AQUA 2018 | L’agro-écologie pour relever le défi d’une aquaculture durable
23/08/2018 - Communiqué de presse
À l’occasion d’Aqua2018, congrès mondial d’aquaculture qui se tiendra pour la première fois du 25 au 29 août à Montpellier, le Cirad apporte son soutien à la FAO dans l’organisation d’une session spéciale sur l’agro-écologie appliquée à l’aquaculture le samedi 25 août. Une centaine de participants sont attendus sur les 2500 personnes du congrès qui rassemblera 60 nationalités.
L’aquaculture est le secteur des productions animales qui s’est développé le plus rapidement ces dernières décennies, et aujourd’hui, plus d’un poisson sur deux destinés à la consommation humaine en est issu. En volume, on élève désormais plus de poissons d’élevage que de bovins, et cette tendance ne devrait pas s’inverser dans les prochaines années en raison de la croissance démographique mais aussi des bénéfices nutritionnels de ces produits. L’accroissement rapide de la production a cependant parfois eu des impacts environnementaux et sociaux négatifs, que les filières aquacoles cherchent aujourd’hui à réduire.
L’agro-écologie est une approche basée sur l’utilisation des principes et concepts de l’écologie , dans le but d’optimiser les interactions entre les plantes, animaux, humains et l’environnement, tout en prenant en compte les services écosystémiques et les aspects sociaux indispensables à la durabilité et à l’équité des systèmes alimentaires.
Pour la FAO, dix indicateurs permettent de caractériser l’agro-écologie : la diversité des espèces et la biodiversité, la co-création et le partage de connaissance entre acteurs, la valorisation des synergies entre les différentes activités du système de production et avec l’environnement, l’efficience de l’utilisation des ressources et leur recyclage, la résilience des communautés et des écosystèmes (notamment face aux changements climatiques), les valeurs sociales et humaines, les traditions culturelles et culinaires, la bonne gouvernance et une économie circulaire et solidaire.
<>Inventer une nouvelle aquaculture résiliente et durable
Comme dans d’autres domaines de l’agriculture, l’agro-écologie est l’une des voies les plus prometteuses pour inventer une nouvelle aquaculture résiliente et durable mais aussi pour aider le secteur à s’adapter au changement climatique. C’est pour cela que, comme le rappelle Matthias Halwart, Directeur de l’Aquaculture à la FAO, « l’agro-écologie et les approches intersectorielles comme l’aquaculture intégrée à l’agriculture sont une priorité à la fois pour la FAO et le Cirad, et font à ce titre partie de l’accord de partenariat qui unit nos deux institutions » .
En effet, si « l’aquaculture traditionnelle, telle qu’elle est pratiquée depuis des millénaires en Asie, a toujours été parfaitement intégrée dans son environnement naturel, agricole et humain, de nouvelles approches émergent actuellement » , précise Lionel Dabbadie, chercheur au Cirad. C’est par exemple le cas de l’aquaponie (combinaison de l’aquaculture et de l’hydroponie), de l’aquaculture multi-trophique intégrée (combinaison d’élevages polluants avec des élevages et cultures dépolluants comme les mollusques filtreurs ou les macro-algues), des élevages d’insectes pour nourrir les poissons ou de l’utilisation de lompes Cyclopterus lumpus pour lutter contre les poux des saumons.
<>La rizi-pisciculture, un exemple d’approche agro-écologique
« La rizi-pisciculture malgache et la pisci-riziculture guinéenne, sont deux exemples d’approches agro-écologiques sur lesquelles travaille le Cirad et qui seront présentées au cours de l’atelier du 25 août », ajoute Lionel Dabbadie. La rizipisciculture consiste à élever des poissons dans des casiers de riz. « En fouillant la vase du fond, les poissons favorisent la remise en suspension des sels nutritifs dont le riz a besoin pour sa croissance. De son côté, le poisson se nourrit en consommant les organismes du périphyton qui se développent sur les tiges des plantes » . Dans ce système intégré agro-écologique, « on ne produit donc pas seulement deux aliments dans un même espace mais on en produit aussi plus que si chacun était cultivé séparément » .
Les objectifs de cette journée consacrée à l'agro-écologie sont triples :
documenter les pratiques actuelles,
comprendre comment l’aquaculture intégrée et l’agro-écologie permettent de répondre aux défis de la lutte contre la pauvreté et contre la faim,
identifier les besoins de connaissances nécessaires à la poursuite du développement d’une aquaculture agro-écologique durable.
<>Le Cirad à Aqua2018
Organisé tous les 6 ans par l'European Aquaculture Society (EAS) et la World Aquaculture Society (WAS), Aqua2018 attend à Montpellier du 25 au 29 août 2500 participants de plus de 60 pays. « L’aquaculture est l'une des industries alimentaires les plus importantes au monde. Son enjeu est de produire le plus efficacement possible des produits aquatiques de haute qualité dans le respect de l'environnement, en contribuant à la santé et à la richesse mondiale », précisent les organisateurs d’Aqua2018. Les quatre organismes impliqués dans la recherche aquacole en France (Ifremer, Inra, Cirad et IRD) se sont investis dans la réussite de ce congrès exceptionnel et participeront activement à travers des communications de chercheurs lors du congrès mais également des événements, comme l’atelier du Cirad et de la FAO sur l’agro-écologie (voir plus haut).
Le Cirad, qui collabore avec l’Ifremer, l’IRD et l’Université de Montpellier au développement d’une aquaculture respectueuse de l’environnement, participera ainsi, sur la thématique du tilapia <https://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/articles/2018/science…>, deuxième poisson le plus consommé dans le monde, au Farm tour, organisé par l’Ifremer le samedi 25 août à la station de Palavas (consultez le dossier de presse de la visite <https://wwz.ifremer.fr/content/download/119814/file/DP-AQUA2018-PALAVAS-FR.…>).
Ses chercheurs présenteront aussi sept communications orales durant le congrès qui se tiendra au Corum et présideront quatre sessions :
Aquaculture non-alimentaire, le dimanche 26 (11:20 - 12:40) Salle Sully 1 - Hugues de Verdal
Tilapia, le dimanche 26 août (14:30 - 17:10) Salle Tibériade - Hugues de Verdal
Co-production circulaire Agriculture / Aquaculture et éco-intensification, le lundi 27 août (09:00 - 15:10) Salle Sully 2 - Lionel Dabbadie
Déterminisme et contrôle du sexe, le mercredi 29 août (09:00 - 15:40) Salle Joffre 5 - Jean-François Baroiller
<>Quelques chiffres de l’aquaculture mondiale
En 2016, la production aquacole mondiale s'élevait à 110,2 millions de tonnes, pour une valeur à la première vente estimée à 210 milliards d'euros
63 % de la production aquacole se fait en milieu continental (87 % si on ne considère que les poissons)
La Chine contribue à 60 % de l’offre aquacole mondiale et l’Asie à 90 %
L’Asie est le premier exportateur mondial de produits aquatiques et l’Union Européenne, le premier importateur mondial
La consommation moyenne mondiale est de 20,3 kg/hab/an et elle ne cesse d’augmenter
Près de 8 poissons sur 10 produits, hors territoire chinois, sont issus des régions tropicales
Deux tiers en valeur des exportations des pays en développement sont destinés aux pays développés
Selected videos
Sidiki Keita, DG de l'Agence Nationale pour l'Aquaculture de Guinée : "la Guinée a inscrit la pisciculture agro-écologique dans ses engagements nationaux pour l'Accord de Paris"
https://twitter.com/Cirad/status/1034085423860121601 <https://twitter.com/Cirad/status/1034085423860121601>
Diana Edithe Andria-Mananjara du Fofifa présente la rizipisciculture à Madagascar
https://twitter.com/Cirad/status/1034730308296486912 <https://twitter.com/Cirad/status/1034730308296486912>
Wenresti G. Gallardo (Sultan Qaboos University) presents aquaponics farms in Oman
https://twitter.com/Cirad/status/1034699459756740608 <https://twitter.com/Cirad/status/1034699459756740608>
Yuan Derun (NACA) presents agroecological aquaculture systems in Asia
https://twitter.com/Cirad/status/1034841534477295617 <https://twitter.com/Cirad/status/1034841534477295617>
Mike Phillips (WorldFish) : "Agroecology and integrated aquaculture should act on three keys: poverty reduction, improve nutrition and health and improve environment"
https://twitter.com/Cirad/status/1034803162513858560 <https://twitter.com/Cirad/status/1034803162513858560>
Pisciculture durable : améliorer l’efficacité alimentaire des tilapias
https://www.youtube.com/watch?v=-3h-2XFqSfw <https://www.youtube.com/watch?v=-3h-2XFqSfw>
AQUA 2018 | Pisciculture durable : améliorer l’efficacité alimentaire des tilapias
23/08/2018 - Article
Optimiser l’alimentation des poissons est le meilleur levier pour réduire les coûts économiques et écologiques de l’aquaculture. Pour sélectionner les tilapias transformant le mieux la nourriture qu’on leur donne, l’efficacité alimentaire est finement étudiée par les chercheurs du Cirad. Des travaux récents ont montré qu’il n’y a pas de corrélation entre efficacité alimentaire et comportement d’agressivité chez le tilapia du Nil. Ces résultats sont présentés par Hugues de Verdal, chercheur au Cirad, devant les 2500 participants du congrès mondial Aqua2018 qui se tient à Montpellier du 25 au 29 août.
Un tilapia au comportement agressif et dominateur ne fera pas forcément preuve d’une meilleure efficacité alimentaire. Cette information pourrait paraitre anodine, mais elle pose une pierre de plus à l’édifice d’une pisciculture durable. L’efficacité alimentaire d’un poisson est le rapport prise de nourriture/prise de poids. Améliorer ce taux de conversion de la nourriture contribue largement à la durabilité de l’aquaculture, et ce pour trois raisons : l’aliment constitue 50 à 70 % du coût d’un élevage piscicole, il représente entre 55 et 85 % des impacts environnementaux de l’aquaculture et certains ingrédients de l’aliment entrent en compétition avec ceux de l’alimentation humaine.
Mesurer l’efficacité alimentaire de chaque poisson est indispensable pour sélectionner les individus possédant le meilleur ratio prise de nourriture/prise de poids. Mais ces informations ne sont pas simples à obtenir. Une solution est d’isoler les tilapias les uns des autres. Mais dès lors, il n’est plus possible d’étudier les interactions sociales, souvent fortes chez les poissons et visibles en élevage. Pour observer les liens éventuels entre rivalité et prise alimentaire individuelle, Hugues de Verdal, chercheur au Cirad, et ses collègues ont eu recours à l’analyse vidéo. Ils ont marqué les poissons pour les reconnaitre, puis les ont filmés pour estimer la fréquence des comportements agressifs (pendant et entre les repas) et compter le nombre de granulés consommés par chaque individu.
