Avez vous une "histoire" à nous raconter sur l'aquaculture africaine.
Si vous en avez une, vous pourrez gagner 300 euros pour la publier dans Aquaculture Compedium (http://www.cabi.org/compendia/ac/index.asp!
Nous cherchons des candidats pour rédiger des études de cas pour SARNISSA. Vous pouvez décrire/analyser un projet dans lequel vous êtes engagé, concernant votre travail en aquaculture, ou rédiger une synthèse dans votre domaine de compétence.
Les études de cas sont des textes qui font le lien entre la théorie et la pratique en aquaculture ou dans la gestion des ressources aquatiques. Elles sont constituées d'une dizaine de pages (format A4) ou de 3 à 5 milles mots. Elles peuvent relater des succès ou des échecs, ou des situations particulières ou des événements qui peuvent être riches en enseignements.
Regardez les exemples ci-joints. Il s'agira de la première série d'études de cas publiées en français dans le Compendium Aquaculture qui n'en compte aucune pour le moment susceptible de servir d'exemple. Certaines sont toutefois en préparation et nous les enverrons aux membres de SARNISSA dès qu'elles seront prêtes.
Si vous pensez avoir une ou plusieurs "histoire(s)" à partager, envoyer nous un titre et un résumé qui ne dépasse pas 300 mots. Chaque participant peut proposer trois études de cas. Employez le formulaire ci-joint pour soumettre vos études de cas. Envoyez votre formulaire complété par email á:
Will Leschen: william.leschen(a)stir.ac.uk<mailto:william.leschen@stir.ac.uk>
et Olivier Mikolasec olivier.mikolasec(a)cirad.fr<mailto:olivier.mikolasec@cirad.fr>
Les auteurs qui auront les meilleurs idées, seront sollicités pour rédiger une étude de cas complète, et la procédure de rédaction terminée, ils bénéficieront:
d'un paiement de 300 euros
d'un accés en ligne à AC jusqu'en février 2011 et d'une nouvelle
référence dans leur CV suivant l'intitulé ci-après
[Author name], 2009. [The title of author's case study]. In: Aquaculture Compendium. Wallingford, UK: CAB International.
Le paiement des Etudes de Cas ne sera effectué qu'à l'achèvement du travail sur la demande du consortium SARNISSA
Par ailleurs, les auteurs des études jugées les plus intéressantes, deux en anglais et deux en français seront dotés d'un ouvrage sur l'Aquaculture par Stirling University, WorldFish Center et le CIRAD.
La date limite de soumission de l'étude de cas est le 15 juin 2009.
Merci de faire bénéficier l'aquaculture de votre experience.
Will Leschen et Olivier Mikolasek
SARNISSA
P Think Green - don't print this email unless you really need to
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The information contained in this e-mail and any files transmitted with it is confidential and is for the exclusive use of the intended recipient. If you are not the intended recipient please note that any distribution, copying or use of this communication or the information in it is prohibited.
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CABI is an International Organization recognised by the UK Government under Statutory Instrument 1982 No. 1071.
**
Bonjour à tous,
Voici une traduction Google d'échanges sur la liste anglophone
susceptibles de vous intéresser. La qualité n'est pas excellente,
veuillez m'en excuser mais nous manquons de main d'oeuvre pour assurer
les traductions et le but est de comprendre l'essentiel. Si certains
points précis vous intéressent particulièrement et sont absolument
incompréhensibles, dites-le moi et nous essaierons de traduire au
mieux de courts passages !
Bien amicalement
Lionel
----- Original Message -----
Karen L. Veverica
Envoyé: 27 Mai 2009 19h57
To: sarnissa-african-aquaculture Liste de diffusion
Sujet: [Sarnissa-african-aquaculture] tous les poissons-chats de frai
techniques ont tous certaines avantages
Il ya 1 publication de l'Afrique du sud, qui était de décapage de la
laitance utilisé pour obtenir de petites quantités de spermatozoïdes à
féconder quelques œufs. Cela a été pas favorisé les exploitations
agricoles à grande échelle, car seulement quelques gouttes sont
suscité de la part du poisson. Mais il a été suggéré que si les
familles multiiple sont désirés ou de petites quantités d'œufs doivent
être fécondé, il ne travailler. Nous avons essayé au Kenya et
"travaillé", mais pas à notre satisfaction parce que nos besoins ne
sont pas tellement dans cette ligne de recherche .-- Je vois que le
chercheur a répondu, si vous laisser les détails pour lui.
