Chers tous,
J'aimerais attirer votre attention sur un article récent où j'ai
montré à quelle vitesse O. niloticus peut envahir une zone de pêche
de 120 km2:
Weyl OLF (2008) Invasion rapide d'un lac subtropical dans le centre du
Mozambique par le tilapia du Nil, Oreochromis niloticus (Pisces:
Cichlidae).
Aquatic Conservation Marine and Freshwater Ecosystems. 18: 839-851.
DOI:10.1002/aqc.897
Résumé:
1. Le lac Chicamba, Mozambique (19o08'S; 33o08'E) est une grande (116
km2) retenue aux sources de la rivière Buzi, qui a été envahi par
Oreochromis niloticus en 1996 depuis un petit (< 0.3 km2) réservoir
en amont.
2. Les données expérimentales et les captures artisanales n'ont
permis de déceler aucun O. niloticus jusqu'en Janvier 1996, après
quoi O. niloticus a représenté jusqu'à 83 % des pêches à la senne
expérimentales; 33% des captures expérimentales au filet maillant,
43% des captures à l'hameçon depuis un bateau, 23% des captures à
l'hameçon depuis la côte et 48% des captures artisanales au filet
maillant.
3. Entre Janvier et Mars 1997, le rendement moyen [Maxi, Mini pour un
intervalle de confiance 95%] de O. niloticus dans les captures des
pêcheries artisanales a été de 5.2 [3.6, 7.0] tonnes/mois.
4. L'invasion rapide de ce lac illustre la menace significative que
des petites sources de contamination par cette espèce fait courir aux
écosystèmes d'eau douce d'Afrique du Sud.
5. L'étude recommande: (1) Que cette espèce ne soit pas utilisée pour
l'aquaculture ou la pêche dans des bassins qui n'ont pas encore été
envahis et (2) Que l'éradication des sources potentielles de
contamination dans les bassins non-encore envahis soit considérée.
Mots clés:
Rivière Buzi, Mozambique, eau douce, exotique, invasion, Oreochromis
niloticus
Des tirés à part sont disponibles sur demande à moi même ou à l'éditeur:
<http://www3.interscience.wiley.com/journal/116320988/abstract>.
Bien cordialement
Olaf
Début du message réexpédié :
> De : "Olaf Weyl" <o.weyl(a)ru.ac.za>
> Date : 11 novembre 2008 12:18:13 HNEC
> À : <Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Objet : Rép : [Sarnissa-african-aquaculture] Introduction of niloticus
>
> Dear All,
> I would like to call attention to a recent paper were I showed just
> how fast
> O. niloticus can invade a 120 km2 fishery:
>
> Weyl OLF (2008) Rapid invasion of a subtropical lake fishery in
> central
> Mozambique by Nile tilapia, Oreochromis niloticus (Pisces: Cichlidae).
> Aquatic Conservation Marine and Freshwater Ecosystems. 18: 839-851.
> DOI:10.1002/aqc.897
>
> Abstract
> 1. Lake Chicamba, Mozambique (19o08'S; 33o08'E) is a large (116 km2)
> impoundment in the headwaters of the Buzi River system that was
> invaded by
> Oreochromis niloticus in 1996 from a small (< 0.3 km2) upstream
> reservoir.
>
> 2. Experimental and artisanal catch data showed no O. niloticus until
> January 1996 whereafter O. niloticus was recorded in up to 83 % of
> experimental seine net catches; 33 % of experimental gill net
> catches; 43 %
> of boat angling and 23 % of shore angling catches and in 48 % of
> artisanal
> gill net catches.
>
> 3. During the period January to March 1997, O. niloticus mean
> [upper, lower
> 95% Confidence Interval] yields in the artisanal fishery were 5.2
> [3.6, 7.0]
> t/month.
>
> 4. The rapid invasion of this lake illustrates the significant
> invasion
> threat that small point-sources of this species pose to southern
> African
> freshwater systems.
>
> 5. The study recommends: (1) that this species should not be used for
> aquaculture or fisheries enhancement in catchments that have not been
> invaded, and (2) that the eradication of potential point sources of O.
> niloticus in non-invaded catchment systems should be considered.
>
> Keywords
> Buzi River, Mozambique, freshwater, alien, invasion, Oreochromis
> niloticus
>
>
> Reprints are available from me on direct request from me or from the
> publisher: http://www3.interscience.wiley.com/journal/116320988/
> abstract.
>
> Kind regards
> Olaf
>
>
> --------------------------------
> Dr Olaf Weyl
> Senior lecturer
> Department of Ichthyology and Fisheries Science
> Rhodes University, PO Box 94, Grahamstown 6140 SOUTH AFRICA
> Tel: (+27) (0)46 6038415/6; Mobile (+27) 83 46154 34
> Fax: (+27) (0)46 6224827
> Email: o.weyl(a)ru.ac.za
Existe-t-il des information plus récentes ?
<http://lefur.jean.free.fr/boussou/index.htm>
Le CNSHB est un établissement public à caractère scientifique et
administratif. A partir de recherches pluridisciplinaires, il élabore
des recommandations pour son ministère de tutelle en matière de
gestion des pêche.
Avec un personnel estimé à 65 chercheurs, ingénieurs, techniciens et
administrateurs, les activités du centre sont représentées par des
départements de recherche que sont le département Pêche industrielle,
le département Pêche artisanale , le département Pêche Continentale,
le département Littoral avec l’observatoire de la mangrove et le
polder expérimental .
Les départements élaborent et mettent en œuvre des programmes de
recherche axés sur l’halieutique et la gestion des zones littorales
avec l’appui de quatre services techniques que sont : Le Service
Administratif et Financier (SAF) ; Le service Informatique, le
Service d’information et de valorisation (SIVA) et, depuis 1995,
l’observatoire des Pêches.
Le CNSHB a été créé en 1985 par le Gouvernement Guinéen avec
l’assistance de l’Institut français de recherche scientifique pour le
développement en coopération (Orstom, actuellement IRD, Institut de
Recherche pour le Développement).
AQUACULTURE COMMUNAUTAIRE SUR LES PLAINES D'INONDATION DE LA HAUTE
GUINÉE
ORIGINE
Il y a plus de 500 plaines d’inondation le long du fleuve Niger qui
traverse les zones montagneuses de la Guinée. En matière
d’aquaculture, jusqu’en 2004, ces plaines n’avaient bénéficié
d’aucun aménagement. C’est seulement en 2005 que le Ministère de
la Pêche et de l’Aquaculture (MPA) a entrepris, en collaboration
avec le conseiller technique de la JICA en poste audit ministère, la
mise en oeuvre d’un micro-programme de développement de
l’aquaculture communautaire (MIPDAC) à l’intérieur du pays.
