Bonsoir Lionel
je pose une question a laquelle il me faudrait une réponse.On peut élever du poisson a forte valeur ajouté sous les tropiques pour l'export ou le consommateur touriste ou aisé.
Pour les années a venir avec la rarefaction des apports en poisson sauvage a un prix abordable pour le consommateur du bas de l'échelle sociale, il faut immédiatement songer a trouver un palliatif local a 4/5 ans, pour ne pas comme certains pays producteurs de poisson sauvage a forte valeur ajouté , être obligé d'importer des produits congelés pour nourrir sa population a faible revenu.
Il faut aussi savoir qu'a Maurice le manque d'eau douce et les espaces disponibles pour une aquaculture de volume sont des facteurs très limitant. On ne peut pas comparer les pouvoirs d'achats reunionais et mauriciens des consommateurs ciblés
Bien a vous
Jean-Yvon THEPAUT
Senior Adviser
Officer in Charge Competent Authority Seafood.
Ministry of fisheries and Rodrigues .Mauritius.
Tel: Secrétariat (230) 206 2812 - Direct 206 2815 - Mobiles 940 2270 / 798 8370
Courriel: tpo126(a)yahoo.fr.
________________________________
De : Lionel Dabbadie <lionel.dabbadie(a)cirad.fr>
À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Cc : Jean-Yvon Thepaut <tpo126(a)yahoo.fr>
Envoyé le : Lundi 25 Avril 2011 20h01
Objet : Re : [Sarnissa] Re : Re : Re : quel avenir pour Sarnissa/point de vue sur les fora
Bonsoir,
L'aquaculture marine reste encore une activité d'espèces à haute valeur ajoutée sous les tropiques, donc peu compatible avec la contrainte "poisson peu cher". Faute de mieux à ce jour, j'aurais aussi tendance à dire tilapia rouge, mais plutôt en eau douce car de ce que je sais du contexte mauricien, l'introduction en lagon risque de ne pas être "socialement acceptable" (sans parler des risques environnementaux). Voir l'expérience Gueule rouge réunionnaise avec l'ARDA (le tilapia réunionnais est vendu localement à >12 euros le kg au détail, mais il est peut-être possible d'obtenir des coûts de production inférieurs à Maurice ?...).
Il doit aussi y avoir des siganidés locaux. Est-ce que l'expérience néo-calédonienne sur S. lineatus ou les travaux actuels à Mayotte peuvent être utiles et surtout, être déjà disponibles pour le développement ? Il y a des gens sur la liste qui peuvent répondre mieux que moi sur les coûts de production de ces espèces herbivores.
Dans tous les cas, et compte tenu encore une fois de ce que je sais du contexte mauricien, je conseille que ce problème ne soit pas limité à une réflexion bio-technique mais considère d'emblée le problème de manière intégrée, qui associe les différents acteurs concernés (par exemple du genre http://reunion-mayotte.cirad.fr/actualites/jeu_de_roles pour mettre en avant un outil maison) : c'est la meilleure façon de générer une réflexion fertile et constructive.
Bien amicalement
Lionel
Le 23 avr. 2011 à 14:56, albert walanga a écrit :
> Chers tous!
> La suggestion de Mhammed EL Ahdal est intéressante, mais il convient à mon avis
> de prendre en compte les effets qui pourraient survenir au cas où l'on
> introduirait le Tilapia rouge là où l'on ne l'avait pas avant. Le Tilapia rouge
> est-elle une espèce à une très large distribution en eau marine?
>
>
> Albert BULIMWENGU WALANGA
> Secrétaire à la Coordination Nationale de la
> Société Congolaise d'Ecologie(SOCECO)
> Faculté des Sciences/Université de Kisangani/ R.D. Congo.
> GSM:
> +243 (0) 99 76 73 808
> +243 (0) 85 33 14 292
> E-mail: albertwalanga(a)yahoo.fr
>
>
>
>
> ________________________________
> De : Elahdal Mohamed <m.elahdal(a)yahoo.fr>
> À : "sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk"
> <sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
> Envoyé le : Sam 23 avril 2011, 9h 20min 09s
> Objet : [Sarnissa] Re : Re : quel avenir pour Sarnissa/point de vue sur les fora
>
> Bonjour tous
>
> A mon avis le poisson le moins cher qu'on peut élever dans les eaux marines
> reste
> le tilapia rouge (red Télapia), les expériences en Egyptes ont donné de bons
> résultats.
