-français:
http://www.iisd.ca/FAO/cofi/cofi2011/
Et voici ci dessous les faits marquants du sous-comité de l'aquaculture.
Bien amicalement
Lionel
LES DECISIONS ET RECOMMANDATIONS DE LA 5E SESSION DU SOUS-COMITÉ DE L'AQUACULTURE DU COFI
Dans la matinée, Belemane Semoli, Afrique du Sud, a introduit ce point de l'ordre du jour (COFI/2011/4 et INF.s 9 et 10) et le Secrétariat a présenté un rapport sur la 5e session du Sous- comité, qui a eu lieu du 27 septembre au 1er octobre 2010, à Phuket, en Thaïlande.
Le Secrétariat a fait état des résultats de la réunion et, notamment de l'accord sur le projet de lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture, sur le besoin de stratégies à court et à long termes pour l'adaptation au changement climatique et l'application de l'approche écosystémique dans le domaine de l'aquaculture et sur la conduite d’une étude sur les impacts de l'aquaculture offshore .
Dans l'après-midi, de nombreuses parties ont appuyé l'adoption du projet de directives encadrant la certification de l'aquaculture, et ont discuté de diverses questions, y compris: les préoccupations concernant les barrières commerciales, le financement accru consacré au développement de l'aquaculture et à la mise en œuvre des lignes directrices dans les pays en développement, et la biosécurité.
Le HONDURAS a suggéré la mise en place d’un système de suivi et d'évaluation permettant de s'assurer que les lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture ne portent pas atteinte aux petits producteurs, tandis que La COLOMBIE a déclaré que les circonstances des producteurs de petite et moyenne dimensions, devraient être intégrées dans les lignes directrices.
Le MALAWI a parlé de l'évaluation des impacts économiques de la certification. Le GHANA, l’INDE, le BRESIL, le MOZAMBIQUE et le MAROC ont indiqué que les lignes directrices encadrant la certification ne doivent pas créer de barrières commerciales. L’ARGENTINE, le Brésil, au nom du GROUPE DES PAYS D’AMERIQUE LATINE ET CARAÏBES (GRULAC), et l’ALGÉRIE, ont souligné que la mise en œuvre des lignes directrices encadrant la certification doit être progressive et cohérente avec les normes internationales de référence et, en particulier, avec l'Accord sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires et avec l'Accord de l'OMC sur les obstacles techniques au commerce. Le délégué des Etats-Unis a précisé que les lignes directrices régissant la certification ne seront pas un obstacle au commerce.
Le VIET-NAM a exprimé sa crainte que la mise en œuvre du système de certification soit lourde, précisant que la traçabilité devrait prendre en considération le niveau de développement des pays. TONGA, avec l'OUGANDA, le CAMEROUN, l’ANGOLA, le BANGLADESH, les ILES COOK et le SRI LANKA, a attiré l'attention sur les contraintes financières et a demandé que le financement de l'aquaculture soit augmenté. Le délégué des MALDIVES a soutenu l’idée d’avoir des investissements étrangers directs dans l'aquaculture. Le GHANA, avec la MAURITANIE, a proposé la création d’un fonds spécial pour les pays en développement et les petits Etats insulaires, consacré à la mise en œuvre des lignes directrices, et, avec l'UE et le CANADA, a approuvé les quatre piliers de la mise en œuvre de la certification: la santé et le bien-être des animaux, la sécurité alimentaire, l'intégrité environnementale et les aspects socio-économiques. NAURU,
FIDJI ET MAURICE ont appelé à un financement accru pour le développement de l'aquaculture dans leurs régions. La TURQUIE a déclaré que ces fonds supplémentaires devraient être attribués à travers les ORGP.
Le BRESIL a souligné les discussions en cours sur les questions de santé et bien-être des animaux au sein de plusieurs instances et a réitéré la nécessité de revoir les lignes directrices encadrant la certification, à la prochaine session du Sous-comité. Le KIRGHIZISTAN, au nom de la COMMISSION REGIONALE DES PECHES ET AQUACULTURE D’ASIE CENTRALE ET DU CAUCASE, a appelé à une aide de la FAO pour l'adaptation de l'aquaculture au changement climatique. L’UKRAINE et le CHILI ont souligné la nécessité d'améliorer la collecte des données concernant l'aquaculture. La CHINE a mis l’accent sur le renforcement de l’enregistrement unifié et de la gestion technique, y compris la traçabilité complète et l'accès aux marchés, aux fins de s’assurer de la qualité des produits de l'aquaculture. Le CANADA a proposé une clarification des termes techniques relatifs à l'aquaculture offshore.
S’agissant de la biosécurité, le GHANA s'est dit préoccupé par l'impact des espèces exotiques envahissantes sur la diversité biologique. La NORVEGE a appelé la FAO à collaborer avec l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) sur les questions de la biosécurité. La THAÏLANDE a mis l’accent sur l'évaluation des risques et sur les mesures préventives. Le CHILI a appelé à l'élaboration de directives techniques encadrant les mesures de biosécurité applicables à l'introduction d'espèces. La NAMIBIE, avec l'ANGOLA, la REPUBLIQUE DU CONGO et la ZAMBIE, a félicité la FAO pour le Programme spécial pour le développement de l'aquaculture en Afrique et a demandé une assistance dans la lutte contre l’éruption de maladies dans les eaux intérieures. L'INDONESIE a appelé à une assistance dans le domaine du contrôle des maladies virales dans l'aquaculture.
L’IRAN a demandé un soutien pour la mise en place de son système national de certification de l'aquaculture, et a suggéré la conduite d’une étude mondiale sur l'utilisation de médicaments dans l’aquaculture. Le CANADA a suggéré d'examiner l'impact de l'aquaculture sur les pêches sauvages. Le MEXIQUE a mis en exergue le renforcement de la coopération régionale et internationale dans le domaine de l'aquaculture.
Un certain nombre d'organisations intergouvernementales ont parlé de leurs travaux sur l'aquaculture, ont appuyé les lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture et ont souligné les préoccupations concernant, entre autres: l'utilisation des lignes directrices comme barrières non tarifaires au commerce, la prolifération des systèmes de certification de l'aquaculture et l'utilisation des farines et huiles de poisson dans l'aquaculture. Les organisations non gouvernementales se sont déclarées préoccupées par les impacts sociaux et environnementaux du développement de l'aquaculture.
Le Secrétariat a signalé que le Comité a approuvé par consensus les lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture et a entériné le rapport de la 5e session du Sous-comité de l'aquaculture. En outre, il a souligné entre autres: la suggestion d'une approche progressive et d’un système de suivi pour la mise en œuvre des lignes directrices; la demande présentée à la FAO d'allouer davantage de ressources à l'aquaculture dans son programme de travail; et le consensus atteint sur l'importance des questions de biosécurité et des besoins qui s’y rapportent en matière de renforcement des capacités.
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Avenir de SARNISSA
Bonjour à tous,
Tout d'abord, sachez que tous les partenaires et l'équipe SARNISSA tiennent à vous remercier pour toutes vos réponses et contributions sur l'avenir du projet. Nous les recevons humblement mais apprécions la profondeur de la réflexion, qui nous est particulièrement utile.
Nous souhaitons maintenant vous informer du processus suivant:
- Nous allons laisser ces discussions se poursuivre une semaine jusqu'au mardi 15 février - de sorte que tous ceux qui veulent avoir une chance d'exprimer leurs opinions puissent le faire.
- Après le 15 février nous allons rassembler et réunir toutes les contributions dans un document de synthèse qui vous sera distribué, afin que vous puissiez le lire - Nous espérons obtenir cette compilation vers le 20 février.
- Nous vous enverrons ensuite sur le forum (23 février) un questionnaire (court) dans lequel nous poserons des questions sur les points clés qui sont ressortis des discussions du forum, par exemple faut-il payer un droit d'adhésion ou non? Faut-il permettre la publicité sur le site Web pour générer des revenus ou non ?etc. Ce questionnaire sera disponible pendant un mois, jusque vers le 22 mars.
- Les résultats seront analysés et mis à la disposition de tous, à travers le site web et les listes de discussion.
- Les partenaires de sarnissa utiliseront ensuite ces informations pour produire une série de 2-3-4 (?) scénarios budgétisés et modèles économiques (essentiellement des descriptions des travaux, y compris des personnes concernées, des ressources nécessaires et du budget annuel de chaque scénario)
- L'étape suivante, le 1er avril, consistera à décider entre les partenaires du projet le meilleur modèle à présenter aux bailleurs de fonds potentiels et aux partenaires commerciaux et annonceurs.
En attendant, nous souhaitons vous encourager à continuer de donner votre point de vue jusqu'à ce mardi 15 février - nous voulons connaître votre opinion pas la nôtre. Ce processus nous confirme que la véritable force de sarnissa, qui compte désormais plus de 1600 personnes, ce sont nos membres, leurs compétences, leur vécu, et leurs expériences, qu'elles soient bonnes et mauvaises.
Bien amicalement de la part de toute l'équipe SARNISSA
Début du message réexpédié :
> De : William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
> Date : 10 février 2011 01:18:53 UTC+07:00
> À : sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : [Sarnissa] Future of SARNISSA
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Future of SARNISSA
>
> Dear all,
> Firstly from all the sarnissa partners and team we wish to say thank you for the great response you have been giving to the future ofsarnissa discussions. We find the breadth and depth of the responses humbling but also actually an extremely useful and valuable source of information and ideas from many different people. We measure the success and impact of our work by the success of yours
>
> We would now wish to let you know that:
>
> - We are going to let these discussions run for another week until Tuesday 15th February – so that all who wish to get a chance to air their views can do .
> - After the 15th Feb we will then collate and bring together all the postings and discussions in chronological time order in one publication which we will then distribute to all of you so that you can read through and find any perhaps you missed or didn’t read – We hope to get this to you by the20th February.
>
> - We will then send out on the forum (Feb 23rd) a short light !! Survey Monkey questionnaire in which we will ask questions based on the key points which came out of the fora discussions eg To pay a membership fee or not? To allow advertising on the websites to generate income or not ? Etc. This questionnaire will be open for one month and close March 22nd
>
> - The results will be analysed and then made available to all of you all through the website and email fora
>
> - SARNISSA as a group of partners will then use these and other sources of information to produce a series of 2- 3-4? different budgeted working structures or models (basically descriptions of work including people, resources and annual budgets for achieving this) including different levels of self income generation, donor funding , sponsorship, institutional linkages, different activities, services provided and roles etc
>
> - The next step by the 1st April will be to decide between partners the best or most effective budgeted model to take forward to both potential funders and also potential commercial sponsors or advertisers.
>
> In the meantime we welcome you continuing to write in your views until Tuesday 15th February – we want your views not ours - its good to see more lively responses today. This process confirms to us that with an active membership of now over 1600 people the strength in SARNISSA is in the people themselves, their skills, experiences, backgrounds, good and bad advice!! and of course lessons learnt from each other.
>
> Best wishes from all in the Sarnissa team
>
>
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>
> Recent Zimbabwe Aquaculture Trust Training Course publicised on SARNISSA
>
>
>
> The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
> The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number SC 011159.
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> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
*Futur de Sarnissa - Position de l'UMR INTREPID Cirad-Ifremer*
Considérant son important impact en matière de communication entre l'ensemble des acteurs des filières aquacoles Africaines, en particulier entre les réseaux francophones et anglophones, et l'accès donné à une base documentaire considérable (documents, photos, vidéos), l'UMR INTREPID souhaite la pérennisation de ces deux activités majeures développées dans le projet Sarnissa. Comme évoqué dans certains messages, de possibles financements pourraient probablement être trouvés à travers des sponsoring ou publicités ciblées (en relation avec l'aquaculture), de type bannières ou skyscrapers. Si aucun financement de ce type n'était trouvé, il nous semble important de conserver un accès non payant à ces ressources pour les petits pisciculteurs ruraux et les petites et moyennes entreprises aquacoles (PME), tandis qu'une petite contribution pourrait être demandée aux personnes rattachées aux institutions qu'elles soient gouvernementales (recherche, administration) ou de la société civile (ONG, OP...), ainsi qu'aux sociétés privées du secteur productif (aquaculteurs industriels, producteurs d'aliments, fournisseurs de matériel aquacole...). Le travail réalisé par Will pour la liste anglaise et Lionel pour la liste française, nous semble en tout point remarquable, et idéalement devraiet être poursuivi. Pour ce qui est du Cirad et sous réserve de l'accord et de la disponibilité de Lionel pour cela, nous pensons important de poursuivre au moins le travail de diffusion de l'information par le biais d'une plate forme de connaissance. Elle pourrait s'appuyer sur la complémentarité du binome UoS-Cirad.
>
--
Dr J.F. Baroiller,
Dir. de l'UMR INTREPID "INtensification Raisonnée et Ecologique pour une PIsciculture Durable" (Cirad-Ifremer)
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.37.31 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
Mail: baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Bonjour,
Une précision de Wenresti Gallardo à propos de l'information que je vous communiquais hier sur les bourses Banque mondiale: une lettre d'admission à l'AIT est nécessaire pour pouvoir présenter sa candidature. Les personnes intéressées doivent par conséquent s'inscrire sur le site http://www.services.ait.ac.th/admissions/. Pour connaître les conditions d'admission, consulter http://www.ait.ac.th/AIT/admissions/
Si vous avez du mal à vous inscrire en ligne, nous pouvons vous envoyer les formulaires au format pdf. Il vous faudra ensuite les scanner une fois remplis et les renvoyer à admissions(a)ait.ac.th
Bien amicalement
Lionel
> De : "Wenresti G. Gallardo" <gallardo(a)ait.ac.th>
> Date : 11 février 2011 09:45:58 UTC+07:00
> À : <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : RE: [Sarnissa] Scholarships for study at AIT Thailand
>
>
> Thanks to Will and Lionel for the translations.
>
> I would like to add that to apply for the World Bank scholarship, an admission letter from AIT is required. Therefore I advise anyone who is planning to apply for WB scholarship to submit an application for admission to AIT thru http://www.services.ait.ac.th/admissions/. For more information about the admission procedures and requirements, please visit http://www.ait.ac.th/AIT/admissions/. If you have a problem applying online, you can ask for the application forms from me and you can scan the filled out forms and send them to admissions(a)ait.ac.th.
>
> Best wishes,
>
> Dr. Wenresti G. Gallardo
> Coordinator & Associate Professor
> Aquaculture and Aquatic Resources Management
> School of Environment, Resources and Development
> Asian Institute of Technology
> Klong Luang, Pathumthani 12120
> Thailand
>
> Email: gallardo(a)ait.ac.th
>
Chers Amis et membres de sarnissa,
Je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à l'ensemble des membres de Sarnissa(anglophones ou francophones) qui se sont distingués par leurs contributions aux nouvelles de Sarnissa. Nous n'avons pas le choix d'avancer, Sarnissa a gagné en professionalisme, en expérience et surtout en confiance. un site de communication, d'information et de sensibilisation qui beaucoup servi les uns et les autres.
Pour ma part, je tiens au maintien de sarnissa avec des moyens financiers capables de la faire marcher, notamment des cotisations d'adhésion, des publicités, de la recherche de financement avec les partenires et eventuelllement l'organisation d'une rencontre annuelle des meembres de sarnissa.
vous trouverez ici la note de présentation de notre organisation qui couvre neuf(9) pays du bassin du fleuve Niger ansi que le site web: www.cru-bn.org.ml
NOURADINE ZAKARIA TOURE
PRESIDENT SOCI7T2 CIVILE DU BASSIN DU FLEUVE NIGER
BUREAU : 00223 20 28 42 41
CELL : 00223 76 49 07 02 // 66 79 57 40
SKYPE : nouradhine
BAMAKO MALI
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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Nom: Coordination Régionale des usagers. Photo bassin docx.doc
Type: application/msword
Taille: 356864 octets
Desc: non disponible
URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
SEMINAIRE-FORMATION PRATIQUE SUR
LA CONDUITE DE LA PISCICULTURE INTENSIVE AU GHANA fevrier 2011
[cid:image001.jpg@01CBCAF0.EE847110][cid:image002.jpg@01CBCAF0.EE847110]
L'université américaine "Auburn University" avec l'appui du Conseil Américain pour l'Exportation du Soja organise une journée de séminaire-formation sur l'initiation à la pisciculture intensive en cages flottantes de petites dimensions: Faisabilité et limites (module1).
Cette formation d'initiation sera suivie d'une série de deux formations pratiques approfondies:
- Module 2, formation d'une semaine sur le montage pratique des cages flottantes et guide à leur gestion en avril 2011 dates précis a annoncer ;
- Module3 : conduite de la pisciculture intensive en cage flottantes : planification des entreprises et évaluation de la production.
Pour le séminaire-formation :
Lieu: Dodi Asantekrom, Volta Region , Ghana, proche de la ville d'Anum Boso, sur le centre piscicole de "Crystal Lake Fish Ltd".
Date:
- 24 février 2011 pour les pays francophones;
- 26 février 2011 pour les pays anglophones.
Début et fin du séminaire: de 7 heures précises à 17 heures précises.
Contactez (00233) 302817640 pour d'amples informations ou pour s'inscrire. Vous pouvez aussi vous inscrire en téléchargeant le formulaire sur le site web : www.crystal-lake-fish.com<http://www.crystal-lake-fish.com>
http://www.crystal-lake-fish.com/index.php?option=com_facileforms&Itemid=76http://www.crystal-lake-fish.com/index.php?option=com_facileforms&Itemid=76 pour registration
Merci Bien et a très bientôt !!!
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour,
Les personnes qui souhaitent obtenir une bourse pour venir étudier l'aquaculture et la gestion des ressources aquatiques à l'AIT peuvent candidater au programme JJ/WBGSP de la Banque mondiale pour lequel l'AIT est éligible. Pour plus d'informations et pour présenter une candidature, consulter le lien:
http://go.worldbank.org/H7WXKZ6PM0
En 1987, un don du Gouvernement japonais a permis à la Banque mondiale de créer le Programme de bourses universitaires de la Banque mondiale, aujourd'hui connu sous le nom de Programme de bourses universitaires Japon/ Banque mondiale (JJ/WBGSP), pour financer des études de niveau maîtrise et au-delà dans des domaines en rapport avec le développement. Chaque année, le programme accorde des bourses à des ressortissants de pays membres de la Banque mondiale afin qu'ils/elles puissent poursuivre des études de niveau maîtrise et au-delà dans des universités réputées, situées dans des pays membres de la Banque mondiale.
Le Programme général, qui en est à sa 24e année, a attribué des bourses à 3 412 lauréats sélectionnés parmi 61 319 candidats. En outre, 1 301 bourses ont été attribuées dans le cadre des divers programmes de partenariat JJ/WBGSP, ce qui porte le nombre des lauréats à 4 454 au total.
Depuis le commencement du Programme, le Gouvernement du Japon a fourni près de 192,8 millions de dollars américains au Programme de bourses. Le Programme vise à créer une communauté internationale de cadres hautement qualifiés actifs dans le domaine du développement économique et social. La Banque mondiale exige que les boursiers retournent dans leur pays d'origine à l'issue de leur cycle d'études, et qu'ils mettent leurs connaissances et compétences au service du développement économique et social de leur région et de leur communauté.
À compter de 1992, plusieurs programmes de partenariat ont été lancés, principalement en réponse à un besoin de programmes d'études de troisième cycle combinant rigueur académique et formation spécialisée aux aspects pratiques de l'élaboration des politiques. Ces programmes visent à préparer ceux qui les suivent à participer de manière efficace à l'élaboration des politiques dans leur pays et région du monde.
La Banque mondiale administre ce Programme par l'intermédiaire de l'Institut de la Banque mondiale (WBI). Les conseils pour l'orientation du Programme émanent du Comité directeur composé de trois Administrateurs et de cinq membres de la haute direction de la Banque. Le WBI dispose d'un secrétariat pour la gestion quotidienne de ce Programme.