Notamment en haute Guinée. Dont: Dabola en 2005; et, Dabola et Kankan
en 2006.
L’objectif visé est :
1) d’évaluer le potentiel de développement des plaines
d'inondation pour l’aquaculture communautaire ;
2) d’établir une méthodologie standard simple, moins
coûteuse et efficace de production de poisson par les communautés
villageoises sans assistance extérieure.
SITUATION PRÉSENTE :
Suite au lancement de cet ambitieux programme, les résultats obtenus
en 2007 à l’issue de la récolte des 8 étangs communautaires
réalisés alors, ont été de 3,200 kg.
Ces qui a démontré qu’il est possible:
1) de récolter plus de 500kg de poisson par an et par étang ;
2) de produire plus de 8.000 kg/ha de poisson dans les étangs
communautaires si la sélection du site est judicieuse et appropriée.
En plus, il s’est avéré que la surveillance des étangs est la
clé du succès et que dans la plupart des étangs, deux (2) espèces
dont Clarias anguillaris et Heterotis niloticus étaient dominantes.
En 2007, un total cumulatif de 13 étangs communautaires ont été
construits par les groupements de 13 villages. La récolte se fait une
fois par an en saison sèche. Pour réduire le coût de production,
l’approvisionnement en alevins et la fertilisation sont naturels.
CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES:
A l’issue de la première phase (2005/2007), il est possible de
retenir que:
1) l’aquaculture communautaire est une technologie appropriée de
production de poisson en milieu rural. Elle est simple mais
extrêmement efficace. L’investissement financier initial est faible
et la productivité naturelle est acceptable;
2) l’aquaculture communautaire est une activité additionnelle
génératrice de revenus pour les villageois;
3) l’aquaculture communautaire contribue à satisfaire les besoins
des villageois en protéines animales;
4) il existe plusieurs sites convenables où l’aquaculture
communautaire peut se pratiquer;
5) l’aquaculture communautaire est une méthode respectueuse de
l’environnement dans la production de poisson.
SEMINAIRE
Pendant la période du 26 février au 1er mars 2008, le MPA et le
bureau régional de la JICA pour l'Ouest & l’Afrique Centrale,
localisé à Dakar, SÉNÉGAL, organise un séminaire régional à
Dabola dans les buts de :
1) evaluer la situation actuelle et les difficultés rencontrées dans
la mise en œuvre de l’aquaculture extensive ainsi que la politique
de développement de cette dernière dans les pays des participants ;
2) elaborer une ébauche de plan de développement de l’aquaculture
extensive pour chaque pays participant en s’inspirant des résultats
positifs capitalisés en Guinée ;
3) mettre en place entre les participants et la JICA, un système
d’échange d’informations relatif à l’aquaculture extensive et
permettant une remise à niveau permanente par le partage des
connaissances et des expériences à travers les Technologies de
l’Information et de la Communication (TIC) ;
4) renforcer la coopération régionale (en Afrique de l’Ouest et du
Centre) dans le domaine de l’aquaculture en favorisant la
collaboration entre la JICA et les autres bailleurs de fonds
intervenant dans ce secteur ;
5) visiter les étangs de KAMBAYA-BISSIKIRIMA ET MORIGBEYA.
Toutes les parties intéressées sont vivement invitées à ce
séminaire.
SOURCE :
l'expert de la JICA en Guinée
<http://minilien.com/?PL4p5fqCyW>
<http://fr.blog.360.yahoo.com/blog-Y09FQVc7cqUsJWui.0QO9vN3E2o-?
cq=1&l=11&u=15&mx=15&lmt=5>
Un article un peu ancien de Saurin Hem
Enclavée, soumise à des afflux de réfugiés depuis 1990, la Guinée
forestière
souffre d’une grave pénurie alimentaire. Comme toute forme d’élevage,
la pisciculture pourrait offrir une nouvelle source de nourriture.
Cependant les bas-fonds, propices à la création d’étangs, sont déjà
occupés
par les rizières. L’idée a donc été d’associer l’élevage de poissons
à la culture
du riz à l’instar de ce qui se fait en Asie. L’IRD a réalisé un essai
de rizipisciculture
en partenariat avec la SOGUIPAH (Société guinéenne de palmiers
à huile et d’hévéas) et la Direction nationale de l’aquaculture et de
la pêche
continentale1. Au terme d’une année, la production piscicole – des
tilapias
– s’est élevée jusqu’à plus d’une tonne par hectare. Une manne d’autant
plus précieuse que la présence des poissons n’a pas entravé la
culture du
riz, principale crainte des agriculteurs : les rendements ont été
d’environ
1,5 tonne/ha avec ou sans poissons. Selon certaines expériences
asiatiques,
la pisciculture peut même contribuer à accroître la productivité des
rizières
notamment grâce aux déjections qui enrichissent les sols. Si de tels
effets
ne sont pas encore perceptibles, en revanche, l’absence de mauvaises
herbes, due à la hauteur d’eau nécessaire aux poissons, a été très
bénéfique
: le temps de préparation des casiers rizicoles avant les cultures a été
réduit (gain en travail de 40 hommes x jours/ha).
Une expérience totalement concluante ? « Certes, les poissons pêchés
sont de
petite taille (80 % ont un poids moyen de 60 g), souligne Saurin Hem,
chercheur
de l’unité Divha2, qui a dirigé cette étude. Cependant, ils enrichissent
l’alimentation quotidienne par un apport en protéines non
négligeable. Dans
un contexte de pénurie comme celui de la Guinée forestière, outre les
quantités
alimentaires produites, c’est le faible coût de production qui importe
avant tout. La rizipisciculture, longtemps écartée des programmes de
développement
en Afrique du fait de la petite taille des poissons, devrait avoir une
place plus importante dans certaines régions rurales démunies. »
<http://minilien.com/?XaHfmDWu00>
<http://www.ird.fr/fr/actualites/journal/10/
sas10_recherche_biodiversite.pdf>
Bonsoir à tous,
En cliquant sur le lien ci dessous, vous pourrez télécharger la
lettre d'information du projet Sarnissa pour le mois d'octobre 2008.
Veuillez pardonner le retard de traduction, j'essaierai d'être plus
efficace dès le mois prochain.
Bien amicalement
Lionel
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Nom: La lettre d'information du projet Sarnissa.doc
Type: application/octet-stream
Taille: 2248704 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Royal Fish Bénin SA
L’assurance d’une bonne qualité de poissons
Leader en élevage de poissons chat au Bénin
La Société
QUI SOMMES NOUS
PRESENTATION DE LA SOCIETE
ROYAL FISH BENIN S.A. est une Société Anonyme avec Conseil d’Administration de droit béninois au capital de dixmillions de FCFA (10 000 000).Les activités de R.F.B s’inscrivent dans le cadre du relancement du secteur halieutique au Bénin. Les installations sont composées de deux Unités de production, un laboratoire d’alevinage (Reproduction des poissons) et une Unité de Grossissement
OBJECTIFS DE LA SOCIETE
Malgré les importations massives de poissons congelés d’Europe, la balance béninoise en fourniture de poisson reste
chaque année déficitaire. Un des principaux objectifs de ROYAL FISH BENIN est de combler progressivement ce
déficit en mettant sur le marché national des poissons frais et des alevins.
