Bonjour à tous,
Voici une (rapide) traduction d'un article de l'initiative LINK
(Learning, INnovation and Knowledge) de l'UNU-FAO disponible sur
internet, qui me semble alimenter une réflexion utile et devrait
susciter des réactions d'un certain nombre d'entre nous (bailleurs,
chercheurs, décideurs etc.) sur les échecs et enjeux de la recherche
pour le développement. L'original en anglais est disponible ici :
http://innovationstudies.org/images/stories/linkfebmarch2009bulletin.pdf
EST-CE QU'AMELIORER LA COMMUNICATION DE LA RECHERCHE PERMETTRA
D'AMELIORER L'INNOVATION ET LES IMPACTS POUR LE DEVELOPPEMENT ?
UN NOUVEAU DEPART
Après de longues années de marasme, la recherche pour le développement
semble promise à un avenir plus radieux puisqu'un grand nombre de
donneurs bilatéraux et d'organismes philanthropiques annoncent des
financements nouveaux et importants.
Pourtant, historiquement, le recours à la recherche comme outil du
développement a donné des résultats ambigus. Le problème n'est pas que
la recherche entreprise au nom du développement n'ait pas été bonne.
Le problème a plutôt été l'utilisation limitée des technologies,
résultats et données issues de la recherche. Bien sûr, il y a eu des
succès, mais il y a eu aussi beaucoup de recherche qui ne semble pas
avoir débouché sur des résultats tangibles. Le résultat, c'est que
beaucoup de bailleurs ont perdu foi dans la recherche, et c'est
seulement ces dernières années que son importance a été redécouverte.
Ceux qui financent la recherche pour le développement sont très
attentifs au problème des impacts, et veulent éviter les erreurs du
passé. Les donneurs bilatéraux, en particulier, qui ont promis à leurs
tutelles politiques que l'argent investi déboucherait sur des
résultats tangibles, font des efforts laborieux pour que ce soit le
cas. Un de ces efforts porte actuellement sur la communication de la
recherche -c'est à dire, faire en sorte que les résultats de la
recherche soient mieux communiqués aux utilisateurs potentiels. Par
exemple, dans sa nouvelle stratégie 2008-2013, le département pour le
développement international du Royaume Uni (DFID) stipule que les
programmes de recherche doivent dédier au moins 10% de leur budget à
la communication de la recherche.
Mais est-ce que la communication est vraiment le lien qui manque entre
recherche et développement ?
Pour répondre à cette question, il faut d'abord se demander ce que
l'on entend par recherche, sa justification et la nature changeante de
son importance pour le développement.
POURQUOI AVONS-NOUS BESOIN DE RECHERCHE ?
La recherche est une forme particulière de production de connaissance
qui a recours à une étude systématique pour établir des faits et
aboutir à de nouvelles conclusions. Elle inclut la recherche
scientifique (étudier les aspects du monde bio-physique) et la
recherche sociale (étudier les différents aspects de l'activité
humaine). La recherche publique est réalisée pour quatre raisons:
1. La curiosité : comprendre les choses et les processus. Cela peut
déboucher sur des informations utiles à la société par sa contribution
au réservoir de connaissances universelles.
2. La résolution de problème aux frontières de la connaissance : un
problème ou une opportunité existent, mais il n'y a pas encore de
réponse ou de solution. Par exemple, le problème du sida.
3. L'adaptation d'une connaissance globale à un pays ou à une
situation spécifique donnée. Les solutions existent mais la recherche
doit les adapter à un pays ou un contexte spécifique.
4. Le diagnostic ou l'analyse d'un phénomène spécifique à un pays ou
un contexte donné. Par exemple, suivre la dynamique épidémiologique
d'une maladie, évaluer la capacité innovante, ou analyser la capacité
à utiliser le réservoir de connaissances globales pour l'adapter à un
contexte local (prendre en compte les leçons du passé sur le contrôle
des maladies ou la privatisation de la recherche).
Bien qu'elle soit souvent accusée de s'égarer dans la catégorie
motivée par la curiosité, la recherche pour le développement rentre
dans les 3 dernières catégories, où le désir d'établir des liens entre
la recherche et le bénéfice social est explicite.
QU'EST-CE QUI EST DIFFERENT CETTE FOIS-CI ?
Historiquement, la recherche pour le développement s'est intéressée à
la recherche classique sur les biens publics, à la frontière des
connaissances. Par exemple, le développement de variétés de céréales à
haut rendement dans les années 1960, ou la mise au point d'un vaccin
thermostable contre la peste bovine dans les années 1990. De manière
alternative, elle s'est aussi intéressée à la recherche sur
l'adaptation du transfert des technologies (par exemple la
mécanisation de l'agriculture). Ces dernières années, elle a commencé
à se concentrer un peu plus sur la quatrième raison indiquée
précédemment, en s'attachant à comprendre les contextes locaux dans le
but de renforcer la capacité locale à participer à l'économie globale
de la connaissance.
Bien qu'on puisse s'interroger sur la capacité, de manière générale,
de la recherche pour le développement à prendre en compte les leçons
du passé, on peut quand même regarder comment les approches ont évolué
avec le temps.
La recherche du type "frontière des connaissances" reste importante et
inclue la recherche de solutions technologiques globales telles que
la quête pour un vaccin contre la trypanosomiase du bétail, ou les
déficits de connaissance globale sur par exemple, le suivi et la
prédiction des impacts du réchauffement climatique.
