Chers collègues,
Du 4 au 6 juillet 2017 a eu lieu à Tenkodogo au Burkina Faso, la 3ème rencontre
du Cadre de concertation des maires des communes affectées par les barrages
dans le bassin du Niger élargie au bassin de la Volta sur les enjeux
environnementaux.
Elle se voulait un cadre de réflexion et d’échange des préoccupations
vécues par les populations affectées en matière de
déplacement/réinstallation, de compensation, de partage de bénéfice, de
développement local, autour des processus de barrage.
A l’issu des travaux, les participants ont proposé une série de
recommandations visant une meilleure implication des élus locaux dans la
gestion des barrages et une meilleure rentabilisation et partage des
bénéfices issus des infrastructures hydrauliques avec les populations
affectées. Les participants ont aussi adopté la convention révisée de
coopération décentralisée et de jumelage entre les communes affectées par
les barrages dans les bassins hydrographiques en Afrique de l’Ouest et du
Centre, et le Règlement intérieur du Cadre de concertation des maires
desdites communes.
Cette convention signée démontre donc la volonté pour les élus de coopérer
étroitement pour le développement économique, social et culturel de leurs
communes réciproques à travers l’intensification des échanges entre elles
aux bénéfices de leurs populations respectives.
Vous pouvez trouver en pièces jointes les produits adoptés au cours de
cette assise qui vous permettront d’en apprécier davantage les résultats:
· Le Communiqué final de la rencontre
· La Convention et le règlement intérieur révisés du cadre de
concertation des maires.
Cette rencontre faisait suite à la signature en février 2012, en marge du
Forum des acteurs et usagers (ères) de l’eau du Bassin du Niger à Sélingué,
d’une convention de jumelage et de coopération décentralisée entre les
communes affectées par les barrages.
Elle a été organisée par la Coordination Régionale des Usagers des
ressources naturelles du Bassin du Niger (CRU-BN), avec l’appui technique
et financier de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (
UICN <http://www.iucn.org/paco>) dans le cadre du Partenariat pour la
Gouvernance Environnementale en Afrique de l’Ouest (PAGE
<http://www.iucn.org/page>).
Bonne lecture
Cordialement.
*Nouradine Zakaria TOURE,DEA, Population et EnvironnementOPTION: Gestion
des Zones Humides et Développement Durable*
*Chef de Village de BERRAH et Conseiller National*
*Président de la Coordination Régionale des Usagers (ères) desRessources
Naturelles du Bassin du Niger (CRUBN) 09 paysBureau: (00223) 20 28 42 21 /
20 28 42 23Portable: (00223) 76 49 07 02 / 66 79 57 40Email: *
*nouradhine(a)gmail.com* <nouradhine(a)gmail.com>
*nouradhine(a)yahoo.fr* <nouradhine(a)yahoo.fr>
*nouradhine(a)hotmail.fr* <nouradhine(a)hotmail.fr>
*Skype: nouradhineBAMAKO MALI*
_______________________________________________
Dialoguebarrages mailing list
Dialoguebarrages(a)lists.dialoguebarrages.net
http://lists.dialoguebarrages.net/listinfo/dialoguebarrages
See below en anglais et en francais
From: JEROME LAZARD [mailto:jerome.lazard@cirad.fr]
Sent: 11 August 2017 09:34
To: 'James Miller' <jimfishafrica(a)gmail.com>
Cc: sarnissa-french-aquaculture Mailing List <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Subject: TR: Could this be a sign of tilapia lake virus?
I forgot to mention the author's name: Thierry Doudet
J'ai oublié de mentionner le nom de l'auteur: Thierry Doudet
De : JEROME LAZARD [mailto:jerome.lazard@cirad.fr]
Envoyé : vendredi 11 août 2017 10:31
À : 'James Miller'
Cc : 'sarnissa-french-aquaculture Mailing List'
Objet : RE: Could this be a sign of tilapia lake virus?
Dear Jim,
As far as I remember, a lot of projects (commercial and experimental) aiming at growing tilapias in brackish water in Côte d'Ivoire have been implemented in the 1980s. A range of species and hybrids of Oreochromis (Sarotherodon melanotheron) was estimated to have unsufficient growth rate for intensive production) but high level of mortalities occurred as you mention. The main factor for this was in fact the poor tolerance of Oreochromis spp. to salinity which weakened the fish and induced all kinds of diseases.
On this topic there is a comprehensive publication:
Brackishwater tolerance of some species and hybrids of Oreochromis for use in lagoon aquaculture (Ivory Coast) in:Aquaculture 102(3):275-288 · March 1992; DOI: 10.1016/0044-8486(92)90154-D
Best wishes, Jérôme Lazard
Cher Jim,
Pour autant que je me souvienne, de nombreux projets (commerciaux et expérimentaux) visant à développer les tilapias dans les eaux saumâtres en Côte d'Ivoire ont été mis en œuvre dans les années 80s. Une gamme d'espèces et d'hybrides d'Oreochromis (Sarotherodon melanotheron) a été estimée avoir un taux de croissance insuffisant pour une production intensive), mais un taux élevé de mortalité s'est produit comme vous l'avez mentionné. Le principal facteur était en fait la mauvaise tolérance d'Oreochromis spp. À la salinité qui a affaibli le poisson et induit toutes sortes de maladies.
Sur ce sujet, il existe une publication complète:
Tolérance de l'eau de forage de certaines espèces et hybrides d'Oreochromis à utiliser dans l'aquaculture lagunaire (Côte d'Ivoire) dans: Aquaculture 102 (3): 275-288 · Mars 1992; DOI: 10.1016 / 0044-8486 (92) 90154-D
Jérôme Lazard
De : Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] De la part de James Miller via Sarnissa-african-aquaculture
Envoyé : jeudi 10 août 2017 18:50
À : William Daniels
Cc : sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>; sarnissa-french-aquaculture Mailing List
Objet : Re: Could this be a sign of tilapia lake virus?
Everyone,
I recall a virus attacking tilapia being reared in cages in a lagoon in Côte d'Ivoire, managed by David Cambell back in the days of FAO's Dr. André Coche in the 1980s.
As I recall they were rearing 3 species of tilapias in a farm set up by BP and the virus attacked mainly one species and so they stopped raising that species.
Maybe John Moehl and Chris Nugent can shed some light on this.
I hope this enlightens someone else who has knowledge of this.
Jim Miller
Toutes les personnes,
Je me souviens d'un virus attaquant le tilapia élevé dans des cages dans un lagon en Côte d'Ivoire, géré par David Cambell dans les jours du Dr. André Coche de la FAO dans les années 1980.
Comme je me souviens, ils ont cultivé 3 espèces de tilapias dans une ferme mise en place par BP et le virus a attaqué principalement une espèce et ont donc cessé de soulever cette espèce.
Peut-être John Moehl et Chris Nugent peuvent-ils éclairer cela.
J'espère que cela illumine quelqu'un d'autre qui en a connaissance.
Jim Miller
James Miller
SDF Fisheries Technical Adviser
Ministry of Fisheries & Marine Resources
Hargeisa, Somaliland
Tel. +252 63 362 0967; +252 63 484 9394
E-mail: jimfishafrica(a)gmail.com<mailto:jimfishafrica@gmail.com>
Skype: millerfishafrica
On Thu, Aug 10, 2017 at 4:29 PM, William Daniels via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>> wrote:
Contact Dr. Sam Addo at University of Ghana. He received his PhD at Auburn University
On Aug 10, 2017 9:19 AM, David Scarfe via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>> wrote:
Dear Melshior;
It is highly advisable that you seek help from a veterinary diagnostic lab to identifying the cause of these lesions, and/or any increased mortality. The pictures you shared could be caused by a number of bacteria, viruses, fungi, or other pathogens. Without this information, it’s impossible to plan prevention, control or eradication programs, and your losses will only increase with time.
I would recommend you contact the Ghanaian Veterinary Services (see http://www.e-agriculture.gov.gh/index.php/about-mofa/technical-services/vet…<http://www.e-agriculture.gov.gh/index.php/about-mofa/technical-services/vet…>). While they primarily deal with livestock diseases, many of the diagnostic assays they will be able to perform (e.g. bacterial culture, histopathology, etc.) will help narrow down, or identify the cause. They may also be able to recommend another vet DX lab in the region that could provide additional diagnostics, if needed.
Regards,
Dave
A. David Scarfe PhD, DVM, MRSSAf, CertAqV
Aquatic Veterinary Associates International, LLC
365 Monarch Birch Ct., Bartlett, IL 60103, USA
+1 (847) 650-4628<tel:+1%20847-650-4628>
dscarfe(a)ameritech.net<mailto:dscarfe@ameritech.net> or adscarfe(a)gmail.com<mailto:adscarfe@gmail.com>
Cher Melshior;
Il est fortement conseillé de rechercher de l'aide d'un laboratoire de diagnostic vétérinaire pour identifier la cause de ces lésions et / ou toute mortalité accrue. Les images que vous avez partagées pourraient être causées par un certain nombre de bactéries, de virus, de fungi ou d'autres agents pathogènes. Sans cette information, il est impossible de planifier des programmes de prévention, de contrôle ou d'éradication, et vos pertes augmenteront seulement avec le temps.
Je vous recommanderais de contacter les Services vétérinaires ghanéens (voir http://www.e-agriculture.gov.gh/index.php/about-mofa/technical-services/vet… ). Bien qu'ils traitent principalement des maladies du bétail, bon nombre des tests de diagnostic qu'ils pourront effectuer (par exemple, culture bactérienne, histopathologie, etc.) aideront à réduire ou à identifier la cause. Ils peuvent également être en mesure de recommander un autre laboratoire DX dans la région qui pourrait fournir des diagnostics supplémentaires, au besoin.
Cordialement,
Dave
A. David Scarfe PhD, DVM, MRSSAf, CertAqV
From: Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk>] On Behalf Of chnmurali--- via Sarnissa-african-aquaculture
Sent: Wednesday, August 9, 2017 1:41 PM
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk<mailto:william.leschen@stir.ac.uk>>
Cc: sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>; sarnissa-french-aquaculture Mailing List <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>
Subject: Re: [{WARNING: Msg Size >4 Meg; *NOT* spamchecked}
Dear Avor
We have he'll lot of diseases in Ghana and the mortality is everywhere except some farms who went on for vaccination for Strep. Even after vaccination they still face mortality but not much like others.
We have columnaris, aeromonas, Streptococcus, klebsiscella etc etc bacteria, saprolegnia, fish lice etc.
Looking at the pictures I fear more now, aeromonas also looks little bit near to those symptoms but fin rot is dominant when aeromonas is there.
These symptoms are matching with the latest pics released for TILV.
Let's not conclude, I will forward this mail to a expert who came to Ghana two days back and he has PCR with him. He will confirm the disease if it is TILV.
Please give your contact details
With Regards
Naga Murali
Sent from my iPhone
On 9 ఆగ, 2017, at 5:45 [PM], William Leschen via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>> wrote:
From: melavor farmconsult [mailto:melavorfarmconsult@gmail.com]
Sent: 04 August 2017 15:59
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk<mailto:william.leschen@stir.ac.uk>>
Subject: Could this be a sign of tilapia lake virus?
Clinical signs on moribund farmed tilapia from Volta Lake Ghana… what do they tell one ?
Hi William
Every month during sampling I see this sign on at least two fishes, I record mortality of 50pieces on average daily.
There is no single day, were we don't record mortality on lake Volta around Akosombo.
Kindly find attached photos
Could it be Tilapia Lake Virus?
Regards
Melshior Avor
From SARNISSA email forum
Ed Please for all Following feel welcome to respond - send your thoughts opinions and if relevant your own experiences
Salut Guillaume
Chaque mois lors de l'échantillonnage, je vois ce signe sur au moins deux poissons, je note la mortalité de 50 pièces par jour.
Il n'y a pas un seul jour, si nous ne enregistrons pas la mortalité sur le lac Volta autour d'Akosombo.
Veuillez trouver ci-joint les photos
Peut-il être Tilapia Lake Virus?