En vue de bien répondre à cette forte demande, ROYAL FISH DISTRIBUTION, déploiera un impressionnant circuit de distribution, en partenariat avec quelques acteurs nationaux du secteur, sur toute l’étendu du territoire.
LES ATOUTS DE ROYAL FISH BENIN S.A
La politique de développement de ROYAL FISH BENIN repose sur trois axes principaux :
Le Management de la société.
Les équipements de production très performants et actuellement utilisés en Europe.
Le solide partenariat avec des techniciens européen.
Fort de ce partenariat fiable, les techniciens hollandais procurent une assistance technique de haut niveau qui permet
de mettre sur le marché des produits de qualité exceptionnelle.
Le système de production permet de mettre sur le marché des poissons de façon permanente et sans risque de rupture
de stock. Le Professionnalisme du personnel technique (formé au Nigeria et en hollande) et le dynamisme du personnel administratif constituent également la base de notre réussite.
Une Écloserie Moderne d’une production d’un million d’alevins/an
L’Alevinage Moderne
Le Pré grossissement
Le Grossissement avec une production de 200t/an
La Formation
La société forte de son expérience dans le domaine de la pêche initie les jeunes à l’élevage de poissons en général. Il est à noté également qu’elle suit à la sortie tous ses apprenants dans la mise en place d’une petite unité de production de poissons.
Maurice DANDJINOURoyal Fish BENIN SA97 59 89 45/21 07 32 75
To: mauriceboris(a)hotmail.comCC: william.leschen(a)stir.ac.uk; olivier.mikolasek(a)cirad.fr; baroiller(a)cirad.fr; pierre.morissens(a)cirad.frSubject: Bienvenue sur Sarnissa !From: lionel.dabbadie(a)cirad.frDate: Sun, 30 Nov 2008 15:02:41 +0100
Bonjour !
Merci pour votre inscription et bienvenue sur la liste ! N'hésitez pas à me contacter si vous avez la moindre interrogation sur son fonctionnement.
Afin de permettre aux autres personnes de mieux vous connaître, pourrais-je vous demander d'adresser un court message à la liste (5-10 lignes, ou plus si vous le souhaitez) pour présenter vos activités et celle de votre organisation en rapport avec l'aquaculture. Il suffit d'adresser votre message à:
sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Cette liste est modérée pour éviter les envois pas erreurs de messages privés ou de publicités.
Merci et soyez certain que nous sommes ravis de vous compter parmi nous !
Bien amicalement
Lionel
_________________________________________________________________
Appelez vos amis de PC à PC -- C'EST GRATUIT
http://get.live.com/messenger/overview
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour,
Merci à ceux qui pourront répondre aux demandes de C. Bogne Sadeu
sur la rentabilité économique de ce modèle. Vous pouvez
télécharger le fichier sur :
<http://www.sarnissa.org/tiki-download_file.php?fileId=87>
Bien amicalement
Lionel
Début du message réexpédié :
> De : Cyrille Bogne Sadeu <cbognesadeu(a)yahoo.fr>
> Date : 27 novembre 2008 11:25:19 HNEC
> À : lionel.dabbadie(a)cirad.fr
> Cc : olivier.mikolasek(a)cirad.fr
> Objet : Association tilapia silure
>
>
> Bonjour!
> vou trouverez ci joint les caractéristiques d'un étang piscole à
> l'ouest du Cameroun où l'association tilapia silure est la règle.
> la question que nous nous posons actuellement est la viabilité
> technique de ce modèle d'élevage, de même que sa rentabilité
> économique.
> je souhaiterai avoir le point de vue des uns et des autres.
> Nous sommes entrain de préparer les vidanges dans des étangs où
> cette association a été mise en oeuvre. Nous espérons pouvoir
> conforter ces acquis avec les pisciculteurs avec lesquels nous
> travaillons en ce moment
> Cordialement
> BOGNE SADEU Cyrille
> Ingénieur des Eaux,Forêts et Chasses Diplômé en Agroforesterie
> Tel: (237) 99 78 55 43/ 74 34 75 17
>

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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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Nom: etude de cas I.doc
Type: application/msword
Taille: 41984 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Job opportunity translated from English forum :
Depuis 23 ans, le Centre Songhai du Bénin, offre un lieu d’échange où les africains peuvent apprendre et mettre en pratique les principes de l’autodétermination. La philosophie Songhai vise à libérer le potentiel créatif des communautés locales et à cultiver un sens aigu de l’utilisation rationnelle des ressources locales.
En mettant l’accent sur la formation, la recherche et la capacité d’initiative dans le secteur agricole et ses filières, Songhai cherche à
· Permettre aux jeunes africains de développer leur capacité à souhaiter et se donner les moyens d’améliorer leur qualité de vie
· Développer des systèmes de production rentables et durables, qui améliorent l’environnement
· Encourager les africains à prendre en main leur propre destinée socio-économique
Si vous croyez au potentiel d’un continent africain autosuffisant et êtes prêts à vous investir pour atteindre cet objectif, alors vous êtes peut-être la personne que nous recherchons. Merci de visiter notre site web www.songhai.org<http://www.songhai.org>
Pour candidater à n’importe quelle offre, merci d’adresser votre CV et une lettre d’accompagnement qui donne l’intitulé de l’emploi et votre date de disponibilité à dorothy.muthuri(a)songhai.org<mailto:dorothy.muthuri@songhai.org>
Responsable, Département Pisciculture
Le candidat idéal
Est un scientifique pragmatique qui va concevoir et implémenter des dispositifs innovants qui permettront d’appuyer la planification stratégique de systèmes piscicoles rentables et adaptables, et d’aliments pour poissons diversifiés et bien formulés en utilisant les ressources disponibles localement
Est un Planificateur économique qui pilotera les améliorations à apporter aux systèmes piscicoles opérationnels en minimisant les intrants mais en maximisant les bénéfices des récoltes
Est un Innovateur motivé qui transformera le Secteur piscicole Songhai en une unité de Recherche et Développement renommé en revalorisant les méthodes traditionnelles de pisciculture de manière à les adapter à un contexte moderne qui optimise la production
Est un Expert de terrain confiant qui connaît les méthodes de pisciculture intégrée, donne des conseils techniques fiables et peut piloter des améliorations des systèmes opérationnels et des processus avec ténacité et une approche positive du travail
Est un Facilitateur pour l’enseignement et un chef d’équipe qui définira et implémentera les programmes de formation pour l’équipe technique et les étudiants des sites piscicoles Songhai, tout en stimulant les synergies entre les départements Songhai tout en maintenant une dynamique régionale et un réseau international de ressources d’apprentissage
Qualifications personnelles
o Le candidat doit parler et écrire couramment le français et l’anglais
o Il doit avoir une expérience pratique et théorique des méthodes de pisciculture intégrées
o Il doit comprendre les enjeux du développement des communautés dans un contexte de pays en développement
o Il doit apporter la preuve de ses capacités en évaluation stratégique de projets, de planification et de mise en oeuvre
o Il doit posséder une expérience de travail comme superviseur d’équipe, et comme conseiller technique.