Bien amicalement
Lionel
Bonjour
Les compte-rendus de la Conférence sur la mesure du développement de l'AFD sont désormais disponibles sur Internet:
http://www.afd.fr/jahia/Jahia/home/presse-afd/evenements/conferences/confer…
Bien amicalement
Lionel
« Développement » et « croissance économique » ne sont pas synonymes. Voilà déjà bien longtemps qu’on le sait : le PIB d’un pays peut croitre sans que la santé, l’éducation ou les situations de pauvreté n’évoluent positivement. Pourtant, c’est bien le PIB, et cette statistique seule, qui continue de monopoliser la mesure du « développement » tout comme l’attention publique. Le « progrès » est ainsi identifié à la participation accrue des populations aux activités marchandes, même si la sphère non marchande se contracte en même temps. De même, l'aide au développement voit son efficacité évaluée au seul regard du PIB - alors que son impact sur l’éducation et la santé compte sans doute davantage à moyen terme.
De fait, comme indicateur de développement, les insuffisances du PIB sont innombrables. Cet agrégat offre une mesure de l’activité des marchés mais il n’offre que cela. S’il est un concept économique essentiel, il ne peut refléter le développement dans toutes ses dimensions : bien-être matériel, biens publics, qualité de vie, inclusion sociale, accès à la justice, modes de décision collective, etc.
Comment, dès lors, mieux mesurer développement? Faut-il multiplier les indicateurs spécialisés sur chacune de ses dimensions - de l'accès à l'eau potable à la qualité du système judiciaire, de la mortalité infantile aux caractéristiques démocratiques de la société, de l’apport calorique moyen à la satisfaction individuelle et au bonheur déclarés? Des comparaisons internationales fleurissent aujourd’hui en utilisant ce type d’indicateurs. Leur signification demeure toutefois ambiguë. Ces exercices éveillent parfois l »attention du public mais se cantonnent souvent à des jeux statistiques sans implication forte ni claire nette en termes de développement.
Une autre approche consiste à intégrer toutes ces dimensions au sein d’un indicateur global, unique. Ce «super-PIB » irait bien au-delà de l'indice composite de développement humain (IDH) déjà utilisé par le PNUD, et même renforcé aujourd’hui pour tenir compte des inégalités. Si elle peut séduire, cette approche n’est pas forcément la plus sûre. Les différentes dimensions du développement sont peu comparables – et encore moins échangeables les unes contre les autres, ce que fait implicitement tout indice agrégé.
Telles seront les questions débattues par des experts de premier plan, venus du monde entier, lors de la prochaine conférence AFD/EUDN. Chacun, dans son domaine, s’emploiera à identifier les approches alternatives ou complémentaires permettant de mieux mesurer le progrès économique et social – et ainsi de mieux concevoir et suivre les stratégies de développement.
Parmi les sujet couverts, on comptera notamment les forces et limites des enquêtes ménages dont l’utilisation est aujourd’hui croissante pour appréhender le bien-être économique, la santé ou la pauvreté comme concept multidimensionnel. Seront aussi examinés ces nouveaux indicateurs qui tentent de synthétiser tous les aspects du développement par les niveaux moyens déclarés de satisfaction subjective. Enfin, une forte attention sera portée au caractère durable du développement, notamment via la notion « d’épargne nette» qui prend en compte la consommation et la dépréciation de différents stocks de ressources -naturelles, matérielles, humaines ou sociales.
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1/ Mesurer le développement : autres données, autres conclusions ?
Président: François BOURGUIGNON, PSE
Intervenant: Angus DEATON, Université de Princeton
Document de présentation (en anglais)
Intervention d'Angus DEATON
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2/ Au-delà de la pauvreté monétaire : les mesures multidimensionnelles et leurs limites
Président: Pierre JACQUET, Chef économiste, AFD
Intervenant: Sabina ALKIRE, Université d’Oxford
Discutant: Alemayehu SEYOUM TAFFESSE, IFPRI Addis Abeba
Document de présentation (en anglais)
Intervention de Sabrina ALKIRE
Commentaires de Alemayehu SEYOUM TAFFESSE
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3/ La croissance du PIB améliore-t-elle le bien-être subjectif dans les pays en développement ?
Président: Kimseyinga SAVADOGO, Laquads, Université Ouga 2
Intervenant: Andrew CLARK and Claudia SENIK, PSE
Discutant: Pramila KRISHNAN, Université de Cambridge
Document de présentation
Intervention de Andrew CLARK et Claudia SENIK
Commentaires de Pramila KRISHNAN
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4/ La croissance durable : mesurons-nous bien le défi ?
Président: Roger GUESNERIE, PSE & Collège de France
Intervenant: Michel AGLIETTA, Université de Paris X Nanterre
Discutant : Frank LECOCQ, AgroParisTech
Document de présentation
Intervention de Michel AGLIETTA
Commentaires de Franck Lecocq
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5/ Table ronde et réflexions conclusives
François BOURGUIGNON, PSE
Pierre JACQUET, AFD
Johachim Von BRAUN, Université de Bonn
SYNTESE DE LA CONFERENCE
Bonjour,
Vous pouvez dès à présent soumettre vos résumés à la Conférence Aquaculture Europe 2011 qui se tiendra à Rhodes en octobre.
Le site est:
http://www.easonline.org/component/content/article/180
Bien amicalement
Lionel
Sujet: [SARNISSA] Certificat de formation d'eau douce au Zimbabwe
[cid:image003.png@01CBC5DA.862AB7C0]
Chers collègues,
Quelques places sont encore plus ouvert pour le cours intensif sur les Aquaculture en eau douce qui se tiendra conjointement par l'Université de Zimbabwe Département des sciences biologiques de l'aquaculture et le ZimbabweTrust du 14 au 25 Février 2011.
Tout le monde est le bienvenu à participé y compris celles d'au-delà de nos frontières.
Les frais sont de 300 $ par personne et les frais pour répondre excursion d'une journée à Kariba où participants de visiter deux fermes aquacoles pratique. Pour plus d'informations s'il vous plaît entrer en contact avec le soussigné.
Le cours est donné dans la langue Engish
Les modules proposés sont les suivants:
1). AQC 100
Introduction à l'aquaculture
(3 heures)
AQC 101
2). Biologie AQC Fish 102 et ichtyologie
(10 heures)
3). Santé AQC Fish 103
(10 heures)
4). Nutrition des poissons AQC 104
(6 heures)
5). AQC 105 Qualité de l'eau pour l'aquaculture
(8 heures)
6). AQC 106. Pratiques exemplaires de gestion des poissons d'élevage
(15 heures)
7). Marketing AQC Fish 107, les marchés et les liens avec les marchés
(5 heures)
8). AQC 108 Récoltes Technologies
(5 heures)
9). AQC 109 visite à la ferme du poisson
(8 heures)
Kariba Lake Harvest
-
Tongowona Garikaimose
Agent des programmes
Aquaculture Zimbabwe
16 Croissant-Northampton
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
gaikaimose(a)gmail.com<mailto:gaikaimose@gmail.com> Tel 263 773 802 355.
Subject: [Sarnissa] Freshwater Certificate Training in Zimbabwe
Dear Colleagues
A few more places are still open for the short intensive course on
Freshwater Aquaculture to be held jointly by the University of
Zimbabwe's Biological Sciences Department and Aquaculture Zimbabwe
Trust from the 14th to the 25th of February 2011. Everyone is welcome
to attended including those from beyond our borders. The fees are $300
per person and the fees cater for a day's field trip to Kariba where
participants visit two practicing fish farms. For more information
please get in touch with the undersigned.
The Modules on offer are as follows:
1). AQC 100
Introduction to aquaculture
(3 hours)
AQC 101
2). AQC 102 Fish Biology and Ichthyology
(10 hours)
3). AQC 103 Fish Health
(10 hours)
4). AQC 104 Fish Nutrition
(6 hours)
5). AQC 105 Water quality for aquaculture
(8 hours)
6). AQC 106. Fish farm management best practices
(15 hours)
7). AQC 107 Fish Marketing, Markets and Market Linkages
(5 Hours)
8). AQC 108 Post Harvesting Technologies
(5 Hours)
9). AQC 109 Fish farm visit
(8 Hours)
Lake Harvest Kariba
--
Tongowona Garikaimose
Programs Officer
Aquaculture Zimbabwe
16 Northampton Crescent
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
+263 773 802 355.
_______________________________________________
Sarnissa-african-aquaculture mailing list
Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour à tous,
Comme déjà mentionné, le financement du projet Sarnissa s'achève dans quelques semaines. Il y a actuellement une discussion sur la liste anglophone sur son avenir. Faut-il en rester là, poursuivre l'expérience en maintenant la gratuité de l'accès à l'information (comment ?) ou la poursuivre en rendant payant l'accès à l'information (abonnement, publicité, donation etc.) ?
N'hésitez pas à faire connaître votre avis si vous le souhaitez.
Bien amicalement
Lionel
Bonjour à tous,
A l'occasion de l'arrivée d'Igor Eeckhaut sur Sarnissa, je voudrais vous signaler la revue dont il est l'éditeur et qui s'intéresse à l'élevage des holothuries ou bêches de mer (sea cucumber en anglais).
Le dernier numéro est disponible à cette adresse:
http://www.spc.int/coastfish/fr/publications/bulletins/la-beche-de-mer/68-b…
En voici le sommaire:
Renforcer les capacités de gestion durable des ressources en holothuries dans l’océan Indien occidental
Muthiga N., Ochiewo J., Kawaka J. (pdf: 84 KB)
Signes d’une surpêche aiguë des ressources en holothuries dans le Sultanat d’Oman
Al-Rashdi K.M., Claerebout M.R. (pdf: 163 KB)
État des lieux de la pêche des holothuries au Sri Lanka
Dissanayake D.C.T., Athukorala S., Amarasiri C. (pdf: 468 KB)
Méthodes de ramassage et de transformation des holothuries : quelle est leur incidence sur la qualité et la valeur des bêches-de-mer produites aux Îles Fidji ?
Ram R., Freidman K., Sobey M.N. (pdf: 392 KB)
Effet de la température de l’eau sur la survie et la croissance des juvéniles endobenthiques de Holothuria scabra (Echinodermata : Holothuroidea) élevés dans des bassins extérieurs
Lavitra T., Fohy N., Gestin P.-G., Rasolofonirina R., Eeckhaut I. (pdf: 348 KB)
Potentiel aquacole de deux espèces tropicales d’holothuries Holothuria scabra et H. lessoni dans la région indo-pacifique
Giraspy D.A.B., Walsalam I.G. (pdf: 133 KB)
Les principes de la nomenclature zoologique : exemple des holothuries
Samyn Y., Kerr A., O’Loughlin M., Massin C., Pawson D.L., Rowe F.W.E., Smiley S., Solis-Marin F., Thandar A.S., VandenSpiegel D., Paulay G. (pdf: 372 KB)
Biologie d’une population à forte densité de Stichopus herrmanni à One Tree Reef, sur la Grande barrière de corail (Australie)
Eriksson H., Fabricius-Dyg J., Lichtenberg M., Perez-Landa V., Byrne M. (pdf: 116 KB)
Observations de pontes en milieu naturel
Bollard S., Ribes S., Bigot L. (pdf: 129 KB)
Communications...
(pdf: 48 KB)
Résumés et nouvelles publications
(pdf: 74 KB)
Publications de Chantal Conand sur les holothuries
(pdf: 62 KB)
Publications de Claude Massin sur les holothuries
(pdf: 54 KB)
Communications (pdf: 48 KB)
Résumés et nouvelles publications (pdf: 74 KB)
Publications de Chantal Conand sur les holothuries (pdf: 62 KB)
Publications de Yves Samyn sur les holothuries (pdf: 54 KB)
Je vous informe aussi de la tenue d'un symposium Asie-Pacifique sur les holothuries tropicales à Nouméa, Nouvelle-Calédonie du 14 au 17 février, organisé par le Secrétariat de la Communauté du Pacifique et le Centre australien pour la recherche agricole internationale (ACIAR). Le colloque mettra l'accent sur l'état actuel de la recherche sur l'aquaculture des holothuries tropicales, en particulier Holothuria scabra, et s'intéressera à un éventail de sujets tels que:
• les progrès récents dans la technologie de production en écloserie,
• les stratégies d'ensemencement, les techniques d'élevage,
• les pratiques de gestion,
• les technologies post-récolte de valorisation,
• les filières et la commercialisation.
A noter que Matt Slater et Selina Stead de l'Université de Newcastle viennent aussi d'organiser un important séminaire sur les concombres de mer et la pisciculture: À l'Université de Newcastle, Royaume-Uni, une équipe dirigée par le professeur Selina Stead étudie la façon dont nous pourrions être en mesure d'utiliser les concombres de mer ou holothuries pour développer de manière plus durable l'aquaculture marine. Le Dr Matthew Slater, un expert des holothuries, qui fait partie de l'équipe du professeur Stead, explique que le but est d'étudier le potentiel du concombre de mer comme organisme dépolluant naturel des fermes piscicoles du monde entier - y compris au Royaume-Uni - mais aussi comme source d'aliments. Le projet holothurie est dévoilé dans le cadre d'une conférence qui se tiendra à l'Université de Newcastle vendredi 4 Février. La conférence rassemblera l'expertise de niveau international de l'université en sciences et technologies marines afin de fournir des réponses permettant de faire face aux principaux défis actuels et futurs de l'environnement marin. Jusqu'à présent, l'équipe a effectué l'essentiel du travail au laboratoire Dove Marine de l'Université de Newcastle. La prochaine étape consiste à introduire des holothuries dans diverses piscicultures du Royaume-Uni et à en faire l'élevage à la fois comme organisme dépolluant et comme aliment. Outre ses activités au Royaume-Uni, l'équipe dirige également un projet d'aquaculture majeur en Tanzanie, où les animaux sont élevés en cages dans une écloserie capable d'alimenter en juvéniles une industrie en pleine croissance. (Traduction résumée de http://www.aquafeed.com/read-article.php?id=3755§ionid=1&utm_source=Aqu… )
Bien amicalement
Lionel
Chers tous,
Voici la traduction google des principales contributions de la liste anglophone.
Concernant l'avenir, personnellement, je reste attaché à la mise à disposition gratuite de la connaissance, quelque soit le mode de financement adopté.
Bien amicalement
Lionel
Le 6 févr. 2011 à 13:54, Gideon Hulata a écrit:
Cher Will, Lionel et toute la communauté SARNISSA,
En effet SARNISSA a fait un énorme changement, et doit se poursuivre. Faire payer des frais d'adhésion est une bonne idée, même si bon nombre des principaux bénéficiaires pourraient avoir des difficultés avec elle. Les dons sont une autre possibilité. SARNISSA n'est pas moins important que l'ONG AwF (aquaculture sans frontières) qui s'appuie fortement sur des dons, et au moment où j'écris, l'idée qui me vient à l'esprit est qu'il serait peut-être possible de joindre les force. Matière à réflexion ...
Ne perdez pas la foi, le peuple a besoin de ce forum, nous allons donc travailler ensemble pour le maintenir.
Cordialement,
Gidi
Hulata Gideon Prof
Ministère de la volaille et de l'aquaculture
Institut des sciences animales
Organisation de recherche agricole
Le Volcani Center
BP 6, 50250 Bet Dagan, Israël
Téléphone: +972- (0) 3 9683020; cellule +972 (0) 50-6220058
Fax: +972- (0) 3 9605667
E-mail: vlaqua(a)volcani.agri.gov.il
Site web: http://www.agri.gov.il/en/people/628.aspx
Aquaculture
De: Sloans <SloansC(a)Nepad.org> Chimatiro
Date: 7 février 2011 13:24:41 UTC +07:00
A: «sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk" <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Cc: "planil03(a)gmail.com" <planil03(a)gmail.com>
Objet: [SARNISSA] what's next pour SARNISSA
Bonjour à tous,
Je tiens également à soutenir la proposition de John Moehl que le NEPAD, par l'intermédiaire du Groupe de travail sur l'aquaculture du Partenariat pour les pêches africaines (PAF), serait en mesure d'apporter une contribution modeste à l'ANAF, afin de veiller à ce que SARNISSA continue le travail qu'il a fait. Je voudrais proposer que ANAF prépare un projet de note conceptuelle sur la façon dont ils ont l'intention de continuer le travail SARNISSA et le faire circuler au Groupe de travail sur l'aquaculture PAF (Prof. Emmanuel Kaunda) pour les commentaires.
Cordialement,
Sloans
Sloans K. Chimatiro, PhD
Conseiller principal des pêches
La planification et de coordination du NEPAD Agence
Bloc B, parc Gateway
Challenger Corner & Avenues-Britannique
Office Park Midridge
Midrand 1685
Afrique du Sud.
Tél. +27 11 256 3606
Fax +27 11 206 3859
Cell +27 83 380 8512
http://www.nepad.org
Le 6 févr. 2011 à 22:00, Jérôme Lazard a écrit:
Cher Collègue,
J'aime beaucoup la façon dont vous mettez les choses. Comme vous le mentionnez, la plupart des membres qui appartiennent à SARNISSA pourrait être appelé l'élite africaine et internationale de l'aquaculture. Seul un des membres (très?) Sont quelques aquaculteurs (sauf à grande échelle / agriculteurs industriels et fabricants d'aliments). Il faudra probablement un certain temps pour les petits / moyens entrepreneurs aquaculture à petite échelle pour atteindre la possibilité d'avoir un accès facile à Internet et de payer les frais d'adhésion pour un tel réseau SARNISSA. Bien sûr, les bailleurs de fonds peut être une fois de plus demandé de parrainer une deuxième phase du projet SARNISSA mais est-ce la bonne façon? Si nous supposons que maintenant l'aquaculture en Afrique a été le décollage et si nous voulons que ce processus devient irréversible et croissante, nous (je veux dire la communauté de l'aquaculture en Afrique dans le sens le plus large du terme) nécessaire pour montrer que nous (encore une fois) ont été en mesure de soutenir un réseau qui est réellement et potentiellement en mesure d'atteindre un appui à toutes les initiatives permanentes et à venir dans le domaine de l'aquaculture sur le continent. Un tel réseau "libre" de vie doit être un témoignage exceptionnel d'une collectivité qui dans ses propres mains son propre destin. Je pense que l'alternative d'un auto-financement SARNISSA basée sur les contributions des membres doit être soigneusement étudiée. Est-il une autre solution durable et pérenne? Cette solution peut (doit?) Comprennent des partenariats solides avec d'autres associations / réseaux existants.
Meilleurs voeux,
Jérôme Lazard
Le 6 févr. 2011 à 21h51, Obiero kevin a écrit:
Bonjour à tous,
J'apprécie les bons commentaires, suggestions et compliments partagée dans ce forum utile. Il est important de noter que SARNISSA a livré à ce jour sur son mandat initial d'initier une communication régulière entre les différents acteurs à travers le partage de l'information pertinente qui a enoumously contribué au développement de l'aquaculture non seulement en Afrique sub-saharienne, mais à travers le monde.
Ma requête s'adresse à des organisations comme le CABI, ANAF, les ONG et la CE par les partenaires du consortium qui ont fait 8 SARNISSA un énorme succès. Avec la feuille de route qui SARNISSA a développé, je crois qu'un financement durable est possible d'organisations donatrices, esp. ceux qui s'occupent de la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté.
L'idée de cotisation peut être un peu difficile dans le contexte africain en particulier au niveau de l'entreprise et individuels. La plupart des organismes gouvernementaux, des universités et organismes de recherche ne sont pas abonnés à des revues scientifiques et de sites Internet utiles. Il sera donc un traitement injuste aux agriculteurs à petite échelle, les agents du gouvernement, enterpreneurs à venir, les agriculteurs établis / entreprises et les étudiants des collèges qui en dépendent SARNISSA pour un grand pour cent de leur travail.
Soyons ouverts aux nouvelles idées pour sauver ce forum de classe mondiale.