Pourtant, un changement majeur porte sur l'importance croissante des
aspects politiques (NdT: c'est le mot "policy" qui est employé partout
pour véhiculer les notions de politiques publiques, gouvernance,
contexte institutionnel, société etc. J'utilise le mot "politique"
faute de mieux) dans les thèmes de la recherche pour le développement.
Cela résulte en partie de la reconnaissance du rôle critique joué par
le contexte politique sur les processus de développement (voir
l'article de Jeroen Dijkman http://innovationstudies.org/images/stories/pro-propolicy.pdf)
. Par exemple, la recherche médicale est tout aussi concernée par le
dispositif de délivrance des soins qu'il l'est par la compréhension
des maladies et la mise au point de traitements. Cette composante
politique croissante s'explique aussi par le fait que les aspects
techniques ne peuvent plus être dissociés des aspects politiques et
sociaux. Par exemple, la diffusion des techniques de transfert de
gènes pour la résistance aux maladies des cultures ne peut avoir lieu
sans élaborer des politiques de contrôle et donc, sans prendre en
compte les préoccupations sociales et éthiques.
FAISONS SIMPLE
Si le fait est que ces questions politiques et institutionnelles
deviennent de plus en plus importantes dans la recherche pour le
développement, alors, il n'est même pas nécessaire de préciser que
pour un avoir un impact, la recherche pour le développement va devoir
être bien plus efficace dans ce domaine. Or, le changement politique
est, de manière notoire, difficile à obtenir. Les processus sont le
plus souvent opaques et le rôle des résultats de la recherche dans la
formulation des politiques est au mieux, peu clair, et le plus
souvent, invisible. Le projet Recherche et Politique pour le
Développement de l'Overseas Development Institute (RAPID) est un de
ceux qui ont étudié ce thème et il en a conclu que les facteurs de
succès déterminants sont:
- la pertinence des travaux pour les problèmes politiques
- la communication personnelle continue entre les acteurs-clés des
aspects politiques
- une explication simple des découvertes et de leurs implications pour
les aspects politiques (Ensor et al., 2008)
Cela devrait certainement vouloir dire qu'il faut accorder plus
d'importance à la communication de la recherche. Mais est-ce que cela
est suffisant ? La réponse est aux confins de la question plus vaste
de la relation entre la recherche et l'innovation -ou cette dernière
doit être comprise comme l'utilisation de la connaissance pour obtenir
des résultats d'importance sociale et économique significatifs.
QUEL EST LE ROLE DE LA RECHERCHE DANS L'INNOVATION ?
Pour de nombreuses personnes, une des choses les plus contre-
intuitives en matière de lien entre recherche et innovation est que la
recherche formelle est bien moins importante que ce que l'on imagine
couramment, et cela, quel que soit le domaine concerné -agriculture,
santé, industrie (voir Martin Bell, 2007). Bien sûr, il y a des
domaines où l'innovation a besoin de recherche intensive -par exemple,
pour les médicaments. Mais dans l'ensemble, l'innovation se met en
place grâce à la combinaison de différents types d'informations
(structure du marché, processus, empirisme/implicite) et pas seulement
grâce à la recherche; elle est généralement poussée par le marché, les
politiques publiques ou les opportunités politiques, ou le contexte,
plutôt que par les découvertes de la recherche; elle est généralement
caractérisée par une succession d'améliorations graduelles plutôt que
par des changements hyper-médiatiques et des découvertes capitales.
La recherche peut produire des inventions globalement nouvelles. Mais
l'innovation, parce qu'elle implique la mise en pratique de la
connaissance, doit être conçue au regard de son utilisation et de ce
fait, elle a une dimension locale très spécifique. Nous disposons
désormais d'une grande quantité de preuves pour affirmer que la
recherche est mieux organisée lorsqu'elle est une composante insérée
dans les réseaux denses et désordonnés qui fonctionnent dans des
contextes spécifiques et relient producteurs et utilisateurs de
connaissances, ainsi que les initiateurs du changement. Ceci est tout
aussi vrai pour l'innovation technologique que pour les innovations
politiques.
Cette conception de l'innovation a reçu de nombreuses appellations
telles que systèmes innovants, innovation ouverte, mode 2 knowledge
production. Le message est pourtant le même: la recherche ne doit pas
être conduite dans sa tour d'ivoire, mais elle doit être enchâssée
dans les processus des entrepreneurs, des décideurs, des politiques
publiques auxquelles elle cherche à apporter une contribution. Cela
est particulièrement vrai pour la recherche pour le développement, où
l'obtention d'un impact est primordial et où le changement est souvent
contesté par différents groupes d'intérêts.
DEUX MODES DE RECHERCHE
On peut illustrer cet aspect par les résultats de deux modes
d'organisation de la recherche sur les systèmes de santé du Népal.
Dans le premier dispositif, un consortium de chercheurs britannico-
népalais a étudié les modèles de partenariat privé-public dans la
délivrance du système de santé au Népal. L'émergence d'hôpitaux privés
et de cabinets d'infirmiers a rendu ce modèle possible et le projet a
étudié cela au travers du traitement de la tuberculose en association
avec des partenaires locaux. Le projet a été relativement réussi, et
il y a eu de l'intérêt pour ce modèle dans le cas de la tuberculose.
