Bonjour Monsieur Badiane,
En réponse à votre contribution, je trouve que l'Afrique a du chemin à faire dans tous les domaines des neuf compétences de la connaissance humaine.
Tout le monde conviendra avec vous qu'il faut d'abord savoir avant d’agir. En effet, la pratique de l'aquaculture est, en Afrique, une activité nouvelle qui comporte autant de risques.
Bien que chez moi, en Casamance, mes ancêtres pratiquaient déjà la rizi-pisciculture, j'ai été le premier spécialiste en organisation et développement communautaire, à impulser au Sénégal, en 1995, une initiative piscicole communautaire dans le village Bassire du département de Bignona.
Avant l'arrivée de la Mission Chinoise de Taïwan, les projets piscicoles entrepris par l'Etat du Sénégal n'ont jamais atteint de résultats escomptés. Il en est de même pour l'expérience d'une société privé de Richard-Tall.
J'ai d'abord consacré des mois durant pour sensibiliser et mobiliser mes parents du village, hommes et femmes de toutes les classes d'âges, avant qu’ils ne passent à l'action pour aménager un étang expérimental de long de 15m, large de 10m et profond de 2m avec un chenal de 0,90 m de profondeur et 1m de large.
A la fin des travaux d'aménagement de l’étang expérimental, j'ai été au Service régional des Pêches de Ziguinchor, à la Direction Nationale des Eaux et Forêts et à l'ISRA avant d'être orienté à l'IFAN où j'ai rencontré un Spécialiste en Aquaculture. De façon prompte et volontaire, il a organisé une mission que j’ignore combien elle lui a coûté, pour assurer une formation à mes parents en techniques d'aménagement des étangs pisciculture moderne et d'élevage de poisson en eau saumâtre.
A l'arrivée des la Mission Chinoise, mon étang, plusieurs fois visité par des Ministres de la République, des agents de services administratifs et techniques et des techniciens d'ONG entre autres comme de simples touristes occidentaux et nationaux, a servi de rampe pour le développement de la pisciculture au Sénégal.
Il a également permis à mon Spécialiste de l'IFAN de devenir un Formation en Aquaculture dans une école nationale qui, autrefois, ne formait que des agents techniques des pêches.
Dans la même, en 2000, mon Expert Chargé de programme d’appui au développement de la pêche continentale et de l’aquaculture proposa, lors de la cérémonie de remise de diplômes aux techniciens sortants de ladite école, au Ministre en charge du secteur, la création d'une « direction des pêches continentale et de l'aquaculture » qui est en réalité un département créé au sein de mon association d'appui/conseil dont il en était le coordinateur.
De la pertinence et la portée du discours d'usage, son plaidoyer a rencontré l'attention du Ministre de la Pêche du « Gouvernement de l’Alternance.
Depuis cette cérémonie, et de séminaire en ateliers, le Sénégal s'est aujourd'hui doté de cadres institutionnels à savoir :
· la Direction des Pêches Continentales et de l'Aquaculture,
· l'Agence Nationale de l'Aquaculture dont le Directeur actuel a fait ses premières expériences pratiques sur mon étang expérimental,
· l'Agence des Bassins de Rétention,
· et l’Institut Supérieur des Pêches et Aquaculture.
En me permettant de faire ce bref rappel, je voudrais simplement vous signaler que notre pays vient tout juste de se doter d’un ensemble d’instruments essentiels pour l'instauration en permanence du dialogue scientifique et technique au travers de fora, de colloques, de symposium, de salons, de foires, de séminaires ou d'ateliers sur l'Aquaculture au Sénégal.
Tout à l'image du Sénégal, les pays africains doivent impérativement organiser ce genres de rencontres d'échanges et de partages sur les enjeux de l'Aquaculture à l'effet de mieux poser les problèmes et adopter les vrais politiques et les bons programmes de financement, de valorisation de la recherches, de formation des
ressources humaines et de diffusion de technologies appropriés, voire innovantes, pour booster le développement de l'aquaculture au niveau national et continental.
Oui, une journée de forte pluie à Bassire en Casmance n'est pas une bonne saison hivernale pour faire une bonne récoltes. Je voudrais vous dire que nous sommes absolument à nos débuts de focus-groups et non à l'heure de séminaires pour un accès universel l'Information.
