Bonjour à tous,
Comme tous les mois, voici un résumé du contenu des liens disponibles
sur le site web http://www.sarnissa.org/tiki-index.php?page=Latest+Media+African+Aquaculture
La traduction est automatique, j'espère qu'elle n'est pas trop gênante
et permet de comprendre l'essentiel. Je ne peux matériellement pas
tout traduire, mais si un point ou l'autre vous intéresse
particulièrement et que la traduction est incompréhensible, n'hésitez
pas à me demander des précisions.
Bien amicalement à tous
Lionel
L'aquaculture en Afrique / Mise à jour d'Octobre
La validité de toute information ou les chiffres cités sont de la
responsabilité des différents journaux et sites web concernés.
Hors Afrique
* Belgique: 530 tonnes de tilapia évacués
VitaFish la compagnie qui se spécialise dans l'aquaculture du tilapia
a été déclarée en faillite en août dernier. En l'absence de tout
acheteur, le maire de Mouscron, Alfred Sim, a rendu une ordonnance de
procéder à l'évacuation de 530 tonnes de poissons stockés dans des
installations de VitaFish Dottignies (Mouscron). Ce plan aura une
durée de cinquante jours. Pour éviter tout risque pour la santé, la
municipalité financera le démantèlement des VitaFish. Le coût est
estimé à environ € 300.000 [35] [37].
* Belgique: Joosen-Luyckx reprend VitaFish faillite
Feed Aqua Belgique spécialiste Joosen-Luyckx a repris l'entreprise en
faillite VitaFish, spécialisée dans la culture du tilapia. À l'heure
actuelle une dizaine de personnes travaillent à VitaFish; avant la
faillite, elle employait 30 personnes. Emplois actuels seront
maintenus et dans un proche avenir d'autres emplois seront créés,
Joosen-Luyckx dit. La société se propose de résoudre d'abord les
problèmes financiers de VitaFish et ensuite améliorer la performance
par une diversification des espèces cultivées [42].
Bénin
* Communautés de pêcheurs cherche une solution pour assurer leur
avenir
Dans le sud du Bénin, ID Pêche soutient les pêcheurs creusant leurs
propres étangs en fournissant des alevins [17].
Cameroun
* La pisciculture à ralentir dépendance continuelle pygmys Baka
»sur la viande de brousse
Par les lois forestières de 1994, National Parcs tombent sous la
sphère du domaine forestier permanent. La loi stipule expressément:
«L'accès du public aux forêts domaniales mai être réglementés ou
interdits». Plus de 30.000 pygmées Baka, qui vivent dans la région de
voir ces restrictions comme une atteinte à leur droit d'accès à la
forêt qu'ils considèrent comme leur patrie naturelle. Les
préoccupations ont piqué la conscience du gouvernement du Cameroun et
ses partenaires de la conservation, notamment le World Wildlife Fund
(WWF). Les deux entités ont déjà terminé une étude qui recommande un
changement de paradigmes de conservation. Entre autres actions, ils
sont engagés à introduire pigmys Baka à la pisciculture comme un moyen
de ralentir leur dépendance constante de la viande de brousse pour la
protéine [10].
Tchad
* La FAO soutient la culture du riz et de l'aquaculture
FAO de soutenir le Programme national de sécurité alimentaire
(Programme National de Sécurité Alimentaire PNSA) qui est composée de
huit sous-programmes parmi lesquels ceux du riz et de la pisciculture
[9].
Ghana
* Triton Aquaculture Africa Limited investit dans des projets
d'aquaculture
Les chiffres disponibles au Haut-commissariat du Ghana à Londres
indiquent que près de 400 projets d'investissements privés directs en
provenance du Royaume-Uni (UK), venue au Ghana, entre 2008 et cette
année. Entre autres, l'agent chargé du Commerce et de l'investissement
au Haut-commissariat du Ghana à Londres, M. George Fynn a mentionné un
projet de Tema, connu comme le Triton Limited Afrique de l'aquaculture
de la Grande-Bretagne, en mettant l'accent sur l'aquaculture,
écloserie, usine d'alimentation et de transformation pour les poissons
et volailles, avec une valeur estimée à 1,35 million de dollars [18].
* Déficit de poisson du Ghana: Aquaculture vient à la rescousse
Ressources marines du Ghana de continuer à diminuer, entraînant des
captures faibles par les pêcheurs. Actuellement, l'exigence totale de
poissons du pays s'élève à 88.000 tonnes métriques mais seulement 4,
200 tonnes métriques de poisson est produite. Mais le Ghana peut
maintenant se vanter d'être le foyer de la deuxième ferme du plus gros
poisson en Afrique, le premier en Afrique du Sud. Une étude a révélé
que dans des systèmes d'irrigation, la pisciculture est la plus
susceptible de se développer dans Ashanti, l'Est, partie Nord de la
région du Centre, et la région du Grand Accra. Mark Amechi, le
Directeur général du Tropo Farms Limited, une ferme de l'aquaculture
de poissons avec 40 acres d'écloserie et quelque 170 cages sur le lac
Volta, qui est considérée comme la deuxième plus grande ferme
aquatique de l'Afrique, s'est plaint que le système fleurissent de
nouvelles fermes sur les Akosombo Gorge est préoccupante et que la
réglementation appropriée doit être fait pour s'assurer que
l'industrie atteigne son plein potentiel. M. Amechi a peur de ces
investisseurs peu scrupuleux dans l'industrie pourrait importer une
croissance plus rapide de tilapia à la suite de la compétition et qui
pourrait conduire à la pollution du lac [34].
Côte-d'Ivoire
* Selon les experts grecs, Côte-d'Ivoire peut être un grand
producteur
Professeur Kostas Perdikaris, expert grec en pisciculture a déclaré
cette Octobre 1er dans la Grand-Bassam, Côte-d'Ivoire qui a tous les
éléments nécessaires à la production massive de poissons. Ce potentiel
comprend des zones d'eau: 150.000 ha de lagunes, 350,000 ha de lacs et
de nombreuses zones humides. Toutefois, depuis 2000, la production
annuelle n'a atteint 1.200 tonnes. C'est pourquoi les experts grecs
voulons aider les jeunes de Grand Bassam devenir des producteurs et
exportateurs énorme poisson [4].
* Grec Fondation soutient l'aquaculture ivoirien
Un atelier de formation en aquaculture visant à soutenir les 100
jeunes a commencé ce Septembre 30 en Grand-Bassam. La réunion est
organisée par l'Action grecque »en Afrique Foundation" (Fondation
Action Grecque en Afrique), en collaboration avec l'ONG «Pensée et
Action Committee" (Comité de Réflexion et action-Cora). Le président
de la "Fondation Action Grecque en Afrique", Mme Méro Kececioglu
Kylicas dit que les trois formateurs enseignent à l'Université de
Igoumenista. Ils sont le Dr Kostas Perdikaris, M. Thanasis
Chantzaropulos et le Dr Yannis Paschos. La formation comprend des
cours de biologie des poissons, la reproduction et l'agriculture. Cora
vise à ouvrir 3 exploitations chaque année à Grand-Bassam, à la fois
pour mâchoirons(Chrysichthys nigrodigitatus) et le tilapia. En 2007,
la "Fondation Action Grecque en Afrique» a financé une formation d'un
mois en Grèce pour 30 jeunes de Grand-Bassam et Jacqueville [6].
* Le Grand-Bassam aquarium, un centre spécialisé dans
l'aquaculture, est confrontée à d'énormes difficultés
Avec son toit et l'entrepôt en ruines, la boutique délabrée, une
plomberie désuètes, pas d'électricité pendant 6 mois, les étangs, même
ceux rénové en Juillet 2008, dans un mauvais état, les poissons
undernourrished, le centre qui s'étend sur une superficie d'environ 4
ha est en grande difficulté. Au départ, elle produisait des alevins de
poisson-chat et le tilapia. Selon Luc Bedjiro Galoh, gestionnaire de
groupe, les difficultés ont commencé en 2008 avec factures impayées
pour l'électricité et le manque de fonds. Tout s'est bien passé avant,
quand ils ont commencé une formation sur les pratiques de
l'aquaculture. Il y avait 29 employés au départ, seulement 10
maintenant. En Mai 2007, 12 d'entre eux se rendre en Grèce pour une
formation soutenue par le consul général de la Côte d'Ivoire en Grèce.
En 2008, ils ont reçu un fonds fournis par la Première Dame, qui a été
prévu de donner une impulsion vers le centre. Malheureusement, c'est
le contraire qui s'est produit. Bedjiro et ses amis sont toujours
plein d'espoir. Ils ont l'ambition de faire de ce site un grand centre
pour la production de poissons-chats, des alevins de tilapia et de
formation sur la pisciculture. L'aquarium a été construit par l'Union
européenne et le gouvernement ivoirien dans les années 1960 pour
promouvoir l'enseignement et l'insertion des jeunes dans l'entreprise
agricole. Le site a longtemps été géré par le ministère des Forêts.
Puis il passe par les mains du secteur privé, le dernier opérateur
étant «poisson d'Afrique», après quoi, le ministère de la Production
animale et des Ressources halieutiques vendus sur le site pour le
conseil général de Grand-Bassam dans le cadre de la politique de
décentralisation [13].
* UDPCI de programmes du gouvernement
Mabri Toikeusse, qui sera le candidat de l'UDPCI candidat à la
présidence de la prochaine élection a révélé son programme de
gouvernement et s'est engagé à réhabiliter et promouvoir des projets
de pisciculture, aquaculture et la pêche [28].
