Bonjour à tous,
Pour info sur le NEPAD, de la part de William !
Bien amicalement
Lionel
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From: Nepad [mailto:nepad@publicinstinct.co.za]
Sent: 09 April 2010 11:20
To: William Leschen
Subject: NEPAD Dialogue, issue 265 - French
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AVRIL 2010 | EDITION FRANÇAISE | Numèro 265 | HEBDOMADAIRE ELECTRONIQUE
Le Nouveau NEPAD
Par Tanya Pampalone du Mail and Guardian
L’Agence de dé veloppement en Afrique a peaufiné son nom. Mais, est-ce suffisant pour la
rendre encore pertinente?
Tanya Pampalone s’est entretenue avec le Dr Ibrahim Assane Mayaki, Secré taire Exé cutif
de l’Agence de Planification et de Coordination du NEPAD (APCN), sur la nouvelle direction
de l’Agence du NEPAD.
Il y a de nombreuses critiques à l’encontre du Nouveau Partenariat pour le Dé veloppement
de l’Afrique (NEPAD) qui estiment que le NEPAD n’a pas atteint les objectifs fixé s. Parmi
elles, celles é mises l’anné e derniere par le Pré sident sé né galais Abdoulaye Wade qui,
dé clarait que beaucoup d’argent fut investi dans le NEPAD sans pour autant atteindre des
ré sultats significatifs et, que l’Agence du NEPAD pourrait être comparé e à « une
Mercedes conduite par un mauvais chauffeur ». Comment ré agissez-vous à de pareils
commentaires ?
Je pense que ces critiques pourraient être interpré té es à la lumière des raisons
suivantes. Premièrement, le mandat du NEPAD n’é tait pas clairement dé fini, ce qui
signifie que l’impact et les ré sultats ont é té soumis à une forte interpré tation.
Deuxièmement, l’interaction avec la Commission de l’Union africaine n’a pas é té conçue
avec des rôles clairement dé finis. Je peux vous dire, très humblement, que maintenant la
Mercedes a un chauffeur. Nous avions besoin de nous inté grer à l’Union africaine et procé
der à une ré orientation des priorité s essentielles.
Pouvez-vous expliquer en quoi la nouvelle appellation Agence de Planification et de
Coordination du NEPAD (APCN) est diffé rente de ce que l’on connaissait au pré alable sous
le vocable Secré tariat du NEPAD ?
L’ancienne structure é tait lié e au NEPAD comme un programme, mais n’avait pas de mandat
lé galement fondé , parce qu’elle n’avait pas é té cré é e par les structures de l’Union
Africaine. En consé quence, Il y a eu des prestations sur le terrain-il y a eu un certain
nombre d’impacts dans les secteurs de l’agriculture, de la science et de la technologie,
et de l’infrastructure- mais les critères pour é valuer l’impact des ré alisations ont é
té limité s du fait d’un mandat non pré cis et juridiquement non contraignant. La nouvelle
structure a é té cré é e par une dé cision prise par les Chefs d’État de l’Union
Africaine, dé cision qui dé finit très clairement le mandat. Et, ce mandat est porté sur
l’exé cution et la mise en œuvre de projets.
Dans la structure pré cé dente, nous avions cré é une mentalité de silos. Les secteurs
n’ont pas ré ussi à communiquer, et, par consé quent, ils ont conçu des programmes indé
pendants. Dans chacune de nos interventions, nous avions produit de la connaissance mais,
hé las, dans nos silos, et nous avions perdu cette connaissance. Par exemple, lorsque nous
sommes intervenus dans un programme sur le genre, nous avions appris sur la condition des
femmes entrepreneurs, pré cisé ment sur la condition des femmes entrepreneurs dans les
zones rurales, sur les contraintes du système financier, sur le niveau de formation dans
les petites entreprises…mais ces projets n’é taient pas lié s à d’autres projets
d’apprentissage. La question essentielle est maintenant de dé velopper ce système de
connaissances. Il y avait aussi un manque de priorité s lié à ce problème silos. L’autre
problème é tait axé sur la demande.
Il s’agissait donc d’une ré action ?
Oui, on peut le dire. Cependant, l’autre problème est le manque de cohé rence né cessaire
avec l’Union Africaine. Donc, ce qu’il y avait c’é tait une mentalité de concurrence sur
les mêmes scènes d’interventions. Notre nouvelle structure nous permettra, à long terme,
de transformer l’Agence en un plus important et, unique forum public de ré flexion en
Afrique.
Quand l’Agence va-t-elle finalement jouer son rôle de forum de ré flexion ?
Nous sommes doré navant un dé membrement technique qui se consacre à la mise en œuvre et,
dans ce sens, nous devrions renforcer les capacité s de tous les acteurs africains. Une
fois que cette capacité est dé veloppé e, nous pourrons passer à la phase de forum de ré
flexion.
Pourquoi a-t-on pris la dé cision de dé localiser la base sud-africaine pour la
transposer dans les Structures de l’UA en Ethiopie ?
Le dé mé nagement n’a jamais é té envisagé . L’UA a signé un accord de siège avec le
gouvernement d’Afrique du Sud qui nous donne un statut diplomatique. Et maintenant nous
allons emmé nager dans des locaux fonctionnels et adapté s, fournis par le gouvernement
d’Afrique du Sud dans l’ancien immeuble d’Oracle à Midrand. Nous allons regrouper tous les
bureaux que nous avions à travers le pays dans le même bâtiment.