Si par miracle, il existerait quelque part des raccourcis pour un développement durable de l'aquaculture en Afrique, je reste très persuadé que la formation et la recherche demeurent sans conteste les seuls leviers.
Par conséquent, les séminaires-ateliers nous permettront une mutualisation des efforts dans le partage d'expériences et la diffusion de technologies les plus innovantes et appropriées en vue de "Faire de l'Afrique, un Continent Aquacole Qualité-Total. Je profite de cette modeste contribution pour proposer au réseau SARNISSA la co-organisation avec ASDIS-Universelle une rencontre sous-régionale en Guinée sur le thème suivant : "Pêche Continentale et Aquaculture : enjeux et perspectives pour la sécurité alimentaire en Afrique de l'Ouest."
Ensemble, nous construisons nos Etats-Unis d’Afrique.
Lansana GOUDIABY,
Président Directeur Général
de ASDIS-Universelle
Dakar Sénégal
+221 77 576 86 46
Skype : lansana.goudiaby
--- En date de :
Dim 21.8.11, William Leschen <william.leschen@stir.ac.uk> a écrit :
De: William Leschen <william.leschen@stir.ac.uk> Objet: [Sarnissa] FW: Re : COMHAFAT Gabon workshop report À: "sarnissa-french-aquaculture Mailing List" <sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk> Date: Dimanche 21 août 2011, 9h25
From: BADIANE ABDOUL [mailto:badianeabdoul@yahoo.fr] Sent: 21 August 2011 00:12 To: sarnissa-african-aquaculture Mailing List Subject: Re : [Sarnissa] COMHAFAT Gabon workshop report
bONJOURMR KOUMASSI suis senegalais et ai ete recrute par HYDROFISH qui est une ferme aquacole moderne localise en Cote divoire ( Bingerville). C est unje ferme moderne en Recirculating Aquaculture System (RAS) qui doit produire 3000 Tonnes par an de tilapia et ClarIAS. Aujourdhui force est de reconnaitre que l afrique va comme a revolution verte rater la revolution bleue (aquaculture). Aujourd hui, nous exploitons moins de 2 pour cent de nos potentialites aquacoles. Pourquoi/ parcque les
investisseurs africains ne sont pas sensibiliser sur les potentialites de l activite mais aussi y a aucune politique de nos gouvernants pour assoure une aquaculture durable et rentable. Si vous voyer bien dans la plupart des pays africains, l aquaculture est relayee au second plan car inserer dans l agriculture ou l elevage. Pour repondre a M. DIOUF qui a ete mon Directeur, le raccourcissement de la duree d elevage consiste simplement a disposer de male YY souche pure qui peut etre obtenu de la Hollande avec tilaqua. Dans notre ferme en Cote divoire nous disposons de ces males mais aussi des femmelles normales XX mais qui ont ete bien nourries donc pouvant donner des ouefs de bonnne qualite. Y a plus rien a inventer, tout est mis au point et il suffit simplement de disposer des adresses des potentiels fournisseurs de geniteurs qui se
trouvent partout dans le monde (hollande, thailande etc). L argent qui est depense dans les seminaires ou colloque sur l aquaculture devrait plutot servir a la mise en place de stations regionales ou sous regionales de production de geniteurs de souche pure. Lors de l atelier africain sur l aquaculture et la riziculture finance par la JICA au senegal en
decembre 2010 que j ai eu l honneur d etre consultant, il a ete elabore un projet de financement d un centre regional de production de geniteurs a haute performance qui sera distibue dans les pays africains afin de developper l activite aquacole. Il a ete ainsi propose a la JICA et a la FAO de financer des programmes sous regionaux. Arretons les seminaires et passons aux actes concrets. BADIANE Abdoul Aziz Expert en Aquaculture Consultant en aquaculture Supervisor production Hydrofish R. Ivory CoastMobil:00225 58489300 --- En date de : Sam 20.8.11, William Leschen <william.leschen@stir.ac.uk> a écrit :
Translated from French forum excuse quick google translation
Dear Sirs and Demba Diouf,
one of the first actions to an effective awareness about the development of aquaculture in Africa was, among other things, the network of specialists in Africa. This SARNISSA has achieved well already. In a second step, it is also to appreciate the many achievements of research through the dissemination of models of livestock extension and profitable prod systems . Third, it is with African regional organizations such as CORAF / WECARD or FARA, and bilateral donors or multilateral, as part of an answer to production targets by country (see five-year or ten year plans), to fund projects at cost-effective through decentralized to achieve the fixed levels. This well sure, without concealing industry initiatives.
