Chers tous,
A la suite des études sur les aspects hydrobiologiques et piscicoles des retenues d’eau en zone soudano-sahéliennes(1) je poursuis des efforts de rédaction de ‘mes mémoires’. Je voudrais alors inviter chercheurs et experts aux partages d’expériences sur un sujet, le cas échéant, sinon à s’y pencher au besoin.
Il s’agit de la forme des plans d’eau en tant que facteurs pouvant fournir des informations intéressantes sur la productivité biologique en général et halieutique en particulier. En effet, pour moi il s’agit d’une approche qui est inexplicablement moins utilisée qu’elle aurait due.
Klapper et al. (1994)(2) ont rapporté et nommé l’indice de forme U = P/2√(πA) où P est la circonférence du plan d’eau et A sa surface. Cet indice agrège donc la surface et la longueur des bordures du plan d’eau. Notamment, U = 1 pour une forme parfaitement circulaire, et U = 1,128 pour un carré. Concrètement, U est faible chez les plans d’eau aux formes ramassées tandis que U est faible pour les plans d’eau aux formes ramifiées. Logiquement, et ce qui rend la chose plus intéressante, U pourrait se retrouver inferieur à 1 pour des pêcheries côtières. Evidemment U ne peut être statique.
A partir d’exploitations empiriques de cartes à petites échelles nous avons trouvé des U allant de 4 à 9 pour 12 plans d’eau du Burkina. Il faut dire que ce pays présente un réseau hydrographique particulièrement ‘arborescent’ qui prédit des lacs de barrage artificiel à formes ramifiées (U élevé).
L’indice U pourrait également être déterminé globalement pour l’ensemble des plans d’eau d’un pays. Dans ce cas, dans la formule, P est la somme des périmètres des plans d’eau et A la somme des surfaces. On constatera ici qu’en plus des formes individuelles des plans d’eau, leur fractionnement (nombre) élève le U global. Nous n’avons pas encore pu savoir le cumul des littoraux (P) pour calculer le U global du Burkina qui compte plusieurs centaines de plans d’eau pour une superficie cumulée de 200.000 ha selon plusieurs documents de l’administration des pêches. Mais c’est certain qu’il serait moins élevé si cette même étendue se répartissait en quelques unités de plans d’eau.
En quoi cet indice U serait-il pertinent pour intéresser chercheurs et experts ?
En termes simples, si toutes autres choses, notamment la superficie d’eau restaient égales par ailleurs, un plan d’eau de U plus élevé aurait entre autres:
· une productivité piscicole plus élevée du fait de la plus grande importance « des portes d’apports » en nutriments, de zone de reproduction, de frayères et de refuges, de lisières terre-eau etc.
· par contre, ce plan d’eau « vieilliraient » et « mourrait » plus rapidement physiquement (disparition par comblement) et bien avant halieutiquement (disparition d’espèces halieutiques en faveur de l’émergence de plantes envahissantes, de batraciens et de reptiles présentant un moindre intérêt halieutique).
Au-delà de ces corrélations à priori évidentes avec des variables écologiques, les hypothèses suivantes de sciences sociales sont également pertinentes à vérifier:
· ceux qui ont fait le terrain attesteront la plus grande difficulté dans le cas des plans d’eau la dont forme est ramifiée, à parvenir à la mise en œuvre des activités de suivi-contrôle-surveillance ou à celle des idéaux plans d’aménagement ou de gestion (participatifs ou non). Dans un environnement de riverains caractérisé par la pauvreté sévère, la gestion de la pression anthropique n’y est-elle pas un plus grand défi ?
· et avec un U global certainement élevé comme celui du Burkina, l’existence ou l’émergence (spontanées) d’une communauté de pêcheurs comme on constate dans les vastes pêcheries artisanales africaines seraient elles si évidentes ?
Alors grand merci de me communiquer des experiences sur le sujet et courage d'y approfondir les investigations pour contribuer au developpement de sciences halieutiques plus operationnelles pour les peches continentales.