o Il doit posséder des capacités analytiques et de mise en œuvre de politiques
o Il doit avoir la capacité à faciliter les formations et à stimuler l’apprentissage
Le Centre Songhai est le reflet d’une dynamique de travail dynamique, de sorte que le candidat idéal pour ce poste doit être autonome et avoir à la fois la capacité de travailler de manière indépendante sous pression, mais aussi de se comporter comme un membre d’une équipe de développement. Il doit avoir d’excellentes capacités à communiquer, et attitude flexible par rapport au travail.
24-11-2008 PROJET D'AVENIR : Dans le cadre d'une création d'une
pisciculture de tilapia au nord du sénégal sur un site de 250 ha
alimenté gravitairement en eau douce nous recherchons la candidature
d'un responsable de production motivé et pret a s'investir dans cette
nouvelle explotation. Contrat de travail a définir, partenariat
possible .Expérience souhaitée dans l'elevage de cette espèce précise
et/ou especes tropicales. Toutes vos candidatures seront
analysées.Merci d'envoyer vos compétences, motivations et prétentions
par mail. capitaine.franck(a)wanadoo.fr
11-09-08 Offre d'emploi 2 Opérateurs Aquacoles : VitaFish est un
élevage et atelier de transformation de tilapia, un poisson tropical
destiné à la consommation. Le produit principal, le filet frais de
Tilapia, est vendu dans la grande distribution en Belgique et dans
les pays voisins. Visitez notre site : www.vitafish.com. Pour
renforcer notre équipe d’élevage, nous recherchons d’urgence 2
Opérateurs Aquacoles.
Description du poste : Dans le respect des règles d’hygiène et de
sécurité, Vous participez aux activités journalières de la ferme
piscicole: récolte des œufs, alimentation et transfert des poissons -
Vous manipulez le poisson - Vous participez au plan de nettoyage des
installations - Vous vous occupez de l’entretien des équipements et
du dépannage (en accompagnement et/ou sous la conduite d'un
responsable).
Qualification : Vous avez une formation aquacole ou souhaitez
acquérir des compétences dans le domaine de l’élevage de poissons.
Profil : Vous avez un feeling inné pour les animaux et leur bien-être
- Vous avez le sens de l’ordre, de propreté et de précision - Vous
savez respecter les instructions de travail - Vous êtes
consciencieux, soucieux et fier d’un travail bien accompli - Capacité
d’adaptation et d’intégration dans une équipe - Polyvalence,
flexibilité et disponibilité dans le travail - Vous avez un
comportement responsable.
Offre : Nous vous proposons un contrat à durée indéterminée, dans une
entreprise en pleine expansion. Votre candidature sera adressée à Mad
Silvie Vantomme : jobs(a)vitafish.com.
<http://www.aquaculteurs.com/>
Extrait du rapport de la mission de Madame H. Tanguy sur le
développement de l'aquaculture française. Des réactions du point de
vue aquaculture africaine ?
Le rapport entier peut être téléchargé sur
<http://minilien.com/?YelBOFQabg>
<http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/cgi-bin/brp/
telestats.cgi?brp_ref=084000723&brp_file=0000.pdf>
4. 2.7 - le développement à l’étranger : il peut s'agir d'une option
de repli au cas où le
développement des entreprises aquacoles recherché et souhaité sur le
territoire national ne pouvait
être obtenu rapidement; mais même dans l'hypothèse la plus optimiste,
il convient de faciliter et
encourager nos entreprises de production et notre recherche-
développement à exercer leurs
talents dans les pays et les régions de l’Europe et du Monde où les
principales productions en
aquaculture sont présentes. Cette démarche est à rapprocher de la
veille technologique évoquée
plus loin. Nos entrepreneurs doivent alors pouvoir bénéficier de
l’appui des pouvoirs publics
français (COFACE, UBI France notamment) pour s’implanter et se
développer à l’étranger, dans
le cadre d'une stratégie de diversification des sites et des risques
pour la production et de suivi des
évolutions des marchés mondial et européen.
Bonjour,
A la suite de mon inscription, je vous transmets une petite présentation. Je suis étudiant en Licence Aquaculture Continentale et Aquariologie à Nancy (Nord Est de la France). J’ai effectué principalement des stages en Aquariologie. Néanmoins, dans le cadre de ma formation antérieur, le CREUFOP (SMEL), j’ai effectué un stage de deux mois au BENIN dans une ONG spécialisée dans le développement de l’aquaculture. J’ai découvert le site à la suite d’une récente intervention pendant ma formation sur la gestion des milieux aquatiques !
Je reste disponible pour toute question. Merci pour l’accueil,
Julien Loubet.
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous !
Vous avez dû vous en rendre compte... Il y a moins de messages depuis
le début de cette semaine ! :-) En fait, il y a eu un problème sur le
serveur (normalement résolu maintenant), mais ça va aussi être
l'occasion d'un changement, suite à certains retours d'abonnés. Les
informations que je postais auparavant sur la liste seront désormais
disponibles sur le site web http://www.sarnissa.org/ et uniquement là.
Vous pouvez y accéder grâce à vos identifiants et mots de passe, que
vous devriez tous avoir. Si ça n'est pas le cas, vous pouvez me
demander de vous adresser le fichier excel et la procédure pour les
obtenir. Vous pouvez aussi télécharger le fichier en cliquant sur le
lien suivant :
<http://www.sarnissa.org/tiki-download_file.php?fileId=85>
A partir de maintenant, la liste est réservée aux discussions et
débats. N'hésitez pas à l'utiliser !
Bien amicalement
Lionel
Dear Jean Francois - translated reply from Ken.
