SEMINAIRE-FORMATION PRATIQUE SUR
LA CONDUITE DE LA PISCICULTURE INTENSIVE AU GHANA fevrier 2011
[cid:image001.jpg@01CBCAF0.EE847110][cid:image002.jpg@01CBCAF0.EE847110]
L'université américaine "Auburn University" avec l'appui du Conseil Américain pour l'Exportation du Soja organise une journée de séminaire-formation sur l'initiation à la pisciculture intensive en cages flottantes de petites dimensions: Faisabilité et limites (module1).
Cette formation d'initiation sera suivie d'une série de deux formations pratiques approfondies:
- Module 2, formation d'une semaine sur le montage pratique des cages flottantes et guide à leur gestion en avril 2011 dates précis a annoncer ;
- Module3 : conduite de la pisciculture intensive en cage flottantes : planification des entreprises et évaluation de la production.
Pour le séminaire-formation :
Lieu: Dodi Asantekrom, Volta Region , Ghana, proche de la ville d'Anum Boso, sur le centre piscicole de "Crystal Lake Fish Ltd".
Date:
- 24 février 2011 pour les pays francophones;
- 26 février 2011 pour les pays anglophones.
Début et fin du séminaire: de 7 heures précises à 17 heures précises.
Contactez (00233) 302817640 pour d'amples informations ou pour s'inscrire. Vous pouvez aussi vous inscrire en téléchargeant le formulaire sur le site web : www.crystal-lake-fish.com<http://www.crystal-lake-fish.com>
http://www.crystal-lake-fish.com/index.php?option=com_facileforms&Itemid=76http://www.crystal-lake-fish.com/index.php?option=com_facileforms&Itemid=76 pour registration
Merci Bien et a très bientôt !!!
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour,
Les personnes qui souhaitent obtenir une bourse pour venir étudier l'aquaculture et la gestion des ressources aquatiques à l'AIT peuvent candidater au programme JJ/WBGSP de la Banque mondiale pour lequel l'AIT est éligible. Pour plus d'informations et pour présenter une candidature, consulter le lien:
http://go.worldbank.org/H7WXKZ6PM0
En 1987, un don du Gouvernement japonais a permis à la Banque mondiale de créer le Programme de bourses universitaires de la Banque mondiale, aujourd'hui connu sous le nom de Programme de bourses universitaires Japon/ Banque mondiale (JJ/WBGSP), pour financer des études de niveau maîtrise et au-delà dans des domaines en rapport avec le développement. Chaque année, le programme accorde des bourses à des ressortissants de pays membres de la Banque mondiale afin qu'ils/elles puissent poursuivre des études de niveau maîtrise et au-delà dans des universités réputées, situées dans des pays membres de la Banque mondiale.
Le Programme général, qui en est à sa 24e année, a attribué des bourses à 3 412 lauréats sélectionnés parmi 61 319 candidats. En outre, 1 301 bourses ont été attribuées dans le cadre des divers programmes de partenariat JJ/WBGSP, ce qui porte le nombre des lauréats à 4 454 au total.
Depuis le commencement du Programme, le Gouvernement du Japon a fourni près de 192,8 millions de dollars américains au Programme de bourses. Le Programme vise à créer une communauté internationale de cadres hautement qualifiés actifs dans le domaine du développement économique et social. La Banque mondiale exige que les boursiers retournent dans leur pays d'origine à l'issue de leur cycle d'études, et qu'ils mettent leurs connaissances et compétences au service du développement économique et social de leur région et de leur communauté.
À compter de 1992, plusieurs programmes de partenariat ont été lancés, principalement en réponse à un besoin de programmes d'études de troisième cycle combinant rigueur académique et formation spécialisée aux aspects pratiques de l'élaboration des politiques. Ces programmes visent à préparer ceux qui les suivent à participer de manière efficace à l'élaboration des politiques dans leur pays et région du monde.
La Banque mondiale administre ce Programme par l'intermédiaire de l'Institut de la Banque mondiale (WBI). Les conseils pour l'orientation du Programme émanent du Comité directeur composé de trois Administrateurs et de cinq membres de la haute direction de la Banque. Le WBI dispose d'un secrétariat pour la gestion quotidienne de ce Programme.
Bien amicalement
Lionel
Bonjour
Les compte-rendus de la Conférence sur la mesure du développement de l'AFD sont désormais disponibles sur Internet:
http://www.afd.fr/jahia/Jahia/home/presse-afd/evenements/conferences/confer…
Bien amicalement
Lionel
« Développement » et « croissance économique » ne sont pas synonymes. Voilà déjà bien longtemps qu’on le sait : le PIB d’un pays peut croitre sans que la santé, l’éducation ou les situations de pauvreté n’évoluent positivement. Pourtant, c’est bien le PIB, et cette statistique seule, qui continue de monopoliser la mesure du « développement » tout comme l’attention publique. Le « progrès » est ainsi identifié à la participation accrue des populations aux activités marchandes, même si la sphère non marchande se contracte en même temps. De même, l'aide au développement voit son efficacité évaluée au seul regard du PIB - alors que son impact sur l’éducation et la santé compte sans doute davantage à moyen terme.
De fait, comme indicateur de développement, les insuffisances du PIB sont innombrables. Cet agrégat offre une mesure de l’activité des marchés mais il n’offre que cela. S’il est un concept économique essentiel, il ne peut refléter le développement dans toutes ses dimensions : bien-être matériel, biens publics, qualité de vie, inclusion sociale, accès à la justice, modes de décision collective, etc.
Comment, dès lors, mieux mesurer développement? Faut-il multiplier les indicateurs spécialisés sur chacune de ses dimensions - de l'accès à l'eau potable à la qualité du système judiciaire, de la mortalité infantile aux caractéristiques démocratiques de la société, de l’apport calorique moyen à la satisfaction individuelle et au bonheur déclarés? Des comparaisons internationales fleurissent aujourd’hui en utilisant ce type d’indicateurs. Leur signification demeure toutefois ambiguë. Ces exercices éveillent parfois l »attention du public mais se cantonnent souvent à des jeux statistiques sans implication forte ni claire nette en termes de développement.
