Lancement du Ghana Aquaculture Association inaugurale
Association de l'aquaculture au Ghana
De: Azasoo Benigna - président
Association de l'aquaculture au Ghana lancement inaugural: Re
Le Ghana Aquaculture Association (GAA) a récemment été créé pour rassembler les individus et organisations engagés dans l'aquaculture et les activités connexes et qui en dépendent comme une source de subsistance. Son objectif est de promouvoir les intérêts de l'industrie de l'aquaculture comme un élément dynamique de l'économie ghanéenne. L'objectif commun est de garantir une progressive, le développement durable et l'expansion de l'industrie dans un secteur commercial compétitif et viable.
Ses membres représentant les principaux intervenants dans l'industrie, comprennent, mais ne sont pas limités à: -
Les éleveurs de poissons * / Les éleveurs de poissons associations
* Opérateurs écloserie
* Feed producteurs / fournisseurs
* L'investissement de l'aquaculture consultants / gestion
* Les prestataires de services de santé du poisson
* Courtiers intermédiaires de commercialisation du poisson /
* Les fournisseurs d'équipement
* Le personnel de recherche
Le lancement inaugural de l'Association aura lieu le le 21 Décembre 2010. Le thème de l'inauguration est la pisciculture - Les défis de l'alimentation Ghana.
L'invité d'honneur lors du lancement sera honorable Nii Amasah Namoale, sous-ministre pour l'alimentation et l'agriculture, qui prononcera un discours ainsi que d'autres invités de marque.
Date: 21 Décembre 2010
Auditorium du British Council, le Libéria Road, Accra
Heure: 11h30 pour 12h00 et sera d'environ deux heures la durée
________________________________
RSVP par e-mail s'il vous plaît à jones(a)exprom-uk.com<mailto:jones@exprom-uk.com> ou composez le 030 3403833/3403949 nom de votre entreprise, mobile et votre adresse e-mail ou sms à 024 192 0094.
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Dictionary - View detailed dictionary<http://www.google.com/dictionary?source=translation&hl=en&q=Ghana%20Aquacul…'%20Associations%20%20*%20Hatchery%20operators%20%20*%20Feed%20producers/suppliers%20%20*%20Aquaculture%20investment/management%20consultants%20%20*%20Fish%20Health%20service%20providers%20%20*%20Fish%20brokers/marketing%20intermediaries%20%20*%20Equipment%20suppliers%20%20*%20Research%20personnel%20%20%20%20The%20Inaugural%20Launch%20of%20the%20Association%20will%20be%20held%20on%20the%2021%20December,%202010.%20The%20theme%20for%20the%20Inauguration%20is%20Fish%20Farming%20-%20The%20Challenges%20of%20Feeding%20Ghana.%20%20%20%20The%20Guest%20of%20Honour%20at%20the%20launch%20will%20be%20Hon%20Nii%20Amasah%20Namoale,%20Deputy%20Minister%20for%20Food%20&%20Agriculture,%20who%20will%20make%20a%20keynote%20speech%20as%20well%20as%20other%20distinguished%20guests.%20%20%20%20%20%20%20Date:%20%20%2021%20December%202010%20%20%20%20Venue:%20%20%20British%20Council%20Auditorium,%20Liberia%20Road,%20Accra%20%20%20%20Time:%20%20%2011.30am%20for%2012.00%20noon%20and%20will>
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The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Inter-réseaux recherche un(e) stagiaire
Intitulé du poste : Stage de préparation de dossiers thématiques au profit des organisations de producteurs agricoles en Afrique de l’Ouest.
Présentation d’Inter-réseaux
L’association Inter-réseaux Développement rural (www.inter-reseaux.org) est un réseau spécialisé dans l’animation de réflexions et la diffusion d’information sur le développement et l’organisation du monde rural des pays du Sud. C’est un lieu d’échanges s’appuyant sur un réseau de plus de 6 000 membres, travaillant pour et avec des organisations et institutions variées (organisations paysannes, ONG, administrations publiques, institutions de recherches, universités, etc.), réparties essentiellement en Afrique de l’Ouest et en Europe.
Son cœur de métier est l’animation de réseau au travers de différents outils d’animation et de diffusion d’informations coproduites en réseau (groupes de travail, publications, revue bulletins de veille électronique, site web, etc.).
Les missions du stage
Le/la stagiaire aura pour mission, avec l’appui de l’équipe technique d’Inter-réseaux, de réaliser des notes de synthèse et des bulletins de veille électroniques sur des thèmes intéressant les organisations de producteurs agricoles en Afrique de l’Ouest, tels que les politiques agricoles, la mise en marché, la souveraineté alimentaire, etc.
Il s’agira en particulier de :
participer à la veille documentaire et effectuer des recherches ciblées sur Internet ;
participer à la remontée d’informations provenant des membres du réseau ;
participer à la réalisation de notes de synthèse thématiques ;
participer à la réalisation de bulletins de veille thématique ;
alimenter des pages web du site d’Inter-réseaux.
En complément le/la stagiaire pourra être amené(e) à participer à l’élaboration d’autres publications, en lien avec l’équipe (par exemple : finalisation d’articles pour la revue Grain de sel, etc.).
Ce stage sera effectué sous la coordination du Directeur et en lien étroit avec les chargés de mission d’Inter-réseaux. Le/la stagiaire bénéficiera d’un temps libre pour effectuer les éventuels travaux requis par son cursus universitaire dans le cadre de la convention de stage liant Inter-réseaux et son université ou école (rapport de stage, etc.).
