Bonjour à tous,
Je viens par ce mail demander à tout un chacun de faire un tour sur ce lien. C'est paru sur le site de la FAO sur la Société Royal FISH Benin SA
ftp://ext-ftp.fao.org/TC/Data/SPFS/Presentations_Burkina_2009/Day4/Aquacult…
Je profite pour signaler que nous avons debuter la production de Tilapia sur nos installations
Maurice DANDJINOU
Royal Fish BENIN SA
97 59 89 45/21 07 32 75
_________________________________________________________________
Sur Windows Live Ideas, découvrez en exclusivité de nouveaux services en ligne... si nouveaux qu'ils ne sont pas encore sortis officiellement sur le marché !
http://ideas.live.com
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Salut Alexandre,
Ton profil m'intéresse énormément car je suis Directeur Exécutif d'une
organisation non gouvernementale au Bénin qu'on appelle CREDI-ONG et qui
s'investit principalement dans la promotion de la pisciculture depuis 2005.
Après avoir organisé le premier forum des pisciculteurs du sud-Bénin, nous
accompagnons depuis janvier 2008 la mise en place d'un réseau national des
pisciculteurs du Bénin (RENAPIB). En ce moment, nous travaillons à
l'élaboration d'un répertoire électronique des sites piscicoles du Bénin à
l'aide des outils du SIG. Nous disposons d'une ferme aquacole à Zinvié pas
très loin de Cotonou (30km) qui sert d'outil d'expérimentation, de formation
et de production.
Nous avons déjà accueilli plein de stagiaires locaux (Lycé agricole,
universités) et étrangers (France, Allemagne, Pologne, Canada, suisse, etc.)
Cette année, nous avons accueilli pendant 06mois un étudiant de la licence
pro en aquaculture de Nancy et l'année dernière plusieurs étudiants du
CREUFOP avec qui cela s'était bien passé. Je pourrais te donner leurs
coordonnées pour que tu puisses échanger avec eux si tu veux.
Je souhaiterais te compter parmi notre équipe à partir de Janvier 2010.
Mon mail: martial.kouderin(a)credi-ong.org
Tu peux visiter aussi notre site Internet qui n'est pas très actualisé:
www.credi-ong.org
Tu peux aussi m'appeler sur mon portable: +229 95 96 34 33 / +229 98 29 72
67
Béninaquafriculturellement!!!
Martial
-----Message d'origine-----
De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
[mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de
Salomon Hinnoudé
Envoyé : lundi 28 septembre 2009 13:37
À : 'alexandre degaud'; sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Objet : Re: [Sarnissa-french-aquaculture]élève ingénieur cherche mémoire
Bonjour Alexandre Degaud
Je suis Salomon HINNOUDE, ingénieur des travaux en production et santé
animales. Je suis béninois et je sert dans un lycée agricole comme
professeur certifié de pêche et aquaculture, responsable de l'option pêche
et aquaculture dudit lycée. Vous avez la chance de trouver une structure
d'accueil pour votre mémoire de fin d'étude. Il s'agit entre autre de la Fac
des sciences agronomiques de l'université d'Abomey-Calavi (BENIN),de la
faculté d'agronomie de l'UNIPAR-BENIN.........D'ailleurs beaucoup
d'étudiants (français, belges, canadiens) en fin de cycle viennent au Bénin
pour leur stage de mémoire. Vous serai certainement le bienvenu au Bénin.
Mon email est hinnoude.salomon(a)yahoo.fr et mon phone number
est:(+229)95490863/96211147
Cordialement votre,
Salomon hinnoudé
-----Message d'origine-----
De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
[mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de
alexandre dega
Envoyé : lundi 21 septembre 2009 19:23
À : Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Objet : [Sarnissa-french-aquaculture] élève ingénieur cherche mémoire
Bonjour
Je suis en cinquième année à l'ISARA-Lyon (école d'ingénieurs agronomes
située à Lyon, Rhône-Alpes, France).
Je cherche une mission de 6 mois à partir de janvier 2010 pour accomplir un
mémoire de fin d'études.
Mes spécialités sont le développement des territoires ruraux et la gestion
de projets.
L'aquaculture en Afrique sub-saharienne est un domaine que je connais car
j'ai suivi un enseignement optionnel sur l'aquaculture, en plus de réaliser
une synthèse bibliographique sur l'état de l'aquaculture africaine et sur
les principales espèces concernées (Oerochromis niloticus, Clarias, Cyprinus
carpio, Hétérotis, Mulets, Crevettes et Algues Eucheuma). De plus, j'ai fait
un stage de 3 mois au Congo-Brazzaville portant entre autres sur la
pisciculture de tilapias (J'ai aussi eu la chance de visiter la station
piscicole de la Dzoumouna).
Cela m'intéresserai beaucoup de me mettre au service d'une structure (si
possible importante) s'occupant de promouvoir la pisciculture Africaine dans
une optique de développement.
Si mon profil correspond au besoin de l'un d'entre vous, je suis à votre
disposition pour plus de précisions.
Je m'excuse par avance auprès de ceux qui ne souhaitent pas recevoir de
mails de cette sorte.
Cordialement, bonne journée.
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL:
http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/20
090921/7b03395f/attachment.htm
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
Chers membres,
Merci pour toutes vos réponses enthousiastes à ma question sur des
possibles partenariats autour d'un projet UE.
J'ai eu la chance de pouvoir assister à la journée d'information
Afrique organisée par l'UE à Bruxelles, et il a été clairement indiqué
que l'aquaculture n'était dans la cible d'aucun appel. Pour l'eau et
le sol, il est fort probable que les grands projets qui seront
financés sont ceux qui visent la gestion des systèmes d'irrigation
(barrages, réservoirs, canaux) et l'impact de cette gestion de l'eau
sur les sols (fertilité, structure et érosion). Ou alors,
éventuellement, un projet où la sécheresse est un problème réel. Je
pense qu'il peut y avoir une opportunité pour l'un ou l'autre d'entre
nous, les gens de l'aquaculture pour intégrer des projets agricoles
plus vastes, autour des usages multiples de l'eau d'irrigation pour
produire du poisson. Nénamoins, je ne connais pas pour l'instant de
telle proposition, donc je vais continuer à chercher.
Une autre chose qui ressort clairement de la journée d'information est
que ces appels ont été demandés et développés par la Commission de
l'Union africaine / NEPAD, de sorte que vous devriez faire pression
sur votre ministre de l'agriculture ou de la pêche pour qu'à l'avenir,
une proposition sur l'aquaculture intègre le prochain cycle de
financement . Alors, nous aurons la possibilité d'élaborer des
propositions ... soit ensembles, soit comme concurrents ... afin de
garantir que l'aquaculture reste un élément clé dans l'avenir de
l'Afrique.
Inutile de répondre à ce message - il y en a déjà trop à lire sur
Sarnissa - Je vous écris juste pour vous remercier de votre intérêt et
vous fournir quelques informations sur les résultats de la journée
d'information telles que je les ai compris.
Cordialement
Anton
Début du message réexpédié :
> De : Anton Immink <a.j.immink(a)stir.ac.uk>
> Date : 29 septembre 2009 18:22:19 UTC+08:00
> À : sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> >
> Objet : Rép : [Sarnissa-african-aquaculture] EU project
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear members. Thank you all for your enthusiastic responses to my
> inquiry about partners for an EU project.
