voir ci-dessous, les "mauvaises" traductions des échanges de la liste
en langue anglaise concernant les systèmes de pisciculture en eaux recyclés
Le projet Hydrofish ayant été créé en 2011 selon le lien
http://www.hydronov.com/2010/Images/Projets/01-Diaporama/DP-IvoryCoast.htm,
est-il possible d'avoir quelques information complémentaires et
notamment: Avez vous déjà produit 3000 tonnes /an ou est ce une
production attendue ? Le coût de production du Clarias est-il le même
que celui du tilapia ? Quelles sont les quantités annuelles respectives
produites ? ...
En vous souhaitant un plein succès,
cordialement
Olivier M.
Le 03/10/2012 14:14, Leslie a écrit :
Je ne crois pas qu'il existe une solution unique à l'aquaculture à
travers le continent. Il faut d'abord considérer la combinaison
d'espèces et le climat, et puis la nature du site, la disponibilité
électrique, la qualité des aliments, les connaissances et l'expérience
du personnel, le marché existant et de nombreux autres facteurs.
Il y a certainement une place pour les bassins de la terre et pour les
cages.
> I do not believe that there is a single solution to aquaculture across
> the continent. One needs to firstly consider the combination of
> species and climate, and then in addition consider the nature of the
> site, electrical availability, feed quality, staff knowledge and
> experience, market being supplied and many other factors.
>
> There certainly is a place for earth ponds and for cages.
>
> Regards,
>
> Leslie
>
> <http://www.aquaafrica.co.za/>
>
> *From:* sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
> [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] *On
> Behalf Of *BADIANE ABDOUL
> *Sent:* 03 October 2012 01:05 PM
> *To:* sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> *Subject:* Re: [Sarnissa] Request for Technical Support!!
>
Les systèmes aquacoles en eaux recyclée (RAS) est aujourd'hui
indispensable pour le développement de l'aquaculture en Afrique. ok le
coût est élevé (énergie, technologie, alimentation, etc ..) mais c'est
très rentable. Efectivement, ce n'est pas de petits investisseurs qui
seront en mesure de le mettre en place, mais seuls des investisseurs de
premier plan peuvent se permettre d'en disposer.
En ce qui concerne le coût de production par kg pour mon cas, le "RAS"
que je dirige en Côte d'Ivoire, il est d'environ 1000 f cfa (mais le
prix de vente est excellent), il peut être plus élevés que celui des
cages oudes étangs de production. Mais combien de production, vous
pouvez le faire dans l'année avec la RAS tandis que pour les cages ou
les étangs que vous ne pouvez pas faire plus de 2 récoltes.
Nos RAS ont seulement 0,4 ha de superficie et nous produisons 3.000
tonnes à l'année. 0,4 ha de l'étang ne peuvent pas le faire.
L'impact sur l'environnement de la RAS est inférieure à celui des cages
ou des étangs. Le peu d'eau qui rejetée est traitée et réutilisée
Le problème de la RAS en Afrique, c'est qu'ils n'ont jamais été géré par
des gens compétents. Faire la pisciculture n'a jamais signifié que pour
pouvoir gérer un "RAS",il ne fallait pas de la haute technologie (?)
Votre poste (position ?) ne prend pas en compte de nombreux facteurs.
Pensez que le RAS ne fonctionnera pas en Afrique, c'est vraiment arrêter
le développement de ce secteur.
>
> RAS is now essential for the development of aquaculture in Africa. ok
> the cost is high (energy, tech, food, etc...) but it is very
> profitable. So it's not small investors who will be able to build but
> only leading investors can afford to have.
>
> With regard to the cost of production per kg for my case the RAS I
> head in Côte d'Ivoire, it is about 1000 f cfa (but the sale price is
> excellent) can be higher cages or ponds production. But how many
> production you can do in the year with the RAS while for cages or
> ponds you can do more than 2 harvests.
>
> Our RAS have only 0.4 ha of growing and we produces 3,000 tonnes year.
> 0.4 ha of Pond cant do it.
>
> Environment impact of RAS is less than cages or pondsfarms. The
> little water that comes out is treated and reused
>
> The problem of the RAS in Africa is they have never been managed by
> capable people. Make fish farming would never mean that can handle a
> RAS it takes a high-tech
>
> your post does not take into account many factors. Think that the RAS
> will not work in Africa is really stopped the development of this sector.