Les politiques de l’Agence ont-elles é volué depuis son lancement ?
La vision et la mission n’ont pas changé . Nous utilisons encore ce que nous appelons le
livre Jaune, qui est la bible du NEPAD et qui fut cré é par des leaders comme l’ancien Pré
sident Thabo Mbeki. Les dé fis é numé ré s dans ce livre jaune sont les mêmes que ceux
d’aujourd’hui. Le premier consistait à reconnaitre que le dé veloppement de l’Afrique
pourrait être accé lé ré par l’inté gration, le deuxième, que la compé titivité de
l’Afrique devrait être construite dans les marché s ré gionaux, le troisième que nous
avions besoin de passer d’une ré duction du paradigme de la pauvreté à une expansion des
modèles de croissance. Le quatrième dé fi affirmait qu’avant d’être en relation avec les
partenaires à la coopé ration, nous avions besoin d’avoir un propre cadre, celui-ci c’est
le NEPAD.
À la cré ation du NEPAD, un rapport du Conseil des Eglises sud-africaines notait- qu’au
dé triment du continent- les é changes avec le reste du monde repré sentaient 45,6% de son
activité é conomique totale. Y a-t-il eu des changements dans ces donné es ?
L’Afrique est, en gros, inté gré e dans l’é conomie mondiale par l’exportation des
matières premières. Nous avons certaines attentes de l’Afrique du Sud, de l’Égypte et de
la Tunisie. Si nous voulons changer ce système, nous devons nous industrialiser. Nous
devons ré orienter nos politiques sur les marché s internes- et nous avons un marché inté
rieur d’un milliard de personnes. Ainsi, nous pouvons fournir pour les Africains et donner
une forme à notre compé titivité . Nous avons la main d’œuvre la moins payé e au monde, et
un fort potentiel de ressources. L’Afrique australe est certainement le plus grand
gisement de miné raux au monde et, l’Afrique de l’Ouest et Centrale ont certainement les
plus grands gisements pé troliers du monde.
Cependant, si nous continuons à exporter les matières premières, nous serons marginalisé
s en termes de commerce. Lorsque nous traitons, par exemple, avec la Chine, nous devons
dire aux Chinois : « ne venez pas seulement de prendre nos matières premières et les
transformer en Chine. Vous devez nous aider à transformer localement les matières
premières grâce à un processus d’industrialisation ».
Les Chinois le comprennent parce que les dirigeants africains sont de plus en plus
conscients du fait qu’on ne peut pas utiliser les compagnies de cuivre de la Zambie et
envoyer les matières premières vers la Chine, où il est transformé pour construire des
locomotives pour les renvoyer ensuite dans les mines de la Zambie. Les Chinois voient le
continent comme une opportunité . Ce qui est excellent, car la plupart des pays du Nord
n’y voient qu’une liste de problèmes.
Mais le commerce a-t-il du tout é volué ?
L’indicateur le plus important est l’augmentation des é changes intra-africains. Ces é
changes n’ont pas sensiblement augmenté , mais les tendances sont meilleures qu’il y a 20
ans. Nous allons traiter de cette question avec la cré ation de marché s ré gionaux et é
tablir un certain niveau de protection pour soutenir ces marché s ré gionaux. Nous sommes
le continent le plus ouvert et le moins proté gé dans le monde; les barrières commerciales
sont extrêmement faibles, ce qui n’est pas le cas avec d’autres pays. Lorsque les
États-Unis dé cident de donner le marché d’avions militaires à Boeing, tandis qu’EADS est
le mieux placé , il s’agit clairement de protectionnisme. Nous savons que l’Europe aussi
se protège en é rigeant des barrières officielles et informelles, et nous savons aussi
comment la Chine fait face à la question.
Le NEPAD a é té critiqué depuis sa cré ation de collaborer avec le Fonds Moné taire
International (FMI) et d’embrasser des politiques né olibé rales. Comment ont é volué les
politiques du NEPAD, le cas é ché ant, ces dernières anné es ?
Je pense que la critique est compré hensible. Nous n’avons pas assez communiqué sur le
contenu du programme et les intellectuels de gauche en Afrique l’ont qualifié de programme
né olibé ral pour avoir adapté les politiques du FMI. D’autres critiques pensent que le
NEPAD n’est pas assez ouvert à la socié té civile ou au secteur privé .
Toutefois, il n’est pas juste de dire qu’il s’agissait d’un projet né olibé ral. Il n’a
pas é té imposé de l’exté rieur. Et lorsqu’on examine les questions de dé veloppement
agricole qui donnent la priorité aux petits agriculteurs, ou la question du commerce
interafricain qui donne la priorité aux marché s ré gionaux, ou encore celle de
l’innovation pharmaceutique qui prône l’innovation dans la production de nos propres mé
dicaments – on voit bien que ce projet n’est point né olibé ral.
