Jean-François Baroiller du Cirad soutiendra son Habilitation à Diriger
des Recherches le Jeudi 24 Septembre à 14h, au CEFE, Campus CNRS -
1919, route de Mende - Montpellier
Titre des travaux : Déterminisme et différenciation du sexe chez les
tilapias, poissons tropicaux d’intérêt aquacole
Résumé des travaux : Le déterminisme et la différenciation du sexe ont
été analysés chez deux espèces de poissons tropicaux d’intérêt
aquacole, le tilapia du Nil, Oreochromis niloticus et le tilapia
bleu, O. aureus ainsi que chez l’hybride complexe quatre voies Red
Florida (O. niloticus, O. mossambicus, O. aureus & O. hornorum). Le
testage sur descendances de géniteurs classiques ou inversés par des
traitements précoces d’inversion hormonale, confirme l’existence d’un
déterminisme génétique complexe avec prédominance d’un déterminant
majeur hétérogamétique (XY chez O. niloticus et ZW chez O. aureus) et
les effets de facteurs mineurs. Une forte thermosensibilité de la
différenciation (effet masculinisant des fortes températures) et des
interactions génotype-environnement sont également démontrées. Ce
déterminisme complexe est retrouvé chez les cinq populations
naturelles d’O. niloticus analysées (Ethiopie et Ghana),
indépendamment de leur régime thermique d’origine. Dans plusieurs de
ces populations, le testage en descendance de géniteurs collectés dans
le milieu naturel suggère l’existence d’individus sexuellement
inversés (mâles XX, femelles XY), sans qu’il soit possible de conclure
si les facteurs d’inversion ont été génétiques ou environnementaux.
L’ensemble des données obtenues sur le déterminisme du sexe chez les
tilapias suggère qu’il ressemble à celui du scinque lézard dragon
barbu, où les sex-ratios sont gouvernés par les chromosomes sexuels
(homogamétie mâle ou femelle) et modifiés par les températures
extrêmes rencontrées au moins par certaines familles de ces espèces
dans le milieu naturel. Il reste cependant à comprendre, pourquoi à
température extrême, un individu XX pourrait avoir une meilleure
valeur sélective comme mâle plutôt que comme femelle. Cela
expliquerait pourquoi les effets de la température sont conservés
parallèlement au déterminisme génétique du sexe. Pour ce qui concerne
la différenciation du sexe, la prolifération précoce des cellules
germinales, dans la future gonade femelle vers 20 jours post-
fécondation (jPF), constitue le premier dimorphisme histologique.
Quelques jours plus tôt (14jPF), la production d’œstrogènes devient
plus importante dans les futurs ovaires que dans les testicules.
L’administration précoce (à partir de 10jPF) d’œstrogènes via
l’aliment conduit à une féminisation des alevins traités. Inversement,
un traitement similaire par des inhibiteurs d’aromatase (enzyme
nécessaire à la production des œstrogènes) masculinise les alevins.
L’aromatase (Cyp19a) et les œstrogènes jouent donc un rôle clé dans la
différenciation ovarienne. D’autres gènes de la cascade du
déterminisme du sexe chez les vertébrés ont été clonés chez le
tilapia, et leur cinétique d’expression a été analysée dans les
gonades/troncs et dans le système nerveux central (SNC)/tête d’alevins
monosexes mâles/femelles, en conditions classiques ou lors d’une
masculinisation par les fortes températures. Au niveau du SNC, les
dimorphismes d’expression les plus précoces sont observés dès 10jPF
pour Sox9b et Amh, fortement exprimés chez les mâles génétiques. Au
niveau des gonades, Cyp19a et Foxl2 sont fortement exprimés chez les
femelles, respectivement dès 11 et 14jPF et l’Amh, Sox9 et Dmrt1 dès
10jPF chez les mâles. Les fortes températures stimulent l’expression
d’Igf1, Sox9, Dmrt1 et Amh, et répriment celles de Foxl2 et Cyp19a.
Compte tenu de sa complexité, la compréhension du déterminisme du sexe
chez le tilapia nécessite de disposer de marqueurs des différents
facteurs impliqués (facteurs génétiques majeurs et mineurs et facteurs
de thermosensibilité). L’existence d’espèces à homogamétie mâle (i.e.
O. aureus) ou femelle (i.e. O. niloticus) au sein d’un même genre de
tilapias, permet l’étude de l’évolution du déterminisme du sexe et la
différenciation des chromosomes. Enfin, le séquençage en cours du
génome complet du tilapia, O. niloticus, permet d’envisager des
analyses in silico de la cascade du déterminisme du sexe.
Composition du Jury
Françoise MONÉGER
DR Cnrs
Marc GIRONDOT
Prof. Univ. Orsay
Jean-Nicolas VOLFF
Prof. ENS Lyon
Bernard CHEVASSUS-AU-LOUIS Inspecteur général de
l’Agriculture Inra
Charles MÉLARD
DR Univ. Liège
Philippe JARNE
DR Cnrs
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Bonjour Seydou,
Je suis impressionné par le fait que le gouvernement a une stratégie
de développement de l'Aquaculture au Mali. On peut aussi probablement
mentionner l'intervention de l'USAID au Mali à travers le AquaFish-
CRSP (Collaborative Research Support Programme) dont la gestion est
confiée à l'Université d'Etat de l'Oregon. Ce projet financé par la
Mission dispose de trois thèmes:
1. Faire progresser les pratiques durables d'aquaculture d'eau douce
et les technologies
2. Promouvoir la rizipisciculture dans les systèmes irrigués
3. Construire des communautés et des consensus en vue de plan de
gestion des pêches
Le Dr. Hery Coulibaly (DNP) est le principal chercheur et il a une
connaissance approfondie des stratégies thématiques actuels.
Les efforts en cours portent sur des expériences en fermes qui ont
débuté en juillet [Je ne comprends pas la phrase originale et ne suis
pas sûr de bien la traduire NdT] et notre premier atelier d'évaluation
aura lieu en Janvier 2010. Il y a un potentiel pour le tilapia et le
poisson-chat et nous souhaitons appuyer votre idée de création
d'écloseries qui propageraient des alevins de qualité.
Cordialement,
Charles Ngugi
Université Moi- Kenya
Début du message réexpédié :
> Hello Seydou,
>
>
> I am impressed with the fact that the government has a strategy for
> development of Aquaculutre in Mali. Probably one other issue worth
> mention is the intervention by USAID Mission in Mali through the
> AquaFish- CRSP (Collaborative Research Support Programme) whose
> Management Entity is in Oregon State University. This project funded
> by the Mission has three themes:
>
> 1. Advancing sustainable freshwater aquaculture practices and
> technologies
> 2. Promoting sustainable rice-fish aquaculture in irrigated
> systems
> 3. Building community and consensus towards a fisheries
> management plan
>
> Dr. Hery Coulibaly (DNP) is the lead principal investigators and has
> an in-depth understand of the current thematic strategies.
>
> Efforts are not in progress through on-farm trails that began in
> July and our first evaluation workshop will be in January 2010. We
> do have potential for tilapia and catfish and wish to support your
> idea of setting up hatcheries that will propagate quality seed.
>
>
> Best Regards,
>
>
>
> Charles Ngugi
> Moi university
> Kenya
>
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Permettez moi tout d'abord, de vous remercier pour m'avoir donné l'occasion de m'exprimer sur votre site ce, en rapport avec la vision du Ministère de l'Elevage et de la Pêche depuis sa création en mai 2004. Dès le lendemain de sa création le Département a élaboré une note stratégique pour définir sa vision qui est de sortir la pêche de son état de cueillette à aller vers le développement d'un programme de développement de l'aquaculture. Je dois rappeler que le Mali est un pays de tradition de pêche en matière de production, de transformation, de commercialisation et de consommation des produits de pêche. La production myenne annuelle est estimée entre 100 000 à 120 000 tonnes de poisson frais qui assure une consommation de 10,5 kg/hbt/an pour une valeur ajoutée brûte de 90 milliards de F CFA par an et des emplois créés estimés à 500 000. Le Mali est arrosé par trois grands fleuves: Niger, Sénégal et Bani et dispose de 4
zones principales de pêche: le Delta central du Niger, le Lac de retenue de Sélingué, le Lac de Manantali et la zone de Ansongo.
Mais le Mali a subi les effets des changements climatiques avec la sécheresse de 1970, 1980 et aujourd'hui cette sécheresse est devenu endémique et il faut l'intégré à nos activités de développement.
C'est pour toutes ces raisons qu'il a été créé pour la première fois au Mali dans le paysage institutionnel un Département dénommé Ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche en octobre 2002 et en mai 2004, il fut créé le Ministère de l'Elevage et de la Pêche pour une meilleure visibilité et lisibilité des deux sous secteurs élevage et pêche. C'est à cet effet, que nous avons déclaré l'année 2006 Année de la Pisciculture au Mali et en 2007 nous avons élaboré un Programme Qinquennal d'Aménagements Aquacoles pour la période 2008-2012 pour un coût global de 13,960 milliards de F CFA axé sur la construction d'étangs, de cages flottantes, d'empoissonnement de mares, de bancotières et d'empreints avec quatre (4) espèces locales Tilapia, Clarias, Heterobranchus et Herotis.
Pour développer l'aquaculture au Mali nous sommes entrain de partir à partir de la pisciculture artisanale qui est sur le point de donner de bons résultats par l'empoissonnement des plans d'eau. Mais voilà un peu ce nous sommes entrain de faire.