Kenya
* Province de l'Ouest qui vont bénéficier du plan de pisciculture
Une initiative visant à développer la pêche dans la province de
l'Ouest sera dévoilé en Octobre 2009 dans le cadre du dossier national
de relance économique. Les 24 circonscriptions de la province sont
destinés à bénéficier du plan de pisciculture que les objectifs 4800
étangs de pisciculture on creuse dans la région à élever des espèces
de poissons différentes. Le projet devrait créer 50.000 emplois dans
la province. Une équipe du ministère de la pêche est actuellement en
voyage en Indonésie, où la pisciculture a transformé la production de
poisson au cours des quatre dernières années, passant de 1 million de
tonnes en 2004, à 7 millions de tonnes actuellement. Les analystes
disent que l'expansion continue de l'aéroport de Kisumu soulève les
perspectives du marché des poissons élevés dans la province. Plusieurs
usines de transformation du poisson pourrait se poser dans la région,
créant ainsi plusieurs possibilités d'emploi [30].
* Sh31 millions ajoutés à Kitty pisciculture
L'élevage de poissons d'étang kitty Sh1.2 milliards d'euros a reçu un
autre million de dollars Sh31 coup de pouce de l'alimentation et
l'agriculture (FAO). Les fonds permettront d'aider les agriculteurs à
Yala de Siaya, Luanda en Emuhaya et Lurambi dans les quartiers
centraux de Kakamega de construire et d'étangs piscicoles stock, a
déclaré le représentant de la FAO au Kenya, M. Castro Camarada. La FAO
aidera aussi les pays à acquérir les nouvelles technologies provenant
d'autres pays à développer l'élevage de poissons d'étang [36].
Libéria
* 'Let's Prioriser l'aquaculture », dit le directeur du Bureau
National des Pêches
S'adressant aux journalistes à Klay Fish Hatchery le samedi, Octobre
10, le directeur du Bureau National des Pêches, M. Yevewuo Z. Subah, a
déclaré la qualité du poisson sur le marché est actuellement médiocre
en raison du fait que beaucoup de gens ne sont pas engagés dans la
pêche, alors que la population entière ne dépend que de poissons de
mer pour survivre. Le Bureau des pêches Directeur a déclaré se livrer
à l'aquaculture seront également contribuer à donner du temps pour les
poissons de mer à se multiplier. Le directeur national des pêches ont
visité les sites d'aquaculture de Montserrado, Bomi et Grand Cape
Mount ainsi que des participants d'un atelier sur la pêche et a ajouté
que le Ministère de l'Agriculture se lance aussi sur la
responsabilisation des agriculteurs dans cette direction. Il a
également visité un projet cage inspirée par les Philippines et appuyé
par un groupe de ce pays d'Asie [29].
Madagascar
* Mémorandum d'accord sur la protection et la reproduction des
ressources marines pour leur exploitation durable
Un Comité national de gestion des ressources piscicoles (CNGRH) a été
créé par un protocole d'accord entre le ministère des Pêches et des
Ressources Halieutiques, le groupe de professionnels de la pêche et
l'aquaculture et du Centre National de Recherches Océanographiques et
des ressources marines. Sa tâche sera d'aider le ministère des Pêches
et des Ressources Halieutiques de mettre en œuvre une politique de
protection et de reproduction des ressources halieutiques en
fournissant des conseils, des recommandations, et la certification de
valeur scientifique (développement de stratégies, la protection et
l'exploitation méthode de reproduction) sur la libéralisation de la
ressource développement et à la libre circulation des informations et
des données scientifiques [34].
Mali
* Fish farming développement: consultation des parties prenantes
Un atelier consultatif de parties prenantes dans le développement de
la pisciculture au Mali a eu lieu au Ministère de l'Elevage et de la
pêche le lundi, Octobre 19. En effet, étant donné la crise financière
et le phénomène récurrent de la migration des jeunes vers les centres
urbains, la pisciculture est en train de devenir une activité
révolutionnaire qui pourrait inverser la tendance. Quinze
municipalités de 71 candidats ont reçu un soutien pour la
pisciculture. Sur les 1 719 organismes eau énumérées dans les 15
municipalités, 150 ont été ensemencés et 41 réservoirs ont été
construits. Selon le Ministre de l'Elevage et des Pêches, à ce jour,
les 15 municipalités ont vendu plus de 189 millions de poissons et
alevins FCFA encore des vieux qui ont une valeur de 50 millions de
francs CFA. Le gain total est de 239 millions de francs CFA pour un
investissement total d'environ 50 millions de francs CFA financés par
le PACT et Suisse Contact [38].
Maurice
* Que nos lagons souffle!
Judex Rampaul, le président de l'Union des pêcheurs (SPM) donne une
interview très critique sur l'aquaculture et les problèmes qu'elle
pose aux pêcheurs et l'Environnement du lagon de Bambous-Virieux's.
Parmi les critiques sont la pollution organique, les requins
d'attraction, les sorties massives de poissons dans l'environnement
lorsque des cages éclater [44].
Maroc
* Ras El Ma ferme piscicole, une référence pour la production de
truites
Construit en 1957, Ras Al Ma ferme piscicole, située à quatre km
d'Ifrane, vise à produire des truites pour l'empoissonnement de la
rivière. C'est un centre de référence qui ont soutenu activement la
pêche sportive. Il a bénéficié d'un projet d'expansion, après quoi il
a gagné matériel scientifique et technique, laboratoire de recherche,
école de pêche et de la salle d'exposition. La production devrait
passer de 600.000 à 1.500.000 alevins par an, et de développer la
production de Langouste rouge (une espèce en voie de disparition) afin
de soutenir qu'il réintroduction dans la nature. Le Maroc est un pays
d'Afrique du Nord avec un potentiel énorme pour l'aquaculture. Environ
30 espèces ont été introduites au siècle dernier, dont 15 établies
dans l'environnement. Reproduction artificielle des autres atteint 3
millions d'alevins par an (600.000 salmonidés, 500.000 poissons
carnivores et 2.500.000 carpes). Pour la pêche sportive, en 2007, la
production a 160.000 pour la truite fario, 450.000 pour la truite arc
en ciel, 400.000 pour le brochet et de 300.000 pour le black-bass.
Plan d'expansion ont été opérés en 2006, 2007 et 2008 à Ras El Ma
(Ifrane), La Deroua (Beni Mellal) et Amghass (Ifrane) permet de
doubler la production en vue de parvenir à un objectif de 8 millions
d'alevins [7].
Mozambique
* Les possibilités abondent dans la pêche du Mozambique
Le gouvernement accorde la priorité au développement de l'aquaculture,
et dans l'élevage de crevettes en particulier. Les facteurs qui
attirent les investisseurs vers les pays d'Afrique australe: la
stabilité, la disponibilité des terres, des sources abondantes
d'électricité et l'accès à un vaste marché régional et international.
Le secteur des pêches et l'aquaculture s'est développée avec des
entreprises locales et étrangères faisant des investissements
importants. Crevettes et autres fruits de mer tels que crevettes ont
fait exceptionnellement bien dans les marchés européens et asiatiques.
Le secteur contribue à 3% du produit intérieur brut, avec une
production estimée à 88.000 tonnes en 2007. Lac Niassa, Cahora Bassa
et Massingir réservoir de barrage sont grands plans d'eau pour
soutenir l'industrie, tandis que les petites masses d'eau sont
largement exploitées par la pêche artisanale. En dehors de Cahora
Bassa réservoir où la pêche semi-industrielle pour les sardines ont
été développés, aucun développement significatif a été réalisé dans
d'autres eaux intérieures. La pêche continentale au Mozambique ont
donc un potentiel qui n'a pas été pleinement exploitées. Des
possibilités à court terme existent dans le développement et la
modernisation des opérations post-récolte tels que la manutention du
poisson frais, la transformation, la réfrigération et le stockage, le
transport, la distribution et l'emballage. L'absence de ces
installations dans presque tous les sites d'atterrissage de contribuer
à des pertes de récolte de plus de 50% [21].
Namibie
* Du secteur privé invités à investir dans l'aquaculture
Le gouvernement a investi un N estime à 62 millions de dollars dans le
développement de projets aquacoles à travers le pays, mais
l'augmentation des investissements par le secteur privé est
nécessaire, a déclaré Alushe Hitula, Directeur adjoint par intérim de
l'aquaculture au ministère des Pêches et des ressources marines. Le
Ministère invite donc les conseils régionaux à la terre prévaloir
auprès des investisseurs potentiels et l'Agribank Banque de
développement et de la Namibie à rendre le financement à la
disposition des investisseurs privés afin de développer le secteur de
l'aquaculture, un total de 16 fermes de mariculture sont exploités
actuellement dans le pays , qui comprennent les parcs à huîtres, une
ferme expérimentale à la Marine Sam Nujoma Research Centre, deux
fermes d'ormeaux et d'une ferme d'algues, ainsi que d'une ferme
expérimentale de la langouste. Le gouvernement a également élaboré
huit projets de pisciculture d'eau douce [23].
* La pisciculture est le meilleur type d'élevage
Les agriculteurs de Kunene, Oshana, Oshikoto, Ohangwena et Omusati
témoigné lors d'une réunion organisée par le ministère des Pêches et
des ressources marines en collaboration avec le Programme des Nations
Unies pour le développement, Ministère de l'Agriculture, des Eaux et
des Forêts et Adaptation aux changements climatiques du projet (PNUD /
MAWF CCA) . Le projet a fait don de 324 sacs d'aliments pour poissons
à 50 agriculteurs de cinq régions à Ongwediva samedi. Le coordinateur
du changement climatique projet exhorté les agriculteurs à mettre à
profit les aliments pour poissons, ajoutant que les animaux ne
devraient servir de base pour les pratiques d'élevage de poissons
grands. Prenant aussi la parole lors de l'événement était Ministère
des Pêches et des ressources marines de poissons Feed Nutritionniste,
Elizabeth Ndivayele, qui a ajouté que l'alimentation des poissons est
maintenant disponible et produite dans le pays contrairement au passé
où l'aliment a été importé d'Afrique du Sud: «La Namibie a maintenant
son propres aliments pour poissons usine à Onavivi Inland Aquaculture
Centre dans la région Omusati, qui est en marche. L'usine fabrique des
aliments pour poissons en utilisant des ingrédients disponibles
localement à un prix abordable »[35].
