Est-il possible d'avoir les conclusions de cet important atelier
Bon week-en
Prof. MUTAMBUE SHANGO
Avenue Yandonge n° 9
Quartier Pigeon/Commune de Ngaliema
Ville Province de Kinshasa
République Démocratique du Congo
Tel : 00 243 815830347
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De : sandy toure <retoudysan(a)yahoo.fr>
À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Envoyé le : Jeu 3 février 2011, 18h 18min 06s
Objet : [Sarnissa] INFORMATIONS.
Sarnissa
Je suis heureux d apprendre a l equipe sarnissa que je participe a une
formation en Suede sur les changements climatiques avec le theme la
rizipisciculture comme alternative d adaptation et attenuation organise par l
agence Internationale Suedoise de Developpement . Cest dire que la conference
sur l aquqculture comme mesure d adaptation et d attenuation des changements
climatiques vient a point nomme. Sandy
--- En date de : Jeu 3.2.11, Lionel Dabbadie <dabbadie(a)ait.ac.th> a écrit :
De: Lionel Dabbadie <dabbadie(a)ait.ac.th>
Objet: [Sarnissa] FAO: 5E SESSION DU SOUS-COMITÉ DE L'AQUACULTURE DU COFI
À: "Liste Sarnissa" <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Date: Jeudi 3 février 2011, 7h35
Bonjour,
La 29ème session du comité des pêches se déroule actuellement à Rome. Vous
pouvez suivre son avancée sur ce site bilingue anglais-français:
http://www.iisd.ca/FAO/cofi/cofi2011/
Et voici ci dessous les faits marquants du sous-comité de l'aquaculture.
Bien amicalement
Lionel
LES DECISIONS ET RECOMMANDATIONS DE LA 5E SESSION DU SOUS-COMITÉ DE
L'AQUACULTURE DU COFI
Dans la matinée, Belemane Semoli, Afrique du Sud, a introduit ce point de
l'ordre du jour (COFI/2011/4 et INF.s 9 et 10) et le Secrétariat a présenté un
rapport sur la 5e session du Sous- comité, qui a eu lieu du 27 septembre au 1er
octobre 2010, à Phuket, en Thaïlande.
Le Secrétariat a fait état des résultats de la réunion et, notamment de l'accord
sur le projet de lignes directrices encadrant la certification de l'aquaculture,
sur le besoin de stratégies à court et à long termes pour l'adaptation au
changement climatique et l'application de l'approche écosystémique dans le
domaine de l'aquaculture et sur la conduite d’une étude sur les impacts de
l'aquaculture offshore .
Dans l'après-midi, de nombreuses parties ont appuyé l'adoption du projet de
directives encadrant la certification de l'aquaculture, et ont discuté de
diverses questions, y compris: les préoccupations concernant les barrières
commerciales, le financement accru consacré au développement de l'aquaculture et
à la mise en œuvre des lignes directrices dans les pays en développement, et la
biosécurité.
Le HONDURAS a suggéré la mise en place d’un système de suivi et d'évaluation
permettant de s'assurer que les lignes directrices encadrant la certification de
l'aquaculture ne portent pas atteinte aux petits producteurs, tandis que La
COLOMBIE a déclaré que les circonstances des producteurs de petite et moyenne
dimensions, devraient être intégrées dans les lignes directrices.
Le MALAWI a parlé de l'évaluation des impacts économiques de la certification.
Le GHANA, l’INDE, le BRESIL, le MOZAMBIQUE et le MAROC ont indiqué que les
lignes directrices encadrant la certification ne doivent pas créer de barrières
commerciales. L’ARGENTINE, le Brésil, au nom du GROUPE DES PAYS D’AMERIQUE
LATINE ET CARAÏBES (GRULAC), et l’ALGÉRIE, ont souligné que la mise en œuvre des
lignes directrices encadrant la certification doit être progressive et cohérente
avec les normes internationales de référence et, en particulier, avec l'Accord
sur l'application des mesures sanitaires et phytosanitaires et avec l'Accord de
l'OMC sur les obstacles techniques au commerce. Le délégué des Etats-Unis a
précisé que les lignes directrices régissant la certification ne seront pas un
obstacle au commerce.
