Effectivement, la domestication, est un travail
long et couteux: il faut compter une dizaine
d'années au total pour maîtriser l'ensemble du
cycle d'élevage de nouvelles espèces. Toutefois,
des travaux récents (groupe de P Fontaine à
Nancy) réalisés sur des espèces tempérées
laissent penser qu'une approche générique de la
domestication permettra de réduire cette durée à
2 années: il s'agit d'extrapoler les
connaissances d'une espèce et des techniques de
contrôle de la reproduction de cette espèce, à
d'autres espèces comparables. Cette approche
repose d'abord sur un gros travail d'analyse
bibliographique puis de traitement statistique
des données pour regrouper les espèces par
groupes fonctionnels d'après leurs
caractéristiques de reproduction (caractéristique
des oeufs, des larves, des conditions de
reproduction, des comportements de
reproduction...). Une fois ce gros travail fait
(plus de 1000 publications ont été ainsi
épluchées, digérées et analysées pour 80
espèces), des groupes fonctionnels sont
identifiés et pour chaque groupe, une espèce
"type" est identifiée. L'idée est ensuite
d'appliquer ou d'adapter les techniques de
l'espèce modèle à toutes les autres espèces d'un
même groupe. A ce jour, ce travail n'a pour
l'instant été fait que sur des espèces tempérées.
Un travail équivalent pourrait être envisagé sur
des espèces tropicales en analysant les
nombreuses données existantes dans des
publications/rapports en matière de
caractéristiques de reproduction. Pour ceux qui
seraient intéressés, voir la publication suivante:
F Teletchea, A Fostier, E Kamler, JN Gardeur, PY
Le Bail, B Jalabert & P Fontaine, 09. Comparative
analysis of reproductive traits in 65 freshwater
fish species: application to the domestication of
new fish species. Rev. Fish Biol. Fisheries (2009) 19: 403-430.
ou voir la présentation ppt qui résume ce travail
sur le site de Sarnissa:
:
<http://sarnissa.pbworks.com//f/domestication.pdf>Application
to the domestication of new fish species JF Barollier CIRAD
Amicalement,
JF Baroiller
At 00:13 25/02/2010, you wrote:
TRADUCTION
Christophe,
Merci pour cette bonne contribution au débat.
Je travaille dans l'aquaculture au Nigeria et je
suis complètement d'accord que les investisseurs
sont un élément clé du développement de cette
industrie. Ici, il y a maintenant une importante
filière aquacole qui est complètement orientée
vers le marché par le secteur privé. En fait, le
support institutionnel pour le développement de
la pisciculture périurbaine au Nigeria dans les
années 2000 était assez modeste mais la forte
demande et les préférences du consommateur pour
les Clarias a incité le secteur privé à faire
appel à des consultants internationaux qui sont
devenus partenaires des entreprises en développement.
Ils ont investi dans les modèles intensifs, avec
des écloseries de clarias très productives et
des aliments de très bonne qualité. Au début, le
prix des poissons chats était très élevé et
c'était rentable d'importer des aliments de
bonne qualité. Cela continue aujourd'hui et le
marché pour les aliments est très compétitif,
mais en plus, il y a 4-5 fabricants d'aliments
de qualité dont 4 ont des extrudeurs pour faire
des aliments flottants. Beaucoup de fermiers
continuent à importer des aliments pour alevins
et jeunes stades, mais ils ont adopté les
aliments locaux pour le grossissement.
En résumé, les facteurs qui ont contribué au succès de l'industrie ici sont:
1. Une approche centrée sur le marché
2. Un investissement dans des dirigeants compétents et qualifiés
3. L'utilisation du clarias, qui est un poisson
idéal dans des conditions africaines où les
consommateurs n'ont pas nécessairement de
réfrigérateur... Ils peuvent conserver le
poisson vivant dans des seaux à la maison
jusqu'à ce qu'il soit temps de le cuisiner.
Comme nous le savons tous, ce poisson robuste
peut aussi être élevé à très haute densité, tout
en gardant une bonne croissance et un faible
taux de conversion de l'aliment. C'est ce qui a
permis son élevage dans des bacs en béton qui se
comptent maintenant par milliers à travers le
pays. Avec 2-3 bacs de 16m2 chacun, on peut
produire jusqu'à 750 kg/6mois avec juste un peu
d'eau de nettoyage pour éliminer les effluents !
Le Tilapia ne peut même pas s'approcher de ça.
