Bonsoir
cher membres,
Un problème
me turlupine depuis un certain temps et
j’aimerai bien que vous me donniez vos points de vue sur
la question.
En effet, je
me questionne sur l’orientation du
développement de l’aquaculture
en
Afrique Sub-Saharienne, en Afrique centrale et plus
particulièrement au
Cameroun. Cette confusion nait de la divergence qu’il me
semble apparaitre
entre la vision gouvernementale et celle des Chercheurs.
Le
gouvernement tend à une industrialisation de l’aquaculture
à travers des tentatives comme le ‘Projet pilote de
pisciculture en cage au
Cameroun ’ et celui d’élevage en systèmes recirculés. Les
chercheurs de leur
cote au vue des orientations de leurs travaux de
recherche, des projets qu’ils
élaborent (Projet SyPiEx par exemple), optent pour une
durabilité de l’activité.
Ces deux
objectifs poursuivis sont certes nobles
l’un comme l’autre, mais ma fois sont quelque peu
divergents. N’est-il pas
important au moment où les divers acteurs semble se mettre
résolument a la
tâche d’accorder les violons afin d’impulser de façon
définitive une dynamique
durable ? Comment véritablement assurer une durabilité de
l’aquaculture et
la rentabilité de l’activité piscicole en Afrique
Sub-Saharienne ? Quelles
sont les limites ?
BORREL
KUATE
Ecole Des
Sciences et
de Médecine Vétérinaire
Université De
Ngaoundéré -Cameroun