Cordialement
Melshior Avor
Du forum email SARNISSA
Ed S'il vous plaît pour tous les commentaires, répondez - envoyez vos opinions et, le cas échéant, vos propres expériences
<IMG_20170731_101624<tel:101624>.jpg>
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<IMG_20170731_111149<tel:111149>.jpg>
<IMG_20170731_101601<tel:101601>.jpg>
Contact Dr. Sam Addo at University of Ghana. He received his PhD at Auburn University
On Aug 10, 2017 9:19 AM, David Scarfe via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk> wrote:
Dear Melshior;
It is highly advisable that you seek help from a veterinary diagnostic lab to identifying the cause of these lesions, and/or any increased mortality. The pictures you shared could be caused by a number of bacteria, viruses, fungi, or other pathogens. Without this information, it’s impossible to plan prevention, control or eradication programs, and your losses will only increase with time.
I would recommend you contact the Ghanaian Veterinary Services (see http://www.e-agriculture.gov.gh/index.php/about-mofa/technical-services/vet…). While they primarily deal with livestock diseases, many of the diagnostic assays they will be able to perform (e.g. bacterial culture, histopathology, etc.) will help narrow down, or identify the cause. They may also be able to recommend another vet DX lab in the region that could provide additional diagnostics, if needed.
Regards,
Dave
A. David Scarfe PhD, DVM, MRSSAf, CertAqV
Aquatic Veterinary Associates International, LLC
365 Monarch Birch Ct., Bartlett, IL 60103, USA
+1 (847) 650-4628
dscarfe(a)ameritech.net<mailto:dscarfe@ameritech.net> or adscarfe(a)gmail.com<mailto:adscarfe@gmail.com>
From: Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] On Behalf Of chnmurali--- via Sarnissa-african-aquaculture
Sent: Wednesday, August 9, 2017 1:41 PM
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
Cc: sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>; sarnissa-french-aquaculture Mailing List <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Subject: Re: [{WARNING: Msg Size >4 Meg; *NOT* spamchecked}
Dear Avor
We have he'll lot of diseases in Ghana and the mortality is everywhere except some farms who went on for vaccination for Strep. Even after vaccination they still face mortality but not much like others.
We have columnaris, aeromonas, Streptococcus, klebsiscella etc etc bacteria, saprolegnia, fish lice etc.
Looking at the pictures I fear more now, aeromonas also looks little bit near to those symptoms but fin rot is dominant when aeromonas is there.
These symptoms are matching with the latest pics released for TILV.
Let's not conclude, I will forward this mail to a expert who came to Ghana two days back and he has PCR with him. He will confirm the disease if it is TILV.
Please give your contact details
With Regards
Naga Murali
Sent from my iPhone
On 9 ఆగ, 2017, at 5:45 [PM], William Leschen via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>> wrote:
From: melavor farmconsult [mailto:melavorfarmconsult@gmail.com]
Sent: 04 August 2017 15:59
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk<mailto:william.leschen@stir.ac.uk>>
Subject: Could this be a sign of tilapia lake virus?
Clinical signs on moribund farmed tilapia from Volta Lake Ghana… what do they tell one ?
Hi William
Every month during sampling I see this sign on at least two fishes, I record mortality of 50pieces on average daily.
There is no single day, were we don't record mortality on lake Volta around Akosombo.
Kindly find attached photos
Could it be Tilapia Lake Virus?
Regards
Melshior Avor
From SARNISSA email forum
Ed Please for all Following feel welcome to respond - send your thoughts opinions and if relevant your own experiences
Salut Guillaume
Chaque mois lors de l'échantillonnage, je vois ce signe sur au moins deux poissons, je note la mortalité de 50 pièces par jour.
Il n'y a pas un seul jour, si nous ne enregistrons pas la mortalité sur le lac Volta autour d'Akosombo.
Veuillez trouver ci-joint les photos
Peut-il être Tilapia Lake Virus?
Cordialement
Melshior Avor
Du forum email SARNISSA
Ed S'il vous plaît pour tous les commentaires, répondez - envoyez vos opinions et, le cas échéant, vos propres expériences
<IMG_20170731_101624.jpg>
<IMG_20170731_114834.jpg>
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<IMG_20170731_101601.jpg>
Dear Murali
It's true there are a lot of diseases surfacing in recurrent time.
It's really becoming a great threat in the industry, its gradually causing
farms to fold up.
>From 2015 till date close to 85% of smallholder fish farmers have fold up.
Hmm
Regards
Melshior Avor
+233501377812
+233245052130
On Aug 10, 2017 11:48 AM, "chnmurali--- via Sarnissa-african-aquaculture" <
sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk> wrote:
> Dear Avor
>
> We have he'll lot of diseases in Ghana and the mortality is everywhere
> except some farms who went on for vaccination for Strep. Even after
> vaccination they still face mortality but not much like others.
>
> We have columnaris, aeromonas, Streptococcus, klebsiscella etc etc
> bacteria, saprolegnia, fish lice etc.
>
> Looking at the pictures I fear more now, aeromonas also looks little bit
> near to those symptoms but fin rot is dominant when aeromonas is there.
>
> These symptoms are matching with the latest pics released for TILV.
>
> Let's not conclude, I will forward this mail to a expert who came to Ghana
> two days back and he has PCR with him. He will confirm the disease if it is
> TILV.
>
> Please give your contact details
>
> With Regards
> Naga Murali
>
> Sent from my iPhone
>
> On 9 ఆగ, 2017, at 5:45 [PM], William Leschen via
> Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture@
> lists.stir.ac.uk> wrote:
>
>
>
>
>
> *From:* melavor farmconsult [mailto:melavorfarmconsult@gmail.com
> <melavorfarmconsult(a)gmail.com>]
> *Sent:* 04 August 2017 15:59
> *To:* William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
> *Subject:* Could this be a sign of tilapia lake virus?
>
>
>
> *Clinical signs on moribund farmed tilapia from Volta Lake Ghana… what do
> they tell one ? *
>
> Hi William
>
> Every month during sampling I see this sign on at least two fishes, I
> record mortality of 50pieces on average daily.
> There is no single day, were we don't record mortality on lake Volta
> around Akosombo.
>
> Kindly find attached photos
> Could it be Tilapia Lake Virus?
>
> Regards
> Melshior Avor
>
>
>
> From SARNISSA email forum
>
> Ed Please for all Following feel welcome to respond - send your thoughts
> opinions and if relevant your own experiences
>
>
>
>
>
> Salut Guillaume
> Chaque mois lors de l'échantillonnage, je vois ce signe sur au moins deux
> poissons, je note la mortalité de 50 pièces par jour.
> Il n'y a pas un seul jour, si nous ne enregistrons pas la mortalité sur le
> lac Volta autour d'Akosombo.
> Veuillez trouver ci-joint les photos
> Peut-il être Tilapia Lake Virus?
> Cordialement
> Melshior Avor
>
> Du forum email SARNISSA
>
>
> Ed S'il vous plaît pour tous les commentaires, répondez - envoyez vos
> opinions et, le cas échéant, vos propres expériences
>
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I- Introduction
Les tilapias, originaire d´Afrique et de la Jordanie, constituant des groupes d’espèces les plus importants dans la pisciculture à l´échelle mondiale. Ils ont une grande capacité d´adaptation aux conditions de température qui existent un peu partout dans le monde. Aujourd´hui, les tilapias sont élevés dans plus de 200 pays à travers le monde. Leur croissance rapide, leur fécondité élevée et leur résistance aux eaux de qualité pauvre, font d’eux des espèces de choix pour la pisciculture. En 2015, la production mondiale de tilapias issus de l'aquaculture et des captures s'élevait à 6,4 millions de tonnes et valait environ 9,8 milliards de dollars américains, tandis que le commerce mondial de tilapias représentait environ 1,8 milliard de dollars. Ce poisson est un pilier de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde entier (FAO, 2017).
Haïti compte près de 20 000 ha de plans d’eau naturels et artificiels et près de 800 ha de plans d’eau temporaires qui se remplissent à la saison des pluies. Les tilapias (Tilapia nilotica et aurea) sont présents dans tous ces plans d’eaux, ils sont bien adaptés pour la vulgarisation en pisciculture haïtienne. De nombreuses pathologies affectant les élevages aquacoles, ont été recensées en Haïti. La plupart d’entre elles présentent un intérêt majeur pour la production et sur le plan sanitaire, en raison soit des menaces de régression, voire extinction, qu’elles font peser sur la population piscicole, soit des risques liées à la consommation de poissons, soit en fin, de leur représentativité vis-à-vis de la qualité du milieu aquatique.
Un virus hautement contagieux se propage chez les tilapias sauvages et ceux d'élevage. Selon une alerte spéciale publiée par le Système mondial d'information et d'alerte rapide de la FAO, l'épidémie devra être appréhendée avec soin et les pays importateurs de tilapias devront prendre des mesures appropriées pour la gestion des risques tels que la multiplication des tests de diagnostics, le renforcement des certificats de santé, l'instauration de mesures de quarantaine et le développement de plans d'urgence.
Le virus de lac du tilapia (TiLV) a maintenant été confirmé dans cinq pays sur trois continents: la Colombie, l'Equateur, l'Egypte, Israël et la Thaïlande. L'agent pathogène ne pose pas de risques pour la santé publique, cependant, il peut néanmoins décimer les populations infectées. Lorsqu'il s'agira de commercialiser des tilapias, les pays producteurs devront être prudents et suivre le Code sanitaire pour les animaux aquatiques, établi par l'Organisation de la santé animale (OIE). Ils devront lancer un programme de surveillance efficace afin de déterminer la présence ou l'absence du TiLV, l'étendue géographique de l'infection et identifier les facteurs de risque qui pourraient le favoriser. Les pays sont également encouragés à lancer des campagnes d'information du public visant à conseiller les aquaculteurs (dont beaucoup sont des petits exploitants) sur les signes cliniques du TiLV, mais également sur les risques économiques et sociaux que pose ce virus et la nécessité aux pisciculteurs de reporter les cas de mortalité massive aux autorités compétentes. On ne sait pas encore si la maladie est transmise par le tilapia congelé. La FAO continuera de surveiller le TiLV, de travailler en collaboration avec les gouvernements et les partenaires de développement et de rechercher les ressources à même d'être exploitées afin d'aider les Etats membres de la FAO à faire face au TiLV, lorsqu'ils en feront la demande ou lorsque cela sera nécessaire.
II- Information sur l’agent pathogène
Virus du Tilapias Lacustre (TiLV)- Un nouveau Virus proche des orthomyxovirus, selon l’organisation Mondiale de la Santé Animale OIE). On en sait très peu sur le TiLV. Il est donc nécessaire de mener davantage de recherches pour déterminer si des espèces non tilapiennes et d'autres organismes, tels que les oiseaux et les mammifères piscivores, sont à l'origine du TiLV et s’il peut être transmis par le biais des tilapias congelés. La maladie a un taux de mortalité très variable, avec des épidémies provoquant jusqu'à 90 pour cent de décès dans les stocks de tilapias.
Les poissons infectés présentent souvent des signes de manque d'appétit, font des mouvements lents, ont des lésions cutanées et des ulcères, des anomalies oculaires et une opacité de l'œil. Le TiLV appartient à la famille des virus Orthomyxoviridae, qui s'apparente également à la famille du virus de l'Anémie infectieuse du saumon et qui fait des ravages dans l'industrie de l'élevage de saumons.
1- Agent causal
1.1. Type d’argent pathogène
Virus
1.2. Nom de la maladie et synonyme
Maladie virale du tilapia lacustre (TiLV)
1.3. Noms vernaculaire de l’argent pathogène et synonyme
Virus du tilapia lacustre
1.4. Affiliation taxonomique
Bien que son affiliation taxonomique n’ait pas été déterminée avec certitude, le TiLV a été décrit comme un nouveau virus appartenant à la famille des Orthomyxoviridae (Eyngor et al. 2014).
1.5. Autorité (première description scientifique, référence)
Le virus a été décrit pour la première fois par Eyngor et al. (2014).
1.6. Environnement de l’agent pathogène
Eau douce eau saumâtre et mer.