Toutefois, les chercheurs (de manière bien compréhensible), n'avaient
pas l'autorité en matière de politique, la capacité de plaidoyer ou
l'accès aux décideurs requis pour leur permettre d'étendre leur modèle
à d'autres maladies comme le sida, pour lesquelles il était tout aussi
applicable. La recherche était de grande qualité mais son impact est
resté relativement limité à quelques sites pilotes.
Dans le deuxième cas, la recherche a été réalisée dans le cadre d'un
projet de développement des soins de santé au Népal -le programme DFID
Santé maternelle. Il est rapidement apparu que la non-utilisation des
systèmes de santé au cours de la grossesse et de l'accouchement était
une cause majeure de mortalité. Pour mieux le comprendre, le programme
a lancé une recherche pour déterminer le coût de l'accès au système de
santé lors de la grossesse et de l'accouchement. Les résultats ont
montré que ces coûts étaient bien supérieurs à ce que l'on croyait
généralement et a conclu que la gratuité des soins pour les femmes
enceintes permettrait de réduire la mortalité de manière
significative, à un coût raisonnable pour le gouvernement.
Malheureusement, les résultats de cette recherche n'ont pas à eux
seuls suffit pour induire un changement de politique au Népal.
Toutefois, grâce à une capacité de plaidoyer prudente, et à la chance,
un appui politique à la gratuité des soins pour les femmes enceintes
est apparu et le DFID (un bailleur très respecté et faisant autorité
au Népal) a pu être en mesure de soutenir les politiques publiques
avec les résultats de la recherche. Les soins de santé gratuits pour
les femmes enceintes ont été décrétés par le gouvernement du Népal le
14 janvier 2009 (Ensor, Clapham, Prasai Prasai, 2008).
RECHERCHE OU DEVELOPPEMENT ?
Il semble que cet exemple, mais aussi les nombreuses preuves qui
existent sur la relation entre recherche et innovation, pointent
toutes dans la même direction. Si vous voulez que la recherche ait un
impact, elle doit être enchâssée dans les contextes de développement
dans lesquels ses résultats seront utilisés. Le contenu politique
d'importance croissante dans la recherche pour le développement rend
cela doublement important. Il semble que les donneurs bilatéraux et
multilatéraux ont un positionnement unique pour mettre une telle
insertion de la recherche dans leurs programmes d'assistance au
développement, et pour bénéficier d'un effet de levier en terme de
changement induit par la recherche.
Ce dernier point soulève le plus gros problème de la tradition de
nombreux bailleurs de fond, qui distinguent recherche et
développement. Dans cette tradition, la recherche est dévolue à la
production de biens publics internationaux, dont les résultats ne sont
pas destinés à résoudre des problèmes ou soutenir des contextes
locaux, mais plutôt à contribuer à alimenter la connaissance globale.
Mais si notre étude de cas népalaise a un intérêt du point de vue de
l'impact, c'est bien pour montrer qu'il est atteint en s'insérant dans
l'arène politique locale et pas nécessairement en augmentant la
connaissance universelle et en se contentant de la diffuser largement.
Il est peut être temps que les bailleurs de fond revisitent leurs
traditions et conceptions de la recherche.
COMMUNICATION OU ENCHASSEMENT ?
Bien sûr, comme toujours, la réponse à cette devinette ne saurait être
l'un ou l'autre. Il faudra plus de communication de la recherche si
les décideurs politiques ont besoin de plus nouveaux résultats et de
nouvelles preuves. La communication de la recherche a aussi d'autres
fonctions : relations publiques, prise de conscience, partage de
l'information dans des communautés de pratiques, soutien aux réseaux,
alimentation des centres d'information etc. De manière similaire,
toute la recherche ne doit/peut pas être enchâssée de la manière que
nous le décrivons. Certains problèmes doivent être compris de manière
globale (par exemple, le changement climatique, le prix des aliments,
les maladies animales) et la recherche pour le développement est bien
placée pour y contribuer.
Néanmoins, si les tenants de la recherche pour le développement
veulent démontrer l'impact, ils devront connecter la recherche avec
les contextes de développement local et les processus politiques
nationaux. Ils devront aussi trouver des moyens pour que les résultats
de la recherche influencent les décideurs. Pour l'instant, le lien
manquant dans ce processus n'est pas la mauvaise communication, mais
des processus politiques peu puissants et une appréciation limitée de
leur dimension politique. Cela, en retour, fait référence à un besoin
plus important de renforcer la capacité nationale d'innovation et de
garantir que les décideurs, les chercheurs et les entrepreneurs
travaillent de manière plus intégrée et cohérente. Cela prendra du
temps, mais tant que les efforts de recherche pour le développement ne
reconnaîtront pas leur rôle dans le renforcement des compétences,
l'investissement de recherche, comme par le passé, continuera à
échouer à atteindre ses promesses de développement.
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Bonjour,
Concernant les filets en nylon, il faut faire attention aux définitions,
voir pour cela les sites Wikipedia pour définir : Denier et Tex.
Voir les sites de fabricants tels que KLM (Fr) ou Fipec (Quebec)
Les filets en nylon sont constitués de fils tressés qui sont constitués d’un
certain nombre filaments ; ces filaments sont définis par un poids pour 9000
m (>denier) ou pour un poids pour 1000 m (>Tex)
En France, on emploie plus la première appellation.