> Les autres poissons traditionnels tels que seabass and seabream sont
> conditionnés par l'aliment dans la majorité des cas importés
> des pays étrangers ce qui augmente le prix de vente, d'où la nécessité urgente
> de penser à créer une unité de fabrication
> d'aliment à base de sardine au Maroc, ou Mauritanie ou dans les pays de sardine
>
> Bien à vous
> Mhammed EL Ahdal
> AquaExpert
> Morocco
>
>
>
>
> ________________________________
> De : Jean-yvon Thepaut <tpo126(a)yahoo.fr>
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Envoyé le : Samedi 23 Avril 2011 6h04
> Objet : Re : [Sarnissa] Re : quel avenir pour Sarnissa/point de vue sur les fora
>
> bonjour tous
> je souhaiterais avoir quelques idées sur les possibilités d'une aquaculture en
> eau de mer ( LAGONS)d'un poisson destine a être commercialisé a un prix
> abordable pour la population a faibles revenus dont le poisson fait actuellement
>
> parti de son alimentation de base. En effet sur les banc de la zone économique
> de Maurice ,il se pêche actuellement par des pirogues opérant a partir d' un
> bateau mère congélateur obsolète a bout de souffle, un poisson dénomme la perle
>
> qui est le moins cher du marcher dont les captures sont en très fortes
> diminutions . De plus cette peche est pratiquée comme aux siècles derniers par
> les terre-neuvas dans des conditions inhumaine.
>
> Bien a vous
> Jean-Yvon THEPAUT
> Senior Adviser
> Officer in Charge Competent Authority Seafood.
> Ministry of fisheries and Rodrigues .Mauritius.
> Tel: Secrétariat (230) 206 2812 - Direct 206 2815 - Mobiles 940 2270 / 798 8370
> Courriel: tpo126(a)yahoo.fr.
>
>
>
>
> ________________________________
> De : Elahdal Mohamed <m.elahdal(a)yahoo.fr>
> À : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Envoyé le : Mar 19 avril 2011, 20h 04min 17s
> Objet : Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa/point de vue sur les fora
>
> Bonjour,
> Je viens de découvrir le site sarnissa et je le trouve interactif, c'est un ami
> qui m'a informé de ce site, il peut jouer dans le futur un rôle important compte
>
> tenu que les produits aquacoles participent à 50% environ de la consommation
> mondiale des produits de la mer.
> Il serait intéressant de traiter aussi l'aquaculture marine, qui constitue pour
> mon pays le Maroc, un créneau de développement, à l'horizon de 2020, la
> production atteindrait 200 000 tonnes environ d'aprés la stratégie Halieutis qui
>
> a démarré en septembre 2009;
>
> Bon courage
>
> EL Ahdal Mhammed
> Manager of AquaExpert
> ancien point focal du Système d'Information pour la Promotion de l'Aquaculture
> en Méditerranée (SIPAM) sous la tutelle de la CGPM/FAO
>
> --- En date de : Lun 18.4.11, Olivier MIKOLASEK <olivier.mikolasek(a)cirad.fr> a
> écrit :
>
> De: Olivier MIKOLASEK <olivier.mikolasek(a)cirad.fr>
> Objet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa/point de vue sur les fora
> À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Date: Lundi 18 avril 2011, 8h50
>
> bonjour,
> depuis le 30 mars, pas un seul message n'a été échangé sur le forum de langue
> française....
> sur la liste de langue anglaise une cinquantaine de messages ont été échangés
> durant la même période traitant d'une dizaines informations et de deux (ou
> trois) sujets différents et faisant interagir une trentaine de personnes.
> 1800 personnes sont enregistrés dont plus de 2/3 d'anglophones ce qui peut
> expliquer en partie la plus grande activité du forum anglophone....mais pas
> seulement...quelqu'en soit les raisons, c'est clair que le forum anglophone est
> plus actif. J'ai pu constater (au vue de cette plus grande activité du forum
> anglophone et de l'intérêt des sujets traités ?) qu'un certain nombre de
> francophones participait régulièrement aux échanges.