Cordialement,
Kevin O. Obiero,
Connaissance de l'aquaculture de transfert associé de partenariat /
Aquaculture Manager,
Lake et des ressources Sea Limited,
P. O. Box 437, Bondo - Kenya
Le 6 févr. 2011 à 20h15, louisnna(a)gmail.com a écrit:
Superbe et de la pensée contribution de provoquer Garikaimose Tongowona. Pour des raisons graves sont ses compositeurs (1) Le mandat initial de SARNISSA? (2) l'analyse SWOT? (3) La peur de devenir SARNISSA elitistic? (4) Sous réserve d'informations utiles sur l'existence d'alternatives / association similaire appelé AASA. Merci Garikaimose. LOUIS
Le 6 févr. 2011 à 19:09, Garikaimose Tongowona a écrit:
Bonjour à tous
Dans la mesure où je suis d'accord avec tous les points à venir / suggestions Je veux simplement pour nous rappeler la situation délicate que les chercheurs, étudiants, agents de vulgarisation, les agriculteurs, etc se trouvent en essayant d'atteindre leurs objectifs. C'est l'Afrique dont nous parlons et, personnellement, je veux parler du point de vue du Zimbabwe, un scénario où il est en fait un mal de tête pour une juste rester en ligne tout le temps en raison d'une pléthore de défis. l'accessibilité à Internet au Zimbabwe est encore très coûteux et la plupart des personnes mentionnées ci-dessus à sacrifier beaucoup pour rester connecté. Maintenant, imaginez comment, quand on a au moins eu la chance d'être en ligne, se rend compte que la seule source qui fournit des ressources crédibles de l'aquaculture doit être souscrite Je ne sais pas à n'importe quel prix. La plupart de mes collègues ici au Zimbabwe connaît actuellement des services SARNISSA sera le premier à convenir avec moi que la raison pour laquelle ils sont sur SARNISSA et non sur l'AASA (Aquaculture Association of Southern Africa) qui offre des services assez similaire est principalement parce que ce dernier exige abonnements. Je ne sais pas combien de chiffres se vante d'AASA mais je soupçonne qu'ils sont de restauration pour l'autre extrémité du marché qui peuvent se permettre. Combien coûte un prix abordable par mois ou par an est certainement très relative et dépend où l'on veut en venir. Mais en général, troisième pays au monde les normes ne varient pas à l'extrême.
Peut-être que nous devons revenir en arrière et regarder la raison pour laquelle SARNISSA a été créé en premier lieu (le mandat initial) et si elle a atteint ou a rencontré quelques-uns des objectifs qu'il s'est fixés d'atteindre et de faire une analyse SWOT toute chose et peut-être analsyis alors nous pouvons avoir une meilleure façon d'avancer, celle qui est compatible avec les réalités sur le terrain. Parce que à mon avis, essayer de "elitisise" ce forum sera de marginaliser davantage les bénéficiaires à l'origine ciblés et de promouvoir davantage les goulets d'étranglement actuels où seulement 4 ou si les entreprises peuvent désormais se lever pour être compté dans le secteur à travers l'Afrique. Ce sont juste des pensées que j'ai à en juger par les groupes de deux très intéressés par la pratique et les agriculteurs potentiels que je rencontre et d'interagir avec le terrain, ceux qui risquent d'en pâtir de toute les formes de paiement de ces services. Je comprends que la durabilité implique la rentabilité, mais il nous faut pas perdre de vue la situation particulière que nous ayons à traiter dans la vie quotidienne en Afrique. Partout ailleurs, je dirais le contraire, mais si les donateurs sont prêts à payer et ils peuvent, s'ils sont recherchés persistante, poliment et avec raison, tout comme la FAE fait, alors je pense que nous pouvons le faire comme un continent à un certain point où nous en toute sécurité que nous pouvons le faire nous-mêmes, c'est à dire de façon durable sans conditions des bailleurs de fonds et ainsi de suite! Mais jusque-là permet de faire comme d'habitude que nous sommes bien connu, "prie" pour un peu plus longtemps alors que nous sommes l'autonomisation de la base pour une étape confortable. Je pourrais continuer encore et encore, mais la ligne du bas est TIA (This Is Africa) et les hypothèses doivent être vérifiées avant de décisions peuvent être prises parfois.
Vive tout le monde!
-
Tongowona Garikaimose
Agent des programmes
Aquaculture Zimbabwe
16 Croissant-Northampton
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
263 773 802 355.
Le 6 févr. 2011 à 17:38, Mark Oliver a écrit:
Bonjour à tous
Je suis totalement d'accord avec tous les attributs positifs SARNISSA apporte à l'Afrique et même la communauté mondiale de l'aquaculture. Ce serait une tragédie si elle venait à s'arrêter. J'ai juste une question au sujet du financement futur pour SARNISSA. Je pense qu'avant de parler de tous les modèles de financement, je me demandais exactement combien ça coûte pour exécuter SARNISSA année. Je pense qu'une fois que nous déterminer ce chiffre, nous pouvons aller de l'avant.
Vive
Mark
-
Bsc Mark Oliver (Hons); GrDipEdu; DipAqua
Directeur
M: +61 (0) 457 383 963
P: +617 5456 1173
F: +617 5456 1173
E: aquaculturesupportservices(a)gmail.com
Le 6 févr. 2011 à 16h33, melissa.schiele @ googlemail.com a écrit:
Oui, je suis entièrement d'accord avec ce système, Tawanda. Les grandes pensées! SARNISSA ne peut tout simplement pas être mis au rebut.
Melissa Schiele
L'Université de Newcastle
MSc IMEC étudiants
Le 6 févr. 2011 à 16:15, Roy Palmer a écrit:
William / Lionel
Quel est le budget pour SARNISSA concernant la façon dont il fonctionne aujourd'hui?
Pourrait-il être l'occasion pour WS-AFRIQUE chapitre? Parce que d'autres questions, il ya eu avec certains des concepts chapitre il se pourrait que A serait envisager d'aider le début d'un nouveau chapitre
Ce devrait être chiffré et un plan proposé
Vive
Roy
D Roy Palmer, FAICD
Mobile +61 (0) 419528733
Chef de la direction - http://www.australianseafood.com.au MER
Président était-http://www.was.org APC
Adhésion et Événements Directeur IAFI - L'Association internationale des professionnels de la mer http://www.iafi.net
Directeur - Aquaculture sans frontières - http://www.aquaculturewithoutfrontiers.org/
Président de poissons australiennes et de noms Comité http://www.fishnames.com.au et http://www.seafood.net.au/fishnames
Check out my blog à http://www.seafoodsource.com/BlogsAuthor.aspx?blogid=3953
Serai-je vous voir à Kochi, Inde 17-20 Janvier 2011 au APAC & Giant crevettes 2011 - voir https: / / www.was.org/WasMeetings/meetings/Default.aspx?code=APA2011
Le 6 févr. 2011 à 15:52, Tawanda Kaseke a écrit:
Bonjour à tous
Toutes les bonnes idées ... Mais semble que personne ne vient avec des solutions concrètes et voie à suivre. Dois-je sens le glissement africain typique de la mentalité pieds ici.
Semble que les gens sont tous à l'idée d'abonnement ... Alors permettez-moi de lancer le bal:
1. Nous travaillons en sous-marins d'adhésion sur une échelle mobile, selon qu'il s'agit d'un membre individuel, ONG, société, ou etc confiance de la communauté. On peut toujours contourner ce délibérée.
2. Accès à l'information sur le site peut alors être déterminée par le niveau d'adhésion que vous avez. Cela impliquera une refonte entière du site Web pour être en mesure de soutenir cette initiative et cette partie (refonte web) ne coûtera pas beaucoup.
3. Pourquoi ne pas voir combien de membres y at-il sur le forum SARNISSA et puis de là nous pouvons travailler sur ce genre de sous-marins minimum peut-on payer et à quels intervalles. Inutile de dire que ce sera essentiellement changer la façon dont tout le forum fonctionne. Mais il ya un coût pour toute stratégie de survie qu'une organisation peut prendre. Je peux me tromper là-bas.
4. Rappelez-vous que certains membres vont disparaître et d'autres se joindront, car (a) souscriptions pourront chasser les gens et (b) les cotisations peuvent rendre le site et toute l'initiative intéressante en termes de nouveaux membres venus rejoindre. Il devrait y avoir débat sur la façon de lutter contre (a) et appuyez sur pour (b).
5. Si nous avons une base de données des membres libérées en place, je pense que les donateurs peuvent également être disposés à soutenir nos efforts. Plus d'un "permet de nous aider avant d'aller mendier approche".
Ceci est juste une pointe de l'iceberg sur la façon de le faire.
Vos pensées?!
Tawanda
Entreprises Tawken
Mobile: 00971506559729
Terrain: 0091742575141
Skype: tawawekwakaseke
Le 6 févr. 2011 à 13:42, Masroor Siddiqi a écrit:
Bonjour
J'espère bien que le site continue, je ne suis pas en Afrique mais aussi au Pakistan et il m'a aidé aussi.
Ainsi, il a un large public mondial.
-
Masroor Siddiqi
Le 5 févr. 2011 à 19:36, Robert Allou a écrit:
DearColleagues,
Je suis d'accord avec vous tout à fait, l'équipe SARNISSA a très bien fait, et nous devons aussi montrer notre appréciation, s'il vous plaît laissez les sortir avec quelque chose de réaliste pour aider à soutenir notre plate-forme.
Cordialement,
Robert Allou
Cohorte NOMA-FAME 4
Nha Trang Université
Vietnam
Le 5 févr. 2011 à 23h25, Ofor Chukwuma a écrit:
Je subdscribe à cette idée. Paiement des frais d'adhésion est définitivement mon choix si l'alternative est la fermeture de ce service. Mais laisse jeter dans les associations nationales des pêches, qui utilisent aussi le réseau.
Chukwuma O. Ofor
Ministère des Pêches et gestion des ressources aquatiques
Collège des Ressources naturelles et de gestion de l'environnement
Université Okpara Michael de l'Agriculture, Umudike.
P. M. B. 7267 Umuahia, l'Etat d'Abia, Nigeria.
Téléphone: 234-8035472301
Le 5 févr. 2011 à 15h24, wlm63(a)mweb.co.zw a écrit:
Merci pour la mise à jour John. Il est réconfortant de savoir que des efforts sont
déjà en cours pour maintenir ce réseau va très précieux.
Cordialement
Wilson (Mhlanga)
Le 5 févr. 2011 à 14h52, Rob Elliott a écrit:
Cher Will et Lionel,
Je pourrais prendre la parole hors du terme, mais im le plus sûr d'entre nous de payer une cotisation comme associé ou ordinaires pour aider à poursuivre ses SARNISSA work.I précieux apprécier certains pourraient trouver difficile, mais malheureusement certaines choses dans le coût de vie, en particulier l'exemple de et le travail qualitatif de la team.I SARNISSA,, pour un préfèrent payer plutôt que de perdre cette forum.We de classe mondiale pourrait comparer les dons, subventions, concours, ou même payer pour les laïcs des cours en ligne. S'IL VOUS PLAÎT collègues, les amis et les parties intéressées permet de plus des suggestions et aider ceux qui vous ont aidé à us.Thanking en prévision
Bien cordialement Rob Elliott.
Le 4 févr. 2011 à 21:46, Blue Pond Farms a écrit:
Cher Will
SARNISSA a fourni une source d'information extrêmement précieux pour nous agriculteurs. S'il vous plaît laissez-nous savoir s'il ya quelque chose que nous pouvons faire pour vous aider à obtenir le financement nécessaire pour assurer son maintien.
Cordialement
Olenka
Olenka Pierozynska
Blue Pond Farms
Ayegbaju-Ekiti
Nigeria
Le 4 févr. 2011 à 11:33, Moehl, John (FAORAF) a écrit:
Bonne journée à tous,
Juste un bref commentaire à l'appui des déclarations de Bill et Patrick et ajouter
que, à cette étape connue depuis un certain temps, des efforts importants ont déjà
été investis dans l'examen des voies et moyens pour assurer la continuité. Grâce à ANAF
- Réseau Aquaculture pour l'Afrique - nous avons obtenu quelques ressources à explorer
possibilités de consolider et de renforcer les réseaux en Afrique. SARNISSA a
parcouru un long chemin à démontrer la valeur ajoutée du réseau et il est
maintenant un soutien considérable de l'ensemble du spectre à faire tout son possible pour travailler
partir de cette base, en gardant intact tout en améliorant l'accès à l'information et
services des acteurs de la région ainsi que ceux des autres régions
du monde.
Cordialement,
John
Le 4 févr. 2011 à 12:30, Garikaimose Tongowona a écrit:
Bonjour à tous
Pour certains d'entre nous (ici au Zimbabwe), nous ne pouvons pas faire sans SARNISSA.
Il est devenu le portail d'information par défaut de l'aquaculture où l'on a
le luxe d'obtenir des informations d'experts sans payer un seul centime.
Nous espérons tous que certains de façon durable de financement est fixée dès que possible pour
faciliter la continuité de ce forum.
Ce que nous avons appris que l'un ne marche pas nécessairement à poser
questions sur SARNISSA pour eux d'obtenir des informations utiles. Juste en
observant tout simplement les questions et réponses du monde entier, on obtient
l'éducation immense. Ce serait un triste jour pour le développement de
Afrique de l'aquaculture, si ce forum était de parvenir à un statu quo.
Voici en espérant que SARNISSA va obtenir un nouveau bail de la vie cette année.
Mes salutations les plus chaleureuses
-
Tongowona Garikaimose
Agent des programmes
Aquaculture Zimbabwe
16 Croissant-Northampton
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
263 773 802 355.
Le 4 févr. 2011 à 11h51, enos macwere a écrit:
Chers membres,
Nous le savons tous, que SARNISSA a bien plus étendu de ses frontières, ce qui, en substance, prouve à quel point il le pratique. Il s'étend désormais de résultats de la recherche, à la formation à Internet, à des emplois annonces, et j'en passe. Tous les intervenants doivent soutenir tous les bits de l'effort de Will pouvez vouloir mettre à obtenir une existants SARNISSA.
Cordialement,
Enos
Enos Were
Aquaculture Manager
Dominion Farms Limited
Siaya Private Bag
Le 3 févr. 2011 à 17:55, Patrick Blow a écrit:
Chers collègues,
Je suis d'accord avec le projet de loi. Je pense que SARNISSA a fait un travail incroyable en reliant les personnes et le développement de l'aquaculture à travers l'Afrique. Je n'avais jamais réalisé qu'il y avait tant de nombreux intervenants. Will et son équipe vont avoir besoin de beaucoup de soutien des parties prenantes pour assurer un financement supplémentaire.
Cordialement
Patrick Blow
Lake Harvest et des exploitations piscicoles FILS
Le 2 février 2011, à 16:25, le projet de loi Daniels a écrit:
Chers collègues:
Je comprends que SARNISSA arrive à la fin de son financement par la CE 3 années et ils ont été activement à la recherche d'autres façons de garder les deux du réseau, des forums de courrier électronique, sites Web et des publications associées - études de cas etc continue sous une forme modifiée.
Personnellement, j'espère que SARNISSA continue car il fournit une source immédiate de contacts et de l'avenue de poser des questions et obtenir des réactions sur des thèmes d'intérêt pour mon travail dans le développement international en Afrique et ailleurs. Il a été un excellent moyen de trouver de nouveaux contacts en provenance de pays dans lesquels j'ai un intérêt.
J'ai également été en mesure de surveiller les publications qui ont été partagés et de repérer celles d'importance à mon travail. En substance, il est une grande ressource, en particulier pour les publications qui sont difficiles d'accès.
Alors, merci.
Bill Daniels
Professeur agrégé
Hall Room 203 Swingle
Ministère des Pêches et des Alliés aquacultures
Université Auburn, AL 36849-5419
334-844-9123
334-844-9208 télécopieur
daniewh(a)auburn.edu
Programme de bourses de recherche approfondie du CODESRIA (Appel à candidatures)
http://www.codesria.org/spip.php?article1232&lang=fr
Dare limite : 13 août 2011
Le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) a le plaisir d’annoncer la session 2011 de son programme de bourses de recherche approfondie et invite les chercheurs et universitaires africains ainsi que les centres de recherche intéressés à soumettre leurs candidatures pour l’obtention de bourses.
Objectifs
Le Programme de bourses de recherche approfondie du CODESRIA contribue au renforcement et à la promotion d’une culture de réflexion intensive et approfondie chez les chercheurs africains. Il est essentiellement destiné à la génération de jeunes chercheurs africains titulaires d’un doctorat et désireux de mener une recherche approfondie sur un aspect donné de la réalité sociale africaine, historique ou contemporaine. Ce programme est ouvert aux candidats de toutes les disciplines des sciences sociales et humaines. Il vient en soutien aux chercheurs qui souhaitent définir de nouvelles orientations de recherche ou élargir des domaines de recherche déjà explorés, en vue de contribuer de manière significative à l’enrichissement du niveau de connaissance sur les divers aspects des réalités africaines historiques et contemporaines. Les candidats détermineront librement le thème sur lequel ils souhaitent travailler de même que la méthodologie adoptée. Dans la sélection des candidats, l’accent sera mis sur le caractère original et novateur des idées contenues dans leurs propositions. Les bourses seront attribuées pour une période d’un an à la fin de laquelle les lauréats devront soumettre un rapport de qualité, publiable, qui sera soumis à évaluation. Le rapport devra comprendre entre 50.000 et 80.000 mots et, s’il est accepté pour publication, figurera dans la Série des livres ou des monographies du CODESRIA. Pour l’année 2011, le CODESRIA attribuera dix bourses d’un montant maximum de 8 000 dollars américains chacune. Dans le cadre de ce programme, tous les lauréats seront invités à participer à un atelier d’orientation de deux jours qui fait partie intégrante du programme et sera financé par le CODESRIA sans aucune incidence sur le montant de la bourse sus-indiqué.
Eligibilité
Pour être éligibles, les candidats doivent être titulaires d’un doctorat dans une discipline des sciences sociales et humaines. Ils doivent avoir obtenu leur doctorat dans les cinq années précédant la date de soumission de leur candidature. Tous les candidats doivent être affiliés à une institution africaine d’enseignement supérieur ou de recherche.
Conditions de candidature
Les candidats doivent fournir les documents suivants :
a) Proposition de recherche Une proposition de recherche de 10 à 15 pages, présentant clairement le travail envisagé, la problématique qui le sous-tend, la pertinence de l’étude par rapport à la littérature existante, la méthodologie qui sera utilisée, les implications de l’approche méthodologique sur la recherche empirique à mener, ainsi que le résultat attendu. Il est vivement recommandé aux candidats de préciser le caractère original ou novateur de leur étude. Un exposé détaillé des aspects épistémologiques de la recherche constituera un atout pour le candidat.
b) Plan de travail Chaque bourse couvre une période d’un an, effective à partir de la date de son attribution. Chaque candidature devra être accompagnée d’un programme détaillé étendu sur une période de 18 mois, à partir de la date de délivrance de la bourse.
c) Budget Les candidats doivent présenter un budget détaillé d’un montant maximum de 8.000 dollars américains, incluant les frais de recherche et de diffusion. Le budget devra être structuré de sorte à correspondre au mode de paiement appliqué par le CODESRIA, qui consistera à payer 50% du montant de la bourse au moment de la signature du contrat, puis 25% après réception d’un rapport d’étape scientifique satisfaisant, enfin, 25% à la réception de la version finale révisée des résultats de recherche. En plus des frais de recherche sur le terrain et d’acquisition d’ouvrages, il est vivement recommandé aux candidats d’intégrer dans leur budget de recherche, les coûts de participation à une conférence internationale en rapport avec leur domaine de recherche. (Le choix final de la conférence sera fait en étroite collaboration avec le programme Formation, bourses et subventions du CODESRIA, étant entendu que la demande de participation à une telle conférence internationale ne sera retenue par le CODESRIA qu’après réception de la version provisoire du rapport final du candidat qui devra être révisée en tenant compte des commentaires et suggestions faites par les membres de la communauté scientifique internationale).
d) Lettres de recommandation Les dossiers de candidature devront inclure trois lettres de recommandation rédigées par des universitaires ayant une bonne connaissance du travail du candidat et pouvant témoigner de son affiliation institutionnelle, ainsi que les coordonnées de ces universitaires. Les candidats devront, dans la mesure du possible, présenter au moins une lettre de recommandation d’un universitaire basé hors de leur pays de résidence.
e) Curriculum Vitae Chaque candidat devra fournir un curriculum vitae détaillé présentant clairement ses publications scientifiques et ses différentes participations à des réseaux/activités de recherche. Des copies des diplômes obtenues par les candidats devront être incluses dans les dossiers de candidature.
f) Copie du diplôme de Doctorat Les candidats devront joindre à leur dossier de candidature, une copie de leur diplôme de doctorat. Le CODESRIA se réserve le droit de vérifier la date effective d’obtention du diplôme et donc de leur éligibilité à ce programme de bourses.
g) Lettre d’engagement du candidat Une lettre d’une page du candidat affirmant son engagement à soumettre un rapport scientifique de la longueur d’une monographie de 50.000 à 80.000 mots comme résultat de la recherche menée au titre de la bourse. Le candidat devra également s’engager à entreprendre, de manière expresse, toutes les corrections suggérées suite à l’évaluation par les pairs de son rapport et affirmer sa compréhension du fait que la version finale de son rapport sera publiée dans la Série des livres ou des monographies du CODESRIA.