Amicalement
Will
Salut JF,
Merci pour vos commentaires. Je ne suis pas vraiment la capacité de test pour des périodes successives de stress car je n'ai qu'une piscine et ne peut donc pas exécuter un groupe de contrôle. Toutefois, je ne suis en déduire les taux de croissance qu'il est petit. Par rapport à la norme de swimup-GM-450 en neuf mois-je obtenir environ 60% le taux de croissance. Mixte de poissons, où les femmes semblent croître à environ 55% de taux d'hommes, une distribution de 2:1 M: F, indique environ 85% de croissance en moyenne. Cela impliquerait que je suis la réalisation sur seulement 70% de mon taux de croissance potentiel. Toutefois, la croissance des exploitations agricoles (stock d'environ 3 poissons par mètre carré) dans ma région, qui sont importés à l'aide de la RFY, stock 30 jours tous les hommes en avril et ont un poids moyen de seulement 350 grammes par Novembre (environ 78 % De la norme figure). Ainsi, par rapport à ce chiffre, je suis atteindre environ 90% de la ferme, d'autres taux de croissance.
Après quelques années de tri, j'ai trouvé que 3 sortes (environ 35 g, 70 g GM 110), donne-moi un ensemble ordonné de la poissons. Je ne sorte plus de deux fois au cours de croître à. Comptage de la capture de l'original, qui fait un total de six sortes au cours du cycle de vie. Depuis poissons de taille similaire, semblent faire mieux ensemble, je suppose que certains qui compense le stress. Tri à la nuit semble aussi produire beaucoup moins de stress que le tri dans la journée.
Depuis ma piscine est continue la production et les ventes, j'ai vraiment besoin de leur triés régulièrement pour les ventes de toute façon.
Aussi, j'aime bien la stabilité d'être en mesure de produire mon propre alevins.
J'ai trouvé que les femmes semblent tenir à leur groupe d'âge de sexe masculin.
Tout d'autres suggestions sur la façon d'augmenter la croissance et de réduire le stress etc alors que la gestion d'un bi-sexe tilapia ferme sont les bienvenus.
Ken
From: sarnissa-african-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] On Behalf Of kwbetts
Sent: 22 November 2008 09:14
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: Re: [Sarnissa-african-aquaculture] FW: Gender control for tilapia production Mixed sex graded system
Hi JF,
Thanks for your comments. I don't really have the ability to test for successive stress since I have only one pool and so cannot run a control group. However, I do infer from growth rates that it is small. Compared to the standard swimup-to-450 gm in nine months I get about 60% growth rate. Mixed fish, where females seem to grow at about 55% of rate of males, a 2:1 distribution of M:F, would indicate about 85% growth on average. That would imply that I am acheiving only about 70% of my potential growth rate. However, the grow out farms (stocked at about 3 fish per sq meter) in my area, that are using the imported fry, stock 30 day old all males in April and have an average weight of only about 350 grams by November (about 78% of the standard figure). So compared to that figure, I am acheiving roughly 90% of the other farm's growth rate.
After a couple years of sorting, I have found that 3 sorts (about 35 gm, 70 gm 110 gm), gives me a well ordered set of fish. I do sort them two more times during grow out. Counting the original catching, that makes a total of six sorts during the life cycle. Since fish of similar size seem to do better together, I guess that that offsets some of the stress. Sorting at night also seems to produce a lot less stress than sorting in the day.
Since my pool is continuous production and sales, I really do need them sorted regularily for sales anyway.
Also, I really like the stability of being able to produce my own fry.
I have found females that appeared to keep up with thier male age group.
Any additional suggestions of how to increase growth and reduce stress etc. while managing a bi-sex tilapia farm are most welcome.
Ken
On Fri, 21 Nov 2008 16:45:03 +0000, William Leschen wrote
>
>
>
> From: JF Baroiller [mailto:baroiller@cirad.fr]
> Sent: 21 November 2008 16:45
> To: William Leschen; sarnissa-french-aquaculture Mailing List
> Subject: Re: [Sarnissa-african-aquaculture] Gender control for tilapia production Mixed sex graded system
>
> Dear Ken,
>
> It sounds cunning !
>
> My only concern is the effect of successive stress (the successive sorting for size) on the growth rate.
> A long time ago (when my hair were not white...) we compare the growth rate of groups of juveniles (the size at which you should begin the sorting for size) which were manipulated 5 times (during a 3 months period) or not manipulated. The growth rate was strongly inhibited in the manipulated groups because of the successive stress.
>
> Following your sorting for size, did you also find some rare females growing very fast ? A few of them can have growth rate very similar to the males.
>
> Thank you very much for your interesting message.
>
> JF Baroiller
>
> Cher Ken,,
>
> C'est astucieux !
>
> Ma seule inquiètude est que ces tris successifs constituent des stress successifs avec des effets négatifs sur la croissance.
> Il y a quelques temps (quand je n'avais pas encore de cheveux blancs...), nous avions comparé la croissance de groupes de juvéniles (à la taille où vous devez commencer à voir des dimorphismes de croissance et où vous commencez vos tris successifs) qui étaient manipulés (péchés et aussitôt remis dans leur structure d'élevage) 5 fois en 3 mois ou au contraire des groupes que l'on ne péchait jamais. Au bout de 3 mois, les groupes manipulés présentait des poids moyen beaucoup plus faibles que ceux des lots non manipulés. La seule différence entre les lots était la manipulation (même famille, même densité, même alimentation, ...). Cette moins bonne croissance était liée au stress des manipulations successives.
>
> Sinon, quand vous faites vos tris, vous arrivé-t'il de trouver des femelles dans les animaux les plus gros ? En effet, on trouve parfois des femelles qui ont des croissances très proches de celles des mâles.
>
> Merci pour votre intéressant message,
>
> JF Baroiller
>
> Quand vous faites vos tris, vous arrive-t'il de trouver
>
> At 11:54 21/11/2008, you wrote:
>
>
> Content-Language: en-US
> Content-Type: multipart/alternative;
> boundary="_000_8ED3F2CA5B78E142B8193376C57330F8E1958A45B8EXCH2007adsti_"
>
>
>
> From: kwbetts [ mailto:kwbetts@meabt.com]
> Sent: 21 November 2008 06:56
> To: William Leschen
> Subject: Re: [Sarnissa-stakeholders] Gender control for tilapia production
>
> Hi,
>
> My situation is a bit unique since I depend on my fry. Since I have no reliable source of healthy quality male fry, I raise mixed sex. My semi-intensive green water recirculated pool produces about 30 to 40 thousand fry in a year of which I need up to 11 thousand for grow out. In the one pool, I have an area of high density cage nets and about 2/3 of the pool I intentionally keep stocked with about 100 to 200 breading tilapias. Since my breading season runs from Oct through Nov and March through April with winter between them, I catch virtually all the fry in a baited umbrella net at a rate up to 800 per day (about 30 minutes of fishing) taking me through June to catch almost all of them. Of all that I catch I keep my grow out needs plus almost 50% extra. Then, rather than sexing them all, I sort the fish for size a couple of times in a way that separates out the slow growers (most of which will be females) and discard up to 1/3 of all that I previously kept. So, by the time they reach 100 grams, they are mostly males and have the runts removed. Of the fastests growing groups of these, I restock my breading area for the next breading season.