Semi-frai naturel fonctionne bien, pour la plupart, mais est un peu
imprévisible. Toutefois, le plus grand inconvénient est le manque de
contrôle là où les oeufs sont déposés. Nous avons eu des cas où la femme
en fait pulvériser les œufs clair hors de l'eau et ils seront
trouvé coincé sur les côtés de la citerne d'eau au-dessus de la ligne.
A noter aussi que peu importe la quantité et le substrat est bonne, il
ya toujours des oeufs coincé dans les réservoirs. Conclusion: si vous
n'êtes pas trop préoccupé par total œufs par kg de femmes géniteurs,
puis la semi-naturelles (où les femmes sont injecté, mais la
fertilisation est naturelle) est une bonne option.
Il ya beaucoup de gens pratiquent la chirurgie sur la suppression
partielle des testicules Clarias. La première, j'ai entendu a été de
Louvain et de Wageningen, mais je risque de dire que les agriculteurs
ont essayé mai plus tôt. Il a fait grand sens dans les pays où le
remplacement du stock de géniteurs a été de sexe masculin
problématique. D'autres ont essayé un certain type d'appareils
électriques "stimulation", sans grand succès.
L'un des processeurs est de tenter, à l'utilisation des testicules de
poisson-chat Clarias qui sont en cours de traitement, qui exige que
les femmes sont prêts à être retirés à un moment où les poissons sont
arrivés à la transformation. Très difficile, mais pas impossible.
Toujours pas de contrôle sur la filiation.
Souvent, les agriculteurs ont des besoins différents de ceux des
chercheurs. Selon mon expérience, les agriculteurs sont généralement
les premiers à essayer des choses et les chercheurs venir et
d'expliquer la raison pour laquelle il travaille, ou de mettre les
numéros de téléphone pour lui et parfois apporter des améliorations.
L'on revient à des agriculteurs où ils rendre plus pratique. Une belle
façon de collaborer.
--
Karen L. Veverica
Auburn University ministère des Pêches et aquaculture allié, Etats-Unis
bureau: +1-334-844-9201
portable: +1-334-332-1560
Chef de partie
L'USAID pour le développement durable des pêches investissement
Harvest (FISH)
Ouganda téléphone +256- 782-970-622
www.ag.auburn.edu/fish/international/uganda/
----- Original Message -----
De: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk
] au nom de Ben van der Waal
Envoyé: 27 Mai 2009 14h40
To: sarnissa-african-aquaculture Liste de diffusion
Sujet: [Sarnissa-african-aquaculture] stripping mâle C. gariepinus
SARNISSA Chers lecteurs,
Il est possible de strip masculin et féconder les œufs de poisson-
chat. Cela a été fait dans 80s, avec un peu plus faible que celle de
l'éclosion avec les testicules de sacrifié des hommes. Il pourrait
contribuer à maintenir les hommes en vie et continuer avec le
programme de sélection.
S'il vous plaît voir:
Van der Waal, BCW et L du Scrutin 1984.
Le succès des hommes handstripping Clarias
gariepinus. Eau S A 10 (4): 215-217.
Apprécier!
Ben van der Waal
-----Original Message-----
From: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk
] On Behalf Of Karen L. Veverica
Sent: 27 May 2009 19:57
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: [Sarnissa-african-aquaculture] all catfish spawning
techniques ALL have SOME advantages
There is 1 publication out of S. Africa, in which stripping of milt was
used to get small amounts of sperm to fertilize a few eggs. This was
not promoted for large scale farms because only a couple drops were
elicited from the fish. But it was suggested that if multiiple families
are desired or small amounts of eggs need to be fertilized, it would
work. We tried it in Kenya and it "worked" but not to our satisfaction
because our needs were not so much in this line of research.--I see the
researcher has replied, so will leave the details to him.
Semi-natural spawning works well for the most part but is a bit
unpredictable. However, the biggest drawback is the lack of control
over where the eggs are deposited. We've had cases where the female
would actually spray the eggs clear out of the water and they would be
found stuck to the sides of the tank above water line. Also note that
no matter how much and good the substrate is, there are always some eggs
stuck in the tanks. Conclusion: if you are not too concerned about total
eggs per kg female broodstock, then the semi-natural (where female is
injected but fertilization is natural) is a _very_ good option.