Le VIET-NAM a exprimé sa crainte que la mise en œuvre du système de
certification soit lourde, précisant que la traçabilité devrait prendre en
considération le niveau de développement des pays. TONGA, avec l'OUGANDA, le
CAMEROUN, l’ANGOLA, le BANGLADESH, les ILES COOK et le SRI LANKA, a attiré
l'attention sur les contraintes financières et a demandé que le financement de
l'aquaculture soit augmenté. Le délégué des MALDIVES a soutenu l’idée d’avoir
des investissements étrangers directs dans l'aquaculture. Le GHANA, avec la
MAURITANIE, a proposé la création d’un fonds spécial pour les pays en
développement et les petits Etats insulaires, consacré à la mise en œuvre des
lignes directrices, et, avec l'UE et le CANADA, a approuvé les quatre piliers de
la mise en œuvre de la certification: la santé et le bien-être des animaux, la
sécurité alimentaire, l'intégrité environnementale et les aspects
socio-économiques. NAURU,
FIDJI ET MAURICE ont appelé à un financement accru pour le développement de
l'aquaculture dans leurs régions. La TURQUIE a déclaré que ces fonds
supplémentaires devraient être attribués à travers les ORGP.
Le BRESIL a souligné les discussions en cours sur les questions de santé et
bien-être des animaux au sein de plusieurs instances et a réitéré la nécessité
de revoir les lignes directrices encadrant la certification, à la prochaine
session du Sous-comité. Le KIRGHIZISTAN, au nom de la COMMISSION REGIONALE DES
PECHES ET AQUACULTURE D’ASIE CENTRALE ET DU CAUCASE, a appelé à une aide de la
FAO pour l'adaptation de l'aquaculture au changement climatique. L’UKRAINE et le
CHILI ont souligné la nécessité d'améliorer la collecte des données concernant
l'aquaculture. La CHINE a mis l’accent sur le renforcement de l’enregistrement
unifié et de la gestion technique, y compris la traçabilité complète et l'accès
aux marchés, aux fins de s’assurer de la qualité des produits de l'aquaculture.
Le CANADA a proposé une clarification des termes techniques relatifs à
l'aquaculture offshore.
S’agissant de la biosécurité, le GHANA s'est dit préoccupé par l'impact des
espèces exotiques envahissantes sur la diversité biologique. La NORVEGE a appelé
la FAO à collaborer avec l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) sur
les questions de la biosécurité. La THAÏLANDE a mis l’accent sur l'évaluation
des risques et sur les mesures préventives. Le CHILI a appelé à l'élaboration de
directives techniques encadrant les mesures de biosécurité applicables à
l'introduction d'espèces. La NAMIBIE, avec l'ANGOLA, la REPUBLIQUE DU CONGO et
la ZAMBIE, a félicité la FAO pour le Programme spécial pour le développement de
l'aquaculture en Afrique et a demandé une assistance dans la lutte contre
l’éruption de maladies dans les eaux intérieures. L'INDONESIE a appelé à une
assistance dans le domaine du contrôle des maladies virales dans l'aquaculture.
L’IRAN a demandé un soutien pour la mise en place de son système national de
certification de l'aquaculture, et a suggéré la conduite d’une étude mondiale
sur l'utilisation de médicaments dans l’aquaculture. Le CANADA a suggéré
d'examiner l'impact de l'aquaculture sur les pêches sauvages. Le MEXIQUE a mis
en exergue le renforcement de la coopération régionale et internationale dans le
domaine de l'aquaculture.
Un certain nombre d'organisations intergouvernementales ont parlé de leurs
travaux sur l'aquaculture, ont appuyé les lignes directrices encadrant la
certification de l'aquaculture et ont souligné les préoccupations concernant,
entre autres: l'utilisation des lignes directrices comme barrières non
tarifaires au commerce, la prolifération des systèmes de certification de
l'aquaculture et l'utilisation des farines et huiles de poisson dans
l'aquaculture. Les organisations non gouvernementales se sont déclarées
préoccupées par les impacts sociaux et environnementaux du développement de
l'aquaculture.
Le Secrétariat a signalé que le Comité a approuvé par consensus les lignes
directrices encadrant la certification de l'aquaculture et a entériné le rapport
de la 5e session du Sous-comité de l'aquaculture. En outre, il a souligné entre
autres: la suggestion d'une approche progressive et d’un système de suivi pour
la mise en œuvre des lignes directrices; la demande présentée à la FAO d'allouer
davantage de ressources à l'aquaculture dans son programme de travail; et le
consensus atteint sur l'importance des questions de biosécurité et des besoins
qui s’y rapportent en matière de renforcement des capacités.
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