En général en pisciculture on emploie des types 210 deniers/18 filaments,
-210/24/-210/30-210/36-210/42-210/60-210/96-210/120-210/150
Le nombre de filaments sont les ply dont parle Karen dans son message
Ainsi une nappe de filet nylon sera définie comme suit :
-multi-filament 210/36 dans l’exemple qui nous occupe (les
monofilaments sont à proscrire)
-type de nœuds (simple ou double) ou pas de nœuds
-dimension de la maille attention voir si c’est la maille
étendue ou le côté de la maille (de nœud à nœud ) exprimé en mm
Ducarme Chr.
Bonne espérance N° 28
4500 Huy
Belgium
Tel. 00 32 85 233073
00 32 476 538874
Skype: christian.ducarme
_____
J’utilise le logiciel antispam Vade Retro <http://www.antispam.fr> pour
protéger ma messagerie des courriers indésirables.
Depuis son installation, Vade Retro a filtré 11 courriers indésirables sur
222 messages reçus.
Début du message réexpédié :
> De : "ducarme chr" <chr.ducarme(a)skynet.be>
> Date : 10 juillet 2009 19:29:00 GMT+08:00
> À : <sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : cage aquaculture en RDC
>
>
> Bonjour,
> >
> > Le problème principal des cages ce n'est pas la cage en elle-même,
> le
> > vraiproblème est comment nourrir les poissons.... Connaissant le
> >contexteRDC, je vous assure que cette technologie n'est pas adaptée
> > (actuellement)
> >
>
>
>
> Ducarme Chr.
> Bonne espérance N° 28
> 4500 Huy
> Belgium
> Tel. 00 32 85 233073
> 00 32 476 538874
> Skype: christian.ducarme
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Bonjour Tout le monde,
Lors de ma dernière mission au Grand Nord Ghanéen, j'ai fait des découvertes et observation que je voudrais partager avec vous. Il s'agit de découvertes pour et sûrement pas pour bon nombres de nos aînés. Il s'agit de certaines espèces de poissons que je vous prieriai de m'aider à identifier. Ce sont des poissons pêchés dans la Volta Blanche dans les villages de Tiya et Soba (District de Mamprusi, Région du Nord). Voir photos dans le fichier Zip ''À identifier''.
L'observation concerne une variété de poisson chat (de couleur rosâtre) que les populations locales appellent Red Fish. Existe-t-il de poisson-chat rose (ou rouge) ou s'agit-il d'une mutation? Si mutation il y a, quelle peut en être la cause?
Je pense à une mutation pour la simple raison que, dans les lots de poisson observés, il y en avait aussi qui étaient bigarés (faisant penser à une dépigmentation incomplète ou en cour). Voir photos dans le fichier Zip ''Observation-Red catfish''.
Merci par avance de bien vouloir éclairer ma lanterne.
Gabriel Koffi D. Koko, DVM, M.Sc
Director
Fish for Africa-Africa Head Office
BAC 3/88 Service Plot DTD (SKM)
Spintex Road, Baatsonaa, Accra (Ghana)
Tel/Fax. (+2... -261 Cel. (+233)... 4
www.fishforafrica.org
__________________________________________________________________
Ask a question on any topic and get answers from real people. Go to Yahoo! Answers and share what you know at http://ca.answers.yahoo.com
Proposition de post-doc en recherche aquacole marine finalisée.
Maîtrise de l'anglais a priori indispensable. Pour plus de
renseignements, contacter Michael Rust, Sustainable Aquaculture
Program Manager, Northwest Fisheries Science Center, 2725 Montlake
Blvd. E., Seattle, WA, 98112, Phone (206) 860-3382 mike.rust(a)noaa.gov
Postdoc in Applied Marine Aquaculture
What:
Two year funded postdoc to improve spawning and shipping methods for
sablefish, located at the Northwest Fisheries Science Center (Seattle,
Washington) and Troutlodge Marine Farms, LLC (Kona, Hawaii). Position
will be based at the Manchester Research Station in Washington State,
but will also require travel to Kona to work with industry partners.
We are looking for a blend of practical and scientific skills to help
bridge the gap between laboratory and commercial development of marine
fish hatcheries. Candidate should have expertise in Reproduction and/
or Stress Physiology in fish. Previous experience with halibut or
sablefish hatcheries preferred. Commercial aquaculture experience a
plus.
Project Objectives:
We intend to build on successful methods developed by our own work and
Canadian researchers by addressing the following areas: maximize
production and quality of egg/sperm through improved induced spawning
techniques using delayed-release implants (Objective 1), develop
optimal egg incubation methods (Objective 2), develop yolk-sac
incubation methods (Objective 3) and, develop larval rearing methods
(Objective 4). We will add to this studies intended to optimize
survival following air shipment of sablefish juveniles (Objective 5).
During this project we will provide outreach (Objective 6) in two
ways, first in the more traditional approach with publications,
demonstrations, a hatchery manual, and internships; but also by
working side-by-side with an aquaculture company interested in
development of a sablefish hatchery and use their commercial sablefish
facility for scale-up and some of the research.
Contact:
Michael Rust, Sustainable Aquaculture Program Manager, Northwest
Fisheries Science Center, 2725 Montlake Blvd. E., Seattle, WA, 98112,
Phone (206) 860-3382 mike.rust(a)noaa.gov
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Traduction rapide semi automatisée- Thanks Karen, you are not boring
us, just fascinating with your "pet subject !"