There are many people practicing surgical partial testes removal on
clarias. The first I heard of was from Leuven and Wageningen but I
hazard to say that rural farmers may have tried it earlier. It made
great sense in countries where replacing male broodstock was
problematic. Others have tried some type of electrical "stimulation",
with no great success.
One processors is attempting, use testes from clarias catfish that are
being processed, which requires that females are ready to be stripped at
a time when the fish arrived for processing. Very tricky but not
impossible. Also no control over parentage.
Often, farmers have different needs than researchers. In my experience,
farmers are usually the first to try things and then the researchers
come along and explain why it works, or put the numbers to it and
sometimes make improvements. The it gets back to the farmers where they
make it more practical. A nice way of collaborating.
--
Karen L. Veverica
Auburn University Dept. of Fisheries and Allied Aquacultures, USA
office: +1-334-844-9201
cell: +1-334-332-1560
Chief of Party
USAID Fisheries Investment for Sustainable Harvest (F.I.S.H.)
Uganda phone +256- 782-970-622
www.ag.auburn.edu/fish/international/uganda/
-----Original Message-----
From: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk
] On Behalf Of Ben van der Waal
Sent: 27 May 2009 14:40
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: [Sarnissa-african-aquaculture] stripping male C. gariepinus
Dear SARNISSA readers,
It is possible to strip male catfish and fertilize eggs. This was done
in
the 80's with a somewhat lower hatching rate than with testes from
sacrificed males. It could help to keep the males alive and continue
with
the selection programme. Please see: Van der Waal, B C W and L Polling
1984.
Successful handstripping of male Clarias
gariepinus. Water S A 10(4): 215-217.
Enjoy!
Ben van der Waal
_______________________________________________
--
Academic Excellence at the Heart of Scotland.
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour Mon Frère,
Heureux de te lire.Souhaitons une une belle occasion de nous retrouver enssemble pour le partage. Merci et franche collaboration.
--- En date de : Mer 27.5.09, Célestin Boua Atsé <atse_boua_celestin(a)hotmail.com> a écrit :
De: Célestin Boua Atsé <atse_boua_celestin(a)hotmail.com>
Objet: [{SPAM?} score 5.7] RE: [Sarnissa-french-aquaculture] mes activités
À: "SARNISSA MESSAGE" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Date: Mercredi 27 Mai 2009, 20h54
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Bonjour Cher Frère
Je suis très intéressé par ton profile et aimerais partager des expériences sur l'aquaculture des clariidés avec toi.
J'ai déjà donné mon profil sur le reseau et tu peux le consulter.
On échangera par la suite sur les expériences et les travaux à faire
Merci
Dr ATSE Boua Célestin
Chercheur au Centre de Recherches Océanologies
Abidjan
Date: Tue, 26 May 2009 18:40:08 +0000
From: andremulangu(a)yahoo.fr
To: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Subject: [Sarnissa-french-aquaculture] mes activités
Bonsoir,
Je suis Ir.Agronome Zootechnicien de l' Université de Lubumbashi,actuellement Chef de Travaux à L' Université Officielle de Mbujimayi où j' assure les cours ci-après:
-Limnologie, ichtyologie et pisciculture,
-agrostologie et cultures fourragères;
-Zootechnie générale;
-Bromatologie;
-Les machines agricoles.
Je suis Master en aquaculture de l' UNiversité de Lubumbashi.Je mène mes recherches en nutrition animale précisement dans la nutrition de poisson Clarias gariepinus.
Je compte partager les experiences avec les autres pisciculteurs du monde scientifique.
Voilà en gros mes activités académiques.
En dehors de ces activités, je suis un praticien pisciculteur car j' encadre les paysans en leur donnant des techniques appropriés pour qu' ils développent leurs activités.
Merci et franche collaboration
Ir. André Mulangu kabamba
Créez un personnage à votre image pour votre WL Messenger Venez voir
-----La pièce jointe associée suit-----
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
Bonsoir,
Je suis Ir.Agronome Zootechnicien de l' Université de Lubumbashi,actuellement Chef de Travaux à L' Université Officielle de Mbujimayi où j' assure les cours ci-après:
-Limnologie, ichtyologie et pisciculture,
-agrostologie et cultures fourragères;
-Zootechnie générale;
-Bromatologie;
-Les machines agricoles.