Bonjour à tous,
Je suis Guy Bungubetshi, nouveau membre de Sarnissa.
Je travaille comme expert national en pêche et gestion post capture de poisson au sein de WorldFish center, un organisme de recherche sur la pêche et l'aquaculture. En République démocratique du Congo WorldFish mène actuellement, en consortium avec African Wildlife Foundation (AWF) et World Wide Fund For Nature (WWF) et d'autres partenaires, le programme CARPE des activités visant à la fois l'amélioration des conditions de vie des populations et la protection de l'environnement. Dans les zones concernées, la pisciculture constitue une importante alternative à la chasse et un soutien à la pêche. Et WorldFish envisage l'élargissement de son programme pour le développement de la pêche et de l'aquaculture en RDC.
Basé à Kinshasa, je m'occupe essentiellement de la sensibilisation et de l'organisation des associations des acteurs des secteurs pêche et aquaculture à la base, de la promotion des techniques de transformation et de conservation, ainsi que de la commercialisation. Je souhaite avoir dans SARNISSA des échanges d'expériences dans ces domaines, mais pas exclusivement.
Merci et à très bientôt.
Guy Bungubetshi
National Fisheries & Post Harvest Specialist
The WorldFish Center, Kinshasa, République Démocratique du Congo
Cell.: + 243 (0) 81 811 49 75 GMT +1
__________ Information from ESET NOD32 Antivirus, version of virus signature database 4414 (20090910) __________
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<http://www.eset.com> http://www.eset.com
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour tout le monde !
Je m'appelle Léon Rakotomamonjy, je suis malgache et je viens d 'adhérer à Sarnissa! Je suis un opérateur en pisciculture d'eau douce; j'ai créée une filière de production de TILAPIA pour approvisionner le marché de la capitale Antananarivo; pour cela, j'ai monté une ecloserie de production d'alevins de Tilapia mono sexe . Je vends les alevins mono sexe mâles à des grossisseurs; et par la suite j'achète les poissons lorqu'ils arrivent en taille commerciale! Pour le moment, le volume de vente est encore infime; bien que la demande est constamment croissante; je fournis et vends mes poissons en ''vivant'' car il existe un marché de niche non négligeable ! Cependant, il y a beaucoup de choses encore que je dois améliorer dans mon système de production et je compte pour cela sur Sarnissa pour effectuer des echanges d'expériences avec des spécialistes opérant dans le domaine!
En premier lieu, je voudrais avoir des informations sur les installations utilisées en traitement des larves aprés la sortie d'incubation, ensuite sur la conduite d'élevage pendant le traitement hormonal!
Merci d'avance pour vos interventions !
Léon Rakotomamonjy
OPY FISH lot VP1 Lazaina 103 Antananarivo
Madagascar
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Merci à J. Lazard pour l'information
Début du message réexpédié :
> Chers collègues,
> Le groupe de réflexion scientifique sur ladomestication en
> aquaculture organisera sonsecond séminaire les 25-26 novembre 2009 à
> Montpellier, vous trouverez ci-joint le programme prévisionnel du
> séminaire, vous pouvez le disséminer à l’ensemble de vos collègues
> ou autres personnes susceptibles d’être intéressés par un tel
> événement. Ce séminaire en français est principalement destiné à la
> communauté scientifique.
>
> Comme vous pourrez le constater en lisant le programme prévisionnel,
> cet événement s’appuie sur des interventions deconférenciers
> invités. Toutefois, des plages horaires ont été mises à disposition
> de conférenciers non invités (8 à 10 interventions possibles).
> Aussi, le présent message fait également officed’appel à
> communication. Les personnes intéressées par la présentation d’une
> communication orale ou poster doivent me faire parvenir untitre, une
> liste de co-auteurs et un résumé d’au maximum 20 lignes pour le 30
> septembreau plus tard (document word à m’adresser en fichier attaché
> à mon adresse e-mail ci-dessous). Les propositions seront examinées
> lors de la prochaine réunion du groupe « domestication », le 13
> octobre prochain. Les auteurs seront informés dans la foulée.
> Unnuméro spécial (8 à 10 articles) devrait être publié dansla revue
> Cybium, selon l’intérêt et la motivation des conférenciers.
>
> Une participation de 50 euros (frais d’inscription) sera demandée à
> chaque participant, une ligne budgétaire spéciale sera ouverte à
> l’Université Henri Poincaré (Nancy Université, complément
> d’information à venir). Afin de faciliter le travail des
> organisateurs, pourriez-vous nous communiquer le plus tôt possible
> votre intention de participer à ce séminaire, cela nous aidera
> beaucoup notamment dans l’organisation des repas et autres tâches
> annexes au séminaire.
>
> C’est en espérant que vous viendrez nombreux, que je vous adresse,
> au nom du groupe, nos sincères salutations.
> Pascal FONTAINE
> URAFPA
> Nancy-Université INRA
> MAN, 34 rue sainte Catherine
> F- 54000 Nancy
>
> Tél : 00 333 83 30 84 47 ou (30 28 41)
> Fax : 00 333 83 32 36 13 ou (32 30 16)
> E- mail : pascal.fontaine(a)lsa-man.uhp-nancy.fr
>
>
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Nom: Programme prévisionnel.doc
Type: application/msword
Taille: 2214400 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour à tous,
Suite à mes messages sur l'appel d'offre Afrique de l'UE, je ne sais
pas si certains de vous ont avancé dans leur idée de concevoir un
projet.
Voici en tout cas la traduction d'un message d'Anton Immink, de
l'Université de Stirling, susceptible de vous intéresser.
Bien amicalement
Lionel
Chers membres,
Nous sommes intéressés par l'appel à projet UE sur l'agriculture
durable en Afrique, en lien avec la gestion de l'eau et des sols. Nous
essayons d'identifier des pays Africains éligibles, qui offrent de
bons exemples d'approches intégrées de la gestion des ressources
hydriques, incluant peut-être de l'irrigation à grande ou petite
échelle, des productions végétales intensives, du riz et de la gestion
d'eaux usées urbaines. A ce stade, nous n'avons pas d'idée finalisée
sur le projet ou sur la liste de pays susceptibles de présenter des
systèmes éligibles à grande échelle. Si nous pouvions approfondir et
partager nos idées avec des membres de la liste, peut-être pourrions
nous monter un projet ensemble. Tout projet doit faire appel à des
organisations de grande taille qui travaillent sur l'agriculture de
manière globale, et où les systèmes aquacoles ne seraient qu'une
petite composante, mais critique.
Amitiés
Anton
Début du message réexpédié :
> De : Anton Immink <a.j.immink(a)stir.ac.uk>
> Date : 3 septembre 2009 17:10:19 HAEC
> À : sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> >
> Objet : [Sarnissa-african-aquaculture] EU project
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear members
>
> We are interested in an EU call relating to agriculture
> sustainability in Africa, particularly in relation to the management
> of water and soils. We are trying to identify suitable African
> countries with good examples of integrated watershed management
> approaches, perhaps including large and small-scale irrigation,
> intensive vegetable production, rice and urban/waste water use. At
> present we do not have a finalised project idea, or even a list of
> countries that would have suitable systems on a larger scale. If we
> can develop those ideas with anyone on the list then we may be able
> to develop a project together. Any project is likely to require
> larger organisations working on agriculture more broadly, so I think
> the 'aquaculture systems' component will be quite small, but critical.
>
> Regards
> Anton
>
> Anton Immink, Stirling Aquaculture. a.j.immink(a)stir.ac.uk
>
> --------------
> Call: FP7-AFRICA-2010: Sustainable water resources management and
> Soil fertility
> conservation for food production in Africa - SICA (Africa)
> Inappropriate management of irrigation water contributes to erosion
> of top soil, loss of organic matter, salinisation, decrease of soil
> fertility and pollution of ground and surface fresh waters. Research
> efforts are necessary to allow a more sustainable exploitation of
> water and soils by African farmers, and support the increasing
> demand for locally produced food. More sustainable food production
> strategies and techniques for irrigated farms need to be studied,
> developed and implemented, which can revitalise the natural
> regenerative capacities of agricultural soils, reduce fresh water
> pollution and ensure healthy and resilient environments.
> Methodologies, devices and indicators, adapted to specific African
> situations, will be developed for monitoring and assess risk factors
> for soil health and fertility, as well as for safe fresh water
> resources, in irrigated areas. Adapted innovative techniques to
> improve WRM and keep soil fertility at farm level need to be
> investigated and field-tested. The prevailing technical/scientific
> part of the project should be complemented by a true participatory
> approach by involving local stakeholders at different levels, such
> as farmers, local NGOs, relevant governmental organisations, as to
> make better and suitable use of existing potentialities and local
> knowledge, as well as to facilitate an easier implementation/
> adoption of the project's selected strategies. Studies on social
> processes and farmers’ rationales for implementing, adapting,
> innovating or rejecting the proposed strategies, should also be part
> of the project activities, as to ensure their acceptability by the
> end users (farmers and policymakers) and thus producing the expected
> impact.
> With the aim of increasing research capacities in the participating
> African countries, the project should include tailored training
> activities, such as the organisation of training programmes in loco
> and exchanges of researchers.