2. Mode de transmission
2.1. Modes de transmission (horizontale, verticale, indirecte)
Des études de cohabitation entre animaux sains et malades ont démontré que la transmission horizontale directe était un mode important de transmission. Il n’y a aucune preuve d’une transmission verticale. Les caractéristiques biophysiques du virus n’étant pas encore suffisamment connues, il est difficile de déterminer l’importance de la transmission indirecte par les matériels contaminés.
2.2. Réservoir
Les seuls réservoirs établis de l’infection sont les populations de poissons, qu’ils soient d’élevages ou sauvages. La source originelle du TiLV n’est pas connue.
2.3 Les facteurs de risque (température, salinité, etc.)
La maladie a été observée suite aux transferts d’animaux entre bassins et, par conséquent, pourrait être associée au stress (Ferguson et al., 2014 et Dong et al., 2017). Aucun autre facteur de risque potentiel (température, salinité, etc.) n’a pu être identifié.
3. Espèces hôtes
3.1. Espèces sensibles
Les mortalités attribuées au TiLV ont été observées chez le tilapia sauvage Sarotherodon (Tilapia) galilaeus, le tilapia d’élevage Oreochromis niloticus et l’hybride commercial de tilapia (issu du croisement Oreochromis niloticus X Oreochromis aureus) (Bacharach et al., 2016; Ferguson et al., 2014, Eyngor et al., 2014). À ce jour, seuls les tilapias se sont montrés sensibles à la maladie. Il est toutefois possible que d’autres espèces le soient également.
3.2. Stades de développement de l’hôte affectés par la maladie
Dans les foyers décrits par Ferguson et al. (2014) et Dong et al., 2017, la maladie a surtout été observée chez les alevins. Dong et al. ont rapporté une mortalité approximative de 90 % chez les alevins de tilapia rouges dans le mois ayant suivi le stockage en cages. Fathi et al. (2017) ont observé une mortalité légèrement supérieure à 9 % chez les tilapias du Nil de taille moyenne à grande (2017). Les autres publications sur la maladie ne comportent aucune description des différents niveaux de mortalité observés pour chacun des stades de développement des poissons (Eyngor et al., 2014).
3.3. Commentaires additionnels
Il y a des éléments indiquant que certaines souches de tilapia sont résistantes. Ferguson et al. (2014) ont noté qu’une souche de tilapia (sexe génétique des tilapias : mâle) avait subi des niveaux de mortalité significativement plus bas (10 - 20 % de mortalité) que ceux observés chez d’autres souches.
4. Distribution Géographique
La présence du TiLV a été signalée en Colombie, en Équateur, en Israël (Bacharach et al., 2016 ; Ferguson et al., 2014 ; Tsofack et al., 2016) et, plus récemment, en Égypte (Fathi et al., 2017) et en Thaïlande (Dong et al., 2017). Toutefois, en raison d’investigations peu poussées de l’ensemble des épisodes de mortalités, il est possible que la distribution géographique du TiLV soit plus large que celle estimée à l’heure actuelle. Par exemple, des épisodes de mortalités de tilapia signalés au Ghana et en Zambie en 2016 n’ont pas été attribués au virus mais les informations disponibles n’indiquent pas si la présence du virus a été recherchée. Un génome partiel originaire de Thaïlande a révélé une variation relativement élevée par rapport aux souches originaires d’Israël (97 % d’identité nucléotidique) (Dong et al., 2017).
5. Signes Clinique et Description de cas
5.1. Tissus et organes infectés chez l’hôte
Les yeux, le cerveau et le foie sont les principaux organes affectés par la maladie (Eyngor et al., 2014).
5.2. Observations et lésions macroscopiques
Les lésions macroscopiques incluent des modifications de l’œil, notamment l’opacité du cristallin et, dans les cas les plus avancés, la rupture capsulaire du cristallin. Parmi les autres lésions observées figurent des érosions cutanées, des hémorragies des leptoméninges et une congestion de la rate (Eyngor et al., 2014).
5.3. Lésions microscopiques et anomalies tissulaires
À l’examen histologique, des lésions ont été observées dans le cerveau, les yeux et le foie (Eyngor et al., 2014). Les lésions cérébrales incluaient de l’œdème, des hémorragies focales dans les leptoméninges, une congestion des vaisseaux capillaires présents dans la substance grise et la substance blanche ainsi qu’une dégénérescence neurale. Des foyers de gliose et une infiltration lymphocytaire en manchons périvasculaires ont été décrits. Les lésions oculaires incluaient une rupture capsulaire du cristallin et des modifications engendrées par la cataracte. Des foyers d’hépatomégalie ont été observés. Une hyperplasie splénique associée à une prolifération des lymphocytes a été identifiée. En outre, le nombre et la taille des centres mélanomacrophages (CMM) étaient augmentés dans le foie et la rate. La présence d’un virus proche des orthomyxovirus dans les hépatocytes anormaux a été confirmée par microscopie électronique à transmission, corroborant ainsi les descriptions d’hépatite syncytiale figurant dans les premiers signalements de la maladie (Del-Pozo et al., 2016).
5.4. Statut de la maladie au regard de la Liste de l’OIE
L’infection par le TiLV est en cours d’évaluation en vue de sa possible inclusion dans la liste des maladies de l’OIE. Toutefois, à ce jour, cette maladie ne satisfait pas à l’ensemble des critères d’inclusion dans la Liste de l’OIE figurant au chapitre 1.2. Du Code sanitaire pour les animaux aquatiques (OIE, édition 2016).
6. Méthodes de diagnostic
6.1. Définition d’un cas suspect
Des niveaux de mortalité élevés chez les espèces de tilapias, associés à la présence d’atteintes oculaires (opacité du cristallin ou tableau clinique plus sévère) doivent amener à suspecter un cas d’infection par le TiLV. La présence d’érosions cutanées, d’hémorragies des leptoméninges et d’une congestion splénique et rénale modérée peut être observée lors de l’examen post mortem.
6.2. Tests de présomption
Le TiLV peut être mis en culture sur une lignée cellulaire primaire de cerveau de tilapia ou sur une lignée cellulaire E-11 ; elle y induit un effet cytopathique en cinq à dix jours (Eyngor et al., 2014). Tsofack et al. (2016) décrivent les conditions optimales nécessaires à la culture du TiLV.
6.3. Tests de confirmation
Un ensemble d’amorces PCR a été conçu et une méthode de RT-PCR a été développée (Eyngor et al., 2014). Toutefois, ce test n’a pas encore été totalement validé. Une méthode de RT-PCR emboîtée, beaucoup plus sensible, a fait l’objet d’une publication et s’avère adaptée pour la détection du TiLV chez des cas cliniques (Tsofack et al., 2016). Plus récemment, une méthode de RT-PCR semi-emboîtée présentant une meilleure sensibilité de détection (7,5 copies du génome viral par réaction) par rapport à la méthode RT-PCR emboîtée a fait l’objet d’une publication (Dong et., 2017).
7. Méthodes de contrôle
La mise en place de restrictions des mouvements de tilapias vivants, provenant d’élevages ou des pêches, dans les aires où il est reconnu que le virus est présent, limitera la propagation de la maladie. Des mesures générales de sécurité biologique (par exemple, le nettoyage et la désinfection) afin de réduire la propagation de la maladie par les matériels contaminés, tels que l’équipement, les véhicules ou le personnel, doivent également être mises en œuvre. À ce jour, aucune méthode efficace pour limiter l’impact d’un foyer de la maladie dans une ferme aquacole n’a été publiée. Il a été suggéré que la sélection de poissons résistants ou la mise au point d’un vaccin pourrait offrir de nouvelles perspectives à long terme pour la gestion de la maladie (Ferguson et al., 2014). Un programme de reproduction devrait permettre de sélectionner et tester un large nombre de souches de tilapia, pour ne conserver que les plus résistants à la maladie.
8. Risque de transmission
Comme le TiLV a été transmis de façon horizontale lors d’études de cohabitation, il est probable que la transmission de la maladie se produise lors des mouvements d’animaux aquatiques vivants. Les informations sur les propriétés biophysiques du TiLV et sur les risques que présentent les produits issus d’animaux aquatiques sont limités. Cependant, il peut être supposé que le TiLV possède les caractéristiques des autres orthomyxovirus aquatiques, tel que le virus de l’anémie infectieuse du saumon. Les données actuelles suggèrent que les yeux, le cerveau et le foie sont les organes contenant probablement les concentrations les plus élevées en TiLV. Par conséquent, il est probable que les déchets animaux solides et liquides soient contaminés. Toutefois, il n’est pas exclu que l’agent pathogène puisse également être détecté dans la musculature des poissons infectés.
III- Conclusion
Il est à noter que l’existence de l’agent pathogène TiLV chez le poisson tilapia ne représente pas un danger pour la santé publique. Cependant, le Virus du tilapia lacustre (TiLV) représente une grâve menace pour la population de tilapias avec des conséquences sur la sécurité alimentaire dans le monde. D’où l’intérêt pour les autorités compétentes de tous pays de mettre en place un réseau d’épidémiosurveillance consistant à mettre en œuvre, d’une part, tous les moyens pour assurer une surveillance rigoureuse et permanente en suivant leur évolution spatiotemporelle et, d’autre part, toutes les mesures et actions destinées à garantir la qualité sanitaire des produits aquacoles.
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En date de : Mer 9.8.17, William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk> a écrit :
Objet: [{WARNING: Msg Size >4 Meg; *NOT* spamchecked}
À: "sarnissa-african-aquaculture Mailing List" <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>, "sarnissa-french-aquaculture Mailing List" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Date: Mercredi 9 août 2017, 9h45
From: melavor farmconsult
[mailto:melavorfarmconsult@gmail.com]
Sent: 04 August 2017 15:59
To: William Leschen
<william.leschen(a)stir.ac.uk>
Subject: Could this be a sign of tilapia lake
virus?
Clinical signs on
moribund farmed tilapia from Volta Lake Ghana… what do
they tell one ?
Hi William
Every month during sampling I see this sign on at least
two fishes, I record mortality of 50pieces on average
daily.
There is no single day, were we don't record mortality
on lake Volta around Akosombo.
Kindly find attached photos
Could it be Tilapia Lake Virus?
Regards
Melshior Avor
From
SARNISSA email forum
Ed
Please for all Following feel welcome to respond - send your
thoughts opinions and if relevant your own
experiences
Salut Guillaume
Chaque mois lors de l'échantillonnage, je vois ce signe
sur au moins deux poissons, je note la mortalité de 50
pièces par jour.
Il n'y a pas un seul jour, si nous ne enregistrons pas
la mortalité sur le lac Volta autour d'Akosombo.
Veuillez trouver ci-joint les photos
Peut-il être Tilapia Lake Virus?
Cordialement
Melshior Avor
Du forum email SARNISSA
Ed S'il vous plaît pour tous les commentaires,
répondez - envoyez vos opinions et, le cas échéant, vos
propres expériences
_______________________________________________
Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
-----La pièce jointe associée suit-----
From: melavor farmconsult [mailto:melavorfarmconsult@gmail.com]
Sent: 04 August 2017 15:59
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
Subject: Could this be a sign of tilapia lake virus?
Clinical signs on moribund farmed tilapia from Volta Lake Ghana… what do they tell one ?
Hi William
Every month during sampling I see this sign on at least two fishes, I record mortality of 50pieces on average daily.
There is no single day, were we don't record mortality on lake Volta around Akosombo.
Kindly find attached photos
Could it be Tilapia Lake Virus?
Regards
Melshior Avor
From SARNISSA email forum
Ed Please for all Following feel welcome to respond - send your thoughts opinions and if relevant your own experiences
Salut Guillaume
Chaque mois lors de l'échantillonnage, je vois ce signe sur au moins deux poissons, je note la mortalité de 50 pièces par jour.
Il n'y a pas un seul jour, si nous ne enregistrons pas la mortalité sur le lac Volta autour d'Akosombo.
Veuillez trouver ci-joint les photos
Peut-il être Tilapia Lake Virus?