Cordialement,
BOUDA
(1) http://www.bookfinder.com/dir/i/Aspects_Hydrobiologiques_Et_Piscicoles_Des_…
(2) Le contrôle de l’eutrophisation des lacs et réservoirs Sous la direction de Sven-Olof RYDING et Walter RAST. 1994, 294 pages.
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Niveaux record de consommation de poisson, Stocks mondiaux à reconstituer, tendances du secteur
Rome, 31 janvier 2011 - La contribution du poisson à l'alimentation a atteint en moyenne un record de près de 17 kg par habitant et le poisson assure au moins 15 pour cent des besoins moyens en protéines animales de plus de 3 milliards de personnes, selon le rapport de la FAO "La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture 2010", publié aujourd'hui et disponible ici:
http://www.fao.org/docrep/013/i1820f/i1820f00.htm
Cet accroissement s'explique principalement par le développement de l'aquaculture qui est appelée à dépasser les pêches de capture comme source de nourriture.
Le rapport de la FAO indique également qu'aucune amélioration n'a été observée dans la situation des stocks halieutiques mondiaux. Au total, les pêches et l'aquaculture font vivre 540 millions de personnes, soit 8 pour cent de la population mondiale. La planète n'a jamais consommé autant de poisson et le secteur assure, de façon directe et indirecte, un nombre d'emplois sans précédent.
Les produits de la pêche continuent d'être les produits alimentaires de base les plus échangés à l'échelle mondiale, pour une valeur record de 102 milliards de dollars en 2008 (plus 9 pour cent par rapport à 2007).
Les stocks de poisson mondiaux surexploités, épuisés ou en phase de reconstitution sont estimés légèrement supérieurs à ceux de 2006, soit quelque 32 pour cent, et doivent être restaurés d'urgence, souligne le rapport.
A l'autre bout de l'échelle, 15 pour cent des groupes de stocks suivis par la FAO étaient estimés sous-exploités (3 %) ou modérément exploités (12 %) et, par conséquent, capables de fournir des captures supérieures au niveau actuel.
"Le fait que la situation des stocks ne s'est pas améliorée est source de grande préoccupation", a déclaré Richard Grainger, un expert de pêches à la FAO et un des responsables éditoriaux du rapport. "Le pourcentage de surexploitation doit régresser, même s'il semble que nous ayons atteint un plateau".
Resserrement des contrôles
Le rapport examine l'intensification des efforts visant à resserrer les contrôles dans le secteur en adoptant, par exemple, des mesures commerciales contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Ces dispositions servent à interdire l'accès au commerce international aux poissons et aux produits résultant de ces pratiques afin d'améliorer la gestion du secteur et réduire les niveaux de surexploitation. Selon une récente étude, le coût de la pêche illégale et non déclarée est estimé à 10-23,5 milliards de dollars par an.
Le rapport évoque également le débat sur la proposition d'un registre mondial des navires de pêche. L'idée est d'attribuer un «numéro d'identification unique» à vie à chaque navire, indépendamment des changements de propriétaire ou de pavillon. Cette mesure de transparence faciliterait le travail de la police maritime luttant contre les activités de pêche illégale.
La demande croissante de poisson souligne l'exigence d'une gestion durable des ressources aquatiques. Le rapport préconise une approche écosystémique des pêches, c'est-à-dire une approche intégrée conjuguant les objectifs de la société et la situation des ressources halieutiques et de leur environnement naturel et humain.
Aperçu du secteur
La production mondiale de poisson et de produits de la pêche est passée de 140 millions de tonnes en 2007 à 145 millions de tonnes en 2009, dont une grande partie est assurée par l'aquaculture, avec une croissance annuelle de près de 7 pour cent.
Le rapport estime que les politiques aquicoles de l'Asie du Sud-Est - où le poisson est un élément fondamental de l'alimentation - sont un bon exemple de gestion équilibrée. Il loue les progrès des interventions gouvernementales mettant à profit les avantages comparatifs et les incitations économiques qui portent à la croissance, à la sécurité alimentaire et à de meilleures conditions de vie.