Processus de sélection
Toutes les demandes reçues seront examinées par un comité de sélection indépendant composé d’éminents universitaires. Tous les candidats seront informés des résultats du processus de sélection.
Délai de réception des dossiers de candidature Tous les dossiers de candidature doivent être reçus au plus tard le 13 Août 2011. Les dossiers de candidature doivent être envoyés à l’adresse suivante :
Programme de bourses de recherche approfondie,
CODESRIA,
BP 3304, CP 18524,
Dakar, Sénégal.
Tél : +221- 33 825 98 22/23
Fax : +221-33 824 12 89
E-mail : advanced.fellowship(a)codesria.sn
Site Web : http://www.codesria.org/
Bonjour,
Le délai est court mais l'appel a été publié il y a peu de temps. Pour plus de renseignement, consulter: http://www.ffem.fr/
Amitiés
Lionel
Appel à projets dans le cadre du Programme de petites initiatives : clôture le 15 février 2011
17/01/2011
Vous agissez en Afrique pour la protection de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique ? Proposez votre projet au FFEM dans le cadre de son programme de petites initiatives. Pour déposer un dossier de demande financement, lisez le règlement du concours de projets.
Le quatrième et dernier appel à projets de la seconde phase du PPI est désormais ouvert. Il se clôturera le 15 février 2011 à 18h (Heure de Paris, GMT+1).
Les porteurs de projets issus de la société civile africaine des pays concernés par le programme sont invités à déposer leurs dossiers de demande de subvention complétés avant cette date. Tout dossier reçu après l’heure limite ne sera pas pris en considération. Il convient de tenir compte des délais de transmission internet parfois très longs.
Les dossiers devront être transmis à l’adresse ppi(a)uicn.fr ainsi qu’à l’adresseppi(a)iucn.org si le projet est situé en Afrique de l’Ouest.
Le règlement de concours comprenant des informations complémentaires sur le PPI ainsi que les dossiers de demande de subvention sont disponibles à la rubrique Programme de Petites Initiatives .
Bonjour,
Des nouvelles de Matt Slater et Selina Stead de l'Université de Newcastle qui organisent aujourd'hui un important séminaire sur les concombres de mer et la pisciculture.
À l'Université de Newcastle, Royaume-Uni, une équipe dirigée par le professeur Selina Stead étudie la façon dont nous pourrions être en mesure d'utiliser les concombres de mer ou holothuries pour développer de manière plus durable l'aquaculture marine. Le Dr Matthew Slater, un expert des holothuries, qui fait partie de l'équipe du professeur Stead, explique que le but est d'étudier le potentiel du concombre de mer comme organisme dépolluant naturel des fermes piscicoles du monde entier - y compris au Royaume-Uni - mais aussi comme source d'aliments. Le projet holothurie est dévoilé dans le cadre d'une conférence qui se tiendra à l'Université de Newcastle vendredi 4 Février. La conférence rassemblera l'expertise de niveau international de l'université en sciences et technologies marines afin de fournir des réponses permettant de faire face aux principaux défis actuels et futurs de l'environnement marin. Jusqu'à présent, l'équipe a effectué l'essentiel du travail au laboratoire Dove Marine de l'Université de Newcastle. La prochaine étape consiste à introduire des holothuries dans diverses piscicultures du Royaume-Uni et à en faire l'élevage à la fois comme organisme dépolluant et comme aliment. Outre ses activités au Royaume-Uni, l'équipe dirige également un projet d'aquaculture majeur en Tanzanie, où les animaux sont élevés en cages dans une écloserie capable d'alimenter en juvéniles une industrie en pleine croissance.
Traduction résumée de http://www.aquafeed.com/read-article.php?id=3755§ionid=1&utm_source=Aqu…
Bien amicalement
Lionel
Bonjour,
La 29ème session du comité des pêches se déroule actuellement à Rome. Vous pouvez suivre son avancée sur ce site bilingue anglais-français:
http://www.iisd.ca/FAO/cofi/cofi2011/
Et voici ci dessous les faits marquants du sous-comité de l'aquaculture.
Bien amicalement
Lionel
LES DECISIONS ET RECOMMANDATIONS DE LA 5E SESSION DU SOUS-COMITÉ DE L'AQUACULTURE DU COFI
Dans la matinée, Belemane Semoli, Afrique du Sud, a introduit ce point de l'ordre du jour (COFI/2011/4 et INF.s 9 et 10) et le Secrétariat a présenté un rapport sur la 5e session du Sous- comité, qui a eu lieu du 27 septembre au 1er octobre 2010, à Phuket, en Thaïlande.
Le Secrétariat a fait état des résultats de la réunion et, notamment de l'accord sur le projet de lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture, sur le besoin de stratégies à court et à long termes pour l'adaptation au changement climatique et l'application de l'approche écosystémique dans le domaine de l'aquaculture et sur la conduite d’une étude sur les impacts de l'aquaculture offshore .
Dans l'après-midi, de nombreuses parties ont appuyé l'adoption du projet de directives encadrant la certification de l'aquaculture, et ont discuté de diverses questions, y compris: les préoccupations concernant les barrières commerciales, le financement accru consacré au développement de l'aquaculture et à la mise en œuvre des lignes directrices dans les pays en développement, et la biosécurité.
Le HONDURAS a suggéré la mise en place d’un système de suivi et d'évaluation permettant de s'assurer que les lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture ne portent pas atteinte aux petits producteurs, tandis que La COLOMBIE a déclaré que les circonstances des producteurs de petite et moyenne dimensions, devraient être intégrées dans les lignes directrices.
Le MALAWI a parlé de l'évaluation des impacts économiques de la certification. Le GHANA, l’INDE, le BRESIL, le MOZAMBIQUE et le MAROC ont indiqué que les lignes directrices encadrant la certification ne doivent pas créer de barrières commerciales. L’ARGENTINE, le Brésil, au nom du GROUPE DES PAYS D’AMERIQUE LATINE ET CARAÏBES (GRULAC), et l’ALGÉRIE, ont souligné que la mise en œuvre des lignes directrices encadrant la certification doit être progressive et cohérente avec les normes internationales de référence et, en particulier, avec l'Accord sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires et avec l'Accord de l'OMC sur les obstacles techniques au commerce. Le délégué des Etats-Unis a précisé que les lignes directrices régissant la certification ne seront pas un obstacle au commerce.
Le VIET-NAM a exprimé sa crainte que la mise en œuvre du système de certification soit lourde, précisant que la traçabilité devrait prendre en considération le niveau de développement des pays. TONGA, avec l'OUGANDA, le CAMEROUN, l’ANGOLA, le BANGLADESH, les ILES COOK et le SRI LANKA, a attiré l'attention sur les contraintes financières et a demandé que le financement de l'aquaculture soit augmenté. Le délégué des MALDIVES a soutenu l’idée d’avoir des investissements étrangers directs dans l'aquaculture. Le GHANA, avec la MAURITANIE, a proposé la création d’un fonds spécial pour les pays en développement et les petits Etats insulaires, consacré à la mise en œuvre des lignes directrices, et, avec l'UE et le CANADA, a approuvé les quatre piliers de la mise en œuvre de la certification: la santé et le bien-être des animaux, la sécurité alimentaire, l'intégrité environnementale et les aspects socio-économiques. NAURU, FIDJI ET MAURICE ont appelé à un financement accru pour le développement de l'aquaculture dans leurs régions. La TURQUIE a déclaré que ces fonds supplémentaires devraient être attribués à travers les ORGP.
Le BRESIL a souligné les discussions en cours sur les questions de santé et bien-être des animaux au sein de plusieurs instances et a réitéré la nécessité de revoir les lignes directrices encadrant la certification, à la prochaine session du Sous-comité. Le KIRGHIZISTAN, au nom de la COMMISSION REGIONALE DES PECHES ET AQUACULTURE D’ASIE CENTRALE ET DU CAUCASE, a appelé à une aide de la FAO pour l'adaptation de l'aquaculture au changement climatique. L’UKRAINE et le CHILI ont souligné la nécessité d'améliorer la collecte des données concernant l'aquaculture. La CHINE a mis l’accent sur le renforcement de l’enregistrement unifié et de la gestion technique, y compris la traçabilité complète et l'accès aux marchés, aux fins de s’assurer de la qualité des produits de l'aquaculture. Le CANADA a proposé une clarification des termes techniques relatifs à l'aquaculture offshore.
S’agissant de la biosécurité, le GHANA s'est dit préoccupé par l'impact des espèces exotiques envahissantes sur la diversité biologique. La NORVEGE a appelé la FAO à collaborer avec l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) sur les questions de la biosécurité. La THAÏLANDE a mis l’accent sur l'évaluation des risques et sur les mesures préventives. Le CHILI a appelé à l'élaboration de directives techniques encadrant les mesures de biosécurité applicables à l'introduction d'espèces. La NAMIBIE, avec l'ANGOLA, la REPUBLIQUE DU CONGO et la ZAMBIE, a félicité la FAO pour le Programme spécial pour le développement de l'aquaculture en Afrique et a demandé une assistance dans la lutte contre l’éruption de maladies dans les eaux intérieures. L'INDONESIE a appelé à une assistance dans le domaine du contrôle des maladies virales dans l'aquaculture.
L’IRAN a demandé un soutien pour la mise en place de son système national de certification de l'aquaculture, et a suggéré la conduite d’une étude mondiale sur l'utilisation de médicaments dans l’aquaculture. Le CANADA a suggéré d'examiner l'impact de l'aquaculture sur les pêches sauvages. Le MEXIQUE a mis en exergue le renforcement de la coopération régionale et internationale dans le domaine de l'aquaculture.
Un certain nombre d'organisations intergouvernementales ont parlé de leurs travaux sur l'aquaculture, ont appuyé les lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture et ont souligné les préoccupations concernant, entre autres: l'utilisation des lignes directrices comme barrières non tarifaires au commerce, la prolifération des systèmes de certification de l'aquaculture et l'utilisation des farines et huiles de poisson dans l'aquaculture. Les organisations non gouvernementales se sont déclarées préoccupées par les impacts sociaux et environnementaux du développement de l'aquaculture.
Le Secrétariat a signalé que le Comité a approuvé par consensus les lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture et a entériné le rapport de la 5e session du Sous-comité de l'aquaculture. En outre, il a souligné entre autres: la suggestion d'une approche progressive et d’un système de suivi pour la mise en œuvre des lignes directrices; la demande présentée à la FAO d'allouer davantage de ressources à l'aquaculture dans son programme de travail; et le consensus atteint sur l'importance des questions de biosécurité et des besoins qui s’y rapportent en matière de renforcement des capacités.
Bonjour,
Veuillez trouver ci dessous le dernier numéro de la veille sur l'aquaculture en Afrique. J'en profite pour saluer l'arrivée de Doug Waley dans l'équipe Sarnissa.
A bientôt !
Lionel
AFRICA/AFRIQUE
African aquaculture network hits 1,600 members / Le réseau sur l'aquaculture en Afrique compte 1600 membres
http://www.fishnewseu.com/latest-news/world/5075-african-aquaculture-networ…
SARNISSA, the Sustainable Aquaculture Research Networks in Sub Saharan Africa, now has more than 1,600 members from a wide range of disciplines and backgrounds. The network was established to share information, contacts, publications, videos, employment and funding opportunities, and African aquaculture in the media, through two daily updated interactive email discussion boards (in English and French). Sarnissa is now also on Twitter and Facebook with more than 800 regular users allowing wide coverage and mobile phone access to a growing African aquaculture sector.
SARNISSA, le réseau de recherche sur l'aquaculture durable en Afrique subsaharienne, compte maintenant plus de 1600 membres issus d'un large éventail de disciplines et d'horizons. Le réseau a été créé pour partager des informations, des contacts, des publications, des vidéos, des offres d'emploi et opportunités de financement, une veille médiatique, à travers deux mises à jour quotidiennes via des forums de discussion interactifs par e-mail (en anglais et en français). SARNISSA est aussi sur Twitter et Facebook avec plus de 800 utilisateurs réguliers permettant une large couverture et l'accès via le téléphone mobile à un secteur de l'aquaculture africaine en plein essor.
PAEPARD: Quel rôle de la diaspora dans la Recherche pour le Développement ? / Is there a role for the African diaspora in Agricultural Research for Development ?
http://paepard.blogspot.com/2010/12/is-there-role-for-african-diaspora-in.h…
The Association of African Agricultural Professionals in the Diaspora, or AAAPD, wants to help transform African smallholder agriculture into an engine of economic growth in the continent. In addition to providing opportunities for networking among Africa's professionals, AAAPD will mobilize resources, promote the exchange of information and technology, and encourage public-private investments in agricultural research, extension and training.
L'Association des Professionnels Africains de l'Agriculture dans la Diaspora, ou AAAPD, cherche à soutenir la petite agriculture africaine afin qu'elle se transforme en un moteur de la croissance économique sur le continent. En plus de fournir des opportunités de réseaux entre professionnels africains, l'AAAPD mobilise des ressources, promeut les échanges d'information et de technologie, et encourage les investissements publics-privés dans la recherche agronomique, l'assistance rurale et la formation.
Fisheries sector contributes to food security and nutrition of 200 million Africans / La pêche apporte une aide alimentaire à 200 millions d’Africains
http://www.africatime.com/djibouti/nouvelle.asp?no_nouvelle=576385&no_categ…
The African Union (AU) has published a report stating that the fisheries sector contributes to food security and nutrition of 200 million Africans and provides income to over 10 million people engaged in production, development and trade of fish. The AU believes that aquaculture is a sector with a bright future in Africa where natural fish stocks are now reaching the limits of capture. On the occasion of the fourth FAO workshop held in December 2010, representatives of all member countries launched the Special Programme for Aquaculture Development in Africa (SPADA) in partnership with NEPAD. For its part, the Japan International Cooperation Agency (JICA) decided to develop a strategy for aquaculture development specific to SSA.
L’Union Africaine (UA) vient de publier un rapport stipulant que le secteur de la pêche apporte une contribution à la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 200 millions d’Africains et fournit du revenu à plus de 10 millions de personnes engagées dans la production, le développement et le commerce de poissons. L’UA estime que l’aquaculture est un secteur promis à un bel avenir en Afrique où les stocks naturels de poissons sont en train d’atteindre les limites de capture. A l’occasion du quatrième atelier de la FAO, organisé en décembre 2010, les représentants de tous les pays membres, ont lancé le Programme spécial pour le développement de l’aquaculture en Afrique (SPADA) en partenariat avec le NEPAD. De son côté, l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) a décidé d’élaborer une stratégie pour le développement de l’aquaculture spécifique à l’Afrique subsaharienne.
ALGERIA/ALGERIE
Développement de l'aquaculture en Algérie : Les investisseurs veulent un soutien de l'Etat et des crédits à long terme / Aquaculture Development in Africa : Investors want support from government and long term loans
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/7871
The government support for aquaculture investment projects should continue for the next few years, recommended yesterday the fishing and aquaculture industry, which also suggested the establishment of a long-term credit for a period of 10 years. The state has financially supported the creation of farms under the Economic Recovery Plan (2000-2005), but "since, no private project has emerged," said Saad Dechemi, Commission Chairman. The financial arrangements for projects under this fund consisted of a personal contribution of 10%, of a public subsidy to the tune of 50 to 80% and of a medium-term credit (5 years) of 10 to 40%. The latter is considered by professionals "unsuitable" for aquaculture, because it takes two years to achieve the minimum infrastructure and it is necessary to farm another two years on average to expect revenue. They recommend to grant a long-term credit with a minimum term of 10 years. However, other professionals believe that "it is too early" to talk of a marine aquaculture in Algeria because of its high production cost and that will affect the final consumer, "already disadvantaged" by the price of fish that has become inaccessible.
Le soutien de l'Etat pour les projets d'investissement en aquaculture devrait se poursuivre pour les prochaines années, ont recommandé hier, des professionnels de la pêche et de l'aquaculture, qui suggèrent la mise en place d'un crédit à long terme d'une durée de 10 ans. L'Etat a soutenu financièrement la création de fermes aquacoles dans le cadre du Plan de relance économique (2000-2005), "depuis aucun projet privé n'a pu voir le jour", a indiqué M. Saad Dechemi, président de la commission. Le montage financier des projets réalisés dans le cadre de ce fonds était constitué d'un apport personnel de 10%, d'une subvention des pouvoirs publics à hauteur de 50 à 80% d’un crédit à moyen terme (5 ans) de 10 à 40%. Ce dernier est jugé par les professionnels "inadapté" à l'investissement aquacole, car il faut deux ans du minimum pour réaliser une infrastructure et deux ans d'élevage en moyenne pour escompter des recettes. Ils recommandent à cet effet d'accorder un crédit à long terme d'une durée minimum de 10 ans. Cependant, d'autres professionnels estiment qu'"il est trop tôt" de parler d'une aquaculture marine en Algérie du fait de ses coûts élevés et qui vont se répercuter sur le consommateur final, "déjà pénalisé" par les prix inaccessibles du poisson.
CAMEROON/CAMEROON
Paul Biya sur le site de l'aquaculture / Paul Biya on fish farm site
http://fr.allafrica.com/stories/201101240925.html
The President of Cameroon Paul Biya visited the fishponds of the agricultural exhibition. As an adept of the participatory experience, the Head of State did like other specialists who were throwing granulated feed to the fish. A few handfuls of pellets later, a group of catfish appeared at the water surface to gorge on these feeds. The president, the first lady and their retinue were able to contemplate the respectable size of the fish, which he learn were only six months old with weight ranging from 100 grams to one kilogram. Also in the same area, the head of state visited a post of fish smoking in a quick and easy way: 3 hours and done. Reaction of the President of the Republic: "It's good! "
Le président du Cameroun Paul Biya a visité des étangs piscicoles du comice agricole. En bon adepte de l'expérience participative, le chef de l'Etat a imité les spécialistes qui jetaient de la nourriture aux poissons. Quelques poignées de granulés plus tard, une meute de silures apparaissait à la surface, pour se gaver de ces aliments. Le président, la première dame et sa suite ont ainsi pu contempler la taille respectable des poissons d'eau douce, dont on apprendra qu'ils n'ont que six mois et que leur poids va de 100 grammes à un kilogramme. Toujours dans le même sillage, le chef de l'Etat visite un poste de fumage du poisson selon un procédé rapide et aisé : 3 heures d'horloge et le tour est joué. Réaction du président de la République : « C'est bien ! »
Cap sur l'association élevage-pisciculture / Cameroon: towards the animal husbandry-fish farming integration
http://fr.allafrica.com/stories/201101240929.html
The area devoted to livestock, fisheries and animal industries in the Agro-village of the agriculture exhibition is 10 hectares. 7 hectares are dedicated to feed crops while 3 hectares are reserved for fish ponds. Above the ponds have been built a chicken coop and a pig barn for waste of chickens and pigs to be transformed into algae to feed fish. For the regional delegate of Fisheries and Animal Industries, Dr. Zang Ondoua, the revival of the association livestock-fish farming should enhance fish production. As Head of State purposely noted: "The sea and river fishing, and fish farming have an important place in our country because of the protein intake in the diet of our people. We must recognize that we have not yet exploited all the possibilities of our fisheries resources. Efforts should be made in this direction, so that we don't need to import large quantities of fish, including the mackerel that we enjoy so much". After the exhibition, the fish farming area will be transformed into a school. According to the regional delegate of MINEPIA, this school will train in two years, young holders of the Certificate of Primary Education to become fish farmers.