>
> Expected impact: Effective soil and water management strategies will
> allow African farmers to produce sufficient food crops and achieve
> sustainable use of irrigation water, conservation of soil fertility
> and reduction of fresh water reserves pollution. Wise use of water
> resources at farm level, coupled with adequate soil management
> practices, will help slowing down, and eventually stop, loss of soil
> fertility and counteract decline and pollution of natural resources.
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
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Salut à tous;moi on m'appelle Alexis HOUNDJI je suis étudiant à l'Université d'Abomey -Calavi à l'Ecole Polytechnique d'Abomey-Calavi (EPAC) Plus précisément au département de Production et Santé Animales (PSA) en 3ème année je soutiendré mon rapport de licence bientôt.
J'ai un penchant fort pour le développement de l'Aquaculture en Afrique et voudrais aller le plus loin possible dans les recherches et études dans le domaine.
Mon objectif est d'avoir des centres de production halieutiques capable de: permettre ou d'induire une Autosuffisance alimentaire en produits halieutiques;une concervation des animaux aquatiques en voie de disparition afin de réduire la surexploitation de nos plans d'eaux.
De plus je voudrais spécialement beaucoup m'investire dans le domaine de l'alimentation des poissons à l'aide des produits locaux car je crois que cela constitue un grand frein au dévelopement de la filière.
Merci à tous et je suis ouvert à tout dialogue.
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URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Bonjour, je me suis déclaré longtemps partisant de sarnissa mais compte tenu de mes moyens je participe rarement aux débats. Je remercie tous ceux qui se battent pour la diffusion de la pisciculture
Je profite pour vous demander de m'aider à trouver le nom et le mode de vie de ce poisson dont vous avez une description sommaire et une photo jointe en pièces.
J'envois également les photos de quelques specimens de silures capturés dans le fleuve gambie, au Sud est du Sénégal
J'aurais souhaité connaître mes collègues évoluant sur la pisciculture au Sénégal pour collaboration.
THEA Cécé Moise
Président AAPRGF (Guinée)
Kédougou, Sud est Sénégal (actuellement), en appuis à l'installation d'une pisciculture
+22462581908 ou 0022462581908
00221771469453
--- En date de : Ven 14.8.09, Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr> a écrit :
De: Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
Objet: Re: [Sarnissa-french-aquaculture] logiciel en français
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Vendredi 14 Août 2009, 8h31
Merci Christophe,
On pourra trouver des renseignements sur ce logiciel sur le site web
de l'éditeur:
http://www.iaquacultures.com/fr/pisciculture.html
Bien amicalement
Lionel
Le 14 août 09 à 16:27, Christophe DUPUY a écrit :
> Bonjour,
> Il existe un logiciel de gestion de cheptel en français avec, calculs
> de ration, ....... Ce logiciel est appelé NOVAFISH avec différent
> degré
> de modification, mais il est payant ! :-(
>
> Christophe
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
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Chers collègues,
La Faculté de Bunda-Université du Malawi, l'Institut de Recherche
Agricole pour le Développement du Cameroun, la Fondation ETC des Pays-
Bas et le programme SARNISSA vous invitent à participer au prochain e-
workshop sur "La mise en réseau et le dialogue entre scientifiques,
acteurs-clés et décideurs politiques dans le domaine de l'aquaculture
africaine sub-saharienne" (28 septembre au 16 octobre 2009)
Le e-workshop vise spécifiquement à:
(1) Partager et discuter des expériences de chacun en matière de
stratégie de mise en réseau et de dialogue constructif entre
scientifiques, acteurs-clés et décideurs politiques en aquaculture,
(2) A stimuler des initiatives personnelles et institutionnelles en
matière de mise en réseau et de dialogue constructif entre
scientifiques, acteurs-clés et décideurs politiques en aquaculture.
Et ceci, dans le but plus global de:
- Pour les décideurs politiques et le secteur gouvernemental: mettre
en oeuvre au niveau national de manière effective les stratégies de
développement de l'aquaculture, rédiger des plans d'action et des
documents de planification sur 5-10 ans, grâce aux échanges entre pays
d'une même région, et à l'interaction avec un certain nombre d'acteurs
clés
- Pour les scientifiques: Grâce à des échanges avec d'autres
chercheurs, d'autres acteurs-clés et les décideurs publics, permettre
de nouvelles collaborations et l'inclusion des décideurs dans les
projets de recherche, dans la perspective de communiquer plus
efficacement les résultats des travaux et leur prise en compte dans
l'élaboration des futures décisions politiques.
- Pour les autres acteurs-clés: Grâce à une meilleure compréhension de
la politique de développement de l'aquaculture et une meilleure
connaissance de la recherche et du développement dans leur propre pays
et les pays voisins, développer de nouveaux partenariats, et mieux
comprendre et planifier le rôle important qu'ils peuvent jouer dans
l'avenir de l'aquaculture de leur pays.
Le e-workshop est organisé pour des participants anglophones et
francophones.
Il est nécessaire de s'enregistrer pour y participer, et les
inscriptions sont dès à présent ouvertes.
Vous trouverez en annexe un document donnant des détails
complémentaires et la procédure pour s'inscrire. NdT: ce document sera
traduit ultérieurement mais en résumé, pour s'inscrire, il faut
envoyer un email à Victor Pouomogne (pouomognev(a)yahoo.fr) avec:
1. Votre titre, Nom, Prénom
2. Votre adresse Email
3. Votre fonction/Votre profession
4. Le nom de votre organisation, son adresse, téléphone/fax, site
web)
Nous comptons sur votre participation à cet atelier.
Prof Emmanuel Kaunda and Dr Jeremiah Kang'ome, BUNDA
Dr Victor Pouomogne and Dr Richard Awah Niche, IRAD
Marielle Dubbeling and Femke Hoekstra, ETC Foundation
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Nom: Invitation e-workshop Final.doc
Type: application/msword
Taille: 202752 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
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Début du message réexpédié :
> De : "Marielle Dubbeling" <m.dubbeling(a)etcnl.nl>
> Date : 19 août 2009 18:20:49 GMT+08:00
> À : "sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk" <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> >
> Objet : [Sarnissa-african-aquaculture] E-workshop on networking and
> dialogue among key stakeholders and policy makers in the field of
> aquaculture
> Répondre à : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
> Dear colleagues
> We would like to inform you that BUNDA College-University of Malawi;
> The Institut de Recherche Agricole pour le Développement in
> Cameroun, ETC Foundation, The Netherlands and the SARNISSA programme
> are inviting you to participate in an upcoming e-workshop on
> constructive networking and dialogue among researchers, other key
> stakeholders and policy-makers in the field of aquaculture in Sub-
> Saharan Africa(September 28- October 16, 2009).
>
> The e-workshop specifically aims to:
> (1) To share and discuss experiences on strategies for
> networking and constructive dialogue among researchers, other key
> stakeholders and policy makers in aquaculture,
> (2) To stimulate personal and institutional initiatives
> regarding networking and dialogue among researchers, other key
> stakeholders and policy makers in the field of aquaculture.
>
> This with the broader goals to:
> - For the policy makers and the government sector: Through inter-
> country/regional learning and interactions with range of other
> stakeholders to more effectively be able to develop their own in
> country aquaculture strategies, development plans and 5 -10 year
> aquaculture planning documents leading ultimately towards
> sustainable growth and aquaculture production in their own countries
> - For researchers: Through exchange with fellow researchers, other
> key stakeholders and policy-makers identify the potential for new
> research collaborations and inclusion of policy makers in new
> research projects and better understand how their work can be more
> effectively communicated to policy-makers in order to bear on future
> policy decisions.
> - For other key stakeholders: To develop a better understanding of
> aquaculture policy, research and development in their own country as
> well as other countries in the region, develop new partnerships, and
> better understand and plan for the important role they can play in
> future multi-stakeholder aquaculture planning and development in
> their country.
>
> The e-workshop will be organised for both English as well as French
> speaking participants.
>
> Registration for the workshop is now open!
> Please find attached further information on the workshop as well
> details on the registration procedure.
>
> We are looking forward to your participation in the workshop.
>
> Yours sincerely,
> Prof Emmanuel Kaunda and Dr Jeremiah Kang'ome, BUNDA
> Dr Victor Pouomogne and Dr Richard Awah Niche, IRAD
> Marielle Dubbeling and Femke Hoekstra, ETC Foundation
>
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-african-aquaculture mailing list
> Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
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Bonjour,
Les précisions de Mr Amadou concernant le données zootechnique du
transport de poissons, nous permette mieux de cerner ses besoins.
Toutefois il aurait été préférable de connaitre aussi leur *poids moyen*
et la *durée de transport *car la qualité du réseau routier a une
influence sur le temps.
Tous les intervenant l'ont très bien dit, le transport doit être adapté
aux exigences de l'espèce et de son comportement social, de sa
morphologie (taille, poids...), de l'environnement, de la distance et du
temps de transport. Tous ceci avec une marge de sécurité ....
Plusieurs professionnels ont exposé la technique de transport adapté à
leur cas.
La technique de transport en box + sacs plastics (de qualité
alimentaire) fermés et gonflés au 2/3 en O2 est très bien décrite. Cette
technique comme il le dit est utilisé couramment par les exportateurs de
poissons d'ornement sur des durées allant jusque 48 heures avec de bon
résultats. Ce type de manipulation nécessite un savoir faire à
l'expédition mais aussi à la réception (acclimatation et stockage). Le
poisson peut subir des chocs osmotique ou s'intoxiquer lors d'une
l'acclimatation trop rapide. Il y a la une explication très scientifique
de ce phénomène , et je laisse cela à des personnes qui peuvent
l'expliquer beaucoup mieux que moi.