Nigéria
* Striking or en pisciculture
Il ya plusieurs milliers d'agriculteurs silure au Nigeria aujourd'hui.
Ces marques d'agriculteurs se trouvent couramment dans les grandes
villes nigérianes comme Lagos, Ogun, Plateau, Benue et les Etats de
Kaduna, entre autres. «Le secteur est vraiment un domaine où le
gouvernement devrait concentrer son attention sur plutôt que le
secteur pétrolier. Je tiens à vous assurer que l'activité de
pisciculture est en plein essor et elle continuera de s'agrandir.
Nourrir ma famille de l'entreprise et aussi envoyer mes enfants à
l'école. En fait, très bientôt, ma maison sera terminée ", a déclaré
l'un d'eux [24].
* Ornementales de la pêche
L'un des Centres d'ornement national des pêches (CFN), dans le pays se
trouve au stade MKO Abiola. Elle a pour double objectif d'être un
paradis touristique et un spinner de change, en particulier de la
publicité qui l'ornement de la pêche d'exportation en 2008 a
enregistré un bénéfice princière 100 milliards de dollars. CFN est un
fédéral et l'État d'Ogun projet du gouvernement destiné à la pêche
l'élaboration des politiques, le renforcement des capacités, la
recherche et l'émancipation pour tous les acteurs intéressés par les
achats, la production et la commercialisation des poissons d'aquarium
[24].
* Fish pourrait jouer un plus grand rôle dans la sécurité
alimentaire
Le poisson est un composant alimentaire important et l'un des rares
sources de protéines animales de premier choix pour de nombreuses
personnes en Afrique sub-saharienne, ce qui représente une moyenne de
20 pour cent des protéines totales; dans les zones côtières,
l'approvisionnement en poisson autant que 80 pour cent des animaux
protéines consommées. La pêche est pratiquée dans de nombreuses
rivières du Nigeria, de criques et lagunes tout chalutiers opèrent le
long de la côte, mais le total annuel des captures ne fournit que 50
pour cent des besoins en fruits de mer du pays, estimée à 800.000
tonnes, selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et
l'agriculture ( FAO). Nigeria importe plus de 200 millions de dollars
de produits de la mer chaque année pour compléter la production
locale. La consommation de produits fumés et séchés est en croissance,
notamment dans les zones les plus reculées, car ils sont faciles à
conserver et de consommer. Sewanu et d'autres pêcheurs utilisent de
simples instruments et de méthodes. Cette communauté de pêche repose
sur fonds collectés par la vente du poisson pour payer l'éducation de
leurs enfants et d'acheter d'autres nécessités de la vie. Quarante-
trois ans, Sewanu, qui enseigne aussi en école primaire du village,
fait entre 10.000 et 20.000 naira ($ 66 à 132 $) d'une bonne prise,
surtout quand il peut prendre des gros poissons des 10 kilomètres à
Badagry à temps pour les vendre frais. Même lorsque la capture est
petit, la famille va au moins avoir de la nourriture pour le pot, et
peut soulever l'équivalent de 5 $ ou $ 6 des ventes dans le marché
local. Mais les activités de Sewanu et d'autres a abouti à
l'épuisement des stocks de poissons, selon un analyste. «Nigeria's
eaux intérieures peut faire de l'auto-suffisance du Nigeria dans la
production de poissons et de protéines de poisson si elles sont bien
exploitées et gérées. Mais si les pêcheurs continuent à prendre de
l'eau sans reconstitution, il y aura pénurie", at Folake aréole,
président national de la Société sur les pêches du Nigeria (FISON).
L'Institut nigérian de recherche marine et d'océanographie, Lagos, a
développé des techniques pour permettre le tilapia à être mis en boîte
comme des sardines. "Lorsque cela est fait, plus de personnes seront
en mesure de se le permettre et donc avoir accès au produit et de
cette façon plus de gens auraient accès à des protéines de poisson et
de la sécurité alimentaire", a déclaré l'aréole. Elle a dit que le
ministère fédéral de l'agriculture fait aussi beaucoup à travers
différents projets d'agriculture et la production de poissons
d'alevins pour augmenter la production de poissons locaux [25] [31].
* Novus International pour soutenir l'aquaculture du Nigeria
Compte tenu de la pénurie chronique de produits de la pêche, le
Nigeria est engagé envers l'aquaculture. Ces derniers mois, le
gouvernement a mis en œuvre divers programmes pour accroître la
production aquatique national. Selon le Commissaire à l'Agriculture et
des Coopératives de l'Etat de Lagos, au sud-ouest du Nigéria, M. Enock
Ajiboso ", le Nigeria importe 900.000 tonnes de poissons pour 800
millions de dollars chaque année afin de combler l'écart. Nigérians
nécessité 2,1 millions de tonnes de poissons, mais ils produisent
seulement 650.000 tonnes par an ». "Toutefois, nous pensons que cette
tâche [du développement de l'aquaculture] ne doit pas être laissée
uniquement au gouvernement, où l'appel à la collaboration entre le
gouvernement et le secteur privé pour générer une croissance durable
de l'aquaculture au Nigéria». C'est la raison de la présence de Novus
International à un séminaire de l'aquaculture qui s'est tenue
récemment à Lagos. La société américaine est un producteur d'aliments
pour les porcs, les ruminants, la volaille, l'aquaculture et des
animaux. Novus a plus de 25 bureaux dans le monde entier et des
clients dans plus de 80 pays [27].
REUNION
* Pêche à la légine française de la Réunion se lancer sur le
chemin du CSM
Légine pêcheurs français ont demandé à Marine Stewardship Council
(MSC) évaluation afin de démontrer la durabilité de leurs pratiques de
pêche. La réunion Congélateur Palangrier Association des armateurs
(SARPC) a été formé par six sociétés de pêche qui ont l'autorisation
et les licences pour capturer la légine dans les zones françaises
économique exclusive (ZEE) du plateau de Kerguelen et la zone autour
de l'île Crozet. Chacun de ces domaines ont leur quota annuel. Les
compagnies de pêche exploitent sept palangriers de l'île française de
La Réunion. Il s'agit de la pêche française tiers à entrer dans le
programme MSC [8].
* ARDA (Association pour le développement de l'aquaculture à La
Réunion) nouvelles dans la presse
Désormais limité aux agriculteurs de quinze ans, l'aquaculture
pourrait prospérer, en réunion, en fonction de la disponibilité des
terres où les réservoirs d'élevage puissent être installées. De
l'Ouest le long du territoire (Saint-Leu, Trois-Bassins, Saint Paul,
La Possession, Le Port) pourrait accueillir un projet d'envergure en
2011 [15]. Première espèce développée par l'aquaculture marine à La
Réunion, l'ombrine rencontre des difficultés à s'imposer sur le marché
local. Le poisson cependant, ne manquent pas d'arguments [16]. En plus
de l'ombrine, l'ARDA expérimente actuellement la production de
nouvelles espèces [14].
* Un atelier régional sur la pêche et l'aquaculture
Un atelier régional sur la pêche et l'aquaculture ouvert sur Octobre,
22e au Centhor de Saint-Gilles-les-Hauts. Les participants discuteront
pendant deux jours les spécificités du secteur afin de discuter avec
l'Union européenne [41].
Rwanda
* Les prix du poisson varient en fonction sur les importations
Il ya une faible alimentation au Rwanda et le marché local doit
dépendre des importations en provenance des pays voisins. Environ 10
tonnes de poisson par semaine est importé. Un kilogramme de tilapia
frais coûte désormais Rwf1, 800 à partir Rwf1, 600, mais les prix
continuent à fluctue en fonction de l'approvisionnement en provenance
d'Ouganda et d'autres pays voisins [33].
Sénégal
* L'Office national de l'Aquaculture Agency (ANA)
Mission globale de l'Agence est de favoriser le développement des
activités aquacoles à travers la conception, la supervision et
l'évaluation des politiques et programmes identifiés dans ce domaine.
Comme telle, elle est principalement responsable de:
1. L'identification des sites d'aquaculture et fournir un soutien
et des conseils techniques aux professionnels;
2. Promouvoir l'initiative privée et encourager la création
d'entreprises d'aquaculture;
3. Promouvoir la coopération internationale dans l'aquaculture;
4. Conception, développement et réalisation de projets et
programmes de développement de l'aquaculture;
5. Promotion de la pêche de recherche spécialisés dans
l'aquaculture.
Il subit actuellement de 8 programmes:
1. Construction de deux centres techniques d'expérimentation et
d'études pilotes (l'un sur l'aquaculture d'eau douce à Richard Toll,
un autre sur la mer et saumâtre, avec le soutien de Corée)
2. Développement de fermes communautaires avec des étangs ou des
cages
3. Construction de dix fermes pilotes à cette fin sur la
démonstration de technologies (7 élevages en eau douce, 3 fermes pour
saumâtre ou marine). Les lieux choisis pour les fermes pilotes sont
Podor (Aramis), Tambacounda (Bakel, Gouloumbou, Kédougou) Anambas /
Kolda, Thiès / Joal, Fatick / Sokhon (pour l'ostréiculture).
4. Développement des bassins de rétention et autres plans d'eau
5. Programmes pour le contrôle des alevins et des chaînes de
production d'aliments
6. Programme de partenariat
7. Renforcement des capacités
8. Programme d'assistance technique de la FAO: TCP/SEN/3102 Afin
de promouvoir les poissons de petite et moyenne grâce à la formulation
de directives techniques et un plan d'investissement, le gouvernement
reçoit l'appui technique de la FAO [43].