« Le rang hiérarchique et le comportement d’agressivité n’affectent ni la croissance du tilapia du Nil ni son taux de conversion de la nourriture. L’efficacité d’un poisson dominant n’est donc pas supérieure à celle d’un subordonné, explique Hugues de Verdal. Les individus agressifs ne mangent pas plus que les autres et ne grossissent pas plus vite. Défendre leur position hiérarchique leur coûte probablement une énergie équivalente à celle nécessaire aux subordonnés pour trouver leur nourriture. »
Au cours de l’expérience, les chercheurs ont donc mis en évidence qu’il existait des moyens fiables et précis d’estimer le ratio prise de nourriture/prise de poids chez les poissons. L’ensemble de ces résultats permet de penser qu’une sélection génétique des tilapias du Nil sur le ratio de conversion alimentaire n’aura pas d’impact négatif sur l’agressivité globale des poissons, ce qui aurait pu être attendu.
<>Le tilapia, 2e poisson d’aquaculture mondiale
C’est le deuxième poisson le plus consommé dans le monde, après la carpe. La production mondiale de tilapias croît à un rythme très soutenu depuis plusieurs années. Cette hausse va perdurer puisque la production mondiale devrait quasiment doubler entre 2010 et 2030, passant de 4,3 à 7,3 millions de tonnes annuelles, selon la FAO.
AQUA 2018 | De la phytothérapie en aquaculture pour réduire l’usage des antibiotiques
27/08/2018 - Article
Des scientifiques du Cirad et de l’IRD testent l’usage de plantes médicinales en alternative aux antibiotiques dans les élevages de poisson. Entre analyses au laboratoire et recherches de terrain, ces travaux innovants visent à limiter le phénomène global d’antibiorésistance et à réhabiliter les savoirs traditionnels de la petite pisciculture familiale d’Asie du Sud-Est. Samira Sarter, chercheuse au Cirad, présentera différentes approches pour un usage prudent des antibiotiques devant les 2500 participants du congrès mondial Aqua2018 qui se tient à Montpellier du 25 au 29 août.
« L’objectif de nos travaux est de réduire le recours aux antibiotiques en aquaculture pour limiter l’antibiorésistance des bactéries » annonce d’emblée Samira Sarter, cheffe de l’équipe Diva (DIVersité ichtyologique et Aquaculture - unité mixte de recherche ISEM) et chercheuse au Cirad. Cela fait plus de 10 ans que la scientifique explore le monde végétal dans ce sens. Les plantes testées proviennent d’informations puisées tant dans la littérature que sur le terrain, à Madagascar d’abord, puis en Asie du Sud-Est.
<>Des savoirs traditionnels…
Dans ces régions d’Asie, berceaux de l’aquaculture, l’usage de plantes médicinales est courant. C’est ce qu’a révélé une enquête ethnobotanique réalisée en partenariat avec l’IRD dans des fermes aquacoles au nord du Vietnam. 66 % des 280 pisciculteurs consultés utilisent des plantes dans leurs bassins d’élevage. 24 espèces végétales sont ainsi utilisées en traitement et en prévention de maladies, principalement bactériennes et fongiques. Feuilles, fleurs, racines, entières ou hachées, sont parfois incorporées à l’alimentation, mais le plus souvent simplement introduites dans les bassins.
<>… aux analyses de laboratoire
De retour dans leur laboratoire, les chercheurs étudient les propriétés antibactériennes de certaines plantes, comme la verveine exotique (Litsea cubeba). Trois concentrations de poudre de feuilles de L. cubeba ont été ajoutées à l’alimentation d’élevages expérimentaux de carpes pendant 21 jours : 2, 4 et 8 %, ainsi qu’un groupe contrôle à 0 %. Les poissons nourris avec les doses de 4 et 8 % ont vu leur système immunitaire renforcé et notamment un meilleur taux de survie après infection par la bactérie pathogène Aeromonas hydrophila.
Ces investigations sont très innovantes dans la recherche aquacole mondiale. « Notre double approche, croisant ethnobotanique et analyses de laboratoires, est pertinente à la fois pour la conservation des savoirs traditionnels et pour prouver l’efficacité des plantes médicinales en pisciculture comme une alternative possible aux antibiotiques », confie Samira Sarter.
<>L’antibiorésistance, un problème majeur et globalisé
Les résidus de ces médicaments dans les élevages de poissons contribuent au grave problème de l’antibiorésistance. D’autant que l’aquaculture fournit déjà la moitié de la consommation mondiale en produits animaux aquatiques et que ce ratio devrait augmenter puisque la pêche restera, dans le meilleur des cas, stable pendant les prochaines décennies.
Bonjour à toutes et tous,
L'évènement a été marqué par la prise en considération des contextes des milieux d'intervention des actions d'aquaculture dans le monde, particulièrement en Afrique qui est essentiellement concernée par la lutte contre l'insécurité alimentaire et la pauvreté.
Eu égard aux causes et effets du changement climatique en rapport avec la capacité technique des pays africains et la croissance démographique, il est temps et important de considérer les facteurs écologiques dans les activités agricoles à mettre en œuvre.
La volonté politique reste l'enjeu primordial pour cet avenir meilleur de demain que nous voudrons préparer pour les générations futures.
Les innovations locales devront systématiquement être valorisées et intégrées aux principes de développement dont nous voudrions intégrer et durable.
Le Président de la République Guinée s'investi depuis 5 ans à promouvoir le concept de pisciculture intégrée aux exploitations agricoles à vocation commerciale. Il est disposé à porter la voix des acteurs de l'aquaculture agroécologique au niveau politique sur le continent.
La République de Guinée travail sur ce concept en collaboration avec notamment le CIRAD, la FAO, l'AFD, l'UE, l'APDRA. et souhaite partager ses expériences institutionnelles et techniques dans ce domaine.
Cordialement à vous
Sidiki KEITA,
Directeur Général de l'Aquaculture
Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture
BP: 307
Conakry, République de GuinéeTel: (00224) 664 46 01 43 / 621 13 10 17 / 657 71 70 20
Le lundi 3 septembre 2018 à 09:48:10 UTC, sarnissa-french-aquaculture-request(a)lists.stir.ac.uk <sarnissa-french-aquaculture-request(a)lists.stir.ac.uk> a écrit :
Envoyez vos messages pour la liste Sarnissa-french-aquaculture à
sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Pour vous (dés)abonner par le web, consultez
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
ou, par email, envoyez un message avec 'help' dans le corps ou dans le
sujet à
sarnissa-french-aquaculture-request(a)lists.stir.ac.uk
Vous pouvez contacter l'administrateur de la liste à l'adresse
sarnissa-french-aquaculture-owner(a)lists.stir.ac.uk
Si vous répondez, n'oubliez pas de changer l'objet du message afin
qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu du digest de
Sarnissa-french-aquaculture..."
Thèmes du jour :
1. Communiqués de presse du Cirad à l'occasion de la
conférence WAS/EAS AQUA 2018 (Lionel Dabbadie)
----------------------------------------------------------------------
Message: 1
Date: Sat, 1 Sep 2018 15:36:11 +0200
From: Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
To: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Subject: [Sarnissa] Communiqués de presse du Cirad à l'occasion de
la conférence WAS/EAS AQUA 2018
Message-ID: <2F1AC9ED-A56F-41B4-9879-6FD7C7B8B89F(a)cirad.fr>
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AQUA 2018 | L’agro-écologie pour relever le défi d’une aquaculture durable
23/08/2018 - Communiqué de presse
À l’occasion d’Aqua2018, congrès mondial d’aquaculture qui se tiendra pour la première fois du 25 au 29 août à Montpellier, le Cirad apporte son soutien à la FAO dans l’organisation d’une session spéciale sur l’agro-écologie appliquée à l’aquaculture le samedi 25 août. Une centaine de participants sont attendus sur les 2500 personnes du congrès qui rassemblera 60 nationalités.
L’aquaculture est le secteur des productions animales qui s’est développé le plus rapidement ces dernières décennies, et aujourd’hui, plus d’un poisson sur deux destinés à la consommation humaine en est issu. En volume, on élève désormais plus de poissons d’élevage que de bovins, et cette tendance ne devrait pas s’inverser dans les prochaines années en raison de la croissance démographique mais aussi des bénéfices nutritionnels de ces produits. L’accroissement rapide de la production a cependant parfois eu des impacts environnementaux et sociaux négatifs, que les filières aquacoles cherchent aujourd’hui à réduire.
L’agro-écologie est une approche basée sur l’utilisation des principes et concepts de l’écologie , dans le but d’optimiser les interactions entre les plantes, animaux, humains et l’environnement, tout en prenant en compte les services écosystémiques et les aspects sociaux indispensables à la durabilité et à l’équité des systèmes alimentaires.
Pour la FAO, dix indicateurs permettent de caractériser l’agro-écologie : la diversité des espèces et la biodiversité, la co-création et le partage de connaissance entre acteurs, la valorisation des synergies entre les différentes activités du système de production et avec l’environnement, l’efficience de l’utilisation des ressources et leur recyclage, la résilience des communautés et des écosystèmes (notamment face aux changements climatiques), les valeurs sociales et humaines, les traditions culturelles et culinaires, la bonne gouvernance et une économie circulaire et solidaire.
<>Inventer une nouvelle aquaculture résiliente et durable
Comme dans d’autres domaines de l’agriculture, l’agro-écologie est l’une des voies les plus prometteuses pour inventer une nouvelle aquaculture résiliente et durable mais aussi pour aider le secteur à s’adapter au changement climatique. C’est pour cela que, comme le rappelle Matthias Halwart, Directeur de l’Aquaculture à la FAO, « l’agro-écologie et les approches intersectorielles comme l’aquaculture intégrée à l’agriculture sont une priorité à la fois pour la FAO et le Cirad, et font à ce titre partie de l’accord de partenariat qui unit nos deux institutions » .
En effet, si « l’aquaculture traditionnelle, telle qu’elle est pratiquée depuis des millénaires en Asie, a toujours été parfaitement intégrée dans son environnement naturel, agricole et humain, de nouvelles approches émergent actuellement » , précise Lionel Dabbadie, chercheur au Cirad. C’est par exemple le cas de l’aquaponie (combinaison de l’aquaculture et de l’hydroponie), de l’aquaculture multi-trophique intégrée (combinaison d’élevages polluants avec des élevages et cultures dépolluants comme les mollusques filtreurs ou les macro-algues), des élevages d’insectes pour nourrir les poissons ou de l’utilisation de lompes Cyclopterus lumpus pour lutter contre les poux des saumons.
<>La rizi-pisciculture, un exemple d’approche agro-écologique
« La rizi-pisciculture malgache et la pisci-riziculture guinéenne, sont deux exemples d’approches agro-écologiques sur lesquelles travaille le Cirad et qui seront présentées au cours de l’atelier du 25 août », ajoute Lionel Dabbadie. La rizipisciculture consiste à élever des poissons dans des casiers de riz. « En fouillant la vase du fond, les poissons favorisent la remise en suspension des sels nutritifs dont le riz a besoin pour sa croissance. De son côté, le poisson se nourrit en consommant les organismes du périphyton qui se développent sur les tiges des plantes » . Dans ce système intégré agro-écologique, « on ne produit donc pas seulement deux aliments dans un même espace mais on en produit aussi plus que si chacun était cultivé séparément » .
Les objectifs de cette journée consacrée à l'agro-écologie sont triples :
documenter les pratiques actuelles,
comprendre comment l’aquaculture intégrée et l’agro-écologie permettent de répondre aux défis de la lutte contre la pauvreté et contre la faim,
identifier les besoins de connaissances nécessaires à la poursuite du développement d’une aquaculture agro-écologique durable.