Une autre approche consiste à intégrer toutes ces dimensions au sein d’un indicateur global, unique. Ce «super-PIB » irait bien au-delà de l'indice composite de développement humain (IDH) déjà utilisé par le PNUD, et même renforcé aujourd’hui pour tenir compte des inégalités. Si elle peut séduire, cette approche n’est pas forcément la plus sûre. Les différentes dimensions du développement sont peu comparables – et encore moins échangeables les unes contre les autres, ce que fait implicitement tout indice agrégé.
Telles seront les questions débattues par des experts de premier plan, venus du monde entier, lors de la prochaine conférence AFD/EUDN. Chacun, dans son domaine, s’emploiera à identifier les approches alternatives ou complémentaires permettant de mieux mesurer le progrès économique et social – et ainsi de mieux concevoir et suivre les stratégies de développement.
Parmi les sujet couverts, on comptera notamment les forces et limites des enquêtes ménages dont l’utilisation est aujourd’hui croissante pour appréhender le bien-être économique, la santé ou la pauvreté comme concept multidimensionnel. Seront aussi examinés ces nouveaux indicateurs qui tentent de synthétiser tous les aspects du développement par les niveaux moyens déclarés de satisfaction subjective. Enfin, une forte attention sera portée au caractère durable du développement, notamment via la notion « d’épargne nette» qui prend en compte la consommation et la dépréciation de différents stocks de ressources -naturelles, matérielles, humaines ou sociales.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
1/ Mesurer le développement : autres données, autres conclusions ?
Président: François BOURGUIGNON, PSE
Intervenant: Angus DEATON, Université de Princeton
Document de présentation (en anglais)
Intervention d'Angus DEATON
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
2/ Au-delà de la pauvreté monétaire : les mesures multidimensionnelles et leurs limites
Président: Pierre JACQUET, Chef économiste, AFD
Intervenant: Sabina ALKIRE, Université d’Oxford
Discutant: Alemayehu SEYOUM TAFFESSE, IFPRI Addis Abeba
Document de présentation (en anglais)
Intervention de Sabrina ALKIRE
Commentaires de Alemayehu SEYOUM TAFFESSE
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
3/ La croissance du PIB améliore-t-elle le bien-être subjectif dans les pays en développement ?
Président: Kimseyinga SAVADOGO, Laquads, Université Ouga 2
Intervenant: Andrew CLARK and Claudia SENIK, PSE
Discutant: Pramila KRISHNAN, Université de Cambridge
Document de présentation
Intervention de Andrew CLARK et Claudia SENIK
Commentaires de Pramila KRISHNAN
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
4/ La croissance durable : mesurons-nous bien le défi ?
Président: Roger GUESNERIE, PSE & Collège de France
Intervenant: Michel AGLIETTA, Université de Paris X Nanterre
Discutant : Frank LECOCQ, AgroParisTech
Document de présentation
Intervention de Michel AGLIETTA
Commentaires de Franck Lecocq
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
5/ Table ronde et réflexions conclusives
François BOURGUIGNON, PSE
Pierre JACQUET, AFD
Johachim Von BRAUN, Université de Bonn
SYNTESE DE LA CONFERENCE
Bonjour,
Vous pouvez dès à présent soumettre vos résumés à la Conférence Aquaculture Europe 2011 qui se tiendra à Rhodes en octobre.
Le site est:
http://www.easonline.org/component/content/article/180
Bien amicalement
Lionel
Sujet: [SARNISSA] Certificat de formation d'eau douce au Zimbabwe
[cid:image003.png@01CBC5DA.862AB7C0]
Chers collègues,
Quelques places sont encore plus ouvert pour le cours intensif sur les Aquaculture en eau douce qui se tiendra conjointement par l'Université de Zimbabwe Département des sciences biologiques de l'aquaculture et le ZimbabweTrust du 14 au 25 Février 2011.
Tout le monde est le bienvenu à participé y compris celles d'au-delà de nos frontières.
Les frais sont de 300 $ par personne et les frais pour répondre excursion d'une journée à Kariba où participants de visiter deux fermes aquacoles pratique. Pour plus d'informations s'il vous plaît entrer en contact avec le soussigné.
Le cours est donné dans la langue Engish
Les modules proposés sont les suivants:
1). AQC 100
Introduction à l'aquaculture
(3 heures)
AQC 101
2). Biologie AQC Fish 102 et ichtyologie
(10 heures)
3). Santé AQC Fish 103
(10 heures)
4). Nutrition des poissons AQC 104
(6 heures)
5). AQC 105 Qualité de l'eau pour l'aquaculture
(8 heures)
6). AQC 106. Pratiques exemplaires de gestion des poissons d'élevage
(15 heures)
7). Marketing AQC Fish 107, les marchés et les liens avec les marchés
(5 heures)
8). AQC 108 Récoltes Technologies
(5 heures)
9). AQC 109 visite à la ferme du poisson
(8 heures)
Kariba Lake Harvest
-
Tongowona Garikaimose
Agent des programmes
Aquaculture Zimbabwe
16 Croissant-Northampton
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
gaikaimose(a)gmail.com<mailto:gaikaimose@gmail.com> Tel 263 773 802 355.
Subject: [Sarnissa] Freshwater Certificate Training in Zimbabwe
Dear Colleagues
A few more places are still open for the short intensive course on
Freshwater Aquaculture to be held jointly by the University of
Zimbabwe's Biological Sciences Department and Aquaculture Zimbabwe
Trust from the 14th to the 25th of February 2011. Everyone is welcome
to attended including those from beyond our borders. The fees are $300
per person and the fees cater for a day's field trip to Kariba where
participants visit two practicing fish farms. For more information
please get in touch with the undersigned.