Ce livre jaune n’est pas statique, il doit é voluer. Pour ce faire, nous allons
travailler avec les principaux acteurs qui n’ont pas é té identifié s au dé part, à savoir
la socié té civile et le secteur privé . Par exemple, dans notre programme agricole
d’aujourd’hui, nous invitons les agriculteurs à participer comme acteurs et non pas comme
de simples spectateurs. Ils nous disent quels sont leurs inté rêts et les points
convergents avec nos orientations. Donc, nous nous engageons avec eux dans un dialogue
politique. Nous devons en tenir compte ou nous ne serons pas cré dibles – sinon, nous les
invitons autour d’une table, on prend une photo et pas de ré sultats à la clé . En ce qui
concerne le secteur privé , nous sommes en discussions avec les groupes d’affaires du
NEPAD et nous assurons une liaison constante avec eux afin de concevoir les bonnes
politiques.
Quels sont les programmes du NEPAD sur lesquels vous vous concentrerez au cours des cinq
prochaines anné es ?
L’agriculture et les infrastructures. Cependant, je dois ajouter que l’agriculture n’est
plus un secteur. Prenons l’exemple de la sé curité alimentaire. Lorsque vous lancez une
straté gie de sé curité alimentaire, non seulement vous examiner les facteurs de
l’agriculture, mais vous tenez é galement compte du commerce, des transports et de
l’adaptation aux changements climatiques. Les dé fis ne sont plus les dé fis d’un secteur,
il y a aussi des dé fis intersectoriels. C’est aussi le cas de l’infrastructure – vous
devez prendre en compte les questions politiques, les questions environnementales, les
questions de renforcement des capacité s. Si vous prenez la plupart de nos services
publics, par exemple, nos problèmes ré sident au niveau des capacité s intrinsèques lié es
à la qualité des ressources humaines.
Quels sont les programmes que vous trouverez les plus prometteurs ?
Le programme que nous avons en science et technologie, qui a é té lancé par la Confé
rence des ministres de l’UA chargé s de la science et de la technologie, parrainé et
soutenu par la Commission de l’UA. L’une des grandes dimensions du programme est la façon
d’utiliser la biotechnologie pour amé liorer les problèmes lié s à la santé , à
l’agriculture et à l’environnement. Par exemple, un bon nombre de pays utilisent des
organismes gé né tiquement modifié s (OGM). Ils ont des cadres straté giques et ré
glementaires justes. Les OGM peuvent être extrêmement utiles pour amé liorer la
productivité , mais ils doivent être utilisé s intelligemment, nous avons donc inté gré
des ré seaux de biosé curité , afin qu’ils puissent non seulement fournir des informations
utiles aux gouvernements pour leur permettre de concevoir des cadres straté giques, mais
en même temps, ils peuvent poursuivre des recherches utiles.
Pourquoi la passion de la Renaissance Africaine, passion qui a alimenté le NEPAD à ses dé
buts, s’est-elle affaiblie ?
Les attentes é taient très é levé es et les perceptions des ré sultats ont é té faibles.
Il y a donc un é cart que nous devons combler. En même temps, nous devons reconnaître une
chose très importante: la plupart des initiatives lancé es au niveau de dé veloppement ont
é choué . La seule qui a subsisté est le NEPAD. Le NEPAD devient aujourd’hui le premier
organisme de dé veloppement du continent avec un mandat pré cis. Cet instrument va
vraiment nous aider à ré pondre aux attentes dé finies au dé but et à ré duire le fossé
entre les grandes attentes et celles de moindre importance.
Les autres initiatives de dé veloppement ont é choué parce qu’elles n’ont pas abordé la
question de la mise en œuvre. Elles sont resté es vagues, car les discours é ternels,
ateliers, confé rences et sé minaires ré pé taient la même chose sans ré sultats concrets.
Sans actes concrets sur le terrain, les perceptions des ré sultats sont faibles. C’est é
vident. Si nous voulons que la Renaissance africaine ré ussisse, elle doit montrer que les
femmes rurales dans les ré gions é loigné es peuvent, à l’accouchement, avoir accès à un
dispensaire situé à 5km. Nous avons encore le plus haut taux de mortalité maternelle dans
le monde. Cela n’a pas de sens. La mortalité maternelle est un indicateur des
dysfonctionnements de tous les systèmes de santé .
Les choses qu’il faudrait faire sont simples et claires. Les agriculteurs qui produisent
doivent avoir accès aux informations sur les marché s où ils vont vendre leurs produits
et, en même temps, ils ont besoin de routes pour s’y rendre. Nos centres urbains ne
peuvent pas être composé s de 60% à 70% des personnes vivant en dessous du seuil de
pauvreté . Vous ne pouvez pas les laisser vivre sans eau ni é lectricité , car ceci a un
impact direct sur le niveau d’é ducation. Il faut des actions concrètes en termes de
prestation sur le terrain. C’est là que nous serons jugé s.
Source:Mail and Guardian
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Té lé phone:+27 (0) 11 256 3600
Courrier é lectronique :info@nepad.org
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Atelier des Acteurs de la CEDEAO portant sur le Resau d’Infrastructure haut debit du
NEPAD
Communiqué
15-16 Mars, 2010 Rockview Hotel Abuja, Nigeria
Introduction
L’atelier de la CEDEAO portant sur le Ré seau d’Infrastructure haut dé bit du NEPAD a é
té dé claré ouvert par Alhaji Ikra Aliyu Bilbis, l’Honorable Ministre d’Etat en charge de
l’Information et des Communications. Plus de 100 participants venant des pays africains
suivants y é taient repré senté s : Ghana, Mali, Niger et Nigé ria.