>
> Manged bi-sex Tilapia. Sound complex? Not really, its in getting the process right. Advantages? No need for expensive and unreliable improted fry. No need for chemicals. No need for highly reliable and labour intensive hand sexing.
>
> Ken
>
> On Wed, 19 Nov 2008 11:58:49 +0000, William Leschen wrote
> > From French forum
> >
> > Dear all,
> >
> > We all know the importance of sex control for tilapia production in the majority of the numerous farming conditions of this species group. It is not necessary to remind you all that numerous techniques have been used up till now (hybridisation), or is more classically used for sex control such as manual sexing, hormonal inversion and use of YY males. Each of these techniques has been often discussed showing their advantages and disadvantages. We all know farmers who use one or another approach depending on his constraints which are essentially the cost, the facility for its use and its efficiency.
> > However, it is harder to have a relative estimation of which farmers used which approach.
> >
> > Would you share this information telling us if:
> >
> > you use mainly a) manual sexing, b) hormonal inversion, c) off-springs of YY males, d) hybridisation, and mentioning which rearing conditions you are using (monoculture, polyculture, extensive or semi-intensive conditions). Or do you use predators and if it is the case which species do you use (Hemichromis, Heterobranchus, Clarias, Lates)? Finally, what is the main justification of your choice?
> >
> > Thank you very much,
> >
> > Helena D'Cotta and JF Baroiller
> > ___________________________________
> >
> > Dr. Helena D'Cotta
> > CIRAD-PERSYST
> > Aquaculture Research Unit, TA B-20/A, Bur.A18 Campus International de Baillarguet
> > 34398 Montpellier cedex 5, France
> > Tel : 33 - (0) 467593951; Fax : /3825
> > dcotta(a)cirad.fr<mailto:dcotta@cirad.fr>
> > http://aquatrop.cirad.fr/
> >
> > PS from Will - See video clip (link below) of Helena and Jean Francois at work.
> >
> > Please note clip is in a section of main news report
> >
> > http://minilien.com/?aPNxm6nYpr
> > http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=e31a_invite&video_number=0
> >
>
> No virus found in this incoming message.
> Checked by AVG - http://www.avg.com<http://www.avg.com/>
> Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1801 - Release Date: 11/20/2008 9:11 AM
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
> Dr J.F. Baroiller
> CIRAD-Persyst,
> UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
> Campus International de Baillarguet
> TA B-20/A, Bur.A18
> 34398 Montpellier cedex 5
> France
>
> *: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
> Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
> * baroiller(a)cirad.fr
> http://aquatrop.cirad.fr/
> <http://aquatrop.cirad.fr/>
> No virus found in this incoming message.
> Checked by AVG - http://www.avg.com
> Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1801 - Release Date: 11/20/2008 9:11 AM
Chers tous,
Nous connaissons tous l'importance du contrôle du
sexe pour la production de tilapia dans la
plupart des nombreuses conditions d'élevage
possible chez ce groupe d'espèces. Inutile de
vous rappeler que différentes techniques ont été
(hybridation) ou sont classiquement utilisées
(principalement le sexage manuel, l'inversion
hormonale et l'utilisation de mâles YY) pour un
tel contrôle du sexe. Chacune de ces techniques a
été présentée à de nombreuses reprises avec ses
avantages et ses contraintes. Nous connaissons
tous des pisciculteurs qui utilisent plutôt une
approche ou plutôt l'autre, en fonction de ses
contraintes (essentiellement le coût, la facilité
de mise en oeuvre et l'efficacité). Il est par
contre plus difficile d'avoir une idée précise de
la proportion relative de pisciculteurs qui
utilisent l'une ou l'autre de ces approches.
Seriez-vous d'accord pour partager cette
information, en disant si vous utilisez plutôt le
sexage manuel, l'inversion hormonale, les
descendances de mâles YY, l'hybridation, dans
quelles conditions d'élevage (monoculture,
polyculture, extensif, semi-intensif) ou si au
contraire vous utilisez des prédateurs et si oui,
quels types de prédateurs (Hemichromis,
Heterobranchus, Clarias, Lates), et quelle est la
justification première de votre choix ?
Amicalement à tous,
JF Baroiller & Helena D'Cotta
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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Dear Ken,
It sounds cunning !
My only concern is the effect of successive
stress (the successive sorting for size) on the growth rate.
A long time ago (when my hair were not white...)
we compare the growth rate of groups of juveniles
(the size at which you should begin the sorting
for size) which were manipulated 5 times (during
a 3 months period) or not manipulated. The growth
rate was strongly inhibited in the manipulated
groups because of the successive stress.
Following your sorting for size, did you also
find some rare females growing very fast ? A few
of them can have growth rate very similar to the males.
Thank you very much for your interesting message.
JF Baroiller
Cher Ken,,
C'est astucieux !
Ma seule inquiètude est que ces tris successifs
constituent des stress successifs avec des effets négatifs sur la croissance.
Il y a quelques temps (quand je n'avais pas
encore de cheveux blancs...), nous avions comparé
la croissance de groupes de juvéniles (à la
taille où vous devez commencer à voir des
dimorphismes de croissance et où vous commencez
vos tris successifs) qui étaient manipulés
(péchés et aussitôt remis dans leur structure
d'élevage) 5 fois en 3 mois ou au contraire des
groupes que l'on ne péchait jamais. Au bout de 3
mois, les groupes manipulés présentait des poids
moyen beaucoup plus faibles que ceux des lots non
manipulés. La seule différence entre les lots
était la manipulation (même famille, même
densité, même alimentation, ...). Cette moins
bonne croissance était liée au stress des manipulations successives.
Sinon, quand vous faites vos tris, vous
arrivé-t'il de trouver des femelles dans les
animaux les plus gros ? En effet, on trouve
parfois des femelles qui ont des croissances très proches de celles des mâles.