Il faut donc lors de la réception :
1. Eviter le réflexe de mettre un diffuseur directement dès
l'ouverture du sac.
2. Si possible une prise les paramètres d'usage : T°, Ph, O2, S°/.., ...
3. Une attention particulière est apporter lors du changement d'eau,
une acclimatation progressive évite ou limite le stress, certaine
pathologies et augmente les chances de survie du poisson. Certain
poissons d'ornement ont beaucoup de valeur.
4. Il arrive d'utiliser un "buffer" ou un produit du genre.
5. Commencer un changement d'eau très progressif par dilution de
l'eau de transport par l'eau dans laquelle il va être placé, qui
doit de préférence être bien oxygéné. Par exemple pour acclimater
un ou des poissons qui arrivent dans un volume de 5 litres il faut
compter au moins 1h00 pour une changement de 100% du volume et
remplir un seau de 10 litres ! Avant de commencer à le faire
déborder et laisser 30 minutes de plus.
Sinon en pisciculture les poissons peuvent aussi être transporté dans
une ou des cuves de transports qui peuvent être isolé (c'est mieux!),
fixé sur un véhicule et équipé avec de l'aération (compresseur) puis de
l'oxygène pure. J'ai participé à des transports de + de 72 heures.
Le Tilapia doit certainement pouvoir être transporté à une charge de 50
kg de poissons vivants / m3 de cuve de transport, voir plus. Le jeune de
24 heures voir un peu plus est de rigueur !!
Pour transporter les 1000 tilapia de 10 cm (qui font peut-être 12 cm
maintenant! ;-) et environ 22-25 gr de poids moyen), une cuve de
450-500 litres doit suffire. Un taux d'oxygène dans l'eau de 10 mg /
litre constant puis un fort bullage fait par le compresseur lors des
variations de ph évite que les poissons s'intoxique avec le CO2 qu'ils
rejettent. Puis a l'arrivée faire une petite acclimatation suivant les
paramètres relevé. Catherine Hema dis très justement de favoriser les
mises à l'eau à la fraiche et le transport de nuit.
Plus les poissons sont petit, plus on en transporte dans le même volume
donc fait que le transport est plus rentable.
Voila j'espère que ceci pourra vous servir.
Chistophe Dupuy.
Bonjour,
Je suis un nouvel inscrit sur la liste
Sarnissa. Je travaille dans l’administration publique à la Direction Générale
des Ressources Halieutiques au sein du Ministère de l’Agriculture, de l’Hydraulique
et des Ressources Halieutiques au Burkina Faso.
Je suis le Chef du service aquaculture
intensive dans la Direction du Développement de l’Aquaculture.
Nous avons entre
autres missions :
-
l’élaboration
et le suivi de la mise en œuvre des politiques et stratégies nationales en
matière de gestion durable des ressources halieutiques ;
-
la
promotion et la vulgarisation des
systèmes d’élevage piscicole adaptés au contexte national;
-
la production dans les stations aquacoles de l’Etat ;
-
le
renforcement des capacités techniques des aquaculteurs et des
agents d’encadrement en matière d’aquaculture;
-
la
vulgarisation
et le suivi de l’application des
textes législatifs et réglementaires en matière d’aquaculture.
Sarnissa sera très utile pour moi en
ce sens qu’il donne accès à beaucoup d’informations concernant l’aquaculture.
Meilleures salutations à tous,
Christophe OUATTARA
Ingénieur Halieute / DES en
aquaculture
09 BP 1330 Ouagadougou 09
Burkina Faso
Bonjour à tous,
Si vous souhaitez maintenir une veille sur l'aquaculture africaine,
vous pouvez consulter la page web sarnissa, sur laquelle Will et moi
postons quasi-quotidiennement les dernières informations trouvées sur
Internet. Elle est bilingue et disponible à cette adresse:
http://bit.ly/Agh7u
qui pointe vers :
http://www.sarnissa.org/tiki-index.php?page=Latest Media African
Aquaculture
Pour ce mois-ci, j'ai essayé de faire un résumé détaillé des liens.
Pour des raisons pratiques, ce résumé est anglais, mais la traduction
automatique google ne me semble pas poser de problème de
compréhension. En tout cas, elle ne peut pas être pire que mon
anglais ! ;-)
La voici ci-dessous. Si cela vous est utile, j'essaierai de renouveler
de l'expérience, mais je ne garantie pas de le faire chaque mois.
En attendant, je pars en vacances pour une semaine, et je vous
souhaite à tous de bons échanges !
Très amicalement à tous,
Lionel
PS: Quelqu'un sait-il quel est ce poisson nommé "langui" en Algérie ?
L'aquaculture en Afrique / Août mise à jour
Algérie
La production de poissons d'eau douce dans la région de Sétif
atteindra 900 tonnes en 2009 (700 tonnes en 2008, 70 tonnes en 2007).
La plupart de la production provient d'une ferme aquacole à Aïn
Lahdjar. Les espèces de poissons sont la carpe, le tilapia et le
langui (?). Catfish sera bientôt mis en place. Une écloserie est
prévue en dam Zairi, Ouricia (15 km de Sétif). Elle produira 15
millions d'alevins, au lieu de les importer de la Hongrie comme
aujourd'hui. Une autre ferme pilote est prévue à Salah Bey, ainsi que
d'une usine de transformation à proximité du barrage d'Ain Zada [20].
Un millier d'alevins ont été dispersés dans les fermes Maghnia.
L'objectif final est de produire 100 tonnes de poisson [37].
Angola
Le Ministère angolais de la pêche est d'investir au moins US $ 40
millions entre 2010 et 2012 dans la construction d'un Collège national
de l'aquaculture dans la ville de Kalandula, dans la province de
Malanje. Le collège formeront des techniciens de niveau élémentaire et
moyen terme. Le bâtiment de trois étages sera construit sur une
superficie de 300 mètres carrés et comprendra neuf salles de classe,
des ateliers, des amphithéâtres, terrains de sport et deux
laboratoires. Dans le cadre du projet, il est prévu que le premier
poisson d'élevage vont commencer à être à la fin de 2010. Le collège
offre aux futurs étudiants de l'Académie sur les pêches pour être
construit dans la province de Namibe, avec une capacité de 900 élèves,
600 d'entre eux seront des résidents et 300 non-résidents [15].
Burkina Faso
[28] Rapport de la visite du Premier ministre à Nacombogo (Ipelcé)
lorsque le Beog Yinga Centre Polyvalent de formation (CPF) aide les
enfants qui ont abandonné prématurément l'école en leur enseignant de
plusieurs activités, parmi lesquelles la pisciculture.
Cameroun
Une étude réalisée par le WorldFish Center a montré que les systèmes
d'aquaculture ornementale qui font un minimum de modifications aux
cours d'eau et dépendent de cycles naturels des éléments nutritifs
d'inciter les habitants de la forêt pour préserver les rivières et
cours d'eau [11].
Récemment, le prix du poisson ont chuté dans la plupart des marchés à
travers le pays. Le poisson qui a été initialement limitées est
maintenant facilement accessible à la plupart des familles. Une
autorité à la poissonnerie Congelcam préféré garder l'anonymat a
déclaré que «les raisons de la baisse soudaine ne peut être identifié
si facilement parce qu'ils peuvent s'appuyer sur les fournisseurs de
Douala". Cependant, les fonctionnaires disent que c'est une partie des
mouvements du président Paul Biya à travers le Ministère du commerce
pour améliorer les conditions de vie des personnes [12].
Le Directeur de l'Aquaculture du Ministère de la Pisciculture des
équipements donnés a été évalué à 1 million de CFA à la «Womens CPG
rural de développement agricole». Elle consiste en une dizaine de
brouettes, fourches, pelles, des bottes, des pioches et des paires de
gants. La communauté bénéficie de l'appui de l'ONG française APDRAF-
France, à travers son village paysan projet «Poissons - Western
Caméroun», (PVOC). En date d'aujourd'hui, il gère six bassins de 2000
m2 [36].
Congo
[27] rapporte que le Sénat vient d'approuver un nouveau règlement
visant à restructurer le secteur de la pêche et l'aquaculture. Elle
vise à lutter contre la pauvreté. L'aquaculture au Congo est pratiquée
par les petites exploitations utilisant les bassins semi-moderne ou
naturel. La nouvelle loi sera combler un vide juridique, mais en
améliorant la présentation des activités de pêche et l'aquaculture
continentale, promouvoir le développement durable et la conservation
des ressources grâce à des politiques publiques, ainsi qu'en
participant aux besoins de ce nouveau secteur en pleine croissance.
Selon Guy Parfait Kolelas, le ministre des pêches marines et
intérieures, en charge de l'aquaculture, ce projet n'est pas seulement
une réussite du gouvernement, mais la réalisation de tous les
intervenants, y compris les pêcheurs, les agriculteurs et les Chambres
de Commerce.
Congo (RDC)
Pour l'orphelinat Bulaya, la construction d'une ferme piscicole
permettrait d'éviter d'être forcé d'aller à Lubumbashi (40 km) pour
acheter du poisson séché [7].