La session d’ouverture fut pré sidé e par le Professeur N.A. Damachi, Secré taire
Permanent du Ministère de l’Information et des Communications en pré sence de l’invité
d’honneur spé cial, l’Honorable Gideon Quarcoo, Ministre Adjoint ghané en des
Communications.
Pré sentations
Diffé rentes pré sentations furent faites par les participants et, portèrent sur les
thèmes suivants:
Le programme d’Infrastructure haut dé bit du NEPAD
Aperçu gé né ral du Protocole sur le cadre ré glementaire et lé gislatif du Ré seau du
NEPAD
Restitution des ré sultats de l’é tude sur l’inventaire des Infrastructures TIC en
Afrique de l’Ouest, du Centre et du Nord.
Vue d’ensemble de l’é tat des Infrastructures à haut dé bit dans la ré gion CEDEAO
Etat d’avancement d’Uhurunet
Discussion
Suite aux discussions diverses et pertinentes sur diffé rents points, l’Atelier s’est mis
d’accord sur ce qui suit :
Les fonds d’Accès Universel devraient être utilisé s pour les projets TIC au delà de la
fourniture d’accès en zone rurale.
L’atelier s’attend à ce que la mise en œuvre de nouveaux câbles sous marins aboutit à la
ré duction des coûts de communication.
La ré gion reconnait le besoin de dé manteler les blocages et autres barrières en termes
de ré gulation pour offrir une plate forme attractive pour les investissements pour le dé
veloppement de projets inté gré s d’infrastructure.
Il y a un besoin pour les ré gions d’Afrique de l’Ouest, du Centre et du Nord d’adopter
le Protocole de Kigali avec des amendements approprié s.
Il y a né cessité de dé courager les tendances protectionnistes pour favoriser l’é
tablissement de plateformes compé titives pour le dé veloppement des infrastructures.
Il y a un besoin d’investir dans le dé veloppement de contenus parallèlement au dé
veloppement des projets d’infrastructure.
Les pays africains doivent mettre en place des capitaux de dé part pour les projets
d’infrastructure pour lesquels ils recherchent des financements à grande é chelle.
L’atelier a pris bonne note de l’importance de consulter tous les acteurs dans le cadre
du dé veloppement des infrastructures TIC
L’atelier a recommandé que des efforts doivent être faits afin de sensibiliser les
Ministres africains de l’Information et des Communications, sur les implications, les
enjeux et les avantages et bé né fices d’infrastructure inté gré e en Afrique.
Sur la voie à suivre l’Atelier s’est mis d’accord pour que:
Tous les pays de la CEDEAO reçoivent copie du Communiqué final et de l’é bauche (draft)
du Protocole portant sur la cadre ré glementaire et lé gislatif du Ré seau
d’Infrastructure TIC du NEPAD
Tous les pays de la CEDEAO doivent conduire des ateliers nationaux pour recueillir les
points de vue, commentaires et amendements proposé s par les diffé rents acteurs sur l’é
bauche du Protocole. Les Ministres en charge des TIC dans chaque pays doivent faire
parvenir à la Commission e-Afrique du NEPAD avant la fin du mois de Mai 2010, leurs points
de vue, commentaires et amendements proposé s au Protocole.
La Commission e-Afrique du NEPAD convoquera une ré union de travail du Comité Inter
Gouvernemental en Juin ou Juillet 2010, pour examiner les points de vue, les commentaires
et les changements proposé s au Protocole par la ré gion CEDEAO.
En conclusion, l’atelier a exprimé ses remerciements à la CEDEAO et au Gouvernement Fé dé
ral du Nigeria pour avoir mis à disposition les ressources pour organiser l’atelier.
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« L’aide ne peut pas dé velopper l’Afrique, mais l’aide efficace peut aider le continent
» Dr. Ibrahim Assane Mayaki, Secré taire Exé cutif du NEPAD
Par Yinka Adeyemi et Andrew Kanyegirire
Pretoria, 2 Mars 2010 – (CEA/ NEPAD): Selon le Secré taire Exé cutif de l’Agence du NEPAD
(APCN), le Dr Ibrahim Assane Mayaki, « l’aide n’est pas une ré ponse aux problèmes du
continent » et d’ajouter qu’une « aide efficiente peut contribuer à la durabilité et à la
croissance du continent ». C’é tait lors de l’ouverture de la ré union ré gionale de
l’Afrique portant sur l’efficacité de l’aide, la coopé ration Sud-Sud et le renforcement
de capacité s qui s’est tenue durant quatre jours à Pretoria.
Estimant qu’aucun pays ne s’est dé veloppé en comptant exclusivement sur l’aide, le Dr
Mayaki a dé claré qu’il est « convaincu que le dé veloppement de l’Afrique sera le ré
sultat des efforts des Africains à utiliser les mé canismes financiers novateurs ainsi que
les autres formes de systèmes financiers relatifs au dé veloppement. »
Selon lui, pour que les pays africains puissent atteindre leurs objectifs de dé
veloppement, ils doivent tisser des partenariats solides, plus efficaces et avoir les
compé tences requises car « un pays africain qui dispose des compé tences né cessaires
n’aura plus, à la longue, besoin de l’aide pour financer ses besoins en matière de dé
veloppement. »
Il a affirmé que depuis sa cré ation, le Programme du NEPAD a essayé de revoir la
philosophie de l’aide en utilisant un message constant qui invite les pays africains à
atteindre un taux de croissance annuelle de 7%, à adopter une meilleure politique é
conomique et à mobiliser davantage de ressources au niveau national et à l’exté rieur.