>
BADIANE Abdoul Aziz
>
> *Aquaculture Specialist /Consultant
> Supervisor production HydroFish *
>
> 06 BP 316
> Abidjan 06
> *Côte d' Ivoire*
> Tel: (+225) 22 40 25 12
> Fax: (+225) 22 40 32 20
> Mobil: (+225) 58 48 93 00
>
> *De :* African Tilapia <africantilapia(a)gmail.com
> <mailto:africantilapia@gmail.com>>
> *À :* sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> <mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>
> *Envoyé le :* Mercredi 3 octobre 2012 9h09
> *Objet :* Re: [Sarnissa] Request for Technical Support!!
>
Bien dit Nick!
Beaucoup de gens qui vendent ces systèmes sont des gens des techniques
de vente avec peu ou pas de "background" (savoir-faire) en aquaculture
en Afrique, et quelques calculs simples montrerait leurs systèmes ne
sont pas compétitifsavec les techniques de production basées sur les
étang ou cages. Ces systèmes RAS dépendent de la fourniture d'énergie à
coûts raisonnables , et en Afrique cela coûte cher, et l'offre est très
peu fiables. Des générateurs de secoursaugmente les coûts et sont
souvent si mal entretenu que leur fiabilité dans une situation d'urgence
est suspect.
Malheureusement, ces «éléphants blancs» n'ont pas seulement de donné une
mauvaise réputation RAS, mais aussi (en terme investissement) à l'
Aquaculture en général, et à des systèmes sud-africains, en particulier.
Bien qu'il n'y ait pas de doute que RAS a sa place dans le schéma
général des choses, la plupart des applications de ces technologies sont
généralement seulement rentables pour des tâches telles que des
écloseries et holding systèmes.En Afrique, avec une telle richesse de
sites encore inexploités pour les étangs alimentés par gravité et des
plans d'eau de qualité pour les cages, il faudra longtemps avant que RAS
puissent produire des poissons au même prix.
> Dear All,
>
> Well said Nick!
>
> Many of the people selling such systems are technical sales people
> with little or no background in Aquaculture in Africa, and some simple
> calculations would show their systems are not competitive with
> traditional pond-based or cage-based production techniques. These RAS
> systems depend on reasonable cost grid power supplies, and in Africa
> obtaining these is expensive, and the supply is extremely unreliable.
> Back-up generators just add to the cost, and are often so poorly
> maintained that their reliability in an emergency situation is suspect.
>
> Unfortunately these “white elephants” are not only giving RAS a bad
> name, but also (from an investment aspect) Aquaculture in general, and
> South African systems in particular an unsavory reputation.
>
> While there is no doubt that RAS has a place in the overall scheme of
> things, most applications of these technologies are usually only
> cost-effective for tasks such as hatcheries and holding systems. In
> Africa, with such a wealth of still unexploited sites for gravity fed
> ponds and quality waterbodies for cages, it will be long time before
> RAS can produce fish at the same price.
>
> Adrian Piers
>
> Agriculture, Fisheries and Aquaculture Consulting
>
> East African Community and SADC Region
>
> Phone ++260 965 445464 (Zambia)
>
> Email tilapia(a)zambia.co.zm <mailto:tilapia@zambia.co.zm>
>
> *From:* sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
> <mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk>
> [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk]
> <mailto:[mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk]> *On
> Behalf Of *Nick James
> *Sent:* Tuesday, October 02, 2012 6:49 PM
> *To:* sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> <mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>
> *Subject:* Re: [Sarnissa] Request for Technical Support!!
>
Je suis intrigué de connaître les qualification en aquaculture de la
"compagnie d'ingeniérie sud-africaine " qui a fait la conception de
votre projet. Vous ont-ils de montré un modèle en fonctionnement de leur
conception qui a été pleinement opérationnel? S'ils ne le faisaient pas,
ils devraient être en mesure de vous donner un exemple à l'étranger ou
inter-africain de l'endroit où leurs paramètres de conception ont
fonctionné?
Je demande parce que SA est en train d'acquérir une réputation pour la
conception de systèmes de haute technologie qui n'ont tout simplement
pas abouti à des piscicultures opérationnels rentables.