* Inondations Kedougou détruire un CFA 29 millions (45,000 EUR)
projet d'élevage de poissons
Après des études en France, la pisciculture intégrée depuis neuf ans,
Dialiba Tandian suis retourné au Sénégal où, en partenariat avec
Abdoulaye Diallo Missirah dans le GIE, il a lancé le projet Samécouta
qui associe la pisciculture, l'élevage de poulet et de la culture des
cultures. Ils étaient soutenus par la Coopération française Agence
pour le développement et Cell. À l'intérieur de quelques mois, 3
étangs ont été construits, 1,5 ha de cultures, 0,5 ha de bananes et 1
ha de maïs ont été implantés. Par tout ce qui ont été détruits par
l'inondation, y compris le matériel comme les moto th. Fish était de 6
mois-vieux temps où elle s'est produite [1]. La valeur de la perte de
poissons est estimée à 2,5 millions de francs CFA (3800 euros) [3].
* Le secteur privé doit investir dans l'aquaculture
Il fait partie du mandat de l'ANA (Agence nationale de l'aquaculture)
pour soutenir l'accès du secteur privé à l'aquaculture, cependant,
jusqu'à présent, cela ne se transforme pas en réalité et ne sera pas
aussi longtemps que les outils financiers qui soutiennent cette
politique ne seront pas disponibles. C'est la raison pour laquelle le
directeur d'Ana, M. Amat Wade, a appelé à l'investissement:
«L'aquaculture est maintenant un sous-secteur et rentables pour
soutenir des projets, nous avons signé un mémorandum sur la
modernisation et l'intensification de l'agriculture, car nous avons
déjà des ressources financières relatives à ce programme ". Un contrat
type, adapté aux PME qui veulent investir, a été rédigé, de sorte
qu'ils peuvent demander des fonds d'une manière acceptable.
Utilisation de la FAO de l'argent, «nous permettra de financer des
opérateurs privés" garanties M. Wade. Le financement peut prendre en
charge les étangs, les cages, les aliments, faire frire, staff. Selon
le représentant de la FAO, M. Amadou Ouattara, la FAO a déjà soutenu
de l'aquaculture avec 400,000 USD(voir mise à jour de Septembre pour
la description des actions financées par laFAO). Secteur de
l'aquaculture au Sénégal se déplace très rapidement. De nombreuses
fermes d'aquaculture à petite échelle existent, comme celui du Haram,
près de Podor, où 20 villages se sont rassemblés au sein d'un comité
de gestion. Similaire est Diomandou projet où le tilapia et Yess sont
en cours d'élevage. Il ya aussi un projet pour l'élevage en eau salée
de daurade, le rouget et le mérou, avec le soutien de la coopération
coréenne. En date d'aujourd'hui, l'aquaculture d'eau douce est sous
contrôle au Sénégal. "Nous avons des opérateurs privés à Ross Béthio à
Serigne Abo Mbacké, Serigne Cheikh Ndao. Nous avons des opérateurs en
Casamance sur les algues marines et le tilapia, et à Joal, nous
voulons soutenir les groupes de femmes d'élevage des huîtres, car nous
avons constaté une diminution importante du rendement à la suite des
infrastructures de devenir vieux. plan d'eau n'est pas bien entretenu,
comme une conséquence du fait qu'il n'y a pas de comité de gestion ".
ANA a également mis alevins dans les barrages de l'agriculture, comme
ceux de Belvédère, Sebiponty et le Mont Rolland [5].
* Saline tilapia aquaculture
Dans sa ferme pilote d'alevins de Pont Emile Badiane, l'Agence
nationale pour l'aquaculture en stock deux étangs de 1.250 m2 avec des
stocks de géniteurs sauvages capturés de tilapia d'eau salée
(melanotheron Sarotherodon et Tilapiaguineensis). Le ratio hommes /
femmes est utilisée 1.200 femmes pour 750 hommes
(melanotheronSarotherodon) et 640 femmes pour 450 hommes
(Tilapiaguineensis). TANA, il est prévu de produire 1 500 000 alevins
par an pour fournir des pisciculteurs à Colobane (Cinq 1.000 m2 étangs
pour une capacité totale de production de 5 tonnes / 5 millions CFA
pour un cycle de 6 mois) [39].
* Future ferme aquacole à Ziguinchor devrait produire 500 tonnes
par an
Le National Aquaculture Agency (ANA) va bientôt lancer une ferme avec
une capacité de production de 500 tonnes d'espèces marines par an,
près du pont Emile Badiane pisciculture pilote. Ce sera à Colobane
(banlieue de la ville de Ziguinchor) où les autorités locales lui ont
accordé 10.000 m2 de terrain [40].
Sierra Leone
* Président Koroma discours devant le parlement
Le gouvernement assure un soutien pour la transformation de
l'expérimental Bo station d'élevage de poissons en un centre de
formation en aquaculture [29].
Afrique du Sud
* Knysna Oyster Festival
Les organisateurs de cette année Pick n Pay Knysna Oyster Festival a
dit que l'événement de cette année a connu un grand succès. «Nous
sommes ravis que les nombres étaient en place pour tous les événements
de cette année", a déclaré le manager du festival Nicci Rousseau-
Schmidt, «en dépit de nos inquiétudes quant aux effets de la récession
économique mondiale" [22].
Tunisie
* Tunisiens consomment de 9 kg de poissons par an et par habitant
La fin de Septembre marque la reprise des activités de pêche à la fin
des 3 mois, période de repos biologique qui a été créé dans le cadre
d'un programme destiné à accroître la production nationale de
poissons, en particulier par la promotion et l'encouragement de
l'aquaculture et la pisciculture. Toutefois, avec 9 kg / an /
habitant, la consommation nationale reste encore faible et d'unt le
même temps, une grande partie de la production nationale de poisson
est exportée à l'étranger, les exportations de poissons viennent en
deuxième position en termes de valeur, dans tous les tunisiens Les
exportations de produits agricoles - alimentaires, après celles de
l'huile d'olive. Tenant compte du fait que les pêcheurs et les
armateurs tunisiens critiquent l'évaluation des stocks halieutiques et
la période de repos biologique, certains citoyens et les commentateurs
en question le rôle de l'aquaculture et la pisciculture dans la
résolution de la question de la consommation de poisson dans Tunisie.
Selon eux, ils pourraient aider à augmenter la production mais pas à
augmenter la popularité de poissons, de même que l'industrie avicole
pour le poulet de la viande. Le gouvernement tunisien vise à augmenter
la production de l'aquaculture de poissons dans la Tunisie de 50 mille
tonnes dans les prochaines années [2].
* Le thon rouge pour aider l'aquaculture tunisienne égard
International Food Safety Standards (IFS)
La Tunisie a opté pour l'aquaculture, une activité à fort potentiel de
croissance élevé, et est désireuse d'en apprendre davantage sur les
nouvelles techniques de pisciculture qui suivons rigoureusement les
règlements de sécurité alimentaire. Industrie du thon rouge sera une
façon de présenter la conformité du pays avec l'IFS. "L'Italie est
l'un des principaux pays où le thon est exporté tunisien", a déclaré
le Directeur du Centre technique tunisien de l'aquaculture, Mustapha
Ben Dag à la conférence "L'aquaculture Med» qui s'est tenu à Vérone en
Italie, mais l'Italie a des exigences strictes pour son marché [45].
Ouganda
* Projet de pêche flops
Le Fisheries Development Project (FDP) d'une valeur de 22 M $ (sh42b)
n'a pas réussi à atteindre ses objectifs depuis son lancement en 2003.
Le Parlement n'est pas satisfaite de l'avancement du projet qui est
financé par la Banque africaine de développement (BAD) et le
gouvernement. Le taux d'exécution des activités du projet a été noté à
être lent. D'ici le 30 Juin 2008, le projet avait été utilisée
uniquement sh5b hors de la sh22b donné. Travaux de génie civil ont été
estimées à 45% pour Kajjansi, 80% pour les districts de Gulu, 50% pour
Bushenyi et 35% pour Mbale. Le vérificateur général a signalé que le
projet n'a pas été mis en œuvre selon le calendrier prévu et elle mai
ne pas répondre aux objectifs visés en Janvier 2010 [11].
* La pisciculture en Kabarole
La production de poissons dans le district de Kabarole est appelé à
augmenter après l'introduction de l'élevage en cage de poissons dans
ses lacs de cratère, selon le ministre d'Etat pour l'eau, Jennifer
Namuyangu, en inspectant les lacs de cratère Kabarole's. Elle a ajouté
que la pisciculture, qui est promu dans le cadre du Bagaggawale Bonna
(Prospérité pour tous au programme) vise également à accroître la
production halieutique en Ouganda. Le président de Kabarole
pisciculteurs Association, Richard Asiimwe, s'est dit préoccupé que la
cage peut être coûteux pour certains agriculteurs. Apaiser ses
craintes, la pêche du district de la direction, William Sabiti, selon
le département rendrait cages abordables [12].
* Les éleveurs de poissons de s'aventurer en espèces de poissons
chinois
L'Ouganda et le gouvernement chinois ont commencé la construction d'un
centre de démonstration de technologie agricole de Kajjansi
Aquaculture Research and Development Centre pour défendre la recherche
sur les nouvelles espèces de poissons, l'offre de formation technique
et la démonstration technique des techniques très efficaces de
l'aquaculture en eau douce. Nouvelles espèces de poissons telles que
le tilapia bleu, grasscarp, silvercarp et la carpe à grosse tête sera
introduite à partir de la Chine. Le projet, mis en œuvre par le
Sichuan Fenghuang groupe Huaqiao et financé par le gouvernement
chinois, devrait également développer scientifiquement et promouvoir
l'élevage à grande échelle de la perche du Nil, l'espèce principale
résidant dans les eaux de l'Ouganda. Selon le ministre d'Etat chargé
de la pêche, Fred Mukisa, le projet est l'un des résultats du Sommet
sino Afrique qui a marqué 50 ans de collaboration et de coopération de
l'Afrique avec la Chine. Depuis des années, le secteur de la pêche est
devenue l'un des principaux pourvoyeurs de devises étrangères de
l'Ouganda, générant plus de 150 millions de dollars, représentant
environ 12 pour cent du PIB. Mais en dépit du fait que la pêche
apportent des milliards de shillings pour le Trésor national, le
secteur est menacée en raison de leur délabrement continu de toutes
les ressources naturelles. Dr John Balirwa, le National Fishery
Resource Research Institute Directeur dit que le centre apportera
l'élevage de poissons à un nouveau niveau et réduire la pression
écrasante entourant les ressources halieutiques naturelles [14].