Bonjour à tous. Voici quelques aux questions qui sont apparues sur le
site Sarnissa:
1. les cages faites en Ouganda: l'usine importe des fils de nylon
différentes tailles. L'épaisseur de fil est généralement décrite en
termes de «ply», qui correspond au nombre de filaments qui sont
torsadés ensemble. Pour les filets maillants, ils faut entre 2 et 6-
ply. Nous voulions plus de 36 ply, mais les machines ne peuvent faire
que des 24-ply. Cependant, nous avons fait bouillir les filets, ce qui
les a épaissis. En substance, ils ont raccourci. Il y a très peu
d'usines en Afrique, ces jours-ci, comme la plupart des nappes sont
importés. Cependant, j'ai eu la chance d'avoir accès à cette usine et
de travailler avec eux pour faire le matériau de la cage. Maintenant,
ils étirement et chauffent aussi les noeuds, ce qui est important, car
si un noeud glisse, puis il ouvre la maille et les poissons pourront
s'échapper. Le bitume est en fait un traitement standard aux États-
Unis parce qu'il empêche d'attraper les épines du poisson-chat sur le
filet. Nous avons utilisé pour faire le filet résistant aux UV. Les
rayons solaires dégradent le nylon. Nos premières cages sont en fait
réalisés à la main avec 72-ply de ficelle en nylon. Ici, le prix est
déterminé par le nombre de nœud. Ainsi, la cage a été un peu plus cher
que le cage faite en usine, mais pas tellement plus. En passant, tous
les "ply" ne se valent pas. Des vendeurs sans scrupule profitent de
l'absence d'expérience des acheteurs et donnent souvent des matériaux
qui sont beaucoup moins épais que ce que les vendeurs réputés offrent.
Quant à l'importation de filet, faire preuve de prudence à ne pas
utiliser du polyester, car il se dégradent en quelques semaines.
Toutefois, le propylène et poly polyéthylène sont très bons et coûtent
généralement moins cher que le nylon. Cependant, ils doivent avoir
leurs nœuds fixés à la chaleur ou leurs jointures (dans le cas de
tissage sans noeud). L'éleveur en cages devrait examiner le coût, la
longévité, la taille de la maille, la résistance à la dégradation par
le soleil ou par la charge organique dans l'eau, à l'abrasion sur le
poisson (pas souvent autant problématique qu'on le pense) et le
potentiel de l'encrassement. Je peux donner des heures de la
conférence sur la fabrication de filet, c'est mon sujet préféré. Mais
je ne voudrais pas ennuyer les lecteurs ici.
2. Aliments: Dr Brummett a tout à fait raison de dire qu'un aliment
complet doit être disponibles pour la culture de poissons en cages. Il
ya des gens qui disent que l'on peut nourrir avec des déchets de
cuisine, etc, Toutefois, une telle pratique est ce qui a donné une
mauvaise réputation à l'élevage en cage dans le passé, parce que
l'alimentation de mauvaise qualité donne des niveaux assez élevés de
pollution et de la croissance très faible du poisson. Il est également
hautement souhaitable de disposer d'aliments flottant ou qui coulent
lentement. Les choses que les gens font pour garder les aliments
flottant
dans la cage est souvent problématique, car ils empêchent l'eau de la
surface - ou 40 premiers centimètres d'entrer dans la cage alors que
c'est souvent la meilleure eau. Pour les personnes en RDC, si vous
êtes près de la frontière avec l'Ouganda,
vous serez en mesure d'acheter des aliments flottant d'ici la fin de
cette année en Ouganda. Il aura la bonne composition en vitamines, etc
pour la culture en cage.
3. Cages rigides: Les cages rigides en treillis métallique sont Ok
pour commencer et exécuter des essais, mais la plupart des gens change
ensuite pour des cages souples (en filet). C'est parce que les filets
des cages sont plus faciles à manipuler, sont moins coûteux et peuvent
bien entendu être utilisées pour des grands volumes. Cependant, des
cages rigides peuvent être utiles si l'on est confronté à un problème
de tortues ou de poissons tigre. Je dirais que si vous avez besoin de
plus plus de 4 mètres cubes de volume, vous feriez mieux de réfléchir
à des cages en filet.
4. Densité: la seule raison de plus faible densité est que les cages
sont trop grands. Je veux dire par là que la qualité de l'eau dans les
grandes cages est très mauvaise dans le centre si le poisson est très
dense. Les poissons n'exigent pas autant d'espace qu'on pense. Ils
exigent une bonne qualité de l'eau. On a pu élever à très forte
densité de poissons dans de petits volumes si la qualité de l'eau peut
être maintenue. En Ouganda, nous cultivons le poisson à la taille du
marché dans de petites cages et de haute densité. Pas seulement les
alevins.
5. Placement: Placer 4 cages ensemble comme je l'ai vu dans un dessin
est un peu une mauvaise idée, parce que chaque cage a seulement 2
côtés disponibles pour le renouvellement de l'eau. Mais il est moins
mauvais que 16 ou plus cages alignées ensembles, où le centre n'a
AUCUNE ouverture. Au lieu de cela, une chaîne de cages, chacune
séparée de l'autre par un intervalle équivalent à une cage beaucoup
beaucoup mieux. J'ai une seule photo
de ce type d'arrangement- pas de très bonne qualité, mais c'est tout
ce que j'ai. J'aime beaucoup la conception de la cage du
Ghana, mais je pense qu'elle est trop profonde. Toutefois, le cadre
est bien fait et très pratique. Il utilise des tubes galvanisés. Comme
Olivier l'a dit, l'angle de fer est également OK et a quelques
avantages par rapport à un tuyau. Les Chinois utilisent des barres de
fer (solide), mais une fois de plus, ils n'ont pas à se soucier de 20
cormorans plongeant sur les cages comme nous en Afrique. Les photos du
Niger sont de très bons exemples. Notez les anneaux d'alimentation
utilisé au Brésil. Très important. leur surface par rapport à
l'ensemble cage volume est important.