Une ferme de tilapia de 500 tonnes / an tilapia est considérable en
termes de production et les besoins en infrastructures ... MAIS c'est la
façon dont il est effectué qio fera la différence entre un autre
éléphant blanc ... et une unité d'aquaculture viable Nous sommes un peu
fatigué de ces set-ups (montage) de "designers " conçus par des gens
qui n'ont jamais gardé un poisson vivant dans leur vie, car ils donnent
RAS aquaculture en Afrique une mauvaise réputation.
> Dear Stephanus
>
> I am intrigued to know the aquaculture credentials of the "South
> African Engineering company" that did the design of your project. Did
> they show you a working model of their design that was fully
> operational? If they did not, were they able to give you referral to
> an overseas or inter-African example of where their design parameters
> were working?
>
> I ask because SA is getting a reputation for high-tech system designs
> that simply do not lead to profitably operational fish farms.
>
> A 500 tonne/pa. tilapia farm is considerable in terms of production
> and infrastructure requirements...BUT it is the way that it is done
> that will make the difference between yet another white
> elephant...and a viable aquaculture unit. We are getting a little
> tired of these "engineer-designed" set-ups designed by people who have
> never kept a fish alive in their lives, as they are giving RAS
> aquaculture in Africa a bad name.
>
> regards
>
> Nick
>
> Nicholas P E James
> Rivendell Hatchery
> PO Box 6146
> Grahamstown
> 6141 South Africa
> Cell 082 575 9781
>
> email nickjames(a)intekom.co.za <mailto:nickjames@intekom.co.za>
> WEBSITE http://www.rivendellhatchery.co.za/
>
> ----- Original Message -----
>
> Dear William,
>
> Allow me to take this opportunity to introduce my selves. I am
> Benedictus Stephanus from Namibia. We are battling to get an Fresh
> water Fish farm off the ground at the Naute Dam for the last
> 4years. Of the challenges we have are more of technical support
> base. Thus we are in need of a technical partner which could take
> care of the technical requirements of the project.
>
> We look forward towards the valuable support from the forum at large.
>
> Kindly,
>
> Benedictus Stephanus
> Executive Chairman
> Naute Aqua Fish Farms cc
> Mobil: +265 856 095 352
> Email: bstephanus(a)iway.na <mailto:bstephanus@iway.na>
>
> No virus found in this message.
> Checked by AVG - http://www.avg.com/
> Version: 2012.0.2221 / Virus Database: 2441/5306 - Release Date: 10/02/12
>
>
> _____
>
r/
Hello,
We have an important stock of second hand cages mesh for cages for sale.
There 2 cages size:
Nous avons un stock important de filets pour cages d¹occasion à vendre; 2
tailles disponibles:
Cages type : 9m x 9m x 4 m:
14 cages x 15 mm
8 cages x 12 mm
10 cages x 10 mm
Cages type 4m x 4m x 4m:
55 cages x 4 mm
20 cages x 6mm
50 cages x 8 mm
38 cages x 12 mm
This is a total of about 195 cages in very good conditions
Ceci représente un stock de 195 cages prêtes à l¹emploi.
We are looking to sale it in 1 lot. Goods are available in France. If you
are interrested, please contact direclty with me off the list at:
Nous cherchons à vendre le tout en 1 seul lot, stock disponible en France.
Si vous êtes intéressés, merci de me contacter directement a:
bertrand.kirsch(a)cultimar.fr
Route des Portes
17590, Saint Clément des Baleines
Ile de Ré
France
Chers membres du forum
Après 3 jours de Symposium sur la mariculture à Dakar, je suis une fois encore convaincu de l'importance et de la possibilité de développer les potentialités aquacoles en Afrique Sub saharienne.
A travers la COMHAFAT en collaboration avec SARNISSA, le CIRAD/IFREMER, les participants ont bénéficié des expériences réussies en Namibie, Afrique du Sud ....avec peu de moyens et un système de production simple et reproductible.
Comme il se trouve que les potentiels de mariculture sont riches et diverses en Afrique, une telle rencontre de partage d'expériences reste un des meilleurs créneaux de transfert de compétence.
La production des fruits de mer ( abalones, huitres, crevettes....) à travers la mariculture reste une source de revenue très intéressante pour nos populations mais aussi de lutte contre l'insécurité alimentaire.