> I was lucky enough to attend the Africa Information Day at the EU in
> Brussels and it was quite clearly indicated that aquaculture was not
> a focus of any call. For water and soil it is most likely that large
> projects looking at the management of irrigation systems (dams,
> reservoirs, canals) and the impact of that water management on soils
> (fertility, structure and erosion) will be funded. Otherwise perhaps
> a project where drought is a real issue. I think there is scope for
> the multiple-use of irrigation water to produce fish, but that
> probably only leaves opportunity for one or two of us fishy people
> in any proposal from a larger, agriculture-focused consortium. At
> the moment I do not know of any larger agriculture (soil and water)
> proposals, so I will keep looking.
> One thing that was clear from the Information Day was that these
> calls were requested/developed by the African Union Commission/
> NEPAD, so what you could do is lobby your minister of agriculture or
> fisheries to push for an aquaculture proposal in the next round of
> funding. Then we will all have the opportunity to develop proposals
> in the future … either together or as competing bids ... to ensure
> aquaculture production is a key element in Africa's future.
>
> No need to respond to this message - there are too many to read
> already on Sarnissa - I am just writing to thank you for your
> interest and to provide a bit more information about the outcome of
> the information day as I understood it.
> Regards
> Anton
> _____________________________________________
> From: Anton Immink
> Sent: 03 September 2009 16:10
> To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
> Subject: EU project
>
> Dear members
>
> We are interested in an EU call relating to agriculture
> sustainability in Africa, particularly in relation to the management
> of water and soils. We are trying to identify suitable African
> countries with good examples of integrated watershed management
> approaches, perhaps including large and small-scale irrigation,
> intensive vegetable production, rice and urban/waste water use. At
> present we do not have a finalised project idea, or even a list of
> countries that would have suitable systems on a larger scale. If we
> can develop those ideas with anyone on the list then we may be able
> to develop a project together. Any project is likely to require
> larger organisations working on agriculture more broadly, so I think
> the 'aquaculture systems' component will be quite small, but critical.
>
> Regards
> Anton
>
> Anton Immink, Stirling Aquaculture. a.j.immink(a)stir.ac.uk
>
> --------------
> Call: FP7-AFRICA-2010: Sustainable water resources management and
> Soil fertility
> conservation for food production in Africa - SICA (Africa)
> Inappropriate management of irrigation water contributes to erosion
> of top soil, loss of organic matter, salinisation, decrease of soil
> fertility and pollution of ground and surface fresh waters. Research
> efforts are necessary to allow a more sustainable exploitation of
> water and soils by African farmers, and support the increasing
> demand for locally produced food. More sustainable food production
> strategies and techniques for irrigated farms need to be studied,
> developed and implemented, which can revitalise the natural
> regenerative capacities of agricultural soils, reduce fresh water
> pollution and ensure healthy and resilient environments.
> Methodologies, devices and indicators, adapted to specific African
> situations, will be developed for monitoring and assess risk factors
> for soil health and fertility, as well as for safe fresh water
> resources, in irrigated areas. Adapted innovative techniques to
> improve WRM and keep soil fertility at farm level need to be
> investigated and field-tested. The prevailing technical/scientific
> part of the project should be complemented by a true participatory
> approach by involving local stakeholders at different levels, such
> as farmers, local NGOs, relevant governmental organisations, as to
> make better and suitable use of existing potentialities and local
> knowledge, as well as to facilitate an easier implementation/
> adoption of the project's selected strategies. Studies on social
> processes and farmers’ rationales for implementing, adapting,
> innovating or rejecting the proposed strategies, should also be part
> of the project activities, as to ensure their acceptability by the
> end users (farmers and policymakers) and thus producing the expected
> impact.
> With the aim of increasing research capacities in the participating
> African countries, the project should include tailored training
> activities, such as the organisation of training programmes in loco
> and exchanges of researchers.
>
> Expected impact: Effective soil and water management strategies will
> allow African farmers to produce sufficient food crops and achieve
> sustainable use of irrigation water, conservation of soil fertility
> and reduction of fresh water reserves pollution. Wise use of water
> resources at farm level, coupled with adequate soil management
> practices, will help slowing down, and eventually stop, loss of soil
> fertility and counteract decline and pollution of natural resources.
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
Visitez ma page perso / Visit my homepage:
http://bit.ly/dabbadie
Bonjour à tous,
Ca fait déjà longtemps que je lis les messages de Sarnissa et je ne me suis toujours pas présenté.
Je m'appel Romain Chanoine, Je viens de finir une Licence professionnelle en Aquaculture continentale et aquariologie à l'université Henri Poincaré de Nancy (France) que j'ai effectué après un BTS en productions aquacoles au Lycée agricole de Poisy.
J'ai connu Sarnissa grâce à Patrick Kestemont qui nous a donné des cours d'aquaculture tropicale à Nancy.
Dans le cadre de ma Licence j'ai effectué un stage de 6 mois au Bénin à CREDI-ONG, j'ai pu travailler à la mise en place d'aquarium pour présenter des poissons de la faune locale dans le musée vert de la Vallée du Sitatunga, une réserve naturelle communautaire qui est en train d'être mise en place par CREDI-ONG dans le cadre de ses activités de protection de l'environnement.
Pendant ce stage j'ai aussi pu découvrir les réalités de l'aquaculture au Bénin sur la ferme de CREDI-ONG (ferme aquacole Pantodon) ou pour la mise en place du RENAPIB (Réseau National des Pisciculteurs du Bénin).
Actuellement j'espère partir en voyage en Australie pour apprendre l'Anglais et me faire quelques expériences professionnelles en aquaculture ou en aquariologie, mais je reste très intéressé par l'aquaculture Africaine.
A bientôt sur Sarnissa
Romain
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Mon cher Alexandre Degaud
L'Ecole Régionale Post Universitaire d'Aménagement et de Gestion Intégrés des Forêts et Territoires Tropixaux basée à Kinshasa.République Démocratique du Congo est également disposée à vous offrir tout ce qu'il faut pour la poursuite de ta formation. On reste ne contact
Salut
Prof MUTAMBUE SHANGO
Secrétaire Académique et de la Recherche
ERAIFT / Université de Kinshasa
B.P. 15.373, Kinshasa
République Démocratique du Congo
Tel : 00 243 815830347
--- En date de : Lun 28.9.09, Salomon Hinnoudé <hinnoude.salomon(a)yahoo.fr> a écrit :
De: Salomon Hinnoudé <hinnoude.salomon(a)yahoo.fr>
Objet: Re: [Sarnissa-french-aquaculture] élève ingénieur cherche mémoire
À: "'alexandre degaud'" <alexandre-degaud(a)wanadoo.fr>, sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Lundi 28 Septembre 2009, 14h36
Bonjour Alexandre Degaud
Je suis Salomon HINNOUDE, ingénieur des travaux en production et santé
animales. Je suis béninois et je sert dans un lycée agricole comme
professeur certifié de pêche et aquaculture, responsable de l'option pêche
et aquaculture dudit lycée. Vous avez la chance de trouver une structure
d'accueil pour votre mémoire de fin d'étude. Il s'agit entre autre de la Fac
des sciences agronomiques de l'université d'Abomey-Calavi (BENIN),de la
faculté d'agronomie de l'UNIPAR-BENIN.........D'ailleurs beaucoup
d'étudiants (français, belges, canadiens) en fin de cycle viennent au Bénin
pour leur stage de mémoire. Vous serai certainement le bienvenu au Bénin.