La superficie consacrée à l'élevage, à la pêche et aux industries animales au village du comice agropastoral est de 10 hectares. 7 hectares sont dédiés au champ fourrager tandis que 3 hectares sont réservés aux étangs piscicoles. Au-dessus des étangs, ont été aménagés un poulailler et une porcherie pour que les déchets des poules et des porcs se transforment en algues microscopiques pour nourrir les poissons. Pour le délégué régional des Pêches et des industries animales, Dr Ondoua Zang, l'association élevage-pisciculture relance la production du poisson. C'est donc à dessein que le chef de l'Etat a relevé : « La pêche maritime, en rivière, et la pisciculture ont une place importante dans notre pays en raison de leur apport en protéines dans l'alimentation de nos populations. Force est de reconnaître que nous n'avons pas encore exploité toutes les possibilités de nos ressources halieutiques. Des efforts devront être faits en ce sens, ce qui nous dispensera d'importer de grandes quantités de poissons, de maquereaux notamment dont nous raffolons. » Par ailleurs, l'aire piscicole du village du comice agro-pastoral va être transformée en école à l'issue du rendez-vous des seigneurs de la terre. Selon le délégué régional du Minepia- Sud, cette école va former en deux ans, de jeunes titulaires du Certificat d'études primaires pour en faire des pisciculteurs.Afficher la suite
GABON
Raymond Ndong Sima au chevet de la crevette / Shrimp overfishing in Gabon
http://www.gaboneco.com/show_article.php?IDActu=21023
The Ministry of Agriculture, Livestock, Fisheries and Rural Development has announced a ban on shrimp fishing from January 1 to April 30, 2011. These crustaceans that once covered 20% of the surface of the continental shelf during the 80s, are now endangered in Gabonese waters.
Le ministère de l’Agriculture, de l’Elevage, de la Pêche et du Développement rural vient d’annoncer l’interdiction de la pêche crevettière du 1er janvier au 30 avril 2011. Ces crustacés qui recouvraient 20% de la surface du plateau continental durant les années 80, sont en voie de disparition dans les eaux territoriales gabonaises.
GAMBIA/GAMBIE
Women organizing in West Africa to improve livelihoods in fish processing / Les femmes s’organisent en Afrique Occidentale pour améliorer les moyens d’existence issus du traitement du poisson
http://www.new-ag.info/developments/devItem.php?a=1870
With high year-round temperatures and a limited supply of ice and cold storage facilities at landing sites in the Gambia, a large proportion of fish caught by artisanal fishermen is smoked or dried. Women make up over 80 per cent of the country's post-harvest operators (PHO) - who dry and smoke the fish - but they often lack the finances, training and processing facilities to reduce post-harvest losses and improve the quality of the fish they produce. By organising women into groups and providing them with training, resources and credit, the UN's Food and Agriculture Organization (FAO), through the Post Harvest Fisheries Pilot Project of the Sustainable Fisheries Livelihood Programme (SFLP), has enabled post-harvest processors in ten communities to participate more effectively in decision-making processes and improve the efficiency and sustainability of their businesses. Specifically targeting women, a pilot credit scheme was established in collaboration with the National Association of Cooperative Credit Union of the Gambia (NACCUG). Created as a revolving fund, a grant of US$50,000 was given to the national micro-finance institution to provide credit to members of the ten communities at an interest rate of ten per cent per year. Before receiving any credit, the women were given business management training to develop their entrepreneurial skills and encourage them to sensibly invest the money. "To promote gender equity, rural employment and food security, a commendable way forward would be to support expansion to more countries and build up continent level Apex groups to influence policy and planning at sub-regional or regional levels," concludes Yvette Diei Ouadi, FAO Post-harvest Fisheries specialist.
Avec des températures élevées toute l'année et une offre limitée en glace et installations de stockage à froid sur les sites de débarquement du poisson gambiens, une grande partie des captures des pêcheurs artisanaux est fumée ou séchée. Les femmes représentent plus de 80 pour cent des opérateurs post-récolte du pays (PHO) - qui sèchent et fument le poisson -, mais il leur manque souvent les ressources financières, la formation et les installations de transformation permettant de réduire les pertes post-récolte et d'améliorer la qualité du poisson produit. En organisant des femmes en groupes et en leur fournissant la formation, les ressources et le crédit nécessaire, le projet pilote de transformation du poisson de la pêche de subsistance de la FAO (PMEDP), a permis de transformer les pratiques post-récoltes dans dix communautés, d'améliorer la participation des femmes au processus de décision et d'améliorer l'efficacité et la durabilité de leurs entreprises. Ciblant spécifiquement les femmes, un régime de crédit-revolving a été établi en collaboration avec l'Association nationale des coopératives de crédit de l'Union de la Gambie (NACCUG). Créé comme un fonds renouvelable, une subvention de 50.000 dollars a été accordée à l'institution nationale de micro-finance pour fournir des prêts aux membres de la dizaine de communautés à un taux d'intérêt de dix pour cent par an. Avant de recevoir un crédit, les femmes ont reçu une formation en gestion des affaires afin de développer leurs compétences entrepreneuriales et de les encourager à investir judicieusement l'argent. "Pour promouvoir l'équité entre les sexes, l'emploi rural et la sécurité alimentaire, une manière exemplaire d'y parvenir serait de soutenir l'extension de ce projet à d'autres pays et de mettre en place des groupes Apex au niveau du continent pour influencer les politiques et la planification aux niveaux sous-régional ou régional», conclut Yvette Diei Ouadi, spécialiste de la FAO.
Fisheries department reiterates need for more aquaculture practice / Le Ministère des Pêche réitère le besoin de développer l'aquaculture
http://theaquaculturists.blogspot.com/2011/01/gambia-fisheries-department-r…
The deputy director of Fisheries and head of Aquaculture, Famara Sambou Darboe has reiterated the need for Gambians to engage in aquaculture for the socio-economic development of the country. Darboe revealed that the Fisheries Department under the guidance of the Ministry of Fisheries, Water Resources and National Assembly Matters prepared and submitted a cabinet paper, outlining the potentials of the country's fisheries sector and way forward. He added that as part of this, the establishment of a national aquaculture development and coordinating unit is underway within the Fisheries Department. He said the United Nations Food and Agriculture Organisation (FAO) has also provided the Technical Cooperation Programme (TCP) to try pond aquaculture in fresh and brackish water areas in the country. "Under the TCP, some 20 ponds were constructed in the swamp near Sapo in the Central River Region, for the culture of mainly Nile Tilapia," he said.
Le directeur adjoint des Pêches en charge de l'aquaculture, Famara Darboe Sambou a réaffirmé la nécessité pour les Gambiens d'avoir recours à l'aquaculture pour le développement socio-économique du pays. Darboe a révélé que le Département des pêches sous l'égide du Ministère des Pêches, des Ressources Hydrauliques et des Relations avec le Parlement a préparé et présenté un document stratégique qui souligne le potentiel du pays dans ce secteur et les voies préconisées. Darboe a ajouté que la mise en place d'un plan de développement de l'aquaculture nationale et d'une unité de coordination est en cours au sein du Département des Pêches. Il a également indiqué que l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) a également fourni un Programme de Coopération Technique (TCP) pour la conduite d'essai d'aquaculture en étangs dans les zones d'eau douce et saumâtre du pays. "Dans le cadre du TCP, quelques 20 étangs ont été construits dans les marais près de Sapo dans la région Central River, pour la culture de Tilapia du Nil principalement".
GHANA
Ghana pursues policy of of modernization and development for aquaculture / Le Ghana poursuit sa politique de modernisation et de développement de l’aquaculture
http://theaquaculturists.blogspot.com/2010/12/ghana-pursues-policy-of-of.ht…
Ghana's Deputy Food and Agriculture Minister, Nii Amasah Namoale, has pledged to halt his country's growing shortfall of fish. Mr Namoale attributed the country's diminishing fish resources on the falling stocks in both inland and marine waters in the face of rising demand from consumers. Speaking at in inaugural meeting of the Ghana Aquaculture Association (GAA) in Accra he said reducing the wage bill associated with fish imports as a priority, along with pursuing a policy of aquaculture modernization and development. Identifying major challenges facing the Ghanian aquaculture industry Mr Namoale picked out inadequate quality fish seed,fish feed and bank credit as priority areas to tackle.
Le ministre de l'alimentation et de l'agriculture du Ghana, Nii Amasah Namoale, s'est engagé à mettre un terme au déficit croissant de son pays en poisson. M. Namoale attribué le déficit national en poisson à la baisse des stocks dans les eaux continentales et marines ainsi qu'à la demande croissante des consommateurs. S'exprimant lors de la réunion inaugurale de l'Association ghanéenne d'aquaculture (GAA) à Accra, il a dit vouloir réduire la facture des importations de poisson en priorité, grâce à la poursuite d'une politique de modernisation et de développement de l'aquaculture. Parmis les défis majeurs de l'industrie de l'aquaculture au Ghana identifiés par M. Namoale il y a la qualité insuffisante des alevins, des aliments pour poissons et le crédits bancaires.
Univ of Ghana Legon inaugurates International Training Course on Fish Statistics and Data Collection / L’Université du Ghana à Legon inaugure un Cours International sur la collecte de données piscicoles et leur traitement statistique
http://newtimes.com.gh/story/2563
The Department of Oceanography and Fisheries, University of Ghana, Legon, in collaboration with Food and Agriculture Organisation (FAO) of the United Nations, has inaugurated an International Training Course on Fish Statistics and Data Collection in Accra. The Dean of Faculty of Science of the University of Ghana, Professor D. K. Asiedu, in a speech, said the Department has undertaken a series of projects including Shoreline Management, Aquaculture and Physical Oceanography programme.
Le Département d'Océanographie et des Pêches, de l'Université du Ghana, Legon, en collaboration avec la FAO a inauguré un cours international sur la collecte de données statistiques des pêches à Accra. Le doyen de la Faculté des Sciences de l'Université du Ghana, le professeur DK Asiedu, dans un discours, a déclaré que le département a entrepris une série de projets, notamment en gestion du littoral, aquaculture et océanographie physique.
Aquaculture to benefit from mapping system / L'aquaculture va profiter d'un système cartographique
http://www.fis.com/fis/worldnews/worldnews.asp?monthyear=1-2011&day=26&id=4…
A geographic information system consisting of an analytical mapping of fish farming sites with high potential will be introduced in Ghana to boost its aquaculture industry. The United Nations (UN) Food and Agriculture Organisation (FAO) under its Technical Cooperation Programme (TCP) is collaborating by lending its support for the Fisheries Commission with a grant worth USD 85,130, which will go toward applying a strategic framework. According to Godfred Baidoo of the FAO office in Ghana, the mapping of high-potential aquaculture locations will give fish farmers the knowledge they need regarding convenient sites so they can undertake fish production and develop their output. Called the National Aquaculture Development Plan, the new framework corresponds with the National Medium Term Development Plan, the National Medium Term Development Framework and the Fisheries Act 625, 2002. As well, it aims to construct capacities in aquaculture planning to increase Ghana’s fish yields, reports The Ghanaian Times. Moreover, the TCP proposal will offer technical growth support in the demonstration locations at the chosen sites.
Un système d'information géographique constitué d'une cartographie analytique des sites d'élevage de poissons à haut potentiel sera mis en place au Ghana pour renforcer son secteur aquacole. L'Organisation des Nations Unies (ONU) pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) dans le cadre de son Programme de coopération technique (TCP) apportera un soutien à la Commission des pêches via une subvention de 85.130 USD, qui seront consacrés à l'élaboration d'un cadre stratégique. Selon Godfred Baidoo du bureau de la FAO au Ghana, la cartographie des sites à fort potentiel aquacole donnera aux agriculteurs les connaissances indispensables sur les sites propices à la pisciculture, afin qu'ils puissent s'engager dans une production de poisson et développer leur activité. Appelé Plan de développement national de l'aquaculture, le nouveau cadre s'inscrit dans le Plan de Développement National à Moyen Terme et la loi sur la pêche 625, 2002. En outre, il vise à renforcer les compétences en planification aquacole pour accroître la production nationale du Ghana, rapporte le Ghanaian Times. Enfin, la proposition TCP offrira un soutien technique sur divers lieux de démonstration implantés sur les sites sélectionnés.
Ghana:Gov’t urged to support fish farming along Volta Lake/ Le Gouvernement incité à soutenir la pisciculture dans le lac Volta
http://ghanaian-chronicle.com/regional-files/western-region/gov’t-urged-to-…
The Country Director of Madamfo Ghana, a non-governmental organisation (NGO), Mr. Emmanuel Stephenson Kumadey, has stressed the need for the government to adopt strategies that would help provide effective financial support to the private sector, to enable it establish small scale industries. Mr. Kumandey continued that the cage fish farming system was a lucrative venture, and needed to be encouraged, because the maturity period of tilapia, which his organisation had started, was between four to six months for the market, and would serve as one of the best income generating activities. He said Madamfo Ghana had built 21 cages at Awate-Tornu and Wusuta-Tornu, as a way of generating income to assist in development activities in those communities, but was quick to add that even though the building of the cage was expensive, the returns was more profitable than the cash investment of GH¢2,600 in each of the cages. The Country Director said the major benefit of the fish farming business was that it had ready markets, as fish was essential in the provision of the protein, and that in particular, tilapia which was one of the favourites of the people, had attracted customers from Accra, Tema, Kumasi, Ho and other places to the project communities. Mr. Kumandey pointed out that the experience of the organisation was that fish farming had a great potential, because each of the 21 cages was stocked with 5,000 fishes, but the production level could be increased to 60 cages, because the current supply was inadequate.
Le Directeur National du Madamfo Ghana, une organisation non-gouvernementale (ONG), M. Emmanuel Stephenson Kumadey, a souligné la nécessité pour le gouvernement d'adopter des stratégies qui permettent de fournir un soutien financier effectif au secteur privé, afin de lui permettre d'établir des petites industries. M. Kumandey a ajouté que les élevages en cage de poissons sont une entreprise lucrative, et devaient être encouragés, car la période de maturité du tilapia, dont son organisation a testé l'élevage, est de quatre à six mois pour le marché, et est l'une des meilleures activités génératrices de revenus. Il a aussi ajouté que Madamfo Ghana avait construit 21 cages à Awate-Tornu et Wusuta-Tornu, cpour générer des revenus permettant de financer des activités de développement dans ces communautés, mais s'est empressé d'ajouter que, même si la construction de la cage était coûteuse (GH ¢ 2600), l'investissement était rentable. Le Directeur national a signalé que le principal avantage de le pisciculture, c'est qu'elle dispose d'un marché tout prêt, car le poisson est essentiel dans la fourniture de la protéine, et qu'en particulier, le tilapia est un des poissons favoris à Accra, Tema, Kumasi, Ho etc. M. Kumandey a souligné que l'expérience de son organisation a été que la pisciculture a un grand potentiel, parce que chacune des 21 cages a été remplie avec 5.000 poissons, mais que le niveau de production pourrait être augmenté à 60 cages, puisque l'offre actuelle est insuffisante.
KENYA
Alleviate poverty by doing fish farming Teso youth told / Combattre la pauvreté chez les jeunes de Teso par la pisciculture
http://westfm.co.ke/index-page-news-bid-1176.htm
According to Mr. Oketch, the Farm manager of the Lake Basin Development Authority (ALUPE), many youth in Teso South district have neglected the fish farming activity due to the time it takes before the fish are harvested. Speaking exclusively to West FM, the Farm manager reiterated that more than 150 fish ponds were constructed in the area to enhance fish farming in the area. " We engaged certain youth in the pond construction exercise, of which after digging they were paid," he said. He added that those with the urge of benefiting from the fish business must be patient at all times. He further asserts that despite the many challenges they undergo through, any person with the desire of rearing fish will always have a reason to smile. Most of the fish sold in Busia town come from the neighboring country Uganda, to which has continued to remain a challenge to Kenyans with the high price.
Selon M. Oketch, le responsable de la ferme de l'Autorité pour le Développement du bassin du Lac (Alupe), de nombreux jeunes du district Sud-Teso ont négligé la pisciculture en raison du temps qu'il faut avant que les poissons soient récoltés. En exclusivité pour Ouest FM, le responsable de la ferme a rappelé que plus de 150 étangs ont été construits pour améliorer la pisciculture dans la région. "Nous avons engagé certains jeunes pour la construction des étangs. Après avoir creusé, ils ont été payés, dit-il. Il ajoute que ceux qui ont envie de profiter de l'activité piscicole doivent être patients. Il affirme en outre que malgré les nombreuses difficultés, toute personne ayant le désir de se lancer dans l'élevage des poissons aura toujours une raison de sourire. La plupart des poissons vendus dans la ville de Busia viennent des pays voisins comme l'Ouganda, et continuent à être un défi pour les Kenyans en raison de leur prix élevé.
Kenya now regions fish farming centre / Le Kenya est désormais le centre de gravité de la pisciculture dans la région
http://www.ngonewsafrica.org/?p=5614
Kenya is increasingly becoming a learning centre for development of aquaculture in East Africa. Under the Economic Stimulus Programme, some Ksh3 billion ($37.5 million) has been put into the sector creating what has become a case study as the world struggles with dwindling fish stocks amid growing demand. Addressing the Lake Naivasha Basin Investment Conference in Mwanza, Tanzania, Harrison Charo-Karisa, the chairman of Aquaculture Development Working Group and coordinator aquaculture research with the Kenya Marine and Fisheries Research Institute (KMFRI) disclosed that in the 2009/10 financial year, the government injected Ksh 1.12 billion ($14 million) into implement the Fish Farming Enterprise Productivity Economic Stimulus Programme. Under the programme, a national aquaculture suitability appraisal was conducted and suitability maps developed for each of the 210 constituencies, and over 9.5 million hectares of land was found highly suitable for aquaculture. Kenya Marine and Fisheries Research Institute is mandated to carry out research in all aspects of aquaculture development in the freshwater and marine environments. To meet the research challenges, the ministry has established a National Aquaculture Research, Development and Training Centre in Sagana.
Le Kenya est de plus en plus un centre d'apprentissage sur le développement de l'aquaculture en Afrique de l'Est. Dans le cadre du Programme de relance économique, quelques 3 milliards Ksh (37,5 millions de dollars) ont été investis dans le secteur, permettant le lancement de ce qui est devenu une étude de cas à grande échelle, à l'heure où la planète lutte contre la diminution des stocks de poissons résultant d'une demande croissante. S'adressant au cours d'une conférence d'investisseurs sur le bassin du lac Naivasha à Mwanza, en Tanzanie, Harrison Charo-Karisa, le président du Groupe de travail pour le développement de l'aquaculture et de le coordinateur des recherches en aquaculture du Kenya Marine and Fisheries Research Institute (KMFRI) a révélé qu'au cours de l'exercice 2009/10, le gouvernement a injecté 1,12 milliards de Ksh (14 millions de dollars) dans la mise en œuvre programme de soutien à la productivité économique des entreprises piscicoles. Dans le cadre du programme, une évaluation nationale d'identification des zones propices à l'aquaculture a été menée et des cartes d'aptitude ont été élaborées pour chacune des 210 circonscriptions. Plus de 9,5 millions d'hectares de terres ont été trouvées comme présentant des caractéristiques très convenables pour l'aquaculture. Le Kenya Marine and Fisheries Research Institute a pour mandat d'effectuer des recherches dans tous les aspects du développement de l'aquaculture dans les eaux douces et les milieux marins. Pour répondre aux défis de la recherche, le ministère a aussi créé un Centre National de recherche en aquaculture, de développement et de formation à Sagana.