We believe personally that sub-Saharan Africa will struggle to take off in terms of aquaculture production if the frame lodique next, avoiding the dispersion generally observed, is not respected: production target five or ten year production by country ...... implementation of cost-effective model farm with appropriate ones to achieve these goals ............. Accompanying research by objectives to meet the operating constraints in agro-ecological zones.
The tours will study suggests in this case the consolidation tools or devices set up by a country or regional level. This is our approach, this is our vision, in this context, we would be willing to take part in a lobbying or regional level to bring our African administrations in charge of fishing and aquaculture implement actions that can ensure not only the profitability of the financial investment made by the players, but can ensure the subset of producers and a guarantee of legacy to their offspring, particularly in rural areas.
The leitmotif of sub-Saharan Africa should be, todayi: "Taking Action for better food security of our people through better availability of animal protein, especially farmed fish."
While hoping to have contributed to enriching the debate, please receive my cordial greetings.
Dr Kouassi Sebastino Da Costa Ichtyologist and Fishbreeder Fulbright Alumni Senior Researcher (Associate Professor) National Centre of
Agronomic Research (CNRA) Research Program: Continental Fishery and Aquaculture 08 BP 33 Abidjan 08 E-mail: dacostaks@hotmail.com Tel.: (225) 22 44 28 58 (CNRA) / (225) 02 02 05 62 (Mobile) Ivorian President of Association of Agronomic Research (AISA) 20 BP 703 Abidjan 20 E-mail: aisa.secretariat @ yahoo.fr Tel.: (225) 23 45 75 02 / (225) 03 77 50 29
From: sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk [mailto:sarnissa-french-aquaculture-bounces@lists.stir.ac.uk] On Behalf Of Kouassi Sebastino Da Costa Sent: 20 August 2011 07:48 To: sarnissa-french-aquaculture Mailing List; Matar Diouf Cc: Kouassi Sebastino Da Costa Subject: Re: [Sarnissa] Re : Re : Re : Re : rapport du séminaire sur l'aquaculture commerciale zone COMHAFAT
Chers Messieurs Diouf et Demba, l'une des premieres actions a entreprendre pour une prise de conscience effective quant au developpement de l'aquaculture en afrique restait, entre autres, la mise en reseau de specialistes africains. Cela SARNISSA l'a bien reussi. Dans un second temps, il s'agit par ailleurs, de valoriser les nombreux acquis de recherche par la diffusion de modeles d'elevage vulgarisables et rentables. Troisiement, il s'agit avec les organisations regionales ou africaines telles que le coraf/wecard ou le FARA, et bailleurs de fonds bilateraux ou multilateraux, dans le cadre d'une reponse a des objectifs de production par pays (cf. plan quinquenal ou decennal), de financer des projets rentables a t travers les collectivites decentralisee permettant d'atteindre les niveaux fixes. Cela bien sure, sans occulter les initiatives industrielles. Nous pensons personnellement que l'Afrique subsaharienne aura du mal a decoller au niveau de la production aquacole si le cadre lodique suivant, permettant d'eviter les dispersions generalement observees, n'est pas respecte: Objectif de production quinquennal ou decennal de production par pays
......mise en place de ferme avec modeles rentables indiques pour atteindre ces objectifs ............. Recherche d'accompagnement par objectif permettant de relever les contraintes d'exploitations par zones zone agro-ecologique. Les voyages d'etudes suggeres seront dans ce cas des outils de consolidation du ou des dispositifs mis en place par pays ou a l'echelle
regionale. Telle est notre approche, telle est notre vision, Dans ce contexte, nous serions disposes a prendre part a un lobbying regional ou au niveau africain pour amener nos administrations en charge de la peche et de l'aquaculture a mettre en oeuvre des actions pouvant garantir non seulement la rentabilite de l'investissement financier consenti par les acteurs, mais pouvant
assurer la subsitance des producteurs et une garantie de leg a leur descendance, particulierement en milieu rural. Le leitmotiv de l'Afrique subsaharienne devrait etre, aujurd'hui: "Passons a l'action pour une meilleure securite alimentaire de nos populations par une meilleure disponibilite de proteines animales, en particulier du poisson d'elevage". Tout en
esperant avoir contribue a l'enrichessement du debat, je vous prie de recevoir mes salutations cordiales.