The Modules on offer are as follows:
1). AQC 100
Introduction to aquaculture
(3 hours)
AQC 101
2). AQC 102 Fish Biology and Ichthyology
(10 hours)
3). AQC 103 Fish Health
(10 hours)
4). AQC 104 Fish Nutrition
(6 hours)
5). AQC 105 Water quality for aquaculture
(8 hours)
6). AQC 106. Fish farm management best practices
(15 hours)
7). AQC 107 Fish Marketing, Markets and Market Linkages
(5 Hours)
8). AQC 108 Post Harvesting Technologies
(5 Hours)
9). AQC 109 Fish farm visit
(8 Hours)
Lake Harvest Kariba
--
Tongowona Garikaimose
Programs Officer
Aquaculture Zimbabwe
16 Northampton Crescent
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
+263 773 802 355.
_______________________________________________
Sarnissa-african-aquaculture mailing list
Sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk
http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-african-aquacultu…
--
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland,
number SC 011159.
Bonjour à tous,
Comme déjà mentionné, le financement du projet Sarnissa s'achève dans quelques semaines. Il y a actuellement une discussion sur la liste anglophone sur son avenir. Faut-il en rester là, poursuivre l'expérience en maintenant la gratuité de l'accès à l'information (comment ?) ou la poursuivre en rendant payant l'accès à l'information (abonnement, publicité, donation etc.) ?
N'hésitez pas à faire connaître votre avis si vous le souhaitez.
Bien amicalement
Lionel
Bonjour à tous,
A l'occasion de l'arrivée d'Igor Eeckhaut sur Sarnissa, je voudrais vous signaler la revue dont il est l'éditeur et qui s'intéresse à l'élevage des holothuries ou bêches de mer (sea cucumber en anglais).
Le dernier numéro est disponible à cette adresse:
http://www.spc.int/coastfish/fr/publications/bulletins/la-beche-de-mer/68-b…
En voici le sommaire:
Renforcer les capacités de gestion durable des ressources en holothuries dans l’océan Indien occidental
Muthiga N., Ochiewo J., Kawaka J. (pdf: 84 KB)
Signes d’une surpêche aiguë des ressources en holothuries dans le Sultanat d’Oman
Al-Rashdi K.M., Claerebout M.R. (pdf: 163 KB)
État des lieux de la pêche des holothuries au Sri Lanka
Dissanayake D.C.T., Athukorala S., Amarasiri C. (pdf: 468 KB)
Méthodes de ramassage et de transformation des holothuries : quelle est leur incidence sur la qualité et la valeur des bêches-de-mer produites aux Îles Fidji ?
Ram R., Freidman K., Sobey M.N. (pdf: 392 KB)
Effet de la température de l’eau sur la survie et la croissance des juvéniles endobenthiques de Holothuria scabra (Echinodermata : Holothuroidea) élevés dans des bassins extérieurs
Lavitra T., Fohy N., Gestin P.-G., Rasolofonirina R., Eeckhaut I. (pdf: 348 KB)
Potentiel aquacole de deux espèces tropicales d’holothuries Holothuria scabra et H. lessoni dans la région indo-pacifique
Giraspy D.A.B., Walsalam I.G. (pdf: 133 KB)
Les principes de la nomenclature zoologique : exemple des holothuries
Samyn Y., Kerr A., O’Loughlin M., Massin C., Pawson D.L., Rowe F.W.E., Smiley S., Solis-Marin F., Thandar A.S., VandenSpiegel D., Paulay G. (pdf: 372 KB)
Biologie d’une population à forte densité de Stichopus herrmanni à One Tree Reef, sur la Grande barrière de corail (Australie)
Eriksson H., Fabricius-Dyg J., Lichtenberg M., Perez-Landa V., Byrne M. (pdf: 116 KB)
Observations de pontes en milieu naturel
Bollard S., Ribes S., Bigot L. (pdf: 129 KB)
Communications...
(pdf: 48 KB)
Résumés et nouvelles publications
(pdf: 74 KB)
Publications de Chantal Conand sur les holothuries
(pdf: 62 KB)
Publications de Claude Massin sur les holothuries
(pdf: 54 KB)
Communications (pdf: 48 KB)
Résumés et nouvelles publications (pdf: 74 KB)
Publications de Chantal Conand sur les holothuries (pdf: 62 KB)
Publications de Yves Samyn sur les holothuries (pdf: 54 KB)
Je vous informe aussi de la tenue d'un symposium Asie-Pacifique sur les holothuries tropicales à Nouméa, Nouvelle-Calédonie du 14 au 17 février, organisé par le Secrétariat de la Communauté du Pacifique et le Centre australien pour la recherche agricole internationale (ACIAR). Le colloque mettra l'accent sur l'état actuel de la recherche sur l'aquaculture des holothuries tropicales, en particulier Holothuria scabra, et s'intéressera à un éventail de sujets tels que:
• les progrès récents dans la technologie de production en écloserie,
• les stratégies d'ensemencement, les techniques d'élevage,
• les pratiques de gestion,
• les technologies post-récolte de valorisation,
• les filières et la commercialisation.
A noter que Matt Slater et Selina Stead de l'Université de Newcastle viennent aussi d'organiser un important séminaire sur les concombres de mer et la pisciculture: À l'Université de Newcastle, Royaume-Uni, une équipe dirigée par le professeur Selina Stead étudie la façon dont nous pourrions être en mesure d'utiliser les concombres de mer ou holothuries pour développer de manière plus durable l'aquaculture marine. Le Dr Matthew Slater, un expert des holothuries, qui fait partie de l'équipe du professeur Stead, explique que le but est d'étudier le potentiel du concombre de mer comme organisme dépolluant naturel des fermes piscicoles du monde entier - y compris au Royaume-Uni - mais aussi comme source d'aliments. Le projet holothurie est dévoilé dans le cadre d'une conférence qui se tiendra à l'Université de Newcastle vendredi 4 Février. La conférence rassemblera l'expertise de niveau international de l'université en sciences et technologies marines afin de fournir des réponses permettant de faire face aux principaux défis actuels et futurs de l'environnement marin. Jusqu'à présent, l'équipe a effectué l'essentiel du travail au laboratoire Dove Marine de l'Université de Newcastle. La prochaine étape consiste à introduire des holothuries dans diverses piscicultures du Royaume-Uni et à en faire l'élevage à la fois comme organisme dépolluant et comme aliment. Outre ses activités au Royaume-Uni, l'équipe dirige également un projet d'aquaculture majeur en Tanzanie, où les animaux sont élevés en cages dans une écloserie capable d'alimenter en juvéniles une industrie en pleine croissance. (Traduction résumée de http://www.aquafeed.com/read-article.php?id=3755§ionid=1&utm_source=Aqu… )
Bien amicalement
Lionel
Chers tous,
Voici la traduction google des principales contributions de la liste anglophone.