Kilns Help Fish Mongers Net More Cash / Les fours à poissons engendrent de nouveaux revenus
http://allafrica.com/stories/201101040113.html
With babies strapped to their backs women take every detail to ensure that everything goes according to plan. Smoke oozes gingerly from one of the fish smoking kilns at Gazi Village in Msambweni District while the mothers continue to stoke the fires. This is one of the means that have been developed to help fishing communities preserve their catch and cut down on huge loses made after harvesting from the ocean. The kiln strategically located a few metres from fish landing site is made up of cement with some racks and can take up to 250 kilogrammes of fish at one go. Mrs Omar said they buy fish at between Sh100 and Sh120 per kilogramme but once dried, one piece of the fillet costs about Sh100 in the local market making their profits much higher than if they had bought, fried and sold the fish straight from the waters. "We do not waste anything because when the fish season is over, we turn to drying other products like fruits and other stuff like cassava making us busy throughout the year," the women leader said. The smoking drier is a modified one and much cheaper than the solar drier which is also being used at Gazi for demonstration to teach the communities how to preserve fish. A KMFRI researcher Cyprian Odoli said the solar drier is more expensive with a complete unit costing about Sh370,000.
Avec leurs bébés attachés à leur dos les femmes surveillent les moindres détails pour s'assurer que tout se passe comme prévu. La fumée s'évacue lentement de l'un des fours de fumage du poisson du village de Gazi, district de Msambweni tandis que les mères continuent à attiser le feu. C'est l'un des moyens qui ont été élaborés pour aider les communautés de pêche à conserver leurs prises et à réduire les pertes post-récolte. Le four est stratégiquement situé à quelques mètres du site de débarquement du poisson. Il est en ciment et peut traiter jusqu'à 250 kg de poissons d'un seul coup. Mme Omar dit que le poisson est acheté à SH100 - Sh120 par kilogramme, mais une fois séché, un filet peut être revendu à SH100 sur le marché local faisant leurs profits beaucoup plus élevés que s'ils avaient vendu frais. "Nous ne perdons rien parce que quand la saison de pêche est terminée, nous nous tournons vers le séchage d'autres produits comme les fruits ou le manioc, ce qui nous occupe tout au long de l'année", déclare le chef de file des femmes. Le séchoir et le fumer sont une version modifiée du séchoir solaire utilisé à des fins de démonstration à Gazi pour enseigner aux communautés comment conserver le poisson. Cyprien Odoli, chercheur du KMFRI dit que le séchoir solaire est plus cher avec une unité complète qui coûte environ Sh370, 000.
Provincial Drought forces herders to change to diet of water plants & fish / La sécheresse force les pasteurs à manger des plantes aquatiques et du poisson
http://www.nation.co.ke/News/regional/-/1070/1091332/-/dvk58az/-/index.html
Women in groups wade through the water in “Lake 94” in search of a water lily called ndolok while their menfolk stand guard against hippos and crocodiles with arrows and spears. Despondency is written on the faces of the children milling around the swamp, hoping their mothers will find enough of the water lily for their evening meal. Due to the drought, residents of Lekamunyak in Baringo County now depend on the swamp, commonly known as Lake 94, for their survival. The community, which mainly comprises the pastoralist Njemps, depended on their livestock for food but their animals have been wiped out by the drought and raids from the neighbouring Pokots. As a result, the swamp has also become an important source of protein as they have learnt to eat fish. Recently, the Kenya Red Cross Society launched a Sh1.4 billion appeal to feed 1.8 million people in the next six months.
Les femmes pataugent en groupe dans l'eau du "Lake 94" à la recherche de lis d'eau appelé ndolok tandis que les hommes montent la garde contre les hippopotames et les crocodiles avec des flèches et des lances. Le découragement se lit sur les visages des enfants qui espérent que leurs mères trouveront suffisamment de lis d'eau pour leur repas du soir. En raison de la sécheresse, les habitants de Lekamunyak dans le comté de Baringo dépendent maintenant du marais pour leur survie. La communauté, qui comprend essentiellement des pasteurs Njemps, dépendait de son bétail pour se nourrir mais leurs animaux ont été anéantis par la sécheresse et les raids des Pokots voisins. En conséquence, le marais est devenu une source importante de protéines et ils ont appris à manger du poisson. Récemment, La Croix-Rouge du Kenya a lancé un appel pour trouver Sh1.4 milliards pour nourrir 1,8 millions de personnes dans les six prochains mois.
Small tropical reservoirs and fish cage culture: a pilot study conducted in Machakos district, Kenya Mary N. Kaggwa, David M. Liti and Michael Schagerl Aquaculture International
http://www.springerlink.com/content/h6g4062u8886k515/
The findings of this study provide useful insights into the key aspects of fish cage farming to be considered during setting and overall management of multi-purpose water resources so as to maximise their aquacultural potential. The study was conducted in Machakos District, Kenya, to characterise limnochemistry and algal composition of three small man-made reservoirs Ngeki, Ngei and Kavovi, used for cage culture of Nile tilapia (Oreochromis niloticus). In Ngeki, the open water was compared with areas in between the cages and significant differences in dissolved oxygen were found. For N, P and chlorophyll-a, no differences were noticed. In all the reservoirs, temporal variations were noticed for all parameters except NO3-N and NH4-N. Peak concentrations of nutrients occurred during the rainy season with lower values in the dry season (below detectable limits for SRP). All reservoirs were classified as hyper-eutrophic with a strong positive correlation between chlorophyll-a and TP. Algal abundances changed with season. Chlorophyta dominated at the start of the rainy season, while cyanobacteria prevailed at the onset of thermal stratification. Diatoms prevailed in the dry season but were notably absent in the rainy season. It was concluded that all the reservoirs are suitable for cage culture of Nile tilapia, but this should be undertaken with caution considering critical periods when anoxic conditions may occur.
Les conclusions de cette étude fournissent des informations utiles sur les principaux aspects de la pisciculture en cage à prendre en considération lors de la configuration et de la gestion des ressources en eau à usages multiples, afin de maximiser leur potentiel aquacole. L'étude a été menée dans le district de Machakos, au Kenya, pour caractériser la composition algales et les paramètres physico-chimiques de l'eau de trois petits réservoirs artificiels Ngeki, Ngei et Kavovi, utilisés pour l'élevage en cage du tilapia du Nil (Oreochromis niloticus). A Ngeki, l'eau libre a été comparée avec les zones entre les cages et des différences significatives au niveau de l'oxygène dissous ont été observées. Pour le N, le P et la chlorophylle-a, aucune différence n'a été remarquée. Dans tous les réservoirs, des variations temporelles ont été constatées pour tous les paramètres sauf NO3-N et NH4-N. Les concentrations maximales d'éléments nutritifs ont été observées pendant la saison des pluies avec des valeurs inférieures à la saison sèche (en dessous des limites détectables pour les SRP). Tous les réservoirs ont été classés comme hyper-eutrophe avec une forte corrélation positive entre la chlorophylle-a et TP. L'abondance des algues a changé avec la saison. Les Chlorophytes ont dominé au début de la saison des pluies, tandis que les cyanobactéries ont prévalu au début de la stratification thermique. Les diatomées ont prévalu pendant la saison sèche, mais étaient absentes au cours de la saison des pluies. Il a été conclu que tous les réservoirs sont adaptés à la culture en cage du tilapia du Nil, mais cela doit être entrepris avec prudence compte tenu des périodes critiques où les conditions anoxiques peuvent se produire.
MADAGASCAR
Des poissons avariés récupérés et revendus / Spoiled fish collected and sold
http://www.linfo.re/-Societe,402-/Madagascar-des-poissons-avaries-recuperes…
Two tonnes of rotten fish were thrown in a sewage canal in an Antananarivo suburb, at the edge of a poor neighborhood. Alerted by the stench, the population picked up fish to sell them. The district officials have tried somehow to control the situation but nothing could be done. The intervention of the Municipal Bureau of Health stopped the "harvest". Staff of this office took away the remains, estimated at 5 or 6 bags of 50 kg, to be burned.
Deux tonnes de poissons pourris ont été déversées dans un canal d’eaux usées à la sortie de la ville d’Antananarivo, aux abords d’un quartier défavorisé. Alertée par l’odeur nauséabonde émanant de la cargaison, la population s’est alors précipitée pour ramasser les poissons qui se sont retrouvés quelques heures après sur des étals. Les responsables du quartier ont essayé tant bien que mal de maitriser la situation mais rien n’y a fait. Il a fallu l’intervention du Bureau municipal d’hygiène pour cesser la "collecte". Des éléments du bureau ont emporté le reste évalué à 5 ou 6 sacs de 50 kg pour être brûlé.
MALAWI
The University of Marine Biology in the western district of Mangochi will permit to advance Mutharika's personal initiative on aquaculture
http://www.universityworldnews.com/article.php?story=20110114223739121
Malawian president Bingu wa Mutharika has set up a 17-member university committee composed of experts to spearhead the country's plans to construct five news institutions of higher learning within a decade. The Malawian president has said the five universities will enable Malawi to abolish a controversial quota system that allocates entry into higher education institutions not on merit but on one's place of origin - a contentious issue currently before the country's highest court, the Supreme Court. The government said the five universities will be spread across the country's districts, and in addition to the University of Science and Technology - to be located in Malawi's southern district of Thyolo - there will be the University of Bangula (also in the south), devoted to cotton research and water resources management, and the University of Marine Biology in the western district of Mangochi, to advance Mutharika's personal initiative on aquaculture.Afficher la suite
Le Président du Malawi Bingu wa Mutharika, a mis en place un comité sur l'université de 17 membres composé d'experts pour définir un plan d'action visant à la construction de cinq nouvelles institutions d'enseignement supérieur d'ici une décennie. Le président du Malawi a déclaré que les cinq universités du Malawi permettront d'abolir un système de quotas controversé où l'admission dans les établissements d'enseignement supérieur n'est pas basé sur le mérite mais sur le lieu d'origine - une question controversée actuellement devant le plus haut tribunal du pays, la Cour suprême. Le gouvernement a déclaré que les cinq universités seront réparties dans les différents districts du pays, et en plus de l'Université des Sciences et Technologies qui sera située dans le district de Thyolo dans la région méridionale du Malawi, il y aura aussi l'Université de Bangula (également dans le sud), consacrée à la recherche sur le coton et la gestion des ressources hydriques, et l'Université de biologie marine dans le district occidental de Mangochi, pour faire avancer l'initiative personnelle de Mutharika sur l'aquaculture.
Carbon, nitrogen and phosphorus loadings from tilapia fish cages in Lake Malawi and factors influencing their magnitude
http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B984D-51X0PXW-1&_u…
Lake Malawi is a great lake not only because of its large size (30,800 km2); but also because it hosts between 700 and 1000 fish species, mostly endemic cichlids. The fish are most abundant and more diverse in the littoral zone. Cage aquaculture in Lake Malawi started in 2004 in the nearshore waters of the southeast arm. Approximately 50 cages were operational by 2009 harvesting about 20 tons fresh fish/cage/year. In 2007, data were aggregated from cage feed and production records to produce a mass balance for carbon (C), nitrogen (N) and phosphorus (P) added to cages in the form of feed and juvenile fish for 22 production cycles. Nutrient losses from cages to the surrounding environment accounted for between 81 and 91% for C, 59 and 80% for N and 85 and 92% for P. Production strategies such as stocking density and feeding rates were also analysed to assess their effect on fish harvests and nutrient loads from the fish cages. The study showed that nutrient loads from the cages were significant and can be exacerbated by poor feed quality, overstocking, stocking of premature fish and use of lower than recommended feeding rates to grow the fish to target sizes. The inefficient production strategies necessitated longer production cycles (376 ± 42 days) and more feed usage to achieve market sizes of ≥ 300 g/fish than if generally recommended stocking and feeding rates were followed. If cage aquaculture continues to expand, it will become an important new source of nutrients, not only locally, but on a lake-wide basis.
Le lac Malawi est un lac important, non seulement en raison de sa grande taille (30.800 km2), mais aussi parce qu'il accueille entre 700 et 1000 espèces de poissons, principalement des cichlidés endémiques. Les poissons sont plus abondants et plus diversifiés dans la zone littorale. L'aquaculture en cage sur le lac Malawi a commencé en 2004 dans les eaux littorales du bras sud-est. Environ 50 cages ont été opérationnelles en 2009 pour une récolte d'environ 20 tonnes de poisson frais / cage / an. En 2007, les données sur l'alimentation des cages et la production ont été analysées afin de produire un bilan de masse pour le carbone (C), l'azote (N) et le phosphore (P) apporté aux cages sous la forme d'aliments pour poissons au cours de 22 cycles de production. Les pertes d'éléments nutritifs dans les cages vers le milieu environnant ont représenté entre 81 et 91% pour C, 59 et 80% pour N et 85 et 92%. Différentes stratégies d'élevage, comme la densité d'empoissonnement ou les taux d'alimentation ont aussi été analysées pour évaluer leur effet sur les récoltes et le relargage d'éléments nutritifs provenant des cages. L'étude a montré que les charges en éléments nutritifs provenant des cages ont été importants et peuvent être exacerbés par des aliments de mauvaise qualité, des densité d'empoissonnement trop élevées, le stockage de poissons non matures et l'utilisation de taux d'alimentation inférieurs aux préconisations. Les stratégies de production inefficaces ont nécessité des cycles de production plus longs (376 ± 42 jours) et l'utilisation de plus d'aliments pour obtenir des tailles de marché ≥ 300 g / poisson. Si l'aquaculture en cage continue à se développer, elle va devenir une nouvelle source importante de nutriments, non seulement localement, mais aussi sur l'ensemble du lac.
MAURITANIA/MAURITANIE
A new aquaculture project / Un nouveau projet aquacole
http://www.ouestaf.com/Conseil-des-ministres-de-la-Mauritanie-du-jeudi-23-d…
Mauritania: The cabinet authorizes technical and economic studies prior to the establishment of an aquaculture project in the coastal salt marshes of the Trarza's Wilaya
Le conseil des ministres autorise des études techniques et économiques préalables à la mise en place d'un projet d'aquaculture au niveau de salines côtières dans la Wilaya du Trarza
MAYOTTE
Construction of new Aquaculture Research Centre / Construction du Nouveau Centre de Recherche Aquacole
http://www.thefishsite.com/fishnews/13914/ginger-to-handle-construction-of-…
Aquamay (the Mayotte Aquaculture Development Association) and Ifremer (the French Marine Exploitation Research Institute) have appointed Ginger (part of Grontmij) for the construction of an aquaculture zootechnics research centre in the Mayotte lagoon. The aquaculture research and development centre in Mayotte aims at ensuring greater reliability in zootechnics reference systems for the red drum (Sciaenops ocellatus) and to test other species of fish with a view to providing Mayotte producers with opportunities for diversification.
Aquamay (l'Association pour le développement de l'aquaculture à Mayotte) et l'Ifremer ont choisi Ginger (filiale de Grontmij) pour la construction d'un centre de recherche zootechnique sur l'aquaculture dans le lagon de Mayotte. Le centre de recherche et développement en aquaculture à Mayotte vise à assurer une plus grande fiabilité dans la conception de systèmes zootechniques de référence pour l'élevage de l'ombrine (Sciaenops ocellatus) et le test d'autres espèces de poissons en vue de fournir aux producteurs Mahorais des options de diversification.
Aquaculture mahoraise : Du crabe aux crevettes mahoraises (article payant) / Aquaculture in Mayotte : From crab to Mayotte shrimp (Paying paper)
http://www.mayotte-matin.fr/Du-crabe-aux-crevettes-mahoraises
From the Dapani shrimp to sea cucumber, from mudcrab to rabbitfish, Mayotte aquaculture has become a leading chain that only waits for the cargo facilities to develop. Politicals must understand this quick.
De la crevette de Dapani au concombre de mer, du crabe de mangrove au vivaneau, l’aquaculture mahoraise est devenue une filière de pointe qui n’attend que l’abaissement du levier fret pour se développer…Les élus doivent le comprendre vite.
MOZAMBIQUE/MOSAMBIQUE
Mozambican aquaculture company exported about 600 tonnes of tiger prawns last year to the European market /AQUAPESCA exporte 600 tonnes de crevettes tigrées en Europe
http://www.lexpress.mu/story/19696-mozambique-une-compagnie-exporte-600-ton…
The Mozambican company Aquapesca, specialized in aquaculture, has exported 600 tonnes of tiger prawns to Spain, Portugal and France in 2010. This company, based in Inhanssuge district in Zambezia province in the center of the country, is one of the largest producers of shrimp in the country. The COO of Aquapesca Francis Grosse said the company plans this year to export the same amount of shrimp to the European market, a transaction done with the certification of an international organization specializing in this activity. Reminder: the French Development Agency has awarded a grant of 1.5 million euros to Mozambique for 2009-2011. The project to support the "shrimp farming" in Mozambique aims to sustainably improve the international competitiveness of this sector with a high development potential for the country.
L''entreprise mozambicaine AQUAPESCA, spécialisée dans l'aquaculture, a exporté 600 tonnes de crevettes tigrées en Espagne, au Portugal et en France en 2010. Cette entreprise, basée dans le district d'Inhanssuge, dans la province du Zambèze, dans le centre du pays, est l'un des plus importants producteurs de crevettes du pays. Le directeur d'exploitation d'AQUAPESCA, François Grosse a indiqué que l'entreprise prévoyait cette année d’exporter la même quantité de crevettes sur le marché européen, une opération réalisée avec la certification d'une organisation internationale spécialisée dans cette activité. Pour rappel : l’Agence Française de Développement a accordé une subvention de 1,5 million d’Euros au Mozambique pour la période 2009-2011. Le projet d’appui à la « crevetticulture » mozambicaine a pour objectif d’améliorer durablement la compétitivité à l’international de cette filière à fort potentiel de développement pour le pays.
http://myfeedme.com/lm/fishing/8077253
It has been reported that Aquapesca, a Mozambican aquaculture company based in Inhassunge district, in the central province of Zambezia, exported about 600 tonnes of tiger prawns last year to the European market, including Spain, Portugal and France.
L'entreprise mozambicaine AQUAPESCA, spécialisée dans l'aquaculture, a exporté 600 tonnes de crevettes tigrées en Espagne, au Portugal et en France en 2010. Cette entreprise, basée dans le district d'Inhanssuge, dans la province du Zambèze, dans le centre du pays, est l'un des plus importants producteurs de crevettes du pays.
NAMIBIA/NAMIBIE
Nigerian experts welcomed to pass on their aquaculture expertise to young Namibians / Des experts nigériens forment les jeunes namibiens
http://www.newera.com.na/article.php?title=Nigerian_volunteer_experts_welco…
Namibia and Nigeria signed a technical assistance agreement in April last year for Namibia to participate in a Technical Aid Corps Scheme set up to share Nigeria’s know-how and expertise with other African, Caribbean and Pacific countries. The scheme was also set up to facilitate meaningful contact between the youth of Nigeria and recipient countries. The volunteers are experts in horticulture, agronomy, carpentry and joinery, tailoring, textile design, home economics, micro financing, dye manufacturing, bee keeping, aquaculture, animal husbandry, and food and nutrition. The volunteers are expected to develop a curriculum targeted at youths between the ages of 15 and 35 who have not completed Grade 10. Nigerian High Commissioner to Namibia, Prince Adegboyega Christopher Ariyo, said the training programme would promote economic engagement and youth employment, as well as the development of the informal sector in Namibia. Deputy Minister of Youth, National Service, Sport and Culture, Pohamba Shifeta, said Namibia is currently churning out 30 000 school leavers, but that the job creation capacity of the economy is less than 9 000 per year. Hence, said Shifeta, small and medium enterprises must be developed for self-employment among the youth.