<>Le Cirad à Aqua2018
Organisé tous les 6 ans par l'European Aquaculture Society (EAS) et la World Aquaculture Society (WAS), Aqua2018 attend à Montpellier du 25 au 29 août 2500 participants de plus de 60 pays. « L’aquaculture est l'une des industries alimentaires les plus importantes au monde. Son enjeu est de produire le plus efficacement possible des produits aquatiques de haute qualité dans le respect de l'environnement, en contribuant à la santé et à la richesse mondiale », précisent les organisateurs d’Aqua2018. Les quatre organismes impliqués dans la recherche aquacole en France (Ifremer, Inra, Cirad et IRD) se sont investis dans la réussite de ce congrès exceptionnel et participeront activement à travers des communications de chercheurs lors du congrès mais également des événements, comme l’atelier du Cirad et de la FAO sur l’agro-écologie (voir plus haut).
Le Cirad, qui collabore avec l’Ifremer, l’IRD et l’Université de Montpellier au développement d’une aquaculture respectueuse de l’environnement, participera ainsi, sur la thématique du tilapia <https://www.cirad.fr/actualites/toutes-les-actualites/articles/2018/science…>, deuxième poisson le plus consommé dans le monde, au Farm tour, organisé par l’Ifremer le samedi 25 août à la station de Palavas (consultez le dossier de presse de la visite <https://wwz.ifremer.fr/content/download/119814/file/DP-AQUA2018-PALAVAS-FR.…>).
Ses chercheurs présenteront aussi sept communications orales durant le congrès qui se tiendra au Corum et présideront quatre sessions :
Aquaculture non-alimentaire, le dimanche 26 (11:20 - 12:40) Salle Sully 1 - Hugues de Verdal
Tilapia, le dimanche 26 août (14:30 - 17:10) Salle Tibériade - Hugues de Verdal
Co-production circulaire Agriculture / Aquaculture et éco-intensification, le lundi 27 août (09:00 - 15:10) Salle Sully 2 - Lionel Dabbadie
Déterminisme et contrôle du sexe, le mercredi 29 août (09:00 - 15:40) Salle Joffre 5 - Jean-François Baroiller
<>Quelques chiffres de l’aquaculture mondiale
En 2016, la production aquacole mondiale s'élevait à 110,2 millions de tonnes, pour une valeur à la première vente estimée à 210 milliards d'euros
63 % de la production aquacole se fait en milieu continental (87 % si on ne considère que les poissons)
La Chine contribue à 60 % de l’offre aquacole mondiale et l’Asie à 90 %
L’Asie est le premier exportateur mondial de produits aquatiques et l’Union Européenne, le premier importateur mondial
La consommation moyenne mondiale est de 20,3 kg/hab/an et elle ne cesse d’augmenter
Près de 8 poissons sur 10 produits, hors territoire chinois, sont issus des régions tropicales
Deux tiers en valeur des exportations des pays en développement sont destinés aux pays développés
Selected videos
Sidiki Keita, DG de l'Agence Nationale pour l'Aquaculture de Guinée : "la Guinée a inscrit la pisciculture agro-écologique dans ses engagements nationaux pour l'Accord de Paris"
https://twitter.com/Cirad/status/1034085423860121601 <https://twitter.com/Cirad/status/1034085423860121601>
Diana Edithe Andria-Mananjara du Fofifa présente la rizipisciculture à Madagascar
https://twitter.com/Cirad/status/1034730308296486912 <https://twitter.com/Cirad/status/1034730308296486912>
Wenresti G. Gallardo (Sultan Qaboos University) presents aquaponics farms in Oman
https://twitter.com/Cirad/status/1034699459756740608 <https://twitter.com/Cirad/status/1034699459756740608>
Yuan Derun (NACA) presents agroecological aquaculture systems in Asia
https://twitter.com/Cirad/status/1034841534477295617 <https://twitter.com/Cirad/status/1034841534477295617>
Mike Phillips (WorldFish) : "Agroecology and integrated aquaculture should act on three keys: poverty reduction, improve nutrition and health and improve environment"
https://twitter.com/Cirad/status/1034803162513858560 <https://twitter.com/Cirad/status/1034803162513858560>
Pisciculture durable : améliorer l’efficacité alimentaire des tilapias
https://www.youtube.com/watch?v=-3h-2XFqSfw <https://www.youtube.com/watch?v=-3h-2XFqSfw>
AQUA 2018 | Pisciculture durable : améliorer l’efficacité alimentaire des tilapias
23/08/2018 - Article
Optimiser l’alimentation des poissons est le meilleur levier pour réduire les coûts économiques et écologiques de l’aquaculture. Pour sélectionner les tilapias transformant le mieux la nourriture qu’on leur donne, l’efficacité alimentaire est finement étudiée par les chercheurs du Cirad. Des travaux récents ont montré qu’il n’y a pas de corrélation entre efficacité alimentaire et comportement d’agressivité chez le tilapia du Nil. Ces résultats sont présentés par Hugues de Verdal, chercheur au Cirad, devant les 2500 participants du congrès mondial Aqua2018 qui se tient à Montpellier du 25 au 29 août.
Un tilapia au comportement agressif et dominateur ne fera pas forcément preuve d’une meilleure efficacité alimentaire. Cette information pourrait paraitre anodine, mais elle pose une pierre de plus à l’édifice d’une pisciculture durable. L’efficacité alimentaire d’un poisson est le rapport prise de nourriture/prise de poids. Améliorer ce taux de conversion de la nourriture contribue largement à la durabilité de l’aquaculture, et ce pour trois raisons : l’aliment constitue 50 à 70 % du coût d’un élevage piscicole, il représente entre 55 et 85 % des impacts environnementaux de l’aquaculture et certains ingrédients de l’aliment entrent en compétition avec ceux de l’alimentation humaine.
Mesurer l’efficacité alimentaire de chaque poisson est indispensable pour sélectionner les individus possédant le meilleur ratio prise de nourriture/prise de poids. Mais ces informations ne sont pas simples à obtenir. Une solution est d’isoler les tilapias les uns des autres. Mais dès lors, il n’est plus possible d’étudier les interactions sociales, souvent fortes chez les poissons et visibles en élevage. Pour observer les liens éventuels entre rivalité et prise alimentaire individuelle, Hugues de Verdal, chercheur au Cirad, et ses collègues ont eu recours à l’analyse vidéo. Ils ont marqué les poissons pour les reconnaitre, puis les ont filmés pour estimer la fréquence des comportements agressifs (pendant et entre les repas) et compter le nombre de granulés consommés par chaque individu.
« Le rang hiérarchique et le comportement d’agressivité n’affectent ni la croissance du tilapia du Nil ni son taux de conversion de la nourriture. L’efficacité d’un poisson dominant n’est donc pas supérieure à celle d’un subordonné, explique Hugues de Verdal. Les individus agressifs ne mangent pas plus que les autres et ne grossissent pas plus vite. Défendre leur position hiérarchique leur coûte probablement une énergie équivalente à celle nécessaire aux subordonnés pour trouver leur nourriture. »
Au cours de l’expérience, les chercheurs ont donc mis en évidence qu’il existait des moyens fiables et précis d’estimer le ratio prise de nourriture/prise de poids chez les poissons. L’ensemble de ces résultats permet de penser qu’une sélection génétique des tilapias du Nil sur le ratio de conversion alimentaire n’aura pas d’impact négatif sur l’agressivité globale des poissons, ce qui aurait pu être attendu.
<>Le tilapia, 2e poisson d’aquaculture mondiale
C’est le deuxième poisson le plus consommé dans le monde, après la carpe. La production mondiale de tilapias croît à un rythme très soutenu depuis plusieurs années. Cette hausse va perdurer puisque la production mondiale devrait quasiment doubler entre 2010 et 2030, passant de 4,3 à 7,3 millions de tonnes annuelles, selon la FAO.
AQUA 2018 | De la phytothérapie en aquaculture pour réduire l’usage des antibiotiques
27/08/2018 - Article
Des scientifiques du Cirad et de l’IRD testent l’usage de plantes médicinales en alternative aux antibiotiques dans les élevages de poisson. Entre analyses au laboratoire et recherches de terrain, ces travaux innovants visent à limiter le phénomène global d’antibiorésistance et à réhabiliter les savoirs traditionnels de la petite pisciculture familiale d’Asie du Sud-Est. Samira Sarter, chercheuse au Cirad, présentera différentes approches pour un usage prudent des antibiotiques devant les 2500 participants du congrès mondial Aqua2018 qui se tient à Montpellier du 25 au 29 août.
« L’objectif de nos travaux est de réduire le recours aux antibiotiques en aquaculture pour limiter l’antibiorésistance des bactéries » annonce d’emblée Samira Sarter, cheffe de l’équipe Diva (DIVersité ichtyologique et Aquaculture - unité mixte de recherche ISEM) et chercheuse au Cirad. Cela fait plus de 10 ans que la scientifique explore le monde végétal dans ce sens. Les plantes testées proviennent d’informations puisées tant dans la littérature que sur le terrain, à Madagascar d’abord, puis en Asie du Sud-Est.
<>Des savoirs traditionnels…
Dans ces régions d’Asie, berceaux de l’aquaculture, l’usage de plantes médicinales est courant. C’est ce qu’a révélé une enquête ethnobotanique réalisée en partenariat avec l’IRD dans des fermes aquacoles au nord du Vietnam. 66 % des 280 pisciculteurs consultés utilisent des plantes dans leurs bassins d’élevage. 24 espèces végétales sont ainsi utilisées en traitement et en prévention de maladies, principalement bactériennes et fongiques. Feuilles, fleurs, racines, entières ou hachées, sont parfois incorporées à l’alimentation, mais le plus souvent simplement introduites dans les bassins.
<>… aux analyses de laboratoire
De retour dans leur laboratoire, les chercheurs étudient les propriétés antibactériennes de certaines plantes, comme la verveine exotique (Litsea cubeba). Trois concentrations de poudre de feuilles de L. cubeba ont été ajoutées à l’alimentation d’élevages expérimentaux de carpes pendant 21 jours : 2, 4 et 8 %, ainsi qu’un groupe contrôle à 0 %. Les poissons nourris avec les doses de 4 et 8 % ont vu leur système immunitaire renforcé et notamment un meilleur taux de survie après infection par la bactérie pathogène Aeromonas hydrophila.
Ces investigations sont très innovantes dans la recherche aquacole mondiale. « Notre double approche, croisant ethnobotanique et analyses de laboratoires, est pertinente à la fois pour la conservation des savoirs traditionnels et pour prouver l’efficacité des plantes médicinales en pisciculture comme une alternative possible aux antibiotiques », confie Samira Sarter.
<>L’antibiorésistance, un problème majeur et globalisé
Les résidus de ces médicaments dans les élevages de poissons contribuent au grave problème de l’antibiorésistance. D’autant que l’aquaculture fournit déjà la moitié de la consommation mondiale en produits animaux aquatiques et que ce ratio devrait augmenter puisque la pêche restera, dans le meilleur des cas, stable pendant les prochaines décennies.