Profil du candidat
Cursus en cours
Formation dans le domaine du développement rural, économie ou sociologie du développement ou sciences politiques avec une orientation vers les pays du Sud.
Compétences et qualités
Bonne pratique de la recherche documentaire et de la veille sur internet ;
Bonnes capacités de synthèse et d’analyse ;
Bonne capacité de rédaction en français ;;
La connaissance de l’anglais sera un plus ;
Connaissances concernant des outils informatiques de bureautique ;
Qualités humaines et relationnelles nécessaires au travail au sein d’une petite équipe et en réseau ;
Autonomie dans le travail, esprit d’initiative ;
Disponibilité immédiate.
Conditions du stage
Statut : Stage à plein temps sous convention de stage
Durée du stage : 4 à 6 mois, à partir de février ou mars
Lieu de travail : Paris
Indemnité : 417 € + remboursement 50% abonnement transport (« Carte orange », « Navigo », « Imagine R »)
Documents à envoyer : CV + LM
Contact : Christophe JACQMIN
E mail : inter-reseaux(a)inter-reseaux.org
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Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
Tél : +33 4 99.57.32.05
Rappel !
La date limite pour la soumission de vos résumés au 3ème symposium international sur la parité en halieutique est le 20 décembre 2010.
Merci de soumettre vos travaux à http:///www.9afaf.org/.
Et visitez http://genderaquafish.org/ pour plus de détails.
Amitiés
Lionel
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Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
Tél : +33 4 99.57.32.05
/*"Atelier 2.1 : Comment augmenter l’efficacité de la conversion des
biomasses par les animaux et les poissons et réduire les émissions de GES*/"
Bonjour,
Thomas Efolé, qui est en train de terminer la rédaction de sa thèse
intitulée//*/"Contribution au développement durable des Exploitations
familiales Agricoles au Cameroun : évaluation de l’impact
environnemental et optimisation biotechnique du système de production
piscicole" /*m'a transmis l'annonce suivante (à consulter sur le site
bilingue: www.oikos-foodsecurity.org) concernant une conférence sur le
développement durable et le changement climatique:
*"L’objectif n’est pas de faire une conférence scientifique classique,
mais d’explorer tout d’abord les divers moyens concrets permettant aux
pays Africains Sub-sahariens de faire face aux défis alimentaires, à
court terme et au cours des 50 prochaines années, leur population totale
devant passer d’environ 1 milliard à 2 milliards d’habitants. Cela
impose une forte augmentation de la production alimentaire.**Les
accroissements de productions agricoles doivent donc être obtenus non
par augmentation des surfaces cultivées comme jusqu’ici, mais /par
augmentation de « l’efficacité territoriale »/, *c'est-à-dire par
réduction ou suppression des jachères et par augmentation des rendements
sur les surfaces déjà cultivées. En Afrique Sub-saharienne il faut même
accorder plus d’attention à cette augmentation qu’à celle de
l’efficacité énergétique. Elle permet en outre de mieux préserver la
biodiversité et d’autres services environnementaux.*
Ce qui est original dans l’approche développée ici c’est le lien entre
(1) l’augmentation des productions agricoles, (2) l’augmentation des
efficacités territoriales et (3) la limitation des émissions de GES.**/
C’est en Afrique Sub-saharienne que les augmentations d’efficacités
territoriales sont aujourd’hui parmi les plus faciles à obtenir
techniquement, compte tenu des pratiques et des niveaux d’intrants
actuels** <http://www.oikos-foodsecurity.org/#_ftn2>. Ces augmentations
ont cependant un coût financier, comme presque toutes les réductions
d’émissions de GES. Mais elles ont l’avantage d’être parmi les moins
couteuses. C’est donc là que la communauté internationale, publique et
privée, soucieuse de réellement limiter les changements climatiques
devrait accorder prioritairement ses aides. Cela permettrait en même
temps de mieux faire face aux futurs défis alimentaires/*/.... " Annexe
1 de la présentation de la conférence/
/**/
Thématiques des conférences et ateliers - Topics of conferences and
workshops
*I/ Améliorer, pour le développement durable, l’« efficacité
territoriale¹ » (c'est-à-dire de la bioconversion de l’énergie solaire)
et les autres paramètres globaux et locaux de production².*
/*Atelier 1.1 : Comment augmenter effectivement l’efficacité
territoriale et mesurer celle ci sur le terrain ou à distance*.
Quantification des émissions de GES évitables par augmentation de
l’efficacité territoriale./
/*Atelier 1.2 : Comment maintenir ou augmenter effectivement la
fertilité des sols tropicaux plus ou moins fragiles *//: /
/par augmentation des intrants et/ou par des solutions alternatives,
mais efficaces. Levées effectives des diverses barrières :
accessibilités aux intrants et aux débouchés, transports des engrais et
des matières organiques, commercialisations, subventions, micro-crédits,
micro-assurances en particulier contre les accidents climatiques etc.
Chiffrages des aides nécessaires et du coût -sans et avec les coûts de
transaction- des émissions nettes de GES évitées par augmentation de
l’efficacité territoriale. /
//
/*Atelier 1.3 : Réseau International de Jardins d’Essais (RIJE), pour
les jardins de case et les champs*//; /
/choix d’essences annuelles ou pérennes performantes, échanges de
matériels et de savoirs faire (bouturage, greffage, conservation des
graines, plantations, irrigations localisées etc.) organisation générale
et diffusions locales, mise en place d’un réseau international. /
/
/
(¹) Elle est caractérisée par « l’intensité territoriale », qui est la
surface nécessaire pour obtenir annuellement une unité de produit [une
tonne de céréale, de protéine ou d’huile, ou encore une tep (tonne
d’équivalent pétrole) de bioénergie], en tenant compte non seulement de
la surface cultivée, mais aussi de la part des surfaces associées
(jachère, haies brise-vent, bandes antiérosives, etc.), c'est-à-dire de
l’ensemble du système de culture avec ses rotations. Plus cette surface
est petite, plus il sera possible de nourrir de personnes sur une
superficie donnée. Cette approche comprend aussi la prise en compte des
moyens de mieux utiliser l’eau, quand cela est nécessaire, et quand cela
permet d’augmenter l’efficacité territoriale ou les revenus par unités
de surface.