Je suis Master en aquaculture de l' UNiversité de Lubumbashi.Je mène mes recherches en nutrition animale précisement dans la nutrition de poisson Clarias gariepinus.
Je compte partager les experiences avec les autres pisciculteurs du monde scientifique.
Voilà en gros mes activités académiques.
En dehors de ces activités, je suis un praticien pisciculteur car j' encadre les paysans en leur donnant des techniques appropriés pour qu' ils développent leurs activités.
Merci et franche collaboration
Ir. André Mulangu kabamba
Translated from English forum - Dave Little
Chers tous,
Plus de 20 ans, quand «le poisson-chat africain" a été prise dans le Mékong du Laos à la Thaïlande d'où il avait été introduit à partir de Vietnam je comprends et d'une partie de l'ère soviétique, réseau de développement de l'Afrique - je visitais certains couvoirs de Nong Khai . Dans un grand mâle un poisson-chat a été la natation dans un réservoir en béton avec une extension de fil de son ventre. J'ai demandé à l'agriculteur ce qui s'était passé et il a dit qu'il avait enlevé une partie des testicules pour la fertilisation des oeufs, le poisson cousue vers le haut et il était en convalescence. De plus lorsque nous nous sommes penchés sur elle, il était clair que ce n'est pas la première fois qu'il avait fait ce qu'il y avait plusieurs cicatrices sur le poisson en suggérant que «la récolte» des testicules est possible et qu'ils repoussent. Après la couture, il place le poisson mettre un peu de crème antibiotique et il a dit que le poisson récupéré rapidement.
Il est clair à ce moment, les poissons ont été rares et précieux, ce fut un paysan pragmatique »poussant la frontière» et à venir avec une grande technique. Est-il désormais avoir la valeur dans le contexte Randy a décrit?
Ps les agriculteurs raison pour essayer, c'est que ce 'il a estimé désolé d'avoir à sacrifier les fish'-si les idées de bien-être des poissons ont été autour d'un tout dans cette partie du monde.
Amicalement
Dave
Translated from English forum - please join in the discussion !!
Chers collègues,
Pour autant que je sache, il n'existe pas de programmes de sélection Clarias organisé sur le continent, bien que certains stocks à la ferme mai ont été améliorés au fil des ans. Le principal problème de l'élevage Clarias est que les hommes sont habituellement tués au cours de la ponte. Le résultat est que les garçons, sont ensuite utilisés pour remplacer le père en tant que géniteurs, conduisant rapidement à l'élevage. Le meilleur poisson que j'ai vus sont essentiellement sauvage. Compte tenu de la rapide expansion de la culture Clarias, la possibilité de gains à l'élevage et a travers le quotidien de ces pertes représentent pour les pauvres de plus en plus Clarias stocks, nous avons besoin pour démarrer sur un programme de sélection bientôt.
Pour plus de détails, jetez un oeil à l'atelier ci-joint.
Randy
RE Brummett
WorldFish-Cameroun
----- Original Message -----
De: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk] au nom de William Leschen
Sent: Friday, 22 Mai, 2009 10:29 AM
To: sarnissa-african-aquaculture Liste de diffusion
Cc: Pierre Nna
Subject: Re: [Sarnissa-african-aquaculture] Re: Catfish lazera C. géniteurs
Cher Pierre,
Merci pour ce - en fait, Leslie a déjà écrit à dire qu'il a trouvé une source.
S'il vous plaît note dans ma compréhension de sa demande a été Clarias géniteurs qui ont été développées (par le biais de l'écloserie de reproduction et sélection) sur plusieurs générations dans le but d'améliorer certains aspects - par exemple, le taux de croissance, la taille finale, peut-être la résistance à la maladie? , Peut-être la forme? L'indice de masse corporelle, la chair ou au maximum la taille de filet, peut-être la croissance à plus faible ou plus élevée temps, l'applicabilité à la polyculture ou de plusieurs systèmes de monoculture intensive etc
Comme nous le savons tous cela a été fait abondamment pour Oreochromis niloticus et autres tilapias principalement en Asie mais S est maintenant au cours des dernières années commencent à être développés en Afrique par le biais de tilapia géniteurs des programmes de développement dans les fermes commerciales tels que le lac de récolte au Zimbabwe, l'Ouganda SON, TROPO Ghana etc
Leslie à la demande actuelle met en lumière les apparentes? manque de programmes de développement pour les géniteurs Clarias (également à l'avenir, pour Heterobranchus et même Heterotis?) avec la norme dans de nombreux pays continuent de s'appuyer sur la collecte des alevins sauvages capturés ou plus de poissons dans les rivières ou cours d'eau local que vous mentionnez souvent dans la saison des pluies. ? Cette méthode n'a pas de garantie, de la normalisation ou l'optimisation des taux de croissance ou de la viabilité financière résultant de la progéniture de plus en plus sur le marché de poisson de taille.