Gambie
[31] rapporte le lancement de deux ans et 408.000 USD pour le
programme de restauration des systèmes d'aquaculture durable. Le
projet est géré par la FAO en partenariat avec le ministère gambien de
la Pêche et des Ressources Aquatiques. Le projet vise à développer une
aquaculture viable et durable en tant que programme de diversification
des moyens de subsistance dans les zones rurales ainsi que pour
améliorer l'état nutritionnel, le revenu augmenter la capacité de
production de la population et de fournir d'autres activités hors-
saison à travers les terres améliorées et l'eau utilisation des
ressources. Le projet permettra également de mettre en lumière une
gestion efficace de nos ressources aquatiques - en particulier les
poissons [33].
Ghana
En août 2009, le Ghana Investment Promotion Centre (GIPC) invite
l'alimentation des animaux et des entreprises d'aliments pour poissons
d'établir une usine de fabrique de poisson à servir l'industrie. Le
pays a le potentiel pour devenir la plaque tournante d'Afrique
occidentale pour les opérations de poissons moulin. Le plus grand
élevage de poissons en Afrique de l'Ouest, ferme Tropo à Akosombo, est
situé au Ghana. Il existe aussi d'autres nombreuses fermes qui ont
besoin d'un approvisionnement fiable de la farine de poisson. Il
existe cinq sociétés multinationales dans la production à grande
échelle de l'aquaculture sur le lac Volta, à l'aide de pêche en cage,
tandis que plus de 100 moyens agriculteurs dans les régions Ashanti et
agricole de l'est l'utilisation d'étangs de poissons. Le montant
estimatif total de la production de poissons marins en 2007 était de
400.000 tonnes, tandis que l'aquaculture mis sur 10.000 tonnes. Selon
le ministère des Pêches, de l'exigence nationale de poisson est passé
de 676 000 tonnes en 1995 à 840 000 tonnes en 2007. Le déficit entre
les besoins des poissons et la production est donc une motivation
première dans le développement de l'aquaculture et des industries
connexes [8].
Guinée
[26] des rapports d'échange entre la Guinée et la Corée, sur la pêche
et l'aquaculture. Elle a eu lieu à partir de Juillet à août à
l'Université nationale Pukyong (PKNU). Plus d'une douzaine de pays
africains y ont participé, dont des représentants du Cameroun, du
Congo et au Gabon.
Côte-d'Ivoire
Environ 400 ex-miliciens et jeunes à risque de Haut Sassandra province
ont bénéficié de la 1000 programme de micro-projet de l'opération des
Nations unies en Côte-d'Ivoire (ONUCI). Le programme a été lancé en
août 2008 et les fonds ont servi à développer la pisciculture, la
riziculture, l'élevage porcin et l'aviculture. À la fin de la guerre,
la plupart des gens des milices se sont retrouvés sans ressources et
transformés en clochards. Maintenant, ils sont respectés [29]. Le
représentant spécial de l'ONU en Côte-d'Ivoire, YJ Choi, s'est rendu à
Daloa pour visiter le projet d'élevage de poissons, financé par
l'ONUCI et le PNUD, et est exploité par l'ANADER, dans Balea, à 35 km
de Daloa [30]. Dix jeunes à risque sont les bénéficiaires. Le projet a
débuté en mars 2009 avec un financement de 4.200.000 F CFA. (1 EUR =
655,957 FCFA) Il a permis aux poissons d'élevage 3054. Le président de
l'jeunes bénéficiaires, Bahouan Koré Grégoire, espère que la récolte
leur apportera 1215000 CFA à la fin de Septembre. Durant le trimestre,
les jeunes sont censés recevoir une pension alimentaire mensuelle de
25000 francs CFA de la mission. Le projet est cyclique et les alevins
sont déjà dans d'autres étangs, de sorte qu'ils puissent être vendus
dans les 9 mois. D'après [30], Daloa est la ville où le poisson est
rare, et qui a été l'une des motivations pour les jeunes d'aller avec
ce projet de pisciculture.
Kenya
Ministère St. Luke's, à Nyanza, dans la province occidentale du Kenya
fournit de la nourriture et d'autres projets agricoles pour la
communauté, y compris l'aquaculture [24]. Voir aussi [32] pour une
vidéo de partenaire d'un projet 1010 de pratiquer la pisciculture et
de l'expliquer.
Le Kenya et l'Indonésie sont mis à entrer dans un partenariat dans le
développement de la pisciculture dans le pays. Lors de la visite de
l'Indonésie ministre adjoint de la pêche Dr Mabel Nurdjana, ministre
des Pêches, Paul Otuoma ajouté que les deux pays permettrait également
de collaborer en termes d'amélioration de la capacité des ressources
humaines dans le secteur de la pêche. La co-opération verra
l'introduction de semences de nouveaux poissons, l'amélioration des
aliments pour les poissons et les systèmes de distribution sera
amélioré. Une espèce de poisson super YY de l'Indonésie seront
introduites afin d'améliorer la productivité du poisson. Dr Otuoma dit
que l'utilisation des poissons en vertu Sh1.1billion cadrage programme
de productivité des entreprises a été créé pour lancer le mois
prochain. Il a dit que le premier groupe à être formés seraient des
officiers de la pêche du district afin qu'ils puissent former des
pisciculteurs identifiés qui bénéficieront de ce programme. Le
ministre a indiqué que le programme prévoit la construction de 200
étangs piscicoles dans 140 circonscriptions qui ont été identifiés et
vont voir l'introduction de la technologie de l'agriculture qui
appuiera le développement économique rural [38].
Madagascar
L'ancien président Ravalomanana a décidé de re-stimuler l'élevage de
la truite dans le pays. L'exploitation piscicole dans Manjakatompo
Tsiafajavona (Ambatolampy, Ankaratra) est en cours de rénovation par
le ministère de l'Agriculture, Élevage et Pêche (MAEP). Créée en 1920,
cette ferme a été géré par une association d'agriculteurs poisson
appelé «Sodifafana». Depuis 1990, une société privée a repris, mais en
raison du manque d'aliments pour animaux, la station n'a pas
fonctionné. MAEP oeufs de truite a demandé au gouvernement polonais,
qui a offert 10 000 œufs qui ont été introduites dernière Juin 16,
2008. 1246 alevins ont été produites à partir d'eux. Transfert aux
agriculteurs auront lieu en 2009. Truite de prix sur le marché local
est de 12 000 ariary (1 EUR = 2 600 MGA) par kg [3] [4].
Appauvris pêcheurs le long des côtes des pays tropicaux africains
comme le Mozambique et Madagascar mai ont des années plus que quelques
pour suppléer à un bénéfice de l'une des plus grandes exportations
agricoles de leurs pays. En quelques décennies, ils mai n'ont plus de
moyens de subsistance à tous. C'est parce que les forêts marécageuses
de mangrove - aires de reproduction essentiels pour les poissons et
les coquillages dans ces pays - sont détruits par l'aggravation de la
pollution, empiétant développement immobilier, et la déforestation
nécessaire pour maintenir à grande échelle commerciale des crevettes
d'élevage [39].
Mali
Le ministre malien de l'Agriculture, Agatam Ag Alhassane a visité
l'opération menée par l'Office de Développement Rural de Sélingué
(ODRS), y compris sur le renforcement des étangs de poissons qui
peuvent être vus du haut du barrage de Sélingué [18].
Mayotte
Mayotte a un énorme potentiel pour l'aquaculture et devrait prendre la
première place parmi tous les territoires français tropicaux. Aquamay,
Copemay et Mayotte aquaculture sont les principales parties prenantes
locales. Après huit années de collaboration avec l'aquaculture
Freswater alpin, Timothée Gadenne tout juste d'arriver que le nouveau
directeur nommé de Aquamay, l'Association pour le développement de
l'aquaculture à Mayotte Island. Aquamay contrôle toutes les étapes de
l'élevage de Corb cirrosa Umbrina [17]. En 2007, elle a produit 53.000
alevins de Corb et 2000 alevins de Cobia. Elle se diversifie
actuellement sa production, avec la dorade et le vivaneau [19].
Copemay est une unité de traitement basé dans la capitale Mamoudzou.
Mayotte est le pionnier de l'aquaculture locale et la plupart des 200
tonnes exportées en 2007 proviennent de leur production. Le
gouvernement provincial local, Conseil Général, subventionne les
exportations de poisson (actuellement 1 et bientôt 2 EUR / exportées
kg), ainsi que les flux comme (0,62 EUR / kg). Le gouvernement local
devrait également appuyer la création d'une écloserie de Koungou,
ainsi que la création d'une grappe d'entreprises d'aquaculture en
Handrema. L'objectif est la création d'un agriculteur de nouveaux
poissons chaque année. Certaines expériences sont menées, telles que
la production de crevettes en cage [19].
Maroc
Dans le petit village de Moulay Abdellah, la récolte par les
populations pauvres des algues rouges, utilisées par l'industrie
alimentaire européenne, n'est pas viable en raison d'une exploration.
Maroc produit 14000 tonnes d'algues rouges, dont 40% sont exportés.
L'aquaculture est proposé comme une alternative durable [6].
Mozambique
Madagascar pour voir [39].
Niger
Malgré une météo défavorable et des conditions hydrologiques dans la
province de Bilma, deux plans d'eau existent. La première est
naturelle à Argui, et l'autre artificiel, à la suite de la fuite
permanente des puits d'eau de Bilma. Dans ce dernier, le tilapia du
Nil peuvent être rencontrées. Une étude de la pisciculture de
faisabilité a été réalisée pour ce lac (160 mètres x 63,6 mètres, 1,15
mètres de profondeur). Physico-chimie de l'eau est acceptable pour les
poissons (température comprise entre 0 ° C? Et 40 ° C). Une fois
équipés, la production de l'étang pourrait augmenter de 947 kg à 4947
kg. Un tel projet permettrait d'améliorer les moyens de subsistance de
la population en offrant des protéines accessibles [25].