Concernant l'avenir, personnellement, je reste attaché à la mise à disposition gratuite de la connaissance, quelque soit le mode de financement adopté.
Bien amicalement
Lionel
Le 6 févr. 2011 à 13:54, Gideon Hulata a écrit:
Cher Will, Lionel et toute la communauté SARNISSA,
En effet SARNISSA a fait un énorme changement, et doit se poursuivre. Faire payer des frais d'adhésion est une bonne idée, même si bon nombre des principaux bénéficiaires pourraient avoir des difficultés avec elle. Les dons sont une autre possibilité. SARNISSA n'est pas moins important que l'ONG AwF (aquaculture sans frontières) qui s'appuie fortement sur des dons, et au moment où j'écris, l'idée qui me vient à l'esprit est qu'il serait peut-être possible de joindre les force. Matière à réflexion ...
Ne perdez pas la foi, le peuple a besoin de ce forum, nous allons donc travailler ensemble pour le maintenir.
Cordialement,
Gidi
Hulata Gideon Prof
Ministère de la volaille et de l'aquaculture
Institut des sciences animales
Organisation de recherche agricole
Le Volcani Center
BP 6, 50250 Bet Dagan, Israël
Téléphone: +972- (0) 3 9683020; cellule +972 (0) 50-6220058
Fax: +972- (0) 3 9605667
E-mail: vlaqua(a)volcani.agri.gov.il
Site web: http://www.agri.gov.il/en/people/628.aspx
Aquaculture
De: Sloans <SloansC(a)Nepad.org> Chimatiro
Date: 7 février 2011 13:24:41 UTC +07:00
A: «sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk" <sarnissa-african-aquaculture(a)lists.stir.ac.uk>
Cc: "planil03(a)gmail.com" <planil03(a)gmail.com>
Objet: [SARNISSA] what's next pour SARNISSA
Bonjour à tous,
Je tiens également à soutenir la proposition de John Moehl que le NEPAD, par l'intermédiaire du Groupe de travail sur l'aquaculture du Partenariat pour les pêches africaines (PAF), serait en mesure d'apporter une contribution modeste à l'ANAF, afin de veiller à ce que SARNISSA continue le travail qu'il a fait. Je voudrais proposer que ANAF prépare un projet de note conceptuelle sur la façon dont ils ont l'intention de continuer le travail SARNISSA et le faire circuler au Groupe de travail sur l'aquaculture PAF (Prof. Emmanuel Kaunda) pour les commentaires.
Cordialement,
Sloans
Sloans K. Chimatiro, PhD
Conseiller principal des pêches
La planification et de coordination du NEPAD Agence
Bloc B, parc Gateway
Challenger Corner & Avenues-Britannique
Office Park Midridge
Midrand 1685
Afrique du Sud.
Tél. +27 11 256 3606
Fax +27 11 206 3859
Cell +27 83 380 8512
http://www.nepad.org
Le 6 févr. 2011 à 22:00, Jérôme Lazard a écrit:
Cher Collègue,
J'aime beaucoup la façon dont vous mettez les choses. Comme vous le mentionnez, la plupart des membres qui appartiennent à SARNISSA pourrait être appelé l'élite africaine et internationale de l'aquaculture. Seul un des membres (très?) Sont quelques aquaculteurs (sauf à grande échelle / agriculteurs industriels et fabricants d'aliments). Il faudra probablement un certain temps pour les petits / moyens entrepreneurs aquaculture à petite échelle pour atteindre la possibilité d'avoir un accès facile à Internet et de payer les frais d'adhésion pour un tel réseau SARNISSA. Bien sûr, les bailleurs de fonds peut être une fois de plus demandé de parrainer une deuxième phase du projet SARNISSA mais est-ce la bonne façon? Si nous supposons que maintenant l'aquaculture en Afrique a été le décollage et si nous voulons que ce processus devient irréversible et croissante, nous (je veux dire la communauté de l'aquaculture en Afrique dans le sens le plus large du terme) nécessaire pour montrer que nous (encore une fois) ont été en mesure de soutenir un réseau qui est réellement et potentiellement en mesure d'atteindre un appui à toutes les initiatives permanentes et à venir dans le domaine de l'aquaculture sur le continent. Un tel réseau "libre" de vie doit être un témoignage exceptionnel d'une collectivité qui dans ses propres mains son propre destin. Je pense que l'alternative d'un auto-financement SARNISSA basée sur les contributions des membres doit être soigneusement étudiée. Est-il une autre solution durable et pérenne? Cette solution peut (doit?) Comprennent des partenariats solides avec d'autres associations / réseaux existants.
Meilleurs voeux,
Jérôme Lazard
Le 6 févr. 2011 à 21h51, Obiero kevin a écrit:
Bonjour à tous,
J'apprécie les bons commentaires, suggestions et compliments partagée dans ce forum utile. Il est important de noter que SARNISSA a livré à ce jour sur son mandat initial d'initier une communication régulière entre les différents acteurs à travers le partage de l'information pertinente qui a enoumously contribué au développement de l'aquaculture non seulement en Afrique sub-saharienne, mais à travers le monde.
Ma requête s'adresse à des organisations comme le CABI, ANAF, les ONG et la CE par les partenaires du consortium qui ont fait 8 SARNISSA un énorme succès. Avec la feuille de route qui SARNISSA a développé, je crois qu'un financement durable est possible d'organisations donatrices, esp. ceux qui s'occupent de la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté.
L'idée de cotisation peut être un peu difficile dans le contexte africain en particulier au niveau de l'entreprise et individuels. La plupart des organismes gouvernementaux, des universités et organismes de recherche ne sont pas abonnés à des revues scientifiques et de sites Internet utiles. Il sera donc un traitement injuste aux agriculteurs à petite échelle, les agents du gouvernement, enterpreneurs à venir, les agriculteurs établis / entreprises et les étudiants des collèges qui en dépendent SARNISSA pour un grand pour cent de leur travail.