Alors faut il la saisir?
Amicalement
Sidiki KEITA,
Directeur régional de la pêche et de l'aquaculture,
Guinée Forestière,
N'Zérékoré
République de Guinée
Tel: (00224) 63460143 / 64460143 / 67717020
E mail: sidikikeita(a)yahoo.fr
Le symposium vient de conclure sur le potentiel de commercialisation
de la mariculture en Afrique sub-saharienne à Dakar-Sénégal était unique
en son genre auquel j'ai jamais assisté. Cet événement a rassemblé un
large consortium de praticiens de la mariculture : investisseurs privés,
chercheurs, producteurs, établissements de formation, ONG et dirigeants
du Gouvernement et commerçants pour partager leur vision du
développement de la mariculture.
J'ai réalisé qu'il se passe beaucoup de chose en Afrique dans le
développement de la mariculture dont nous devons tirer des leçons. Par
conséquent, les potentiels de la mariculture sont riches et diversifiées
en Afrique. Cependant, plus de planification réaliste est nécessaire
pour réaliser ce potentiel en mariculture comme cela a été résumé dans
le dernier jour de la présentation.
Aussi pour permettre aux autres personnes d'apprendre de nous, nous
avons besoin de documenter nos activités de terrain.
Je pense que Will et Beatrice partageront le rapport final de la
symposium avec la communauté SARNISSA.
Le 02/10/2012 11:20, mirera David a écrit :
> Hi all,
>
> The just concluded sympossium on the Potential for commercialization
> of mariculture in sub-saharan Africa in Dakar-Senegal was one of its
> kind that I have ever attended. This event brought together a wider
> consortium of mariculture pratitioners i.e. Private investors,
> researchers, farmers, Training Institutions, NGOs and Govenrment
> officers and marketers to share their vision for mariculture
> developlemnt.
> I realised that a lot is happening within Africa in Mariculture
> development that we need to learn from. Consequently the potentials
> for mariculture are rich and diverse in Africa. However more
> reaslistic planning is needed to realise this potentials in
> mariculture as summarised in the last day of the presentation.
> Also to enable other people to learn from us, we need to document our
> field activities.
> Its my believe that Will and Beatrice will share the final report of
> the sympossium to the sarnissa community.
> _*Mirera H. O. David*_
> */Research Officer/*
> */Kenya Marine and Fisheries Research Institute (KMFRI)/*
> */P. O. Box 81651-80100/*
> */Mombasa-Kenya/*
> */office email: /**/dmirera(a)kmfri.co.ke/*
> <mailto:dmirera@kmfri.co.ke>*/ /*
> */Telephone: +254 -020-8021560/1/*
> */Fax: +254 - 020-2353226/*
> */Alternate contact/*
> P.O. Box 98422-80100, Mombasa-Kenya
> Mobile:+254-722-646270
> Email: dimirera(a)yahoo.com <mailto:dimirera@yahoo.com>
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
Dr Olivier Mikolasek
UMR 110 Intrepid
INTensification Raisonnée et Ecologique pour une PIsciculture Durable - Persyst
Cirad - La Recherche agronomique pour le développement
TA B-110/B
Campus international de Baillarguet
34398 Montpellier cedex 5, France
tel: +33 (0)4 6759 38 37; Fax: +33 (0)4 67 59 38 25
Assistante: +33 (0)4 67 59 37 31
http://umr-intrepid.cirad.fr/http://www.sarnissa.org/http://www.cirad.fr/
De : Armelle.Faure [mailto:armelle.faure@wanadoo.fr]
Envoyé : mercredi 26 septembre 2012 05:17
À : KOUNDOUNO Jérôme
Objet : VIENT DE PARAITRE: Populations déplacées par le barrage de Bort-les-Orgues il y a 60 ans
Bort-les-Orgues, les mots sous le lac. Récits et témoignages, Privat, 2012
Le barrage de Bort-les-Orgues est fêté pour sa prouesse technologique, mais on a trop longtemps oublié l'existence des familles rurales qui vivaient là avant sa construction. L'expropriation et la démolition de leurs maisons ont été un sacrifice dont la nostalgie persiste. Cetouvrage veut réparer cet oubli, en rendant hommage à ces populations déplacées par l'hydroélectricité à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ces témoignages rapportent la vie rurale, celle des fermes, des travaux, des fêtes et du commerce, organisés autour des trois petites gares englouties. On découvre le choc qu'a constitué le déplacement obligatoire et la douleur transmise aux descendants. Bort-les-Orgues, les mots sous le lac retrace une aventure humaine, sensible, et témoigne - avec force - de l'attachement d'une population à sa région.