Plutôt que de s’enliser à disserter sur les diverses consé quences de l’aide au dé
veloppement, le Dr Mayaki a exhorté les participants, en provenance des pays africains, de
recommander des approches straté giques efficientes afin de cré er les organes idoines de
savoirs et de connaissances aux fins d’aviser les politiques publiques dans la promotion
du dé veloppement de l’Afrique « en corré lation avec l’efficacité de l’aide et de la
coopé ration Sud-Sud, en utilisant le renforcement de capacité s comme moyens primaires
pour parvenir à des ré sultats ».
L’Afrique, a-t-il poursuivi, cherche à mettre en pratique les principes contenus dans la
Dé claration de Paris et les mesures prioritaires identifié es dans le Programme d’Action
d’Accra, principalement celles qui mettent en avant les valeurs clefs de l’Union Africaine
et du NEPAD en termes d’appropriation et de leadership.
« Nous mettons en exergue l’importance clef des principes de la Dé claration de Paris que
sont l’alignement, l’harmonisation, la gestion des ré sultats et la responsabilité
mutuelle » tout en rappelant aux partenaires au dé veloppement de l’Afrique, de se
conformer aux principes et valeurs communé ment accepté s.
Du moment où l’efficacité de l’aide est fondé e sur l’appropriation dé mocratique, la
conformité et la responsabilité mutuelle, aussi bien les ré sultats des Dé clarations de
Paris de même que celles d’Accra, on peut considé rer qu’elles promeuvent le renforcement
des capacité s. Il conclura en estimant que, pendant que la Dé claration de Paris cherche
à é tablir un point de ré fé rence pour l’aide au dé veloppement, le Programme d’Accra
accorde plutôt la priorité à la prospective, l’abandon progressif de l’aide, la division
du travail, le renforcement des systèmes des pays, le dé veloppement des capacité s et la
suppression graduelle des conditionnalité s.
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Renforcer l’innovation pharmaceutique en Afrique
* Par Dr. Ibrahim Assane Mayaki et Prof. Carel IJsselmuiden
Les pays veulent prendre leurs destiné es en main. Pour ce faire, ils doivent cré er un
cadre pour la recherche africaine, des gestionnaires aux idé es novatrices et, sé
rieusement examiner la possibilité de la coopé ration ré gionale.
L’Afrique abrite 11% de la population mondiale. Nous consommons dans le domaine de la
santé , moins de 1% des dé penses mondiales tout en supportant le fardeau de 25% des
malades du monde. En ce qui concerne la production mé dicinale, deux tiers des produits
pharmaceutiques mondiaux sont produits par 5 pays : les États-Unis, le Japon, la France,
l’Allemagne et le Royaume-Uni. Le Japon et les États-Unis ont contribue pour près de 47%
de la valeur de la production mondiale. (1999) .
Fort de ce contexte, les pays africains sont maintenant appelé s a être des acteurs pour
dé velopper et fournir l’accès aux mé dicaments contre les maladies qui affectent nos
populations. De nombreuses mesures et dé clarations soutiennent les ambitions des pays
dans ce domaine; mais la nouvelle initiative visant à Renforcer l’innovation
pharmaceutique en Afrique est la première tentative des pays qui vise à les traduire en
actes concrets. C’est ainsi que le mois dernier à Pretoria, des dirigeants politiques et
des chercheurs se sont rencontré s pour concevoir un plan d’action qui permettra aux pays
d’acqué rir l’expertise requise en matière « d’innovation pharmaceutique ».
Pré sentement, il est beaucoup question « d’innovation pharmaceutique » et de « l’accès
aux mé dicaments ». Ce sont des problèmes importants pour l’Afrique et qui mé ritent
d’être clarifié s pour qu’à travers le continent, les dé cideurs comprennent les enjeux et
la signification que cela revêt pour un pays aux fins de comprendre les avantages
potentiels pour leur population.
« L’innovation » est le processus de dé couverte et de dé veloppement qui ré pondent à
nos besoins spé cifiques de santé publique. « L’accès » est la manière dont nous nous
organisons pour fournir les mé dicaments à nos populations, à temps et à un prix abordable
pour tous.
En matière de recherche et d’innovation dans le domaine de la santé , les rapports entre
les pays africains et la communauté mondiale chargé e de la santé (programmes, donateurs,
organismes de l’ONU) é voluent rapidement. Les acteurs de la « santé mondiale » ont joué
un rôle vital en fournissant les mé dicaments dont nous avons besoin et en luttant contre
les maladies pour lesquelles la production de mé dicaments n’é tait pas rentable pour les
firmes pharmaceutiques.
Ce soutien a é normé ment aidé l’Afrique. Mais au même moment, pendant longtemps, les
acteurs internationaux dé finissaient la politique africaine en matière de recherche sur
les problèmes de santé et de fabrication de mé dicaments, une situation quasiment
impensable en Europe, en Asie ou en Amé rique latine.