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Subject: Pied de page des remises groupées
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Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
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Fin de Lot Sarnissa-french-aquaculture, Vol 121, Parution 2
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From: Randall Brummett <rbrummett(a)worldbank.org>
Sent: 20 August 2018 16:31
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk>; sarnissa-french-aquaculture Mailing List <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Subject: RE: Togolese fish farmers Azolla and Akasombo tilapia strain request from French forum translated into English Is Azolla a cost effective way for this fish farmer to feed his fish or should he look elsewhere ?
La meilleure façon d'éliminer les solides consiste à utiliser des réservoirs ronds à drain central. Je suppose que vous avez des canalisations rectangulaires, vous avez donc besoin d'un bassin de décantation à l'intérieur du réservoir (difficile à réparer les réservoirs existants) ou juste à côté, où l'eau peut rester immobile pour que les solides se déposent. Ensuite, vous pouvez pomper l'eau dans les réservoirs de production.
Je ne voudrais pas acheter la souche Akosombo tilapia. Ils sont soupçonnés d'être porteurs de maladies et ne poussent pas très bien. Je pense que la meilleure approche pour le Togo serait d'importer le tilapia GIFT d'une source fiable.
Randy
The best way to remove solids is to use center-drain round tanks. I assume you have rectangular raceways, so you need a settling basin either inside the tank (hard to fix existing tanks) or just next to it, where the water can become still so the solids will settle. Then you can pump the water back into the production tanks.
I wouldn't buy Akosombo strain tilapia. They are suspected to harbor diseases and do not grow very well. I think the best approach for Togo would be to import GIFT tilapia from a reputable source.
Randy
From: Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] On Behalf Of William Leschen via Sarnissa-african-aquaculture
Sent: Sunday, August 19, 2018 3:43 AM
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk<mailto:sarnissa-african-aquaculture@lists.stir.ac.uk>>
Subject: Togolese fish farmers Azolla and Akasombo tilapia strain request from French forum translated into English Is Azolla a cost effective way for this fish farmer to feed his fish or should he look elsewhere ?
Azolla Pisciculture Aquaculture Togolaise
Request SARNISSA email forum francaise
Hello everyone.
I am a Togolese fish farmer. I raise make tilapia by raising fish in tanks. I would like to know if one or more people have experimented with azolla by putting it directly in the tanks and if this has helped to improve the quality of the water.
The second thing I would like is if there is a technique or fixtures that allow to recover in a subsidiary structure the waste (food remaining, the fish faeces) from the tanks (without necessarily draining the water in the bottom of the tank ).
My last request is to look at the improved strain called Akossombo from Ghana ? . I would like to know where I could find some.
Thank you for your contributions.
Viwanou EDORH
Tel: 0022897881818
Bonjour à tous.
Je suis un pisciculteur togolais. Je fais du tilapia en elevant les poissons dans des bacs. Je voudrais savoir si une ou des personnes ont fait des expériences avec l'azolla en la mettant directement sur les bacs et si cela a a contribué à améliorer la qualité de l'eau.
La deuxième chose que je voudrais est s'il existe une technique ou des montages qui permettent de recuperer dans une structure annexe les déchets (nourritures restantes, les cacas des poissons) provenant des bacs (sans obligatoirement vider le bac).
Ma dernière demande regarde la souche ameliorée dite Akossombo. Je voudrais savoir où je pourrais en trouver.
Merci pour vos contributions.
Viwanou EDORH
Tel: 0022897881818
Sustainable Aquaculture Research Group
Institute of Aquaculture, University of Stirling UK
www.aqua.stir.ac.uk<http://www.aqua.stir.ac.uk/>
Read about the Sustainable Aquaculture Research Group's new projects and activities at http://www.susaquastirling.net/
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Inst of Aquaculture Stirling Scotland UK<https://www.facebook.com/pages/Institute-of-Aquaculture-Stirling-Scotland-U…>
SARNISSA African Aquaculture Network <https://www.facebook.com/sarnissaafrica?ref=hl>
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[cid:image001.png@01D277E0.BC615240]<http://www.aqua.stir.ac.uk/> [cid:image002.png@01D277E0.BC615240]
Bonjour à tous.Je suis un pisciculteur togolais. Je fais du tilapia en elevant les poissons dans des bacs. Je voudrais savoir si une ou des personnes ont fait des expériences avec l'azolla en la mettant directement sur les bacs et si cela a a contribué à améliorer la qualité de l'eau.La deuxième chose que je voudrais est s'il existe une technique ou des montages qui permettent de recuperer dans une structure annexe les déchets ( nourritures restantes, les cacas des poissons)provenant des bacs ( sans obligatoirement vider le bac).Ma dernière demande regarde la souche ameliorée dite Akossombo. Je voudrais savoir où je pourrais en trouver.Merci pour vos contributions.Viwanou EDORHTel: 0022897881818
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Bonjour Bien noté.Cordialement
Sidiki KEITA,
Directeur National de la Pisciculture
Ministère de la Pêche et de l'Aquaculture
BP: 307
Conakry, République de GuinéeTel: (00224) 664 46 01 43 / 621 13 10 17 657 71 70 20 / 631 46 01 43
Le mardi 7 août 2018 à 11:00:07 UTC, sarnissa-french-aquaculture-request(a)lists.stir.ac.uk <sarnissa-french-aquaculture-request(a)lists.stir.ac.uk> a écrit :
Envoyez vos messages pour la liste Sarnissa-french-aquaculture à
sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Pour vous (dés)abonner par le web, consultez
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
ou, par email, envoyez un message avec 'help' dans le corps ou dans le
sujet à
sarnissa-french-aquaculture-request(a)lists.stir.ac.uk
Vous pouvez contacter l'administrateur de la liste à l'adresse
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Si vous répondez, n'oubliez pas de changer l'objet du message afin
qu'il soit plus spécifique que "Re: Contenu du digest de
Sarnissa-french-aquaculture..."
Thèmes du jour :
1. Re: Guinée: Une Agence nationale de l’Aquaculture est née
et son directeur nommé (AGBEMELE Kodjo)
2. Missing skills? Des compétences manquants? (Alexandra Pounds)
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Message: 1
Date: Tue, 31 Jul 2018 19:34:59 +0200
From: AGBEMELE Kodjo <agbemelekodjo1(a)gmail.com>
To: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Subject: Re: [Sarnissa] Guinée: Une Agence nationale de
l’Aquaculture est née et son directeur nommé
Message-ID:
<CAC6L2DEkfi1Mj81weKCTu_1Baqq+_i+Wu4ET=_aOs9_2wxopeQ(a)mail.gmail.com>
Content-Type: text/plain; charset="utf-8"
Felicitations cher ami!
Le 28 juil. 2018 20:34, "Géovanne Aymar NZIENGUI DJIEMBI" <
nzienguigiovanni(a)gmail.com> a écrit :
> Félicitations à notre cher Sidiki
>
> Le mer. 25 juil. 2018 à 07:46, Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
> a écrit :
>
>> Félicitations à Sidiki Keita, nouveau Directeur Général de l’ANAG, et
>> tous mes voeux de réussite!
>>
>> Décrets: Une Agence nationale de l’Aquaculture est née et son directeur
>> nommé
>> Par Tokpanan Doré - juillet 24, 2018 9:48 0
>> https://www.guineenews.org/decrets-une-agence-nationale-
>> de-laquaculture-est-nee-et-son-directeur-nomme/
>>
>> En Guinée, un décret du président Alpha Condé rapportant un précédent,
>> crée une Agence nationale de l’Aquaculture. La direction dénommée ANAG
>> (Agence Nationale de l’Aquaculture de Guinée) a pour premier directeur
>> général Sidiki Kéita, nommé dans un autre décret également publié rendu
>> public par la télévision nationale dans la nuit de ce 24 juillet.
>>
>> Ingénieur géotechnicien, le promu, presque inconnu du grand public,
>> était jusqu’ici directeur national de la Pisciculture. Le décret précise
>> qu’un autre décret fixera l’organisation et les attributions de l’Agence
>> nationale de l’Aquaculture de Guinée (ANAG).
>>
>> L’article 2 du décret de la création de l’Agence indique que la
>> direction nationale de la Pêche continentale et de l’Aquaculture est
>> remplacée par la direction nationale de la Pêche continentale.
>> _______________________________________________
>> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
>> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-
>> french-aquaculture
>>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-
> french-aquaculture
>
>
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Message: 2
Date: Sun, 5 Aug 2018 17:12:25 +0300
From: Alexandra Pounds <alexandrapounds(a)gmail.com>
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List
<sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>,
sarnissa-french-aquaculture Mailing List
<sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Subject: [Sarnissa] Missing skills? Des compétences manquants?
Message-ID:
<CA+nZgFXPzU9HTaWbuOAfgR0AZh_Qq0ARThB=HSWhMis+XWqivQ(a)mail.gmail.com>
Content-Type: text/plain; charset="utf-8"
Could the upper management and experienced members share some wisdom with
the younger members? These questions are specifically concerned with skills
and careers in African aquaculture.
- What skills are the most critical for developing a career in
aquaculture specifically in Africa?
- What skills SHOULD your employee have, but don't?
- What skills do you look for when you hire employees?
- Which skills are optional versus irreplaceable?
Pour la communauté qui sont des grand chefs ou ont beaucoup d'experience:
pouvez-vous partager votre connaissance avec des membres ici qui sont plus
jeunes? Ces questions sont particulièrement concernés avec des compétences
et carrières dans l'aquaculture en Afrique.
- Quelles compétences sont le plus crucial pour le development de un
carrière d'aquaculture en Afrique?
- Quelles compétences vos employés devraient avoir qui ils n'ont pas
maintenant?
- Quelles compétences recherchez-vous quand vous engagez un employé?
- Quelles compétences sont optionnelles par rapport à irremplaçables?
- Alexandra
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
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Subject: Pied de page des remises groupées
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Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
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Fin de Lot Sarnissa-french-aquaculture, Vol 120, Parution 1
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Could the upper management and experienced members share some wisdom with
the younger members? These questions are specifically concerned with skills
and careers in African aquaculture.
- What skills are the most critical for developing a career in
aquaculture specifically in Africa?
- What skills SHOULD your employee have, but don't?
- What skills do you look for when you hire employees?
- Which skills are optional versus irreplaceable?
Pour la communauté qui sont des grand chefs ou ont beaucoup d'experience:
pouvez-vous partager votre connaissance avec des membres ici qui sont plus
jeunes? Ces questions sont particulièrement concernés avec des compétences
et carrières dans l'aquaculture en Afrique.
- Quelles compétences sont le plus crucial pour le development de un
carrière d'aquaculture en Afrique?
- Quelles compétences vos employés devraient avoir qui ils n'ont pas
maintenant?
- Quelles compétences recherchez-vous quand vous engagez un employé?
- Quelles compétences sont optionnelles par rapport à irremplaçables?
- Alexandra
Félicitations à Sidiki Keita, nouveau Directeur Général de l’ANAG, et tous mes voeux de réussite!
Décrets: Une Agence nationale de l’Aquaculture est née et son directeur nommé
Par Tokpanan Doré - juillet 24, 2018 9:48 0
https://www.guineenews.org/decrets-une-agence-nationale-de-laquaculture-est…
En Guinée, un décret du président Alpha Condé rapportant un précédent, crée une Agence nationale de l’Aquaculture. La direction dénommée ANAG (Agence Nationale de l’Aquaculture de Guinée) a pour premier directeur général Sidiki Kéita, nommé dans un autre décret également publié rendu public par la télévision nationale dans la nuit de ce 24 juillet.