Anthropologue, docteur EHESS (École des hautes études en sciences sociales, Paris, 1990), Armelle Faure a mené des études sociales dans une vingtaine de pays, en Afrique de l'Ouest, à Madagascar et en Asie de l'Est, principalement pour la Banque Mondiale. Depuis une quinzaine d'années, elle mène une recherche approfondie sur la façon dont les populations françaises ont été déplacées au xxe siècle lors de la construction des grands barrages. Elle est l'auteur du Pays bissa avant le barrage de Bagré et coauteur de plusieurs livres, dont Grands barrages et habitants et Beyond Relocation: The Imperative of Sustainable Resettlement.
Diplômée de l'École technique de photographie et d'audiovisuel de Toulouse (ETPA), Adelaïde Maisonabe est photographe indépendante à Toulouse, où elle a notamment choisi l'architecture et l'illustration comme terrains de jeux autour des formes, des lignes et des couleurs.
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Chers collègues, chers partenaires,
Permettez moi de vous présenter le Pr. Aboubacar AWAÏSS et lui souhaiter la bienvenue au poste de Coordinateur du Programme Ressources en Eau et Zones Humides (PREZOH) du PACO dont il prendra la responsabilité au 1er octobre 2012, basé à Ouagadougou, Burkina Faso.
Spécialisé en hydrobiologie continentale le Pr Awaiss a débuté sa carrière dans le monde de la conservation en 1993 comme membre du Réseau des Experts des zones humides de l'UICN au Niger et, en mars 1997, comme membre fondateur du Groupe ouest africain de spécialistes sur l'utilisation durable des espèces sauvages de l'UICN. Il travaille depuis plus d'une décennie sur les thématiques liées aux zones humides en tant que ; (i) Représentant pour l'Afrique au Groupe d'évaluation scientifique et technique de la convention de Ramsar (1999-2003) ; (ii) Chargé de Programme sur l'éducation et la sensibilisation du public sur les zones humides au Bureau régional Afrique de l'Ouest de Wetlands International (2000-2002) ; (iii) Coordinateur du Programme eaux douces pour l'Afrique de l'Ouest du WWF (2003-2010) et dont la composante principale est le bassin du fleuve Niger. Déjà installé à l'UICN PACO, il assure depuis le début de l'année 2012 la coordination de l'initiative pour la réduction de la pauvreté et la gestion de l'environnement en Afrique de l'Ouest (PREMI).
Maître de conférences à l'Université de Niamey au Niger, il a été responsable des formations sur la gestion de l'environnement au Centre Régional d'Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) et l'auteur de plusieurs travaux sur la gestion des ressources naturelles et les zones humides en partenariat avec les institutions étatiques et ONG dans plusieurs pays ouest africains.
Merci de vous joindre à moi pour lui souhaiter plein succès dans ses nouvelles fonctions.
Jean-Marc
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Dear Colleagues and partners,
Let me introduce and welcome Prof. Aboubacar AWAÏSS as Coordinator of the Programme for Water Resources and Wetlands (PREZOH) within PACO, starting 1st October 2012, based in Ouagadougou, Burkina Faso.
Specialized in continental hydrobiology, Prof. Aboubacar started his career in conservation in 1993 as a member of the IUCN Network of Experts on wetlands in Niger and in March 1997 as a founding member of the Group of Specialists on West African Sustainable Use of IUCN's wildlife. He has worked for over a decade on topics primarily related to wetlands as: (i) Representative for Africa at the Scientific and Technical Assessment Panel on the Ramsar Convention (1999-2003), (ii) Programme Officer on Education and public awareness on wetlands in the West Africa Regional Office of Wetlands International (2000-2002), (iii) West Africa Freshwater Programme Coordinator for WWF (2003-2010), whose main component is the Niger River basin. Since early 2012, he was already working for IUCN, Coordinating the Poverty Reduction and Environmental Management Initiative (PREMI) in West Africa.