Nigéria
Le Moyen-Autorité de Gouvernement Local dans l'État d'Enugu, a promis
de réduire le taux de chômage des jeunes dans la zone d'administration
locale d'environ 50 pour cent avant la fin de Décembre 2009, grâce à
son investissement actuel dans la pisciculture en partenariat avec les
fermes Unipaco. [14]
Réunion
L'aquaculture dans l'île de la Réunion a débuté en 1991, sous
l'impulsion de l'ARDA (Association pour le développement de
l'aquaculture dans l'île de La Réunion). Le directeur est Pierre Bosc.
Aujourd'hui, environ 15 agriculteurs de produire 120 tonnes de
poissons, tous vendus sur le marché local. Certains poissons d'eau
douce, comme le tilapia, le tilapia rouge et la truite sont également
utilisés pour hangling. Certains poissons d'aquarium sont également
cultivées à La Réunion, par deux jeunes élevages de poissons marins
d'ornement et d'un couple des exploitations piscicoles d'eau douce
ornementaux [22].
Il ya seulement une ferme marine. Créée en 2003, la société avait
besoin de nouveaux capitaux en Janvier 2007 et est devenue la Société
Aquacole des Mascareignes (102 000 euros de capital). En 2007, la
production Corb atteint 30 tonnes, dont une partie est vendue dans les
restaurants (45 tonnes en 2008). Depuis 2001, l'ARDA & Sam travaillent
en partenariat sur une ferme de la mer pour la production de Corb. La
ferme est implanté dans la baie de Saint-Paul. Principale difficulté
est la résistance aux typhons. Système utilise des contrepoids, qui
réduisent l'impact des vagues, alors que les cages sont immergés à 15
m d'être moins soumis à rift. Une entoure antishark net l'ensemble des
cages. Un projet avec l'ARDA, l'Ifremer, Ensieta vise à améliorer
encore plus la résistance [22].
Le document de synthèse pour la Réunion de la vaste consultation menée
dans les territoires français tropicaux propose de placer le
développement humain au cœur du projet stratégique pour La Réunion
Island. Parmi les priorités, le développement de l'aquaculture a élus
et devraient être menées sur une base régionale [38].
Rwanda
Un cours de formation sur l'aquaculture d'eau douce a été menée aux
Philippines par SEAFDEC-AQD's Binangonan eau douce Station (BFS) pour
les dix membres du personnel de l'Autorité Rwanda Workforce
Development (RWDA) à partir de 7 Mai à 19 Juin, 2009. Le cours de
formation a été commandée par l'basée à Singapour Acrux Stella
Education Group Pte. Ltd (ASEG), qui gère des projets au Rwanda. Bien
que la formation a porté sur quatre espèces commercialement
importantes tropicales, l'accent au cours de champ / visites à la
ferme a été donnée à tilapia et des silures qui sont communs à la fois
en Asie et en Afrique [34].
Sénégal
L'aquaculture devrait être relancé dans la province méridionale de
Casamance, avec la création d'un bureau régional de l'Agence nationale
pour l'aquaculture et la réhabilitation du pont Emile Badiane
écloserie visant à produire 1 500 000 alevins de tilapia saline avant
Décembre 2009. Ils seront distribués aux fermes publiques à
Ziguinchor, Bignona et Oussouye. À Ziguinchor, il y aura une ferme
industrielle visant à produire 500 tonnes / an qui créera 200 emplois
[1] [2].
Le directeur de l'ANA (Agence nationale pour l'aquaculture) a annoncé
l'agence allait investir 25 millions pour développer l'élevage de
poissons dans l'eau d'élevage de l'étang. L'objectif est de valoriser
3000 barrages d'ici 2010, pour la production de 3 à 4 millions
d'alevins et récolte de 350.000 tonnes de poisson. Le projet pourrait
également bénéficier aux conchyliculteurs, ostréiculteurs depuis Joal
ont également été contactés. Le projet a déjà construit 140 barrages
de stockage de l'eau partout dans le pays. La structure sont gérés
démocratiquement par les collectivités locales, et ils visent à
appuyer l'équité entre les sexes en donnant trop de femmes [35].
Afrique du Sud
Dans la ville minière de diamants anciens Kleinzee, groupe minier sud-
africain tente de stimuler l'aquaculture comme une activité économique
alternative à l'exploration du diamant en déclin [5].
L'Université de Rhodes a montré entre 2000 et 3000 tonnes d'ormeaux
ont été illégalement expédiés hors de l'Afrique du Sud chaque année à
Hong Kong - via les pays voisins comme le Lesotho et le Swaziland.
L'Université de Rhodes est un leader mondial de la nutrition et de
l'aquaculture de l'ormeau et a aidé à développer certaines des
techniques d'élevage les plus avancés et modernisés. Depuis la récolte
de l'ormeau dans la nature a été interdit il ya 18 mois, l'Afrique du
Sud est devenue un leader mondial dans tellurique élevage commercial
de la ressource [13].
Un projet pour se reproduire et se développer kob à l'Industrial
Development Zone Est de Londres (EL IDZ) est maintenant en quelques
semaines à peine de se briser au sol. La Marine 22 millions de rands
projet de l'aquaculture (1 ZAR = 0,0878 EUR), géré par marin Espadon
et financé par le IDZ, a été exploitée dans des locaux loués dans la
zone depuis la dernière année et demie. Le stock de géniteurs, qui ont
été capturés dans la rivière Brede il ya environ six ans et basé à
l'origine "la mariculture Espadon" projet à Hermanus, sont alimentés
Chokka et la sardine. Le projet se développera dans la région de 300 à
400 tonnes de poisson par an pour le marché, et vendre l'excédent sur
les poissons de grandir-out installations ailleurs dans le pays [16].
Tunisie
Le projet pour le nettoyage et l'utilisation du lac de Bizerte qui se
passe. L'objectif est d'utiliser ses 12000 ha pour l'aquaculture, en
particulier pour les huîtres et la mytiliculture depuis le lac
pourrait produire environ 2000 tonnes de crustacés par an [23].
Ouganda
Production aquacole en Ouganda a augmenté de 285 tonnes en 1999 à plus
de 50.000 tonnes à la fin de 2007. Le secteur de la pisciculture
soutient 21.000 agriculteurs et quelques 200.000 moyens de
subsistance. Le poisson est actuellement au nombre de deux à café dans
les recettes d'exportation avec la perche du Nil et de l'argent du
poisson (mukene) formant le pourcentage le plus élevé des produits de
pêche. Marché pour le poisson-chat indigène est énorme, car il est un
appât très appréciée pour la perche du Nil. Les agriculteurs
pratiquant petit poisson d'élevage à l'échelle commerciale à partir de
Ntungamo, Bushenyi, Rukingiri Busoga et recevront des alevins de
poissons-chats à l'appât prix à la ferme dans la seconde moitié de
2009. Elles seront produites par les exploitations Sunfish, avec
l'objectif de proposer une alternative à la pêche non viables dans les
zones humides du lac Victoria. Des études ont montré un déficit appât
de 98,4% pour l'Ouganda, le Kenya et la Tanzanie. Les agriculteurs
achètent chaque alevin au prix à la ferme de 30 UGX (1 UGX = 0,0003
EUR) séparation d'avec un total de 300.000 UGX. Ils vendront chacun à
200 ou 250 UGX. Récolte finale seront BETWEN 5000 (50% des alevins) et
8.000 (80%). À 200 UGX pour chaque alevin, l'agriculteur va gagner
1.000.000 UGX pour 5.000 alevins. De ce revenu brut, déduction 300000
UGX pour les alevins et 200.000 UGX pour les flux comme des dépenses
totales. L'agriculteur restera avec un revenu net de 500.000 UGX [9].
Le vice-président de l'Ouganda est aussi un pisciculteur. Sa ferme est
située à environ 2 kms de Kakiri et compte plus de 7000 poissons de
boue et 10.000 tilapia, élevés en cage. À l'heure actuelle, les prix
du poisson dans le pays ont augmenté. Le prix moyen d'un tilapia 1 kg
est de 5000 UGX [10].
Dans la capitale ougandaise, Kampala, les entrepreneurs chinois sont
la construction d'un centre de démonstration de l'aquaculture. Le
poisson est une protéine de base en Ouganda, avec de nombreuses
personnes vivant des-rapide diminution des stocks dans le lac Victoria
[21].