De nos jours, beaucoup de pays africains se sont mis au travail pour faire des recherches
et produire eux-mêmes leurs mé dicaments. Des pays comme le Nigeria, l’Afrique du Sud, le
Kenya, la Tanzanie ont mis en place des mesures qui ré gissent l’investissement dans la
recherche, la production et l’approvisionnement de leurs populations en mé dicaments. Le
Plan de l’Union Africaine pour la fabrication des produits pharmaceutiques soutient ces
efforts, en fournissant l’appui politique pour que davantage de pays y adhèrent.
La perspective de la recherche et de la production pharmaceutique locale est inté
ressante. Mais, les investissements et l’expertise que ces projets requièrent ne sont pas
à la porté e de nombreux pays africains. La coopé ration ré gionale, à savoir, la synergie
entre la recherche, le dé veloppement et la distribution des mé dicaments a de forts
potentiels. En travaillant avec les Communauté s Economiques Ré gionales, les pays peuvent
dé cider des compé tences à attribuer à chaque pays, é laborer des straté gies pour
attirer des investissements dans la ré gion et, s’il le faut, faire appel à l’expertise
internationale.
Les pays africains ont conçu de bonnes politiques de santé et de recherche mé dicale,
mais le problème s’est posé au niveau de leur application.
La ré union de Pretoria qui avait pour thème Renforcer l’innovation pharmaceutique en
Afrique (Pretoria, 18-20 fé vrier) soutient les pays dans ce sens. C’est une initiative du
NEPAD de concert avec l’Union Africaine et en collaboration avec le Conseil de la
Recherche Mé dicale pour le Dé veloppement (COHRED). Il est attendu de cette rencontre spé
ciale à laquelle ont pris part des ministres africains, des hauts fonctionnaires du
gouvernement, des membres de l’industrie pharmaceutique du continent et la socié té
civile, de recommander un plan d’action pour soutenir l’accès aux mé dicaments et la
production locale des mé dicaments en Afrique et par des Africains.
Nous considé rons cette initiative comme l’amorce d’un mouvement visant à cré er un
nouveau cadre pour la recherche africaine avec des gestionnaires novateurs qui feront face
aux enjeux et dé fis de l’innovation dans la recherche pharmaceutique sur le continent.
Ainsi, au lieu de cré er des straté gies d’innovation hors de l’Afrique, elles seront
conçues sur le continent.
* Dr. Ibrahim Assane Mayaki
Secré taire Exé cutif
Nouveau Partenariat pour le Dé veloppement de l’Afrique (NEPAD)
* Prof. Carel IJsselmuiden
Directeur
Conseil de la Recherche Mé dicale pour le Dé veloppement (COHRED)
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Le NEPAD dé voile un projet pour attirer les investissements en Afrique
Par Andrew Kanyegirire
Midrand, 11 Mars 2010 – L’Agence de Planification et de Coordination du NEPAD (NPCA) de
l’Union Africaine (UA) a, le 11 Mars, à Johannesburg, dernier dé marré son projet dé nommé
« Le Meilleur de l’Afrique 2010-2015 » dont l’objectif est d’attirer des investissements
en Afrique.
Le projet « Le Meilleur de l’Afrique 2010 » veut principalement pré senter l’Afrique
comme une destination pour les affaires et les investissements. Les investissements é
trangers, la promotion des é changes commerciaux et le dé veloppement des capacité s
constituent l’essentiel des activité s de ce projet qui couvrira la pé riode 2010-2015.
S’exprimant au cours de la confé rence de presse qui s’en est suivie, le Dr Ibrahim
Assane Mayaki, le Secré taire Exé cutif de l’agence du NEPAD (APCN) a ré vé lé que ce
projet cherche à saisir l’opportunité de la pré sence des hommes d’affaires d’Afrique et
d’ailleurs lors de la Coupe du monde afin de discuter mutuellement sur la manière
d’accroître les investissements, de donner un coup de fouet à la croissance et au dé
veloppement de l’Afrique.
« Nous coordonnons ce projet en collaboration avec PR Africa International, et nous
faisons ceci pour atteindre rapidement les objectifs du Millé naire pour le dé
veloppement, tout en faisant la promotion du continent au reste du monde. »
Ce projet est conçu pour pré senter l’Afrique à travers 3 manifestations majeures: une
confé rence d’affaires, une exposition et un festival culturel. Parmi les participants, il
y aura les États membres de l’UA, la socié té civile et le monde des affaires.
Selon Mr. Adedapo Adelegan, le Pré sident Exé cutif de PR Africa International, “sur le
long terme’’, la confé rence et l’exposition du « Meilleur de l’Afrique » se
transformeront en un spectacle mondial itiné rant qui pré sentera les peuples, les
produits et les potentialité s de l’Afrique et aura comme dé nomination « l’Afrique sous
un seul toit ».
En tant qu’initiative, ce projet s’inspire de la dé claration faite lors de la 8ème
Assemblé e des Chefs d’État et de Gouvernement au cours de laquelle l’UA a ré affirmé son
engagement à faire de la Coupe du Monde 2010, un vé ritable tournoi africain, en demandant
aux pays membres de participer effectivement et pleinement aux pré paratifs du Mondial
2010.