Associate professor at the University of Niamey in Niger, he was responsible for the training on environmental management at the Regional Center for Special Education in Agriculture (CRESA) and author of several collaborative works on natural resource and wetland management in partnership with state institutions and NGOs in several West African countries.
Please join me in wishing him full success in his new responsibilities.
Jean-Marc
Jean-Marc Garreau
Coordinateur de Programme Régional
Programme Afrique Centrale et Occidentale
UICN - Union internationale pour la conservation de la nature
01 BP 1618 Ouagadougou - BURKINA FASO
Tél : Standard (226) 50 36 49 79
Tél : Ligne directe (226) 50 49 82 13
Fax : (226) 50 36 49 84
www.iucn.org<http://www.www.iucn.org/>
[FinalcongresSingatureFR]
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Dear english-speaking colleagues,
Please find below the link to read the Water Power & Dam magazine (July 2012) online.
http://viewer.zmags.com/publication/44332967
Best regards,
Jérôme KOUNDOUNO
Dialogue régional sur les grandes infrastructures hydrauliques en Afrique de l'Ouest
Regional dialogue on large water infrastructures in West Africa
www.dialoguebarrages.org<www.dialoguebarrages.org%20>
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Translated from English forum
Madame, Monsieur,
Êtes-vous capable de me faire parvenir la version anglaise de ces questions? Nous pourrions parler et échanger un peu d'informations sur Clarias gariepnus
James Barasa,
Eldoret. Kenya jbarasa2002(a)yahoo.com<mailto:jbarasa2002@yahoo.com>
From: James Barasa [mailto:jbarasa2002@yahoo.com]
Sent: 14 September 2012 14:10
To: sarnissa-french-aquaculture Mailing List; inoussa compaore
Subject: Re: [Sarnissa] [{SPAM?} score 7.9] {SPAM?} Re : [{SPAM?} score 8.1] {SPAM?} Recherche d'informations sur clarias gariepinus
Dear,
Are you able to send me the English version of the questions? We could talk and exchange a bit of information on Clarias gariepnus
James Barasa,
Eldoret. Kenya.
From: Sana BOUDA <sanabouda(a)yahoo.fr<mailto:sanabouda@yahoo.fr>>
To: sarnissa-african-aquaculture List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>; sarnissa-french-aquaculture List <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>; inoussa compaore <inoussacompaore(a)yahoo.fr<mailto:inoussacompaore@yahoo.fr>>
Sent: Thursday, September 13, 2012 5:19 AM
Subject: [Sarnissa] [{SPAM?} score 7.9] {SPAM?} Re : [{SPAM?} score 8.1] {SPAM?} Recherche d'informations sur clarias gariepinus
Rebonjour Compaore,
Puis-je avoir les references de Micha (2005) dont tu fais allusion? En fait je veus savoir si les donnees concernent des optima ou des tailles de premieres reproductions?Cordialement,
Sana BOUDA , MSc
Aquaculture/ National Taiwan Ocean University / Rep. Of Chine
Ecotechnologies des Eaux Continentales et Pêches /FUNDP/Namur/Belgique
Manager AQUABOOST
tel: 70 37 41 08 76 61 07 76
BP: 09 BP 726 Ouagadougou 09
--- En date de : Mer 12.9.12, inoussa compaore <inoussacompaore(a)yahoo.fr<mailto:inoussacompaore@yahoo.fr>> a écrit :
De: inoussa compaore <inoussacompaore(a)yahoo.fr<mailto:inoussacompaore@yahoo.fr>>
Objet: [Sarnissa] [{SPAM?} score 8.1] {SPAM?} Recherche d'informations sur clarias gariepinus
À: "sarnissa-african-aquaculture List" <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>, "sarnissa-french-aquaculture List" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>
Date: Mercredi 12 septembre 2012, 22h59
Inoussa COMPAORE
Ingenieur Halieute
Direction Générale de la Pêche et de l'Aquaculture (DGPA)
Projet d'Elevage Piscicole de Bagré
Phone: (226) 76009945/73550207
----- Mail transféré -----
De : inoussa compaore <inoussacompaore(a)yahoo.fr<mailto:inoussacompaore@yahoo.fr>>
À : sarnissa-french-aquaculture List <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>
Envoyé le : Mercredi 12 septembre 2012 20h39
Objet : Recherche d'informations sur clarias gariepinus
Bonjour chers membres de sarnissa,
je suis un étudiant en thèse de doctorat à l’Université Polytechnique de Bobo Dioulasso au Burkina Faso et je travail sur les aspects de la caractérisation génétique et de la reproduction des silures (Clarias gariepinus) de ce pays. Au cours de mes travaux je heurte à certaines interrogations que j’aimerai que les membres du forum m’éclaircissent sur un certains nombre de points surtout ceux qui ont déjà eu à travailler avec l’espèce en question (avec à l’appui des articles scientifiques si possible). Ma préoccupation concerne les points suivants:
• Est-ce qu’il ya eu des études génétiques approfondies qui ont prouvé l’existence des deux espèces de Clarias à savoir : C. gariepinus et C. anguillaris ? Ou bien le nombre de branchiospines (Teugels, 1986) est le seul critère utilisé pour différencier les deux espèces jusqu'à présent ? Le critère proposé par Benech et al, 1993 qui est la morphologie des cleithra me pose un sérieux problème de distinction sur le terrain.