Mon email est hinnoude.salomon(a)yahoo.fr et mon phone number
est:(+229)95490863/96211147
Cordialement votre,
Salomon hinnoudé
-----Message d'origine-----
De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
[mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de
alexandre dega
Envoyé : lundi 21 septembre 2009 19:23
À : Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Objet : [Sarnissa-french-aquaculture] élève ingénieur cherche mémoire
Bonjour
Je suis en cinquième année à l'ISARA-Lyon (école d'ingénieurs agronomes
située à Lyon, Rhône-Alpes, France).
Je cherche une mission de 6 mois à partir de janvier 2010 pour accomplir un
mémoire de fin d'études.
Mes spécialités sont le développement des territoires ruraux et la gestion
de projets.
L'aquaculture en Afrique sub-saharienne est un domaine que je connais car
j'ai suivi un enseignement optionnel sur l'aquaculture, en plus de réaliser
une synthèse bibliographique sur l'état de l'aquaculture africaine et sur
les principales espèces concernées (Oerochromis niloticus, Clarias, Cyprinus
carpio, Hétérotis, Mulets, Crevettes et Algues Eucheuma). De plus, j'ai fait
un stage de 3 mois au Congo-Brazzaville portant entre autres sur la
pisciculture de tilapias (J'ai aussi eu la chance de visiter la station
piscicole de la Dzoumouna).
Cela m'intéresserai beaucoup de me mettre au service d'une structure (si
possible importante) s'occupant de promouvoir la pisciculture Africaine dans
une optique de développement.
Si mon profil correspond au besoin de l'un d'entre vous, je suis à votre
disposition pour plus de précisions.
Je m'excuse par avance auprès de ceux qui ne souhaitent pas recevoir de
mails de cette sorte.
Cordialement, bonne journée.
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL:
http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/20
090921/7b03395f/attachment.htm
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour
Je suis en cinquième année à l'ISARA-Lyon (école d'ingénieurs agronomes située à Lyon, Rhône-Alpes, France).
Je cherche une mission de 6 mois à partir de janvier 2010 pour accomplir un mémoire de fin d'études.
Mes spécialités sont le développement des territoires ruraux et la gestion de projets.
L'aquaculture en Afrique sub-saharienne est un domaine que je connais car j'ai suivi un enseignement optionnel sur l'aquaculture, en plus de réaliser une synthèse bibliographique sur l'état de l'aquaculture africaine et sur les principales espèces concernées (Oerochromis niloticus, Clarias, Cyprinus carpio, Hétérotis, Mulets, Crevettes et Algues Eucheuma). De plus, j'ai fait un stage de 3 mois au Congo-Brazzaville portant entre autres sur la pisciculture de tilapias (J'ai aussi eu la chance de visiter la station piscicole de la Dzoumouna).
Cela m'intéresserai beaucoup de me mettre au service d'une structure (si possible importante) s'occupant de promouvoir la pisciculture Africaine dans une optique de développement.
Si mon profil correspond au besoin de l'un d'entre vous, je suis à votre disposition pour plus de précisions.
Je m'excuse par avance auprès de ceux qui ne souhaitent pas recevoir de mails de cette sorte.
Cordialement, bonne journée.
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
COMMUNIQUÉ DE PRESSE [09 86/fr]
Contact:
Hilary Clarke
Relations presse, FAO
(+39) 06 570 52514
hilary.clarke(a)fao.org
2050 – Le défi alimentaire de l’Afrique
Les perspectives sont bonnes, les ressources abondantes, les
politiques doivent être améliorées
Rome, 28 septembre 2009 - Les résultats positifs obtenus récemment par
l'agriculture en Afrique subsaharienne indiquent une rupture avec le
passé et une amélioration des perspectives du secteur. Il faut
néanmoins une "action politique concertée et résolue" pour maintenir
l'impulsion, selon un nouveau document de synthèse de la FAO.
Après des décennies de déclin, le secteur agricole subsaharien,
constitué à 80 pour cent de petits exploitants, a progressé de plus de
3,5 pour cent en 2008, soit nettement plus que le taux de croissance
démographique de 2 pour cent.
Les gains ont bénéficié d'un environnement de politique plus favorable
pour l'agriculture dans de nombreux pays et par une hausse des cours
mondiaux des produits de base comme le blé et le riz. Les avancées
technologiques telles que la nouvelle variété de riz NERICA
(New Rice for Africa) résistante à la sécheresse ont également
contribué à accroître la production dans la région.
"Le grand potentiel de l'agriculture en Afrique subsaharienne est une
bonne nouvelle: l'agriculture est le pivot de la croissance globale
pour la majorité des pays dans la région et essentielle pour la
réduction de la pauvreté et la sécurité alimentaire", souligne le Sous-
Directeur général de la FAO, M. Hafez Ghanem.
Le document de synthèse a été préparé en vue du Forum d'experts de
haut niveau qui se tiendra à Rome les 12 et 13 octobre 2009 pour
examiner des stratégies sur "Comment nourrir le monde en 2050". Il
appelle à une action résolue dans des domaines comme l'innovation
technologique, le développement des marchés et des services et une
meilleure gestion des ressources naturelles pour nourrir une
population croissante et éliminer la faim dans la région,
La population d'Afrique subsaharienne devrait passer de 770 millions
d'habitants en 2005 à 1,5-2 milliards en 2050. En dépit de l'exode
rural rapide et de la croissance des populations urbaines, le nombre
absolu de ruraux continuera vraisemblablement à croître.
L'agriculture est le moteur du développement rural et de la réduction
de la pauvreté et de la faim en Afrique subsaharienne. Selon le
document, la croissance agricole en Afrique subsaharienne sera
probablement guidée par la demande interne et intra-africaine de
produits alimentaires de base compte tenu de l'urbanisation et de la
croissance démographique à moyen et long terme.
Le Forum de haut niveau rassemblera quelque 300 experts des milieux
universitaires, des organisations non gouvernementales et du secteur
privé des pays en développement et des pays développés. Le but est de
préparer le terrain pour le Sommet mondial sur la sécurité
alimentaire qui se tiendra à Rome du 16 au 18 novembre 2009.
Gestion des ressources naturelles
Un des principaux atouts de la région est son abondance de ressources
naturelles, et notamment de l'eau, dont la répartition est cependant
très inégale. A l'heure actuelle, 3 pour cent seulement des cultures
vivrières de la région sont irriguées, contre plus de 20 pour cent
dans le monde. L'irrigation permettrait de booster rendements et
production.
La terre est également une ressource sous-exploitée. Tout en
reconnaissant qu'une expansion des terres arables a des conséquences
sur l'environnement, la FAO a estimé que les superficies
potentiellement exploitables en Afrique subsaharienne s'élèvent à plus
de 700 millions d'hectares.
En particulier la région de la savane guinéenne - vaste étendue de 600
millions d'hectares, soit 2 fois les emblavures mondiales totales -
offre un énorme potentiel de production, alors que seuls 10 pour cent
de cette superficie sont actuellement cultivés. La mise en production
de nouvelles terres agricoles exigerait des investissements colossaux
en infrastructures et en technologies, sans compter les mesures de
protection visant à éviter les impacts négatifs sur l'environnement.
Autres enjeux
Les gouvernements, les bailleurs de fonds internationaux et le secteur
privé doivent affronter de nombreux autres enjeux pour améliorer
l'agriculture en Afrique subsaharienne et garantir que la croissance
agricole et rurale aille de pair avec la réduction de la pauvreté.