Ingénieur géotechnicien, le promu, presque inconnu du grand public, était jusqu’ici directeur national de la Pisciculture. Le décret précise qu’un autre décret fixera l’organisation et les attributions de l’Agence nationale de l’Aquaculture de Guinée (ANAG).
L’article 2 du décret de la création de l’Agence indique que la direction nationale de la Pêche continentale et de l’Aquaculture est remplacée par la direction nationale de la Pêche continentale.
From: Mohammed ICHIBANE <m.ichibane(a)menara.ma>
Sent: 12 June 2018 15:57
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Subject: Expert in carrying capacity study
Dear all,
Within the framework of marine aquaculture project, we are looking for two experts with profiles as follow:
- Specialist in aquaculture planning
- Specialist in carrying capacity
Preferably French speaking and have sound experience in these areas with at least 10 projects,
For more information, do not hesitate to contact me,
Mohammed ICHIBANE m.ichibane(a)menara.ma<mailto:m.ichibane@menara.ma>
Chers tous, dans le cadre du projet d'aquaculture marine, nous recherchons deux experts avec des profils comme suit:
-Spécialiste en planification aquacole
-Spécialiste en capacité de cages
De préférence francophone et ont une expérience saine dans ces domaines avec au moins 10 projets,
Pour plus d'informations, n'hésitez pas à me contacter,
Mohamed ICHIBANE m.ichibane(a)menara.ma<mailto:m.ichibane@menara.ma>
Bonjour,
Pour information le message ci-dessous posté sur la liste anglophone. La FAO vient de publier deux outils d’analyse des données statistiques aquacoles de la FAO: les Indicateurs de Performance de l’Aquaculture Mondiale (acronyme WAPI en anglais). Ils consistent en deux modules (des feuilles excel):
- Module WAPI Production Aquacole
http://www.fao.org/fishery/static/WAPI/FAOWAPIAquacultureProductionModule(W…
- Module WAPI Consommation de poisson
http://www.fao.org/fishery/static/WAPI/FAOWAPIFishConsumptionModule(WAPI-FI…
Les activités et produits WAPI sont résumés dans une brochure disponible ici:
http://www.fao.org/3/I9622EN/i9622en.pdf
Vous pouvez retrouver toutes ces informations et les dernières versions sur la page web WAPI:
http://www.fao.org/fishery/statistics/software/wapi/en
Bien cordialement
Lionel Dabbadie
> Le 31 mai 2018 à 11:47, Cai, Junning (FIAA) via Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk> a écrit :
>
> Dear SARNISSA fellow members,
>
> We are pleased to inform you that FAO has recently published the following two user-friendly data analysis tools developed under the World Aquaculture Performance Indicators (WAPI):
> · WAPI Aquaculture Production Module
> · WAPI Fish Consumption Module
>
> WAPI activities and products as of May 2018 are summarized in a WAPI brochure. Updated information can be found at the WAPI webpage.
>
> We hope to receive your feedback to help us improve the tools. Many thanks.
>
> Best,
>
> Junning Cai, Ph.D.
> Aquaculture Officer (Economics)
> Aquaculture Branch
> Fisheries and Aquaculture Policy and Resources Division
> Fisheries and Aquaculture Department
> Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO)
> Viale delle Terme di Caracalla, 00153 Rome, Italy
> Tel: (39) 06 57053589
> Fax: (39) 06 57053020
> Skpe: Cai, Junning (FIAA) linked to junning.cai(a)fao.org
>
> <image001.png>
HI, WILL.
FOR ME ALSO IT 'S REALLY LOOK LIKE Opsaridium sp. found in lower guinean and west central Africa icthyological province where CAMEROON BELONGS. The ones I used to collect for DR BRUMMETT was identified as :
Opsaridium ubangiense (Pellegrin, 1901).
Probably the site where the sample provide to us, is without vegetable cover in open environment. Otherwise the color is more marked. They are present in the Nyong and the Sanaga rivers systems. Urbanization and palm oil mill effluent are some majors threats to their conservation in the wild.
BEST REGARDS
MBE TAWE Alex Nicanorfish collectorresearch assistant WorldFish Center (2005-2010)IITA CONSULTANT ( BLACK SOLDIER FLY RESEARCH UNIT : 2015-)
Salut, Will.
Pour moi aussi c'est vraiment ressembler Opsaridium SP. trouvé en Basse-Guinée et en Afrique du centre-ouest icthyological province où le Cameroun appartient. Ceux que j'avais l'habitude de collecter pour Dr BRUMMETT ont été identifiés comme:
Opsaridium ubangiense (Pellegrin, 1901).
Probablement le site où l'échantillon nous fournir, est sans couverture végétale dans un environnement ouvert. Sinon la couleur est plus marquée. Ils sont présents dans les Nyong et les rivières Sanaga. L'urbanisation et l'effluent des moulins à huile de palme sont des menaces majeures pour leur conservation dans la nature.
Sinceres salutations
MBE TAWE Alex Nicanorfish collectorresearch Assistant WorldFish Center (2005-2010) IITA consultant (unité de recherche Black Soldier Fly: 201
Sustainable Aquaculture Research Group
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Inst of Aquaculture Stirling Scotland UK<https://www.facebook.com/pages/Institute-of-Aquaculture-Stirling-Scotland-U…>
SARNISSA African Aquaculture Network <https://www.facebook.com/sarnissaafrica?ref=hl>
Aquaculture Enterprise Malawi<https://www.facebook.com/pages/Aquaculture-Enterprise-Malawi/57280560286237…>
SEAT Sustaining Ethical Aquaculture Trade Asia (SEAT) <https://www.facebook.com/SEATGlobal?ref=hl>
[cid:image001.png@01D277E0.BC615240]<http://www.aqua.stir.ac.uk/> [cid:image002.png@01D277E0.BC615240]
From: AHOCOU Alexandre K <alexahocou(a)gmail.com>
Sent: 02 June 2018 09:13
To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Subject: Problème d'alevins très âgés
Bonjour monsieur William
J'aimerais bien passer par vous pour poser une question sur la plate-forme.
Merci infiniment à l'avance.
En effet, je suis AHOCOU Alexandre responsable d'une jeune écloserie de fourniture d'alevins de clarias installée à Lomé au Togo. Entre temps nous avions un problème de survie des alevins et sur cette plate forme les acteurs nous ont apporté des solutions qui ont permis plus ou moins de régler ce problème. C'est l'occasion de les remercier infiniment eux tous.
Aujourd'hui nous avons un petit stock d'alevins de 6 mois d'âge mais qui sont maintenus à une taille de 15g à 20g un peu plus pour certains. Ceci s'explique par le fait que nous les nourrissons à peine. Ils ont donc un sérieux retard de croissance.
Ainsi à cette taille ils sont toujours des alevins mais ce que nous aimerions savoir est :
- en les vendant à un pisciculteur pour les grossir et qui les met dans une condition optimale de croissance surtout avec de la nourriture à satiété, est ce qu'ils peuvent rattraper leur retard de croissance et en combien de mois?
- à quel âge limite ne devrait-on plus vendre les alevins de clarias?
- comment les écloseries de clarias gèrent-elle généralement les invendus d'alevins?
Nous voudrons savoir et ne donc pas vendre des alevins non performants.
Merci à l'avance à tous pour vos aimables contributions constructives.
Alexandre AHOCOU
00 228 90 22 15 83
---------- Forwarded message ----------
From: Leslie Ter Morshuizen via Sarnissa-african-aquaculture <
sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Date: Tue, May 29, 2018 at 1:22 PM
Subject: Aquaponics Training
To: sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Good afternoon Will
Please circulate these two Training Courses being held in South Africa:
2-day Aquaponics Course, Pretoria, 23-24 July 2018
5-day practical Aquaculture Course, Aquaculture Academy, Grahamstown, 3-7
September 2018
Interested parties can contact us on info(a)aquaafrica.co.za.
Regards,
Leslie
[image: Email signature] <http://www.aquaafrica.co.za/>
--
---
Alexandra Pounds
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+1) 650.336.4554
(+44) 757.283.9224
Opsaridium… I forgt the spp in the upper Zambezi.
From: Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] On Behalf Of African Fish via Sarnissa-african-aquaculture
Sent: Friday, May 04, 2018 9:41 AM
To: sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Subject: Fwd: Species?
Adrian Piers
Agriculture, Fisheries and Aquaculture Consulting
East African Community and SADC Region
Phone +260 965 445464 (Zambia)
Email tilapia(a)zambia.co.zm<mailto:tilapia@zambia.co.zm>
---------- Forwarded message ----------
From: African Fish <africantilapia(a)gmail.com<mailto:africantilapia@gmail.com>>
Date: Fri, May 4, 2018 at 10:46 AM
Subject: Species?
To: William Leschen <william.leschen(a)stir.ac.uk<mailto:william.leschen@stir.ac.uk>>
Dear Will,
Please post.
Can anyone identify this fish? It is from the upper Zambezi, 35 Km above the falls.
Adrian Piers
Agriculture, Fisheries and Aquaculture Consulting
East African Community and SADC Region
Phone +260 965 445464 (Zambia)
Email tilapia(a)zambia.co.zm<mailto:tilapia@zambia.co.zm>
[Forwarded from Guy Delincé]
Hi Alexandra,
Another factor to consider for importing trout, is the origin of the fish.
Trout imported from Europe in the southern hemisphere need time to adjust
(for their biological rhythms) to the inversion of seasons. Also the
escapees of the farm can do a lot of harm to the local fish. It is overall
a very bad idea.. In the list of countries cited by Will you can add
Burundi.
The subject has been discussed many times over the years (and getting
rancid) more importantly about species that pose serious problems, such as
the *Pangasius*, that the information is more anecdotal than really worthy.
Nobody who has a real intention to seriously invest in a fish farming
venture would envisage to import trout. The government authorities would
not go on their own, since this require cash they would like to use more
rewardingly. It is just a dream of colonialists.
As Dr Emmanuel Frimpong rightly pointed out, the fish farmers who blame the
species, i.e. Tilapia, for the poor production don’t know how to farm
properly and point on the species as a culprit while all the responsibility
is lying on them.
In Burundi, most of the fish farming development envisaged was supposed to
be done in the rural areas which are all at a high altitude where the
growth of tilapia is poor. That was the reason why the re-introduction of
trout was considered. When I told them that the tilapia that had been
introduced in Tihange, Liége, Belgium, for farming in the recycled warm
waters of the nuclear power plant (see the aged publications of Mélard, for
instance : “Mélard C, 1986: Les bases biologiques de l'élevage intensif du
Tilapia du Nil Cahiers d'éthologïe appliquée.-Volume 6, fascicule 3 ISSN
0770-3767”) and the escapees of the farm would have adapted to live in the
nearby Meuse, in the cold and very temperate waters, they were surprised.
This means that the tilapia has a remarkable capacity to adapt to cold
waters, though it would affect their growth eventually. The solution for
the highlands is thus to select temperature-resistant strains and not to
import exotic species, that is so less resistant to handling considering
the hardiness of tilapia.