Soyons ouverts aux nouvelles idées pour sauver ce forum de classe mondiale.
Cordialement,
Kevin O. Obiero,
Connaissance de l'aquaculture de transfert associé de partenariat /
Aquaculture Manager,
Lake et des ressources Sea Limited,
P. O. Box 437, Bondo - Kenya
Le 6 févr. 2011 à 20h15, louisnna(a)gmail.com a écrit:
Superbe et de la pensée contribution de provoquer Garikaimose Tongowona. Pour des raisons graves sont ses compositeurs (1) Le mandat initial de SARNISSA? (2) l'analyse SWOT? (3) La peur de devenir SARNISSA elitistic? (4) Sous réserve d'informations utiles sur l'existence d'alternatives / association similaire appelé AASA. Merci Garikaimose. LOUIS
Le 6 févr. 2011 à 19:09, Garikaimose Tongowona a écrit:
Bonjour à tous
Dans la mesure où je suis d'accord avec tous les points à venir / suggestions Je veux simplement pour nous rappeler la situation délicate que les chercheurs, étudiants, agents de vulgarisation, les agriculteurs, etc se trouvent en essayant d'atteindre leurs objectifs. C'est l'Afrique dont nous parlons et, personnellement, je veux parler du point de vue du Zimbabwe, un scénario où il est en fait un mal de tête pour une juste rester en ligne tout le temps en raison d'une pléthore de défis. l'accessibilité à Internet au Zimbabwe est encore très coûteux et la plupart des personnes mentionnées ci-dessus à sacrifier beaucoup pour rester connecté. Maintenant, imaginez comment, quand on a au moins eu la chance d'être en ligne, se rend compte que la seule source qui fournit des ressources crédibles de l'aquaculture doit être souscrite Je ne sais pas à n'importe quel prix. La plupart de mes collègues ici au Zimbabwe connaît actuellement des services SARNISSA sera le premier à convenir avec moi que la raison pour laquelle ils sont sur SARNISSA et non sur l'AASA (Aquaculture Association of Southern Africa) qui offre des services assez similaire est principalement parce que ce dernier exige abonnements. Je ne sais pas combien de chiffres se vante d'AASA mais je soupçonne qu'ils sont de restauration pour l'autre extrémité du marché qui peuvent se permettre. Combien coûte un prix abordable par mois ou par an est certainement très relative et dépend où l'on veut en venir. Mais en général, troisième pays au monde les normes ne varient pas à l'extrême.
Peut-être que nous devons revenir en arrière et regarder la raison pour laquelle SARNISSA a été créé en premier lieu (le mandat initial) et si elle a atteint ou a rencontré quelques-uns des objectifs qu'il s'est fixés d'atteindre et de faire une analyse SWOT toute chose et peut-être analsyis alors nous pouvons avoir une meilleure façon d'avancer, celle qui est compatible avec les réalités sur le terrain. Parce que à mon avis, essayer de "elitisise" ce forum sera de marginaliser davantage les bénéficiaires à l'origine ciblés et de promouvoir davantage les goulets d'étranglement actuels où seulement 4 ou si les entreprises peuvent désormais se lever pour être compté dans le secteur à travers l'Afrique. Ce sont juste des pensées que j'ai à en juger par les groupes de deux très intéressés par la pratique et les agriculteurs potentiels que je rencontre et d'interagir avec le terrain, ceux qui risquent d'en pâtir de toute les formes de paiement de ces services. Je comprends que la durabilité implique la rentabilité, mais il nous faut pas perdre de vue la situation particulière que nous ayons à traiter dans la vie quotidienne en Afrique. Partout ailleurs, je dirais le contraire, mais si les donateurs sont prêts à payer et ils peuvent, s'ils sont recherchés persistante, poliment et avec raison, tout comme la FAE fait, alors je pense que nous pouvons le faire comme un continent à un certain point où nous en toute sécurité que nous pouvons le faire nous-mêmes, c'est à dire de façon durable sans conditions des bailleurs de fonds et ainsi de suite! Mais jusque-là permet de faire comme d'habitude que nous sommes bien connu, "prie" pour un peu plus longtemps alors que nous sommes l'autonomisation de la base pour une étape confortable. Je pourrais continuer encore et encore, mais la ligne du bas est TIA (This Is Africa) et les hypothèses doivent être vérifiées avant de décisions peuvent être prises parfois.
Vive tout le monde!
-
Tongowona Garikaimose
Agent des programmes
Aquaculture Zimbabwe
16 Croissant-Northampton
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
263 773 802 355.
Le 6 févr. 2011 à 17:38, Mark Oliver a écrit:
Bonjour à tous
Je suis totalement d'accord avec tous les attributs positifs SARNISSA apporte à l'Afrique et même la communauté mondiale de l'aquaculture. Ce serait une tragédie si elle venait à s'arrêter. J'ai juste une question au sujet du financement futur pour SARNISSA. Je pense qu'avant de parler de tous les modèles de financement, je me demandais exactement combien ça coûte pour exécuter SARNISSA année. Je pense qu'une fois que nous déterminer ce chiffre, nous pouvons aller de l'avant.
Vive
Mark
-
Bsc Mark Oliver (Hons); GrDipEdu; DipAqua
Directeur
M: +61 (0) 457 383 963
P: +617 5456 1173
F: +617 5456 1173
E: aquaculturesupportservices(a)gmail.com
Le 6 févr. 2011 à 16h33, melissa.schiele @ googlemail.com a écrit:
Oui, je suis entièrement d'accord avec ce système, Tawanda. Les grandes pensées! SARNISSA ne peut tout simplement pas être mis au rebut.
Melissa Schiele
L'Université de Newcastle
MSc IMEC étudiants
Le 6 févr. 2011 à 16:15, Roy Palmer a écrit:
William / Lionel
Quel est le budget pour SARNISSA concernant la façon dont il fonctionne aujourd'hui?