Cette initiative est é galement fondé e sur le Programme de l’Hé ritage Africain qui veut
absolument s’assurer que la Coupe du Monde 2010 ne soit pas seulement un é vènement
africain, mais aussi un é vènement qui laissera sur le continent un hé ritage considé
rable et durable.
Pour davantage d’informations, veuillez contacter
Té lé phone: +27 (0) 11 256 3635
Courrier é lectronique: info(a)nepad.org
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Les Ministres pour la ré solution des problèmes posé s par la sé curité alimentaire et le
changement climatique au sein de la communauté
Par Richard Owora Othieno
Arusha, Tanzanie, 8 Mars 2010 - La ré union du Conseil sectoriel des ministres du bassin
du Lac Victoria et la ré union multisectorielle portant sur la sé curité alimentaire et le
changement climatique se sont achevé es le 4 mars 2010 à Kisumu (Kenya), avec la ferme ré
solution de ré soudre le problème de l’insé curité alimentaire et de l’impact du
changement climatique au sein de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est (CAE).
Le Conseil multisectoriel, é tait pré sidé par l’honorable Professeur Mark J. Mwandosya,
Ministre de l’Eau et de l’irrigation de la Ré publique Unie de Tanzanie) qui a examiné la
question et apporté des contributions à l’é bauche du Plan d’Action des pays de la CAE
pour la Sé curité Alimentaire, celui de la politique sur le changement climatique et à l’é
bauche de la Dé claration sur la Sé curité Alimentaire et le changement climatique qui ont
é té pré senté s aux Chefs d’État de la CAE lors du Sommet spé cial qui s’est tenu le 26
Mars dernier à Arusha (Tanzanie).
Les é bauches du Plan d’action des pays de la CAE pour la Sé curité Alimentaire, de même
que celles sur La Sé curité Alimentaire et le Changement Climatique ont é té soumises aux
États partenaires pour un examen approfondi. Les États partenaires ont fait parvenir leurs
remarques et commentaires sur ces importants documents au Secré tariat de la CAE le 18
Mars dernier pour consolidation. Le Secré tariat de la CAE a, à son tour, soumis les
documents consolidé s lors de la 20ème ré union du Conseil des ministres qui s’est tenu
les 19 et 24 Mars 2010.
La politique de la CAE en matière d’agriculture et de dé veloppement rural (CAE-ARDP)
reconnaît que l’é limination de la faim et l’instauration de la sé curité alimentaire
durable dans la ré gion est une phase né cessaire pour l’é radication de la pauvreté et
par consé quent, un stimulant pour un dé veloppement agricole rationnel et la ré alisation
des aspirations du Traité instituant la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est.
Toutefois, avant et depuis la signature du Traité , les États partenaires n’ont jamais pu
individuellement ou collectivement parvenir à assurer une sé curité alimentaire durable;
cette situation s’est par la suite empiré e avec les effets né fastes du changement
climatique.
En ce qui concerne la coopé ration dans le domaine de l’agriculture et du dé veloppement
rural, l’objectif d’ensemble du Traité de la CAE est de parvenir à la sé curité
alimentaire et ré aliser une production agricole rationnelle. En outre, la politique de la
Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est en matière d’agriculture et de dé veloppement
rural (CAE-ARDP) vise la sé curité alimentaire, à travers l’augmentation de la production
des denré es agricoles, leur transformation, leur conservation et leur vente.
La politique de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est en matière d’agriculture et
de dé veloppement rural (CAE-ARDP) sert de guide pour l’é laboration des straté gies,
programmes et projets né cessaires à la ré alisation des objectifs de la Communauté . Ce
plan d’action a é té é laboré pour servir de guide à l’exé cution et à l’actualisation de
l’objectif visé qui est d’assurer une sé curité alimentaire au niveau ré gional.
Les effets né gatifs du changement climatique sont une menace pour les sources de revenus
des populations dans presque tous les secteurs de l’é conomie de la ré gion de la CAE. Au
niveau de la ré gion, des sé cheresses intenses, des inondations et des changements
extrêmes au niveau de la mé té orologie se produisent fré quemment avec une intensité
accrue. Le changement climatique est ainsi devenu un facteur né gatif en occasionnant les
dommages suivants : insé curité alimentaire, baisse de l’hydro-é lectricité , apparition
d’insectes nuisibles et de maladies, pé nurie d’eau et destruction massive des
infrastructures.
Comme indiqué dans le quatrième Rapport d’é valuation (GIEC, 2007) du Groupe d’experts
intergouvernemental sur l’é volution du climat (GIEC), l’augmentation de la tempé rature
moyenne de la planète aggravera les effets du changement climatique dans la ré gion de la
CAE, cré era une insé curité alimentaire et menacera les autres secteurs, forces du dé
veloppement é conomique. Il faut donc cré er un cadre multisectoriel inté gré et harmonisé
pour lutter contre le changement climatique dans la ré gion de la CAE.
L’objectif d’ensemble de la Politique de la CAE de lutte contre le changement climatique
(CAE-CCP) est de donner des directives aux États partenaires et aux autres partenaires
sociaux sur l’é laboration et la mise en œuvre de mesures collectives pour lutter contre
le changement climatique dans la ré gion, tout en assurant un dé veloppement socioé
conomique durable.