Farmers that have no tradition to handle live fish are better of with a
sturdy fish than with a salmonid.
Also, in Burundi all the rivers end up in Lake Tanganyika and nobody (all
the conservation-minded farmers) would not like to see trout ending up on
the shores of the Lake.
So if you think so, feel free to publish the information,
with regards,
Guy
>
>
>
> Le 11/05/2018 à 17:42, William Leschen via Sarnissa-african-aquaculture a
> écrit :
>
> Thanks Constantine
>
>
>
> I think what Jerome is referring to is actually getting the right
> quality of high % crude protein feed at a reasonable cost to cost
> effectively farm salmonids and often to remote locations. As some in
> this forum will be well aware rainbow and brown trout were introduced
> in colonial times into cooler parts of a number of mid – lower
> African countries way back in 1940s 1950s Kenya Tanzania Malawi and
> Madagascar as Alex points out…..
>
>
>
> The evidence base over all these years that salmonid culture has
> only really developed commercially in Lesotho with still some
> issues over financial viabilities… - In South Africa whilst also
> been introduced many years ago the trout farming sector there has never
> really developed into an industry – just my opinion ! some may disagree !
> - There are many factors why across mid to lower African continent
> this has been the case - other than fingerling production and feeds –
> and associated production and sales price per kg - markets and demand
> are also a significant factor…….
>
>
>
> Some relevant images from Kenya ….. Who benefits ?
>
>
>
>
>
> ????
>
>
>
>
>
>
>
>
>
> - There have been many very engaging discussions and debates on
> sarnissa over the years concerning African aquaculture with I would
> say Trying to Reinvent the wheel …….. being one of the outcomes
> that is common to many of them ….
>
>
>
> Thank you for all your contributions - keep writing !
>
>
>
> Best wishes Will
>
>
>
> *From:* Alexandra Pounds <alexandrapounds(a)gmail.com>
> <alexandrapounds(a)gmail.com>
> *Sent:* 11 May 2018 13:23
> *To:* JEROME LAZARD <jerome.lazard(a)cirad.fr> <jerome.lazard(a)cirad.fr>
> *Cc:* Ondhoro Constantine Chobet <occonstantine88(a)gmail.com>
> <occonstantine88(a)gmail.com>; sarnissa-african-aquaculture Mailing List
> <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> *Subject:* Re: Self introduction
>
>
>
> Moreover - what species of fish do locals prefer? If the goal is to make
> fish available to all, demands from local markets are important to
> consider, as well as the sustainability of feed requirements.
>
>
>
> Trout was introduced to the highlands of Madagascar some years ago. While
> grow-out was successful and the local markets gobbled up the trout, the
> project fizzled out because fry sourcing was unreliable and unpredictable.
> If Mt. Elgon and Kigezi Hills decide that they do indeed wish to introduce
> trout, establishment of a *profitable* hatchery for long-term production
> would be crucial.
>
>
>
> - Alexandra
>
>
>
> On Fri, May 11, 2018 at 12:30 PM, JEROME LAZARD via
> Sarnissa-african-aquaculture <sarnissa-african-aquaculture@
> lists.stir.ac.uk> wrote:
>
> I am not sure that the carnivorous Rainbow trout is the right fish in
> order to avail food fish to all. Carps would probably be a better choice.
>
> Regards, Jérôme Lazard
>
>
>
> *De :* Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-aquac
> ulture-bounces(a)lists.stir.ac.uk] *De la part de* Ondhoro Constantine
> Chobet via Sarnissa-african-aquaculture
> *Envoyé :* jeudi 10 mai 2018 15:14
> *À :* sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> *Objet :* Self introduction
>
>
>
> Dear admin and the forum,
>
> I am Ondhoro Constantine Chobet from Uganda. I am a scientist and I work
> with the National Agricultural Research organization (NARO) in Uganda.
> Today I am very grateful joining SARNISA again, purposely to share the
> little I may know and to learn more from the forum. As you may be aware, of
> recent we discovered that not everywhere in Uganda is suitable for warm
> water fish culture. Some areas especially Mt. Elgon and the Kigezi hills
> are relatively colder than it is required to sustain warm water fish
> species. We are currently working to introduce Rainbow trout in these areas
> in order to avail food fish to all. Interested individuals are welcome to
> join us to further this cause, at Buginyanya Zonal Agricultural Research
> and Development Institute (Mbale-Uganda).
>
>
>
> Regards
>
>
>
>
> --
>
> Ondhoro Constantine Chobet
>
> National Agricultural Research Organization
> Buginyanya Zonal Agricultural Research and Development Institute
> P.O.BOX 1356, Mbale (Uganda)
> Tel: +256392000102
> Mob: +256782228987
> +256757766102
>
>
>
>
>
> --
>
> ---
> Alexandra Pounds
> MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
> BSc Earth Systems, Stanford University
> (+1) 650.336.4554
> (+44) 757.283.9224
>
>
>
>
> <http://www.avg.com/email-signature?utm_medium=email&utm_source=link&utm_cam…> Virus-free.
> www.avg.com
> <http://www.avg.com/email-signature?utm_medium=email&utm_source=link&utm_cam…>
> <#m_5278213285631297185_m_-8244565791203737813_DAB4FAD8-2DD7-40BB-A1B8-4E2AA1F9FDF2>
>
--
---
Alexandra Pounds
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+1) 650.336.4554
(+44) 757.283.9224
--
---
Alexandra Pounds
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+1) 650.336.4554
(+44) 757.283.9224
Ok, increases in supply. It's very interesting to hear that people want a
new taste of fish - "taste" is so subjective and dependent on culture. Has
anyone else felt (or not) the effects of illegal imports into Nigeria?
D'accord, augmentation d'offre. C'est trés intéressant entendre que des
personnes veulent un nouveau gout de poisson - "gout" est trés subjectif et
dépendant de la culture. Il y a des autres personnes qui ont sentir (ou
pas) des effets du commerce illicit au Nigeria?
Alexandra
On Sat, May 12, 2018 at 9:35 AM, Babatunde Oreyemi <oreyemibabs(a)gmail.com>
wrote:
> Many thanks.
> In the case of seasonality, this occurs during and the offset of the rainy
> season. At this time, fishermen are able to catch more fishes in the
> country water bodies making the availability high. On the part of the
> people, they want a new taste of fish and these set of fish are relatively
> cheaper than cultured fish.
>
> The smuggling issue is still there, but considering my area, the act has
> decreased. Many of the cold rooms have closed shops. Due to the constant
> power outages, the few available ones are left struggling.
>
> BABATUNDE OREYEMI,
> BEEKEEPER & CATFISH FINGERLING PRODUCER,
> 9, BISI MORAFA STREET, GRA, IJEBU ODE, OGUN STATE.
> 234-08055203894
> 234-08102135278
> 234-09027436799 -whatsapp
>
> On May 12, 2018 04:26, "Alexandra Pounds" <alexandrapounds(a)gmail.com>
> wrote:
>
>> It is great to read about your first-hand experience - thanks for
>> sharing. Do you find that the seasonality is connected to local customs or
>> certain times of year when people want to eat more fish? Or is the
>> seasonality of market price due to increased production of fish during
>> certain times of year?
>>
>> High taxes placed on imported fish is resulting in unprofitable cold
>> rooms, and potentially an increase in illegal trade? (illegal imports don't
>> pay taxes). While taxes are meant to protect local trade, taxes that are
>> too high increase the illegal trade, which ends up hurting local trade...
>> Is this is case in Nigeria?
>>
>>
>> C'est genial lire de votre experience - merci de partager. Trouvez-vous
>> que le saisonnalité est connecté à des coutumes locals, ou temps d'année
>> quand des personnes veulent manger plus de poisson? Ou, le saisonnalité de
>> le prix de marché est à cause de l'augmentation de production de poisson
>> pendant certains temps d'année?
>>
>> Des taxes qui sont mis en place sur poisson importé résultent des salles
>> froides peu profitable, et pourrait résulter un augmentation du commerce
>> illicit? (Des importations illicit ne paye pas des taxes). Alors que des
>> taxes devraient proteger de commerce local, des taxes que sont trop hautes
>> pourrait augmenter du commerce illicit, quel finalement endommager du
>> commerce illicit... C'est ça le cas au Nigeria?
>>
>> Alexandra
>>
>> On Sat, May 12, 2018 at 2:01 AM, Babatunde Oreyemi <oreyemibabs(a)gmail.com
>> > wrote:
>>
>>> I ll suggest you carry out further research on this article.
>>> What is keeping the price of fish down in Nigeria is not about imported
>>> fish. The high tarrif placed on imported fish is making many cold rooms the
>>> receiver of this imported fish go under.
>>> Am a fish farmer here and I can say two things are making the price go
>>> down and they are
>>> 1. Season of the year
>>> 2. As the cost of production becomes high, people won't have the
>>> purchasing means to buy.
>>> Nigeria aquaculture is yet to saturate the market.
>>>
>>> BABATUNDE OREYEMI,
>>> BEEKEEPER & CATFISH FINGERLING PRODUCER,
>>> 9, BISI MORAFA STREET, GRA, IJEBU ODE, OGUN STATE.
>>> 234-08055203894
>>> 234-08102135278
>>> 234-09027436799 -whatsapp
>>>
>>> On May 11, 2018 18:56, "Alexandra Pounds via
>>> Sarnissa-african-aquaculture" <sarnissa-african-aquaculture@
>>> lists.stir.ac.uk> wrote:
>>>
>>>> This article suggests that while there is a potential for new tilapia
>>>> and catfish farms in Nigeria, it also suggests that illegal imports are
>>>> keeping market prices down.
>>>>
>>>> Are illegal imports of tilapia and catfish in Nigeria are preventing
>>>> Nigerian aquaculture farms from being financially competitive? Should the
>>>> government prevent this? If so, how?
>>>>
>>>> https://independent.ng/tilapia-farming-expert-guarantees-40-
>>>> return-on-investment/
>>>>
>>>>
>>>> Cette article suggére que il y a un potentiel pour d'aquaculture de
>>>> tilapia et poisson-chat au Nigeria. Il suggére aussi que l'importation
>>>> illicit de tilapia et poisson-chat préviennent l'augmentation du prix du
>>>> marché.
>>>>
>>>> Des poissons importé, préviennent-ils des enterprises d'aquaculture au
>>>> Nigeria d'etre competitif financièrement? Le gouvernement, devraient-ils
>>>> prevenir ça? Si oui, comme?
>>>>
>>>> https://independent.ng/tilapia-farming-expert-guarantees-40-
>>>> return-on-investment/
>>>>
>>>
>>
>>
>> --
>> ---
>> Alexandra Pounds
>> MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
>> BSc Earth Systems, Stanford University
>> (+1) 650.336.4554
>> (+44) 757.283.9224
>>
>
--
---
Alexandra Pounds
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+1) 650.336.4554
(+44) 757.283.9224
It is great to read about your first-hand experience - thanks for sharing.
Do you find that the seasonality is connected to local customs or certain
times of year when people want to eat more fish? Or is the seasonality of
market price due to increased production of fish during certain times of
year?