> Au vue de cette réalité, je suis pour tester la maintien d'un seul forum
> d'expression bilingue, voir trilingue (anglais, français et portugais) où les
> traductions pourront être faites par les membres eux mêmes non pas
> systématiquement mais en fonction de l'intérêt portés aux sujets...
> qu'en pensez vous ?
> bien à vous
> Olivier
>
> PS: je ne fais qu'un constat, n'intervenant pas dans les échanges ou si rarement
>
>
>
>
>
>
> -------- Message original --------
> Sujet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa
> Date : Wed, 30 Mar 2011 12:09:57 +0100 (BST)
> De : Sana BOUDA <sanabouda(a)yahoo.fr>
> Répondre à : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> Pour : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
>
>
>
> Il m'est apparu que le retour est automatique des la fin du remplissage de la
> fiche. Si ce n'est pas le cas, j'imagine que certains y compris moi meme pensent
>
> erronnement avoir accompli repondu.
> Cordilaement
>
> --- En date de : Mer 30.3.11, Newton Rodrigues<rodrigues.newton(a)gmail.com> a
> écrit :
>
>
> De: Newton Rodrigues<rodrigues.newton(a)gmail.com>
> Objet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa
> À:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk
> Date: Mercredi 30 mars 2011, 11h38
>
>
> Bonjour à tous,
>
> Je suis brésilien et je pense que nous devions répondre les questions sur
> l'avenir pour SARNISSA. C'est le moment de reconnaitre l'importance de ce
> projet.
>
> Amitiés.
>
> Newton
>
>
> On a reçu 125 réponses au sondage "Quel avenir pour SARNISSA", cela
> représente à peine plus 7% des 1700 membres de SARNISSA. Des réponses
> supplémentaires permettraient de mieux cerner vos attentes vis vis du
> future de SARNISSA . Vous pouvez encore répondre au sondage jusqu'au 3
> avril, alors n'attendez plus, svp et merci
>
>
> http://www.survey.bris.ac.uk/stirling/quellesarnissa
>
> svp donnez nous votre opinion sur le future de Sarnissa :-)
> un grand merci,
>
>
> Olivier et Lionel
>
>
>
>
>
> -------------- section suivante --------------
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> URL:
> <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
>
>
> _______________________________________________
> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
>
>
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> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
>
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> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
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> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
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>
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> Sarnissa-french-aquaculture mailing list
> Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
> http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
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Quelles explications de l’attitude de la liste francophone ?
Hypothèses :
Un coup d’œil sur les profils des intervenants traditionnels non chercheurs de la liste francophone me fait penser qu’il y a relativement moins d’acteurs d’entrepreneuriat que dans la liste anglophone. Cela ne suffit pas pour conclure que les aquaculteurs francophones n’évoluent que dans les fonctions et administrations publiques. Dans lequel cas il faut reconnaitre qu’ils sont évidemment préoccupés par les conjonctures politiques qui présentement denses dans des pays francophones. Les fins de trimestre, avec leurs exigences de rédactions rapports d’activités sont également occupantes pour les fonctionnaires.
Au demeurant, je trouve l’idée d’une liste unique, positive en ce qu’elle permettra un plus large partage. Tout francophone a la possibilite de comprendre un message anglais tant qu'il y trouve de l'interet et vice versa.
Cordialement'
BOUDA
--- En date de : Lun 18.4.11, Olivier MIKOLASEK <olivier.mikolasek(a)cirad.fr> a écrit :
De: Olivier MIKOLASEK <olivier.mikolasek(a)cirad.fr>
Objet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa/point de vue sur les fora
À: sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Date: Lundi 18 avril 2011, 10h50
bonjour,
depuis le 30 mars, pas un seul message n'a été échangé sur le forum de langue française....
sur la liste de langue anglaise une cinquantaine de messages ont été échangés durant la même période traitant d'une dizaines informations et de deux (ou trois) sujets différents et faisant interagir une trentaine de personnes.