Cordialement
Melshior Avor
Du forum email SARNISSA
Ed S'il vous plaît pour tous les commentaires, répondez - envoyez vos opinions et, le cas échéant, vos propres expériences
-----Original Message-----
From: Mercidieu Charles [mailto:mercidieu.charles@yahoo.fr]
Sent: 09 August 2017 15:05
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>; William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>
Subject: Re : FW: NACA Email Newsletter, August 2017
Bonjour toute l'equipe de Sarnissa,
Je tiens à vous remercier pour toutes ces informations.
J'ai apris beaucoup de vos publications.
Mes salutations distinguees
Cordialement
Charles Mercidieu, Ing.-Agr., Msc.
Expert en pathologie des animaux aquatiques et en inspection sanitaire des produits de la peche et de l'aquaculture
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En date de : Mar 8.8.17, William Leschen via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk> a écrit :
Objet: FW: NACA Email Newsletter, August 2017
À: "sarnissa-african-aquaculture Mailing List" <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Date: Mardi 8 août 2017, 0h04
Hello all the Sarnissa Team
I want to thank you for all this information.
I have learned from many of your publications.
Yours sincerely
cordially
Charles Mercidieu, Ing.-Agr., Msc.
Expert in aquatic animal pathology and in sanitary inspection of fishery products and aquaculture
From: Network of Aquaculture Centres in Asia-Pacific [mailto:info@enaca.org]
Sent: 08 August 2017 07:53
To: William Leschen
<william.leschen(a)stir.ac.uk>
Subject: NACA Email Newsletter, August
2017
Network of
Aquaculture Centres in Asia-Pacific
Email Newsletter, August
2017
Podcasts: Responsible
production and use of feed and feed
ingredients
Audio recordings
from the FAO/NACA/DOF
Regional Consultation on Reponsible Production and Use of Feed and Feed Ingredients for Sustainable Growth of Aquaculture in Asia-Pacific are available for download or streaming.
The consultation
reviewed the current situation of aquaculture feed production and use, sourcing of ingredients, policy and research needs. This collection contains audio recordings
of the technical presentations made by invited experts.
Presentations include:
Overview of aquaculture feed production and use in the Asia-Pacific region.
Development and use of alternatives to
fishmeal and other high cost feed ingredients in aquaculture.
Promotion of cost-effective aquaculture feed made of locally available feed ingredients.
Traceability of aquaculture products in relation to feed and feed ingredients.
Innovation in aquaculture farming and
feeding practices for reduced feed costs and environmental impacts
at farm level.
Certification of fishmeal and fish oil
in aquaculture feed production and
utilisation.
>>> View full
collection
First Regional Training
Course on Culture-based Fisheries
Opportunities to
produce food and income from the natural productivity of local ecosystems are often overlooked. Culture-based fisheries are one example of a relatively
simple and low cost technology which can deliver nutritional and economic benefits to communities which often have few livelihood options.
The first Regional
Training Course on Culture-based Fisheries will be held from
29 October to 9 November 2017 in Nha Trang, Vietnam. The course is aimed at development
professionals and extension officers working in fisheries and aquaculture or with agricultural communities.
>>> Register
now!
News and
downloads
Job opportunity - Research Program
Manager (Fisheries), ACIAR
Job opportunity - Gender and Social
Development Specialist
Quarterly Aquatic Animal Disease Report, January-March 2017 Tilapia lake virus (TiLV): Literature review Fact sheet: Tilapia lake virus (TiLV):
What to know and do?
Urgent update on possible worldwide
spread of tilapia lake virus
Tilapia lake virus - a novel
Orthomyxo-like virus
Disease advisory: Tilapia lake virus -
an emerging threat to farmed tilapia in the Asia-Pacific region A warning and an improved PCR detection method for tilapia lake virus disease in Thai tilapia farms Reducing health risks from anti-microbial resistance in aquaculture
Aquaculture Asia
Magazine
Editorial: Tilapia lake virus
(TiLV)
Inspiring story of aquaculture in
Sikkim: A journey from conservation to
farming
Farming of scampi and tiger shrimp
together: A case study from West Bengal, India Labeo pangusia: A potential candidate species for diversification of hill aquaculture Sustainability of an integrated livestock-fish-crop farming system as a small scale enterprise Sustainable coastal aquaculture in India Potential scope and prospects of domestic fish market in Kawardha District, Chhattisgarh, India
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De : ROCCA Marcello
Envoyé : mercredi 26 juillet 2017 17:49
English below
La construction des grands barrages en Afrique de l’Ouest soumise à une nouvelle directive
La 78ème session ordinaire du Conseil des Ministres de la CEDEAO qui s’est tenue à Monrovia (Libéria) les 1er et 2 juin 2017 a adopté une directive relative au développement d’infrastructures hydrauliques en Afrique de l’Ouest. Cette nouvelle directive entre donc en vigueur à partir de ce jour sur l’ensemble du territoire des pays de la CEDEAO.
[cid:image001.jpg@01D30663.C2E590B0]L’adoption de la directive par la CEDEAO est une étape importante pour la construction de meilleurs barrages. Les États devront la transposer dans leurs législations, en principe dans un délai de trois ans. Cette adoption est le résultat d’un dialogue régional sur les grandes infrastructures hydrauliques initié par la CEDEAO en 2009, qui a vu une forte mobilisation de la société civile.
« La directive régionale encadre la conception et la construction des barrages, son objectif est de faire en sorte que les considérations d'ordre écologique, économique et social soient davantage prises en compte dans la mise en œuvre de projets transfrontaliers d'infrastructures hydrauliques en Afrique de l'Ouest afin de garantir leur viabilité et assurer le développent durable de notre région. » Ibrahim B. Wilson, Directeur du Centre de Coordination des Ressources en Eau de la CEDEAO.
La mise en application de cette directive de la CEDEAO devra permettre d’obtenir ces changements à travers des mesures concrètes, visant notamment la recherche d’options alternatives aux projets qui conduiraient aux mêmes objectifs économiques tout en réduisant les impacts sociaux et environnementaux. Elle soutient aussi la généralisation de l’évaluation environnementale stratégique sectorielle (hydroélectricité, énergie, irrigation, etc.) ou régionale (au niveau d’un bassin). Elle demande clairement des cadres juridiques et procéduraux plus robustes pour garantir le partage des bénéfices (terres agricoles, électricité, eau potable, pâturages, zones de pêche, etc.) avec la protection des droits des populations affectées. Enfin, elle prône une plus grande transparence et une meilleure information pour renforcer la concertation et la collaboration entre les parties prenantes, et en particulier la participation effective des populations affectées aux prises de décision en toute connaissance de cause.
« Pour garantir une bonne application de la directive, un effort de veille et de contrôle doit être assuré. Pour ce faire, la coopération entre les différentes parties prenantes est essentielle. Le rôle de la société civile est déterminant. Le Centre de coordination des ressources en eau de la CEDEAO devra être le garant de la poursuite de ce processus de dialogue qui demandera l’établissement de partenariats multi acteurs durables. » Jamie Skinner, Directeur de la Global Water Initiative.
Environ 150 grands barrages sont construits à ce jour en Afrique de l’Ouest et 40 supplémentaires sont en projet ou en cours de réalisation, principalement dans les bassins des fleuves Niger, Sénégal, Volta et Gambie. Les évaluations économiques existantes montrent que les résultats sont mitigés. Les rendements économiques (quand les évaluations existent) sont généralement bons pour l’énergie, mais faibles pour l’agriculture, à cause d’hypothèses de faisabilité trop optimistes dès le départ. Les effets néfastes importants et sur le long terme de ces ouvrages sur l’environnement et les sociétés locales interpellent.
« L’adoption de cette directive est le fruit d’un processus long et participatif soutenu par l’UICN dès le début car, si d’une part il est préférable d’investir dans les infrastructures naturelles et les services écosystémiques qui en découlent, d’autre part il est absolument nécessaire d’améliorer les standards des grandes infrastructures hydrauliques pour en limiter les impacts sociaux et environnementaux négatifs.» Pr Aimé J. Nianogo, Directeur régional de l’Union internationale pour la conservation de la nature.
La réalisation des trois ouvrages structurants sur le fleuve Niger (Fomi en Guinée, Kandadji au Niger, Taoussa au Mali) déplacera près de 150.000 personnes. Les bouleversements sociaux qui en découlent devront être encadrés par des outils juridiques et un accompagnement social solides qui garantissent que les droits des communautés locales sur leurs terres et les ressources naturelles associées sont compensés de manière juste. Les gouvernements, ainsi que les investisseurs privés, qui ne respectent pas ces droits, courent le risque d’accroitre la pauvreté et de provoquer des conflits liés à la gestion de l’eau et des ressources connexes. Et ces risques ne restent pas limités au niveau local. La plupart de ces ouvrages hydrauliques ont en effet un caractère transfrontalier avec des implications sur l’ensemble des territoires des bassins hydrographiques et sur les pays concernés.
Pour plus d’informations
· Le Rapport Final de la 78ème Session du Conseil des Ministres de la CEDEAO portant adoption de la directive sur les infrastructures hydrauliques<https://www.iucn.org/sites/dev/files/content/documents/2017/rapport_final_7…> (référence : Point 19, 94.C, page 23)
· Les lignes directrices pour le développement d’infrastructures hydrauliques en Afrique de l’Ouest<https://cmsdata.iucn.org/downloads/ccre_cedeao_lignes_directrices_barrages_…>
· Partager l’eau et ses bénéfices : les leçons de six grands barrages en Afrique de l’Ouest<https://www.gwiwestafrica.org/fr/partager-leau-et-ses-benefices-les-lecons-…>
· Améliorer les conditions de vie des populations affectées par la réalisation des barrages : les acteurs ouest africains proposent des réponses<https://www.gwiwestafrica.org/fr/ameliorer-les-conditions-de-vie-des-popula…>
· Barrages en Guinée : des propositions pour réussir le développement local<https://www.gwiwestafrica.org/fr/barrages-en-guinee-des-propositions-pour-r…>
· Niger: un fonds local pour partager les bénéfices du barrage de Kandadji<https://www.gwiwestafrica.org/fr/niger-un-fonds-local-pour-partager-les-ben…>
· Dialogue régional sur les grandes infrastructures hydrauliques en Afrique de l’Ouest : La concertation en actes de 2009 à 2011<http://cmsdata.iucn.org/downloads/version_francaise_1.pdf>
Contacts
Mahamane Dédéou TOURÉ, Chargé de Programmes Régionaux, CCRE/CEDEAO : mdtoure(a)yahoo.fr<mailto:mdtoure@yahoo.fr>
Jérôme KOUNDOUNO, Coordinateur régional, Global Water Initiative (GWI), UICN : jerome.koundouno(a)iucn.org<mailto:jerome.koundouno@iucn.org>
________________________________
New Directive announced on the construction of large dams in West Africa
The 78th ordinary session of the ECOWAS Council of Ministers, held in Monrovia, Liberia, on 1 and 2 June 2017, adopted the Directive on hydraulic infrastructure development in West Africa. This new Directive therefore enters into force immediately throughout the territory of the ECOWAS countries.
[cid:image002.jpg@01D30663.C2E590B0]The adoption of the directive by ECOWAS is an important step for the construction of better dams. States will have to transpose it into their legislation, in principle within three years. This adoption is the result of a regional dialogue on major water infrastructures initiated by ECOWAS in 2009, which saw a strong mobilization of civil society.
”The regional directive for the design and construction of dams aims to ensure that ecological, economic and social considerations are taken more into account in the implementation of cross-border water infrastructure projects in West Africa to guarantee their sustainability and ensure the sustainable development of our region.”! Ibrahim B. Wilson, Director of the ECOWAS Water Resources Coordination Center.
The implementation of this ECOWAS Directive will have to achieve these changes through concrete measures, including seeking alternatives to projects that can achieve the same economic objectives while reducing social and environmental impacts. The Directive supports the implementation of regional (basin level) or sectoral (e.g. hydroelectricity, energy, irrigation) strategic environmental assessments. It calls for stronger legal and procedural frameworks to ensure the sharing of benefits (such as agricultural land, electricity, drinking water, pastures, fishing grounds) and the protection of rights for affected populations. Finally, it advocates greater transparency and information to strengthen consultation and collaboration among stakeholders, including the effective participation of affected populations in informed decision-making.