High taxes placed on imported fish is resulting in unprofitable cold rooms,
and potentially an increase in illegal trade? (illegal imports don't pay
taxes). While taxes are meant to protect local trade, taxes that are too
high increase the illegal trade, which ends up hurting local trade... Is
this is case in Nigeria?
C'est genial lire de votre experience - merci de partager. Trouvez-vous que
le saisonnalité est connecté à des coutumes locals, ou temps d'année quand
des personnes veulent manger plus de poisson? Ou, le saisonnalité de le
prix de marché est à cause de l'augmentation de production de poisson
pendant certains temps d'année?
Des taxes qui sont mis en place sur poisson importé résultent des salles
froides peu profitable, et pourrait résulter un augmentation du commerce
illicit? (Des importations illicit ne paye pas des taxes). Alors que des
taxes devraient proteger de commerce local, des taxes que sont trop hautes
pourrait augmenter du commerce illicit, quel finalement endommager du
commerce illicit... C'est ça le cas au Nigeria?
Alexandra
On Sat, May 12, 2018 at 2:01 AM, Babatunde Oreyemi <oreyemibabs(a)gmail.com>
wrote:
> I ll suggest you carry out further research on this article.
> What is keeping the price of fish down in Nigeria is not about imported
> fish. The high tarrif placed on imported fish is making many cold rooms the
> receiver of this imported fish go under.
> Am a fish farmer here and I can say two things are making the price go
> down and they are
> 1. Season of the year
> 2. As the cost of production becomes high, people won't have the
> purchasing means to buy.
> Nigeria aquaculture is yet to saturate the market.
>
> BABATUNDE OREYEMI,
> BEEKEEPER & CATFISH FINGERLING PRODUCER,
> 9, BISI MORAFA STREET, GRA, IJEBU ODE, OGUN STATE.
> 234-08055203894
> 234-08102135278
> 234-09027436799 -whatsapp
>
> On May 11, 2018 18:56, "Alexandra Pounds via Sarnissa-african-aquaculture"
> <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk> wrote:
>
>> This article suggests that while there is a potential for new tilapia and
>> catfish farms in Nigeria, it also suggests that illegal imports are keeping
>> market prices down.
>>
>> Are illegal imports of tilapia and catfish in Nigeria are preventing
>> Nigerian aquaculture farms from being financially competitive? Should the
>> government prevent this? If so, how?
>>
>> https://independent.ng/tilapia-farming-expert-guarantees-40-
>> return-on-investment/
>>
>>
>> Cette article suggére que il y a un potentiel pour d'aquaculture de
>> tilapia et poisson-chat au Nigeria. Il suggére aussi que l'importation
>> illicit de tilapia et poisson-chat préviennent l'augmentation du prix du
>> marché.
>>
>> Des poissons importé, préviennent-ils des enterprises d'aquaculture au
>> Nigeria d'etre competitif financièrement? Le gouvernement, devraient-ils
>> prevenir ça? Si oui, comme?
>>
>> https://independent.ng/tilapia-farming-expert-guarantees-40-
>> return-on-investment/
>>
>
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---
Alexandra Pounds
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+1) 650.336.4554
(+44) 757.283.9224
This article suggests that while there is a potential for new tilapia and
catfish farms in Nigeria, it also suggests that illegal imports are keeping
market prices down.
Are illegal imports of tilapia and catfish in Nigeria are preventing
Nigerian aquaculture farms from being financially competitive? Should the
government prevent this? If so, how?
https://independent.ng/tilapia-farming-expert-guarantees-40-return-on-inves…
Cette article suggére que il y a un potentiel pour d'aquaculture de tilapia
et poisson-chat au Nigeria. Il suggére aussi que l'importation illicit de
tilapia et poisson-chat préviennent l'augmentation du prix du marché.
Des poissons importé, préviennent-ils des enterprises d'aquaculture au
Nigeria d'etre competitif financièrement? Le gouvernement, devraient-ils
prevenir ça? Si oui, comme?
https://independent.ng/tilapia-farming-expert-guarantees-40-return-on-inves…
Cher (e)s toutes et tous,
Le Ministère des Pêches, de l'Aquaculture et de l'Economie Maritime de Guinée, à travers la Direction Nationale de la Pisciculture (DNP), lance l'Appel à Manifestation d’intérêt visé en objet dans le cadre du Projet de Développement de la Pisciculture Commerciale Familiale en Guinée (PISCOFAM GUINEE) sur Financement de l'Agence Française de Développement (AFD).
La date limite de soumission est fixée le 18 juin 2018 à 11 h 30 mn, heure locale ( GMT + 00).
L'appel est également diffusé sur le site de DG Market de l'AFD et dans deux journaux locaux.
Ci-joint en version PDF et au plaisir de vous savoir nombreux à postuler et /ou partager.
Très cordialement .
M. DIABY
Mohamed Bob DIABY, Directeur National Adjoint de la Pisciculture Ministère des Pêches,de l'Aquaculture et de l'Economie Maritime BP: 307 Conakry - République de Guinée
Tel: +224) 622 13 03 96 / 664 47 34 23 / 655 41 02 40
Email: bobdiaby(a)yahoo.frEmail: sidikikeita(a)yahoo.fr
Traduire de forum anglais
Salut Will et d'autres,
L'article a quelques erreurs factuelles mais c'est surtout sur le sujet. L'utilisation de «espèces» et de «souches» de façon interchangeable prête à confusion. Le ministre actuel du développement des pêches et de l'aquaculture a été en poste pendant un peu plus d'un an et n'aurait pas pu faire de politique en 2014. Le prêt / don de 53 millions de dollars de la Banque mondiale (?) Souvent cité est expiré ou expire depuis cinq ans. ou alors le projet était axé à 80% sur la pêche et 20% sur l'aquaculture, et pour lequel nous devrions parler maintenant de ses résultats plutôt que de ses objectifs.
Sur les questions de fond, l'interdiction de l'importation de tilapia entier et de tilapia vivants congelés est deux politiques différentes - à la fois quelque peu mal informées. L'interdiction du tilapia congelé est censée réduire la concurrence des producteurs asiatiques, mais il existe des preuves que le tilapia est toujours importé dans le cadre de la politique actuelle. Une politique qui crée un environnement propice à l'amélioration de la productivité et de la rentabilité (meilleures tensions et alimentation à bas prix, par exemple) semblerait atteindre davantage pour les agriculteurs et l'économie. La restriction sur le DON et les autres souches améliorées de tilapia ne serait efficace que si (1) il existe une bonne souche comparable disponible pour les agriculteurs au Ghana, et 2) le gouvernement a la capacité de surveiller et de détecter les différentes souches cultivées. Malheureusement, les deux conditions précédentes ne sont pas remplies.
Nous avons des données sur la croissance et la génétique qui montrent que la souche Akosombo soutenue par le gouvernement ne croît qu'environ la moitié de la taille du GIFT en un temps égal et que le GIFT a un meilleur TCF. Sans surprise, la souche chinoise GIFT est cultivée sur certaines fermes au Ghana et il y a déjà des traces du CADEAU dans le lac sauvage d'Akosombo. L'augmentation des maladies ainsi que l'introduction des souches «étrangères» sont le résultat de l'absence de mesures de quarantaine parce que le gouvernement ne supervise pas les importations. Il se fait sous couverture ... mais il se répand néanmoins.
La nouvelle politique du Ghana, s'il y en a une à l'horizon, devrait être consciente de l'environnement actuel (quelles contraintes existent déjà dans le pays), que ce qui est permis dans les pays voisins affecte la capacité du Ghana à appliquer sa propre politique. La capacité de l'ARDEC d'écloserie gouvernementale à la fois de poursuivre les projets d'amélioration génétique et de surveiller le respect des restrictions d'importation, et il y a une énorme expertise du secteur privé dans le pays et ailleurs sur le continent qui peut être utilisée dans les PPP.
Emmanuel
Emmanuel A. Frimpong, PhD
professeur agrégé
Département de la conservation du poisson et de la faune
Collège des ressources naturelles et de l'environnement
Virginia Polytechnic Institute et l'Université d'État
156 Cheatham Hall
Blacksburg, VA 24061-0321
Téléphone (540) 231-6880 | Fax (540) 231-7580
http://www.fishwild.vt.edu/faculty/frimpong.htm
Sustainable Aquaculture Research Group
Institute of Aquaculture, University of Stirling UK
www.aqua.stir.ac.uk<http://www.aqua.stir.ac.uk/>
Read about the Sustainable Aquaculture Research Group's new projects and activities at http://www.susaquastirling.net/
Follow Daily updated Facebook sites (news, publications, videos, employment, funding, investment and other) for:
Sustainable Aquaculture Stirling<https://www.facebook.com/SustainableAquacultureStirling/>
Inst of Aquaculture Stirling Scotland UK<https://www.facebook.com/pages/Institute-of-Aquaculture-Stirling-Scotland-U…>
SARNISSA African Aquaculture Network <https://www.facebook.com/sarnissaafrica?ref=hl>
Aquaculture Enterprise Malawi<https://www.facebook.com/pages/Aquaculture-Enterprise-Malawi/57280560286237…>
SEAT Sustaining Ethical Aquaculture Trade Asia (SEAT) <https://www.facebook.com/SEATGlobal?ref=hl>
[cid:image001.png@01D277E0.BC615240]<http://www.aqua.stir.ac.uk/> [cid:image002.png@01D277E0.BC615240]
No strains no gains ? Are Ghana's bio-restrictions harming its aquaculture ?
[cid:image002.jpg@01D3E12F.40888E40]
Ed Interesting article - for the first time to my knowledge on this subject written by a Ghanaian - This issue not just affecting Ghanaian aquaculture but elsewhere across the continent - with Malawi being perhaps the best example ...... Would welcome our members views on this - many years ago GIFT strain of niloticus was brought in to Ghana and then asked to be removed by the then Ghanaian Fisheries ministry .
Its worth noting the words of the Ghanaian pond fish farmer who cannot get any good quality fingerlings for his farm - and also ask Ghanaian fish farmers themselves what have been their experiences with the "Akosombo" strain the govt and Fisheries depts developed through an overseas donor funded project ..... What has been their performance ? Their growth ? Their survival rates ? Their resistance to disease ? Their reaction to handling stress changing environmental conditions - their marketability ? acceptance by consumers ? their taste ? their appearance ? How does this compare with the strains they used before the akosombo strain ?
https://thefishsite.com/articles/no-strains-no-gains-are-ghanas-bio-restric…
Ed Intéressant article - pour la première fois à ma connaissance sur ce sujet écrit par un Ghanéen - Cette question ne concerne pas seulement l'aquaculture ghanéenne mais ailleurs sur le continent - le Malawi étant peut-être le meilleur exemple ...... Accueillirait les opinions de nos membres à ce sujet. Il y a des années, la souche GIFT de Niloticus a été introduite au Ghana et a ensuite été demandée par le ministère des Pêches de l'époque.
Il vaut la peine de noter les paroles du pisciculteur du bassin ghanéen qui ne peut obtenir des alevins de bonne qualité pour sa ferme - et aussi demander aux pisciculteurs ghanéens quelles ont été leurs expériences avec la souche "Akosombo" développée par un donateur étranger. projet financé ... .. Quelle a été leur performance? Leur croissance? Leurs taux de survie? Leur résistance à la maladie? Leur réaction à la gestion du stress modifie les conditions environnementales - leur commercialisation? acceptation par les consommateurs? leur goût? leur apparence ? Comment cela se compare-t-il aux souches qu'ils utilisaient avant la souche akosombo?