* La jacinthe d'eau Enlèvement étendue au Rwanda
Une initiative égypto-financés pour éliminer la jacinthe d'eau sur les
lacs Victoria et Kyoga doit être élargi au Rwanda et au Burundi. Le
ministre des Pêches Fred Mukisa dit la jacinthe, une mauvaise herbe de
l'eau qui a envahi les deux lacs, il ya une décennie, avait été mise
sous contrôle. Le gouvernement égyptien a fourni une aide technique et
financière pour l'enlèvement de la jacinthe d'eau pour les 10
dernières années. Mukasa a également déclaré que cette initiative
contribuerait à développer l'aquaculture et l'irrigation dans les
régions vulnérables à la sécheresse de Sembabule et Lyatonde [19].
* Tirer le meilleur parti de l'Activité Agricole Pêche
Outre l'aspect alimentaire, produits de la pêche en Ouganda sont parmi
les leader de l'exportation des produits de base de gain. Né il ya 64
ans, M. John Wamulu, le directeur exécutif de Shawe Investments, un
régime de poissons dans Kasenge, Wakiso District avance que la
pisciculture besoins de planification dès le départ, tout comme toute
autre entreprise. Pisciculteurs performantes doivent cependant pas
seul plan, mais aussi consulter des experts avant de creuser des
étangs de pisciculture. Wamulu créé son premier bassin à sa ferme à
Kasenge, où il pourrait facilement atteindre des experts des étangs de
pisciculture Kajjansi. "Le coût pour une alevins entre Shs200-300
tandis qu'une frite va pour Shs100, dit Dheyongera Hamuza, gérant,
investissements Shawe. Les oeufs qui sont pesés en kilos peuvent
éclore en frites nombreuses en fonction du poids. "Cinq kilos d'œufs
éclosent en 100,000 frites, dit-il. Toutefois, cette installation
n'est pas disponible pour les agriculteurs de nombreux poissons car
elles nécessitent l'importation d'hormones pour fertiliser les
poissons [20].
* Tugumisirize - profil d'un poisson Farmer
Les agriculteurs pratiquant petit poisson d'élevage à l'échelle
commerciale à partir de Ntungamo, Bushenyi, Rukingiri et Busoga
recevra alevins au prix à la ferme dans la seconde moitié de cette
année, dit-Digo Tugumisirize, le propriétaire de Sunfish Farm en
Kajjansi. "Pour les huit derniers mois, nous avons perfectionnée
croissant de la technologie appropriée pour le poisson-chat africain
(emmale) les larves et les alevins appâts qui pourraient être
distribués aux agriculteurs en milieu rural», dit Tugumisirize. Selon
l'environnement du lac Victoria rapport sur le Projet gestion de
l'enquête, le nombre d'alevins de poissons-appâts hameçons utilisés
par jour dans le lac Victoria par des Ougandais sont 950.000, au Kenya
2.2m Tanzanie 4.4m et 7.550.000 total. Environ 40% des crochets silure
utiliser des appâts conduit à une demande quotidienne de 3.020.000 en
Afrique orientale, selon laquelle l'Ouganda a besoin 380,000 appâts
quotidienne. L'écloserie annuel de capacité d'appât approvisionnement
silure en Ouganda est 3.1m, Kenya 1,5 m, tandis que la Tanzanie n'a
pas d'écloserie. Le rapport a révélé que les trois pays d'Afrique
connaissaient un déficit appât de 98,36%, affirme Tugumisirize [26].
* Tilapia prix à la hausse
À partir de Octobre 9, les prix ont augmenté de tilapia SH500, ce qui
porte les prix aussi élevé que sh3, 500 pour la petite taille et le
plus grand à SH10, 000 [32].
* La réduction des sorties pour protéger le lac Victoria
Le site d'atterrissage Ggaba sur le lac Victoria est le plus proche du
marché de gros du poisson à la capitale ougandaise, Kampala. Plus de
6000 personnes vivent et travaillent dans cette communauté de pêche.
L'eau semble verte et sale du quai. Personne n'est prêt à puiser de
l'eau à usage domestique, et les passagers allant et venant d'Ggaba
vers les îles du lac Victoria sont désireux de ne pas marcher dans
l'eau verte. La coloration est à la suite d'algues trop sur l'eau. Un
pêcheur, John Sentamu dit que tous les algues a réduit le nombre de
poissons trouvés à proximité de la rive du lac. Il dit qu'il n'a plus
les captures tant qu'il n'a pas il ya cinq ans. «Le poisson, surtout
le tilapia, se sont enfuis de la rive dans les eaux profondes. Aucun
poisson ne peut rester dans l'eau sale type. Et mon petit bateau ne
peut pas aller au-delà de dix miles. Il dit qu'on a besoin de plus de
2000 $ pour acheter un puissant moteur à bateau comme ça. Lui, comme
la plupart des pêcheurs Ggaba, est confiné à travailler plus près du
rivage. Biologiste Lucas Ndawula, à partir des ressources halieutiques
à l'Institut national de la recherche (NAFIRRI), affirme l'habitat
tilapia, y compris leurs zones de reproduction et de pépinière, c'est
dans les zones peu profondes près du rivage, il n'est donc pas vrai
que la prolifération des algues les ont forcées à migrer en mer en
eaux profondes . Ndawula dit proliférations d'algues sont causées
quand il ya un afflux de nutriments, surtout d'azote, les algues sur
les aliments pour animaux. Ils reproduisent alors en grand nombre
provoquant une fleur "dans le lac, et l'épuisement d'un lot d'oxygène
dissous dans l'eau ce qui rend difficile pour les poissons et autres
organismes aquatiques pour survivre [46].
REFERENCES
[1] http://www.lasquotidien.com/spip.php?article2778 (consulté le 28
Septembre 2009)
[2] http://www.gnet.tn/revue-de-presse-nationale/tunisie-9-kilos-de-poisson-par…
(consulté le 28 Septembre 2009)
[3] http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=51135 (consulté le
28 Septembre 2009)
[4] http://www.fratmat.info/index.php?option=com_content&view=article&id=507
(consulté le 3 Octobre 2009)
[5] http://www.lequotidien.sn/index.php?option=com_content&task=view&id=9971&It…
(consulté le 3 Octobre 2009)
[6] http://www.fratmat.info/index.php?option=com_content&view=article&id=476
(consulté le 3 Octobre 2009)
[7] http://www.lopinion.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=13871&date_ar=2009-9-3…
2017:16:00 (consulté le 3 Octobre 2009)
[8] http://www.fishnewseu.com/latest-news/world/1977-french-toothfish-fisheries…
(consulté le Octobre 3, 2009)
[9] http://www.afriquejet.com/actualites/agriculture/la-fao-appuie-la-rizicultu…
(consulté le 3 Octobre 2009)
[10] http://www.ipsnews.net/news.asp?idnews=48717 (consulté le 5
Octobre 2009)
[11] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=14046 (consulté
le 5 Octobre 2009)
[12] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=14003 (consulté
le 5 Octobre 2009)
[13] http://news.abidjan.net/h/343758.html (consulté le 6 Octobre 2009)
[14] http://www.lequotidien.re/actualites/le-dossier/69029-arda-des-essais-eleva…
(consulté le 11 Octobre 2009)
[15] http://www.lequotidien.re/actualites/economie/55652-le-port--l-arda-promeut…
ONU-lotissement.html (consulté le 11 Octobre 2009)
[16] http://www.lequotidien.re/actualites/le-dossier/69030-cuisine-malgre-ses-qu…
-de-ombre.html (consulté le 11 Octobre 2009)
[17] http://mission-benin.over-blog.com/article-36154587.html
(consulté le 12 Octobre 2009)
[18] http://allafrica.com/stories/200909220836.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[19] http://allafrica.com/stories/200909290178.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[20] http://allafrica.com/stories/200910010339.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[21] http://allafrica.com/stories/200908170586.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[22] http://allafrica.com/stories/200907170047.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[23] http://allafrica.com/stories/200905220662.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[24] http://allafrica.com/stories/200903021026.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[25] http://allafrica.com/stories/200910080003.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[26] http://allafrica.com/stories/200905140011.html (consulté le 12
Octobre 2009)
[27] http://aquaculture-aquablog.blogspot.com/2009/10/nigeria-petrole-contre-poi…
(consulté le 12 Octobre 2009)
[28] http://minutepolitique.net/?p=3124 (consulté le 12 Octobre 2009)
[29] http://www.liberianobserver.com/node/2242 (consulté le 14 Octobre
2009)
[30]% http://www.businessdailyafrica.com/Company 20Industry/-/
539550/671876/-/item/0/-/f6vh14z/-/index.html (consulté le 14 Octobre
2009)
[31] http://ipsinternational.org/fr/_note.asp?idnews=5528 (consulté le
15 Octobre 2009)
[32] http://allafrica.com/stories/200910120430.html (consulté le 19
Octobre 2009)
[33] http://allafrica.com/stories/200909040067.html (consulté le 19
Octobre 2009)
[34] http://www.madagascar-tribune.com/Des-explications-sur-les-
recentes, 12898.html (consulté le 19 Octobre 2009)
[35] http://www.newera.com.na/article.php?articleid=7614 (consulté le
20 Octobre 2009)
[36] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=14126 (consulté
le 20 Octobre 2009)
[37] http://www.fishnewseu.com/latest-news/world/2097-end-of-the-line-for-vitafi…
(consulté le 20 Octobre 2009)
[38] http://www.maliweb.net/category.php?NID=51932&intr = (consulté le
21 Octobre 2009)
[39] http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=52102 (consulté le
29 Octobre 2009)
[40] http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=52101 (consulté le
29 Octobre 2009)
[41] http://www.lequotidien.re/actualites/economie/70209-saint-gilles-assises-de…
-4 (consulté le 29 Octobre 2009)
[42] http://www.allaboutfeed.net/news/joosen-luyckx-takes-over-bankrupt-vitafish…
(consulté le 29 Octobre 2009)
[43] http://www.environnement.gouv.sn/article.php3?id_article=154
(consulté le 30 Octobre 2009)
[44] http://www.lexpress.mu/news/174-interview-judex-rampaul-laisser-respirer-no…
(consulté le 30 Octobre 2009)
[45] http://www.africanmanager.com/detail_article.php?art_id=125003
(consulté le 30 Octobre 2009)
[46] http://www.ipsnews.net/africa/nota.asp?idnews=48986 (consulté le
30 Octobre 2009)
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Chers tous,
Lionel vient de mettre en ligne 2 articles intéressants sur le site
sarnissa - merci Lionel !