• Peut-on faire la reproduction artificielle de Clarias gariepinus avec des sujets matures (femelles) de 150g en moyenne ? Si Oui ou Non et quelles sont les conséquences dans les deux cas ?. Je pose la question parce que les individus que j’ai en stock ont en moyenne 150g et sont déjà en gestation alors que la taille de reproduction artificielle définie par Micha (2005) est environ 1kg pour les femelles et 400g pour les mâles.
• Peut-on faire la reproduction artificielle en dehors de la saison hivernale?
• Est-ce qu’il existe des stations de pisciculture uniquement pour Clarias anguillaris d’une part et d’autre part pour Clarias gariepinus ?
Enfin comment peut-on faire le transport des sujets adultes vivants situés à une grand distance du site d'expériementation?
Merci d’avance pour vos différentes réactions
Inoussa COMPAORE
Ingenieur Halieute
Direction Générale de la Pêche et de l'Aquaculture (DGPA)
Projet d'Elevage Piscicole de Bagré
Phone: (226) 76009945/73550207
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Envoyé le : Mercredi 12 septembre 2012 20h39
Objet : Recherche d'informations sur clarias gariepinus
Bonjour chers membres
de sarnissa,
je
suis un étudiant en thèse de doctorat à l’Université Polytechnique de Bobo
Dioulasso au Burkina Faso et je travail sur les aspects de la caractérisation
génétique et de la reproduction des silures (Clarias gariepinus) de ce pays. Au
cours de mes travaux je heurte à certaines interrogations que j’aimerai que les
membres du forum m’éclaircissent sur un certains nombre de points surtout ceux
qui ont déjà eu à travailler avec l’espèce en question (avec à l’appui des
articles scientifiques si possible). Ma préoccupation concerne les points suivants:
v Est-ce
qu’il ya eu des études génétiques approfondies qui ont prouvé l’existence des
deux espèces de Clarias à
savoir : C. gariepinus et C. anguillaris ? Ou bien le nombre de branchiospines
(Teugels, 1986) est le seul critère utilisé pour différencier les deux espèces
jusqu'à présent ? Le critère proposé par Benech et al, 1993 qui est la morphologie des cleithra me pose un sérieux
problème de distinction sur le terrain.
v Peut-on
faire la reproduction artificielle de Clarias
gariepinus avec des sujets matures (femelles) de 150g en moyenne ? Si
Oui ou Non et quelles sont les conséquences dans les deux cas ?. Je pose
la question parce que les individus que j’ai en stock ont en moyenne 150g et
sont déjà en gestation alors que la taille de reproduction artificielle définie
par Micha (2005) est environ 1kg pour les femelles et 400g pour les mâles.
v Peut-on
faire la reproduction artificielle en dehors de la saison hivernale?
v Est-ce
qu’il existe des stations de pisciculture uniquement pour Clarias anguillaris d’une
part et d’autre part pour Clarias gariepinus ?
Enfin comment peut-on faire le transport des sujets adultes vivants situés à une grand distance du site d'expériementation?
Merci d’avance pour vos différentes réactions
Inoussa COMPAORE
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