Sustainable Aquaculture Research Group
Institute of Aquaculture, University of Stirling UK
www.aqua.stir.ac.uk<http://www.aqua.stir.ac.uk/>
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SARNISSA African Aquaculture Network <https://www.facebook.com/sarnissaafrica?ref=hl>
Aquaculture Enterprise Malawi<https://www.facebook.com/pages/Aquaculture-Enterprise-Malawi/57280560286237…>
SEAT Sustaining Ethical Aquaculture Trade Asia (SEAT) <https://www.facebook.com/SEATGlobal?ref=hl>
[cid:image001.png@01D277E0.BC615240]<http://www.aqua.stir.ac.uk/> [cid:image002.png@01D277E0.BC615240]
*[English] What have you found to be the key to successful hatching of
tilapia eggs? Is there a magic bullet? What is your estimated survival
rates for: Hatching? Swim up? First Feeding? Sex Reversal? *
*Ideas presented (by Karen Veverica & Nick James): *
- managers should keep the eggs moving;
- eggs should not be left out in bowls for too long;
- bowls should be kept clean;
- eggs should be carefully ejected from the female's mouth;
- temperature should stay stable;
- *Oreochromis ssp.* should be kept separate to avoid hybridisation, which
can result in poor fertilisation and viability.
*[Français] Avez-vous rencontré la clé de l'éclosion réussi des oeufs de
tilapia? Il y a un balle magique? Qu'est-ce que sont votre taux de survie
pour: L'éclosion? Nager? Premiere repas? Retournement de sexe? *
*Idées presenté (pour Karen Veverica et Nick James):*
- les chefs doivent continuer le movement des oeufs tous les temps;
- il faut que des oeufs ne sont pas délaissé pour beaucoup des temps;
- il faut que des bols sont propres;
- il faut que des oeufs sont s'éjectés avec prudence de la bouche de la
femalle;
- il faut que le temperature est stable;
- il faut que *Oreochromis ssp. *sont séparé pour éviter hybridisation,
dont qui pourrait provoquer mauvais fertilisation et viabilité.
---
Alexandra Pounds
Assistant Manager Production Hatchery - OSO Farming LGA
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+44) 757.283.9224
*[English] *Thank you for your expertise Nick! This is very helpful
information.
Does anyone else have experiences with these different systems? Has anyone
transitioned from smaller tanks to larger tanks? What have you found to be
best practices?
*[Français] *Merci pour votre expertise Nick! C'est des renseignements trés
utils.
Il y a personne qui a des experiences avec ces systemes differents? Il ya
personne qui a changé des bacs petits a des bacs grands? Qu'est-ce sont des
pratiques meilleur?
On Mon, Apr 30, 2018 at 12:03 PM, Nick James <nickjames(a)intekom.co.za>
wrote:
> Hi Alexandra
>
>
>
> To answer your questions:
>
>
>
> · No, the management of larger ponds is easier than that of small
> water bodies such as tanks, that depend on filtration and energy. Water
> volume implies a certain resilience against water quality change…be that
> temperature or chemical changes…that would adversely affect breeding
> performance. I know we would all like to see our fish in carefully
> controlled, scientifically designed, sterile re-circulating systems…but did
> we ever ask the fish what they prefer? Green water ponds produce the best
> fish, be that for eating …or for breeding purposes…the jury is not out on
> that.
>
>
>
> · The catching of mouth-brooding female tilapia in round tanks
> can be an issue. Screens that divide the tanks have to be used, and this is
> often a harsh and stressful experience for the fish. In hapas, a pole under
> the net is slowly moved to one end to crowd the fish into one corner (as in
> the photo). Females are then netted out and the eggs gently flushed out
> using a pipette bottle (not the fish shaken violently head-down into a
> bucket!). Use of the pipette-bottle flushes out 100% of the eggs that the
> older method often does not, resulting in a few eggs still in the mouth
> and reduced spawning thereafter by that female fish. Once stripped of eggs,
> the female is then dropped into the other side of the hapa, so is only out
> the water for about 30 seconds. The hapa netting holds any eggs that may be
> spat out, and can be collected at the end of the process. Since all the
> water is common, no temperature changes result. Eggs collecting bowls can
> be floated in the tank, before removal to the hatchery. In Thailand, I have
> seen a mobile hatchery on a trailer, where the collected bowls are in
> shade, and the eggs temporarily housed in a small 12v recycling system
> that keeps them well-oxygenated, cool and moving.
>
>
>
> · Sure, larger tanks implies you need more space, something that
> many hatcheries may not have. But new systems that don’t use the concrete
> and plastic systems much beloved by RAS have evolved in the Far East and
> are now used in Africa. Rectangular ponds comprising the entire footprint
> of a greenhouse tunnel (50x10m or 30x 10m), lined with a liner, work well
> as breeding ponds where warmer water than ambient is required. This can be
> connected to filtration if required, but the loading on a breeding system
> is far less than on a grow out system. Tilapia seem to breed better if kept
> slightly hungry…something to do with evolution: environmental stresses
> causing a turn to reproduction rather than growth. A lined earth pond is
> certainly not more expensive than an equal sized tank system.
>
>
>
> Regards
>
>
>
> Nick
>
>
>
> *From:* Alexandra Pounds [mailto:alexandrapounds@gmail.com]
> *Sent:* 30 April 2018 10:22 AM
> *To:* Nick James <nickjames(a)intekom.co.za>
> *Cc:* sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> *Subject:* Re: Calling all Tilapia Hatchery Experts / Demande pour Les
> Experts d'éclosion de tilapia
>
>
>
> Excellent photo Nick - thanks for sharing. It makes sense that conditions
> closer to those in the wild would improve success rates.
>
>
>
> Some questions:
>
> - Is the management of larger ponds is more difficult?
>
> - Are there different management techniques for catching brooders in
> larger tanks?
>
> - Does anyone encounter space, water, energy, or financial limitations for
> larger tanks?
>
>
>
> Merci å Nick pour le photo excellent. C'est logique que des conditions qui
> resemble celle-lui de la sauvage voudraient ameliorer des taux de succes.
>
>
>
> Quelques questions:
>
> - La gestion, est-il plus difficil pour des bacs qui sont plus grandes?
>
> - Il y a des techniques differents de la gestion pour attraper des
> geniteurs dans les bacs plus grandes?
>
> - Il y a personnes qui rencontré des limitations de space, d'eau,
> d'énergie, ou de finance pour des bacs plus grandes?
>
>
>
> Alexandra
>
>
>
> On Mon, Apr 30, 2018 at 10:57 AM, Nick James <nickjames(a)intekom.co.za>
> wrote:
>
> One of the aspects that seriously affect hatching of tilapia eggs which
> has not been mentioned, is the breeding set-up used. The old-fashioned
> rectangular concrete or (even worse) round plastic breeding tank system
> whereby tilapia breeders are confined to a small space goes against Nature.
> In the wild, tilapia nests are often 1-2m in diameter and spaced 1-5m
> apart, between breeding males. Once spawning is complete, mouth-brooding
> females leave the arena. In captivity, we try to circumvent this by
> cramming many males and even more females in a small space…often tanks as
> small as 2000-5000l. This results in much inter-male competition and
> aggression, interruption of the spawning process by other fish, as well as
> little room for mouth-brooding females to escape over-attentive or even
> competitive males.
>
>
>
> Modern hapa-breeding methods using long hapas (10-40m in length by 3-5m
> width) in tunnels or in ponds in warmer areas, get over this problem.
> Males have space to be territorial without interfering with each other and
> mouth-brooding females can find refuge. This all results in much better
> ‘harvests’ of more viable eggs, and is used by most commercial hatcheries
> these days.
>
>
>
> The main issue seems to be convincing conservative government officials
> who seem to be unaware of these newer and more successful methods for use
> in their fish stations…
>
>
>
> I attach an example (with thanks to Vedad Alavian for the use of a photo
> of his fish farm in Kasama, NE Zambia).
>
>
>
> Regards
>
>
>
> Nick
>
>
>
>
>
> Nicholas P E James MSc (Ichthyology) (Rhodes), BA (Hons, Geography)
> (Rhod.), Grad. C. E., Pr. Sci. Nat.
>
> Rivendell Hatchery
>
> PO Box 6146 Market Square
>
> Grahamstown
>
> E. Cape
>
> 6141
>
> Cell +27-(0)82 575 9781
>
> email nickjames(a)intekom.co.za
>
> website www.rivendellhatchery.co.za
>
>
>
>
>
>
>
>
>
>
>
> *From:* Sarnissa-african-aquaculture [mailto:sarnissa-african-
> aquaculture-bounces(a)lists.stir.ac.uk] *On Behalf Of *Alexandra Pounds via
> Sarnissa-african-aquaculture
> *Sent:* 29 April 2018 05:43 PM
> *To:* sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk;
> sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> *Subject:* Calling all Tilapia Hatchery Experts / Demande pour Les
> Experts d'éclosion de tilapia
>
>
>
> *[English] What have you found to be the key to successful hatching of
> tilapia eggs? Is there a magic bullet? What is your estimated survival
> rates for: Hatching? Swim up? First Feeding? Sex Reversal? *
>
>
>
> *Ideas presented (by Karen Veverica & Nick James): *
>
> - managers should keep the eggs moving;
>
> - eggs should not be left out in bowls for too long;
>
> - bowls should be kept clean;
>
> - eggs should be carefully ejected from the female's mouth;
>
> - temperature should stay stable;
>
> - *Oreochromis ssp.* should be kept separate to avoid hybridisation,
> which can result in poor fertilisation and viability.
>
>
>
>
>
> *[Français] Avez-vous rencontré la clé de l'éclosion réussi des oeufs de
> tilapia? Il y a un balle magique? Qu'est-ce que sont votre taux de survie
> pour: L'éclosion? Nager? Premiere repas? Retournement de sexe? *
>
>
>
> *Idées presenté (pour Karen Veverica et Nick James):*
>
> - les chefs doivent continuer le movement des oeufs tous les temps;
>
> - il faut que des oeufs ne sont pas délaissé pour beaucoup des temps;
>
> - il faut que des bols sont propres;
>
> - il faut que des oeufs sont s'éjectés avec prudence de la bouche de la
> femalle;
>
> - il faut que le temperature est stable;
>
> - il faut que *Oreochromis ssp. *sont séparé pour éviter hybridisation,
> dont qui pourrait provoquer mauvais fertilisation et viabilité.
>
>
>
>
>
> ---
> Alexandra Pounds
>
> Assistant Manager Production Hatchery - OSO Farming LGA
> MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
> BSc Earth Systems, Stanford University
> (+44) 757.283.9224
>
>
>
>
>
>
>
> --
>
> ---
> Alexandra Pounds
> MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
> BSc Earth Systems, Stanford University
> (+1) 650.336.4554
> (+44) 757.283.9224
>
--
---
Alexandra Pounds
MSc Sustainable Aquaculture, University of Stirling
BSc Earth Systems, Stanford University
(+1) 650.336.4554
(+44) 757.283.9224