4. Des investissements dans des écloseries très
productives, avec utilisation de géniteurs de
qualité et un peu d'assistance technique des opérateurs d'écloseries
5. Investissement dans des fabriques d'aliment
de qualité, avec contrôle qualité et large
disponibilité, avec un peu d'assistance technique des fabricants d'aliments
Dans d'autres pays, il est possible que le
consommateur n'apprécie pas le clarias indulgent
et préfère le tilapia, mais il y a maintenant
des productions importantes de tilapia dans
plusieurs pays africains (Zimbabwe, Ouganda,
Ghana) en cages à faible volume et haute densité
pouvant atteindre 100 kg/m3. Karen Veverica
devrait avoir des commentaires, car cela a été
une de ses activités en Ouganda. Je constate
aussi que le poisson chat est aussi élevé en
Ouganda à la fois pour la pisciculture et comme
appât pour la pêche de la perche du Nil.
Etudier la biologie et mettre au point les
techniques de production d'espèces locales peut
prendre des années et pour cette raison, nous
continuons avec le clarias et le tilapia. Comme
précisé, les espèces marines et cet
environnement offrent de nombreux défis mais
aussi des coûts de production élevés.
Le clarias et le tilapia d'eau douce ont
beaucoup à offrir pour fournir les protéines
tellement nécessaires en Afrique, mais pour que
l'aquaculture soit rentable en Afrique, ou en
tout cas au Nigeria, ce sont les critères
précédents qui ont permis de faire en sorte que la recette soit un succès.
Bien cordialement
Jim
Début du message réexpédié :
De : James Miller
<jimfishafrica(a)gmail.com>
Date : 24 février 2010 21:02:17 UTC+08:00
À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Cc : cassaicus_fulcrum(a)yahoo.co.id
Objet : Rép : [Sarnissa-african-aquaculture] Indonesia/Africa
Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Christophe,
Thank you for your good contribution to this debate.
I am working in Nigeria in aquaculture and
fully agree that business investors
are the key
to development of this industry. There is a
large aquaculture industry here now that is
entirely market driven by the private
sector. In fact the institutional support for
the rise of peri urban fish farming in Nigeria
from around 2000 was very little but the high
demand and the consumer preference for the
Clarias catfish pushed the private sector to
employ international consultants who became
partners in the industries development.
They invested in intensively managed, highly
productive catfish hatcheries as
well as high
quality feed mills. At first the the price of
catfish was very high and it was profitable to
import high quality fish feeds. This continues
today and there is a highly competitive fish
feed market, but now there are some 4-5 quality
fish feed mills and four of them have extruded
pelletizers for floating feeds. Many farmers
still import larval and fry feeds, but switch
over to the locally produced feeds for grow out.
I summarize factors contributing to the industries success here as:
1. Market driven with investments by business people,
2. Investment in sound, well-qualified managers,
3. Use of the Clarias Catfish which is a
fish ideal to African conditions for
consumers
without refrigerators...they can keep the fish
alive in buckets or tubs at home till time to
prepare them to eat. As we all know, this
hardy fish also can also be stocked at
extremely high densities and still achieve good
growth and low feed conversions. This is given
rise to raising catfish in concrete tanks which
number in the thousands across the country
now. In 2-3 tanks of 16 m2 each, they can
produce up to 750 kg/6 months with a few
flushings of water to remove waste build
up! Tilapia cannot come close to this.
4. Investment in high producing fish
hatcheries with use of quality brood stock and
some extension support from hatchery operators
5. Investment in quality fish feed mills with
quality control and wide availability, with
some extension support from feed companies,
In other countries consumers may not
appreciate the forgiving catfish and prefer
Tilapia, but now, high tilapia productions are
being achieved in several African countries
(Zimbabwe, Uganda, Ghana) in cage fish farming
with results in low-volume, high density cages
reaching 100 kg/m3. Karen Veverica will have
comments on this as this was one of her many
activities in Uganda. I will take the liberty
to note that catfish is also reared in Uganda
for both fish farming and as baitfish in the nile perch fishery.
It can take years to work out the biology and
production methods of a local
species and so we
are continuing on with catfish and tilapia. As
noted, the marine species and environment offer
many challenges and high costs of production.
The fresh water Clarias and tilapia offer
much to providing the much needed
animal
proteins for Africa, but to make profitable
fish farming in Africa or at least in Nigeria,
the above criteria provided the right formula for success.
With best regards,
Jim
2010/2/23 Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
Hello everybody,
I fully agree with Géovanne, whom I greet in passing.
But Aji is right too and seems to be someone
who thinks hard, looking for
solutions.
Africa lacks tremendously proteins in some
regions, but this magnificent continent has a marvelous natural potential.
It lacks proteins, YES, but unluckily also
businessmen, support and FOLLOW UP.
It is the responsibility of thje new
generations and Ministries who have been established and now have access to:
* a good aquaculture education
* many supports (human, material, financial...)