REFERENCES
[1] http://www.lesoleil.sn/article.php3?id_article=48680 (consulté le
19 août 2009)
[2] http://fr.allafrica.com/stories/200907061191.html (consulté le 19
août 2009)
[3] http://www.madagascar-tribune.com/Les-truites-dans-l-agenda,
6809.html (consulté le 19 août 2009)
[4] http://www.madagascar-tribune.com/Vers-la-relance-de-la-filiere,
992.html (consulté le 19 août 2009)
[5] http://www.lematin.ma/Actualite/Express/Article.asp?id=118239
(consulté le 20 août 2009)
[6] http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jvRS25qG0HseCdSA5-rpzdgX…
(consulté le 20 août 2009)
[7] http://asseda.blog.tdg.ch/archive/2009/08/10/orphelinat-de-bulaya-au-congo.…
(consulté le 20 août 2009)
[8] http://www.tradeinvestafrica.com/investment_opportunities/
900721.htm (consulté le 20 août 2009)
[9] http://allafrica.com/stories/200905140011.html?viewall=1 (consulté
le 20 août 2009)
[10] http://allafrica.com/stories/200908060667.html (consulté le 20
août 2009)
[11] http://www.sociolingo.com/2009/08/africa/ornamental-fish-farming-in-the-rai…
(consulté le 20 août 2009)
[12] http://allafrica.com/stories/200908130223.html (consulté le 20
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[13] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13779 (consulté
le 20 août 2009)
[14] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13755 (consulté
le 20 août 2009)
[15] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13758 (consulté
le 20 août 2009)
[16] http://www.growfish.com.au/content.asp?contentid=13759 (consulté
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[18] http://www.afribone.net.ml/spip.php?article20326 (consulté le 20
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[19] http://issuu.com/lemahorais/docs/lm_229/9 (consulté le 20 août
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[20] http://www.elmoudjahid.com/accueil/Nation/40338.html (consulté le
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[21] http://www.scidev.net/en/sub-suharan-africa/news/chinese-agricultural-boom-…
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[22] http://www.google.com/url?sa=t&source=web&ct=res&cd=1&url=http% 3A
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3Dcom_docman% 3Ddoc_download 26task% % 26gid% 3D69 & ei = n-
p3SrKpL52NtgegsM2WCQ & usg = AFQjCNGvIMBqfYUML3t03fpzgtB7eJmLgA & SIG2
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[23] http://www.africanmanager.com/articles/124190.html (consulté le
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(consulté le 26 août 2009)
[37] http://www.latribune-online.com/national/21550.html (consulté le
26 août 2009)
[38] http://www.nation.co.ke/News/-/1056/646246/-/um8dsh/-/ (consulté
le 27 août 2009)
[39] http://www.sciencedaily.com/releases/2009/08/090820161142.htm
(consulté le 28 août 2009)
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Merci à JF Baroiller pour l'information:
N’Golo Ouattara [1] (Côte d’Ivoire) soutiendra sa thèse, intitulée «
Adaptation écophysiologique des branchies à l’hypersalinité chez le
tilapia Sarotherodon melanotheron », le 29 Septembre 2009 à 14h à
l’Université de Montpellier II, devant un jury constitué de J. Falcon,
Cnrs-Banyuls, P. Prunet, Inra-Rennes, M. Mathieu, Univ. Caen, JF
Baroiller, Cirad, G. Charmantier, Univ. MTPL II
Résumé de la thèse :
L’implication des branchies dans l’osmorégulation a été étudiée chez
le tilapia Sarotherodon melanotheron, poisson ubiquiste des estuaires
ouest africains et caractérisé par une extrême euryhalinité.
Différents niveaux d’intégration (organe, cellule, protéines,
physiologie) ont été pris en compte, en liaison avec la salinité, dans
une approche écophysiologique. La structure des ionocytes branchiaux
et la localisation des protéines impliquées dans le transport ionique
(Na+/K+-ATPase, Na+/K+/2Cl-, CFTR) ont été suivies par histologie,
microscopie électronique, immunofluorescence et dosage enzymatique.
L’approche expérimentale a consisté en des transferts directs de l’eau
douce (ED) à l’eau de mer (EM) et des transferts progressifs de l’EM
aux eaux hypersalées (EHS 70 et 90 psu). Localisés à la base des
filaments en ED, les ionocytes branchiaux remontent le long des
lamelles en EM et en EHS. Leur nombre et surtout leur taille
s’accroissent avec l’augmentation de la salinité. Les ionocytes
forment des complexes cellulaires et approfondissent leurs cryptes
apicales après exposition des poissons à l’eau salée; ceci permet de
les classer en deux types : ionocytes à crypte apicale plate et
ionocytes à crypte apicale profonde. En ED, la Na+/K+-ATPase est
localisée dans la région basolatérale tandis que le NKCC est apical et
le CFTR absent. En EHS et en EM, la Na+/K+-ATPase et le cotransporteur
NKCC sont localisés sur la membrane basolatérale, tandis que le CFTR
est situé dans la région apicale. Ainsi, différents types cellulaires
sont identifiés selon la localisation de ces protéines, notamment le
type ED et le type EM. L’activité de la Na+/K+-ATPase croît faiblement
entre l’ED et l’EM et fortement entre l’EM et l’EHS. Toutes ces
modifications combinées dans les branchies de S. melanotheron lui
permettent de répondre efficacement aux fortes salinités du milieu
puisqu’aucune mortalité n’a été observée au cours de l’expérimentation.
Mots clés : Afrique de l’Ouest, Changements climatiques, Estuaire,
Acclimatation, Osmorégulation, Ionocytes, Na+/K+-ATPase, Na+/K+/2Cl-,
canal à chlore.
[1] Cirad-UPR20 Aquaculture & Gestion des Ressources Aquatiques &
Univ. Montpellier II- UMR Ecolag, Equipe Adaptation Ecophysiologique
& Ontogenèse
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Bonjour à tous,
Pour tous ceux qui ont besoin de calculer des dates limites de
consommation de produits aquatiques et de calculer la croissance des
bactéries pathogènes, il existe un logiciel gratuit téléchargeable sur
le site de l'Institut National Danois des Ressources Aquatiques.
La page http://sssp.dtuaqua.dk/ est en anglais, mais vous pouvez
toujours la traduire via google:
http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fsssp.dtuaqua.dk%2F&sl=e…
Le logiciel est annoncé disponible en français, mais je ne peux pas
vérifier car il ne fonctionne que sur PC.
Bien amicalement
Lionel
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Bonjour à tous,
Une réponse à Alexis sur le forum anglophone (merci à Will):
De: Sogbesan Olukayode [mailto:sokayfish@googlemail.com]
J'aimerais beaucoup échanger avec vous. Je suis chargé de cours sur
les pêches et spécialisé dans les aliments pour poissons non
conventionnels. Je m'appelle Dr Sogbesan A. Amos. Tapez mon nom dans
google et vous pourrez accéder à un certain nombre de publications qui
sont susceptibles de vous être utiles.
Bien amicalement
Lionel
> From: Sogbesan Olukayode [mailto:sokayfish@googlemail.com]
> Sent: 25 August 2009 11:30
> To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
> Subject: Re: [Sarnissa-african-aquaculture] Studying aquaculture in
> Benin
>
> I am strongly intrested to dialogue with you. I am a lecturer in
> Fisheries and secialized inNOn-cnventional fish feed. My name is Dr
> Sogbesan, O. Amos. You can type my name in google and asse some of m
> pubicatios on-line which will be of help.
>
> On Tue, Aug 25, 2009 at 9:53 AM, William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk
> > wrote:
> Translated: From New member just joined the French Forum – We
> encourage all new members when they join to send an introductory
> message to the list – its often a good way of initiating new
> contacts working or interested in the same fields and areas.
>
>
> Hello to all,
>
> my name is Alexis HOUNDJI, and I am a student at the University of
> Abomey-Calavi at the Ecole Polytechnique d'Abomey-Calavi (EPAC) in
> Benin. More specifically the Department of Animal Production and
> Health (PSA) now in my 3rd year of study. My final exams and
> qualifications will be coming soon.
> I have a strong interest/ passion for the development of
> Aquaculture in Africa and wish to go as far as possible in research
> and studies in the field.
> My goal is to have fish production centers which can: allow or
> induce Food self-sufficiency in fishery products; conservation of
> endangered aquatic animals to reduce overuse of our water bodies.
> Also I would especially like to spend my time in developing
> the areas of fish feed using local products because I think that it
> is a major constraint to development in the sector.
> Thank you all and I am open to any dialogue.
>
> Alexis
> http://www.university-directory.eu/Benin/Ecole-Polytechnique-d-Abomey-Calav…
> http://www.epac.bj.refer.org/
>
>
> -----Original Message-----
> From: sarnissa-french-aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk
> ] On Behalf Of houndji alexis
> Sent: 24 August 2009 21:42
> To: sarnissa-french-aquaculture Mailing List
> Subject: [Sarnissa-french-aquaculture] coucou
>
> Salut à tous;moi on m'appelle Alexis HOUNDJI je suis étudiant à
> l'Université d'Abomey -Calavi à l'Ecole Polytechnique d'Abomey-
> Calavi (EPAC) Plus précisément au département de Production et Santé
> Animales (PSA) en 3ème année je soutiendré mon rapport de licence
> bientôt.
> J'ai un penchant fort pour le développement de l'Aquaculture en
> Afrique et voudrais aller le plus loin possible dans les recherches
> et études dans le domaine.
> Mon objectif est d'avoir des centres de production halieutiques
> capable de: permettre ou d'induire une Autosuffisance alimentaire en
> produits halieutiques;une concervation des animaux aquatiques en
> voie de disparition afin de réduire la surexploitation de nos plans
> d'eaux.
> De plus je voudrais spécialement beaucoup m'investire dans le
> domaine de l'alimentation des poissons à l'aide des produits locaux
> car je crois que cela constitue un grand frein au dévelopement de la
> filière.
> Merci à tous et je suis ouvert à tout dialogue.