Pourrait-il être l'occasion pour WS-AFRIQUE chapitre? Parce que d'autres questions, il ya eu avec certains des concepts chapitre il se pourrait que A serait envisager d'aider le début d'un nouveau chapitre
Ce devrait être chiffré et un plan proposé
Vive
Roy
D Roy Palmer, FAICD
Mobile +61 (0) 419528733
Chef de la direction - http://www.australianseafood.com.au MER
Président était-http://www.was.org APC
Adhésion et Événements Directeur IAFI - L'Association internationale des professionnels de la mer http://www.iafi.net
Directeur - Aquaculture sans frontières - http://www.aquaculturewithoutfrontiers.org/
Président de poissons australiennes et de noms Comité http://www.fishnames.com.au et http://www.seafood.net.au/fishnames
Check out my blog à http://www.seafoodsource.com/BlogsAuthor.aspx?blogid=3953
Serai-je vous voir à Kochi, Inde 17-20 Janvier 2011 au APAC & Giant crevettes 2011 - voir https: / / www.was.org/WasMeetings/meetings/Default.aspx?code=APA2011
Le 6 févr. 2011 à 15:52, Tawanda Kaseke a écrit:
Bonjour à tous
Toutes les bonnes idées ... Mais semble que personne ne vient avec des solutions concrètes et voie à suivre. Dois-je sens le glissement africain typique de la mentalité pieds ici.
Semble que les gens sont tous à l'idée d'abonnement ... Alors permettez-moi de lancer le bal:
1. Nous travaillons en sous-marins d'adhésion sur une échelle mobile, selon qu'il s'agit d'un membre individuel, ONG, société, ou etc confiance de la communauté. On peut toujours contourner ce délibérée.
2. Accès à l'information sur le site peut alors être déterminée par le niveau d'adhésion que vous avez. Cela impliquera une refonte entière du site Web pour être en mesure de soutenir cette initiative et cette partie (refonte web) ne coûtera pas beaucoup.
3. Pourquoi ne pas voir combien de membres y at-il sur le forum SARNISSA et puis de là nous pouvons travailler sur ce genre de sous-marins minimum peut-on payer et à quels intervalles. Inutile de dire que ce sera essentiellement changer la façon dont tout le forum fonctionne. Mais il ya un coût pour toute stratégie de survie qu'une organisation peut prendre. Je peux me tromper là-bas.
4. Rappelez-vous que certains membres vont disparaître et d'autres se joindront, car (a) souscriptions pourront chasser les gens et (b) les cotisations peuvent rendre le site et toute l'initiative intéressante en termes de nouveaux membres venus rejoindre. Il devrait y avoir débat sur la façon de lutter contre (a) et appuyez sur pour (b).
5. Si nous avons une base de données des membres libérées en place, je pense que les donateurs peuvent également être disposés à soutenir nos efforts. Plus d'un "permet de nous aider avant d'aller mendier approche".
Ceci est juste une pointe de l'iceberg sur la façon de le faire.
Vos pensées?!
Tawanda
Entreprises Tawken
Mobile: 00971506559729
Terrain: 0091742575141
Skype: tawawekwakaseke
Le 6 févr. 2011 à 13:42, Masroor Siddiqi a écrit:
Bonjour
J'espère bien que le site continue, je ne suis pas en Afrique mais aussi au Pakistan et il m'a aidé aussi.
Ainsi, il a un large public mondial.
-
Masroor Siddiqi
Le 5 févr. 2011 à 19:36, Robert Allou a écrit:
DearColleagues,
Je suis d'accord avec vous tout à fait, l'équipe SARNISSA a très bien fait, et nous devons aussi montrer notre appréciation, s'il vous plaît laissez les sortir avec quelque chose de réaliste pour aider à soutenir notre plate-forme.
Cordialement,
Robert Allou
Cohorte NOMA-FAME 4
Nha Trang Université
Vietnam
Le 5 févr. 2011 à 23h25, Ofor Chukwuma a écrit:
Je subdscribe à cette idée. Paiement des frais d'adhésion est définitivement mon choix si l'alternative est la fermeture de ce service. Mais laisse jeter dans les associations nationales des pêches, qui utilisent aussi le réseau.
Chukwuma O. Ofor
Ministère des Pêches et gestion des ressources aquatiques
Collège des Ressources naturelles et de gestion de l'environnement
Université Okpara Michael de l'Agriculture, Umudike.
P. M. B. 7267 Umuahia, l'Etat d'Abia, Nigeria.
Téléphone: 234-8035472301
Le 5 févr. 2011 à 15h24, wlm63(a)mweb.co.zw a écrit:
Merci pour la mise à jour John. Il est réconfortant de savoir que des efforts sont
déjà en cours pour maintenir ce réseau va très précieux.
Cordialement
Wilson (Mhlanga)
Le 5 févr. 2011 à 14h52, Rob Elliott a écrit:
Cher Will et Lionel,
Je pourrais prendre la parole hors du terme, mais im le plus sûr d'entre nous de payer une cotisation comme associé ou ordinaires pour aider à poursuivre ses SARNISSA work.I précieux apprécier certains pourraient trouver difficile, mais malheureusement certaines choses dans le coût de vie, en particulier l'exemple de et le travail qualitatif de la team.I SARNISSA,, pour un préfèrent payer plutôt que de perdre cette forum.We de classe mondiale pourrait comparer les dons, subventions, concours, ou même payer pour les laïcs des cours en ligne. S'IL VOUS PLAÎT collègues, les amis et les parties intéressées permet de plus des suggestions et aider ceux qui vous ont aidé à us.Thanking en prévision
Bien cordialement Rob Elliott.
Le 4 févr. 2011 à 21:46, Blue Pond Farms a écrit:
Cher Will
SARNISSA a fourni une source d'information extrêmement précieux pour nous agriculteurs. S'il vous plaît laissez-nous savoir s'il ya quelque chose que nous pouvons faire pour vous aider à obtenir le financement nécessaire pour assurer son maintien.