Merci pour votre intéressant message,
JF Baroiller
Quand vous faites vos tris, vous arrive-t'il de trouver
At 11:54 21/11/2008, you wrote:
>Content-Language: en-US
>Content-Type: multipart/alternative;
>
>boundary="_000_8ED3F2CA5B78E142B8193376C57330F8E1958A45B8EXCH2007adsti_"
>
>
>
>From: kwbetts [mailto:kwbetts@meabt.com]
>Sent: 21 November 2008 06:56
>To: William Leschen
>Subject: Re: [Sarnissa-stakeholders] Gender control for tilapia production
>
>Hi,
>
>My situation is a bit unique since I depend on
>my fry. Since I have no reliable source of
>healthy quality male fry, I raise mixed sex. My
>semi-intensive green water recirculated pool
>produces about 30 to 40 thousand fry in a year
>of which I need up to 11 thousand for grow
>out. In the one pool, I have an area of high
>density cage nets and about 2/3 of the pool I
>intentionally keep stocked with about 100 to 200
>breading tilapias. Since my breading season
>runs from Oct through Nov and March through
>April with winter between them, I catch
>virtually all the fry in a baited umbrella net
>at a rate up to 800 per day (about 30 minutes
>of fishing) taking me through June to catch
>almost all of them. Of all that I catch I keep
>my grow out needs plus almost 50% extra. Then,
>rather than sexing them all, I sort the fish for
>size a couple of times in a way that separates
>out the slow growers (most of which will be
>females) and discard up to 1/3 of all that I
>previously kept. So, by the time they reach 100
>grams, they are mostly males and have the runts
>removed. Of the fastests growing groups of
>these, I restock my breading area for the next breading season.
>
>Manged bi-sex Tilapia. Sound complex? Not
>really, its in getting the process
>right. Advantages? No need for expensive and
>unreliable improted fry. No need for
>chemicals. No need for highly reliable and labour intensive hand sexing.
>
>Ken
>
>On Wed, 19 Nov 2008 11:58:49 +0000, William Leschen wrote
> > From French forum
> >
> > Dear all,
> >
> > We all know the importance of sex control for
> tilapia production in the majority of the
> numerous farming conditions of this species
> group. It is not necessary to remind you all
> that numerous techniques have been used up till
> now (hybridisation), or is more classically
> used for sex control such as manual sexing,
> hormonal inversion and use of YY males. Each of
> these techniques has been often discussed
> showing their advantages and disadvantages. We
> all know farmers who use one or another
> approach depending on his constraints which are
> essentially the cost, the facility for its use and its efficiency.
> > However, it is harder to have a relative
> estimation of which farmers used which approach.
> >
> > Would you share this information telling us if:
> >
> > you use mainly a) manual sexing, b) hormonal
> inversion, c) off-springs of YY males, d)
> hybridisation, and mentioning which rearing
> conditions you are using (monoculture,
> polyculture, extensive or semi-intensive
> conditions). Or do you use predators and if it
> is the case which species do you use
> (Hemichromis, Heterobranchus, Clarias, Lates)?
> Finally, what is the main justification of your choice?
> >
> > Thank you very much,
> >
> > Helena D'Cotta and JF Baroiller
> > ___________________________________
> >
> > Dr. Helena D'Cotta
> > CIRAD-PERSYST
> > Aquaculture Research Unit, TA B-20/A, Bur.A18
> Campus International de Baillarguet
> > 34398 Montpellier cedex 5, France
> > Tel : 33 - (0) 467593951; Fax : /3825
> > <mailto:dcotta@cirad.fr>dcotta(a)cirad.fr
> > http://aquatrop.cirad.fr/
> >
> > PS from Will See video clip (link below) of
> Helena and Jean Francois at work.
> >
> > Please note clip is in a section of main news report
> >
> > <http://minilien.com/?aPNxm6nYpr>http://minilien.com/?aPNxm6nYpr
> > http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=e31a_invite&video_number=0
> >
>
>No virus found in this incoming message.
>Checked by AVG - http://www.avg.com
>Version: 8.0.175 / Virus Database: 270.9.8/1801
>- Release Date: 11/20/2008 9:11 AM
>_______________________________________________
>Sarnissa-african-aquaculture mailing list
>Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
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France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05 (sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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Merci à Géovanne NZIENGUI pour cette présentation, très intéressante
eu égards aux discussions récentes sur les tilapia non nilo
(domestication O schwebischi). D'autres personnes travaillent sur
cette espèce ?
> Je suis Géovanne NZIENGUI de Nationalité Gabonaise. J’ai connu ce
> projet d’échange au travers de Mr JF Baroiller et de
> Mr Pierre Morissens que je remecie d’ailleurs de m’avoir inscrit.
> Je suis agent à la direction générale des pêches
> et de l’aquaculture dans mon pays, j’ai une expérience moyenne en
> aquaculture pour avoir participé au projet d’élevage de O niloticus
> en cages flottantes au lac Onangué dans l’équipe de Dr MBEGA Jean
> daniel. Depuis trois ans je suis en formation en France notamment
> à l’UMII
> et cette année je suis en M2 du parcours BGAE et de la spécialité
> Bioressources aquatiques de l’environnement méditerannéen et
> tropical (BAEMT)
> je conte travailler sur un projet de domestication de O schwebischi
> pour les besoins d’une pisciculture de repeuplement et commerciale
> dans
> le Moyen Ogooué au gabon. J’ai commencé à faire une synthèse
> bibliographique sous l’encadrement de J LAZARD et F CLOTA. Je
> compte faire aboutir ce projet
> et j’espère que lors des débats sur ce site je pourrai trouver des
> orientations de personnes expérimentées et pouvoir interéssés des
> institutions,ONG, associations
> sr ce projet.
> Amicalement !
Très peu d'information disponible sur internet à propos du
schwebischi. On trouve quand même quelques photos et son nom évoqué
dans des études de R. Brummett et G. Teugels :
<http://minilien.com/?26JAw5FWUO>
<http://www.mekonginfo.org/mrc_en/doclib.nsf/0/
DD7094D7927FE66C47256FE000275F6F/$FILE/FULLTEXT.pdf>
Il y a aussi une fiche signalétique issue de la thèse de Patrick
Mouguiama-Daouda "Les dénominations ethnoichtyologiques chez les
Bantous du Gabon : étude de linguistique historique", où on apprend à
prononcer son nom en bantou :
<http://minilien.com/?26nbbeBu5E>
<http://www.ddl.ish-lyon.cnrs.fr/gabon/Poisson/Fish.asp?
Action=Edit&Fish_id=19>
Est-ce lui que les médias appellent le "Tilapia du Gabon" ? :
Gabon: Le tilapia du Gabon en phase d'expérimentation pour une
pisciculture plus diversifiée
Gabonews (Libreville)
28 Juillet 2008
Publié sur le web le 29 Juillet 2008
Murielle Mendoua
Libreville
Le département de l'Economie forestière chargé de la Pêche et de
l'Aquaculture, procède actuellement à l'expérimentation de l'élevage
du poisson tilapia du Gabon (Lambaréné), dans le but de mieux cerner
les différents éléments qui pourraient concourir à son alimentation,
pour une pisciculture plus variée, composée des espèces halieutiques
du Gabon, a constaté GABONEWS.
Avec le développement du secteur piscicole au Gabon, les responsables
en charge de ce département mettent les bouchées doubles, en vue de
diversifier les espèces de poissons élevés, notamment avec une série
d'expériences faites sur le tilapia de Lambaréné, qui pourrait
également être d'un apport non négligeable pour la pisciculture au
Gabon.