Le rapport comprend un chapitre spécial sur les pêches continentales souvent laissées pour compte par les décideurs. La planification des périmètres d'irrigation et des installations hydroélectriques néglige parfois de considérer l'impact sur les moyens d'existence des pêcheurs. Et pourtant, la pêche continentale fait vivre 61 millions de personnes dans le monde.
"Le poisson est un aliment riche en protéines d'excellente qualité et le secteur contribue de façon substantielle à la sécurité alimentaire mondiale", précise M. Grainger
Bonjour à tous,
Veuillez trouver ci-dessous la traduction d'un message sur la liste anglophone, qui fait suite à une intéressante discussion sur le pangasius au cours des semaines passées.
Bien amicalement
Lionel
De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com>
Date : 17 novembre 2010 14:13:52 HNEC
À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Chers membres,
Veuillez trouver ci-joint un nouvel article -très intéressant***- sur le pangasius
Je me demande si quelqu'un sait pourquoi le Pangasius rencontre un tel succès face au poisson-chat africain. J'ai déjà posé cette question par le passé, mais j'ai reçu des réponses contradictoires. En Afrique australe, nous avons quelques succès lorsque le coût est maîtrisé, mais tout un tas d'autres opérateurs ont fait faillite en raison des problèmes de marchés. L'explication la plus courante concerne la couleur de la chair (mais j'ai vu des fermes d'élevage en circuit fermé capable de produire du Clarias gariepinus à chair parfaitement blanche), d'autres font part d'objections religieuses à manger du poisson sans écaille. Au Nigeria et dans d'autres Etats ouest-africains, le poisson-chat est considéré comme un met de choix et le Professeur van der Waal a souligné à juste titre qu'un groupe ethnique de Namibie considère le poisson-chat fumé plus que tout autre aliment.
C'est vraiment une énigme pour moi - regardez l'article: les Allemands n'arrivent pas à obtenir assez de Pangasius, tandis que j'entends plus souvent parler d'échec de producteurs de poisson-chat africains que de réussites. En dépit de quelques poches isolées de succès, le poisson-chat africain ne fait guère de vagues sur les marchés mondiaux. Une grande entreprise a jugé ses essais avec le poisson-chat comme un échec en raison du taux élevé de cannibalisme qu'ils ne pouvaient contrôler à un stade précoce alors que d'autres pensent que le poisson chat africain est une espèce d'aquaculture vraiment merveilleuse.
Julian van der Nat
*** Note de traduction: l'article indique les vietnamiens font des stocks de pangasius, car ils refusent de continuer à le vendre aux Européens aux prix actuels. Du coup, les campagnes médiatiques actuelles contre le pangasius (notamment en Hollande et en Ecosse) semblent un peu anachroniques, dans la mesure où les acheteurs européens pourraient vendre deux fois plus de pangasius s'ils parvenaient à en acheter.
Début du message réexpédié :
> De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com>
> Date : 17 novembre 2010 14:13:52 HNEC
> À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear Members,
>
>
> See attached another article on Pangasius – very interesting.
>
>
> I wonder if anybody can elaborate on why Pangasius seems to be so successful compared to African Catfish. I did post a similar question in the past and got conflicting replies. In Southern Africa we have some successful operations as long as the cost is kept in check, while a whole lot of other operators closed down due to the unavailability of markets. Most common excuse seems to be the colour of the flesh (but I saw some RAS operations producing Clarias gariepinus with pure white flesh), to others sighting religious objections to eating fish without scales. In Nigeria and other West African states the catfish is considered a delicacy and Prof van der Waal correctly pointed out that a specific ethnic group in Namibia favours smoked catfish above all else.
>
>
> This is truly an enigma to me – look at the article, the Germans just cannot get enough Pangasius, while I hear of more African catfish producers going down than I hear of them making it. Despite a few isolated pockets of success, the African Catfish have not made big waves on the world markets. A large producer sighted their catfish trials as unsuccessful due to the high rate of cannibalism they could not control at an early stage while others think that African Catfish is a truly wonderful aquaculture species.