http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=52102http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=52101
Il est très intéressant et encourageant de voir de nouvelles
initiatives pour l'élevage et la fourniture d'alevins de tilapia
Sarotherodon melanotheron et Tilapia guineensis pour l'aquaculture en
eau saumâtre. Toutefois, je serais intéressé par l'avis des membres de
SARNISSA sur la meilleure façon de réaliser cela, afin que les
agriculteurs qui reçoivent les alevins puissent les cultiver jusqu'à
une bonne taille commerciale et réaliser un profit.
Je voudrais tout d'abord demander votre avis, si les alevins, qui sont
issus directement de géniteurs sauvages peuvent être de bonne qualité,
grossir rapidement, atteindre une bonne taille commerciale, et aussi
être adaptés à l'élevage dans des étangs et structures artificielles,
citernes ou cages?
Pensez-vous aussi qu'avant de distribuer des alevins aux agriculteurs,
il pourrait y avoir un programme de sélection génétique et de test de
sorte que les souches de géniteurs sauvages soient développés sur
plusieurs générations, afin que les alevins qui en résultent soient
meilleurs pour les taux de croissance, la taille commerciale, la
résistance aux maladies et autres facteurs?
Je comprends très bien que de tels programmes d'élevage exigent de
l'argent et des ressources et qu'il faut toujours un compromis entre
un approvisionnement rapide en alevins, de sorte que l'aquaculture
puisse se développer dans la région, et les délais qui résultent de la
mise au point de stocks de géniteurs de qualité. Je serais très
intéressé par vos avis !
Cordialement
Will
Chers tous,
Mon nom est Madame Aïssatou SECK et je vis à Abidjan en Côte d'Ivoire. Il y a un an - par amour pour la nature, la terre et tout ce qui s'y rapporte - j'ai démarré les travaux d'aménagement d'une ferme piscicole à 45 km d'Abidjan. Les opérations d'exploitation ont commencé il y a 2 mois. j'élève des tilapias.
Vous aurez compris que je ne suis pas spécialiste en pisciculture. Je suis économiste du développement. Je fais donc de la pisciculture par passion.
Le Dr. Atsé Boua du Centre de Recherche Océanologiques d'Abidjan m'a donné les coordonnées de Sarnissa afin que je puisse échanger avec vous tous et apprendre plus sur ma nouvelle activité.
Je vous remercie de m'accueillir parmi vous,
Aïssatou
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Bonjour,
Je suis actuellement étudiant en licence professionnelle "aquaculture et
gestion durable de son environnement" à l'université de La Rochelle.
Lors de mon DUT, que j'ai réaliser en alternance avec le syndicat des
aquaculteurs corses, j'ai eu l'occasion de travailler en écloserie sur un
projet d' introduction du denti (*Dentex dentex) *en aquaculture. J'ai donc
reçu une formation sur la production de proies vivantes (rotifères, artémias
et phytoplancton).
Convaincu du potentiel aquacole qu'offre le continent africain et surtout
par la nécessité d'y développer une telle filière, je souhaiterais
m'investir pleinement dans cette voie. Pour cela, il me semble judicieux de
commencer à réaliser mon projet dès le stage que j'aurais à effectuer
d'avril à aout 2010, en participant à des travaux avec une équipe de
recherche.
Ayant déjà réaliser un voyage à Madagascar, dans lequel j'ai effectuer un
suivi phénologique d'arbres semenciers pendant 3 mois, j'ai pu développer un
intérêt tout particulier pour ce pays. Cependant je suis ouvert à toute
proposition de votre part concernant l'objet et le lieu de la mission que
vous pourrez eventuellement me proposer.
En éspérant que vous pourrez donner suite à ma demande, je vous prie
d'accepter mes réspectueuses considerations.
--
MARCUCCILLI Thomas
*Veuillez trouver, en pièce jointe, mon CV.
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Type: application/pdf
Taille: 22106 octets
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Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous et à toutes,
Vous connaissez déjà linitiative du Réseau National des Pisciculteurs du
Bénin (RENAPIB). Pour ceux qui ne le savent pas encore, il sagit dune
initiative de CREDI-ONG pour amener les pisciculteurs béninois à devenir
moteur du développement de cette activité sans pour autant attendre des
pouvoirs publics pour qui cette activité nest pas encore prioritaire ou du
moins demeure relativement moins prioritaire.
Linitiative date de janvier 2008 suite à lorganisation du premier forum
des pisciculteurs du sud-Bénin par CREDI-ONG sur fonds propres. Depuis lors,
un comité de mise en place constitué par les représentants des pisciculteurs
de chaque département et des représentant dautres ONGs a travaillé pour
élaborer le cadre juridique de fonctionnement et les textes légaux pour le
RENAPIB. Ce comité après avoir travaillé pendant bientôt 2ans a également
organisé dans plusieurs localités des rencontres dinformations et
déchanges avec les pisciculteurs sur linitiative. Aujourdhui, il estime
que cest le moment plus que jamais de porter sur les fonds baptismaux le
Réseau National des Pisciculteurs du Bénin.
Je viens alors par le présent mail demander si vous connaissez des
structures ou des organisations qui pourraient nous appuyer financièrement
pour lorganisation de cette AG qui nous donnera désormais un statut légal
indispensable pour nombre de partenariats.
Merci par avance de lintérêt que vous porterez à ma requête.
Cordialement
Martial
KOUDERIN K. Martial
Ingénieur Agronome
DESS/Aménagement et Gestion des Ressources Naturelles
Té. 00229 95 96 34 33
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Type: image/jpeg
Taille: 115215 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à vous,
Nous sommes en train de réaliser une ferme aquacole en cote divoire et
souhaiterions avant de continuer quun expert de notre région puisse se
rendre sur le site afin de refaire un évaluation de faisabilité et voir
tous les problèmes à éviter . nous sommes bien sur prêt à prendre en charge
les frais et les honoraires de la personne qui pourra venir .
Merci svp votre réponse .
cordialement
____________________________________________________
Philippe Morvan
Tél.: (225) 21 75 40 01
Cel.: (225) 07 07 27 92
Fax: (225) 21 75 40 04
E-mail: pmorvan(a)afnet.net
De : Lionel Dabbadie [mailto:lionel.dabbadie@cirad.fr]
Envoyé : dimanche 18 octobre 2009 23:31
À : Philippe Morvan
Objet : Bienvenue sur Sarnissa !
Bonjour,
Merci pour votre inscription et bienvenue sur la liste ! N'hésitez pas à me
contacter si vous avez la moindre interrogation sur son fonctionnement.
Afin de permettre aux autres personnes de mieux vous connaître, pouvez-vous
adresser un court message à la liste (5-10 lignes, ou plus si vous le
souhaitez) pour présenter vos activités et celle de votre organisation en
rapport avec l'aquaculture ? Pour cela, il suffit d'adresser votre message
à:
sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk (pour le forum francophone)
Attention à ne pas confondre avec l'adresse du forum anglophone qui est :
sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Cette liste est modérée pour éviter les envois par erreur de messages privés
ou de publicités et il peut y avoir un délai de plusieurs heures entre votre
envoi et sa réception par la liste. Pas d'inquiétude si votre message
n'apparaît pas immédiatement ! Vous pouvez consulter les archives en vous
rendant sur cette adresse:
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/private/sarnissa-french-aquaculture/
Attention aux pièces jointes ! Pour éviter de surcharger les boîtes email
des gens qui n'ont pas un accès à internet rapide, les pièces jointes aux
messages sont automatiquement supprimées et remplacées par un lien en fin de
message similaire à celui-ci:
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Nom: Invitation e-workshop Final.doc
Type: application/msword
Taille: 202752 octets
Desc: non disponible
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090819/5b685138/attachment.doc
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Pour télécharger la pièce jointe, il suffit de cliquer sur le lien de la
ligne intitulée "Url:"
Si vous utilisez une adresse gmail: attention aussi car vous ne recevrez
jamais copie de vos propres messages. C'est un peu dérangeant, mais le
problème est lié à gmail qui souhaite éviter d'encombrer votre boite aux
lettres. Pour plus d'information, consulter:
http://mail.google.com/support/bin/answer.py?hl=fr
<http://mail.google.com/support/bin/answer.py?hl=fr&answer=6588>
&answer=6588
Merci et soyez certain que nous sommes ravis de vous compter parmi nous !