Citons les lents progrès d'intégration régionale, de gouvernance et
les lacunes institutionnelles dans certains pays, les conflits et les
maladies comme le VIH/sida, la mise en relation des petits exploitants
avec les marchés, la création d'opportunités d'emploi dans les zones
rurales et une formation adéquate pour les jeunes.
La région a un besoin particulier de programmes et de politiques
propres à renforcer la capacité des petits agriculteurs de trouver des
débouchés dynamiques sur les marchés nationaux, régionaux et
internationaux.
Le rapport préconise la réduction des coûts de transaction dus aux
petits volumes et aux pertes après récolte des paysans pauvres, en
facilitant la création de coopératives et autres formes d'associations
pour garantir une échelle efficace minimale, et le contrôle de la
qualité et de la sécurité sanitaire des aliments.
Des politiques sont également nécessaires pour protéger les
agriculteurs africains des inondations et des sécheresses, ainsi que
des flambées des prix alimentaires à l'échelle internationale. Le
transfert de connaissances et de technologies des pays nantis
aux pays pauvres et l'accroissement des investissements dans la
recherche agricole sont également primordiaux dans la lutte contre la
faim et la promotion du développement rural.
Enjeux pour l'agriculture en Afrique
. Quelque 218 millions de personnes en Afrique, soit environ 30 pour
cent de la population totale, souffriraient de faim chronique et de
malnutrition.
. 80 pour cent des exploitations agricoles d'Afrique sont de taille
inférieure à 2 hectares; le continent en compte 33 millions.
. Les rendements céréaliers dans la région ont peu progressé,
demeurant à environ 1,2 tonne l'hectare, contre une moyenne d'environ
3 tonnes l'hectare dans l'ensemble du monde en développement.
. La consommation d'engrais n'était que de 13 kg par ha en Afrique
subsaharienne en 2002, par rapport à 73 kg au Moyen-Orient et en
Afrique du Nord et 190 kg en Asie de l'Est et dans le Pacifique.
. Seulement 3 pour cent des terres d'Afrique subsaharienne sont
irriguées, contre plus de 20 pour cent dans le monde.
. 40 pour cent de la population de la région vit dans des pays sans
littoral, contre seulement 7,5 pour cent dans les autres pays en
développement, et les coûts de transport en Afrique subsaharienne
peuvent atteindre 77 pour cent de la valeur des exportations.
Les dépenses en recherche-développement agricoles sont très faibles,
et ont même reculé dans les années 1990. Si on aide les agriculteurs
d'Afrique à relever ces défis et à tirer profit des nouvelles
opportunités du marché à mesure que la crise économique mondiale
s'apaise, tous s'accordent à reconnaître que le continent détient un
énorme potentiel de croissance de son secteur agricole.
.........................................................................................................................................................................................
Outils pour les journalistes:
• Photos: (+39) 06 570 53082 ou photo-library(a)fao.org
• Matériel vidéo/b-roll: (+39) 06 570 55980 / 53963
• Matériel audio: (+39) 06 570 53223
• Communiqués de presse - Flux RSS
• Salle de presse en ligne: http://www.fao.org/news/newsroom-home/fr/
• Salle de presse sur Twitter
• Autre outils en lignes
.........................................................................................................................................................................................
Ce communiqué de presse a été publié par le Bureau Relations avec les
médias FAO (FAO, www.fao.org). Pour vous désabonner de ce service des
nouvelles, veuillez envoyer un courriel au mailserv(a)mailserv.fao.org
avec uniquement le message suivant "unsubscribe Media-G-French-L".
FAO | Viale delle Terme di Caracalla, 00153 Rome, Italie | (+39) 06
570 53625 | www.fao.org
.........................................................................................................................................................................................
--
Visitez ma page perso / Visit my homepage:
http://bit.ly/dabbadie
Bonjour à tous,
Voici la traduction de mon résumé des liens du site web Sarnissa
ajoutés en septembre:
http://www.sarnissa.org/tiki-index.php?page=Latest+Media+African+Aquaculture
La traduction est automatique mais compréhensible. N'hésitez pas à
vous rendre sur le site web sarnissa si vous êtes intéressés par
certaines informations car beaucoup de liens, notamment ceux qui
concernent les pays francophones, sont en français.
Bien amicalement à tous
Lionel
Afrique
• Une Afrique-États-Unis atelier portant sur l'aquaculture
Le Corporate Council on Africa (CCA) a annoncé que l'Agence américaine
pour le développement international (USAID) est promoteur de la
septième Biennale de US-Africa Business Summit Exploiter le pouvoir
d'investissement de l'Afrique, qui se tiendra au Walter E. Washington
Convention Centre en Washington, 29 Septembre - Octobre 1, cette
année. La piste serait composé de plusieurs ateliers clés agricoles,
tels que l'industrie de l'aquaculture en Afrique, placée pour attirer
l'investissement [18].
Angola
• Une visite du ministre au programme de gouvernement de l'aquaculture
Le ministre angolais des Pêches, Salomão Xirimbimbi, s'est rendu à
Huambo province Sacaala station expérimentale, où il a appris sur le
fonctionnement de quelques projets de pisciculture d'eau douce, au
titre du programme d'aquaculture gouvernement. Sept centres de
développement seront créés dans le pays pour fournir un appui
technique aux coopératives et aux entreprises impliquées dans la
production de poisson. L'aquaculture Sacaala projet de la station
expérimentale possède 22 étangs de reproduction et de cinq réservoirs
de croissance [2].
Bénin
• La pollution de développement de l'aquaculture contraignant au Bénin
Discutera de l'aquaculture au Bénin avec une ONG locale, Mike
Markovina rapports que la pollution semble être un facteur limitant
majeur pour attirer développement de l'aquaculture [6]. Déversements
de pétrole ordinaire et contamination de l'eau se produit, outre les
zones côtières de l'environnement sont pollués par des sacs de
plastique et des déchets du port et des industries locales.
• Centre Songhai
Centre Songhaï est donné une autre description de mentionner son
pisciculture du tilapia, par le restaurant situé au centre de Porto-
Novo [10].
• Faible performance du secteur de la production de poissons Bénin
La production de poisson au Bénin est de 11 kg par habitant contre 20
kg dans les pays comme le Sénégal, selon l'enquête de l'an dernier des
résultats de l'agriculture. Le pays dépend de plus en plus sur des
ressources extérieures pour le satisfaire la consommation intérieure
des produits halieutiques. En dehors de poisson congelé en provenance
d'Europe (environ 45.000 tonnes), le Ghana est l'un des plus
importants fournisseurs des ressources halieutiques au Bénin en
particulier de sardines fumées. Les autorités estiment que la raison
de cette tendance est la surpêche, comme la pêche continentale fournit
presque tout le poisson consommé au Bénin, plus de 80% de la
production nationale. Parmi les mauvaises pratiques est l'utilisation
d'engins interdits de pêche sur les plans d'eau, des barrages au moyen
de filets, le akadja, et Gbodoègo qui sont souvent installés dans les
couloirs de migration des poissons et induisent l'envasement [12].
Burkina Faso
• La visite du Premier ministre à la ferme aquacole
Dans le but de suivre la campagne 2009-2010 qui a débuté le 18 août
dans la région du Centre-Sud, le Premier ministre Tertius Zongo était
en Koubri le 20 août (province du Bazèga). Il a visité la ferme UPAK
propriété de François Compaoré, visant à produire des cailles, le lait
ainsi que les poissons pour la consommation et hangling [8].
