Bonjour!
Bonne question! Qu'en pensez-vous, vous qui êtes dans cette école sur laquelle se
fonde justement beaucoup d'espoirs?
A partir de votre réaction pourrait se construire une vision des jeunes prenant le
relais!
Pour ma part, il n'y a ni divergence, ni dispersion, mais multiplication
d'opérations et de contribution sur un vaste et urgent chantier où quand tout manque,
ce qui est fait et surtout bien fait, c'est déjà cela de gagné!
Athanase BOPDA
Professeur d’universités
U.F.R. Lettres et Sciences Humaines
Université du Havre
Laboratoire CIRTAI
25 rue Philippe Lebon
76086 Le Havre Cedex
tél. secrétariat: 33(0) 2 32 74 42 00
tél. bureau 33(0) 2 32 74 41 68
fax. 33(0) 2 32 74 41 34
courriel: athanase.bopda(a)univ-lehavre.fr
bopda20001(a)yahoo.com
On Sunday, July 20, 2014 1:08 PM, borrel kuate via Sarnissa-african-aquaculture
<sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk> wrote:
Bonsoir
cher membres,
Un problème me turlupine depuis un certain temps et
j’aimerai bien que vous me donniez vos points de vue sur la question.
En effet, je me questionne sur l’orientation du
développement de l’aquaculture en
Afrique Sub-Saharienne, en Afrique centrale et plus particulièrement au
Cameroun. Cette confusion nait de la divergence qu’il me semble apparaitre
entre la vision gouvernementale et celle des Chercheurs.
Le gouvernement tend à une industrialisation de l’aquaculture
à travers des tentatives comme le ‘Projet pilote de pisciculture en cage au
Cameroun ’ et celui d’élevage en systèmes recirculés. Les chercheurs de leur
cote au vue des orientations de leurs travaux de recherche, des projets qu’ils
élaborent (Projet SyPiEx par exemple), optent pour une durabilité de l’activité.
Ces deux objectifs poursuivis sont certes nobles
l’un comme l’autre, mais ma fois sont quelque peu divergents. N’est-il pas
important au moment où les divers acteurs semble se mettre résolument a la
tâche d’accorder les violons afin d’impulser de façon définitive une dynamique
durable ? Comment véritablement assurer une durabilité de l’aquaculture et
la rentabilité de l’activité piscicole en Afrique Sub-Saharienne ? Quelles
sont les limites ?
BORREL
KUATE
Ecole Des Sciences et
de Médecine Vétérinaire
Université De
Ngaoundéré -Cameroun