Peut-être d'autres membres de la liste peut nous donner quelques exemples de (ou passé?) Clarias géniteurs des programmes de développement en Afrique - l'industrie de la culture et l'augmentation de tonnes produites au Nigéria peut-être peut nous donner quelques exemples? Serait bon de connaître certains détails - les critères de sélection autres que le taux de croissance? De nos générations jusqu'à présent? Original source (s) de broodfish.
Meilleurs voeux
Will
Début du message réexpédié :
> De : FAO-Newsroom <FAO-Newsroom(a)fao.org>
> Date : 25 mai 2009 23:44:49 GMT+08:00
> À : Media-G-French-L(a)mailserv.fao.org
> Objet : Les acquisitions de terres en Afrique posent des risques
> pour les ruraux pauvres
>
>
>
> ...............................................................................................................................................
>
> COMMUNIQUÉ DE PRESSE 09/49 FR
>
> Contact:
> Erwin Northoff
> Relations médias, FAO
> (+39) 06 570 53105
> (+39) 348 252 3616
> erwin.northoff(a)fao.org
>
> Harold Liversage
> Expert en droit foncier, FIDA
> (+39) 06 545 92237
> H.Liversage(a)ifad.org
>
> Lorenzo Cotula, IIED
> +44 (0)1316247042
> Lorenzo.Cotula(a)iied.org
>
>
>
> Les acquisitions de terres en Afrique posent des risques pour les
> ruraux pauvres
> La première étude détaillée du phénomène met en garde contre ses
> effets sur les communautés rurales mais évoque aussi les bénéfices
> possibles
>
> Rome, 25 mai 2009 - Les achats de terres à grande échelle sont en
> rapide augmentation en Afrique et ailleurs, entraînant le risque, si
> ces opérations sont mal gérées, que les populations rurales les plus
> pauvres perdent leurs droits sur les terres et autres ressources
> naturelles, d’après la première étude détaillée de ces processus.
>
> L'étude a été réalisée par l'Institut International pour
> l'Environnement et le Développement (IIED, Londres) à la demande de
> l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et
> l'agriculture (FAO) et du Fonds International pour le Développement
> Agricole (FIDA). Elle montre que ces transactions sur la terre
> peuvent créer des opportunités (débouchés garantis, emplois,
> infrastructures, hausses de productivité agricole) mais peuvent
> aussi causer des dommages si les populations locales sont exclues
> des décisions et si leurs droits fonciers ne sont pas protégés.
>
> Le rapport souligne un certain nombre de préjugés erronés sur ce
> qu’on a appelé l’accaparement (ou la spoliation) des terres. Il met
> en évidence le fait que ces transactions ont augmenté rapidement
> depuis cinq ans.
>
> Mais, alors que les investissements étrangers sont les plus
> nombreux, les investisseurs nationaux jouent aussi un rôle important
> dans ces acquisitions à grande échelle.
>
> Les transactions impliquant des acteurs privés (entreprises) sont
> plus nombreuses que celles de gouvernement à gouvernement, bien que
> les gouvernements utilisent des moyens indirects pour soutenir des
> transactions faites par des entreprises.
>
> Les inquiétudes concernant la sécurité des approvisionnements
> alimentaires ou en énergie sont des motivations clés pour les
> acquéreurs, mais d’autres facteurs tels que les opportunités de
> profit, la demande de matières premières pour l’industrie ou
> l’action des pays d’accueil jouent aussi un rôle.
>
> Bien que les acquisitions à grande échelle ne représentent encore
> qu’une petite part des terres cultivables dans la plupart des pays,
> il n’y a que très peu de terres vraiment disponibles, car la plus
> grande part des terres de qualité sont déjà cultivées ou
> appropriées, le plus souvent par les populations locales.
>
> L’étude a révélé que beaucoup de pays n’ont pas de mécanismes
> suffisants pour protéger les droits locaux et pour prendre en compte
> les intérêts et moyens d’existence des populations locales.