1800 personnes sont enregistrés dont plus de 2/3 d'anglophones ce qui peut expliquer en partie la plus grande activité du forum anglophone....mais pas seulement...quelqu'en soit les raisons, c'est clair que le forum anglophone est plus actif. J'ai pu constater (au vue de cette plus grande activité du forum anglophone et de l'intérêt des sujets traités ?) qu'un certain nombre de francophones participait régulièrement aux échanges.
Au vue de cette réalité, je suis pour tester la maintien d'un seul forum d'expression bilingue, voir trilingue (anglais, français et portugais) où les traductions pourront être faites par les membres eux mêmes non pas systématiquement mais en fonction de l'intérêt portés aux sujets...
qu'en pensez vous ?
bien à vous
Olivier
PS: je ne fais qu'un constat, n'intervenant pas dans les échanges ou si rarement
-------- Message original --------
Sujet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa
Date : Wed, 30 Mar 2011 12:09:57 +0100 (BST)
De : Sana BOUDA <sanabouda(a)yahoo.fr>
Répondre à : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Pour : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Il m'est apparu que le retour est automatique des la fin du remplissage de la fiche. Si ce n'est pas le cas, j'imagine que certains y compris moi meme pensent erronnement avoir accompli repondu.
Cordilaement
--- En date de : Mer 30.3.11, Newton Rodrigues<rodrigues.newton(a)gmail.com> a écrit :
De: Newton Rodrigues<rodrigues.newton(a)gmail.com>
Objet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa
À:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk
Date: Mercredi 30 mars 2011, 11h38
Bonjour à tous,
Je suis brésilien et je pense que nous devions répondre les questions sur
l'avenir pour SARNISSA. C'est le moment de reconnaitre l'importance de ce
projet.
Amitiés.
Newton
On a reçu 125 réponses au sondage "Quel avenir pour SARNISSA", cela
représente à peine plus 7% des 1700 membres de SARNISSA. Des réponses
supplémentaires permettraient de mieux cerner vos attentes vis vis du
future de SARNISSA . Vous pouvez encore répondre au sondage jusqu'au 3
avril, alors n'attendez plus, svp et merci
http://www.survey.bris.ac.uk/stirling/quellesarnissa
svp donnez nous votre opinion sur le future de Sarnissa :-)
un grand merci,
Olivier et Lionel
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Sarnissa-french-aquaculture mailing list
Sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture
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bonjour,
depuis le 30 mars, pas un seul message n'a été échangé sur le forum de
langue française....
sur la liste de langue anglaise une cinquantaine de messages ont été
échangés durant la même période traitant d'une dizaines informations et
de deux (ou trois) sujets différents et faisant interagir une trentaine
de personnes.
1800 personnes sont enregistrés dont plus de 2/3 d'anglophones ce qui
peut expliquer en partie la plus grande activité du forum
anglophone....mais pas seulement...quelqu'en soit les raisons, c'est
clair que le forum anglophone est plus actif. J'ai pu constater (au vue
de cette plus grande activité du forum anglophone et de l'intérêt des
sujets traités ?) qu'un certain nombre de francophones participait
régulièrement aux échanges.
Au vue de cette réalité, je suis pour tester la maintien d'un seul forum
d'expression bilingue, voir trilingue (anglais, français et portugais)
où les traductions pourront être faites par les membres eux mêmes non
pas systématiquement mais en fonction de l'intérêt portés aux sujets...
qu'en pensez vous ?
bien à vous
Olivier
PS: je ne fais qu'un constat, n'intervenant pas dans les échanges ou si
rarement
-------- Message original --------
Sujet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa
Date : Wed, 30 Mar 2011 12:09:57 +0100 (BST)
De : Sana BOUDA <sanabouda(a)yahoo.fr>
Répondre à : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Pour : sarnissa-french-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
Il m'est apparu que le retour est automatique des la fin du remplissage de la fiche. Si ce n'est pas le cas, j'imagine que certains y compris moi meme pensent erronnement avoir accompli repondu.