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Bonjour,
Je viens par ce message avoir quelques informations sur le marquage des géniteurs pour permettre une sélection efficiente sans risque de consanguinité (puce; encre; target; etc)
Merci
Maurice DANDJINOU
Royal Fish BENIN SA
97 59 89 45/21 07 32 75
_________________________________________________________________
Partagez vos souvenirs sur le Web avec les personnes de votre choix.
http://www.microsoft.com/northafrica/windows/windowslive/products/photos-sh…
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Re-Bonjour à tous,
ATTENTION: un rectificatif vient d'être adressé à la liste anglophone.
Il y a une erreur de dates. La version française du document traduit
contiendra les bonnes dates du e-workshop qui sont 28 SEPTEMBRE-16
OCTOBRE.
Sinon, vous avez probablement constaté que mon dernier message sur les
pièces jointes avait échoué, puisque le fichier avait carrément
disparu ! Ne souhaitant vous submerger de messages, et quelque peu
blessé dans mon amour propre par cet échec (:-)))))), je me suis
abstenu de renvoyer un nouveau message.
Heureusement, après de nouveaux essais, il semble que je sois enfin
parvenu à trouver le bon réglage puisque mon dernier message à propos
du e-workshop contient le paragraphe suivant:
-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe non texte a été nettoyée...
Nom: Invitation e-workshop Final.doc
Type: application/msword
Taille: 202752 octets
Desc: non disponible
Url: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
-------------- section suivante --------------
A compter de maintenant, chaque pièce jointe aux emails adressés à la
liste sera remplacée par un paragraphe similaire. Le nom du fichier
est indiqué sur la deuxième ligne (ici, il s'agit d'un document word
qui s'intitule "Invitation e-workshop Final.doc". Ceux qui souhaitent
le télécharger n'ont qu'à cliquer sur le lien en face de Url. Les
autres peuvent l'ignorer.
J'espère qu'ainsi, vous pourrez continuer à nous envoyer tous les
documents que vous souhaitez, sans pour autant bloquer la messagerie
de ceux qui n'ont pas accès à internet à haut débit.
Bien amicalement
Lionel
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-------------- section suivante --------------
Une pièce jointe HTML a été nettoyée...
URL: http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…
Voici la 2ème partie des images.
Here are the secong part of the pictures.
Gabriel Koffi D. Koko, DVM, M.Sc
Director
Fish for Africa-Africa Head Office
BAC 3/88 Service Plot DTD (SKM)
Spintex Road, Baatsonaa, Accra (Ghana)
Tel/Fax. (+2... -261 Cel. (+233)... 4
www.fishforafrica.org
__________________________________________________________________
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Comme promis, voici, en images (1ère partie), quelques temps forts de l'atelier de Lomé.
As promised, here are some pictures of the Lome's workshop.
Gabriel Koffi D. Koko, DVM, M.Sc
Director
Fish for Africa-Africa Head Office
BAC 3/88 Service Plot DTD (SKM)
Spintex Road, Baatsonaa, Accra (Ghana)
Tel/Fax. (+2... -261 Cel. (+233)... 4
www.fishforafrica.org
__________________________________________________________________
Looking for the perfect gift? Give the gift of Flickr!
http://www.flickr.com/gift/
Salut,
Comme vient de le dire Célestin, un baobab vient de tomber mais ses œuvres, sources d'inspiration pour chacun de nous.
Toutes les condoléances à toute sa famille, proches et à la communauté scientifique.
Repose en paix.
Athanase K. OTCHOUMOU
Doctorant au Centre de Recherches Océanologiques (CRO)
BP V 18 Abidjan, Côte d'Ivoire
22 BP 130 Abidjan 22
Cel: (225) 07 79 72 06
E.mail: tchoumou2(a)yahoo.fr
--- En date de : Mar 11.8.09, Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr> a écrit :
De: Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
Objet: [Sarnissa-french-aquaculture] Disparition de Jacques Daget
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Mardi 11 Août 2009,
16h08
Bonjour à tous,
Je viens d'apprendre par un ami une autre bien triste nouvelle, la
disparition en juin de Jacques Daget, professeur au Muséum d'Histoire
naturelle de Paris.
Compagnon de Théodore Monod, ami d'Amadou Hampate Ba, Jacques Daget
faisait partie de ces grands scientifiques à l'immense culture, aux
talents multiples et à la curiosité insatiable. Nous lui devons la
description d'un très grand nombre d'espèces piscicoles africaines,
ainsi que les premières idées sur l'aquaculture africaine, notamment
l'identification d'Heterotis niloticus comme espèce à fort potentiel.
Il a disparu avant d'avoir pu achever le deuxième tome de sa
biographie retraçant un parcours hors du commun. J'espère qu'elle
était suffisamment avancée et pourra être publiée à titre posthume. Je
vous
encourage à lire le tome 1:
Des bords de Loire aux rives du Niger
Souvenirs autobiographiques (1919 - 1964)
Jacques Daget
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=157…
Ci-dessous l'hommage de François Meunier et Didier Paugy
Bien amicalement
Lionel
Merci à Yves Fermon et Nicolas Bailly
<http://www.mnhn.fr/sfi/sfi/3.sfinfos/SIF%20infos%2050.pdf>
Jacques DAGET 1919-2009
Ce lundi 29 juin, Jacques DAGET nous a quittés à la toute veille de
ses 90 ans; il était né un 30 juin. Nous l’avions fêté, en sa
présence, lors des derniers RIF (mars 2009) en consacrant une session
à sa carrière scientifique avec
l’intervention soit de ses anciens
élèves, soit de collègues avec qui il avait eu l’occasion de
travailler pendant de longues années. Une plaquette spéciale, d’une
trentaine de pages et retraçant sa vie, a été éditée pour ce jubilé,
grâce au soutien de l’IRD dont il fut un chercheur éminent (du temps
de l’ORSTOM). Lors des RIF 4, il nous avait encore montré toute sa
vivacité intellectuelle. Il est encore venu au laboratoire en avril
dernier, notamment pour les corrections des épreuves de Cybium. Et
puis, la maladie l’a rattrapé ces toutes dernières semaines.
Loir-et-Cherien de naissance et de cœur, Jacques Daget a fait ses
études secondaires à Blois avant d’entrer à Polytechnique. Pendant la
période de la Deuxième Guerre mondiale, il fait des études de zoologie
et de botanique. Ses premiers pas de
chercheur ont lieu au Muséum de
Paris, au laboratoire de zoologie (reptiles et poissons) avec une
orientation d’anatomiste. Après quelques péripéties, ses maîtres lui
proposent un sujet de recherche sur le polyptère avec la possibilité
d’une mission en Afrique pour récolter le matériel d’étude. C’est
donc, très rapidement résumé, le début d’une carrière africaine qui va
durer une quinzaine d’années. Rentré en France en 1965, il s’installe
d’abord à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm avant de devenir,
en 1975, directeur du Laboratoire d’ichtyologie générale et appliquée
du Muséum (succédant à Théodore Monod), poste qu’il occupa jusqu’à sa
retraite en 1984. Il resta au Muséum comme professeur honoraire
jusqu’à son dernier jour.
Après la Deuxième Guerre mondiale, trois
grands ichtyologues
taxinomistes ont particulièrement concouru à améliorer les
connaissances faunistiques des eaux douces tropicales d’Afrique. Tous
trois effectuèrent de nombreuses missions ou séjournèrent de longues
années dans les pays de leurs recherches. S’ils ont publié la plupart
de leurs descriptions comme auteur unique, ils ont également co-signé
un certain nombre de publications, chose qui était peu fréquente
jusqu’alors. Peter H. Greenwood (1927-1995, Britannique), Jacques
Daget (1919-2009, Français) et Dirk F.E. Thys van Den Audenaerde
(1934, Belge) ont respectivement décrit 74, 60 et 52 espèces
nouvelles. Jacques Daget doit être considéré comme un des
contributeurs majeurs de l’avancée de l’ichtyologie en Afrique
occidentale. Il a ainsi rédigé quelques fameuses monographies sur les
poissons du Niger supérieur, de la Haute-Volta (actuellement Burkina
Faso), du bassin de la Gambie, du Fouta Djalon, du mont Nimba et de la
Côte d’Ivoire. Sa bibliographie fait état d’un peu plus de 320 titres
comprenant plusieurs ouvrages (auteur ou éditeur scientifique), de
très nombreux articles de revues et des chapitres de volumes
collectifs. Nous lui devons également d’avoir généralisé, parmi les
premiers, l’emploi de l’informatique et des analyses multifactorielles
à la fois en taxinomie et en écologie. Ces méthodes devenues désormais
classiques étaient encore peu connues dans les années 1960 et l’on
peut considérer qu’il a largement contribué à les faire connaître.
Jacques Daget fut l’un des créateurs de la Société Française
d’Ichtyologie (1976) qu’il présida durant la première dizaine
d’années
de son existence. Comme Directeur du Laboratoire d’Ichtyologie du
Muséum, il a promu et soutenu, de toutes ses forces, l’informatisation
de la Collection nationale de poissons (la troisième au monde par le
nombre de lots conservés), si bien qu’aujourd’hui elle sert de modèle
à l’informatisation des autres grandes collections du Muséum.
Homme d’une grande discrétion et de grand savoir, Jacques Daget a
guidé les pas de nombreux ichtyologues tant en France qu’à l’étranger.
Beaucoup d’entre nous ont eu l’occasion d’apprécier ses qualités
humaines et sa grande culture scientifique.
Adieu Monsieur le Professeur ; vous nous manquerez.
François Meunier et Didier Paugy
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