Les principes de base pour la mise en œuvre de cette politique sont en conformité avec le
Traité de la CAE, le Protocole de la CAE en matière d’environnement et de ressources
naturelles, le Protocole sur le dé veloppement durable du bassin du Lac Victoria ainsi
qu’avec la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Ont pris part a la ré union de Kisumu les personnalité s politiques suivantes : honorable
Maria Mutagamba, Ministre de l’Eau et de l’environnement de l’Ouganda, l’honorable Hafsa
Mossi, Ministre du Burundi chargé des Affaires de la CAE, l’honorable Dr. Paul N. Otuoma,
Ministre des Pêches de la Ré publique du Kenya et l’honorable Stanislas Kamanzi, Ministre
de l’Environnement et des terres du Rwanda.
Y ont é galement pris part a la ré union, les Secré taires permanents et les hauts
fonctionnaires, les membres chargé s de la sé curité alimentaire et de la lutte contre le
changement climatique des États partenaires, les responsables de l’organisation des pêches
du Lac Victoria (OPLV), les responsables de la coopé ration des autorité s locales de la
ré gion du Lac Victoria (LAVRLAC), les responsables du Programme d’action subsidiaire des
lacs é quatoriaux du Nil (NELSAP) de l’Initiative du Bassin du Nil (IBN) et le Fonds
mondial pour la nature (WWF) ainsi que des fonctionnaires des Secré tariats de la CAE et
de la Commission du Lac Victoria é taient é galement pré sents.
Pour davantage d’informations, veuillez contacter
Richard Owora Othieno
Chef de Dé partement par Inté rim
Secré tariat de la CAO
Service de Communication et relations publiques
Té lé phone: +255 784 835021
Courrier é lectronique: othieno(a)eachq.org
Arusha, Tanzania
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Le NEPAD accroît ses engagements avec les partenaires
By Andrew Kanyagirire
Midrand, 18 Mars 2010 - Le 11 mars 2010, l’Institut des Études de Sé curité de
Pretoria(ISS) et l’Agence de Planification et de Coordination du NEPAD ont signé un
protocole d’accord par lequel les deux parties s’engagent à travailler ensemble; cet
accord constitue é galement un cadre dans lequel ces parties se rencontreront et mettront
en œuvre leurs expé riences respectives dans les domaines de la sé curité et de la paix,
en vue de promouvoir un dé veloppement socioé conomique en Afrique. Les domaines de la
coopé ration sont les suivants:
Reconstruction et dé veloppement post conflits
Soutien à la mise en œuvre des programmes nationaux d’action, post Mé canisme Africain
d’Evaluation par les Pairs
Dé veloppement des capacité s dans les pays pré caires
Assistance technique à la politique favorisant les projets de recherche
Recherche, analyse et recommandations en matière d’assistance mutuelle, gestion des
connaissances, suivi, é valuation et apprentissage des notions de paix et sé curité dans
le contexte de l’Afrique
Soutien à la conception et à la mise en œuvre de cadres nationaux de dé veloppement
Technical assistance on policy research projects;
Échange d’informations sur les questions relatives à la paix et la sé curité , y compris
à travers la revue bimestrielle de l’Institut des Études de Sé curité , The
African.org
Échange d’informations
La coopé ration sur les efforts ré gionaux de collaboration pour promouvoir, l’é tat de
droit, la bonne gouvernance, la paix et la sé curité .
Pour davantage d’informations, veuillez contacter
Té lé phone: +27 (0) 11 256 3600
Courrier é lectronique :info@nepad.org
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Titres
Le Nouveau NEPAD...read>>>
Atelier des Acteurs de la CEDEAO portant sur le Resau d’Infrastructure haut debit du
NEPAD...read>>>
« L’aide ne peut pas dé velopper l’Afrique, mais l’aide efficace peut aider le continent
» Dr. Ibrahim Assane Mayaki, Secré taire Exé cutif du NEPAD...read>>>
Renforcer l’innovation pharmaceutique en Afrique...read>>>
Le NEPAD dé voile un projet pour attirer les investissements en
Afrique...read>>>
Les Ministres pour la ré solution des problèmes posé s par la sé curité alimentaire et le
changement climatique au sein de la communauté...read>>>
Le NEPAD accroît ses engagements avec les partenaires ...read>>>
Calendrier
9 Avril 2010, Ouagadougou, Burkina Faso - Formal Opening of the African Bio-safety
Network of Expertise Nodal Centre
12-14 Avril, Nairobi, Kenya - Agriculture and Climate Change Meeting
14-15 Avril, Lusaka, Zambie - COMESA Regional CAADP Team Training-Learning
16-17 Avril, Midrand, Afrique du Sud - MDTF Partnership Committee meeting
21-23 Avril , Johannesburg, Afrique du Sud - 6th CAADP Partnership Platform
26-30 Avril, Banjul, Gambie - African Ministers of Fisheries Conference
26-27 Avril, Johannesburg, Afrique du Sud - NEPAD/FAO Bilateral Meeting
28/29 Avril, Toronto, Canada - Dialogue of G8/Africa P:ersonal Representatives
28/29 Avril, Toronto, Canada - APF Co-Chairs meeting on the sidelines of 14th APF
29-30 Avril, Toronto, Canada - 14th Meeting of the Africa Partnership Forum (APF)
21-23 Avril, Lusaka, Zambie - Sensitization of RECs on AU/NEPAD Capacity Development
Strategic Framework (CDSF)
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