”For implementation of the Directive to be a success, monitoring and control must be ensured. To achieve this, cooperation between the various stakeholders is essential. The role of civil society will be decisive. The ECOWAS Water Resources Coordination Center should be the guarantor of the continuation of this dialogue process which will call for the establishment of sustainable multi-stakeholder partnerships.” Jamie Skinner, Director of the Global Water Initiative.
About 150 dams have been constructed to date in West Africa and an additional 40 dams are being planned or are in progress, mainly in the river basins of Niger, Senegal, the Volta and Gambia. Existing economic assessments show mixed results. Economic returns (where assessments exist) are generally good for energy but low for agriculture because of overly optimistic feasibility assumptions from the outset. The significant and long-term negative effects of these structures on the environment and local societies are of concern.
“The adoption of this directive is the result of a long and participatory process supported by IUCN. Although it is preferable to invest in natural infrastructure and the resulting ecosystem services from the beginning, at the same time it is absolutely necessary to improve the standards of existing major hydraulic infrastructures to limit their negative social and environmental impacts.” Pr Aimé J. Nianogo, Regional Director of the International Union for the Conservation of Nature.
The construction of three structures on the Niger River (Fomi in Guinea, Kandadji in Niger, Taoussa in Mali) will displace nearly 150,000 people. The resulting social disruption will have to be framed by strong legal tools and social support that ensure the rights of local communities on their land and the associated natural resources are fairly compensated. Governments, as well as private investors who do not respect these rights, run the risk of increasing poverty and causing conflicts related to the management of water and linked resources. And these risks are not limited to the local level. Most of these hydraulic structures have cross-border implications for the territories of all of the river basins and countries concerned.
For more Information
· Final Report of the 78th Session of the ECOWAS Council of Ministers adopting the Water Infrastructure Directive<https://www.iucn.org/sites/dev/files/content/documents/2017/rapport_final_7…> (Point 19, paragraph 94C, page 23) [document in French]
· Guidelines for the Development of Water Infrastructure in West Africa<https://cmsdata.iucn.org/downloads/wrcc_ecowas_dams.pdf>
· Sharing the water, sharing the benefits: Lessons from six large dams in West Africa<https://www.gwiwestafrica.org/en/sharing-water-sharing-benefits-lessons-six…>
· Improving the living conditions of communities affected by dam projects: proposals from West African stakeholders<https://www.gwiwestafrica.org/en/improving-living-conditions-communities-af…>
· Dams in Guinea: proposals for achieving local development<https://www.gwiwestafrica.org/en/dams-guinea-proposals-achieving-local-deve…>
· Niger: a local fund to share the benefits of the Kandadji dam<https://www.gwiwestafrica.org/en/niger-local-fund-share-benefits-kandadji-d…>
· Regional dialogue on large water infrastructures in West Africa: Building multi-stakeholder participation from 2009 to 2011<http://cmsdata.iucn.org/downloads/version_anglaise.pdf>
Contacts
Mahamane Dédéou TOURÉ, Regional programmes officer, WRCC/ECOWAS : mdtoure(a)yahoo.fr<mailto:mdtoure@yahoo.fr>
Jérôme KOUNDOUNO, Regional Coordinator, Global Water Initiative (GWI), IUCN : jerome.koundouno(a)iucn.org<mailto:jerome.koundouno@iucn.org>
Marcello ROCCA
Communication advisor
Global Water Initiative (GWI) – West Africa
IUCN (International union for conservation of nature)
Dakar, Sénégal
Tel. +221 33 869 02 85
Mob. +221 77 790 70 27
www.gwiwestafrica.org<http://www.gwiwestafrica.org/>
www.iucn.org/prezoh<http://www.iucn.org/prezoh>
[cid:image009.jpg@01D30538.BDECB330]<http://www.iucn.org/> [https://www.gwiwestafrica.org/sites/default/files/logosm.jpg] [Global Water Initiative - Afrique de l'Ouest]
________________________________
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_______________________________________________
Dialoguebarrages mailing list
Dialoguebarrages(a)lists.dialoguebarrages.net
http://lists.dialoguebarrages.net/listinfo/dialoguebarrages
De : ROCCA Marcello
Envoyé : vendredi 21 juillet 2017 17:41
English below
Chers collègues,
Nous avons le plaisir de partager avec vous une vidéo intitulée Négocier des accords justes autour de la construction des grands barrages<https://www.gwiwestafrica.org/fr/negocier-des-accords-justes-autour-de-la-c…>. Elle est la dernière d'une série de trois productions de GWI Afrique de l'Ouest pour la réalisation de barrages qui tiennent compte davantage des considérations d'ordre écologique, économique et social.
[cid:image008.png@01D3024C.47084250]<https://www.gwiwestafrica.org/fr/negocier-des-accords-justes-autour-de-la-c…>Cette courte animation explique comment des accords peuvent être établis entre les pouvoirs publics et les communautés affectées pour veiller à ce que les grands barrages apportent des bénéfices à tous.
« Cette animation donne un aperçu rapide et simple de la façon dont les accords peuvent être négociés et établis pour faire en sorte que la construction de grands barrages soit aussi un moteur de développement durable pour les communautés dont ils bouleversent la vie », explique Jérôme Koundouno, coordonnateur régional du programme GWI Afrique de l'Ouest à l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
« Ces contrats - qu'il s'agisse de documents juridiques ou d'accords mutuels - sont prévus par la directive CEDEAO relative au développement d' infrastructures hydrauliques. Ils permettent d'une part de faire jouer un rôle actif aux communautés affectées et de respecter le principe de consentement libre, préalable et éclairé, et d'autre part ils encouragent les pouvoirs publics à respecter leurs engagements vis-à-vis des populations quant à leur part de bénéfices apportés par le barrage. »
La vidéo est accessible en streaming ou en téléchargement, et disponible en anglais et en français avec des sous-titres.
Cordialement,
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Dear colleagues,
We are pleased to share with you an animation entitled Negotiating fair agreements around large dam building<https://www.gwiwestafrica.org/en/negotiating-fair-agreements-around-large-d…>. It is the last in a series of three produced by GWI West Africa about dam building that takes better account of ecological, economic and social dimensions.
[cid:image009.png@01D3024C.47084250]<https://www.gwiwestafrica.org/en/negotiating-fair-agreements-around-large-d…>This short video explains how agreements between government and affected communities can be put in place to ensure large dams bring benefits to all.
"This animation gives a quick and simple overview of how agreements can be negotiated and set up to ensure that large dam building also provides opportunities for sustainable development in communities whose lives are disrupted," said Jérôme Koundouno, Regional Coordinator of GWI West Africa at the International Union for the Conservation of Nature (IUCN).
"These deals - whether legal documents or memoranda of understanding - are covered by the ECOWAS Directive on Large Water Infrastructure. They enable affected communities to play an active role; they ensure that the principle of free, prior and informed consent is enforced; and they encourage public authorities to meet their commitments to the populations to share benefits provided by the dam."
This video can be streamed or downloaded, and is available in English and in French with subtitles.
With best wishes,
Marcello ROCCA
Communication advisor
Global Water Initiative (GWI) - West Africa
IUCN (International union for conservation of nature)
Dakar, Sénégal
Tel. +221 33 869 02 85
Mob. +221 77 790 70 27
www.gwiwestafrica.org<http://www.gwiwestafrica.org/>
www.iucn.org/prezoh<http://www.iucn.org/prezoh>
[cid:image004.jpg@01D30248.7D23DEC0]<http://www.iucn.org/> [https://www.gwiwestafrica.org/sites/default/files/logosm.jpg] [Global Water Initiative - Afrique de l'Ouest]
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This communication, together with any attachment, may contain confidential information and/or copyright material and is intended only for the person(s) to whom it is addressed. If you are not the intended recipient of this communication, or if you received it in error, you are asked to kindly delete it and promptly notify us. Any review, copying, use, disclosure or distribution of any part of this communication, unless duly authorized by or on behalf of IUCN, is strictly forbidden.
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Bonjour à tous,
Je vous envoie le lien youtube de la conférence que j'ai faite pour
l'UMR "Marbec" le mois dernier, sur nos travaux au sujet du circuit
fermé en eau verte, et en particulier sur le tilapia lagunaire euryhalin
et détritivore, /Sarotherodon melanotheron/. Je vous envoie aussi en
attaché la présentation en .ppt qui va avec.
Cordialement,
Sylvain Gilles
https://youtu.be/U8ACuceBEcU
---------- Message transféré ----------
De : Niokhor Ndour <niokhorndour(a)gmail.com>
Date : 14 juillet 2017 à 11:13
Objet : 2eme conférence Internationale de Eau - Afrique
À : ckanangire(a)amcow-online.org, ckanangire(a)gmail.com, Mahamane TOURE <
mdtoure(a)yahoo.fr>, Wilson Ibrahim <ibrwilson(a)yahoo.com>, "OSSETE, JEAN
MICHEL" <J.ossete(a)afdb.org>, Désiré NDEMAZAGOA BACKOTTA <
dndemazagoa(a)ceeac-eccas.org>, Fred Mwango <fred.mwango(a)igad.int>,
Abdelkader Dodo <abdelkader.dodo(a)oss.org.tn>, Dam Mogbante <
dam.mogbante(a)gwpao.org>, Kelly Ann Naylor <kanaylor(a)unicef.org>, "Houanye,
Armand (GWP-SA)" <a.houanye(a)cgiar.org>, Armand Kocou Houanye <
armand.houanye(a)gmail.com>, Sangbana Komlan <sangbana.komlan(a)gmail.com>,
Abdoulaye SENE <seneabdou(a)hotmail.com>, Ababcar NDAO <a_ndao(a)yahoo.com>,
"Antoine D.Thiaw" <adtshift(a)yahoo.fr>, Tamsir NDIAYE <
ndiayetamsir2002(a)yahoo.fr>, Dame NDIAYE <damendiaye(a)gmail.com>, "Y. Kamara"
<youssouk(a)yahoo.com>, Mamadou DIA <m.dia(a)eranove.com>, Bai-Mass Taal <
baimass1(a)yahoo.com>, Professeur A Kane <alioune.kane(a)ucad.edu.sn>, Diop
Salif <esalifdiop(a)gmail.com>, Daffe Mamadou <mamadou.daffe(a)idev-ic.sn>,
Eléonore Belemlilga <eleobf(a)gmail.com>, Bruno Legendre <
performances(a)gmail.com>, Kouassi KOUAME <kouassi.kouame(a)2ie-edu.org>,
RACHID TAIBI <taibirachid52(a)yahoo.fr>, secretariat.abn(a)gmail.com, KOUNDOUNO
Jérôme <Jerome.KOUNDOUNO(a)iucn.org>
Bonjour chers tous,
Une connaissance impliquée dans l'organisation de cette conférence m'a
sollicité pour faire passer ce message pour large diffusion à quelques
acteurs africains évoluant dans le domaine de l'eau, voir ci-joint
l'invitation.
Merci et meilleures salutations
Niokhor NDOUR
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De : ROCCA Marcello
Envoyé : mardi 11 juillet 2017 08:41
English below
Chers collègues,
[cid:image002.png@01D2FA3E.C3958C80]<https://www.gwiwestafrica.org/fr/utiliser-des-fonds-controles-au-niveau-loc…>Nous avons le plaisir de partager avec vous une nouvelle vidéo animée produite par GWI Afrique de l'Ouest, intitulée Partager les revenus des grands barrages pour soutenir le développement local<https://www.gwiwestafrica.org/fr/utiliser-des-fonds-controles-au-niveau-loc…>.
Cette courte animation explique comment les fonds locaux de développement peuvent fournir un financement à long terme aux communautés qui perdent leurs moyens d'existence lorsque la construction de barrages les oblige à quitter leurs terres. Ces fonds consistent à canaliser une partie des revenus monétaires d'un barrage au profit du développement des zones affectées.