Cordialement
Olenka
Olenka Pierozynska
Blue Pond Farms
Ayegbaju-Ekiti
Nigeria
Le 4 févr. 2011 à 11:33, Moehl, John (FAORAF) a écrit:
Bonne journée à tous,
Juste un bref commentaire à l'appui des déclarations de Bill et Patrick et ajouter
que, à cette étape connue depuis un certain temps, des efforts importants ont déjà
été investis dans l'examen des voies et moyens pour assurer la continuité. Grâce à ANAF
- Réseau Aquaculture pour l'Afrique - nous avons obtenu quelques ressources à explorer
possibilités de consolider et de renforcer les réseaux en Afrique. SARNISSA a
parcouru un long chemin à démontrer la valeur ajoutée du réseau et il est
maintenant un soutien considérable de l'ensemble du spectre à faire tout son possible pour travailler
partir de cette base, en gardant intact tout en améliorant l'accès à l'information et
services des acteurs de la région ainsi que ceux des autres régions
du monde.
Cordialement,
John
Le 4 févr. 2011 à 12:30, Garikaimose Tongowona a écrit:
Bonjour à tous
Pour certains d'entre nous (ici au Zimbabwe), nous ne pouvons pas faire sans SARNISSA.
Il est devenu le portail d'information par défaut de l'aquaculture où l'on a
le luxe d'obtenir des informations d'experts sans payer un seul centime.
Nous espérons tous que certains de façon durable de financement est fixée dès que possible pour
faciliter la continuité de ce forum.
Ce que nous avons appris que l'un ne marche pas nécessairement à poser
questions sur SARNISSA pour eux d'obtenir des informations utiles. Juste en
observant tout simplement les questions et réponses du monde entier, on obtient
l'éducation immense. Ce serait un triste jour pour le développement de
Afrique de l'aquaculture, si ce forum était de parvenir à un statu quo.
Voici en espérant que SARNISSA va obtenir un nouveau bail de la vie cette année.
Mes salutations les plus chaleureuses
-
Tongowona Garikaimose
Agent des programmes
Aquaculture Zimbabwe
16 Croissant-Northampton
Eastlea
Harare, Zimbabwe.
263 773 802 355.
Le 4 févr. 2011 à 11h51, enos macwere a écrit:
Chers membres,
Nous le savons tous, que SARNISSA a bien plus étendu de ses frontières, ce qui, en substance, prouve à quel point il le pratique. Il s'étend désormais de résultats de la recherche, à la formation à Internet, à des emplois annonces, et j'en passe. Tous les intervenants doivent soutenir tous les bits de l'effort de Will pouvez vouloir mettre à obtenir une existants SARNISSA.
Cordialement,
Enos
Enos Were
Aquaculture Manager
Dominion Farms Limited
Siaya Private Bag
Le 3 févr. 2011 à 17:55, Patrick Blow a écrit:
Chers collègues,
Je suis d'accord avec le projet de loi. Je pense que SARNISSA a fait un travail incroyable en reliant les personnes et le développement de l'aquaculture à travers l'Afrique. Je n'avais jamais réalisé qu'il y avait tant de nombreux intervenants. Will et son équipe vont avoir besoin de beaucoup de soutien des parties prenantes pour assurer un financement supplémentaire.
Cordialement
Patrick Blow
Lake Harvest et des exploitations piscicoles FILS
Le 2 février 2011, à 16:25, le projet de loi Daniels a écrit:
Chers collègues:
Je comprends que SARNISSA arrive à la fin de son financement par la CE 3 années et ils ont été activement à la recherche d'autres façons de garder les deux du réseau, des forums de courrier électronique, sites Web et des publications associées - études de cas etc continue sous une forme modifiée.
Personnellement, j'espère que SARNISSA continue car il fournit une source immédiate de contacts et de l'avenue de poser des questions et obtenir des réactions sur des thèmes d'intérêt pour mon travail dans le développement international en Afrique et ailleurs. Il a été un excellent moyen de trouver de nouveaux contacts en provenance de pays dans lesquels j'ai un intérêt.
J'ai également été en mesure de surveiller les publications qui ont été partagés et de repérer celles d'importance à mon travail. En substance, il est une grande ressource, en particulier pour les publications qui sont difficiles d'accès.
Alors, merci.
Bill Daniels
Professeur agrégé
Hall Room 203 Swingle
Ministère des Pêches et des Alliés aquacultures
Université Auburn, AL 36849-5419
334-844-9123
334-844-9208 télécopieur
daniewh(a)auburn.edu
Programme de bourses de recherche approfondie du CODESRIA (Appel à candidatures)
http://www.codesria.org/spip.php?article1232&lang=fr
Dare limite : 13 août 2011
Le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique (CODESRIA) a le plaisir d’annoncer la session 2011 de son programme de bourses de recherche approfondie et invite les chercheurs et universitaires africains ainsi que les centres de recherche intéressés à soumettre leurs candidatures pour l’obtention de bourses.
Objectifs
Le Programme de bourses de recherche approfondie du CODESRIA contribue au renforcement et à la promotion d’une culture de réflexion intensive et approfondie chez les chercheurs africains. Il est essentiellement destiné à la génération de jeunes chercheurs africains titulaires d’un doctorat et désireux de mener une recherche approfondie sur un aspect donné de la réalité sociale africaine, historique ou contemporaine. Ce programme est ouvert aux candidats de toutes les disciplines des sciences sociales et humaines. Il vient en soutien aux chercheurs qui souhaitent définir de nouvelles orientations de recherche ou élargir des domaines de recherche déjà explorés, en vue de contribuer de manière significative à l’enrichissement du niveau de connaissance sur les divers aspects des réalités africaines historiques et contemporaines. Les candidats détermineront librement le thème sur lequel ils souhaitent travailler de même que la méthodologie adoptée. Dans la sélection des candidats, l’accent sera mis sur le caractère original et novateur des idées contenues dans leurs propositions. Les bourses seront attribuées pour une période d’un an à la fin de laquelle les lauréats devront soumettre un rapport de qualité, publiable, qui sera soumis à évaluation. Le rapport devra comprendre entre 50.000 et 80.000 mots et, s’il est accepté pour publication, figurera dans la Série des livres ou des monographies du CODESRIA. Pour l’année 2011, le CODESRIA attribuera dix bourses d’un montant maximum de 8 000 dollars américains chacune. Dans le cadre de ce programme, tous les lauréats seront invités à participer à un atelier d’orientation de deux jours qui fait partie intégrante du programme et sera financé par le CODESRIA sans aucune incidence sur le montant de la bourse sus-indiqué.