Cordilaement
--- En date de : Mer 30.3.11, Newton Rodrigues<rodrigues.newton(a)gmail.com> a écrit :
De: Newton Rodrigues<rodrigues.newton(a)gmail.com>
Objet: Re: [Sarnissa] quel avenir pour Sarnissa
À:sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk
Date: Mercredi 30 mars 2011, 11h38
Bonjour à tous,
Je suis brésilien et je pense que nous devions répondre les questions sur
l'avenir pour SARNISSA. C'est le moment de reconnaitre l'importance de ce
projet.
Amitiés.
Newton
On a reçu 125 réponses au sondage "Quel avenir pour SARNISSA", cela
représente à peine plus 7% des 1700 membres de SARNISSA. Des réponses
supplémentaires permettraient de mieux cerner vos attentes vis vis du
future de SARNISSA . Vous pouvez encore répondre au sondage jusqu'au 3
avril, alors n'attendez plus, svp et merci
http://www.survey.bris.ac.uk/stirling/quellesarnissa
svp donnez nous votre opinion sur le future de Sarnissa :-)
un grand merci,
Olivier et Lionel
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URL: <http://lists.stir.ac.uk/pipermail/sarnissa-french-aquaculture/attachments/2…>
> DESTINATAIRES : Représentants des États et Territoires
> Diffusion habituelle N° : 11/21
>
> RÉFÉRENCE : PRO 7/54/8 DATE : 7 avril 2011
>
> OBJET : Mission de consultant chargé d’examiner les possibilités et les problèmes de développement de l’aquaculture marine dans les États et Territoires insulaires océaniens
>
>
>
>
> APPEL D’OFFRES
>
> CONTEXTE
>
> La Communauté du Pacifique (CPS) est une organisation internationale de conseil technique, scientifique et stratégique, d’assistance, de formation et de recherche au service de ses membres insulaires océaniens. Elle œuvre dans un large éventail de secteurs, en vue de contribuer à trois domaines de développement : le développement économique durable, la gestion et la mise en valeur durables des ressources naturelles et le développement humain et social durable.
>
> La CPS a son siège à Nouméa (Nouvelle-Calédonie). Elle dispose de deux antennes régionales à Suva (Îles Fidji) et à Pohnpei (États fédérés de Micronésie), ainsi que d’un bureau national de coordination à Honiara (Îles Salomon) et à Port-Vila (Vanuatu). Pour tout complément d’information sur la CPS, en particulier sur ses différents domaines d’intervention, veuillez consulter le site Web de la CPS à l’adresse suivante : www.spc.int.
>
> Le Programme pêche côtière de la CPS aide les États et Territoires insulaires océaniens à développer les capacités dont ils ont besoin pour évaluer, récolter, valoriser, gérer et préserver leurs ressources marines, en leur offrant conseils et formation par l’entremise de pêcheurs chevronnés, de spécialistes de la valorisation des produits de la pêche, de scientifiques, de gestionnaires, de spécialistes de l’aquaculture et de planificateurs. Il apporte un appui au développement durable et à la gestion des pêcheries océaniennes de subsistance, artisanales et commerciales de petite et moyenne envergure, grâce à la prestation de conseils en matière d’évaluation, de développement et de gestion, de services d’assistance technique et de programmes de formation scientifique, professionnelle et en détachement, à l’échelon tant national que régional. Le Programme diffuse également des informations pertinentes. La Section aquaculture est l’une des trois sections du Programme pêche côtière.
>
> La sécurité alimentaire des États et Territoires insulaires océaniens est essentiellement tributaire de la pêche de capture. Le rôle de la pêche dans la sécurité alimentaire ne consiste pas à capturer du poisson pour répondre uniquement aux besoins de consommation, mais également pour générer des revenus et créer des emplois sur un marché halieutique axé sur l’exportation. L’aquaculture joue un rôle tout aussi important dans l’accès des populations à des sources alimentaires.