Cap-Vert
• Coopération dans l'aquaculture entre la Chine et le Cap-Vert
A l'Institut national de la pêche pour le développement à Sao Vicente,
une équipe de trois spécialistes chinois travaille à l'élaboration
d'un plan stratégique pour la mise en œuvre de l'aquaculture et la
pisciculture au Cap-Vert [34].
Égypte
• Delta du fleuve du Nil en voie de disparition
Delta du fleuve du Nil est l'une des régions les plus menacées du
monde par le changement climatique. Comme d'autres deltas, sa
dynamique montre un phénomène de subsidence, de sorte qu'il ne sera
pas en mesure de compenser la hausse du niveau d'eau de mer qui
accompagnera le réchauffement planétaire. Toutefois, la menace est
principalement le résultat des activités humaines qui réduisent les
barrages (envasement) et de gérer l'eau de manière non durable [27].
Ghana
• Ghana et Israël signent un accord de l'aquaculture
M. Avigdor Liberman, vice premier ministre israélien et ministre des
Affaires étrangères et Alhaji Muhammad Mumuni, ministre des Affaires
étrangères du Ghana ont signé un accord de coopération dans le domaine
de l'aquaculture [30].
Guinée (pays du golfe de Guinée)
• Le changement climatique menace l'aquaculture lagunaire
Dans le golfe de Guinée, l'élévation du niveau de la mer résultant du
changement climatique mai violation et détruire les plages à faible
barrière qui limite les lagunes côtières, tandis que les variations de
précipitations pourraient avoir une incidence sur les rejets des
rivières qui alimentent eux, influent sur la pêche lagunaire et
l'aquaculture [16] et [17] .
Côte-d'Ivoire
• Projet de renforcement de la paix de l'aquaculture
Une mission conjointe des Nations Unies, notamment le Département des
opérations de maintien de la paix (DOMP), le Département des affaires
politiques, le Fonds de consolidation de la paix (PBSO) et le
Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) s'est rendu à
Bouaké, Séguéla, Issia et Daloa Septembre à partir de 1 à 3. Ils sont
allés au Fish Culture Project Balea 2 dans Daloa [13].
Kenya
• Plan stratégique du gouvernement pour stimuler la recherche et
développement en aquaculture
Le gouvernement travaille sur un plan stratégique qui permettra de
réglementer et de stimuler la recherche et le développement de
l'aquaculture dans le pays. Le coordonnateur du programme de recherche
de l'aquaculture, Division de la marine et côtière de la Marine le
Kenya et le Fisheries Research Institute (KMFRI) Dr Betty Nyonje dit
une politique a été dans sa phase finale et devrait être prête d'ici
la fin de l'année. "La culture d'algues a été identifié comme une
bonne perspective de développement social et économique des zones
côtières pour les communautés de pêcheurs pauvres dont les moyens de
subsistance ont été affectés par la diminution de la pêche. Une fois
pleinement développé, le Dr Nyonje dit, 300 agriculteurs dans les
zones pilotes peuvent gagner entre 30 millions KES (2.730.000 euros)
et 40 millions de KES (3.640.000 euros) par an provenant de la vente
d'algues séchées dont les extraits sont utilisés comme épaississants
et homogénéisateurs dans les produits pharmaceutiques, industries
alimentaires et des cosmétiques [3].
• Côte d'agriculteurs de bénéficier de projets d'algues
Kenya Marine and Fisheries Research Institute (KMFRI) développe la
culture des algues commerciales à augmenter les revenus des résidents.
300 agriculteurs pourraient être placés sous les algues initial projet
de culture. La ferme premier modèle a été développé à Kibuyuni, un
village balnéaire, avec 1.500 personnes. Une ferme modèle a 15000
plants et chaque culture produit une tonne d'algues sèches, tous les
six semaines. Une tonne métrique de produire à des coûts actuels du
marché des taux 12000 KES (110 EUR) [33].
• Le ministre des Pêches Paul poissons Otuoma soutenir l'agriculture
Le Kenya a environ 1,4 milliards d'hectares de zones potentielle de
poissons d'élevage, des pêches ministre Paul Otuoma dit. Il a ajouté
que le pays a la capacité de réaliser 11 millions de tonnes métriques
de poisson chaque année. Cela se traduit à 750 milliards de KES (6,8
milliards d'euros) par an en plus de créer des possibilités d'emploi à
des milliers de citoyens. Il serait également créer des emplois pour
d'autres acteurs comme les fabricants d'aliments pour poisson, les
transformateurs de poisson et des commerçants. Otuoma parlait à la
ferme aquacole Sagana dans Kirinyaga. Il a dit que le pays produit
4220 tonnes métriques de poisson, tandis que seulement 772 hectares
sont actuellement à l'aquaculture depuis 1920. Le ministre a déclaré
que le gouvernement a mis de côté 1,12 milliards de KES (10 millions
d'euros) vers le programme et a contesté les agents des pêches pour le
soutenir [31].
• Kenya-coopération de l'Indonésie dans l'aquaculture
Indonésie et au Kenya a accepté de la configuration du réseau de
coopération dans le domaine de la pisciculture. La coopération portera
sur l'introduction d'espèces de poissons Super YY de l'Indonésie. Il y
aura des efforts pour faire 200 étangs piscicoles dans 140
circonscriptions de la technologie agricoles nouvelles pour soutenir
le développement de l'économie rurale [24] [25].
Malawi
• Bunda College étudiants volontaires pour SARNISSA projet
Plus de 40 diplômés de Bunda College, un collège constituant de
l'Université du Malawi travaillent comme bénévoles auprès de divers
ministères, des organisations non gouvernementales et entreprises
privées à travers le pays. Les étudiants Bunda Volunteer Scheme a été
officiellement lancé en Mai 2009 et l'objectif global de cette action
est de parvenir à une amélioration durable des moyens d'existence des
communautés pauvres grâce à la participation de volontaires
universitaires des cycles supérieurs. Depuis lors, les bénévoles ont
été recrutés par différents projets et ONG, dont le projet SARNISSA
visant à établir et soutenir des réseaux de recherche sur
l'aquaculture durable en Afrique sub-saharienne [7].
Mayotte
• S'inquiète des répercussions de l'aquaculture sur le lagon de
Mayotte et des récifs coralliens
La possibilité que l'aquaculture intensive détruit la lagune est une
préoccupation majeure du maire de Bandrélé Moussa Madi, mais le risque
a été rejetée par Dominique Marot (Aquamay) qui parle de
«l'aquaculture raisonnable» et note que "pendant la période des
alizés, 90% de poissons mis sur le marché proviennent de l'aquaculture
»[11].
• Valeur des services de corail
Un hectare de récif de corail est générer entre 80.000 et 1 million de
dollars par année, selon une vaste étude menée pour les Nations Unies
pour le développement par l'économiste indien Pavan Sukhdev. Cette
valeur inclut les services «de nombreux» que les récifs coralliens, y
compris la protection du littoral contre les fortes vagues, ou des
tsunamis, de l'approvisionnement pour toutes les espèces de vie
marine, l'aquaculture, les ressources renouvelables en termes
d'espèces d'aquarium et bien sûr le tourisme et la pêche. À Mayotte,
l'Ifremer apportera des experts et des consultants qui permettra de
clarifier tout cela et trouver des moyens pour Mayotte à exploiter
l'énorme potentiel de manière durable [19].