>
>
> Julian van der Nat
>
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Nom: 2010 11 Europe faces Pangasius shortage.pdf
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Taille: 466548 octets
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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>
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Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
Tél : +33 4 99.57.32.05
Merci à Yann Moreau de l'IRD pour cette réaction !
Amitiés
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : "Yann Moreau" <yann.moreau(a)ird.fr>
> Date : 17 novembre 2010 15:37:23 HNEC
> À : "'Lionel Dabbadie'" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Objet : RE: [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
> Répondre à : <yann.moreau(a)ird.fr>
>
> Étonnant, pas si sûr. La première différence est l'investissement réalisé
> par les Vietnamiens en matière de transformation sur place des poissons. Je
> n'ai pas souvenir de tels équipements associés à des élevages de Clarias. Il
> y a aussi les choix stratégiques pour l'obtention d'alevins qui ne sont pas
> utilisés avec les autres espèces.
> Dans tout les cas, une comparaison de filières à creuser.
> Amitiés
> Yann
>
> -----Message d'origine-----
> De : Lionel Dabbadie [mailto:lionel.dabbadie@cirad.fr]
> Envoyé : mercredi 17 novembre 2010 3:03
> À : Liste Sarnissa
> Cc : Etienne BARAS; Yann Moreau (IRD)
> Objet : Fwd: [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
>
> Bonjour à tous,
>
> Veuillez trouver ci-dessous la traduction d'un message sur la liste
> anglophone, qui fait suite à une intéressante discussion sur le pangasius au
> cours des semaines passées.
>
> Bien amicalement
>
> Lionel
>
>
> De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com> Date : 17 novembre 2010
> 14:13:52 HNEC À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Chers membres,
>
> Veuillez trouver ci-joint un nouvel article -très intéressant***- sur le
> pangasius
>
> Je me demande si quelqu'un sait pourquoi le Pangasius rencontre un tel
> succès face au poisson-chat africain. J'ai déjà posé cette question par le
> passé, mais j'ai reçu des réponses contradictoires. En Afrique australe,
> nous avons quelques succès lorsque le coût est maîtrisé, mais tout un tas
> d'autres opérateurs ont fait faillite en raison des problèmes de marchés.
> L'explication la plus courante concerne la couleur de la chair (mais j'ai vu
> des fermes d'élevage en circuit fermé capable de produire du Clarias
> gariepinus à chair parfaitement blanche), d'autres font part d'objections
> religieuses à manger du poisson sans écaille. Au Nigeria et dans d'autres
> Etats ouest-africains, le poisson-chat est considéré comme un met de choix
> et le Professeur van der Waal a souligné à juste titre qu'un groupe ethnique
> de Namibie considère le poisson-chat fumé plus que tout autre aliment.
>
> C'est vraiment une énigme pour moi - regardez l'article: les Allemands
> n'arrivent pas à obtenir assez de Pangasius, tandis que j'entends plus
> souvent parler d'échec de producteurs de poisson-chat africains que de
> réussites. En dépit de quelques poches isolées de succès, le poisson-chat
> africain ne fait guère de vagues sur les marchés mondiaux. Une grande
> entreprise a jugé ses essais avec le poisson-chat comme un échec en raison
> du taux élevé de cannibalisme qu'ils ne pouvaient contrôler à un stade
> précoce alors que d'autres pensent que le poisson chat africain est une
> espèce d'aquaculture vraiment merveilleuse.
>
> Julian van der Nat
>
>
> *** Note de traduction: l'article indique les vietnamiens font des stocks de
> pangasius, car ils refusent de continuer à le vendre aux Européens aux prix
> actuels. Du coup, les campagnes médiatiques actuelles contre le pangasius
> (notamment en Hollande et en Ecosse) semblent un peu anachroniques, dans la
> mesure où les acheteurs européens pourraient vendre deux fois plus de
> pangasius s'ils parvenaient à en acheter.