(²) Au niveau planétaire d’abord «l’intensité territoriale»,
«l’intensité en énergie fossile» et «l’intensité en gaz à effet de serre
(ou carbone)» par unité de produit). Au niveau local ensuite, où il faut
étudier la faisabilité des changements : comment effectivement lever les
barrières, en évitant les approches purement académiques. Pour plus de
détails voir annexe 1
*I**I/ Augmenter, pour satisfaire les besoins de tous, l’efficacité des
conversions des biomasses végétales :
réductions des pertes au stockage, meilleures conversions par les
animaux (et poissons)
ou par les agro-industries etc.*
/*Atelier 2.1 : Comment augmenter l’efficacité de la conversion des
biomasses par les animaux et les poissons et réduire les émissions de
GES.*Quantification des émissions de GES évitables, par exemple par
l’amélioration des rations des ruminants./
/*Atelier 2.2 : Comment améliorer effectivement, par des procédés
performants, économiquement viables et accessibles, les conversions des
productions végétales *; par de meilleures conditions de stockage, de
séchages, avec des mini-huileries de palme demandant moins
d’investissements, par conversion des graines de soja, par coproduction
d’électricité et autres (charbon de bois, biogaz, digestats) , par
compostage, par fragmentation du bois raméal etc. (pour maintenir ou
améliorer la fertilité des sols, cf. atelier 1.2), par productions de
conserves et de jus de fruits, etc. Quantification des émissions de GES
évitables et de leurs coûts (sans ou avec les coûts de transaction).
/
/
/
*O**n cherchera toujours à déterminer comment les recommandations
peuvent être effectivement adoptées, par les différentes catégories de
paysans (moins de 2 ha, 2 à 5 ha, plus de 5 ha, groupes de producteurs)
et mes jardins de case.
On tentera de hiérarchiser les recommandations envisageables pour
l’Afrique Sub-saharienne en utilisant les analyses ci-dessus et la
grille d’analyse des ACVIdd (voir annexe 1). Celles-ci pourront être
utilisées, notamment dans le cadre des négociations internationales sur
le Climat, la Désertification, la Sécurité alimentaire, les objectifs du
Millénium, ou le Développement durable.*
**
Des synthèses et des propositions innovantes pour les séances plénières
et des contributions complémentaires sous forme de poster et workshops
en relation avec les thématiques sont souhaitées (cf. annexe 1). Les
propositions et projets de communication, (résumé en général d’une page,
indiquant clairement les contributions pour les objectifs de la
conférence ou des ateliers) sont souhaitées dès maintenant, et en tous
les cas avant le 31 Décembre 2010. Le comité scientifique les examinera
et pourra demander des précisions ou faire des suggestions. L’accord
final sera donné début 2011. Priorité sera donnée aux auteurs des
propositions retenues pour les conférences et ateliers. D’autres détails
matériels seront fournis ultérieurement.
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*Analyses de cycles de vie intégrées
pour le développement durable (ACVIdd)
quelles utilisations et quelles différences avec les ACV classiques ?*
conférence de Arthur Riedacker
directeur de recherche honoraire de l'Inra,
co-prix Nobel de la paix au titre de ses travaux pour le GIEC depuis 1990
*jeudi 16 décembre • 14h*
AGROCAMPUS OUEST Centre de Rennes
Amphithéâtre Matagrin
65 rue de Saint-Brieuc - 35000 Rennes
Entrée libre
Contact : dircom(a)agrocampus-ouest.fr
/Les premières analyses de cycles de vie ont été mises au point dans les
années 1960, notamment pour déterminer les impacts environnementaux
(consommations d'énergie fossile, émissions de polluants tels que le
souffre ou le fluor etc) des activités industrielles. Cette approche
était cependant mal adaptée aux activités agricoles et forestières.
Aujourd'hui, de nouvelles contraintes doivent être prises en compte,
notamment le développement durable, c'est-à-dire la satisfaction des
besoins de tous et plus équitablement.
D'où la nécessite de considérer, avant les niveaux locaux, le niveau
planétaire avec ces trois nouvelles contraintes :
1- l'espace nécessaire pour les productions agricoles et forestières est
limité quand on veut tout à la fois nourrir plus de personnes (6 fois
plus d'habitants au niveau mondial en 2000 et bientôt 9 fois plus qu'en
1800), préserver les forêts et les prairies et remplacer des énergies
fossiles.
2- les ressources en énergies fossiles sont limitées, alors que la
demande globale augmente, ce qui implique de mieux utiliser non
seulement les énergies non renouvelables mais aussi l'énergie solaire
que peuvent notamment convertir les plantes.
3- pour éviter ensuite des dérives incontrôlables du climat, les
émissions de GES doivent être divisées d'ici 2050, par 2 au niveau
mondial, par 4 dans les pays industrialisés européens et par 10 aux
Etats-Unis et au Canada.
