Re: [Sarnissa-french-aquaculture] Re : Re : Re : Quelle approche d'investissement ? Credit strategies

Bonjour Pierre et tous, Vous dites: La question est de savoir si on favorise l'implantation sur le long terme d'une pisciculture rurale africaine en la subventionnant. Je réponds non! Seulement je voudrais savoir avec les participants  si la subvention ou le crédit sont ils utiles ou pas en pisciculture  rurale dans le cadre d'un projet de lutte contre la pauvreté et l'insécurité alimentaire en Afrique. Et il me semble que vous, Geovanne et Cathy aviez réagi positivement dans les débats chacun dans sa façon de voir le contexte. C'était instructif pour moi Il me revient d'adapter au contexte de mon pays et aux réalités du terrain tous éléments techniques et méthodologiques que vous avez bien voulu me communiquer. Votre première réponse à la question de décrit ou de subvention, qui fait référence au type d'exploitation et d'exploitant suivant chaque cas, est une source d'inspiration stratégique pour moi. Cependant, je trouve nécessaire maintenant de ne plus considérer la pisciculture dans l'état embryonnaire en Afrique. Elle est peu développée dans l'espace et peu productive dans sa technique de mise en œuvre. Elle peut par contre être considérée comme non traditionnelle et nouvelle dans les systèmes de production agricole. D'où l'option systémique actuellement défendue par certains experts. Qu'est ce vous en pensez? Amicalement à tous Sidiki KEITA     - En date de : Ven 19.12.08, Pierre Morissens <pierre.morissens(a)cirad.fr> a écrit : De: Pierre Morissens <pierre.morissens(a)cirad.fr> Objet: Re: [Sarnissa-french-aquaculture] Re : Re : Re : Quelle approche d'investissement ? Credit strategies À: sidikikeita(a)yahoo.fr, sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk Date: Vendredi 19 Décembre 2008, 10h55 Chers Cathy et Sidiki La question est de savoir si on favorise l'implantation sur le long terme d'une pisciculture rurale africaine en la subventionnant. L'arrêt des subventions (Cathy évoque des intrants tels qu'alevins et aliments) en fin de projet ne risque t'il pas d'avoir un impact négatif et de conduire à l'abandon de l'activité (nombreux exemples historiques). La pisciculture rurale en Afrique reste une activité "naissante" dans bien des pays et on en attend une émergence durable. La question de l'appui aux frais de "campagne" avec remboursement intégral à la récolte est évidemment différente (il s'agit de crédit). Le modèle du coton a ainsi assuré et assure encore une rente importante aux agriculteurs des régions sèches dans le cadre de prêts effectués par de grandes sociétés cotonnnières d'encadrement. De tels appuis à la gestion des fonds de roulement sont-ils souhaitables pour une activité piscicole rurale encore embyonnaire dont on attend (V/ plus haut) qu'elle fasse la preuve de sa capacité à se survivre à elle-même (résilience)? A terme, l'objectif unique poursuivi est évidemment d'assurer, si faire se peut, la résilience de l'activité sur la base de l'autonomie économique. Amicalement, Pierre At 18:21 18/12/2008, you wrote: écrit : écrit : ne intrants leur alevins abandonnés et qui en niveau? d'investissement ? et d'encadrement. tels je la lié aux caution -------------- section suivante -------------- Une pièce jointe HTML a été nettoyée... URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…