>
> Début du message réexpédié :
>
>> De : Julian van der Nat <julian.vandernat(a)gmail.com> Date : 17
>> novembre 2010 14:13:52 HNEC À :
>> sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>> Objet : [Sarnissa] Pangasius vs Catfish Répondre à :
>> sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>>
>> Dear Members,
>>
>>
>> See attached another article on Pangasius – very interesting.
>>
>>
>> I wonder if anybody can elaborate on why Pangasius seems to be so
> successful compared to African Catfish. I did post a similar question in the
> past and got conflicting replies. In Southern Africa we have some successful
> operations as long as the cost is kept in check, while a whole lot of other
> operators closed down due to the unavailability of markets. Most common
> excuse seems to be the colour of the flesh (but I saw some RAS operations
> producing Clarias gariepinus with pure white flesh), to others sighting
> religious objections to eating fish without scales. In Nigeria and other
> West African states the catfish is considered a delicacy and Prof van der
> Waal correctly pointed out that a specific ethnic group in Namibia favours
> smoked catfish above all else.
>>
>>
>> This is truly an enigma to me – look at the article, the Germans just
> cannot get enough Pangasius, while I hear of more African catfish producers
> going down than I hear of them making it. Despite a few isolated pockets of
> success, the African Catfish have not made big waves on the world markets. A
> large producer sighted their catfish trials as unsuccessful due to the high
> rate of cannibalism they could not control at an early stage while others
> think that African Catfish is a truly wonderful aquaculture species.
>>
>>
>> Julian van der Nat
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Socio-lingo Africa Call - For our German based members working in Mali - just up on SARNISSA Facebook site
The following call for proposals is applicable to all researchers based in Germany working on Africa-related themes. The various individual activities hosted by the centre in any given year will be selected and coordinated by a programme committee.
http://www.sociolingo.com/2010/09/africa-call-for-proposals-programme-point…
Read more: http://www.sociolingo.com/2010/09/africa-call-for-proposals-programme-point…
Socio-lingo Afrique Appel - Pour nos membres allemands base de travail au Mali - tout sur Facebook SARNISSA site
L'appel à propositions suivant est applicable à tous les chercheurs basés en Allemagne de travail sur des thèmes liés à l'Afrique. Les différentes activités individuelles hébergé par le centre dans une année donnée seront sélectionnées et coordonnées par un comité de programme.
http://www.sociolingo.com/2010/09/africa-call-for-proposals-programme-point…
Read more: http://www.sociolingo.com/2010/09/africa-call-for-proposals-programme-point…
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The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Chers Partenaires,
Je vous envoie les documents rélatifs au processus de dialogue de la socièté civile sur les grandes insfrastructures hydrauliques dans l'espace de la CEDEAO.
Des ateliers régionaux seront organisés à Ouaga, Niamey et enfin à Dakar afin d'obtenir un document consensuel qui sera soumis à la CEDEAO pour des directives aux Etats membres de l'espace CEDEAO.
Bonne lecture.
NOURADINE ZAKARIA TOURE
PRESIDENT CRUBN
BUREAU : 00223 20 28 42 21 // 20 28 42 23 // 20 28 41 72
CELLULAIRE: 00223 76 49 07 02 // 66 79 57 40
SKYPE : nouradhine
BAMAKO MALI
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Nom: 5_options_developpement_eau_energie.pdf
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Nom: 7_ameliorer_developpement_humain.pdf
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Nom: Bénéfices_barrages12555FIIED.pdf
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Nom: Note-de-synthese_Etat-des-lieux-Kayanga-Niandouba_rapdef_IDEVic_261010.pdf
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Nom: Rapport final_panel_avril 2010.pdf
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Nom: Résumé Bagré.pdf
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Nom: Résumé Kompienga.pdf
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Nom: Résumé Moussoudougou.pdf
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Taille: 137701 octets
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Nom: Constats_recommandations_Niger.pdf
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Taille: 321704 octets
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Nom: Constats_recommandations_Senegal.pdf
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Nom: Présentation_Dialogue_janvier 2011.pdf
Type: application/pdf
Taille: 1508089 octets
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Nom: PARTICIPANTS.doc
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Nom: TDR atelier préparation dialogue.pdf
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Taille: 59360 octets
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Macrobrachium culture au Sénégal.