Ces trois nouveaux impératifs interdisent de continuer à regarder les
activités agricoles et forestières de la même façon que les autres
activités économiques et indépendamment des besoins globaux de
l'humanité. L'importance de l'augmentation de "l'efficacité
territoriale", qui peut être presque totalement ignorée pour les
activités n'utilisant que de l'énergie fossiles, est mise en exergue.
Elle résulte du fait que les plantes bioconvertissent l'énergie solaire
- contrairement aux autres secteurs - et que pour cela il leur faut
beaucoup d'espace. C'est aussi à cause de cette bioconversion de
l'énergie solaire qu'il faut distinguer ici les consommations nettes et
brutes d'énergie ainsi que les émissions nettes et brutes de gaz à effet
de serre.
Les changements que cela implique, quand on s'intéresse réellement au
développement durable, doivent ensuite être déclinés au niveau local en
tenant tenant compte des spécificités pédoclimatiques, environnementales
et socioéconomiques.
Tout cela nécessite une nouvelle grille de lecture qui sera présentée au
cours de la conférence, distinguant le niveau planétaire du niveau local
ainsi que la bioconversion des autres conversions. Car ne pas tenir
compte de ces spécificité ou ignorer les divers besoins de de base de
l'humanité peut conduire à l'adoption, ici ou là, de modes de gestion de
l'espace rural en contradiction avec les objectifs de développement
durable, à des pratiques faussement vertueuses ou encore à des
indicateurs trompeurs, peut-être pas toujours innocemment.
"Pour notre avenir commun" au niveau planétaire, il faut continuer à
repousser partout dans le monde - comme nous y invitait le rapport
Brundtland - les limites actuelles "qui ne sont pas des limites
absolues, mais des limitations imposées par l’état actuel des techniques
et de l’organisation sociale ainsi que de la capacité de la biosphère de
supporter les effets de l’activité humaine ".
Ces approches ont été développées initialement pour la MIES et l'ADEME.
Présentées dans plusieurs ouvrages et articles en anglais et en
portugais, elles paraîtront prochainement dans un ouvrage en français. /
-
OIE update: Updates website www.rr-africa.oie.int mises-à-jour site web
En francais au dessus
-----Original Message-----
From: OIE SRR Southern Africa [mailto:p.bastiaensen@oie.int]
Sent: 15 December 2010 08:59
To: rr.africa(a)oie.int
Cc: rsr.afriquedunord(a)oie.int; oie(a)oie.int; srr.southern-africa(a)oie.int; srr.eastern-africa(a)oie.int
Subject: Updates website www.rr-africa.oie.int mises-à-jour site web
< http://www.rr-africa.oie.int >
Dear colleagues and partners,
We have the pleasure to announce several important updates to the OIE's Africa portal.
APPOINTMENTS
First of all, please take note of the appointment of Dr. Neo J. Mapitse as Deputy Sub-Regional Representativ < http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex64.html > e < http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex54.html > for Southern Africa, based in Gaborone, Botswana. In addition, we welcome Dr. Antoine Maillard as Programme Officer < http://www.rr-africa.oie.int/en/RR/en_organisation_ea.html > to the Sub-Regional Representative for Eastern Africa and the Horn of Africa, based in Nairobi, Kenya.
You will also find the obituaries of colleagues who left us recently : Prof. Peter Van den Bossche <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex75.html> , Dr. Jean Blancou <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex76.html> and lastly Dr. Abdoulaye Bouna Niang. <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex79.html>
BTSF AFRICA PROGRAMME
A specific page has been dedicated to the ongoing EU/DG-SANCO funded "Better Training for Safer Food" <http://www.rr-africa.oie.int/BTSF/en_index_btsf.html> (BTSF) programme, as conducted by the OIE in Africa. In this respect, the final report of the BTSF training seminar for focal points for aquatic animal diseases <http://www.rr-africa.oie.int/en/mandates/en_scientific_information.html> , held in June 2010 in Swakopmund, Namibia, is now available for download <http://www.rr-africa.oie.int/docspdf/en/2010/AAH/Report.pdf> .
Furthermore, you'll find briefs on the recently concluded OIE Regional Seminar on communication <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex72.html> (for French-speaking African countries, Rabat, Morocco) and the training of focal points for wildlife <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex61.html> (Bamako, Mali), terrestrial and aquatic animal diseases notification <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex68.html> (WAHIS, Gaborone, Botswana), animal welfare <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex73.html> (Addis Ababa, Ethiopia), veterinary products <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex78.html> (Johannesburg, South Africa) and veterinary legislation <http://www.rr-africa.oie.int/en/en_index_annex81.html> (Global Conference, Djerba, Tunisia).
PUBLICATIONS
Updated 2010 versions of the Terrestrial and Aquatic Codes <http://www.rr-africa.oie.int/en/mandates/en_sanitary_safety.html> are now available for download in pdf format.
EMAIL NOTIFICATIONS
Finally, if you haven't yet subscribed to the OIE's e-mail alerts for immediate notifications, please register here now <http://www.oie.int/diffusion/index.php?lang=en>
Feel free to comment on improvements to the website, update information or report errors by e-mail here. <mailto:oie@demographixbw.com>
To conclude, we wish you a joyful festive season and a happy new year 2011.
Chers collègues et partenaires,
Nous avons le plaisir d'annoncer plusieurs mises-à-jour importantes du portail Afrique de l'OIE.