La Namibie et le Nigeria ont signé un accord d'assistance technique en avril de l'an passé au terme duquel la Namibie participera à un cadre d'assistance technique mis en place pour permettre au Nigeria de partager son savoir-faire et son expertise avec d'autres pays africains, des Caraïbes et du Pacifique. Le cadre a également été mis en place pour faciliter les contacts fructueux entre les jeunes du Nigeria et des pays bénéficiaires. Les bénévoles sont des experts en horticulture, agronomie, charpente et menuiserie, couture, design textile, économie domestique, micro financement, fabrication de teinture, apiculture, aquaculture, élevage, alimentation et nutrition. Les volontaires sont invités à élaborer un programme destiné aux jeunes âgés de 15 et 35 ans qui n'ont pas terminé leur 10e année. Le Haut-Commissaire du Nigeria en Namibie, le prince Adegboyega Christopher Ariyo, a déclaré que le programme de formation vise à promouvoir l'engagement économique et l'emploi des jeunes, ainsi que le développement du secteur informel en Namibie. Le Vice-ministre de la Jeunesse, du Service national, du sport et de la culture, Pohamba Shifeta, a déclaré que la Namibie forme 30 000 jeunes chaque année, mais offre moins de 9 000 emplois par an. Par conséquent, insiste Shifeta, des petites et moyennes entreprises doivent être développées pour permettre l'auto-emploi chez les jeunes.
Walvis fish standards laboratory becomes Namibian
http://www.namibian.com.na/index.php?id=28&tx_ttnews[tt_news]=76109&no_cach…
The South African Bureau of Standards (SABS) donated its Walvis Bay offices to the Namibian Standards Institute’s (NSI) Fisheries Inspection Unit. The donation includes the building, its laboratory, and all its office and lab equipment. Geoff Visser, SABS executive for operational excellence, said the major reason to have such a facility in Walvis Bay is Namibia’s export market for fish products. “The European Union considers this facility as a centre of excellence when it comes to standards regulation of especially frozen fish,” said Visser.
Le Bureau Sud-Africain de Normalisation (SABS) a fait don de ses bureaux de Walvis Bay à l'Unité d'inspection des produits aquatiques de l'Institut Namibien de Normalisation (NSI). Le don comprend le bâtiment, son laboratoire, et tous ses bureaux et matériels de laboratoire. Geoff Visser, Directeur exécutif de SABS pour l'excellence opérationnelle, a déclaré que la raison majeure pour avoir une telle installation à Walvis Bay est que c'est le principal site d'exportation de Namibie pour les produits aquatiques. "L'Union Européenne estime que cette installation est un centre d'excellence en matière de réglementation des normes de poissons congelés en particulier", a déclaré Visser.
NIGERIA
Seven Members of National Youth Training Corps to Receive Entrepreneurs Training in U.S for various income earning activities including aquaculture / Sept membres du Corps de formation de la Jeunesse National vont recevoir une formation à l’entreprenariat aux Etats Unis dans différents domaines dont l’aquaculture
http://allafrica.com/stories/201101060549.html
Seven members of the National Youth Service Corp (NYSC) have been sent to the United State of America to attend advanced entrepreneurship training at Barry University's Andreas School of Business, Miami, Florida. The training is under the NYSC's War Against Poverty (WAP) project. The programme which includes entrepreneurship training and further empowerment, is sponsored by Africa Diaspora partnership for Empowerment and Development (ADPED) in conjunction with Small and Medium Enterprises Development Agency (SMEDAN) and Barry University. Young entrepreneurs are trained on poultry production, bee keeping, grass cutter farming, animal husbandry, banana/plantain sucker multiplication, fish farming and snail farming after which the corps members are empowered with N150,000 to N250,000 to establish their own business.
Sept membres de la National Youth Service Corp (NYSC) ont été envoyés aux États-Unis pour suivre une formation avancée à l'esprit d'entreprise à l'Ecole Andreas de Management de la Barry University, Miami, en Floride. La formation s'inscrit dans les activités du programme de la NYSC de lutte contre la pauvreté (WAP). Ce programme, qui permet la formation à l'entrepreneuriat cherche à responsabiliser les bénéficiaires. Il est parrainé par le Partenariat de la Diaspora Africaine pour l'Autonomisation et le Développement (ADPED) en collaboration avec l'Agence de Développement des Petites et Moyennes Entreprises (SMEDAN) et la Barry University. Les jeunes entrepreneurs sont formés en aviculture, apiculture, agriculture élevage, plantation de bananes et de plantain pisciculture et élevage d'escargots . Les membres du corps bénéficient aussi d'une subvention de N 150 0000 à N 250 000 pour les aider à créer leur propre entreprise.
Using Agric As Poverty Fighting Tool / L’Agriculture comme outil de lutte contre la pauvreté
http://allafrica.com/stories/201012160328.html
Ganza Engineering Limited has already signed a Memorandum of Understanding (MoU) with the state government for the establishment of a $2.3 million fish farm to be cited along Ilorin International Airport road. The farm, which is expected to take off very soon, would produce one million kilogrammes of catfish annually.
Ganza Engineering Limited a signé un accord avec le gouvernement de l'État de Kwara pour l'implantation d'une ferme capable de produire 2,3 millions de poissons, qui doivent être située au bord de la route de l'aéroport international Ilorin. La ferme, qui devrait démarrer très prochainement, serait capable de produire un million kg de poissons-chats par an.
REUNION
Visite du président de région à l'ARDA / Visit of the Regional President to ARDA
http://www.regionreunion.com/fr/spip/spip.php?article2724
The Regional Government has initiated the development of aquaculture in Reunion. This translated into the creation of a Regional Centre for Aquaculture Application at the Etang Salé, and the establishment of the Reunion Association for the Development of Aquaculture (ARDA) in 1991. ARDA has been given the responsibility to conduct research and development programmes to adapt the production models to local conditions As of now, ARDA has already developed production models for different strains of tilapia in freshwater and for the Ombrine and Cobia in seawater. ARDA is now the only technology resource centre in France in aquaculture. The Regional Government and Europe supported its development since its inception and 2011 should see the realization of new projects such as: The Freshwater Centre, the Regional Centre of Excellence on the Sea; the development of cooperation with the neighbouring countries (Mozambique). Faced with the need to diversify the aquaculture production for local access to new market niches in Europe, ARDA has indeed initiated a major cooperation project with Mozambique in 2010 on the mangrove crab aquaculture, in partnership with Aquapesca and with the support of POCT and the Region. The new opportunities of cooperation for the period 2010 - 2014 are: 1/ Supporting development projects on tilapia aquaculture (East Africa, Madagascar) 2/ Supporting development projects on marine fish farming in connection with Mayotte
La Région est à l’initiative du développement de l’aquaculture à La Réunion. Cette volonté s’est traduite par la création d’un Centre Régional d’Application Aquacole à l’Etang Salé et de l’Association Réunionnaise pour le Développement de l’aquaculture (ARDA) en 1991. L’ARDA se voit dès le départ confier la réalisation de programmes de recherche/développement afin de valider les modèles de production adaptés aux conditions locales. L’ARDA a ainsi mis au point des modèles de productions des différentes espèces de Tilapias en eau douce et de l’Ombrine et du Cobia en eau de mer. L’ARDA est aujourd’hui l’unique Centre de ressources technologique en France. La Région et l’Europe accompagne l’évolution de cette outil depuis sa création et 2011 devrait voir la concrétisation de projet tels que : Le Centre des Eaux Douces ; le pole Régional Mer ; la coopération avec les pays de zone (Mozambique). Devant un réel besoin de diversifier la production aquacole locale pour accéder à de nouvelles niches de marché en Europe, l’ARDA a aussi initié un important projet de coopération avec le Mozambique dès 2010 relatif à l’aquaculture du crabe de mangrove en lien avec AQUAPESCA avec le soutien du POCT et de la Région. Les nouvelles opportunités de coopération pour la période 2010 – 2014 sont: 1/ Accompagner des projets de développement sur l’aquaculture du tilapia (Afrique de l’Est, Madagascar) 2/ Accompagner des projets de développement sur la pisciculture marine en lien avec Mayotte
La première ferme aquacole bio de l’île de la Réunion / The first organic aquaculture farm of Reunion island
http://www.clicanoo.re/11-actualites/15-societe/270470-la-premiere-ferme-aq…
The aquaculture farm of l'Etang, in Saint Paul town has just been awarded its organic certificate. It is the first one in Reunion island. "It's always been my goal, it seems quite natural to me", says Remy Commins, the farm owner. "But before, I couldn't apply for this certification because the aquafeeds certified for organic farming where not available locally. The situation has changed a little bit more than one year ago when, following an article in the Journal of Reunion Island (JIR), the boss of Nutrima, a feed manufacturing plant, visited the farm. As of now only 4 of the 19 ponds are in production, which does not exceed 4 tons per year. The goal for 2012 is 19 tons. The organic fish is not sold at a better price than its counterparts reared in non-organic farms on the island. "The process requires an additional cost for labor but we save on other items such as antibiotics or oxygenation and ultimately it is balanced, " said the farmer.
La ferme aquacole de l’Etang vient d’obtenir son certificat bio. Une première à la Réunion. “Ça a toujours été mon objectif, ça me paraît tout à fait naturel” explique Rémy Commins. “Mais j’étais jusque-là bloqué par les aliments que je ne trouvais pas en bio”. La situation s’est décantée il y a un peu plus d’un an, lorsqu’à la suite d’un premier article dans le JIR, le patron de Nutrima, une usine de fabrication d’aliments, est venu visiter l’exploitation. Seuls 4 des 19 étangs sont aujourd’hui en eau et la production ne dépasse pas les 4 tonnes annuelles. Son objectif à l’horizon 2012 : 19 tonnes. Le poisson bio élevé dans ces plans d’eau n’est pas vendu plus cher que le poisson élevé dans les autres structures de l’île. “Cela demande un surcoût de main-d’œuvre mais on économise sur d’autres postes comme les antibiotiques ou l’oxygénation et au final ça s’équilibre”, explique l’aquaculteur.
Envie d’un tilapia frais ? Allez le pêcher vous-même. C’est ce que vous propose la ferme aquacole de l’Etang / Want a fresh tilapia ? Go fishing it by yourself at the Etang fish farm !
http://www.clicanoo.re/11-actualites/15-societe/270903-laperriere-un-haut-l…
Fishing for tilapia. Do you want fresh fish? Go fish it yourself. This is what the Etang fish farm is proposing, in the neighborhood of Laperriere district. Remy Commins sells tilapia, carps, and Gueule Rouge (red tilapia) on demand. You can catch it yourself by pole, or he can take it for you using net. The fish farmer raises his fish in the pond located on the shore of the main water lake. Once a month, the owner also opens one of its largest ponds. For 10 euros you can spend half a day and take as much fish as you want. Attention: you must bring your own equipment. "These are not always those with the most beautiful equipment that catch the most beautiful fish" he joked. Next opening: Saturday, February 12.
À la pêche aux tilapias Envie d’un poisson frais ? Allez le pêcher vous-même. C’est ce que vous propose la ferme aquacole de l’Etang, toujours dans le quartier de Laperrière. Rémy Commins vend ses tilapias, carpes, gueule-rouges en libre-service, à la canne, ou pris à l’épuisette par ses soins. L’aquaculteur élève ses poissons dans les étangs secondaires qui bordent le plan d’eau principal. Une fois par mois, le propriétaire ouvre d’ailleurs l’un de ses plus grands étangs. 10 euros pour la demi-journée et prises à volonté. Attention, il faut venir avec son propre matériel. "Ce ne sont pas toujours ceux qui ont les plus belles cannes qui sortent les plus beaux poissons" plaisante-t-il d’ailleurs. Prochaine ouverture le samedi 12 février.
L’interprofession de la pêche et de l'aquaculture peut prendre le large / The Association of Professionals of Fishery and Aquaculture growing
http://www.clicanoo.re/11-actualites/13-economie/269501-l-interprofession-p…
The young Association of Professionals of Fishery and Aquaculture in Reunion islands (Aripa) starts the year under favorable auspices. With 1.8 million euros from the European Commission, the association, which aims to regulate the local market by bringing together all stakeholders, will be able to move up a gear.
La jeune interprofession réunionnaise de la pêche et l’aquaculture (Aripa) démarre l’année sous de bons auspices. Avec 1,8 million d’euros en provenance de la Commission européenne, l’association, qui vise à réguler le marché local en fédérant tous les acteurs, va pouvoir passer à la vitesse supérieure.
Une victoire pour la pêche réunionnaise / A victory for Reunion fisheries
http://www.temoignages.re/une-victoire-pour-la-peche,47524.html
During a press conference at Le Port on Thursday, Jan. 6, the Regional Committee for marine fisheries and farming in Reunion island announced the integration of fisheries and aquaculture of Reunion into the framework POSEI Agri, through an EU funding of 1.8 million euros. This funding will enable the industry to restructure, to better organize its operations, and to support the marketing and commercialization of fishery products on the Reunion market. Communist MP Elie Hoarau told: "when the cause is right, we succeed in gathering everybody together, and in achieving a creative and innovative project for the development of Reunion". Innovative because, as pointed out by Philippe Guerin, "integrating fisheries and aquaculture was an innovation and a way for Reunion to pioneer and lead the way for other European outermost regions.
A l’occasion d’une conférence de presse au Port, jeudi 6 janvier, le Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins de La Réunion a annoncé l’intégration du secteur de la pêche et aquaculture de La Réunion dans le dispositif POSEI-Agri, à travers un financement européen de 1,8 millions d'euros. Cette aide financière européenne va permettre de restructurer la filière, d’organiser au mieux le fonctionnement, et soutenir la mise en marché et commercialisation des produits de la pêche sur le marché réunionnais. Comme a conclu le député communiste Elie Hoarau, « quand la cause est juste, on arrive à rassembler tout le monde, et à faire triompher un projet créateur et innovant pour le développement de La Réunion ». Innovant car, comme l’a rappelé Philippe Guérin, « associer la pêche et l’aquaculture était une première, et une manière pour La Réunion d’être pionnière et de montrer la voie à d’autres Régions Ultrapériphériques ».
SENEGAL
Le président l’IRD reçu par le président de la République / The president of IRD received by the President of Republic
http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=75959
The president of the Institute of Research for Development (IRD) Michel Laurent, received by President of Senegal, Abdoulaye Wade, with whom he will address the collective expertise on fish stocks and aquaculture in Senegal
Le président de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) Michel Laurent, reçu par le président Abdoulaye Wade, abordera notamment l’expertise collégiale sur les réserves halieutiques et aquacoles au Sénégal
SOUTH AFRICA / AFRIQUE DU SUD
Aid agency to be launched / L'Afrique du Sud lance sa propre agence de développement
http://www.irinnews.org/Report.aspx?Reportid=91651
South Africa will launch its own development aid agency in 2011 in a move likely to boost the country’s status as an emerging economic power and champion of the African continent. The South African Development Partnership Agency is expected to become operational before mid-2011 and will work with other donor agencies to coordinate development programmes, mainly on the continent. Although the government is hoping for contributions from the private sector, most of the funding will come from public money, said Dr Ayanda Ntsaluba, Director-General of the Department of International Relations and Cooperation. South Africa was recently invited to join the BRIC (Brazil, Russia, India, China) group of major emerging markets. Jonathan Glennie, a research fellow of the Centre for Aid and Public Expenditure at the UK-based Overseas Development Institute, commented that other developing countries, such as India, China and Brazil, seeking to raise their international profile and strengthen political and trade ties, had also set up aid agencies in recent years.
L'Afrique du Sud va lancer sa propre agence d'aide au développement en 2011 dans une démarche de nature à renforcer le statut du pays comme puissance économique émergente et champion du continent africain. L'Agence Sud-Africaine de Partenariat pour le Développement devrait être opérationnelle avant la mi-2011 et travaillera avec d'autres organismes donateurs afin de coordonner les programmes de développement, principalement sur le continent. Bien que le gouvernement espère des contributions du secteur privé, la plupart des fonds proviendront de sources publiques, a déclaré le Dr Ayanda Ntsaluba, directeur général du Ministère des Relations Internationales et de la Coopération. L'Afrique du Sud a récemment été invitée à rejoindre le groupe des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) qui associe les principaux marchés émergents. Jonathan Glennie, un chercheur du Centre d'Aide et de Dépenses Publiques du Overseas Development Institute (Royaume Uni) fait remarquer que d'autres pays en développement, tels que l'Inde, la Chine et le Brésil ont également mis en place des organismes d'aide au cours des dernières années, dans un processus qui cherche à accroître leur visibilité internationale et à renforcer leurs liens politiques et commerciaux
TCHAD
Le projet Spiruline / Spirulina project
http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAJA2605p078-080.xml1/agric…
Started in 2007, the Spirulina project, which ends in late December, has been administered by the United Nations Food and Agriculture Organization (FAO) and has a budget of 1.3 million euros funded by the European Union. It has funded fourteen production sites around the lake and in the neighbouring region of Kanem. The producers are women who have developed new equipment, were able to improve their technique and hygiene, increase the quality and volume of production but also the processing, packaging and marketing of the product - usually in the form of biscuits. They sell each year up to 100 kg of spirulina, and the price on the local market has increased from 1000 to 5000 FCFA (1.50 to 7.50 euros) per kg in five years. The aim is to extend the promotion and marketing of the product on the domestic market but also for export.
Engagé en 2007, le projet Spiruline, qui s’achève fin décembre, est administré par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et est doté d’un budget de 1,3 million d’euros de l’Union européenne. Il a permis de financer quatorze sites de production près du lac et dans la région voisine de Kanem. Les productrices se sont dotées de nouveaux équipements, ont pu améliorer leur technique et les mesures d’hygiène, augmenter la qualité et le volume de la production, mais aussi la transformation, le conditionnement et la commercialisation du produit – généralement sous forme de gâteaux secs. Chacune vend par an jusqu’à 100 kg de spiruline, dont le prix sur le marché local est passé de 1000 à 5000 F CFA (de 1,50 à plus de 7,50 euros) le kilo en cinq ans. L’objectif est d’étendre la promotion et la commercialisation du produit sur le marché national, mais aussi à l’exportation.
TUNISIA
Tabarka: forthcoming entry into operation of fresh water, fish farming plant
http://africa.world247.net/tunisia-news/tabarka-forthcoming-entry-into-oper…http://www.matunisie.com/news/actualites-tunisie/aquaculture-l%e2%80%99unit…
It was recently announced that a new freshwater fish farm will be operational as of 2011, in Tabarka, Northern Tunisia. With a capacity of 400, 000 larvae rearing, the plant will be located in the dam lakes of north-western Tunisia. At a cost of 2, 600 000 dinars, this project is part of a cooperation agreement between the group of inter-professional fishery products and the Italian NGO “Cospe”.
Une ferme piscicole d'eau douce sera opérationnelle à partir de 2011, à Tabarka. Avec une capacité de 400 000 larves, l'usine sera située dans les lacs de barrage du nord-ouest de la Tunisie. Avec un coût de 2, 600 000 dinars, ce projet s'inscrit dans le cadre d'un accord de coopération entre le groupe inter-professionnel des produits de la pêche et l'ONG italienne "COSPE".
UGANDA/OUGANDA
Declining fish exports along with flowers and coffee / Les exportations de poissons en diminution, de même que les fleurs et le café
http://thecitizen.co.tz/business/-/6539-ugandas-exports-fall
Uganda’s major export commodities of coffee, fish, flowers and tea were some of the sectors affected by the high cost of doing business that led to the exports’ declining volumes and revenues. The dwindling stocks in the water bodies caused by the catching of immature fish has left Lake Victoria with less fish for both the export and underserved local market. Uganda continues to register a decline in fish export revenues and volumes, something which experts say is threatening the country’s once promising economic resource. Information about this industry which was once the country’s leading non-traditional export-from the Fisheries Department in Entebbe is rather ominous. Last year the country exported about 16,000 metric down from the 23,000 tonnes exported in 2008. The report from the department further indicates a decline in export revenue; out of all the fish which was exported only $70 million was earned; this was far below the 2008 mark of about $117 million. This means the country lost close to $47 million in revenue. The declining trend in both volume and value has been on for the last four years. Records further indicate that the country exported 35,000 tonnes there-by earning the country a total of $145.8 million in 2006. Bank of Uganda has forecasted a likely weak Balance of Payment throughout the 2010/11 fiscal year due to declining aid inflows and the weakening current account.