6. Autres références: il y a un très bon manuel sur les cages bas
volume-haute densité par l'American Soybean Association, sur leur site
web. Il a été écrit pour la Chine, mais elle est très utile pour
l'Afrique. Nous travaillons sur notre propre manuel qui emprunte
beaucoup des leurs (nous avons la permission) mais il parle plus sur
les problèmes que nous avons rencontré en Afrique, en particulier avec
les prédateurs. Il donne aussi plus d'informations sur le
conditionnement du poisson pour ces cages puisqu'ils semble que la
plupart des gens ne parviennent pas en Ouganda et les pays voisins.
Quand je reviens aux États-Unis la semaine prochaine, je vais mettre
sur notre site quelques présentations sur l'élevage en cage. Le manuel
sur l'élevage en cages en Ouganda sera probablement disponible dans
vers Septembre / Octobre. Si vous ne le voyez pas, s'il vous plaît me
rappeler. Cependant, il existe de nombreuses façons de résoudre un
problème, et aussi longtemps que les gens enregistrent leurs résultats
et les analysent, ils devraient être en mesure de prendre de bonnes
décisions.
Maintenant, je pense que je suis ennuyeuse donc je vais me retirer. Je
serais heureux de répondre aux questions.
Début du message réexpédié :
> De : "Karen L. Veverica" <veverkl(a)gmail.com>
> Date : 11 juillet 2009 04:06:27 GMT+08:00
> À : sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> >
> Objet : [Sarnissa-african-aquaculture] [{SPAM?} score 13.4]
> responses to the cage culture discussion
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Greetings all. this is to answer a couple questions that have
> appeared
> on the Sarnissa site:
> 1. the cages made in Uganda: the factory imports nylon twine of
> various sizes. Twine thickness is usually described in terms of
> "ply",
> which is number of threads that are twisted together. The gill nets
> they
> make are between 2 and 6-ply. We wanted 36 or greater ply netting
> to be
> made but the machines could only make 24-ply. However, we boiled the
> netting, which thickened it. In essence, it shrank it. There are
> very
> few net factories in Africa these days, as most netting is imported.
> However, I was fortunate to have access to this factory and work with
> them to make the cage material. They also stretch and heat-set the
> knots now, which is important because if a knot slips, then it opens
> the
> mesh and fish may escape. The bitumen treatment is actually
> standard in
> the US becasue it prevents catfish spines from catching on the
> netting.
> We used it to make the net resistant to UV radiation. Sunlight
> degrades
> nylon.
> Our first cages were in fact hand-made with 72-ply nylon twine. Here,
> they charge by the knot. So the cage was a bit more expensive than
> the
> factory made cage but still not so much more. By the way, not all
> "plys" are the same. Unscrupulous vendors who wish to benefit from
> lack
> of experience of African buyers often give a certain ply which is much
> less thick than what the reputable vendors sell. As for imported
> netting, be cautious that you do not get polyester because it will
> degrade in a matter of weeks. However, the poly propylene and
> polyethylene are very good and usually cost less than nylon. However,
> they should have their knots heat-set or their joints (in case of
> knotless netting). the cage culturist should consider cost,
> longevity,
> percent open area of the mesh, resistance to degradation by sun or by
> organic loading in the water, abrasion on the fish (often not as
> much a
> problem as you would think) and potential for fouling. I can give
> hours
> of lecture on netting- it is my pet subject. But I do not wish to bore
> the readers here.
>
> 2. Feeds: Dr Brummett is quite correct in stating that a complete
> diet
> must be available in order to culture fish in cages. There are some
> who
> say that one can feed kitchen scraps, etc, However, such practice is
> what gave cage culture a bad name in the past because poor quality
> feed
> results in rather high levels of pollution and very poor fish growth
> rates. It is also highly desirable to have floating feed or at least
> feed that sinks slowly. The things people do to keep the floating feed
> in the cage are often problematic because they prevent water from the
> surface - or first 40 cm from entering the cage and this is often the
> best water. For people in DRC, if you are near the border with Uganda,
> you will be able to purchase floating feed by the end of this year
> from
> Uganda. It will have the proper vitamins, etc for cage culture.
>
> 3. Stiff cages: Hard cages made of wire mesh are Ok to start with and
> to run some trials but most people switch to soft cages (netting) as
> soon as they can. This is because the netting cages are easier to
> manipulate, are less expensive and can of course work for large
> volumes. However, hard mesh cages in either PVC-coated galvanized
> metal
> or in stiff plastic are rather convenient if one is faced with a
> problem
> from snapping turtles or tiger fish. I would say that if you need more
> than 4 cubic meters volume, you'd better think about netting instead
> of
> stiff materials.
> 4. Density: the only reason why lower density is used in big cages is
> that the cages are too big. By this I mean that water quality in big
> cages is very bad in the center if fish density is high. Fish do not
> require the space people think. they require good water quality.
> People
> have been able to culture very high densities of fish in small volumes
> if the water quality can be maintained. In Uganda, we grow the fish
> to
> market size in small cages and high density. Not just fingerlings.