Traduit de l'anglais forum. Nous avons déjà membres SARNISSA Sengalese de plus en plus dans le projet Macrobrachium Schistosomiase. Espérons qu'ils puissent répondre à partager leurs expériences
Bonjour à tous
Je suis intéressé par le cultuvation de vollenhovenii Macrobrachium au Sénégal. Je suis ouvert à tous les conseils
Cordialement
________________________________________
FAYE SARR Djibril
BP 603
Saint-Louis
REPUBLIQUE DU SÉNÉGAL
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour Dr et ses collaborateurs de SARNISSA
Lors du dernier passage de Dr POUOMOGNE au Burkina Faso, j'avais manifesté mon intérêt pour l'inscription au réseau SARNISSA, mais jusque là ne ne suis pas toujours connecté audit réseau.
Je viens d'avoir un cours en aquaculture provenant dudit réseau par l'intermediaire d'un compatriote en la personne de M. BOUDA Sana.
Je profite de cette opportunité pour réitérer mon intérêt concernant mon inscription au réseau SARNISSA. Pouvez vous faciliter cela pour moi?
Cordialement
Béma OUATTARA
Ingénieur Halieute
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Bonjour à tous,
Des collègues du secteur halieutique et aquaculture m'ont contacté pour deux
appels d'offre UE, ils recherchent d'urgence des spécialistes indépendants
en aquaculture et un spécialiste indépendant en commercialisation (produits
de pêches) pour la zone Afrique Centrale. Des idées de régionaux/nationaux
voire internationaux à travers le réseau SARNISSA? Cela pourrait donner du
travail à des membres de SARNISSA.
Me contacter sur vincent.defaux(a)gmail.com pour plus de détails.
Merci, Vincent.
Les profils sont:
"
*Expert principal 1: Chef d'équipe – Spécialiste en crevetticulture *
Qualifications et compétences
· Diplôme universitaire de niveau supérieur en Aquaculture, en
sciences halieutiques ou dans toute autre discipline de développement
rural ;
· Bonne maîtrise du français et de l’anglais
· Excellent qualité et compétence dans la direction d’une équipe de
travail
Expérience professionnelle générale
· un minimum de 10 ans d’expérience dans le développement de la
crevetticulture (élevage, production, gestion/élaboration des projets
etc.) ;
· Maitrise des outils de communication et rédaction des rapports,
· Compétent dans la gestion des programmes de recherche
Expérience professionnelle spécifique
· Expérience dans le suivi des projets d’élevage aquacole ou
crevetticole (de préférence plus de 5 missions dans ce sens ou au moins 2) ;
· Expérience dans la crevetticulture traditionnelle basée sur des
micro-unités familiales (de préférence plus de 5 missions dans ce sens ou au
moins 2) ;
· Expérience dans les consultations avec l’UE ou avec d’autres
organismes internationaux de même rang (de préférence plus de 10 missions ou
au moins 3) ;
Il n’y aura pas de missions en dehors de son lieu normal d’affection
(Limbe), nécessitant des nuitées, pour cet expert.
Des visites de terrain sans nécessiter de nuitées sont à prévoir.