« Le principal objectif de la construction d'un grand barrage consiste à apporter des bénéfices à une échelle nationale. Mais les communautés locales, qui ont été déplacées par le barrage, se retrouvent souvent sans moyens ni droits suffisants pour reconstruire leurs vies », constate Jamie Skinner, directeur de GWI Afrique de l'Ouest. « Nous avons réalisé cette brève animation pour informer les décideurs et les autres parties prenantes du potentiel d'un fonds local de développement pour permettre aux communautés affectées de profiter directement des avantages du barrage. »
La vidéo est accessible en streaming ou en téléchargement, et disponible en anglais et en français avec des sous-titres.
Cordialement,
________________________________
Dear colleagues,
[cid:image004.png@01D2FA3E.C3958C80]<https://www.gwiwestafrica.org/en/using-locally-controlled-funds-support-dev…> We are pleased to share with you a new animation produced by GWI West Africa entitled Sharing the revenue from large dams to support local development<https://www.gwiwestafrica.org/en/using-locally-controlled-funds-support-dev…>.
This short video explains how local development funds can provide long-term financing to communities who lose their livelihoods when the construction of dams forces them from their land. These funds work by channelling a portion of a dam's revenue stream towards the development of affected areas.
"The main goal of large dam building is to bring benefits on a national scale. But local communities, who have been displaced by the dam, are often left without sufficient means and rights to rebuild their lives," said Jamie Skinner, director of GWI West Africa. "We've created this short animation to inform decision makers and other stakeholders about the potential of local development funds to allow affected communities to take direct advantage of the dam's benefit."
This video can be streamed or downloaded, and is available in English and in French with subtitles.
With best wishes,
Marcello ROCCA
Communication advisor
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www.gwiwestafrica.org<http://www.gwiwestafrica.org/>
www.iucn.org/prezoh<http://www.iucn.org/prezoh>
[cid:image010.jpg@01D2F99D.C9C35890]<http://www.iucn.org/> [https://www.gwiwestafrica.org/sites/default/files/logosm.jpg] [Global Water Initiative - Afrique de l'Ouest]
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Ci-dessous extrait dune revue de presse du Burkina Faso qui pourra
intéresser les membres du réseau. Bien cordialement
Crainte de conflits communautaires dans la région de Bagré
Selon Burkina24, dimportants problèmes fonciers auraient lieu dans la
région de Bagré (Centre-Est). Il existe plusieurs causes à laugmentation
de la tension dans cette zone. Tout dabord, la forte pression
démographique pèse sur les familles paysannes, de plus le manque de
matériel et dengrais limite la production. Mais il sagit surtout de
problèmes fonciers, en labsence de documents administratifs, il est
difficile détablir définitivement qui est propriétaire des parcelles. Or
on assiste depuis peu à un retour de certaines populations sur leurs
terres dorigine, elles entrent alors en conflit avec les propriétaires
récents. (Burkina24,
http://burkina24.com/2017/06/27/bagrepole-une-poudriere-nommee-possession-
des-terres/)
Serge Marlet
CIRAD, UMR G-EAU
<http://agents.cirad.fr/index.php/Serge+MARLET> Pages personnelles
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De : ROCCA Marcello
Envoyé : jeudi 22 juin 2017 15:10
Le guide pour la sécurisation foncière sur les aménagements hydro-agricoles au Niger validé et prêt à l’emploi
Konni, Samedi 17 juin 2017 - Les acteurs de l’irrigation et du foncier rural au Niger, réunis les 16 et 17 juin à Konni, ont validé le guide qui permettra de conduire les opérations de sécurisation foncière sur l’ensemble des périmètres irrigués du territoire national. Le guide a été réalisé par l’office national des Aménagements hydro-agricoles (ONAHA) en collaboration avec la Global Water Initiative (GWI) sur la base d’une activité pilote menée à Namardé Goungou.
[cid:image003.jpg@01D2EB6C.C1752180]Les 16 et 17 juin 2017 a eu lieu à Konni au Niger, sous la présidence du représentant du Ministre de l’Agriculture et de l’élevage, l’atelier de présentation et de validation du guide de sécurisation foncière sur les aménagements hydro agricoles au Niger – à partir de l’expérience pilote de Namardé Goungou. Il a vu la participation d’environ quatre-vingt représentants des acteurs nationaux concernés par la question foncière sur les périmètres irrigués : l’État et les collectivités territoriales, les services techniques, les autorités coutumières, les producteurs et coopératives, les organisations de la société civile, les partenaires techniques et financiers.
« L’agriculture irriguée est une des options que le Niger a adoptée pour accroître les productions et lutter contre l’insécurité alimentaire. À travers la Stratégie de l’Initiative 3N (Les Nigériens Nourrissent les Nigériens) qui constitue la référence pour les interventions en matière de développement agricole et de sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’État nigérien s’est donné comme ambition d’accroître la contribution de l’irrigation et de la collecte des eaux de ruissellement à la production agricole nationale en portant les superficies sous irrigation de 85 000 à 125 000 hectares. » M. Boubacar Goubé Illiassou, Secrétaire général adjoint, représentant du Ministre de l’Agriculture et de l’Elevage
La sécurisation des terres irriguées constitue un point essentiel pour la réussite des objectifs de l’État du Niger et en même temps pour la sécurisation des exploitations familiales. Le guide validé sera donc un outil précieux pour l’ONAHA qui conduira des opérations de sécurisation pour l’ensemble des AHA sur le territoire national.
« Sur les AHA réalisés par l’État, aucun document juridique constatant d’une part la propriété de l’État via leur immatriculation, et d’autre part les arrangements passés entre l’État et les attributaires, n’a été délivré, malgré les dispositions prévues par la loi, à l’exception du périmètre de Saga. Cette situation met en danger la durabilité des aménagements car leur légitimité peut être remise en question par les anciens détenteurs des droits fonciers et en conséquence rend précaire le futur des exploitants. » M. Aliou Kouré, Directeur général de l’office national des Aménagements hydro-agricoles
Le guide, élaboré par une équipe d’experts nationaux avec l’appui du Groupe de recherche et d'échanges technologiques (GRET), vise à faciliter la mise en œuvre sur le terrain et la généralisation des opérations de sécurisation foncière sur les AHA existants au Niger. Il a aussi vocation à appuyer la réflexion pour la sécurisation foncière des futurs périmètres irrigués et de leurs exploitants.
[cid:image005.jpg@01D2EB6C.C1752180]« La Global Water Initiative a soutenu l’ONAHA entre avril 2015 et juin 2017 dans une opération pilote de sécurisation foncière à Namardé Goungou qui a permis de délivrer un titre foncier couvrant les 362 ha de l’AHA et bientôt de signer des contrats sécurisants avec ses 800 exploitants environ. Le guide est le résultat de cette expérience participative et sa validation constitue un pas important pour son appropriation et son utilisation au niveau national. » Jamie Skinner, Directeur de la Global Water Initiative (GWI).
Organisé par l’ONAHA en partenariat avec le Haut-Commissariat à l’aménagement de la vallée du Niger (HCAVN) et la Global Water Initiative (GWI), mise en œuvre par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et l’Institut International pour l’Environnement et le Développement (IIED), l’atelier a été possible à travers le cofinancement de la Fondation Howard G. Buffett et de l’Agence Française de Développement (AFD).
Pour plus d’informations : kiari.zeibada(a)iucn.org<kiari.zeinbada(a)iucn.org>, marcello.rocca(a)iucn.org
Liens utiles :
· Communiqué final de l’atelier<https://www.iucn.org/sites/dev/files/content/documents/2017/communique_fina…>
· Le site web de la Global Water Initiative <https://www.gwiwestafrica.org/fr/securiser-les-droits-fonciers-des-populati…>
· Les activités de GWI au Niger<https://www.gwiwestafrica.org/fr/pays/niger>
· La vidéo d’animation « Sécuriser les droits fonciers des populations affectées par les barrages en Afrique de l'Ouest »<https://www.gwiwestafrica.org/fr/securiser-les-droits-fonciers-des-populati…>
· L’étude « Définition des mesures de sécurisation foncière des périmètres irrigués au Niger »<https://www.gwiwestafrica.org/fr/definition-des-mesures-de-securisation-fon…>
Marcello ROCCA
Expert en communication
Global Water Initiative (GWI) – Afrique de l’Ouest
UICN (Union internationale pour la conservation de la nature)
Dakar, Sénégal
Tel. +221 33 869 02 85
Mob. +221 77 790 70 27
www.gwiwestafrica.org<http://www.gwiwestafrica.org/>
www.iucn.org/prezoh<http://www.iucn.org/prezoh>
[cid:image011.gif@01D26DCC.00BE8E90]<http://www.iucn.org/> [https://www.gwiwestafrica.org/sites/default/files/logosm.jpg] [Global Water Initiative - Afrique de l'Ouest]
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Merci beaucoup Barbara
From: APDRA [mailto:contact@apdra.org]
Sent: 06 June 2017 14:22
To: APDRA Siège <contact(a)apdra.org>
Subject: L'actu de l'APDRA n°20
Chers membres et sympathisants,
Nous avons le plaisir de vous adresser notre seconde lettre d'information pour l'année 2017. Vous y trouverez les toutes dernières informations relatives aux activités de notre association.
Nous profitons aussi de cet envoi pour vous rappeler que vous pouvez retrouver l’actualité de l’APDRA sur son site internet : www.apdra.org<http://www.apdra.org> et sur sa page Facebook : https://www.facebook.com/Page-Apdra-Pisciculture-Paysanne-756854461162949/
N’hésitez pas non plus à nous soutenir en adhérant ou en renouvelant votre adhésion<http://www.apdra.org/spip.php?rubrique34> si ce n'est pas déjà fait ! Votre soutien et votre générosité nous sont précieux !
Bien cordialement
Barbara Bentz
----
Barbara Bentz
Chargée de la communication et de la vie associative
APDRA Pisciculture Paysanne
9, avenue de France
91 300 Massy
tél : +33(0)1 69 20 38 49
www.apdra.org<http://www.apdra.org>
Avec toutes nos excuses pour les récents problèmes techniques et le message de test envoyé à tous.
Apologies for the recent technical problems and the test email sent to all.
De : ROCCA Marcello
Envoyé : lundi 8 mai 2017 15:08
English below
[cid:image001.jpg@01D2CF1D.2598D560]<https://www.gwiwestafrica.org/fr/analyse-des-systemes-de-production-du-peri…>Chers collègues,
Nous avons le plaisir de partager avec vous une étude intitulée Analyse des systèmes de production du périmètre irrigué de Sélingué (Mali)<https://www.gwiwestafrica.org/fr/analyse-des-systemes-de-production-du-peri…>.
Le développement de l'irrigation fait partie des stratégies prioritaires dans les pays du Sahel pour lutter contre la pauvreté et l'insécurité alimentaire. À l'heure où les gouvernements s'engagent, une fois de plus, à augmenter les superficies irrigables, il a semblé pertinent d'analyser, conformément aux lignes directrices de la CEDEAO, les résultats obtenus sur des grands périmètres aménagés dans les années 80 et 90 afin d'en tirer les leçons pour les aménagements futurs.
En partenariat avec l'Office de développement rural de Sélingué, la Global Water Initiative a lancé en 2015 une étude pour évaluer les revenus agricoles des producteurs et les comparer avec des besoins familiaux (seuils de sécurité alimentaire et de pauvreté). Cette étude, qui est également menée régionalement sur des barrages au Sénégal et au Burkina, cherche à comprendre dans quelle mesure et à quelles conditions le périmètre aménagé de Sélingué permet de réduire la pauvreté et l'insécurité alimentaire.
Pour plus d'informations merci de contacter M. Frédéric Bazin, Chargé de programmes, IRAM, f.bazin(a)iram-fr.org<mailto:f.bazin@iram-fr.org> et/ou M. Jamie Skinner, Directeur, GWI Afrique de l'Ouest, jamie.skinner(a)iied.org<mailto:jamie.skinner@iied.org>.