> 5. Placement: 4 placed together like I saw in one drawing is a
> rather
> bad idea. this is because each cage has only 2 sides with access to
> open
> waters. But it is less bad than the 16 or so cages placed together in
> which center cages have NO open sides. Instead , a chain of cages,
> each
> separated by one cage width is much much better. I have a single photo
> of this attached-not my best but all i have with me. I really like
> the
> Ghana cage design but I think it is too deep. However, the frame is
> well-done and very practical. It uses galvanized pipe. As Olivier
> has
> stated , angle iron is also OK and has some advantages over a pipe.
> The
> Chinese are using just iron bars (solid) but once again, they do not
> have to worry about 20 cormorants landing on their cage frame, as we
> do
> in Africa.The photos from Niger were pretty good examples. Note the
> feeding rings as used in Brazil. Very important. their surface area
> relative to total cage volume is important.
>
> 6. Other references: there is a very good manual on Low volume-high
> density cage culture put out by the American Soybean Association- on
> their web site. It was written for China but is very useful for
> Africa.
> We are working on our own manual that will borrow heavily from theirs
> (we have permission) but it will talk more about the special
> problems we
> have encountered in Africa- especially with predators. It will also
> talk
> more about conditioning fish for these cages as this seems to be where
> most people fail in Uganda and neighboring countries. When I return
> to
> the US next week, I will put on our website some presentations on cage
> culture. The Uganda cage culture manual will probably be out in
> September/October. If you do not see it, please remind me. However,
> there are many ways to solve a problem and as long as people keep
> their
> records and look at results, they should be able to make good
> decisions.
>
> Now I think I am boring you all so I will sign off. will be happy to
> answer questions.
>
> --
> Karen L. Veverica
> Auburn University Dept. of Fisheries and Allied Aquacultures, USA
> office: +1-334-844-9201
> cell: +1-334-332-1560
>
> Chief of Party
> USAID Fisheries Investment for Sustainable Harvest (F.I.S.H.)
> Uganda phone +256- 782-970-622
> www.ag.auburn.edu/fish/international/uganda/
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Le bitume utilisé est le même que celui employé pour les réservoirs
d'eau potable. Il n'est pas aussi nocif que les traitements au cuivre
utilisés pour lutter contre le fouling. Cependant, il doit être
renouvelé tous les ans pour étendre la durée de vie du filet. Il peut
être évité mais mon expérience montre que c'est un excellent
investissement et qu'il est bien moins problématique sur le plan
environnemental que les apports alimentaires.
Début du message réexpédié :
> De : "Karen L. Veverica" <veverkl(a)gmail.com>
> Date : 11 juillet 2009 03:58:14 GMT+08:00
> À : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa-african-aquaculture] [{SPAM?} score 5.4] Re: FW:
> [Sarnissa-french-aquaculture] Cage type , construction and price -
> treatment with bitume ?
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> The bitumen used is the same used for drinking water tanks. It is
> not as
> bad as the copper treatments used to prevent fouling. However, it
> needs
> to be re-applied after 1 year to prolong the life of the net. It
> can be
> avoided but in my experience is a very good investment and much less
> environmentally problematic than the feed inputs.
>
> Karen L. Veverica
> Auburn University Dept. of Fisheries and Allied Aquacultures, USA
> office: +1-334-844-9201
> cell: +1-334-332-1560
>
> Chief of Party
> USAID Fisheries Investment for Sustainable Harvest (F.I.S.H.)
> Uganda phone +256- 782-970-622
> www.ag.auburn.edu/fish/international/uganda/
>
>
>
> William Leschen wrote:
>>
>> Copied over from French forum
>>
>>
>>
>> *From:* sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
>> [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] *On
>> Behalf Of *DUPUY Christophe
>> *Sent:* 09 July 2009 07:20
>> *To:* sarnissa-french-aquaculture Mailing List
>> *Subject:* [Sarnissa-french-aquaculture] treatment with bitume ?
>>
>>
>>
>> Dear all
>>
>>
>>
>> I'm sorry but maybe I'm going to say something wrong.
>>
>>
>>
>> What about the environnement when we treat the net cages with bitume
>> to avoid fouling. I 've got study the impact on the environement.
>>
>>
>>
>> All the best
>>
>>
>> Christophe Dupuy.
>> +33(0)6 26 36 39 45
>> christophe_otropic(a)yahoo.fr
>> ~ ~ ><)))°> Save a tree. Do not print this message if not really
>> necessary.
>>
>>
>>
>> ------------------------------------------------------------------------
>>
>> _______________________________________________
>> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
>> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
>>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Bonsoir à tous
En effet il est important de vérifier les conditions physico chimiques dans
ces régions équatoriales, des pH de 4.5 ne sont pas rares particulièrement
dans les bas fonds ; ce sont des zones à éviter pour un investissement
aquacole.
Comme le résume très justement Mr Matar Diouf, il faut pour produire en cage
un aliment performant, complet, avec un approvisionnement régulier.