NOMINATIONS
Tout d'abord, veuillez noter la nomination du Dr Neo J. Mapitse comme Représentant Sous-régional Adjoint <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex64.html> pour l'Afrique australe, basé à Gaborone au Botswana. Par ailleurs, nous accueillons le Dr Antoine Maillard comme Chargé de Programme <http://www.rr-africa.oie.int/fr/RR/fr_organisation_ea.html> auprès du Représentant Sous-régional pour l'Afrique de l'est et la corne de l'Afrique, basé à Nairobi, au Kenya.
Vous y trouverez également les nécrologies de collègues qui nous ont quittés récemment: Prof. Peter Van den Bossche <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex75.html> , Dr. Jean Blancou <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex76.html> et dernièrement Dr. Abdoulaye Bouna Niang. <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex79.html>
PROGRAMME BTSF AFRIQUE
Une page spécificique a été dédié au programme BTSF, financé par l'UE/DG-SANCO: "Une meilleure formation pour des denrées alimentaires plus sûres", <http://www.rr-africa.oie.int/BTSF/fr_index_btsf.html> actuellement exécuté par l'OIE en Afrique. A cet égard, le rapport final du seminaire de formation BTSF, pour points focaux pour les maladies des animaux aquatiques <http://www.rr-africa.oie.int/fr/mandates/fr_scientific_information.html> , qui a eu lieu en juin 2010 à Swakopmund, en Namibie, est maintenant disponible pour téléchargement <http://www.rr-africa.oie.int/docspdf/fr/2010/AQU/Report.pdf> .
Par ailleurs, vous y trouverez des informations succintes sur le séminaire régional de l'OIE sur la communication <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex72.html> , qui a récemment eu lieu à Rabat, au Maroc (pour les pays francophones de l'Afrique), ainsi que les formations de points focaux pour la faune sauvage <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex62.html> (Bamako, Mali), les notifications de maladies des animaux <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex68.html> terrestres et aquatiques (WAHIS, Gaborone, Botswana), le bien-être animal <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex73.html> (Addis Abeba, Ethiopie), produits vétérinaires <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex78.html> (Johannesbourg, Afrique du Sud) et législation vétérinaire <http://www.rr-africa.oie.int/fr/fr_index_annex81.html> (Conférence Mondiale, Djerba, Tunisie).
PUBLICATIONS
Des versions actualisées (2010) des Codes Terrestre et Aquatique <http://www.rr-africa.oie.int/fr/mandates/fr_sanitary_safety.html> de l'OIE sont maintenant disponibles pour téléchargement en version pdf.
NOTIFICATIONS PAR COURRIEL
Enfin, si vous n'avez pas encore souscrit aux alertes par courrier électronique des notifications immédiates, vous pouvez vous enregistrer ici maintenant <http://www.oie.int/diffusion/index.php?lang=fr>
N'hésitez pas à nous faire des suggestions pour améliorer le site, mettre à jour des informations ou nous signaler des erreurs, par courrier électronique ici. <mailto:oie@demographixbw.com>
Pour conclure, nous vous souhaitons de joyeuses fêtes de fin d'année et nos meilleurs voeux pour une heureuse nouvelle année 2011.
________________________________
www.rr-africa.oie.int <http://www.rr-africa.oie.int/>
World Organisation for
Animal Health (OIE)
www.oie.int
Organisation Mondiale de
la Santé Animale (OIE)
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Regional Representation for Africa
Représentation Régionale pour l'Afrique
Parc de Sotuba
Boite postale 2954
Bamako, Mali
Telephone + 223 20 24 15 83
Telefax + 223 20 24 15 83
rr.africa(a)oie.int
________________________________
Sub-Regional Representation for
Southern Africa
Représentation Sous-régionale pour
l'Afrique australe
Min.of Agriculture, Plot 4701, Mmaraka Rd.
P.o.box 25662
Gaborone, Botswana
Telephone + 267 391 44 24
Telefax + 267 391 44 17
srr.southern-africa(a)oie.int
________________________________
Sub-Regional Representation for
North Africa
Représentation Sous-régionale pour
l'Afrique du Nord
17, Avenue d'Afrique, El Menzah V
Boite postale 267, Cité Mahrajène
Tunis 1082, Tunisie
Telephone + 216 71 237 400
Telefax + 216 71 237 339
rsr.afriquedunord(a)oie.int
________________________________
Sub-Regional Representation for
Eastern Africa and the Horn of Africa
Représentation Sous-régionale pour
l'Afrique de l'Est et la Corne de l'Afrique
P.o.box 30786
Nairobi 00100, Kenya
Telephone + 254 20 3674 000
srr.eastern-africa(a)oie.int
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour,
A l'occasion de la mise en ligne du livre "Aquaculture planning - Policy formulation and implementation for sustainable development" (2010) par Cécile Brugère, Neil Ridler, Graham Haylor, Graeme Macfadyen et Nathanael Hishamunda, disponible uniquement en anglais à cette adresse: http://www.fao.org/docrep/012/i1601e/i1601e00.pdf, voici la traduction de son annexe 1 qui concerne la formulation d'un plan de développement de l'aquaculture au Cameroun.