Cordialement,
________________________________
[cid:image003.jpg@01D2CF1D.2598D560]<https://www.gwiwestafrica.org/en/analysis-productive-systems-selingue-irrig…>Dear colleagues,
We are pleased to share with you a study entitled Analysis of the productive systems in the Sélingué irrigation scheme (Mali)<https://www.gwiwestafrica.org/en/analysis-productive-systems-selingue-irrig…> [in French only].
The development of irrigation is one of the priority strategies in the Sahel countries to tackle poverty and food insecurity. At a time when governments are once again committing to increase irrigable areas, it seemed relevant to analyze, in line with the ECOWAS guidelines, the results achieved in large irrigated schemes developed in the 1980s and 1990s to draw lessons for future developments.
In partnership with the Sélingué Rural Development Office, the Global Water Initiative launched a study in 2015 to assess farmers' incomes and compare them with family needs (food security and poverty thresholds). This study, which is also carried out regionally on dams in Senegal and Burkina Faso, seeks to understand to what extent and under what conditions the irrigated scheme of Sélingué can reduce poverty and food insecurity.
For more information, please contact, M. Frédéric Bazin, Program Officer, IRAM, f.bazin(a)iram-fr.org<mailto:f.bazin@iram-fr.org> and/or M. Jamie Skinner, Director, GWI West Africa, jamie.skinner(a)iied.org<mailto:jamie.skinner@iied.org>.
With best wishes,
Marcello ROCCA
Communication advisor
Global Water Initiative (GWI) - West Africa
IUCN (International union for conservation of nature)
Dakar, Sénégal
Tel. +221 33 869 02 85
Mob. +221 77 790 70 27
www.gwiwestafrica.org<http://www.gwiwestafrica.org/>
www.iucn.org/prezoh<http://www.iucn.org/prezoh>
[cid:image011.gif@01D26DCC.00BE8E90]<http://www.iucn.org/> [https://www.gwiwestafrica.org/sites/default/files/logosm.jpg] [Global Water Initiative - Afrique de l'Ouest]
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REMINDER DEADLINE 30 MAY 2017
SARNISSA African Cage Culture Photo Competition 2017
Sponsored by ASAKUA and the World Aquaculture Society
En francais au dessus
[cid:image002.jpg@01D2D178.11A03B40]
Cage culture is now developing throughout the African continent. To reflect, record, and celebrate this the SARNISSA African Aquaculture Network is offering prizes of 100 USD plus a free subscription membership to the World Aquaculture Society for the 2 best photos related to cage culture in Africa in the following categories of entry:
1. Youth category: A photo taken by a student currently studying or a person under the age of 25 working on an existing African cage farm or related hatchery.
2. General category: A photo taken by anyone else over the age of 25
All photos must have been taken by the person submitting and should be related to cage culture in an African country.
All entries should be sent as attached files of a minimum file size of 500KB by 30th May 2017 to Will Leschen at wl2(a)stir.ac.uk<mailto:wl2@stir.ac.uk>
The 2 winners will be announced at the World Aquaculture Society Conference in Cape Town in June 2017, where their photos will be exhibited along with 20 of the other best entries.
Conditions for entry
Are shown below - please read carefully, each person is limited to sending 3 photos per entry
For each image submitted, please supply the following information:
- For all - Your name and contact details: - the date on which the photograph(s) was taken (minimum; month and year), - the location of the photograph(s), - a brief title for each photograph (maximum, 20 words), - and (optional) details / a caption summarizing the most important or interesting features illustrated by the image(s) (maximum, 100 words).
Specification on photo quality file size
Please follow these instructions to help us handle your pictures and present them well if they will go on to be exhibited at the World Aquaculture Society conference in Cape Town in June 2017.
Settings on many digital compact cameras do not often specify the file type in which the image will be saved, but most will assume the .jpg by default. To ensure best image quality, irrespective of overall pixel-count, the camera should be set to 'Fine' or 'High' as this will ensure the largest file of good quality.
RAW or TIF files are best, if they can be produced by your camera. Note that use of these file types can slow camera reaction time and quickly use media-space on flashcards. Please do not use full compression in .jpg format as this will degrade the image.
Size: Overall dimensions of the digitised image should be 1200 x 800 pixels as this leaves room for cropping to final display size. Please try to retain an approximate 3:2 ratio. Thumbnail pictures are not suitable.
Resolution: Should normally be 300 ppi, and no less than 72 ppi.
Platform: The competition is PC-based, so pictures originated on Apple Macintosh computers must be readable by us. If you can convert or save images to PC-compatible files it would be very helpful.
Permissions
All entrants must agree to the following:
By submitting this/these image(s) to this competition, you give your consent for use of the material in all relevant SARNISSA uses and applications and confirm that the material is your own, and has not previously been published and that its use in the SARNISSA competition does not violate any existing copyright or rights agreement. If the image(s) were taken or used for work purposes, or taken during work time, you have obtained the express consent of your employer or that of the farm owner to submit them to this competition.
Get snapping!!! We now look forward to receiving your photos ............................................
[cid:image003.jpg@01D2D178.11A03B40]
La culture Cage se développe maintenant sur tout le continent africain. Pour réfléchir, enregistrer et célébrer, le Réseau d'aquaculture africaine de SARNISSA offre des prix de 100 USD plus une adhésion gratuite à la World Aquaculture Society pour les 2 meilleures photos liées à la culture en cage en Afrique dans les catégories d'entrée suivantes:
1. Catégorie de jeunes: une photo prise par un étudiant en cours d'études ou une personne de moins de 25 ans travaillant dans une ferme de cage africaine existante ou une écloserie connexe.
2. Catégorie générale: Une photo prise par toute autre personne de plus de 25 ans
Toutes les photos doivent avoir été prises par la personne qui soumet et devraient être liées à la culture en cage dans un pays africain.
Toutes les entrées doivent être envoyées sous forme de fichiers joints d'une taille minimale de fichier de 500KB avant le 30 mai 2017 à Will Leschen à wl2(a)stir.ac.uk<mailto:wl2@stir.ac.uk>
Les 2 gagnants seront annoncés à la World Aquaculture Society Conference à Cape Town en juin 2017, où leurs photos seront exposées avec 20 des meilleures entrées.
Conditions d'entrée
Sont montrés ci-dessous - veuillez lire attentivement, chaque personne se limite à envoyer 3 photos par entrée
Pour chaque image soumise, veuillez fournir les informations suivantes:
- Pour tous - Votre nom et vos coordonnées: - la date à laquelle la (les) photo (s) a été prise (minimum, mois et année), - l'emplacement de la (des) photo (s), - un bref titre pour chaque photo (maximum, 20 mots), - et (facultatif) des détails / une légende résumant les caractéristiques les plus importantes ou intéressantes illustrées par l'image (s) (maximum, 100 mots).
Spécification sur la taille de fichier de qualité photo
Suivez ces instructions pour nous aider à gérer vos images et à les présenter correctement si elles seront exposées lors de la conférence de la World Aquaculture Society à Cape Town en juin 2017.
Les paramètres sur de nombreux appareils photo compacts numériques ne spécifient pas souvent le type de fichier dans lequel l'image sera enregistrée, mais la plupart supposeront le .jpg par défaut. Pour assurer une meilleure qualité d'image, indépendamment du nombre total de pixels, la caméra doit être réglée sur «Fine» ou «High», car cela garantira le plus grand fichier de bonne qualité.
Les fichiers RAW ou TIF sont les meilleurs, s'ils peuvent être produits par votre caméra. Notez que l'utilisation de ces types de fichiers peut ralentir le temps de réaction de l'appareil photo et utiliser rapidement l'espace média sur les cartes flash. N'utilisez pas la compression complète au format .jpg car cela va dégrader l'image.
Taille: Les dimensions globales de l'image numérisée doivent être de 1200 x 800 pixels car cela laisse place à la taille jusqu'à la taille d'affichage finale. Essayez de conserver un ratio approximatif de 3: 2. Les images miniatures ne conviennent pas.
Résolution: devrait normalement être 300 ppi et pas moins de 72 ppi.
Plate-forme: la concurrence est basée sur PC, donc les images issues des ordinateurs Apple Macintosh doivent être lisibles par nous. Si vous pouvez convertir ou enregistrer des images sur des fichiers compatibles avec le PC, cela serait très utile.
Autorisations
Tous les participants doivent accepter ce qui suit:
En soumettant cette ou ces images à cette compétition, vous donnez votre consentement à l'utilisation du matériel dans toutes les utilisations et applications pertinentes de SARNISSA et confirmez que le matériel est le vôtre, qu'il n'a pas déjà été publié et que son utilisation dans le La compétition SARNISSA ne viole aucun accord de droit d'auteur ou de droits d'auteur existant. Si les images ont été prises ou utilisées à des fins professionnelles, ou prises pendant le temps de travail, vous avez obtenu le consentement exprès de votre employeur ou celui du propriétaire de la ferme pour les soumettre à cette compétition.
Obtenez des claquements !!! Nous attendons avec impatience de recevoir vos photos .......................................... ..
SARNISSA African Cage Culture Photo Competition 2017
Sponsored by ASAKUA and the World Aquaculture Society
En francais au dessus
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Cage culture is now developing throughout the African continent. To reflect, record, and celebrate this the SARNISSA African Aquaculture Network is offering prizes of 100 USD plus a free subscription membership to the World Aquaculture Society for the 2 best photos related to cage culture in Africa in the following categories of entry:
1. Youth category: A photo taken by a student currently studying or a person under the age of 25 working on an existing African cage farm or related hatchery.
2. General category: A photo taken by anyone else over the age of 25
All photos must have been taken by the person submitting and should be related to cage culture in an African country.
All entries should be sent as attached files of a minimum file size of 500KB by 30th May 2017 to Will Leschen at wl2(a)stir.ac.uk<mailto:wl2@stir.ac.uk>
The 2 winners will be announced at the World Aquaculture Society Conference in Cape Town in June 2017, where their photos will be exhibited along with 20 of the other best entries.
Conditions for entry
Are shown below - please read carefully, each person is limited to sending 3 photos per entry
For each image submitted, please supply the following information:
- For all - Your name and contact details: - the date on which the photograph(s) was taken (minimum; month and year), - the location of the photograph(s), - a brief title for each photograph (maximum, 20 words), - and (optional) details / a caption summarizing the most important or interesting features illustrated by the image(s) (maximum, 100 words).
Specification on photo quality file size
Please follow these instructions to help us handle your pictures and present them well if they will go on to be exhibited at the World Aquaculture Society conference in Cape Town in June 2017.
Settings on many digital compact cameras do not often specify the file type in which the image will be saved, but most will assume the .jpg by default. To ensure best image quality, irrespective of overall pixel-count, the camera should be set to 'Fine' or 'High' as this will ensure the largest file of good quality.
RAW or TIF files are best, if they can be produced by your camera. Note that use of these file types can slow camera reaction time and quickly use media-space on flashcards. Please do not use full compression in .jpg format as this will degrade the image.
Size: Overall dimensions of the digitised image should be 1200 x 800 pixels as this leaves room for cropping to final display size. Please try to retain an approximate 3:2 ratio. Thumbnail pictures are not suitable.
Resolution: Should normally be 300 ppi, and no less than 72 ppi.
Platform: The competition is PC-based, so pictures originated on Apple Macintosh computers must be readable by us. If you can convert or save images to PC-compatible files it would be very helpful.
Permissions
All entrants must agree to the following:
By submitting this/these image(s) to this competition, you give your consent for use of the material in all relevant SARNISSA uses and applications and confirm that the material is your own, and has not previously been published and that its use in the SARNISSA competition does not violate any existing copyright or rights agreement. If the image(s) were taken or used for work purposes, or taken during work time, you have obtained the express consent of your employer or that of the farm owner to submit them to this competition.
Get snapping!!! We now look forward to receiving your photos ............................................