-Comment garantir un approvisionnement régulier là ou :
-les sous produits sont convoités par les humains alors que dans
dautres pays (Brésil P ex. le son de riz) ils sont brulés
-les transports sont très chers et difficiles les possibilités
de stockage (physiques et financiers) presque nuls
-les productions vivrières sont par essence saisonnières
-Les pauvres revenus de la ferme ne servent pas à constituer des réserves d
aliments
-Comment garantir un aliment complet et performant alors que
-il ny a pas danalyse sur la qualité des produits (protéines
ou digestibilité)
-la conservation est mauvaise
-la disponibilité est réduite à un ou deux constituants maximum
-les protéines sont rares et très chères
-aucun prémix poisson nest disponible
Comme le fait remarquer Randall Brummett, une fois résolu les points
ci-dessus, quel sera le prix de laliment, Ou plus précisément, et cest la
seule chose importante, le prix de laliment multiplié par sa performance
(TC, IC, FCR, .)
Le but est que le tilapia puisse être produit pour 1- 1.5 $ /kg max.
Voila léquation posée
Bien à vous
Ducarme Chr.
Bonne espérance N° 28
4500 Huy
Belgium
Tel. 00 32 85 233073
00 32 476 538874
Skype: christian.ducarme
_____
Jutilise le logiciel antispam Vade Retro <http://www.antispam.fr> pour
protéger ma messagerie des courriers indésirables.
Depuis son installation, Vade Retro a filtré 11 courriers indésirables sur
216 messages reçus.
Réponse de Christian Ducarme (que je salue bien amicalement au
passage)...
Début du message réexpédié :
> De : "ducarme chr" <chr.ducarme(a)skynet.be>
> Date : 10 juillet 2009 15:53:31 GMT+08:00
> À : "'Lionel Dabbadie'" <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Objet : RE: [Sarnissa-french-aquaculture] Alevins de tilapias sur
> Pointe Noire
>
> Bonjour,
>
> Il existe un groupement piscicole à Pt Noire : la FPK (fédération
> des Pisciculteurs du Kouilou.
> Le président Mr Gaspar (celui du restaurant bien connu Gaspar)
> pourra utilement vous renseigner pour les til Niloticus ; des
> résultats que nous avons observé sur le terrain, la souche semble OK.
> Pour le tilapia rouge, c’est une autre histoire, mais êtes vous sûr
> de ne pas confondre avec ce que vous appelez localement la carpe
> (poisson de mer et d’eau saumâtre)
> Ducarme Chr.
> Bonne espérance N° 28
> 4500 Huy
> Belgium
> Tel. 00 32 85 233073
> 00 32 476 538874
> Skype: christian.ducarme
>
> De : sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk
> ] De la part de Lionel Dabbadie
> Envoyé : vendredi 10 juillet 2009 9:38
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Objet : [Sarnissa-french-aquaculture] Alevins de tilapias sur Pointe
> Noire
>
> Bonjour Erwan,
>
> Je sais que vous cherchiez des alevins de tilapia du Nil et rouge
> sur Pointe Noire. Avez-vous trouvé ? Sinon, peut-être que des gens
> de la liste pourront vous renseigner.
>
> Bien amicalement
>
> Lionel
>
> Le 10 juil. 09 à 15:31, erwan guyader a écrit :
>
>
> Bonjour merci pour tes photos c'est trés interressant et trés
> simple , les échanges d'idées çà fait avancer......
>
> Cdlmt
>
> Guyader Erwan
> Pointe Noire
> Rép Du Congo
> 00.242.625.20.86
>
>
> --
> http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
>
>
>
>
> J’utilise le logiciel antispam Vade Retro pour protéger ma
> messagerie des courriers indésirables.
> Depuis son installation, Vade Retro a filtré 10 courriers
> indésirables sur 201 messages reçus.
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
Début du message réexpédié :
> De : Geovanne NZIENGUI <gn_vanni(a)hotmail.com>
> Date : 10 juillet 2009 21:42:55 GMT+08:00
> À : <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> Objet : RE: [Sarnissa-french-aquaculture] Cage aquaculture en RDC
>
> bonjour à tous,
> je voudrai savoir pourquoi l'élevage en cages ne serait pas adapté
> au Congo RDC? il suffit de prendre
> les paramètres physico chimiquesdu lac ou autres étendues d'eau et
> les profondeurs. ensuite choisir une
> espèce adapté au milieu. et ça ira
>
> Géovanne Aymar NZIENGUI DJIEMBI
> SMEL, Plagette
> 1 Quai de la Daurade
> 34 200
> SETE
> Master BGAE/EFDD/BAEMT
> Université Montpellier II
> Sciences et techniques du Languedoc
> +(33)... 0
>
>
>
>
> From: lionel.dabbadie(a)cirad.fr
> To: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Date: Fri, 10 Jul 2009 19:32:12 +0800
> Subject: [Sarnissa-french-aquaculture] Cage aquaculture en RDC
>
>
> Début du message réexpédié :
>
> De : "ducarme chr" <chr.ducarme(a)skynet.be>
> Date : 10 juillet 2009 19:29:00 GMT+08:00
> À : <sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : cage aquaculture en RDC
>
>
> Bonjour,
> >
> > Le problème principal des cages ce n'est pas la cage en elle-même,
> le
> > vraiproblème est comment nourrir les poissons.... Connaissant le
> >contexteRDC, je vous assure que cette technologie n'est pas adaptée
> > (actuellement)
> >
>
>
>
> Ducarme Chr.
> Bonne espérance N° 28
> 4500 Huy
> Belgium
> Tel. 00 32 85 233073
> 00 32 476 538874
> Skype: christian.ducarme
>
> --
> http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
>
>
>
>
> Téléchargez le nouveau Windows Live Messenger ! Téléchargez
> Messenger, c'est gratuit !
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie