Merci pour ces intéressants éléments d'information.
En moyenne à quel poids moyen est fait le sexage
en Guinée et quand vous évoquez la qualité de ce
sexage, avez-vous une idée du pourcentage d'erreurs de sexage ?
Merci d'avance pour votre réponse,
JF Baroiller
At 18:38 19/11/2008, you wrote:
En guinée, nous pratiquons la polyculture en
semi intensif et très souvent en extensif.Les
espèces élevées sont O niloticus, Hétérobrancus
isopterus, Hétérotis niloticus et Hémichromis fasciatis.
Le sexage est manuel
Dans la pratique, l'Hémichromis est le plus
conseillé et utilisé comme prédateur; son effet
est relativement faible à cause de la qualité du
sexage mais aussi de la présence importante des
zillis dans les eaux de la région.
Finalement les paysans qui cherchent plus la
production en bio masse que la taille par unité,
ne trouvent plus l'importance de son
utilisation.Surtout qu'ils ne grossissent pas comme les autres poissons.
Sidiki keita,
--- En date de : Mar 18.11.08, JF Baroiller <baroiller(a)cirad.fr> a écrit :
De: JF Baroiller <baroiller(a)cirad.fr>
Objet: [Sarnissa-french-aquaculture] Contrôle du sexe chez le tilapia
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Mardi 18 Novembre 2008, 14h43
Chers tous,
Nous connaissons tous l'importance du contrôle du
sexe pour la production de tilapia dans la
plupart des nombreuses conditions d'élevage
possible chez ce groupe d'espèces. Inutile de
vous rappeler que différentes techniques ont été
(hybridation) ou sont classiquement utilisées
(principalement le sexage manuel, l'inversion
hormonale et l'utilisation de mâles YY) pour un
tel contrôle du sexe. Chacune de ces techniques a
été présentée à de nombreuses reprises avec ses
avantages et ses contraintes. Nous connaissons
tous des pisciculteurs qui utilisent plutôt une
approche ou plutôt l'autre, en fonction de ses
contraintes (essentiellement le coût, la facilité
de mise en oeuvre et l'efficacité). Il est par
contre plus difficile d'avoir une idée précise de
la proportion relative de pisciculteurs qui
utilisent l'une ou l'autre de ces approches.
Seriez-vous d'accord pour partager cette
information, en disant si vous utilisez plutôt le
sexage manuel, l'inversion hormonale, les
descendances de mâles YY, l'hybridation, dans
quelles conditions d'élevage (monoculture,
polyculture, extensif, semi-intensif) ou si au
contraire vous utilisez des prédateurs et si oui,
quels types de prédateurs (Hemichromis,
Heterobranchus, Clarias, Lates), et quelle est la
justification première de votre choix ?
Amicalement à tous,
JF Baroiller & Helena D'Cotta
Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
TA B-20/A, Bur.A18
34398 Montpellier cedex 5
France
(: 33.(0)4.67.59.39.51 (ligne directe); 33.(0)4.67.59.39.05
(sec)
Fax : 33.(0)4.67.59.38.25
* baroiller(a)cirad.fr
http://aquatrop.cirad.fr/
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Dr J.F. Baroiller
CIRAD-Persyst,
UPR20 Aquaculture et gestion des ressources aquatiques
Campus International de Baillarguet
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