Eligibilité
Pour être éligibles, les candidats doivent être titulaires d’un doctorat dans une discipline des sciences sociales et humaines. Ils doivent avoir obtenu leur doctorat dans les cinq années précédant la date de soumission de leur candidature. Tous les candidats doivent être affiliés à une institution africaine d’enseignement supérieur ou de recherche.
Conditions de candidature
Les candidats doivent fournir les documents suivants :
a) Proposition de recherche Une proposition de recherche de 10 à 15 pages, présentant clairement le travail envisagé, la problématique qui le sous-tend, la pertinence de l’étude par rapport à la littérature existante, la méthodologie qui sera utilisée, les implications de l’approche méthodologique sur la recherche empirique à mener, ainsi que le résultat attendu. Il est vivement recommandé aux candidats de préciser le caractère original ou novateur de leur étude. Un exposé détaillé des aspects épistémologiques de la recherche constituera un atout pour le candidat.
b) Plan de travail Chaque bourse couvre une période d’un an, effective à partir de la date de son attribution. Chaque candidature devra être accompagnée d’un programme détaillé étendu sur une période de 18 mois, à partir de la date de délivrance de la bourse.
c) Budget Les candidats doivent présenter un budget détaillé d’un montant maximum de 8.000 dollars américains, incluant les frais de recherche et de diffusion. Le budget devra être structuré de sorte à correspondre au mode de paiement appliqué par le CODESRIA, qui consistera à payer 50% du montant de la bourse au moment de la signature du contrat, puis 25% après réception d’un rapport d’étape scientifique satisfaisant, enfin, 25% à la réception de la version finale révisée des résultats de recherche. En plus des frais de recherche sur le terrain et d’acquisition d’ouvrages, il est vivement recommandé aux candidats d’intégrer dans leur budget de recherche, les coûts de participation à une conférence internationale en rapport avec leur domaine de recherche. (Le choix final de la conférence sera fait en étroite collaboration avec le programme Formation, bourses et subventions du CODESRIA, étant entendu que la demande de participation à une telle conférence internationale ne sera retenue par le CODESRIA qu’après réception de la version provisoire du rapport final du candidat qui devra être révisée en tenant compte des commentaires et suggestions faites par les membres de la communauté scientifique internationale).
d) Lettres de recommandation Les dossiers de candidature devront inclure trois lettres de recommandation rédigées par des universitaires ayant une bonne connaissance du travail du candidat et pouvant témoigner de son affiliation institutionnelle, ainsi que les coordonnées de ces universitaires. Les candidats devront, dans la mesure du possible, présenter au moins une lettre de recommandation d’un universitaire basé hors de leur pays de résidence.
e) Curriculum Vitae Chaque candidat devra fournir un curriculum vitae détaillé présentant clairement ses publications scientifiques et ses différentes participations à des réseaux/activités de recherche. Des copies des diplômes obtenues par les candidats devront être incluses dans les dossiers de candidature.
f) Copie du diplôme de Doctorat Les candidats devront joindre à leur dossier de candidature, une copie de leur diplôme de doctorat. Le CODESRIA se réserve le droit de vérifier la date effective d’obtention du diplôme et donc de leur éligibilité à ce programme de bourses.
g) Lettre d’engagement du candidat Une lettre d’une page du candidat affirmant son engagement à soumettre un rapport scientifique de la longueur d’une monographie de 50.000 à 80.000 mots comme résultat de la recherche menée au titre de la bourse. Le candidat devra également s’engager à entreprendre, de manière expresse, toutes les corrections suggérées suite à l’évaluation par les pairs de son rapport et affirmer sa compréhension du fait que la version finale de son rapport sera publiée dans la Série des livres ou des monographies du CODESRIA.
Processus de sélection
Toutes les demandes reçues seront examinées par un comité de sélection indépendant composé d’éminents universitaires. Tous les candidats seront informés des résultats du processus de sélection.
Délai de réception des dossiers de candidature Tous les dossiers de candidature doivent être reçus au plus tard le 13 Août 2011. Les dossiers de candidature doivent être envoyés à l’adresse suivante :
Programme de bourses de recherche approfondie,
CODESRIA,
BP 3304, CP 18524,
Dakar, Sénégal.
Tél : +221- 33 825 98 22/23
Fax : +221-33 824 12 89
E-mail : advanced.fellowship(a)codesria.sn
Site Web : http://www.codesria.org/
Bonjour,
Le délai est court mais l'appel a été publié il y a peu de temps. Pour plus de renseignement, consulter: http://www.ffem.fr/
Amitiés
Lionel
Appel à projets dans le cadre du Programme de petites initiatives : clôture le 15 février 2011
17/01/2011
Vous agissez en Afrique pour la protection de la biodiversité et la lutte contre le changement climatique ? Proposez votre projet au FFEM dans le cadre de son programme de petites initiatives. Pour déposer un dossier de demande financement, lisez le règlement du concours de projets.
Le quatrième et dernier appel à projets de la seconde phase du PPI est désormais ouvert. Il se clôturera le 15 février 2011 à 18h (Heure de Paris, GMT+1).
Les porteurs de projets issus de la société civile africaine des pays concernés par le programme sont invités à déposer leurs dossiers de demande de subvention complétés avant cette date. Tout dossier reçu après l’heure limite ne sera pas pris en considération. Il convient de tenir compte des délais de transmission internet parfois très longs.
Les dossiers devront être transmis à l’adresse ppi(a)uicn.fr ainsi qu’à l’adresseppi(a)iucn.org si le projet est situé en Afrique de l’Ouest.
Le règlement de concours comprenant des informations complémentaires sur le PPI ainsi que les dossiers de demande de subvention sont disponibles à la rubrique Programme de Petites Initiatives .