Bien amicalement
Lionel
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous,
Je n'interviens pas sur le e-workshop, car je ne suis pas le mieux
placé, ayant quitté l'Afrique il y a déjà longtemps mais je lis avec
intérêt la qualité des interventions et je suis impressionné par le
dynamisme de l'aquaculture africaine tel qu'il transparait des
contributions des uns et des autres. Un point qui ne semble pas avoir
été traité, mais que personnellement, j'observe de plus en plus
souvent dans le cadre de la veille scientifique et technique que je
réalise pour Sarnissa, c'est la coopération entre pays africains et
asiatiques en aquaculture. Par exemple:
- Indonésie-Kenya
http://www.nation.co.ke/News/-/1056/646246/-/um8dsh/-/
- Chine-Uganda
http://www.monitor.co.ug/artman/publish/features/Fish_farmers_to_venture_in…
- Chine-Cap Vert
http://www.afriquejet.com/actualites/economie/economie:-renforcement-de-la-…
- Burkina Faso-Taiwan
http://www.lefaso.net/spip.php?article30991
- Guinée-Corée
http://soumahdream.blogspot.com/2009/08/les-stagiaires-pour-leur-part-ont-e…
et il y en a probablement d'autres (n'hésitez pas à me les signaler si
vous en connaissez) !
Donc même si ça ne concerne pas directement l'Afrique, je pense qu'il
peut être intéressant que je vous informe que je suis entrain de
préparer l'atelier de clôture de mon projet aux Philippines. Il se
tiendra à Montpellier le 16 novembre, et la langue utilisée sera
l'anglais. Nous devrions avoir l'honneur et le plaisir de recevoir une
importante délégation philippine, emmenée par le Directeur Général du
BFAR, Malcolm I. Sarmiento. Je vous joins un programme prévisionnel
des interventions. Si certains d'entre-vous souhaitent y assister, ils
sont bienvenus mais nous ne disposons malheureusement pas de budget
pour inviter les participants (mais peut-être que certaines ambassades
seraient prêtes à soutenir ce genre d'échanges ?). Merci toutefois de
m'informer si vous comptez venir, pour des raisons de logistique.
Bien amicalement
Lionel
Résumé du projet
Entre 2004 et 2006, les Philippines ont vécu une période effrénée de
modernisation de ses filières aquaculture et pêche, afin de les mettre
en conformité avec la législation alimentaire européenne, l'une des
plus strictes au monde. A la différence de nombreux autres pays, ce
processus s'est achevé par un succès lorsque les inspecteurs
sanitaires européens ont estimé, fin 2006, que le pays apportait
globalement des garanties de sûreté des aliments équivalentes à ce
qu'exige l'Union Européenne. Toutefois, comme ailleurs, ce succès ne
pouvait dissimuler un certain nombre de questions. Pourquoi les
autorités philippines ont-elle consacré autant d’énergie pour se
mettre en conformité avec les exigences d’un marché dont le poids
économique pouvait être considéré comme négligeable pour le pays ? Ou,
l’exclusion de la majorité des opérateurs des filières d’exportation
vers l’UE ne risquait-t-elle pas de créer un fossé entre les grandes
entreprises et les petites structures familiales (risque d’inéquité
sociale) ? etc.
Le projet a été conçu en associant 4 volets (sociologie et
intermédiation marchande, économie, diagnostic des communautés,
adaptation technique des exploitations aquacoles aux exigences
sanitaires européennes), en partenariat avec le BFAR-Philippines
(Bureau of Fisheries and Aquatic Resources), l’Université de Stirling
au Royaume Uni, le Centre de Sociologie des Organisations-CNRS-Science
Po Paris et l’UMR Moisa Montpellier. Il a permis de :
- Mieux comprendre les relations marchandes sur une filière de la
mondialisation, en étudiant les modalités d’ajustement entre les
produits et les consommateurs, via l’intermédiation marchande.
- Mieux comprendre comment les marchés s’approprient les nouvelles
exigences de qualité
- Mieux comprendre comment les opérateurs s’adaptent aux nouvelles
exigences de qualité en décrivant les changements techniques et
organisationnels rendus obligatoires par les nouvelles exigences de
qualité en relation avec les pratiques traditionnelles.
- Mieux comprendre l’impact structurant ou déstructurant de ces
démarches
- Mieux comprendre les moyens d’existence des communautés concernées
par ces filières aquacoles
Tous ces résultats et connaissances nouvelles seront restitués durant
l'atelier de clôture qui se tiendra à Montpellier, au siège du Cirad
le 16 novembre 2009. La langue utilisée sera l'anglais et l'atelier
devrait bénéficier de la présence d'une importante délégation
philippine emmenée par le Directeur Général du BFAR (Bureau of
Fisheries and Aquatic Resources), Malcolm I. Sarmiento.
Programme Prévisionnel, 16 Novembre, Cirad Montpellier (Campus
Lavalette)
8:30-9:00 Participants' arrival
9:00-9:30 Opening ceremony. J. Lazard, M. Sarmiento
9:30-10:00 Overview of Cirad's research in Pampanga before ATP
project P. Morissens
10:00-10:30 Overview of ATP's achievements. L. Dabbadie
10:30-10:45 Coffee break
10:45-11:15 Integrated Coastal Management in the aquaculture-dominated
Pampanga delta. F. Mialhe
11:15-11:45 Aquaculture and Environment in Pampanga and Central Luzon.
R. Ongtangco
11:45-12:15 Sociological perspectives on relationship between actors
within the supply chain. S. Dubuisson-Quellier
12:15-13:30 Lunch
13:30-14:00 Economical studies. I. Vagneron
14:00-14:30 Sustainable rural livelihoods of Pampanga Coastal
Communities. D. Little
14:30-15:00 Role of aquatic resources on rural livelihoods of selected
villages in Sasmuan J. Coloma
15:00-15:30 HACCP in aquafarms. S. Regidor
15:30-15:45 Coffee break
15:45-16:15 Small scale shrimp farmers - it's potential to
certification ? E. Morales
16:15-16:45 Impact of EU compliancy process on Philippine regulatory
system. L. Pelayo
16:45-17:00 Conclusions BFAR / M. Sarmiento
17:00-17:15 Conclusions Cirad / J. Lazard, L. Dabbadie
17:15-19:00 Discussion, conclusions, perspectives
--
Visitez ma page perso / Visit my homepage: http://bit.ly/dabbadie
et mon blog / and my blog: http://aquaculture-notes.blogspot.com/
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous,
Une offre de post-doc à la Swedish University of Agricultural Sciences.
Utilisez ce lien pour une description en googlefrançais: http://bit.ly/1xUJyn
Bien amicalement
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : Carin Magnhagen <Carin.Magnhagen(a)VFM.SLU.SE>
> Date : 16 octobre 2009 15:30:18 UTC+08:00
> À : FISH-SCI(a)segate.sunet.se
> Objet : Post-doc in Aquaculture
> Répondre à : Scientific forum on fish and fisheries <FISH-SCI(a)segate.sunet.se
> >
>
> <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <><
> REPLIES WILL BE SENT TO THE FISH-SCI LIST
> <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <><
>
>
> Swedish University of Agricultural Sciences
> Department of Wildlife, Fish, and Environmental Studies
> Postdoctoral position in Aquaculture
>
> Background
> At the department of Wildife, Fish, and Environmental
> Studies, the domestication of fish from a breeding,
> genetic, as well as from welfare and behavioural
> perspectives, have been central research themes since
> the mid 80`s. Feeding schedules, selective breeding,
> production models and evaluation of the environmental
> impact from fish farms are some of the applied research
> topics related to fish farming which are studied at the
> department. We have considerable cooperation with
> other depertments at SLU, performing up to date
> research on new fish food sources and their effect on the
> quality of the fish for human consumption. We have done
> studies on most species relevant for Swedish fish
> farming: Arctic charr, rainbow trout, Atlantic salmon,
> perch, pikeperch and grayling.
>
> for more information see: http://personal.slu.se//LEDANS/2009-29884.pdf
>
> We welcome your application
> marked with ref no 2984/09.
> Please submit your application
> to the Registrar of SLU, P.O.
> Box 7070, S-750 07 Uppsala,
> Sweden or registrator(a)slu.se
> no later than November 13,
> 2009.
>
>
> SLU develops the understanding and sustainable use of
> biological natural resources. This is achieved through
> research, teaching, environmental monitoring and assessment
> and information extension. SLU has 3000 employees, 4200
> undergraduate and postgraduate students. Main campuses are
> located at Alnarp,Skara, Uppsala and Umeå.
>
>
>> <(((º> ><((((º> <º)))>< ><(((º> <º))))<
> Carin Magnhagen
> Dept. of Wildlife, Fish, and Environmental Studies
> Swedish University of Agricultural Sciences
> S-901 83 Umeå, Sweden
> Tel. +46 90-7868328 (home (0)90-135505)
> Fax +46 090-7868162
> e-mail Carin.Magnhagen(a)vfm.slu.se
>> <(((º> ><((((º> <º)))>< ><((((º> ><(((º>
>
>
>
> <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <><
> For information, send INFO FISH-SCI to LISTSERV(a)SEGATE.SUNET.SE
>
> The FISH-SCI List Archive
> http://segate.sunet.se/cgi-bin/wa?A0=FISH-SCI
>
> To cancel your subscription, send a blank message to:
> FISH-SCI-SIGNOFF-REQUEST(a)SEGATE.SUNET.SE
> <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <>< <><
--
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
SALUT M.DABANI,
Nous travaillons également à approfondir nos connaissances sur la pisciculture et l'aquaculture et nous sommes intéressés à entrer en contact avec vos AMIS de TAIWAN pour bénéficier des quelques formations pratiques en l'endroit des pêcheurs du bassin du fleuve niger qui regroupe neuf(9) pays qui sont: bénin,burkina faso,cameroun, côte d'ivoire, guinnée,mali, niger, nigéria et tchad.
J'attends impatiemment de me mettre en contact avec eux à travres le bief de leur coopération.