>
> Un manque de transparence et de moyens de contrôle public dans la
> négociation des contrats peut favoriser des accords qui ne
> maximisent pas l’intérêt public.
>
> Des droits fonciers locaux incertains, des procédures
> d’enregistrement des terres peu accessibles aux populations, des
> législations incomplètes et d’autres facteurs affaiblissent trop
> souvent la position des populations locales.
>
> Appréciation prudente
>
> Le rapport appelle à une appréciation prudente des contextes locaux,
> y compris concernant les utilisations et formes actuelles de
> contrôle des terres; à une sécurisation des droits des communautés
> locales; à impliquer les populations dans les négociations, et à
> n’approuver la cession des terres qu’après leur accord préalable
> libre et bien informé.
>
> Les chercheurs de l’IIED Lorenzo Cotula et Sonja Vermeulen appellent
> à la prudence: les types d’acquisition varient fortement et les
> affirmations générales sur la spoliation des terres sont très
> trompeuses.
>
> «En fin de compte, la possibilité que ces accords internationaux
> développent les opportunités positives et tempèrent les risques
> dépend de leurs modalités et conditions: quels modèles d'entreprises
> sont mis en place, comment les coûts et les bénéfices sont partagés,
> qui décide sur ces questions et comment?, dit M. Cotula. Ceci
> appelle des régulations adéquates, de bonnes négociations et une
> supervision par l'Etat.
>
> «L'ampleur des acquisitions de terre a été exagérée, mais dans de
> nombreux pays les accords qui permettent la propriété des terres par
> les étrangers peuvent être très problématiques».
>
> Des défis mondiaux
>
> Alexander Mueller, responsable du Département de l'Environnement et
> des Ressources Naturelles à la FAO, insiste sur la nécessité de voir
> l'investissement étranger et les acquisitions à grande échelle dans
> le contexte des nouveaux défis globaux de l'environnement et de la
> sécurité alimentaire.
>
> «Ce nouveau phénomène (l'achat massif de terres agricoles) est un
> résultat de la récente crise alimentaire et de la volatilité des
> prix des aliments, entre autres causes. Les nouveaux défis de
> l'insécurité alimentaire et de l'investissement globalisé doivent
> être relevés à travers des régulations adéquates, ainsi que des
> politiques agricoles et alimentaires bien informées.
>
> «Cette étude devrait aider à situer les décisions d'investissement
> dans une compréhension globale de toutes les implications, y compris
> sociales et environnementales. Des directives pour la bonne
> gouvernance foncière, ou un code définissant des règles pour les
> investissements, pourraient être utiles pour améliorer les
> mécanismes de décision et la négociation des contrats. La FAO et ses
> partenaires travaillent ensemble pour développer de telles
> directives et la présente étude est une première étape dans ce
> processus.»
>
> "J'éviterais le terme générique de "spoliation des terres", dit
> Rodney Cooke, Directeur de la Division consultative technique du
> FIDA. «Réalisés de la bonne façon, ces accords peuvent apporter des
> résultats positifs pour toutes les parties et être un outil de
> développement.
>
> «Les femmes et les hommes pauvres avec qui le FIDA travaille chaque
> jour ne doivent pas être marginalisés. Leur contribution et leurs
> intérêts doivent être centraux, et nous devons faire en sorte que
> les bénéfices promis, tels que l'emploi, les infrastructures et les
> connaissances agricoles, se matérialisent».
>
> L'étude «Accaparement des terres ou opportunités de développement?
> Investissements agricoles et transactions foncières internationales
> en Afrique» se base sur des recherches de terrain originales en
> Ethiopie, au Ghana, au Mali, au Kenya, à Madagascar, au Mozambique,
> au Soudan et en Zambie.
>
> Elle a été réalisée par une équipe de l'IIED en étroite
> collaboration avec la FAO et le FIDA. Elle a été financée par la
> FAO, le FIDA, l'IIED et le Département du Royaume-Uni pour le
> Développement International (DFID).
>
>
> Nouvelles FAO sur l'Internet: http://www.fao.org/newsroom/fr/
>
> ...............................................................................................................................................