*Expert principal 2: Spécialiste en aquaculture***
Qualifications et compétences
· Diplôme universitaire de niveau supérieur en Aquaculture, en
sciences halieutiques ou dans tout autre domaine équivalent;
· Bonne maîtrise du français et de l’anglais
· Excellent qualité et compétence dans le travail en équipe
Expérience professionnelle générale
· Un minimum de 5 années d’expérience dans le domaine de l’aquaculture,
une bonne connaissance du système aquacole du Cameroun étant un avantage;
· Excellent communicateur et apte dans la rédaction des rapports
Expérience professionnelle spécifique
· Expérience souhaitée dans le suivi des projets aquacoles et dans la
formulation/élaboration des stratégies politiques des pêches ;
· Expérience de travail avec les autorités en charge du secteur des
pêches et de la recherche scientifique (Direction des pêches, Instituts de
recherche, Universités);
· Une bonne connaissance du système institutionnel et juridique en
matière de pêches et aquaculture au Cameroun est un avantage
il n’y aura pas de missions en dehors de son lieu normal d’affection
(Limbe), nécessitant des nuitées, pour cet expert.
Des visites de terrain sans nécessiter de nuitées sont à prévoir."
Et l'autre poste est:
"
*Expert principal : Spécialiste en commerce international des produits de
pêche*
Qualifications et compétences
· Diplôme universitaire de niveau supérieur en économie ou
équivalent en expérience dans le secteur de la commercialisation des
produits de la pêche ;
· Bonne maîtrise du français et de l’anglais Excellente qualité dans
les méthodes participatives
Expérience professionnelle générale
· Avoir un minimum de10 ans d’expérience dans le secteur de la
pêche, de la transformation et/ou du marketing des produits de la pêche;
· Bonne connaissance des mécanismes institutionnels et de la
législation régissant le commerce internationale des produits de pêche ;
· Bon communicateur, compétent dans la rédaction des rapports ;
· Compétent dans la gestion des projets ;
Expérience professionnelle spécifique
· Expérience pratique de la commercialisation des produits de la
pêche (de préférence plus de 5 missions dans ce sens ou au moins 2). Une
expérience dans les pays concernés ou dans les pays africains sera un
avantage.
· l'expert devra faire preuve de capacité de communication avec les
acteurs de la filière pêche, et expérience avec les administrations
concernées, les ONG actives dans le secteur et les centres de recherches (de
préférence plus de 5 missions dans ce sens ou au moins 2) ;
· Expérience dans les consultations avec l’UE ou avec d’autres
organismes internationaux de même rang (de préférence plus de 10 missions ou
au moins 3)"
Merci d'avance,
Vincent.
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
Traduction de la liste anglophone:
Bonjour à tous,
L'Institut Asiatique de Technologie (AIT), une institution universitaire internationale basée en Thaïlande, offre les cours modulaires suivants en aquaculture et gestion des ressources aquatiques :
De Janvier à Avril :
· Génétique et biotechnologie en aquaculture
· Techniques analytiques en aquaculture
· Planification et Gestion du développement de l'aquaculture
· Biodiversité aquatique et conservation
· Gestion des zones côtières et des pêches continentales
· Applications statistiques en aquaculture et gestion des ressources aquatiques
· Atelier de recherche de thèse
D'Août à Novembre :
· Systèmes aquacoles et de ressources aquatiques
· Production d'alevins
· Aquaculture côtière et continentale
· Nutrition en aquaculture et technologie des aliments
· Qualité de l'eau et gestion de la santé des animaux aquatiques
· Gestion des écosystèmes de zones humides
· Écosystèmes côtiers et changement climatique
· Principes de gestion intégrée des zones côtières
· Outils pour la gestion intégrée des zones côtières
· Gestion et évaluation de projet en zones côtières
Ces cours sont offerts sur la base de modules qui durent de 2 à 4 semaines pour chaque cours. Les personnes soucieuses de mettre à jour et de perfectionner leurs connaissances et compétences dans un domaine spécialisé, mais qui ne peuvent pas s'absenter trop longtemps de leur travail (salariés de l'Etat, universitaires, équipes de projets etc.) peuvent ainsi venir comme étudiants spéciaux et suivre les cours pendant une courte durée. Mais ils peuvent aussi s'inscrire comme étudiants réguliers au certificat d'études supérieures (1 semestre), ou à une formation diplômante (2 semestres), un mastère (4 semestres) ou un doctorat (6 semestres).