>
>
> Mandat
>
> La perliculture en Polynésie française et l’élevage de la crevette pénéide en Nouvelle-Calédonie ont été les moteurs du développement de l’aquaculture dans la région océanienne. Dans le reste de la région, la production aquacole n’a pas connu l’essor rapide de la filière observé à l’échelle mondiale même si, récemment, de petites et moyennes entreprises d’aquaculture marine ont commencé à cibler des marchés locaux et d’exportation, notamment par les produits de niche, proposant une nouvelle source pérenne d’alimentation, d’emploi et de revenus. Le Secrétariat général de la Communauté du Pacifique, au titre du volet aquaculture marine du projet sur la pêche au service de la sécurité alimentaire financé par l’AusAID, recrute un consultant (ou une équipe de consultants) afin d’examiner les possibilités et les problèmes de développement de l’aquaculture marine dans les États et Territoires insulaires océaniens. Les conclusions de cette étude orienteront les travaux réalisés dans le cadre de ce projet au cours des trois à quatre prochaines années.
>
> Objectif
>
> Cette étude a pour objet d’examiner les possibilités et les problèmes de développement de l’aquaculture marine en tant que pourvoyeur d’emplois, de revenus et/ou de denrées alimentaires au profit des populations de la région océanienne. Elle repose essentiellement sur des études de cas effectuées aux Îles Cook, aux Îles Fidji, aux Îles Marshall, aux Îles Salomon et en Papouasie-Nouvelle-Guinée, mais elle pourrait tenir compte d’expériences conduites ailleurs dans la région. Le mandat du consultant est le suivant :
>
> Tâches particulières
>
> 1. Le consultant élabore, en étroite collaboration avec la Section aquaculture de la CPS et le Chargé du développement de la pêche (économie), un rapport intitulé : « Potentiel de développement de l’aquaculture marine océanienne ». Ce rapport s’appuie sur les points de vue et l’expérience du secteur privé ainsi que des administrations locales et nationales, et se compose des chapitres suivants :
>
> i. Synthèse de la documentation et des rapports disponibles sur le secteur de l’aquaculture marine, ses impacts et sa problématique, et résumé des informations générales sur les pays retenus pour conduire l’étude de cas réalisée dans le cadre de cette évaluation ;
> ii. Analyse de référence du secteur de l’aquaculture marine dans chaque État et Territoire insulaire océanien sélectionné, y compris étude du marché et de la chaîne de valeur, résultats financiers et plans d’expansion ;
> iii. Évaluation des succès et des échecs des actions menées par les pouvoirs publics afin de promouvoir l’aquaculture marine et de mettre en place de futurs modèles de développement axés sur les enseignements du passé ;
> iv. Évaluation des tendances, sur le marché mondial, des principaux produits de l’aquaculture marine, des débouchés sur les marchés locaux et régionaux, ainsi que de l’intérêt des investisseurs afin d’épurer la liste des produits prioritaires figurant dans le plan d’action 2007 de la CPS en faveur de l’aquaculture ;
> v. Évaluation exhaustive des obstacles au développement de l’aquaculture marine sur le plan politique, juridique, financier, technique et socioculturel, et formulation de recommandations à la CPS sur les meilleurs moyens de surmonter ces obstacles ;
> vi. Évaluation des perspectives d’investissement et d’expansion de l’aquaculture marine dans les États et Territoires insulaires océaniens sélectionnés. Il s’agira notamment de consulter les investisseurs existants et potentiels ainsi que les autorités locales actives dans ce secteur ;
> vii. Estimation réaliste de la valeur économique potentielle de l’aquaculture marine au cours des cinq à dix prochaines années, compte tenu des évaluations susmentionnées. Il convient d’accorder la priorité à la création d’emplois, aux résultats financiers estimés du secteur, aux conséquences de la substitution des importations par des produits alimentaires locaux et à un renforcement de la sécurité alimentaire.
>
> 2. Des consultations sur place sont nécessaires pour élaborer le rapport. Les agents du service des pêches et, éventuellement, d’autres administrations compétentes, peuvent tirer profit de ces échanges en accompagnant le consultant aux réunions, dans la mesure du possible. Toutefois, le consultant n’est pas tenu de payer les agents accompagnateurs. Les personnes/services suivants sont notamment consultés aux fins d’élaboration du rapport :
>
> • Les parties prenantes du domaine de l’aquaculture marine, telles que les entreprises du secteur, les exploitations maricoles communautaires ;
> • Les investisseurs potentiels ;
> • L’organisme national chargé des ressources halieutiques et marines ;
> • Le service du commerce extérieur ;
> • L’organisme chargé de la promotion des investissements étrangers ; et
> • Les autorités municipales, locales et provinciales.