Bien amicalement
Lionel
Cameroun: "Cadre stratégique pour le développement durable de l'aquaculture au Cameroun" (2003) et «Plan de développement durable d'une aquaculture durable" (2009)
Afin de capitaliser sur les ressources naturelles du pays et en considérant l'importance stratégique que l'aquaculture peut avoir dans l'augmentation des revenus et la sécurité alimentaire, le gouvernement du Cameroun a demandé l'assistance de la FAO pour préparer un cadre stratégique pour le développement durable de l'aquaculture. Ce cadre a été formulé en mai 2003 par une équipe d'experts du ministère de l'élevage, des Pêches et des industries animales (MINEPIA), l'Institut de Recherche Agricole pour le Développement (IRAD), le WorldFish Center et la FAO. Il a constitué la première étape d'un processus d'élaboration d'une stratégie de développement détaillée et il a fourni le squelette destiné à être étoffé au cours du processus de définition de la stratégie. Le cadre a été élaboré sur une période de dix jours par une équipe d'experts du MINEPIA, de la FAO, de l'IRAD et du WorldFish Center, sur la base des résultats de réunions avec des décideurs, le gouvernement, des gestionnaires d'écloseries et des pisciculteurs. Le cadre stratégique proposé a été présenté, discuté et adopté lors d'un atelier national. Il a défini un certain nombre d'orientations clés, ou «principes», visant à promouvoir le développement durable de l'aquaculture au Cameroun, tels que : concentrer l'aide sur les zones identifiées à fort potentiel aquacole, renforcer les capacités et les services de vulgarisation par le biais de partenariats public-privé, établir des liens entre la recherche et la vulgarisation. Surtout, il a clairement défini les rôles respectifs des secteurs public et privé et des organisations de producteurs dans la réalisation du plan national pour le développement de l'aquaculture. L'opérationnalisation du cadre stratégique, à savoir la formulation d'un plan de développement pratique pour le secteur, doit être entrepris avec l'aide supplémentaire de la FAO en vertu d'un projet de coopération technique intitulé «Mise en place d'un plan de développement durable de l'aquaculture"
L'approche novatrice utilisée dans la formulation de ce plan de développement pour le secteur a consisté en un processus itératif, par lequel les versions de travail des documents ont été successivement passées en revue et modifiées par des comités multidisciplinaires (y compris par des officiels gouvernementaux) des groupes de personnes ressources et des experts dans le domaine de l'aquaculture au Cameroun. Le recours à des expériences pilotes, la collecte des données agricoles (techniques et économiques) et les retours des agriculteurs ont garanti que tous les points de vue ont été pris en compte et assuré la pertinence technique des activités énumérées dans le plan. D'autres actions ont porté sur la production d'un examen détaillé et critique du secteur et la création d'une carte numérique de l'aquaculture au Cameroun pour indiquer les sites aquacoles actuels et identifier les zones à fort potentiel de développement par province. Les résultats de ces activités ont également été pris en compte dans le processus d'élaboration du plan. La tenue concomitante d'ateliers de formation sur les techniques agricoles à destination des agriculteurs, des vulgarisateurs et des représentants du gouvernement s'est révélée particulièrement utile, en démontrant la soif de connaissance et l'enthousiasme pour l'activité. Un principe de base du plan est que le renforcement des capacités sera la pierre angulaire de la réussite du secteur et qu'à travers lui, de nombreux goulots d'étranglement actuels du secteur seront levés.
Le plan a été formulé au cours d'un projet de deux ans de la coopération technique entre le Gouvernement du Cameroun et la FAO. Ses objectifs sont cohérents avec les objectifs du cadre stratégique national et ceux de la stratégie nationale de développement rural. La durée du plan est de cinq ans. Son objectif général est de nature quantitative et vise une augmentation de la production de poisson. Cette cible a été déterminée sur la base des activités menées par les agriculteurs sur des sites pilotes. Le plan comprend également cinq objectifs spécifiques relatifs à: (i) l'émergence d'une masse critique de fermes aquacoles à vocation commerciale dans les zones à fort potentiel; (ii) la formation et le renforcement des compétences de manière à stimuler l'esprit d'entreprise chez les pisciculteurs; (iii) le renforcement de l'environnement institutionnel et économique; (iv) la promotion des partenariats public-privé dans le cadre d'une meilleure gouvernance du secteur, et (v) l'étude de nouvelles opportunités de développement pour l'aquaculture. Chaque objectif se décompose en un certain nombre de mesures qui doivent être mises en œuvre. Le plan comprend des indicateurs de suivi et d'évaluation des progrès accomplis à mi-parcours et à l'issue de la mise en œuvre (à trois et cinq ans, respectivement). Un programme d'investissement détaillé concernant les coûts et les sources de financement (des opérateurs privés, du gouvernement et des bailleurs de fonds) pour chaque activité envisagée est également fourni en tant que partie intégrante du plan.
Début du message réexpédié :
> De : Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Date : 15 décembre 2010 09:14:40 HNEC
> À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [FAO] Aquaculture planning in Cameroon
>
> Dear all,
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> This is just to inform you of the release of the book "Aquaculture planning - Policy formulation and implementation for sustainable development" (2010) by Cécile Brugère, Neil Ridler, Graham Haylor, Graeme Macfadyen and Nathanael Hishamunda on FAO's website:
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> http://www.fao.org/docrep/012/i1601e/i1601e00.pdf
>
> There is a mention of the work done in Cameroon in Appendix 1:
>
> CAMEROON: “STRATEGIC FRAMEWORK FOR SUSTAINABLE AQUACULTURE DEVELOPMENT IN CAMEROON” (2003) AND “SUSTAINABLE DEVELOPMENT PLAN FOR SUSTAINABLE AQUACULTURE” (2009)
>
> To capitalize on the country’s natural assets and recognizing the strategic importance aquaculture could have in increasing incomes and food security, the Government of Cameroon requested the assistance of FAO to prepare a strategic framework for the sustainable development of aquaculture. This framework was formulated in May 2003 by a team of experts from the Ministère de l’élevage, des pêches et des industries animals (MINEPIA), the Institute of Agricultural Research for Development (IRAD), WorldFish Center and FAO. It was considered the first step in the process of elaborating a detailed development strategy and provided the skeleton to be fleshed out in the process of defining the strategy. The framework was elaborated over a period of ten days by a team of experts from the MINEPIA, FAO, the IRAD and the WorldFish Center who built on the outputs of meetings with policy-makers, government hatchery managers and fish farmers. The strategic framework proposed was presented or discussion and adoption at a national workshop. It laid out a number of key orientations, or “principles”, to promote the sustainable development of aquaculture in Cameroon, such as focusing assistance on identified high-potential aquaculture zones, and on capacity building and extension services through public–private partnerships and closer linkages between research and extension. Importantly, it clearly defined the roles of the public and private sectors and of producers organizations in achieving the country’s vision for aquaculture development. The operationalization of the strategic framework, i.e. the formulation of a practical development plan for the sector, is
> being undertaken with additional assistance from FAO under a technical cooperation project entitled “Mise en place d’un plan de développement durable de l’aquaculture” (Elaboration of a sustainable development plan for aquaculture).