Signalons que le tilapia actuellement en élevage au sein des
différentes stations piscicoles du pays, provient d'Egypte, un choix
qui s'explique par le fait que ce poisson répond convenablement aux
normes d'un élevage moderne.
Ainsi, ces expériences sont axées sur le tilapia des lacs, mais
également celui des eaux courantes.
Communiqué de Presse Cirad
vendredi 21 novembre 2008
Le Projet EVAD (Evaluation de la durabilité des systèmes aquacoles)
tient son séminaire final, les 24 et 25 novembre 2008 au Cirad de
Montpellier. EVAD est partie prenante du Programme Fédérateur
Agriculture et Développement Durable financé par l’Agence Nationale
de la Recherche et associe le Cirad, l’Ifremer, l’Inra, l’IRD et
l’Université de Montpellier I.
D’emblée, Jérôme Lazard, chercheur au Cirad et coordinateur d’EVAD
dresse le tableau : « 2008 marque un tournant historique pour
l’aquaculture. C’est la première fois que sa production est aussi
importante que celle de la pêche".Il précise : « les ressources
halieutiques (liées à la pêche) ont atteint leur maximum, soit 90 à
95 millions de tonnes par an, l’aquaculture vient donc compenser une
pêche qui a atteint son plafond».
C’est justement l’Asie qui joue un rôle majeur (92% de l’aquaculture
mondiale) avec une production dite « à chaîne alimentaire courte »
soit des poissons d’eau douce comme les carpes et les tilapias qui se
nourrissent essentiellement de végétaux. Les pays industrialisés du
Nord élèvent des poissons de mer carnivores et « à chaîne
alimentaire longue ».
Vers une aquaculture durable et participative
Portée par ce contexte de croissance rapide au niveau mondial mais
hétérogène selon les zones géographiques, l’aquaculture croise de
nombreuses questions globales mais aussi des questions très locales.
C’est précisément ce qui a conduit le collectif de chercheurs EVAD à
s’intéresser à la durabilité de cette activité agricole particulière,
notamment au travers de sa « dimension territoriale ».
Des enquêtes de terrain approfondies ont été menées qui impliquaient
tous les acteurs de la filière aquacole (producteurs, institutions
régulatrices, services de recherche et d’encadrement, provendiers,
distributeurs, etc.). Le contexte environnemental, économique et
social ainsi que les particularités des gouvernances ont été pris en
considération sur cinq zones d’études reflétant des enjeux contrastés
pour l’aquaculture :
- La Bretagne qui voit sa production intensive de truite d’eau douce
se réduire tandis que s’intensifient les pressions réglementaires
dans un contexte environnemental très contraint et une stagnation des
marchés.
- La Méditerranée où la pression foncière et touristique sur la côte
pousse à terme les systèmes de production en cage à évoluer vers
d’autres modèles et qui se caractérise actuellement par des
concentrations d’exploitations.
- Les Philippines dont les systèmes piscicoles côtiers extensifs
(étangs saumâtres) s’inscrivent dans un contexte aquacole national
fortement marqué par l’économie du pays.
- Le Cameroun où le développement de l’innovation piscicole est
directement lié aux dynamiques de diversification des systèmes de
production agricoles dans un contexte de changements sociaux et
économiques profonds.
- L’Indonésie dont la pisciculture artisanale s’insère le plus
souvent dans d’autres activités agricoles ou non agricoles et dont le
développement rapide peut soulever la question de son impact
environnemental.
La démarche « EVAD »
Le séminaire final du projet Evad se propose d’effectuer une
véritable restitution de toutes les opérations réalisées sur les
terrains et de leurs résultats.
Un « Guide de co-construction d’indicateurs de développement durable
en aquaculture » a été réalisé et sera présenté aux participants
durant le séminaire. Il reprend la logique du projet et la méthode
générique « EVAD » d’analyse des facteurs du développement durable de
l’aquaculture selon la démarché basée sur l’emboitement « Principes,
Critères, Indicateurs ».
Comme l’explique Jérôme Lazard : « les diagnostics obtenus dans le
cadre d’EVAD ne sont pas que la photographie d’une réalité donnée.
Ils doivent constituer un outil d’aide à la décision en matière de
pilotage des exploitations et de mise en œuvre de politiques de
développement durable ».
Le travail réalisé au cours du projet devrait permettre par ailleurs
de consolider et d’élargir le groupe de recherche - organismes et
équipes scientifiques du Nord et du Sud - ainsi que conforter la
mise en œuvre d’une approche interdisciplinaire et multi partenariale
du développement durable de l’aquaculture sur de nouveaux terrains et
d’autres systèmes de production agricoles.
Message de J. Arrignon et je remercie au passage l'APDRA-F pour avoir
accepté de diffuser ce document interne sur la liste Sarnissa
Début du message réexpédié :
> De : Jacques ARRIGNON <jacques-arrignon(a)orange.fr>
> Date : 10 novembre 2008 09:19:25 HNEC
> À : lionel.dabbadie(a)cirad.fr
> Objet : Réexp : Lettre d'information APDRA-F Octobre 2008
>
> Cher collègue,
>
> J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre courriel "sarnissa" et je
> vous félicite pour l'exhortation que vous lancez pour davantage de
> contributions à votre forum, de la part des spécialistes
> francophones.
> Dans cette perspective, ci-joint une lettre d'information de
> l'APDRA, mais que vous possédez peut-être déjà.
>
> Bon courage et bien cordialement.
>
>
> De : "APDRA-F" <contact.apdraf(a)free.fr>
> Date : 3 octobre 2008 11:38:33 HAEC
> À : <contact.apdraf(a)free.fr>
> Objet : Lettre d'information APDRA-F Octobre 2008
>
>
> Bonjour à tous,
>
> Veuillez trouver en pièce jointe la lettre d'information du mois
> d'octobre.
>
> Bonne lecture!
>
> Isabelle Hanquiez
> Chargée de communication

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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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Etat des lieux de l'aquaculture, avec Chantal Cahu
(Clémence Mortier)
Alors que la pêche intensive rend de plus en plus préoccupant le
renouvellement des stocks, l'augmentation de la demande mondiale en
produits d'origine aquatique ne cesse de croître. Il est urgent de
trouver des solutions alternatives à la raréfaction des ressources
halieutiques. Chantal Cahu, biologiste à l'Ifremer au département
physiologie fonctionnelle des organismes marins, nous explique les
enjeux de l'aquaculture.
<http://minilien.com/?8nkrEOTtY9>
<http://www.laradiodelamer.com/podcast/environnement/ecoutez-etat-des-
lieux-de-l-aquaculture-avec-chantal-cahu-804.html>