>
> Résultats escomptés
>
> 3. Les résultats escomptés sont les suivants :
>
> i. Un rapport d’analyse succinct, de cinq (5) pages maximum, sur la valeur économique de l’aquaculture marine pour chaque pays participant à l’étude. Il devrait inclure des recommandations stratégiques à l’intention des différents pays afin de promouvoir le développement de l’aquaculture marine et d’améliorer la viabilité économique du secteur ; et
> ii. Un rapport de synthèse régional sur le potentiel de l’aquaculture marine en Océanie. Il devrait inclure des recommandations précises concernant la révision, le cas échéant, de textes régionaux sur l’aquaculture tels que le Plan d’action 2007 de la CPS en faveur de l’aquaculture.
>
> Le consultant présente à la CPS, d’ici à la fin du mois d’août, un projet de rapport régional de trente (30) pages maximum, y compris jusqu’à six pages de résumé, sans compter les annexes ni les tableaux.
>
> La CPS se réserve dix (10) jours ouvrables, à compter de la date de réception du projet de rapport, pour faire part de ses suggestions et commentaires au consultant. Une version finale du rapport régional, de trente-cinq (35) pages maximum, y compris jusqu’à six (6) pages de résumé, sans compter les annexes ni les tableaux, est présentée à la CPS d’ici à la fin du mois de septembre 2011.
>
> Qualifications et expérience
>
> 4. Profil du consultant :
>
> i. Diplôme d’études universitaires supérieures en économie, gestion d’entreprise ou disciplines apparentées ;
> ii. Connaissance approfondie des questions liées à la pêche et à l’aquaculture/aquaculture marine ;
> iii. Capacité avérée d’analyse et aptitude à rédiger de manière claire et concise en anglais ;
> iv. Capacités avérées de tenir des délais ; et
> v. Disposition à se rendre dans les différents États et Territoires insulaires océaniens afin de mener la présente étude.
>
> Échéancier et soumission
>
> 5. La mission se déroule sur une période de 60 à 70 jours ouvrables, à raison de huit (8) jours ouvrables minimum dans chaque pays aux fins de consultation. Le contrat est adjugé à la mi-mai 2011 et la mission débute à la fin de ce même mois. Le consultant présente un projet de rapport à la CPS à la fin du mois d’août 2011. Un rapport final est présenté à la fin du mois de septembre 2011.
>
> 6. Le consultant intéressé est tenu de démontrer clairement dans son offre qu’il comprend le mandat de la mission et d’expliquer sa méthode et son programme de travail ainsi que son échéancier.
>
>
> L’offre inclut les éléments suivants :
>
> Curriculum vitæ détaillé du (des) consultant(s)
> Noms et coordonnées de trois répondants
> Date initiale de la mission
> Honoraires
>
> Les offres supérieures à soixante mille (60 000) dollars É.-U. ne sont pas prises en considération.
> Critères d’évaluation des offres
>
> Méthode
>
> • Structure claire et logique du programme de travail
> • Compréhension avérée des questions à traiter
>
> Consultant – Expérience et qualifications essentielles
>
> • Diplôme d’études universitaires supérieures en économie, gestion d’entreprise ou disciplines apparentées.
> • Expérience de l’évaluation des possibilités d’investissement dans le secteur de l’aquaculture marine.
> • Expérience avérée des analyses de ce type.
> • Expérience de la collaboration avec les pouvoirs publics.
>
> Confidentialité et droit d’auteur
>
> 7. Le rapport reste confidentiel jusqu’à ce qu’il soit définitivement approuvé et publié par la CPS, et le consultant n’est pas autorisé à divulguer ni à utiliser le rapport ni les informations qu’il contient sauf autorisation écrite préalable de chacune des institutions suivantes : les services nationaux assurant la liaison dans le cadre des consultations sur place et le Secrétariat général de la Communauté du Pacifique.