NOURADINE ZAKARIA TOURE
PRESIDENT CRU BN
TEL + 223 76 49 07 02 / 66 79 36 75
BAMAKO MALI
--- En date de : Lun 12.10.09, Karim Dahani <dahanikarim9(a)yahoo.fr> a écrit :
De: Karim Dahani <dahanikarim9(a)yahoo.fr>
Objet: [Sarnissa-french-aquaculture] Re : [{SPAM?} score 6.6] RE: Coopération Afrique-Asie
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Lundi 12 Octobre 2009, 11h48
Bonjours a tous
(les caracteres ne sont pas accentues veuillez m'en excuser)
Les pays asiatiques sont aujourd'hui les plus grands producteurs et exportateurs de produits de l'aquaculture dans le monde. En plus des raison naturelles, ces pays ont une longue experience en matiere d'aquaculture et des marches internes importants.
Grace a cette cooperation Taiwan-Burkina (Asie-Afrique), nous beneficions actuellement de formations en aquaculture a Taiwan dans des domaines aussi varies que la production de semences, la nutrition et la biotechnologie (qui est elle transversale).
La conduite d'un elevage aquacole reqiuere:
- une eau de 'bonne qualite' (water quality)
-une disponibilite en quantite et en qualite des semenses (seed)
-une disponibilite en quantite et en qualite des aliments (Aquafeed)
-une bon controle et la prevention des maladies (deseases control and prevention)
A des echelles differentes, les pays africains peuvent ameliorer ces facteurs.
Il est important de noter qu'a l'exception de l'Egypte et de quelques pays, la plupart des pays africains ont une courte experience en matiere d'aquaculture. Les ressources humaines qualifiees et pragmatiques font donc souvent defaut, des Hommes a meme de pouvoir convaincre le politique. La recherche devra trouver des reponses aux preoccupations de la ferme aquacole (afin de gagner en performance) et la ferme, les reponses aux attentes de la clientele aussi bien interieure qu'exterieure.
DAHANI K. Cyrille
Master I, National Taiwan Ocean University
________________________________
De : Geovanne NZIENGUI <gn_vanni(a)hotmail.com>
À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk; Victor MAMONEKENE <mamonekene(a)hotmail.com>
Envoyé le : Lun 12 Octobre 2009, 15 h 10 min 07 s
Objet : [{SPAM?} score 6.6] RE: [Sarnissa-french-aquaculture] Coopération Afrique-Asie
bonjour à tous,
je viens relancer le débat sur l'avenir de l'aquaculture en Afrique. en effet, la contribution de l'Afrique dans la
prduction aquacole mondiale est très faible. quelles sont les raisons? que peut faire la jeune élite Africaine en vue de
renverser la tendance? quelle serait la place de l'aquaculture dans des pays à économie de rente tel que le Gabon?
cette insuffisance de la production ne pourrait -elle être améliorer en diversifiant les espèces aquacoles?
le débat est lancé je compte fortement sur vos réactions.
cordialement!
Géovanne Aymar NZIENGUI DJIEMBI
SMEL, Plagette
1 Quai de la Daurade
34 200
SETE
Master BGAE/EFDD/BAEMT
Université Montpellier II
Sciences et techniques du Languedoc
+(33)... 0
> From: lionel.dabbadie(a)cirad.fr
> Date: Mon, 12 Oct 2009 13:51:11 +0800
> To: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Subject: [Sarnissa-french-aquaculture] Coopération Afrique-Asie
>
> Bonjour à tous,
>
> Je n'interviens pas sur le e-workshop, car je ne suis pas le mieux
> placé, ayant quitté l'Afrique il y a déjà longtemps mais je lis avec
> intérêt la qualité des interventions et je suis impressionné par le
> dynamisme de l'aquaculture africaine tel qu'il transparait des
> contributions des uns et des autres. Un point qui ne semble pas avoir
> été traité, mais que personnellement, j'observe de plus en plus
> souvent dans le cadre de la veille scientifique et technique que je
> réalise pour Sarnissa, c'est la coopération entre pays africains et
> asiatiques en aquaculture. Par exemple:
>
> - Indonésie-Kenya
> http://www.nation.co.ke/News/-/1056/646246/-/um8dsh/-/
>
> - Chine-Uganda
> http://www.monitor.co.ug/artman/publish/features/Fish_farmers_to_venture_in…
>
> - Chine-Cap Vert
> http://www.afriquejet.com/actualites/economie/economie:-renforcement-de-la-…
>
> - Burkina Faso-Taiwan
> http://www.lefaso.net/spip.php?article30991
>
> - Guinée-Corée
> http://soumahdream.blogspot.com/2009/08/les-stagiaires-pour-leur-part-ont-e…
>
> et il y en a probablement d'autres (n'hésitez pas à me les signaler si
> vous en connaissez) !
>
> Donc même si ça ne concerne pas directement l'Afrique, je pense qu'il
> peut être intéressant que je vous informe que je suis entrain de
> préparer l'atelier de clôture de mon projet aux Philippines. Il se
> tiendra à Montpellier le 16 novembre, et la langue utilisée sera
> l'anglais. Nous devrions avoir l'honneur et le plaisir de recevoir une
> importante délégation philippine, emmenée par le Directeur Général du
> BFAR, Malcolm I. Sarmiento. Je vous joins un programme prévisionnel
> des interventions. Si certains d'entre-vous souhaitent y assister, ils
> sont bienvenus mais nous ne disposons malheureusement pas de budget
> pour inviter les participants (mais peut-être que certaines ambassades
> seraient prêtes à soutenir ce genre d'échanges ?). Merci toutefois de
> m'informer si vous comptez venir, pour des raisons de logistique.
>
> Bien amicalement
>
> Lionel
>
>
> Résumé du projet
>
> Entre 2004 et 2006, les Philippines ont vécu une période effrénée de
> modernisation de ses filières aquaculture et pêche, afin de les mettre
> en conformité avec la législation alimentaire européenne, l'une des
> plus strictes au monde. A la différence de nombreux autres pays, ce
> processus s'est achevé par un succès lorsque les inspecteurs
> sanitaires européens ont estimé, fin 2006, que le pays apportait
> globalement des garanties de sûreté des aliments équivalentes à ce
> qu'exige l'Union Européenne. Toutefois, comme ailleurs, ce succès ne
> pouvait dissimuler un certain nombre de questions. Pourquoi les
> autorités philippines ont-elle consacré autant d’énergie pour se
> mettre en conformité avec les exigences d’un marché dont le poids
> économique pouvait être considéré comme négligeable pour le pays ? Ou,
> l’exclusion de la majorité des opérateurs des filières d’exportation
> vers l’UE ne risquait-t-elle pas de créer un fossé entre les grandes
> entreprises et les petites structures familiales (risque d’inéquité
> sociale) ? etc.
>
> Le projet a été conçu en associant 4 volets (sociologie et
> intermédiation marchande, économie, diagnostic des communautés,
> adaptation technique des exploitations aquacoles aux exigences
> sanitaires européennes), en partenariat avec le BFAR-Philippines
> (Bureau of Fisheries and Aquatic Resources), l’Université de Stirling
> au Royaume Uni, le Centre de Sociologie des Organisations-CNRS-Science
> Po Paris et l’UMR Moisa Montpellier. Il a permis de :
>
> - Mieux comprendre les relations marchandes sur une filière de la
> mondialisation, en étudiant les modalités d’ajustement entre les
> produits et les consommateurs, via l’intermédiation marchande.
>
> - Mieux comprendre comment les marchés s’approprient les nouvelles
> exigences de qualité
>
> - Mieux comprendre comment les opérateurs s’adaptent aux nouvelles
> exigences de qualité en décrivant les changements techniques et
> organisationnels rendus obligatoires par les nouvelles exigences de
> qualité en relation avec les pratiques traditionnelles.
>
> - Mieux comprendre l’impact structurant ou déstructurant de ces
> démarches
>
> - Mieux comprendre les moyens d’existence des communautés concernées
> par ces filières aquacoles
>
> Tous ces résultats et connaissances nouvelles seront restitués durant
> l'atelier de clôture qui se tiendra à Montpellier, au siège du Cirad
> le 16 novembre 2009. La langue utilisée sera l'anglais et l'atelier
> devrait bénéficier de la présence d'une importante délégation
> philippine emmenée par le Directeur Général du BFAR (Bureau of
> Fisheries and Aquatic Resources), Malcolm I. Sarmiento.
>
>
> Programme Prévisionnel, 16 Novembre, Cirad Montpellier (Campus
> Lavalette)
>
> 8:30-9:00 Participants' arrival
>
> 9:00-9:30 Opening ceremony. J. Lazard, M. Sarmiento
> 9:30-10:00 Overview of Cirad's research in Pampanga before ATP
> project P. Morissens
> 10:00-10:30 Overview of ATP's achievements. L. Dabbadie
> 10:30-10:45 Coffee break
> 10:45-11:15 Integrated Coastal Management in the aquaculture-dominated
> Pampanga delta. F. Mialhe
> 11:15-11:45 Aquaculture and Environment in Pampanga and Central Luzon.
> R. Ongtangco
> 11:45-12:15 Sociological perspectives on relationship between actors
> within the supply chain. S. Dubuisson-Quellier
>
> 12:15-13:30 Lunch
>
> 13:30-14:00 Economical studies. I. Vagneron
> 14:00-14:30 Sustainable rural livelihoods of Pampanga Coastal
> Communities. D. Little
> 14:30-15:00 Role of aquatic resources on rural livelihoods of selected
> villages in Sasmuan J. Coloma
> 15:00-15:30 HACCP in aquafarms. S. Regidor
> 15:30-15:45 Coffee break
> 15:45-16:15 Small scale shrimp farmers - it's potential to
> certification ? E. Morales
> 16:15-16:45 Impact of EU compliancy process on Philippine regulatory
> system. L. Pelayo
> 16:45-17:00 Conclusions BFAR / M. Sarmiento
> 17:00-17:15 Conclusions Cirad / J. Lazard, L. Dabbadie
> 17:15-19:00 Discussion, conclusions, perspectives
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