Environ 50 étudiants de niveau mastère ou doctorat étudient actuellement dans l'unité AARM (Aquaculture et la Gestion des Ressources Aquatiques). Ils viennent de plusieurs pays d'Asie, d'Amérique, d'Europe et d'Afrique. En Afrique, nous avons notamment formé des gens qui venaient d'Éthiopie, du Nigeria, du Malawi et de Tanzanie. Trois étudiants tanzaniens ont été diplômés au cours du dernier programme en Décembre 2010 et deux doctorants effectuent actuellement leurs collectes de données sur le terrain en Tanzanie.
N'hésitez pas à consulter l'étude de cas SARNISSA postée hier pour en savoir plus sur l'expérience d'un de nos étudiants tanzaniens à l'AIT:
http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Pour plus d'informations sur nos programmes, veuillez consulter la brochure ci-jointe ou envoyer un email à gallardo(a)ait.asia (NdT: les messages en français peuvent aussi être envoyés à dabbadie(a)ait.asia). Toutes les informations sur les procédures d'inscription et les exigences sont disponibles sur http://www.ait.ac.th/
Bien cordialement,
Wenresti Gallardo
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Nom: AARM_FR.pdf
Type: application/pdf
Taille: 3916779 octets
Desc: non disponible
URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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Début du message réexpédié :
> De : "Wenresti G. Gallardo" <gallardo(a)ait.ac.th>
> Date : 19 janvier 2011 16:35:39 UTC+07:00
> À : <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : [Sarnissa] Aquaculture and Aquatic Resources Management courses
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear All,
>
> Please be informed that the Asian Institute of Technology (AIT), an international postgraduate institution based in Thailand, is offering the following modular courses in Aquaculture and Aquatic Resources Management (AARM) Field of Study:
>
> January-April
> · Genetics and Biotechnology in Aquaculture
> · Analytical Techniques in Aquaculture
> · Aquaculture Planning and Management
> · Aquatic Biodiversity and Conservation
> · Coastal and Inland Fisheries Management
> · Statistical Applications in Aquaculture and Aquatic Resources Management
> · Thesis Research Workshop
>
> August-November
> · Aquaculture and Aquatic Resource Systems
> · Aquatic Seed Production
> · Coastal and Inland Aquaculture
> · Aquaculture Nutrition and Feed Technology
> · Water Quality and Aquatic Animal Health Management
> · Wetlands Ecosystem Management
> · Coastal Ecosystems and Climate Change
> · Principles of Integrated Coastal Management
> · Tools for Integrated Coastal Management
> · Coastal Project Management and Evaluation
>
> These courses are offered in modules (2-4 weeks per course), thus, government officers, university lecturers and project staff who would like to update and upgrade their knowledge and skills in their area of specialization can come as special students and take a few courses without being away from their work for a long time. They can also join the postgraduate certificate (1 semester), diploma (2 semesters), master (4 semesters) or doctoral (6 semesters) program.
>
> Around 50 MSc and PhD students are studying in AARM field of study. They come from several countries in Asia, America, Europe and Africa. In Africa, we have some alumni particularly in Ethiopia, Nigeria, Malawi and Tanzania. Three Tanzanian students graduated from the masters program last December 2010 and two doctoral students are currently conducting their field data gathering in Tanzania.
>
> Please visit http://www.sarnissa.org/tiki-download_file.php?fileId=441 to know more about one of our Tanzanian students? experience of studying at the Asian Institute of Technology.
>
> For more information on our programs please see attached brochure or email me at gallardo(a)ait.asia. Information on application procedures and requirements are available at http://www.ait.ac.th/
>
> Best regards,
>
> Wenresti G. Gallardo, PhD
> Associate Professor & Coordinator
> Aquaculture and Aquatic Resources Management
> School of Environment, Resources and Development
> Asian Institute of Technology
> P.O. Box 4, Klong Luang
> Pathumthani 12120, Thailand
>
> Tel.: (66-2) 524-5452
> Fax: (66-2) 524-6200
> E-mail: gallardo(a)ait.asia
> Http://www.aqua.ait.ac.th