>
> The innovative approach used in the formulation of the development plan for the sector has lain in the iterative process undertaken, whereby draft documents have been successively reviewed and modified by multidisciplinary committees (including government officials) and groups of resource persons, experts in the field of aquaculture in Cameroon. The concomitant running of pilot sites and collection of farm data (technical and economic) and farmers’ feedback have ensured the inclusion of all perspectives and the technical relevance of the activities listed in the plan. Other activities have included the production of a detailed and critical sectoral review and the creation of a digital map for aquaculture in Cameroon to illustrate current aquaculture locations and identify areas with potential for development per province. The results of these activities have also fed into the elaboration process of the plan. The concomitant holding of training workshops on farming techniques including farmers, extensionists and government officials has proved particularly useful, highlighting the desire for knowledge and enthusiasm for the activity. It is a premise of the plan that capacity building will be a cornerstone in the successful development of the sector and that, through it, many of the sector’s current bottlenecks will be addressed.
>
> The plan was formulated over the course of a two-year project of technical cooperation between the Government of Cameroon and FAO. Its objectives are coherent with the goals of the strategic framework and those of the country’s National Rural Development Strategy. The duration of the plan is five years. Its general objective is quantitative and targets a fish production increase. This target was determined on the basis of the activities carried out by farmers on pilot sites. The plan also includes five specific objectives related to: (i) the emergence of a critical mass of commercially oriented aquaculture farms in high-potential aquaculture zones; (ii) training and capacity building to stimulate entrepreneurship among fish producers; (iii) the strengthening of the institutional and economic environments; (iv) the promotion of public–private partnerships as part of improved governance of the sector; and (v) the study of new opportunities of development for aquaculture. Each objective is broken down into a number of actions that need to be implemented to achieve it. The plan includes monitoring and evaluation indicators of progress to the objectives halfway through and at the end of the implementation phase (at three and five years, respectively). A detailed investment programme relating to the costs and sources of funding (from private operators, the government and donors) for each envisaged activity is also provided as an integral part of the plan.
>
> Best regards
>
> Lionel
> --
> Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
> Tél : +33 4 99.57.32.05
>
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Bonjour,
Je vous rappelle que dans le cadre du projet Sarnissa, CABI donne accès au nouveau compendium aquaculture http://www.cabi.org/ac/ (login: sarnissa2; mot de passe caviar1). Pour apprendre à l'utiliser, vous pouvez désormais visionner une courte vidéo en français, accessible en cliquant sur le lien "Outils d'apprentissage" (colonne de gauche) ou en cliquant directement sur:
http://www.cabi.org/ac/default.aspx?site=162&page=3793
Merci à Gareth Richards et Chris Ison !
Bien amicalement
Lionel
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Grand merci a Monsieur Rotsaert et felecitations a la CDE pour le document qui est accessible au http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2… pour ce qui ne le savent pas.
Les contraintes de développement de l’aquaculture identifiées sont effectives et récurrentes, et les voies dégagées pour y faire face sont pertinentes.
Ce document constitue assurément une source et une ressource plus que précieuses pour les exercices d’élaboration de politiques, de stratégies et de réglementation pour le développement de l aquaculture en Afrique.
Il permettra d’éviter les abondances de superflus, d’insuffisances voire de létalités qui caractérisent bien de documents produits dans ces matières.
BOUDA
--- En date de : Sam 4.12.10, Erik Rotsaert <erikrotsaert(a)skynet.be> a écrit :
De: Erik Rotsaert <erikrotsaert(a)skynet.be>
Objet: [Sarnissa] document sur l'aquaculture
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Samedi 4 décembre 2010, 21h37
Bonjour Lionel,
Pour information un document a été produit conjointement entre le Centre pour le Développement de l'Entreprise (CDE) et le programme SFP (sanitaire).
C'est la finalisation d'un document commencé l'année passée avec une série d'experts aussi lecteurs de Sarnissa. Leurs noms sont dans les annexes du document.
Ce document a été présenté à la réunion des Ministres ACP de la pêche et de l'aquaculture, qui s'est tenue la semaine passée aux Seychelles.
Ce document avait l'intention d'orienter les Etats ACP intéressés pour favoriser le développement de l'aquaculture sur leur territoire. Il a reçu un bon accueil et il a été demandé de produire le même genre de document pour l'élevage des produits de mer.
Je vous l'envoie au cas où cela pourrait être utile.
Bien à vous,
--
Erik Rotsaert
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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Nom: 10.11.10 Aquaculture FR Version final.pdf
Type: application/pdf
Taille: 1187892 octets
Desc: non disponible
URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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Nom: 10.11. 10 Final report aquaculture EN.pdf
Type: application/pdf
Taille: 621466 octets
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
Bonjour,
Je voudrais vous faire part d'une bien triste nouvelle, le décès de Rudi Gabriel que beaucoup d'entre-vous connaissent, en particulier s'ils sont passés par Piscimeuse ou s'intéressent à la contribution du groupe Gabriel au développement de la pisciculture commerciale en Afrique (Tanzanie).
Vous trouverez ci-dessous un rapide historique du groupe, extrait du mémoire de Gilles Gabriel, un des enfants de Rudi (avec quelques modifications).
Les obsèques seront célébrées en l’église paroissiale de Ligneuville (Belgique) jeudi 9 décembre 2010 à 11 heures. La famille demande que les personnes qui souhaitent témoigner leur sympathie fassent un don à l’association : « Aide aux malades du cancer des cantons de l’Est. » Compte n° 001-2146146-97 avec la mention « à la mémoire de Rudi Gabriel ».
Bien amicalement
Lionel
C’est en 1929 que Herman Gabriel et son frère Hubert créent leur premier élevage de truites à Ligneuville (commune de Malmedy, Belgique). L’expansion de la petite entreprise familiale est rapide et celle-ci se place en moins de dix ans parmi les plus importants pisciculteurs belges. A cette époque, Herman Gabriel parcourt plusieurs dizaines de kilomètres par jour avec son vélo pour fournir ses truites aux restaurateurs de la région. Il transportait alors les poissons vivants dans une bassine sur son porte-bagages ! Malheureusement cet élan est brisé par la seconde guerre mondiale, mais l’activité reprend à son issue et dès 1946, la pisciculture de truites de Ligneuville accroît sa production et s’équipe au fur et à mesure de sa diversification. Après séparation du patrimoine des deux frères fondateurs en 1960, Herman Gabriel s’attache à développer les capacités de production ainsi que l’activité commerciale. Depuis cette époque, d’autres piscicultures ont été construites ou reprises, tant en France qu’en Belgique.
En 1963, Herman Gabriel se lance dans le transport de poissons vivants, activité qui connaît une croissance exponentielle et qui permet à l’entreprise familiale de se faire connaître sur le plan international. En quelques années, le parc de camions s’étoffe et l’activité de négoce international connaît une période de développement importante. Reconnu comme leader du transport des espèces vivantes de poisson vivant sur de longues distances, Gabriel met au point un nouveau type d’équipements permettant de tripler la capacité des camions viviers. Cet équipement est encore aujourd’hui une référence dans son domaine. En maîtrisant différents paramètres comme le CO2 dissout dans l’eau, l'ammoniac ainsi que la température (plus froide), pour réduire le métabolisme du poisson, il permet de transporter un kilo de poisson par litre d’eau, alors que sur les camions traditionnels, il faut encore quatre litres d’eau pour transporter un kilo de poisson. Grâce à ce système, un camion-remorque peut transporter jusqu’à 9,6 tonnes de poisson vivant.
En 1969, les deux fils d'Herman Gabriel, Robert et Rudi, reprennent le flambeau et poursuivent la politique de développement international avec notamment le rachat de la pisciculture de Rupt-aux-Nonains en Lorraine française. C’est également le début des activités de transformation avec des produits tels que le caviar de truite, les mousses de poisson ou encore les poissons fumés.
En 1983, Piscimeuse est crée à Tihange, en collaboration avec Electrabel et l’Université de Liège. Basée sur l’utilisation des eaux tièdes rejetées par la centrale nucléaire, cette pisciculture a pour activité principale la production d’espèces tropicales rares ou introuvables dans nos contrées, comme le tilapia du Nil, l’esturgeon, le poisson-chat du genre Clarias sp. ou certains poissons d’ornement.
Les années 1990 ont été l’occasion pour le Groupe Gabriel de diversifier ses activités, notamment dans le secteur des produits transformés avec la création de la S.C. Gabriel, et dans des pays étrangers, comme la Colombie, le Chili, la Guyane Française, la Martinique, la Tanzanie ou le Portugal. Dans ces pays, Gabriel a apporté son savoir-faire et sa technologie afin d’y développer l’aquaculture et la transformation.
A la fin des années 1990, le Groupe Gabriel est un des leaders européens de l’aquaculture, et son savoir-faire est reconnu dans le monde entier par les professionnels de l’aquaculture. Il emploie alors près de 200 personnes et réalise un chiffre d’affaires mondial de plus de 60 millions d’euros avec ses établissements principaux dans les Ardennes belges et en Lorraine française.
Mais au début des années 2000, une crise survient et la S.A. Gabriel de Ligneuville, qui était le berceau familial du groupe, est déclarée en faillite, entraînant avec elle Piscimeuse S.A. Le groupe se restructure autour de ses pôles de compétences historiques, la production et le négoce de truites, et connaissait un nouveau développement, malheureusement marqué par le décès de Robert le 1er août 2009 et par celui de Rudi le 3 décembre 2010.
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Centre de Recherche Halieutique - avenue Jean Monnet - BP 171 - 34203 Sète Cedex - France
Tél : +33 4 99.57.32.05
Re-Bonjour,
Pour plus de publications du CDE (Centre pour le Développement de l'Aquaculture) d'Erik Rotsaert, je vous encourage à visiter ce lien:
http://www.cde.int/search.aspx?keyword=aquaculture
Bien amicalement
Lionel
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