Les produits d'exportation ougandais que sont le café, le poisson, les fleurs et le thé ont été quelques-uns des secteurs touchés par le coût élevé du négoce qui ont conduit à des volumes des exportations et des revenus en déclin. La diminution des stocks dans les plans d'eau causée par la capture de poissons immatures dans le lac Victoria a abouti à une moindre quantité de poissons à la fois pour l'exportation et le marché local. L'Ouganda continue à enregistrer une baisse de ses volumes et recettes d'exportation de poisson, une tendance inquiétante d'après les experts. Les informations disponibles sur ce secteur qui était autrefois prometteurs sont plutôt de mauvais augure. L'année dernière, le pays a exporté environ 16.000 tonnes contre les 23.000 tonnes exportées en 2008. Le rapport du ministère indique en outre une baisse des recettes d'exportation; tous les poissons exportés n'ont rapporté que 70 $ millions, ce qui était nettement inférieur au résultat de 2008 de $ 117 000 000 environ. Cela signifie que le pays a perdu près de 47 millions de dollars de recettes. La tendance à la baisse en volume et en valeur a été constante pendant les quatre dernières années.
New Technology to Harvest Mukene Unveiled / Une nouvelle technologie pour capturer le Mukene
http://allafrica.com/stories/201101060028.html
Uganda fishermen will soon start harvesting offshore silverfish, commonly known as mukene, using a new technology (catamaran) to increase their catch. The project is funded by Food and Agriculture Organisation (FAO). "Fishermen are using large out-board engines boats to go off-shore to catch mukene. Catamarans are recommended because they are more stable and have relatively higher catches than the other type of boats," John Balirwa, the director of the National Fisheries Resources Research Institute (NaFIRRI) said.
Les pêcheurs ougandais vont bientôt pouvoir commencer à capturer des poissons argentés, communément connus sous le nom mukene, en utilisant une nouvelle technologie (catamaran) destinée à accroître leurs prises. Le projet est financé par FAO. «Les pêcheurs utilisent des bateaux à gros moteurs hors-bord pour aller en mer attraper du mukene. Les catamarans sont plus adaptés, car ils sont plus stables et permettent des prises relativement plus élevées que les autres types de bateaux," explique John Balirwa, le directeur L'Institut National de Recherche sur les Ressources Halieutiques (NaFIRRI).
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Nom: SARNISSA African Aquaculture Media Review Jan 11 Final copy.pdf
Type: application/pdf
Taille: 1182194 octets
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Chers tous,
A la suite des études sur les aspects hydrobiologiques et piscicoles des retenues d’eau en zone soudano-sahéliennes(1) je poursuis des efforts de rédaction de ‘mes mémoires’. Je voudrais alors inviter chercheurs et experts aux partages d’expériences sur un sujet, le cas échéant, sinon à s’y pencher au besoin.
Il s’agit de la forme des plans d’eau en tant que facteurs pouvant fournir des informations intéressantes sur la productivité biologique en général et halieutique en particulier. En effet, pour moi il s’agit d’une approche qui est inexplicablement moins utilisée qu’elle aurait due.
Klapper et al. (1994)(2) ont rapporté et nommé l’indice de forme U = P/2√(πA) où P est la circonférence du plan d’eau et A sa surface. Cet indice agrège donc la surface et la longueur des bordures du plan d’eau. Notamment, U = 1 pour une forme parfaitement circulaire, et U = 1,128 pour un carré. Concrètement, U est faible chez les plans d’eau aux formes ramassées tandis que U est faible pour les plans d’eau aux formes ramifiées. Logiquement, et ce qui rend la chose plus intéressante, U pourrait se retrouver inferieur à 1 pour des pêcheries côtières. Evidemment U ne peut être statique.
A partir d’exploitations empiriques de cartes à petites échelles nous avons trouvé des U allant de 4 à 9 pour 12 plans d’eau du Burkina. Il faut dire que ce pays présente un réseau hydrographique particulièrement ‘arborescent’ qui prédit des lacs de barrage artificiel à formes ramifiées (U élevé).
L’indice U pourrait également être déterminé globalement pour l’ensemble des plans d’eau d’un pays. Dans ce cas, dans la formule, P est la somme des périmètres des plans d’eau et A la somme des surfaces. On constatera ici qu’en plus des formes individuelles des plans d’eau, leur fractionnement (nombre) élève le U global. Nous n’avons pas encore pu savoir le cumul des littoraux (P) pour calculer le U global du Burkina qui compte plusieurs centaines de plans d’eau pour une superficie cumulée de 200.000 ha selon plusieurs documents de l’administration des pêches. Mais c’est certain qu’il serait moins élevé si cette même étendue se répartissait en quelques unités de plans d’eau.
En quoi cet indice U serait-il pertinent pour intéresser chercheurs et experts ?
En termes simples, si toutes autres choses, notamment la superficie d’eau restaient égales par ailleurs, un plan d’eau de U plus élevé aurait entre autres:
· une productivité piscicole plus élevée du fait de la plus grande importance « des portes d’apports » en nutriments, de zone de reproduction, de frayères et de refuges, de lisières terre-eau etc.
· par contre, ce plan d’eau « vieilliraient » et « mourrait » plus rapidement physiquement (disparition par comblement) et bien avant halieutiquement (disparition d’espèces halieutiques en faveur de l’émergence de plantes envahissantes, de batraciens et de reptiles présentant un moindre intérêt halieutique).
Au-delà de ces corrélations à priori évidentes avec des variables écologiques, les hypothèses suivantes de sciences sociales sont également pertinentes à vérifier:
· ceux qui ont fait le terrain attesteront la plus grande difficulté dans le cas des plans d’eau la dont forme est ramifiée, à parvenir à la mise en œuvre des activités de suivi-contrôle-surveillance ou à celle des idéaux plans d’aménagement ou de gestion (participatifs ou non). Dans un environnement de riverains caractérisé par la pauvreté sévère, la gestion de la pression anthropique n’y est-elle pas un plus grand défi ?
· et avec un U global certainement élevé comme celui du Burkina, l’existence ou l’émergence (spontanées) d’une communauté de pêcheurs comme on constate dans les vastes pêcheries artisanales africaines seraient elles si évidentes ?
Alors grand merci de me communiquer des experiences sur le sujet et courage d'y approfondir les investigations pour contribuer au developpement de sciences halieutiques plus operationnelles pour les peches continentales.
Cordialement,
BOUDA
(1) http://www.bookfinder.com/dir/i/Aspects_Hydrobiologiques_Et_Piscicoles_Des_…
(2) Le contrôle de l’eutrophisation des lacs et réservoirs Sous la direction de Sven-Olof RYDING et Walter RAST. 1994, 294 pages.
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Chres Partenaires,
Je vous envoie les rapports rélatifs au processus de dialogue de la socièté civile sur les grandes insfrastructures hydrauliques dans l'espace de la CEDEAO.
Ce travail a été facilité par l'UICN, EAU VIVE sous la responsalibité du CCRE/CEDEAO en collaboration avec les organisations des socièté civile des bassins de la volta, Mano river, Niger, sénégal, gambie.Vous pouvez visiter le site Web de la Coordination régionale des usagers et usagères des ressources naturelles du bassin du Niger (CRU-BN) pour avoir une idée sur les prémières reunions. www.cru-bn.org.ml
NOURADINE ZAKARIA TOURE
PRESIDENT CRUBN
BUREAU : 00223 20 28 42 21 // 20 28 42 23
CELL : 00223 76 49 07 02 // 66 79 57 40
SKYPE : nouradhine
BAMAKO MALI
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Niveaux record de consommation de poisson, Stocks mondiaux à reconstituer, tendances du secteur
Rome, 31 janvier 2011 - La contribution du poisson à l'alimentation a atteint en moyenne un record de près de 17 kg par habitant et le poisson assure au moins 15 pour cent des besoins moyens en protéines animales de plus de 3 milliards de personnes, selon le rapport de la FAO "La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture 2010", publié aujourd'hui et disponible ici:
http://www.fao.org/docrep/013/i1820f/i1820f00.htm
Cet accroissement s'explique principalement par le développement de l'aquaculture qui est appelée à dépasser les pêches de capture comme source de nourriture.
Le rapport de la FAO indique également qu'aucune amélioration n'a été observée dans la situation des stocks halieutiques mondiaux. Au total, les pêches et l'aquaculture font vivre 540 millions de personnes, soit 8 pour cent de la population mondiale. La planète n'a jamais consommé autant de poisson et le secteur assure, de façon directe et indirecte, un nombre d'emplois sans précédent.
Les produits de la pêche continuent d'être les produits alimentaires de base les plus échangés à l'échelle mondiale, pour une valeur record de 102 milliards de dollars en 2008 (plus 9 pour cent par rapport à 2007).
Les stocks de poisson mondiaux surexploités, épuisés ou en phase de reconstitution sont estimés légèrement supérieurs à ceux de 2006, soit quelque 32 pour cent, et doivent être restaurés d'urgence, souligne le rapport.
A l'autre bout de l'échelle, 15 pour cent des groupes de stocks suivis par la FAO étaient estimés sous-exploités (3 %) ou modérément exploités (12 %) et, par conséquent, capables de fournir des captures supérieures au niveau actuel.
"Le fait que la situation des stocks ne s'est pas améliorée est source de grande préoccupation", a déclaré Richard Grainger, un expert de pêches à la FAO et un des responsables éditoriaux du rapport. "Le pourcentage de surexploitation doit régresser, même s'il semble que nous ayons atteint un plateau".
Resserrement des contrôles
Le rapport examine l'intensification des efforts visant à resserrer les contrôles dans le secteur en adoptant, par exemple, des mesures commerciales contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Ces dispositions servent à interdire l'accès au commerce international aux poissons et aux produits résultant de ces pratiques afin d'améliorer la gestion du secteur et réduire les niveaux de surexploitation. Selon une récente étude, le coût de la pêche illégale et non déclarée est estimé à 10-23,5 milliards de dollars par an.
Le rapport évoque également le débat sur la proposition d'un registre mondial des navires de pêche. L'idée est d'attribuer un «numéro d'identification unique» à vie à chaque navire, indépendamment des changements de propriétaire ou de pavillon. Cette mesure de transparence faciliterait le travail de la police maritime luttant contre les activités de pêche illégale.
La demande croissante de poisson souligne l'exigence d'une gestion durable des ressources aquatiques. Le rapport préconise une approche écosystémique des pêches, c'est-à-dire une approche intégrée conjuguant les objectifs de la société et la situation des ressources halieutiques et de leur environnement naturel et humain.
Aperçu du secteur
La production mondiale de poisson et de produits de la pêche est passée de 140 millions de tonnes en 2007 à 145 millions de tonnes en 2009, dont une grande partie est assurée par l'aquaculture, avec une croissance annuelle de près de 7 pour cent.
Le rapport estime que les politiques aquicoles de l'Asie du Sud-Est - où le poisson est un élément fondamental de l'alimentation - sont un bon exemple de gestion équilibrée. Il loue les progrès des interventions gouvernementales mettant à profit les avantages comparatifs et les incitations économiques qui portent à la croissance, à la sécurité alimentaire et à de meilleures conditions de vie.
Le rapport comprend un chapitre spécial sur les pêches continentales souvent laissées pour compte par les décideurs. La planification des périmètres d'irrigation et des installations hydroélectriques néglige parfois de considérer l'impact sur les moyens d'existence des pêcheurs. Et pourtant, la pêche continentale fait vivre 61 millions de personnes dans le monde.
"Le poisson est un aliment riche en protéines d'excellente qualité et le secteur contribue de façon substantielle à la sécurité alimentaire mondiale", précise M. Grainger
Bonjour à tous,
Veuillez trouver ci-dessous la traduction d'un message sur la liste anglophone, qui fait suite à une intéressante discussion sur le pangasius au cours des semaines passées.
Bien amicalement
Lionel
De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com>
Date : 17 novembre 2010 14:13:52 HNEC
À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Chers membres,
Veuillez trouver ci-joint un nouvel article -très intéressant***- sur le pangasius
Je me demande si quelqu'un sait pourquoi le Pangasius rencontre un tel succès face au poisson-chat africain. J'ai déjà posé cette question par le passé, mais j'ai reçu des réponses contradictoires. En Afrique australe, nous avons quelques succès lorsque le coût est maîtrisé, mais tout un tas d'autres opérateurs ont fait faillite en raison des problèmes de marchés. L'explication la plus courante concerne la couleur de la chair (mais j'ai vu des fermes d'élevage en circuit fermé capable de produire du Clarias gariepinus à chair parfaitement blanche), d'autres font part d'objections religieuses à manger du poisson sans écaille. Au Nigeria et dans d'autres Etats ouest-africains, le poisson-chat est considéré comme un met de choix et le Professeur van der Waal a souligné à juste titre qu'un groupe ethnique de Namibie considère le poisson-chat fumé plus que tout autre aliment.
C'est vraiment une énigme pour moi - regardez l'article: les Allemands n'arrivent pas à obtenir assez de Pangasius, tandis que j'entends plus souvent parler d'échec de producteurs de poisson-chat africains que de réussites. En dépit de quelques poches isolées de succès, le poisson-chat africain ne fait guère de vagues sur les marchés mondiaux. Une grande entreprise a jugé ses essais avec le poisson-chat comme un échec en raison du taux élevé de cannibalisme qu'ils ne pouvaient contrôler à un stade précoce alors que d'autres pensent que le poisson chat africain est une espèce d'aquaculture vraiment merveilleuse.
Julian van der Nat
*** Note de traduction: l'article indique les vietnamiens font des stocks de pangasius, car ils refusent de continuer à le vendre aux Européens aux prix actuels. Du coup, les campagnes médiatiques actuelles contre le pangasius (notamment en Hollande et en Ecosse) semblent un peu anachroniques, dans la mesure où les acheteurs européens pourraient vendre deux fois plus de pangasius s'ils parvenaient à en acheter.
Début du message réexpédié :
> De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com>
> Date : 17 novembre 2010 14:13:52 HNEC
> À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear Members,
>
>
> See attached another article on Pangasius – very interesting.
>
>
> I wonder if anybody can elaborate on why Pangasius seems to be so successful compared to African Catfish. I did post a similar question in the past and got conflicting replies. In Southern Africa we have some successful operations as long as the cost is kept in check, while a whole lot of other operators closed down due to the unavailability of markets. Most common excuse seems to be the colour of the flesh (but I saw some RAS operations producing Clarias gariepinus with pure white flesh), to others sighting religious objections to eating fish without scales. In Nigeria and other West African states the catfish is considered a delicacy and Prof van der Waal correctly pointed out that a specific ethnic group in Namibia favours smoked catfish above all else.
>
>
> This is truly an enigma to me – look at the article, the Germans just cannot get enough Pangasius, while I hear of more African catfish producers going down than I hear of them making it. Despite a few isolated pockets of success, the African Catfish have not made big waves on the world markets. A large producer sighted their catfish trials as unsuccessful due to the high rate of cannibalism they could not control at an early stage while others think that African Catfish is a truly wonderful aquaculture species.
>
>
> Julian van der Nat
>
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Nom: 2010 11 Europe faces Pangasius shortage.pdf
Type: application/pdf
Taille: 466548 octets
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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>
--
Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
Tél : +33 4 99.57.32.05
Merci à Yann Moreau de l'IRD pour cette réaction !
Amitiés
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Yann Moreau" <yann.moreau(a)ird.fr>
> Date : 17 novembre 2010 15:37:23 HNEC
> À : "'Lionel Dabbadie'" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Objet : RE: [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
> Répondre à : <yann.moreau(a)ird.fr>
>
> Étonnant, pas si sûr. La première différence est l'investissement réalisé
> par les Vietnamiens en matière de transformation sur place des poissons. Je
> n'ai pas souvenir de tels équipements associés à des élevages de Clarias. Il
> y a aussi les choix stratégiques pour l'obtention d'alevins qui ne sont pas
> utilisés avec les autres espèces.
> Dans tout les cas, une comparaison de filières à creuser.
> Amitiés
> Yann
>
> -----Message d'origine-----
> De : Lionel Dabbadie [mailto:lionel.dabbadie@cirad.fr]
> Envoyé : mercredi 17 novembre 2010 3:03
> À : Liste Sarnissa
> Cc : Etienne BARAS; Yann Moreau (IRD)
> Objet : Fwd: [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
>
> Bonjour à tous,
>
> Veuillez trouver ci-dessous la traduction d'un message sur la liste
> anglophone, qui fait suite à une intéressante discussion sur le pangasius au
> cours des semaines passées.
>
> Bien amicalement
>
> Lionel
>
>
> De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com> Date : 17 novembre 2010
> 14:13:52 HNEC À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Chers membres,
>
> Veuillez trouver ci-joint un nouvel article -très intéressant***- sur le
> pangasius
>
> Je me demande si quelqu'un sait pourquoi le Pangasius rencontre un tel
> succès face au poisson-chat africain. J'ai déjà posé cette question par le
> passé, mais j'ai reçu des réponses contradictoires. En Afrique australe,
> nous avons quelques succès lorsque le coût est maîtrisé, mais tout un tas
> d'autres opérateurs ont fait faillite en raison des problèmes de marchés.
> L'explication la plus courante concerne la couleur de la chair (mais j'ai vu
> des fermes d'élevage en circuit fermé capable de produire du Clarias
> gariepinus à chair parfaitement blanche), d'autres font part d'objections
> religieuses à manger du poisson sans écaille. Au Nigeria et dans d'autres
> Etats ouest-africains, le poisson-chat est considéré comme un met de choix
> et le Professeur van der Waal a souligné à juste titre qu'un groupe ethnique
> de Namibie considère le poisson-chat fumé plus que tout autre aliment.
>
> C'est vraiment une énigme pour moi - regardez l'article: les Allemands
> n'arrivent pas à obtenir assez de Pangasius, tandis que j'entends plus
> souvent parler d'échec de producteurs de poisson-chat africains que de
> réussites. En dépit de quelques poches isolées de succès, le poisson-chat
> africain ne fait guère de vagues sur les marchés mondiaux. Une grande
> entreprise a jugé ses essais avec le poisson-chat comme un échec en raison
> du taux élevé de cannibalisme qu'ils ne pouvaient contrôler à un stade
> précoce alors que d'autres pensent que le poisson chat africain est une
> espèce d'aquaculture vraiment merveilleuse.
>
> Julian van der Nat
>
>
> *** Note de traduction: l'article indique les vietnamiens font des stocks de
> pangasius, car ils refusent de continuer à le vendre aux Européens aux prix
> actuels. Du coup, les campagnes médiatiques actuelles contre le pangasius
> (notamment en Hollande et en Ecosse) semblent un peu anachroniques, dans la
> mesure où les acheteurs européens pourraient vendre deux fois plus de
> pangasius s'ils parvenaient à en acheter.
>
> Début du message réexpédié :
>
>> De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com> Date : 17
>> novembre 2010 14:13:52 HNEC À :
>> sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>> Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish Répondre à :
>> sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>>
>> Dear Members,
>>
>>
>> See attached another article on Pangasius – very interesting.
>>
>>
>> I wonder if anybody can elaborate on why Pangasius seems to be so
> successful compared to African Catfish. I did post a similar question in the
> past and got conflicting replies. In Southern Africa we have some successful
> operations as long as the cost is kept in check, while a whole lot of other
> operators closed down due to the unavailability of markets. Most common
> excuse seems to be the colour of the flesh (but I saw some RAS operations
> producing Clarias gariepinus with pure white flesh), to others sighting
> religious objections to eating fish without scales. In Nigeria and other
> West African states the catfish is considered a delicacy and Prof van der
> Waal correctly pointed out that a specific ethnic group in Namibia favours
> smoked catfish above all else.
>>
>>
>> This is truly an enigma to me – look at the article, the Germans just
> cannot get enough Pangasius, while I hear of more African catfish producers
> going down than I hear of them making it. Despite a few isolated pockets of
> success, the African Catfish have not made big waves on the world markets. A
> large producer sighted their catfish trials as unsuccessful due to the high
> rate of cannibalism they could not control at an early stage while others
> think that African Catfish is a truly wonderful aquaculture species.
>>
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>> Julian van der Nat
>>
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Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
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