>
> 8. Tous les documents et rapports produits dans le cadre de ces consultations restent la propriété des autorités nationales du pays où l’étude est menée ainsi que du Secrétariat général de la Communauté du Pacifique, et la propriété intellectuelle des contenus publiés dans ces documents et de ces rapports appartient aux pays participant à cette étude ainsi que de la CPS, ou relève de leurs droits d’exclusivité.
>
> Date limite de dépôt des offres
>
> 9. Les soumissions doivent être envoyées au Directeur de la Division pêche, aquaculture et écosystèmes marins, Secrétariat général de la Communauté du Pacifique, BP D5, 98848 Nouméa Cedex, Nouvelle-Calédonie, au plus tard le vendredi 30 avril 2011 à 17 heures, heure de Nouméa. Elles peuvent être transmises à la CPS par voie électronique à l’adresse HeleneL(a)spc.int avec demande d’accusé de réception.
>
>
> Jimmie Rodgers
> Directeur général
Vous êtes un groupe de chercheurs du Sud souhaitant former une équipe de recherche
Vous avez établi un partenariat avec une unité de recherche d’un des membres de l’AIRD
Alors constituez une Jeune équipe AIRD (JEAI)
Parties prenantes : La notion de « jeune équipe » désigne une association de quelques chercheurs (3 au minimum), réunis par leur participation récente à des activités de recherche communes. Elle comprend des jeunes chercheurs et des chercheurs plus expérimentés (nécessaire pour l'encadrement des doctorants accueillis). Ayant un projet collectif, ils souhaitent gagner en reconnaissance institutionnelle ainsi qu’en visibilité internationale. La JEAI est associée à une unité de recherche sous la tutelle d’au moins un des membres de l’AIRD(CIRAD, Université française, Institut Pasteur, CNRS, INSERM, IRD), qui accompagne l’émergence de la JEAI.
Contenu : Le programme JEAI a pour objectif de renforcer les capacités collectives de recherche des pays du Sud. Il vise également à accompagner les démarches de partenariat des unités, afin que cette association contribue à renforcer les compétences collectives de l'équipe et ainsi la pérenniser.
Tout projet sera soumis à une évaluation scientifique basée sur :
• la qualité scientifique du programme de recherche proposé,
• le potentiel de l'équipe,
• la pertinence et la qualité de l'association avec l’unité de recherche partenaire, l'impact attendu de cette association sur les perspectives de développement de l'équipe,
• la reconnaissance du projet par l(es) institution(s) de rattachement des membres de l'équipe,
• la probabilité de pérennisation de l'équipe au-delà du soutien.
Modalités : Dans cette perspective, l’AIRD propose un soutien de 60 000 euros maximum à de «jeunes équipes » associées à des unités de recherche sous la tutelle d’au moins un des membres de l’AIRD et un accompagnement sous forme d’ateliers annuels.
Durée : les projets ont une durée de 3 ans, sous réserve d’une évaluation positive à mi-parcours.
En adressant votre candidature avant le 31 mai 2011
Une fois complété par le(a) directeur(rice) de l’unité de recherche partenaire du projet de JEAI, les dossiers de candidature doivent être adressés par voie postale avant le31 mai 2011, lecachet de la poste faisant foi :
AIRD
Direction des programmes de recherche et de la formation au Sud
Service Renforcement des capacités/JEAI
IRD - Immeuble « Le Sextant »
44, Boulevard de Dunkerque
CS 90009
13572 Marseille Cedex 2
FRANCE
Tous les documents seront également envoyés sous forme électronique à : jeai(a)ird.fr
Pour en savoir plus et pour avoir accès aux formulaires de candidature : http://www.ird.fr/programmes-dsf/
Bonjour à tous,
On a reçu 125 réponses au sondage "Quel avenir pour SARNISSA", cela
représente à peine plus 7% des 1700 membres de SARNISSA. Des réponses
supplémentaires permettraient de mieux cerner vos attentes vis vis du
future de SARNISSA . Vous pouvez encore répondre au sondage jusqu'au 3
avril, alors n'attendez plus, svp et merci
http://www.survey.bris.ac.uk/stirling/quellesarnissa
svp donnez nous votre opinion sur le future de Sarnissa :-)
un grand merci,
Olivier et Lionel