Bonjour SARNISSA,
Je suis content d’être des vôtres. Vous avez l’honneur à Kodjo AGBEMELE,
Togolais. Mon intérêt pour l’aquaculture m’amène à consacrer ma thèse de
doctorat au sujet. Je suis en 3e année et si tout va bien, je soutiens en
décembre 2018. Je travaille sur l’aspect itinéraire technique et impact
socioéconomique de cette forme de mise en valeur. Avec un Master en
Société-Environnement-Aménagement sur fond de géographie rurale, j’ai eu à
faire un mémoire sur la pêche continentale dans le lac du barrage
artificiel de Nangbéto au Togo après un mémoire sur la pêche dans le canton
d’Agbodrafo. Inscrire la question des ressources des pêches dans une
approche comparative surtout en termes d’apport socioéconomique nous amène
à réfléchir sur la rentabilité entre une pêche de capture et une pêche
d’élevage.
Des expéditions fréquentes nous ont permis d’explorer la Région des
Plateaux togolais, l’espace d’étude dans le but de toucher du doigt la
question. Les données secondaires, bien que fragmentaires, mises à notre
disposition par la DPA, structure qui a en charge la pêche au Togo, nous
ont permis d’enrichir notre base documentaire. J’ai eu à voyager sur le
centre Songhaï à Porto-Novo afin d’apprécier les réalités leurs et comparer
avec ce qui se fait dans les Plateaux togolais.
Je suis animé de l’idée d’un stage de courte durée dans une ferme aquacole
de la sous-région pour apporter de la richesse à mon travail. Voilà l’une
des raisons qui motive ma souscription à SARNISSA. Je m’aperçois que je
suis resté très longtemps en dehors d’un monde où j’avais toute ma place.
Je tiens à exprimer toute ma gratitude à l’équipe.