* local experiences (success and failure)
* experiences from our friends from
China and Asia, who have learned
everything about aquaculture
to start this dynamic process that could
generate financial income (also maybe barter
economy in some isolated regions), employment,
well in short, a positive dynamic as it deserves it.
We should then encourage and support all
businessmen (people will always be more
enthusiastic when they do what they decided to
do) so that they can develop themselves, if the
context is favorable. Ornamental fish farming
is one solution among others... Because the
added value of ornamental species is generally
much higher than food species. They are also
generally smaller, so require less feed and
many species are vegetarian (feed found
locally), structure is easy and small-sized...
The continent possess endemic species (what is rare is expensive...)
Be careful, the goal is not to destroy the
environment and make it poorer, but to better
understand a system so that what is strictly
necessary to support livelihoods out of it can be taken.
As regards to marine species, they are
generally more difficult to raise, particularly
with young animals, and they require a high
level of protein which dramatically increases
its production cost, the structure is more
expensive and there is a need for a marine protected area.
In West Africa for example, such areas that
could be favorable to marine aquaculture are
very rare (maybe there is a GIS that lists them ?)
I personnally tried to help a young Ivorian
to develop a company near Abidjan, who seemed
to have contacts in France for selling fish to
European wholesalers. But I have been to busy
to able to push through, so I gave him a lot of
documentation and local contacts to continue.
But I have no news since 2009 (what a pity !!!)
Aji Subkti, I thank you very much for raising
this debate that really needs to exchange ideas
Thank you
Christophe Dupuy
Début du message réexpédié :
> De : DUPUY Christophe <christophe_otropic(a)yahoo.fr>
> Date : 23 février 2010 23:00:02 UTC+08:00
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa-french-aquaculture] Re :
[{SPAM?} score 13.0] RE:
Intervention d'Indonésie sur le forum facebook
> Répondre à :
sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Bonjour tous le monde,
> Je suis tous a fait d'accords avec notre ami
Geovanne, que je salut au
passage.
> Mais Aji est dans le vrai aussi et je vois
là quelqu'un qui gamberge et cherche des solutions
> L'Afrique manque terriblement de protéine
dans certaine région, mais ce magnifique
continent a un merveilleux potentiel naturel.
> Elle manque de protéine OUI mais aussi
malheureusement d'entrepreneur, de soutient et de SUIVI.
> Il est de la responsabilité des nouvelles
générations et des Ministère mis en place qui ont maintenant accé:
> * a une bonne éducation aquacole,
> * a des soutiens multiple (humain, matériel, financier, ...),
> * a des expériences vécu sur place (échec et réussite),
> * a l'expérience de nos amis chinois et
asiatique en général, qui
nous ont tout appris sur l'aquaculture,
> de lancer cette filière qui pourrai générer
de l'argent (peut-être aussi du troc dans
certaine région reculé), de l'emploie, bref une
dynamique positive comme elle le mérite.
>
> Il faut donc encourager et aider toute
entrepreneur (on mettra toujours plus
de coeur
a faire ce que l'on a décide de faire) a ce
développer, si le contexte est favorable. La
production de poissons d'ornements peut-être
une solution parmi d'autre .... Car la valeur
ajouté aux poissons d'ornement est très souvent
très largement supérieur aux espèces de bouche.
Elles sont aussi petites avec donc des
quantités d'aliment faible, végétarienne
(alimentation spécifique trouvé sur place),
structure simple et de petite taille ....Le
continent possède des espèces endémique (ce qui est rare est chère ...).
> Attention le but n'est pas de dévaster le
milieu pour l'appauvrir mais bien de comprendre
un système pour en retirer le strict nécessaire pour vivre.
> Quand aux espèces marines, elles sont
souvent plus délicate à élever, dans leurs
jeunes stades et demande un taux de protéine
souvent très important qui augment fatalement
leur coût de production, structure plus
onéreuse, zone marine abrité. En Afrique de
l'ouest par exemple les zones doivent se
compter sur les doigts de la main (peut-être
exist'il un SIG qui les recence !).
> J'ai pour ma part essayé d'aider un
jeune
Ivoirien a développer une entreprise vers
Abidjan qui semblait avoir des contacts en
France pour revendre ces poissons a des
grossistes Européen. Ma charge de travaille ne
m'a pas permis de continuer, je lui ai donc
donné une quantité de doc importante et les
contacts sur place pour faire évoluer son
projet .... Plus de nouvelle de lui depuis Octobre 2009 (Dommage !!!!!!!!!!)
> Aji Subkti, je te remercie de lancer un
débat comme celui-ci qui mérite un échange d'idée .........
>
> Merci.
>
> Christophe Dupuy.