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La culture Cage se développe maintenant sur tout le continent africain. Pour réfléchir, enregistrer et célébrer, le Réseau d'aquaculture africaine de SARNISSA offre des prix de 100 USD plus une adhésion gratuite à la World Aquaculture Society pour les 2 meilleures photos liées à la culture en cage en Afrique dans les catégories d'entrée suivantes:
1. Catégorie de jeunes: une photo prise par un étudiant en cours d'études ou une personne de moins de 25 ans travaillant dans une ferme de cage africaine existante ou une écloserie connexe.
2. Catégorie générale: Une photo prise par toute autre personne de plus de 25 ans
Toutes les photos doivent avoir été prises par la personne qui soumet et devraient être liées à la culture en cage dans un pays africain.
Toutes les entrées doivent être envoyées sous forme de fichiers joints d'une taille minimale de fichier de 500KB avant le 30 mai 2017 à Will Leschen à wl2(a)stir.ac.uk<mailto:wl2@stir.ac.uk>
Les 2 gagnants seront annoncés à la World Aquaculture Society Conference à Cape Town en juin 2017, où leurs photos seront exposées avec 20 des meilleures entrées.
Conditions d'entrée
Sont montrés ci-dessous - veuillez lire attentivement, chaque personne se limite à envoyer 3 photos par entrée
Pour chaque image soumise, veuillez fournir les informations suivantes:
- Pour tous - Votre nom et vos coordonnées: - la date à laquelle la (les) photo (s) a été prise (minimum, mois et année), - l'emplacement de la (des) photo (s), - un bref titre pour chaque photo (maximum, 20 mots), - et (facultatif) des détails / une légende résumant les caractéristiques les plus importantes ou intéressantes illustrées par l'image (s) (maximum, 100 mots).
Spécification sur la taille de fichier de qualité photo
Suivez ces instructions pour nous aider à gérer vos images et à les présenter correctement si elles seront exposées lors de la conférence de la World Aquaculture Society à Cape Town en juin 2017.
Les paramètres sur de nombreux appareils photo compacts numériques ne spécifient pas souvent le type de fichier dans lequel l'image sera enregistrée, mais la plupart supposeront le .jpg par défaut. Pour assurer une meilleure qualité d'image, indépendamment du nombre total de pixels, la caméra doit être réglée sur «Fine» ou «High», car cela garantira le plus grand fichier de bonne qualité.
Les fichiers RAW ou TIF sont les meilleurs, s'ils peuvent être produits par votre caméra. Notez que l'utilisation de ces types de fichiers peut ralentir le temps de réaction de l'appareil photo et utiliser rapidement l'espace média sur les cartes flash. N'utilisez pas la compression complète au format .jpg car cela va dégrader l'image.
Taille: Les dimensions globales de l'image numérisée doivent être de 1200 x 800 pixels car cela laisse place à la taille jusqu'à la taille d'affichage finale. Essayez de conserver un ratio approximatif de 3: 2. Les images miniatures ne conviennent pas.
Résolution: devrait normalement être 300 ppi et pas moins de 72 ppi.
Plate-forme: la concurrence est basée sur PC, donc les images issues des ordinateurs Apple Macintosh doivent être lisibles par nous. Si vous pouvez convertir ou enregistrer des images sur des fichiers compatibles avec le PC, cela serait très utile.
Autorisations
Tous les participants doivent accepter ce qui suit:
En soumettant cette ou ces images à cette compétition, vous donnez votre consentement à l'utilisation du matériel dans toutes les utilisations et applications pertinentes de SARNISSA et confirmez que le matériel est le vôtre, qu'il n'a pas déjà été publié et que son utilisation dans le La compétition SARNISSA ne viole aucun accord de droit d'auteur ou de droits d'auteur existant. Si les images ont été prises ou utilisées à des fins professionnelles, ou prises pendant le temps de travail, vous avez obtenu le consentement exprès de votre employeur ou celui du propriétaire de la ferme pour les soumettre à cette compétition.
Obtenez des claquements !!! Nous attendons avec impatience de recevoir vos photos .......................................... ..
De : ROCCA Marcello
Envoyé : vendredi 31 mars 2017 14:54
English below
Chers collègues,
Nous avons le plaisir de partager avec vous une nouvelle vidéo animée intitulée Sécuriser les droits fonciers des populations affectées par les barrages en Afrique de l'Ouest<https://www.gwiwestafrica.org/fr/securiser-les-droits-fonciers-des-populati…>.
[Screenshot]<https://www.gwiwestafrica.org/fr/securiser-les-droits-fonciers-des-populati…>Cette vidéo de 5 minutes examine les défis relatifs à l'obtention d'une compensation juste pour les personnes affectées par la construction de grands barrages, et définit les différentes étapes pour s'assurer qu'elles puissent bénéficier d'un accès sécurisé à de nouvelles terres. Pour les gouvernements, cela peut signifier d'avoir à élaborer de nouvelles politiques et de nouveaux outils de gouvernance à utiliser lors de la construction de barrages et de périmètres irrigués.
Pour qu'un barrage contribue avec succès au développement durable d'un pays, les populations locales doivent également en bénéficier. Et comme les moyens de subsistance des personnes vivant dans les sociétés rurales dépendent de la terre, un régime foncier approprié est essentiel pour garantir que les avantages des barrages profitent à tous.
Selon Jamie Skinner, directeur de GWI Afrique de l'Ouest, « il s'agit d'un point d'entrée rapide et facile, pour les gouvernements et les autres parties prenantes - y compris les bailleurs de fonds, les consultants et les communautés elles-mêmes -, pour comprendre comment les droits des personnes déplacées peuvent être protégés, et s'assurer que les barrages profitent à tous et non seulement à quelques-uns ».
La vidéo est accessible en streaming ou en téléchargement, et disponible en anglais <https://www.gwiwestafrica.org/en/securing-land-rights-people-affected-dams-…> et en français<https://www.gwiwestafrica.org/fr/securiser-les-droits-fonciers-des-populati…> avec des sous-titres.
Pour plus d'informations merci de contacter M. Jérôme Koundouno, Coordonnateur régional, GWI Afrique de l'Ouest : jerome.koundouno(a)iucn.org<mailto:jerome.koundouno@iucn.org>
Cordialement,
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Dear colleagues,
We are pleased to share with you a new animation entitled Securing the land rights of people affected by dams in West Africa<https://www.gwiwestafrica.org/en/securing-land-rights-people-affected-dams-…>.
[Screenshot]<https://www.gwiwestafrica.org/en/securing-land-rights-people-affected-dams-…>This five-minute video unpicks the challenges around getting fair compensation for affected people, and sets out the various stages to ensuring that they can securely invest and develop their new land after the dam's construction. For governments, this may mean drawing up new policies and governance tools to use when building dams and irrigation schemes.
For a dam to contribute successfully to the sustainable development of society, local people must also benefit. And since the livelihoods of people in rural societies depend on land, proper land tenure is key to ensuring dams bring benefits for all.
According to Jamie Skinner, director of GWI West Africa, the animation "provides a quick and easy entry point for governments and other stakeholders - including donors, consultants and the communities themselves - to understand how the rights of displaced people can be protected, thereby ensuring dams benefit the many and not just the few".
This video can be streamed or downloaded, and is available in English<https://www.gwiwestafrica.org/en/securing-land-rights-people-affected-dams-…> and in French<https://www.gwiwestafrica.org/fr/securiser-les-droits-fonciers-des-populati…> with subtitles.
For more information, please contact M. Jérôme Koundouno, Regional coordinator, GWI West Africa: jerome.koundouno(a)iucn.org<mailto:jerome.koundouno@iucn.org>
With best wishes,
Marcello ROCCA
Communication advisor
Global Water Initiative (GWI) - West Africa
IUCN (International union for conservation of nature)
Dakar, Senegal
Tel. +221 33 869 02 85
Mail: marcello.rocca(a)iucn.org<mailto:marcello.rocca@iucn.org>
www.gwiwestafrica.org<http://www.gwiwestafrica.org/>
www.iucn.org/prezoh<http://www.iucn.org/prezoh>
[cid:image011.gif@01D26DCC.00BE8E90]<http://www.iucn.org/> [https://www.gwiwestafrica.org/sites/default/files/logosm.jpg] [Global Water Initiative - Afrique de l'Ouest]
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This communication, together with any attachment, may contain confidential information and/or copyright material and is intended only for the person(s) to whom it is addressed. If you are not the intended recipient of this communication, or if you received it in error, you are asked to kindly delete it and promptly notify us. Any review, copying, use, disclosure or distribution of any part of this communication, unless duly authorized by or on behalf of IUCN, is strictly forbidden.
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Dialoguebarrages mailing list
Dialoguebarrages(a)lists.dialoguebarrages.net
http://lists.dialoguebarrages.net/listinfo/dialoguebarrages
Hello
I'm setting up a fish farm in Togo. I would like to know if there is a laboratory where I could have the food I am preparing analyzed in order to determine its true protein concentration.
Your opinions are welcome
Viwanou EDORH - ANANOU
From: edorh-ananou viwanou [mailto:eviwanou@yahoo.fr]
Sent: 13 March 2017 11:33
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
Subject: Analyse de la nourriture du poison
Bonjour
Je suis en train de monter une ferme piscicole au Togo. Je voudrais savoir s'il y a un laboratoire où je pourrais faire analyser la nourriture que je prépare en vue de déterminer sa concentration réelle en protéine.
Vos avis sont les bienvenus
Viwanou EDORH – ANANOU
An Open Invitation for Oral Presentations & Workshop Participation
Aquaculture Biosecurity
Special Session & Training Workshop
World Aquaculture 2017
New Frontiers for Economic Growth
Cape Town, South Africa
June 30 - July 2, 2017
Aquaculture Biosecurity Special Session (June 30)
Abstracts for 20-minute presentations dealing with any approaches for preventing, controlling or eradicating infectious diseases, particularly those involving disease surveillance, diagnostics, economic or other impacts, certifying disease freedom, OIE standards or National regulations, are particularly encouraged.
For full consideration, submit your abstracts online by April 1,2017 at: <https://www.was.org/meetings/Default.aspx?code=WA2017> https://www.was.org/meetings/Default.aspx?code=WA2017
To ensure your abstract is included in this special session, abstracts should also be sent to <mailto:IAVBC@vetmed.lmu.de> IAVBC(a)vetmed.lmu.de. All submissions will be acknowledged.
Aquaculture Biosecurity Training Workshop (July 1-2) – Please note: this workshop is scheduled for the 2 days following the World Aquaculture Conference and requires separate registration!
Facilitated by leading experts from several countries, this workshop is open to the first 100 delegates that register. Attendees will participate in practical table-top and on-farm training exercises that will prevent, control or eradicate infectious diseases in any aquaculture operation, using OIE standards. Lunch, workbook and transportation is included.
To ensure a seat, register by April 1,2017 at:
<http://www.fisch.vetmed.uni-muenchen.de/biosecurity/iavbc_workshop_2017> www.fisch.vetmed.uni-muenchen.de/biosecurity/iavbc_workshop_2017
The Special Session & Workshop is organized, coordinated & supported by:
<http://www.fisch.vetmed.uni-muenchen.de/biosecurity/index.html> For additional information see <http://www.fisch.vetmed.uni-muenchen.de/biosecurity> www.fisch.vetmed.uni-muenchen.de/biosecurity, or contact: <mailto:IAVBC@vetmed.lmu.de> IAVBC(a)vetmed.lmu.de
<http://www.aasa-aqua.co.za/>
<http://www.wavma.org/>
Please note that IAVBC or collaborating organizations are unable to unable to subsidize registration fees, travel or hotel costs. All presenters are required to pay their own registration, accommodation and travel expenses.
A flyer is attached for further distribution.
A. David Scarfe PhD, DVM, MRSSAf, CertAqV
IAVBC Associate Director
Cell (US only): +1 (847) 650-4628, or (International) +1 (515) 203-7972
IAVBC(a)vetmed.lmu.de <mailto:IAVBC@vetmed.lmu.de>
New research from Oxford University documents how Chinese dam builders, who claim to build one in two of the dams currently under construction worldwide, are increasingly adopting international standards in response to dam opposition.
http://www.water.ox.ac.uk/social-safeguards-in-chinese-led-dam-projects-in-…
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