>
> Radio: Liliane Kambirigi, Chargée d'information (Radio), (+39) 06
> 570 53223
>
> TV: Bou Downes, Chargée d'information (TV), tel. (+39) 06 570
> 55980 / 53963
>
> Photos: La phototèque de la FAO offre des photos de résolution
> supérieure sans aucun coût: http://www.fao.org/newsroom/fr/photo/index.html
>
> Ce communiqué de presse a été publié par le Bureau Relations avec
> les médias FAO (FAO, www.fao.org). Pour vous désabonner de ce
> service des nouvelles, veuillez envoyer un courriel au mailserv(a)mailserv.fao.org
> avec uniquement le message suivant "unsubscribe Media-G-French-L"
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Début du message réexpédié :
> De : FAO-Newsroom <FAO-Newsroom(a)fao.org>
> Date : 22 mai 2009 16:08:41 GMT+08:00
> À : Media-G-French-L(a)mailserv.fao.org
> Objet : Lancement d'un portail sur le bien-être animal
>
>
>
> ...............................................................................................................................................
>
> COMMUNIQUÉ DE PRESSE 09/48 FR
>
> Contact:
> Hilary Clarke
> FAO, Rome
> (+39) 06 570 52514
> hilary.clarke(a)fao.org
>
> Lancement d’un portail sur le bien-être animal
> Il est destiné aux décideurs, agriculteurs, scientifiques et
> organisations de défense du bien-être animal
>
> Rome, 22 mai 2009 – Un nouveau portail Internet a été lancé
> aujourd’hui par la FAO. Il servira de "guichet" pour quiconque est à
> la recherche d’informations à jour sur le bien-être des animaux
> d’élevage.
>
> Le Portail sur le bien-être des animaux de ferme a pour vocation de
> centraliser des informations fiables sur la législation et les
> résultats de recherche dans le secteur, de même que sur les normes,
> pratiques et politiques intéressant le bien-être animal.
> Les utilisateurs ciblés sont les agriculteurs et les responsables
> des administrations, les législateurs, les chercheurs, l’industrie
> alimentaire et de l’élevage et les organisations non gouvernementales.
>
> Il constituera une tribune importante pour toutes les questions
> relatives au bien-être des animaux tels que le transport, la gestion
> de l’abattage et du pré-abattage, l’élevage et la manipulation des
> animaux, et l’abattage de masse en cas d’épidémie.
>
> Le tiers des apports protéiques
>
> La production animale représente 40 pour cent de la valeur de la
> production agricole mondiale, et les produits d’origine animale
> assurent un tiers des apports protéiques de l’humanité.
>
> Les animaux sont également source de revenus, de statut social et de
> sécurité pour environ un milliard de personnes dans le monde, dont
> un grand nombre de pauvres.
>
> Depuis les années 90, le centre de gravité de la production animale
> s’est déplacé du Nord au Sud et un certain nombre de pays en
> développement se sont retrouvés sur le devant de la scène en tant
> qu’acteurs influents.
>
> “Tout programme visant à améliorer la santé animale, accroître la
> production et faire face aux catastrophes naturelles qui frappent
> aussi les animaux doit comporter une composante de bien-être
> animal”, selon M. Samuel Jutzi, Directeur de la Division de la santé
> et de la production animales à la FAO.
>
> “Ce portail répond à un réel besoin d’information dans ce domaine de
> la plus haute importance.”
>
> En offrant aux gouvernements, aux professionnels et aux producteurs
> des pays moins avancés un accès en ligne aux informations les plus
> récentes et l’opportunité de transmettre eux-mêmes des informations,
> le portail aidera à améliorer le bien-être, la santé et la
> productivité des animaux d’élevage dans le monde.
>
> Des débouchés
>
> Le respect des normes de bien-être animal peut ouvrir des débouchés
> sur les marchés internationaux pour les pays moins avancés.
>
> Le portail proposera notamment des conférences et des séminaires en
> ligne. La FAO a mis au point ce portail en collaboration avec des
> partenaires internationaux en matière de bien-être animal:
> Commission européenne, Fonds international pour le développement
> agricole (FIDA), Organisation mondiale de la santé animale (OIE),
> Compassion In World Farming, Humane Society International, Fonds
> international pour la protection des animaux, Royal Society for the
> Prevention of Cruelty to Animals (RSPCA), The Brooke, Société
> mondiale pour la protection des animaux (WSPA), Fédération laitière
> internationale (IDF), Fédération internationale des producteurs
> agricoles (FIPA) et World Veterinary Association (WVA).