> christophe_otropic(a)yahoo.fr
> Hatchery Manager
>
> ~ ~ ><)))°> Save a tree. Do not print this
message if not really
necessary.
>
>
>
>
> ________________________________
> De : Geovanne NZIENGUI <gn_vanni(a)hotmail.com>
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Envoyé le : Mar 23 Février 2010, 14 h 23 min 48 s
> Objet : [{SPAM?} score 13.0] RE:
[Sarnissa-french-aquaculture] Intervention
d'Indonésie sur le forum facebook
>
>
> bonjour mon ami Aji,
>
> je suis Géovanne NZIENGUI un Africain en
général et Gabonais en particulier.
ta question
est pertinente pourquoi le tilapia? j'ai
quelques réponses que j'aimerai te partager. le tilapia parceque :
>
> c'est un poisson facile à élever
(reproduction naturelle, pas exigent en
alimentation, les alevins sont disponibles);
>
> en Afrique il ya encore des problèmes de
faim à regler ainsi c'est pas
utile de se
lancer dans la culture des poissons d'ornements
il est préferable dee produire des poissons pour la consommation;
>
> c'est un poisson qui est connu et apprecié par les populations;
>
> c'est un poisson qui se conserve facilement
en fumé et son fumage se fait
avec des produits locaux;
>
> c'est le poisson de l'Afrique.
>
> cependant dans le cadre du développement de
l'aquaculture en Afrique je
suis d'accord avec
vous qu'il faille diversifier les espèces
piscicoles et explorer d'autres déboucher de
l'aquaculture tels que l'aquariologie,
l'elevages d'animaux aquatiques rentables etc.
>
>
> Géovanne Aymar NZIENGUI DJIEMBI
> Cité Universitaire Lucien CORNIL
> 168 rue St Pierre 13005 Marseille
> Master BGAE/EFDD/BAEMT
> Université Montpellier II
> +(33)16046152
>
>
>
>
>
>> From: lionel.dabbadie(a)cirad.fr
>> Date: Tue, 23 Feb 2010 09:38:34 +0800
>> To: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>> CC: cassaicus_fulcrum(a)yahoo.co.id
>> Subject: [Sarnissa-french-aquaculture]
Intervention d'Indonésie sur
le forum facebook
>>
>> Bonjour à tous,
>>
>> Le forum Sarnissa sur facebook commence à
bien fonctionner, en complément
du site
principal. Il permet de voir les photos d'un
certain nombre d'entre-vous, d'humaniser les
interactions et de créer de nouveaux liens.
C'est notamment le cas d'Aji Subkti,
d'Indonésie, qui vient de poster une
contribution qui me semble valoir la peine
d'être postée sur la liste pour stimuler la
réflexion, eu égard aux récentes discussions et
aux nouvelles thèses soutenues au CRO. En voici
la traduction. Toute réaction est bienvenue et
je la posterai sur le forum, après traduction.
>>
>> Bien amicalement
>>
>> Lionel
>>
>> Aji Subkti : Bonjour... Ma question est...
Pourquoi le tilapia ?
L'Afrique est riche en
produits piscicoles. Essayons de penser
différemment: la peau de crocodile (le Sahara
est proche de l'Europe, savez-vous à qui les
français achètent leurs peaux de crocodiles
pour les chaussures et les sacs ? A l'Asie du
Sud-Est (Indonésie :) ) et à l'Australie. Et
les poissons ornementaux (un business de
plusieurs millions de dollars) ? Les
pisciculteurs indonésiens ont importés des
géniteurs de tropheus, frontosa, bichir etc.
d'Afrique il y a de nombreuses années.
Maintenant, ils les reproduisent et les
exportent dans le monde entier. En aquaculture,
les produits de l'océan valent une fortune.
Plutôt que le tilapia, pourquoi ne pas se
consacrer aux mérous (grouper) ou aux loups
(snapper, seabass/lates). En Indonésie, nous élevons déjà du Napoléon...
>>
>>
>>> Aji Subakti : Greetings.. My question is..
Why tilapia.. Africa is
rich in fisheries
product. Let's think unusual: crocodile skin
(sahara is near europe, do you know from where
french people get their croc skin shoes and
bags? South east asia (indonesia :) ) and
australia. Ornamental fish (hundred millions of
dollar bussines). indon...esian fìsh farmers
got broodstock of tropheus, frontosa, bichir,
etc from africa years ago.. Breeded and
exported worldwide. In aquaculture, Ocean
commodities is far more expensive than freshy..
Instead of tilapia why dont grouper or snnaper
(seabass/lates). In indonesia, we allready farming napoleon fish..
>>
>> --
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Jim Miller
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E-mail: jimfishafrica(a)gmail.com
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Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
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