Mali
• L'aquaculture afin de remplacer l'or
Selon [9], la pisciculture est une des options considérées comme
moyens de subsistance alternatifs après la fermeture de la mine d'or
de Morila (province de Sikasso) en 2013.
• Un examen récent des projets d'aquaculture au Mali
Une étude récente de l'aquaculture au Mali, avec les cas décrits, sont
fournies par [15]. Les premières expériences au Mali a commencé en
1979 avec un financement de l'Agence américaine pour le développement
international (USAID). Un couvoir a été construite à San, dans les
zones irriguées de la Compagnie Malienne pour le Développement des
Textiles (CMDT). En 1986, une aide d'urgence de l'Organisation de
l'unité africaine (OUA) a été utilisée pour promouvoir la pisciculture
rurale dans la zone de l'Office du Niger (ON). En 1987, l'Association
Française des Volontaires du Progrès (AFVP) a lancé un projet
d'extension de la pisciculture à Niono. Toutefois, le plus grand
projet de développement demeure l'un a été financé entre 1987 et 1992
par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et
exécuté par le Fonds des Nations Unies pour l'agriculture (FAO). L'un
des éleveurs de poissons d'abord autour de Bamako est Bakary Londy, de
Baguinéda, une trentaine de km de Bamako. M. Londy est également
président de l'Association malienne des pêcheurs et des aquaculteurs
(APPM). APPM a soutenu la création en 2007 de l'Association Malienne
des poissons et des aquaculteurs (APAM), présidé par Richard Toe. Les
éleveurs de poissons autour de Bamako se trouvent principalement dans
les cercles de Koulikoro, Kati, Kangaba et Dioïla. La ferme de M.
Toe's est situé à 30 km au sud-ouest de Bamako. Cet ancien employé du
gouvernement a trois de 20 mx 20 m et une de 20 mx 10 m des étangs. Il
soulève essentiellement du tilapia. Depuis 2008, l'Association of Fish
Bamako Women Farmers exploite une ferme à Satinèbougou Banankoroni, à
environ 15 km à l'est de Bamako, sur la route de Bougouni. La
rizipisciculture est également testé en collaboration avec le Bureau
de l'irrigation dans Baguinéda (OPIB) et l'USAID visant à renforcer le
mécanisme existant. En 2008, le Mali a produit 132.000 tonnes de
poisson [15].
• La coopération luxembourgeoise soutient l'aquaculture au Mali
La coopération luxembourgeoise Lux-dev a contribué au développement de
Saint's Plain (à proximité du Burkina Faso) pour le riz et la
production de poisson par la rationalisation du système d'irrigation
[23].
Namibie
• Les politiques élaborées avant le développement de l'aquaculture
Mike Markovina bavarder avec un chercheur senior de l'aquaculture en
Namibie, fait état d'un conflit triangulaire d'intérêts qui sont
devenues apparentes. D'abord, suivez les pays africains à développer
l'aquaculture pour fournir des protéines essentielles pour la
consommation locale, ou d'autre part, l'aquaculture devrait se
concentrer sur le développement de systèmes complexes à grande échelle
pour la production d'espèces de haute valeur destinés aux marchés
internationaux et, enfin, à quel coût environnemental, étant donné la
terni la réputation de l'aquaculture au niveau mondial [6]? Face à ce
dilemme, Markovina considère fondamental que les gouvernements à
élaborer des politiques saines, fondées sur la science et de la
recherche avant de développer l'industrie. Il est intéressant de
l'Afrique du Sud possède une industrie aquacole en plein essor, mais
pas de politique, mais la Namibie a une industrie en développement,
mais a mis en place les cadres législatifs et politiques, qui guident
le versement et la gestion des installations d'aquaculture [6].
• Conférence de l'Association aquacole de l'Afrique australe (AASA)
Pour la première fois de son histoire, la conférence AASA a eu lieu en
dehors de l'Afrique du Sud, en Namibie, où le ministre des Pêches et
des ressources marines Dr Abraham Iyambo a reçu un prix prestigieux au
mieux achiever dans la région de la SADC. Le ministère des Pêches et
des Ressources Marines a également donné une reconnaissance à Jurgen
Klein comme le meilleur et le plus dur personne qui travaille dans
l'industrie de l'aquaculture dans le pays. Klein est un self-made
scientifique et réussi à ouvrir un couvoir au point milliaire 4 pour
l'huître Ostrea edulis. Il cultive aussi l'huître creuse Crassostrea
gigas [29].
Nigéria
• L'aquaculture et de la religion
Prières Farm est un projet religieux, visant à développer des Prières
Farm Nigeria en Akwa Ibom. Il constituera un centre de formation
gratuit à doter les collectivités locales de réunir haute teneur en
protéines, tout-naturel du poisson et des légumes tout en profitant du
temps extra-scolaires pour les activités religieuses. En 2006, Todd et
Dominic complété une formation approfondie dans l'aquaculture et a
ensuite élaboré une démonstration de 40 hectares de poissons tilapia
agricoles et des installations de jardinage hydroponique en Floride du
Sud. Maintenant, ils sont en bonne voie pour donner cette Skillset
même dans les zones rurales où Dominic est né dans le sud du Nigeria.
Projet bénéficiera de la 30 + centre de formation acre et des travaux
de conception détaillée d'un dortoir pour 20 élèves, une classe simple
et le pavillon à manger pour 30 élèves, une installation de production
pour l'élevage du tilapia et le jardinage hydroponique, une roue à eau
pompe pour faire circuler l'eau de la rivière pour les étangs, système
bio-gaz, et autres infrastructures connexes. Dans le plan directeur,
l'espace devra aussi être prévu pour un village de démonstration
avenir de huit maisons où certains diplômés vont gérer les étangs à
poissons, les jardins et les animaux [4].
• L'aquaculture et des programmes d'autonomisation des jeunes
État de Kwara-gouverneur, M. Abubakar Bukola Saraki jeté les bases
d'un NGN 54 millions (240.000 euros) Domaine de la pisciculture dans
le cadre d'un programme d'autonomisation des jeunes. L'exploitation
agricole comprend quatre écloseries, 100 chars unités au sol, une
usine capable de produire des aliments pour animaux de cinq tonnes
d'aliments pour poissons par jour, administratives complexes, l'unité
de transformation du poisson et 100 Hall capacité [14].
Ile de la Réunion
• Médias: «Mangez du poisson d'élevage local"
Plutôt que de manger les prédateurs supérieurs, [5] encourage les
consommateurs locaux de manger du poisson d'élevage localement: corb
Saint-Paul, L'Etang-tilapia Salé's, Hell-Bourg la truite
Sénégal
• Une fédération de l'aquaculture seront créés dans l'Union nouvelle
agriculture
Un syndicat seront créés dans le secteur de l'agriculture, avec
plusieurs fédérations dont un pour l'aquaculture. Cette union
permettra au ministère du gouvernement de l'Agriculture pour
bénéficier d'une base de données sur toutes les activités rurales. En
date d'aujourd'hui, ce secteur participer plus de 3 millions de
personnes sur lesquelles très peu d'informations sont disponibles [21].
• Atelier de validation du Plan national d'investissement pour les
PME de l'aquaculture
Un atelier de validation du Plan national d'investissement pour les
petites et moyennes entreprises de l'aquaculture (PME) sera ouverte le
Septembre 24, à Dakar. Elle sera présidée par le ministre de
l'Agriculture et de l'aquaculture, Fatou Gaye Sarr. Financé par la
FAO, le plan national pour l'aquaculture aquaculture PME est exécuté
par l'Agence nationale de l'aquaculture (ANA) [35].
• La FAO a injecté 182 millions pour soutenir l'aquaculture au Sénégal
Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture a injecté environ
182 millions de FCFA (400.000 USD, 270.000 EUR) dans le développement
de l'aquaculture au Sénégal, selon son représentant résident, M.
Amadou Ouattara. Ce financement a permis la réhabilitation de Richard-
Toll écloserie (Saint Louis) et a permis d'aider l'Université Cheikh
Anta Diop de Dakar (UCAD) sur la production d'environ 80 000 alevins.
L'année suivante, ce nombre devrait passer à 400.000 alevins avec un
objectif final de 3 millions d'alevins par an à partir de 2010. La FAO
a également permis de produire un guide technique pour les éleveurs de
poissons, ainsi que d'impôt et le code des douanes sur l'aquaculture
ou le plan d'investissement national pour l'aquaculture [37].
Afrique du Sud
• Menace de couler la ferme ormeaux
Une querelle de famille est la menace de plonger de plusieurs millions
de rands East London ferme ormeau, quelques semaines seulement de
gauche à parcourir avant que l'eau de mer au projet de mai sera
retranché, tuant tous les stock précieux. Au centre de la controverse
sur des allégations que les deux frères avaient triché leurs frères et
soeurs et sa partenaire. Le différend a pris une autre tournure
dramatique lorsque l'avis a été signifié que l'approvisionnement en
eau de mer pour le projet dans l'Est de Londres Industrial Development
Zone (Elidz) serait aboli dans 30 jours, à la suite de la vendetta. Si
l'eau est coupée, à environ sept tonnes de stock à l'ormeau Seatek
serait détruit. Aussi à risque si l'eau est coupée, est le ZAR 22
millions (2 millions d'euros) marin Kob-projet d'aquaculture sont
gérés par marin Espadon [32].
Swaziland
• Swaziland manquer de terres pour l'agriculture
La croissance démographique, l'adhésion à la terre des douanes de
distribution, et un petit pays se conjuguent pour faire Swaziland un
lieu bondé, rapidement manqué d'espace pour réaliser la sécurité
alimentaire. La population a doublé pour atteindre plus d'un million
depuis l'indépendance de la Grande-Bretagne en 1968, mais selon la
coutume chaque fils Swazi est donné une portion de terre sur la ferme
familiale, située sur la commune Swazi Nation Land gérées par des
chefs traditionnels, de construire une maison, cultivent le maïs et
faire paître le bétail. Les effets de la subdivision implacable
commencent à se faire sentir dans un pays où environ 80 pour cent de
la population réside en milieu rural. La rareté croissante des terres
est en mouvement dans le but de réaliser la sécurité alimentaire en
plus hors de portée, et une sécheresse en 2007 ont effectué près de la
moitié de la population tributaire de donneurs d'alimentation.
Solution semble être maintenant avec la mise en commun des champs,
afin de bénéficier d'économies d'échelle et de rendre l'agriculture
plus efficace [26].
Togo
• Pond projet de construction à la Mission Tove
Le projet de réhabilitation de terres agricoles à Mission Tove-zone
(partam), permettront de réhabiliter 360 ha de terres irriguées et
d'étendre l'irrigation sur une autre 300 hectares dans la vallée du
Zio. Il comprendra également la construction d'un barrage et 80 étangs
de pisciculture. Le coût total du projet entre 2009-2015 est estimé à
900 milliards de F CFA (1,8 millions de dollars, 1,2 million d'euros)
[1].
Tunisie
• Écloserie du mulet et l'anguille
Un couvoir du mulet et l'anguille est en construction à Tabarka, avec
une capacité de production annuelle d'environ 400 000 alevins. Cette
unité fait partie d'un projet tuniso-italien pour l'exploration et le
développement de la pêche dans le Nord-Ouest (Jendouba, Béja, Le Kef
et Siliana). Le coût du projet est de 2,6 millions de dinars, et elle
est soutenue par la Coopération italienne des ONG pour le
développement des pays émergents "COSPE" [20].
• Coastal cages flottantes
A Mahdia, le projet consiste en la mise en place de la technique dite
de la "technique des cages flottantes dans la station balnéaire du
littoral ainsi que plan de réhabilitation de fabriques de glace de la
ville [22].
Ugan da
• Oakville organisation non lucratif contribue à construire des
fermes de poisson en Ouganda
The Oakville organisation non profit H20 4ALL va enseigner deux
démunis des villages ougandais comment construire et exploiter des
fermes piscicoles. Le projet, qui a débuté le 22 Juin, verra 170.000
litres étangs du tilapia établi dans les villages de Suubi et Kiballe.
Systèmes spéciaux sont mis en place pour contrôler la circulation des
étangs "et la température. Les étangs seront également équipés de
chutes d'eau pour oxygéner l'eau. Lorsqu'il sera achevé en Octobre,
les fermes de poissons dans Suubi et Kiballe sont attendus pour
nourrir plus de 2000 personnes [29].
• La recherche révèle qu'il ya encore très peu sur la sensibilisation
de la pisciculture
Cependant, par rapport aux entreprises des autres investissements,
l'élevage de poissons est beaucoup moins cher. Pour Amina qui
s'aventuraient dans la pisciculture, il ya trois mois, la pisciculture
ne demande pas seulement de peu de capitaux mais moins de temps aussi
bien par rapport aux avantages acquis à elle. «J'ai passé 1,3 millions
UGX (457 EUR) pour démarrer l'élevage du poisson dans ma maison qui
est moins cher contrairement à d'autres entreprises et je peux aller
au travail aussi bien, dit-elle. Les alevins sont pas coûteux non
plus. Amina dit qu'ils sont abordables à un Jinja à base de tilapia
production organisation où elle a acheté la sienne. «Chaque dépens 77
UGX (0,03 euros) et j'ai acheté 2.500 d'entre eux pour un étang à
poissons», dit-elle. Un tel investissement serait à l'avenir apporter
un meilleur rendement que le coût du poisson sur le marché s'étend
aujourd'hui à partir de 2000 UGX (0,70 EUR) à 20.000 UGX (7 EUR) en
fonction de la taille [36].
Zimbabwe
• Les investisseurs étrangers Fish Eye secteur agricole local
Aquaculture Zimbabwe coordonnatrice du projet, M. Garikaimose Tongoona
dit que l'environnement d'exploitation améliorées, y compris
l'adoption de la multi-devises a prévu des incitations pour attirer
les investissements étrangers dans la pisciculture. M. Tongoona a
également souligné qu'il est prévu d'établir une aquaculture et des
pêches du Centre d'information, qui aidera les agriculteurs locaux des
informations spécialisées sur l'industrie de la pisciculture [28].
REFERENCES
[1] http://www.togogateway.org/Togo-Des-terres-de-riziculture
(consulted on August 29, 2009)
[2] http://www.portalangop.co.ao/motix/en_us/noticias/economia/2009/7/35/Huambo…
(consulted on August 30, 2009)
[3] http://allafrica.com/stories/200908241241.html (consulted on
August 30, 2009)
[4] http://www.facebook.com/event.php?eid=115187514603&ref=mf
(consulted on August 30, 2009)
[5] http://www.zinfos974.com/Le-thon-c-est-bon_a9873.html (consulted
on August 31, 2009)
[6] http://www.marine-expedition.co.za/?p=383#utm_source=rss&utm_medium=rss&utm…
(consulted on September 2, 2009)
[7] http://www.nyasatimes.com/national/bunda-students-volunteer-scheme-picks-up…
(consulted on September 2, 2009)
[8] http://www.reliefweb.int/rw/rwb.nsf/db900SID/KHII-7VJ86N?OpenDocument
(consulted on September 3, 2009)
[9] http://www.reussirbusiness.com/spip.php?article5230 (consulted on
September 4, 2009)
[10] http://www.iconico.net/africa/archives/1272 (consulted on
September 4, 2009)
[11] http://www.malango-actualite.com/article/un_succes_en_demi_teinte_pour_le_p…
(consulted on September 4, 2009)
[12] http://www.ebeninois.com/Le-Benin-accroit-sa-dependance-en-poisson_a812.html
(consulted on September 10, 2009)
[13] http://www.reliefweb.int/rw/rwb.nsf/db900SID/VDUX-7VKRW3?OpenDocument
(consulted on September 10, 2009)
[14] http://allafrica.com/stories/200909100302.html (consulted on
September 10, 2009)
[15] http://www.essor.gov.ml/jour/cgi-bin/view_article.pl?id=23433
(consulted on September 17, 2009)
[16] http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportId=86097
(consulted on September 17, 2009)
[17] http://www.un.org/esa/policy/wess/wess2009files/wess09/
wess2009.pdf (consulted on September 17, 2009)
[18] http://allafrica.com/stories/200909110281.html (consulted on
September 17, 2009)
[19] http://www.mayottehebdo.com/content/view/1531/1/ (consulted on
September 17, 2009)
[20] http://www.tunizien.com/127855-tunisie--une-frayere-pour-la-reproduction-du…
(consulted on September 18, 2009)
[21] http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=59860
(consulted on September 18, 2009)
[22] http://www.tunisiaonlinenews.com/2009/09/tunisia-new-project-to-boost-aquac…
(consulted on September 19, 2009)
[23] http://climate21.wordpress.com/2009/09/19/le-mali-apprivoise-leau-pour-stop…
(consulted on September 20, 2009)
[24] http://news-fact.blogspot.com/2009/08/indonesia-kenya-agree-to-cooperate-in…
(consulted on September 20, 2009)
[25] http://www.nation.co.ke/News/-/1056/646246/-/um8dsh/-/ (consulted
on September 20, 2009)
[26] http://africanagriculture.blogspot.com/2009/09/swaziland-running-out-of-lan…
(consulted on September 22, 2009)
[27] http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/terre/20090921.OBS2020/_…
(consulted on September 22, 2009)
[28] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13993 (consulted
on September 23, 2009)
[29] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13949 (consulted
on September 23, 2009)
[30] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13931 (consulted
on September 23, 2009)
[31] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13924 (consulted
on September 23, 2009)
[32] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13901 (consulted
on September 23, 2009)
[33] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13860 (consulted
on September 23, 2009)
[34] http://www.afriquejet.com/actualites/economie/economie:-renforcement-de-la-…
(consulted on September 23, 2009)
[35] http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=60024
(consulted on September 23, 2009)
[36] http://www.monitor.co.ug/artman/publish/smartmoney/Fishing_money_from_the_p…
(consulted on September 24, 2009)
[37] http://www.aps.sn/aps.php?page=articles&id_article=60057
(consulted on September 25, 2009)
--
Visitez ma page perso / Visit my homepage:
http://bit.ly/dabbadie
SALUTATIONS,
L coordination régionale des usagers des ressources naturelles du bassin du niger(CRU-BN) est une organisation professionnelle qui regroupe neuf(9) pays autour du bassin du fleuve niger. Donc, dans chacun des neuf(9), on aune coordination nationale des usagers.
j'ai reçu votre adresse avec M. HERY COULOUBALY, DIRECTEUR NATIONAL DE LA PÊCHE AU MALI.
Veuillez trouver la note de présentation de la CRU-BN et à diffuser sur votre site web.
Elle a son siège à Bamko.
NOURADINE ZAKARIA TOURE
PRESIDENT CRU-BN
TEL:(+223) 76 49 07 02 / 66 79 36 75
Email: nouradhine(a)yahoo.fr
crubnsc(a)yahoo.fr
BAMAKO MALI
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe non texte a été nettoyée...
Nom: Coordination Régionale des usagers. Photo bassin docx.doc
Type: application/msword
Taille: 354304 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous,
Je vous rappelle que la Faculté de Bunda-Université du Malawi,
l'Institut de Recherche Agricole pour le Développement du Cameroun, la
Fondation ETC des Pays-Bas et le programme SARNISSA organisent un e-
workshop sur "La mise en réseau et le dialogue entre scientifiques,
acteurs-clés et décideurs politiques dans le domaine de l'aquaculture
africaine sub-saharienne" du 28 septembre au 16 octobre 2009.
Le e-workshop vise spécifiquement à:
(1) Partager et discuter des expériences de chacun en matière de
stratégie de mise en réseau et de dialogue constructif entre
scientifiques, acteurs-clés et décideurs politiques en aquaculture,
(2) A stimuler des initiatives personnelles et institutionnelles en
matière de mise en réseau et de dialogue constructif entre
scientifiques, acteurs-clés et décideurs politiques en aquaculture.
Et ceci, dans le but plus global de:
- Pour les décideurs politiques et le secteur gouvernemental: mettre
en oeuvre au niveau national de manière effective les stratégies de
développement de l'aquaculture, rédiger des plans d'action et des
documents de planification sur 5-10 ans, grâce aux échanges entre pays
d'une même région, et à l'interaction avec un certain nombre d'acteurs
clés
- Pour les scientifiques: Grâce à des échanges avec d'autres
chercheurs, d'autres acteurs-clés et les décideurs publics, permettre
de nouvelles collaborations et l'inclusion des décideurs dans les
projets de recherche, dans la perspective de communiquer plus
efficacement les résultats des travaux et leur prise en compte dans
l'élaboration des futures décisions politiques.
- Pour les autres acteurs-clés: Grâce à une meilleure compréhension de
la politique de développement de l'aquaculture et une meilleure
connaissance de la recherche et du développement dans leur propre pays
et les pays voisins, développer de nouveaux partenariats, et mieux
comprendre et planifier le rôle important qu'ils peuvent jouer dans
l'avenir de l'aquaculture de leur pays.
Le e-workshop est organisé pour des participants anglophones et
francophones.
Il est nécessaire de s'enregistrer pour y participer, et les
inscriptions sont dès à présent ouvertes.
Pour vous inscrire, il faut envoyer un email à Victor Pouomogne (pouomognev(a)yahoo.fr
) avec:
1. Votre titre, Nom, Prénom
2. Votre adresse Email
3. Votre fonction/Votre profession
4. Le nom de votre organisation, son adresse, téléphone/fax, site
web)
Merci à tous et bons travaux !
Lionel
--
Visitez ma page perso / Visit my homepage:
http://bit.ly/dabbadie
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe non texte a été nettoyée...
Nom: Invitation e-workshop version française.doc
Type: application/msword
Taille: 206336 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…