>
> ****
>
> Le portail sur le bien-être des animaux d'élevage (en anglais)
> http://www.fao.org/ag/againfo/programmes/animal-welfare/en/
>
> Nouvelles FAO sur l'Internet: http://www.fao.org/newsroom/fr/
>
> ...............................................................................................................................................
>
> Radio: Liliane Kambirigi, Chargée d'information (Radio), (+39) 06
> 570 53223
>
> TV: Bou Downes, Chargée d'information (TV), tel. (+39) 06 570
> 55980 / 53963
>
> Photos: La phototèque de la FAO offre des photos de résolution
> supérieure sans aucun coût: http://www.fao.org/newsroom/fr/photo/index.html
>
> Ce communiqué de presse a été publié par le Bureau Relations avec
> les médias FAO (FAO, www.fao.org). Pour vous désabonner de ce
> service des nouvelles, veuillez envoyer un courriel au mailserv(a)mailserv.fao.org
> avec uniquement le message suivant "unsubscribe Media-G-French-L"
--
http://agents.cirad.fr/index.php/lionel.dabbadie
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Je suis très intéressé de vous envoyer une "histoire" mais je ne trouve pas le formulaire évoqué.
Respectueusement,
BOUDA
--- En date de : Jeu 21.5.09, William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk> a écrit :
De: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
Objet: [Sarnissa-french-aquaculture] Etudes de Cas
À: "sarnissa-french-aquaculture Mailing List" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Cc: "g.richards(a)cabi.org" <g.richards(a)cabi.org>, "Olivier MIKOLASEK" <olivier.mikolasek(a)cirad.fr>
Date: Jeudi 21 Mai 2009, 18h38
Avez vous une "histoire" à nous raconter sur l'aquaculture africaine.
Si vous en avez une, vous pourrez gagner 300 euros pour la publier dans Aquaculture Compedium (http://www.cabi.org/compendia/ac/index.asp!
Nous cherchons des candidats pour rédiger des études de cas pour SARNISSA. Vous pouvez décrire/analyser un projet dans lequel vous êtes engagé, concernant votre travail en aquaculture, ou rédiger une synthèse dans votre domaine de compétence.
Les études de cas sont des textes qui font le lien entre la théorie et la pratique en aquaculture ou dans la gestion des ressources aquatiques. Elles sont constituées d'une dizaine de pages (format A4) ou de 3 à 5 milles mots. Elles peuvent relater des succès ou des échecs, ou des situations particulières ou des événements qui peuvent être riches en enseignements.
Regardez les exemples ci-joints. Il s'agira de la première série d'études de cas publiées en français dans le Compendium Aquaculture qui n'en compte aucune pour le moment susceptible de servir d'exemple. Certaines sont toutefois en préparation et nous les enverrons aux membres de SARNISSA dès qu'elles seront prêtes.
Si vous pensez avoir une ou plusieurs "histoire(s)" à partager, envoyer nous un titre et un résumé qui ne dépasse pas 300 mots. Chaque participant peut proposer trois études de cas. Employez le formulaire ci-joint pour soumettre vos études de cas. Envoyez votre formulaire complété par email á:
Will Leschen: william.leschen(a)stir.ac.uk<mailto:william.leschen@stir.ac.uk>
et Olivier Mikolasec olivier.mikolasec(a)cirad.fr<mailto:olivier.mikolasec@cirad.fr>
Les auteurs qui auront les meilleurs idées, seront sollicités pour rédiger une étude de cas complète, et la procédure de rédaction terminée, ils bénéficieront:
d'un paiement de 300 euros
d'un accés en ligne à AC jusqu'en février 2011 et d'une nouvelle
référence dans leur CV suivant l'intitulé ci-après
[Author name], 2009. [The title of author's case study]. In: Aquaculture Compendium. Wallingford, UK: CAB International.
Le paiement des Etudes de Cas ne sera effectué qu'à l'achèvement du travail sur la demande du consortium SARNISSA
Par ailleurs, les auteurs des études jugées les plus intéressantes, deux en anglais et deux en français seront dotés d'un ouvrage sur l'Aquaculture par Stirling University, WorldFish Center et le CIRAD.
La date limite de soumission de l'étude de cas est le 15 juin 2009.
Merci de faire bénéficier l'aquaculture de votre experience.
Will Leschen et Olivier Mikolasek
SARNISSA
P Think Green - don't print this email unless you really need to
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