Dr Kouassi Sebastino Da Costa
Ichtyologist and Fishbreeder
Fulbright Alumni
Maitre de Recherche (Associate Professor)
National Centre of Agronomic Research (CNRA)
Research Program: Continental Fishery and Aquaculture
08 BP 33 Abidjan 08
Tel.: (225) 22 44 28 58 (CNRA) / (225) 02 02 05 62 (Mobile)
President of Ivorian Association of Agronomic Research (AISA)
20 BP 703 Abidjan 20
Tel.: (225) 23 45 75 02 / (225) 03 77 50 29
Bonsoir Monsieur DIOUF,
Tout le plaisir est pour moi de constater que bien qu’on assiste à une volonté politique diffuse pour le développement de l'aquaculture qu'ils aient des personnes qui font tout pour faire émerger durablement le secteur. Je partage votre point de vue on est au stade où il nous faut de réalisations concrètes, une vraie politique de diffusion des méthodes d'abord simple et accessible au population mais aussi au privé. Dans cette optique je suis disposé à participer à la vulgarisation de l'aquaculture commerciale.
De : Matar DIOUF <matardiouf363@yahoo.fr> À : "sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk" <sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk> Envoyé le : Ven 19 août 2011, 1h 27min 58s Objet : [Sarnissa] Re : Re : Re : rapport du séminaire sur l'aquaculture commerciale zone COMHAFAT
Merci Monsieur Diallo pour cette invite.
Cependant , il y a trop de palabres et très peu d'actions.
Je souhaite des rencontres régionales suivies de visites de véritables fermes d'aquaculture (parcs ostréicoles, bassins, étangs ou cages de pisciculture, fermes de crevetticulture etc); des populations riveraines animées par un engouement fort pour l'activité aquacole, une volonté politique sans faille des Etats.
Oui pour les rencontres, les voyages , mais produisons également. L'aquaculture est l'un des rares domaines où les manuels de procédures foisonnent. Faisons comme l'Egypte, qui n'a que le Nil. Nous disposons dans la région d'éminents Experts en la matière et de réseaux hydrographiques très denses.
Assez pour certaines études de distraction. La recherche action doit être privilégiée.
Avec cette méthode j'ai obtenu d'importants résultats avec le grossissement du Thiof (Epinephelus aeneus) notamment sur sa croissance relativement rapide par rapport au milieu naturel, l'aliment et la pathologie.
C'est en cela que j'invite tous les membres de Sarnissa à poser de problèmes concrets, par exemple sur la conception des ouvrages, les meilleures souches, l'aliment et faisons attention aux facteurs anti nutritionnels présents souvent dans les sous produits locaux.
Un accent tout particulier doit être mis sur:
- des souches de bonne qualité;
- recherche sur le raccourcissement du cycle de production; ceci dans l'intention de susciter l'engouement des acteurs;
- une aquaculture responsable.
NB: Ne soyons pas réfractaires à la certification et à l'écolabellisation. Tôt ou tard le commerce international va exiger ses Directives.
En d'autres termes, oui pour les rencontres et les échanges mais aussi le terrain
Matar DIOUF, Docteur-vétérinaire-Océanographe
Ancien Directeur national de la Pêche continentale
et de l’Aquaculture du Sénégal.
Consultant indépendant en pêche et aquaculture
Zone de captage; Grand-Yoff, Dakar
Tél : (77) 173 91 98 ou 76 683 59 01
De : Diallo Demba <dembajallo@yahoo.fr> À : sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk Envoyé le : Mercredi 17 Août 2011 20h20 Objet : [Sarnissa] Re : Re : rapport du séminaire sur l'aquaculture commerciale zone COMHAFAT
bonsoir, profitant de ce forum, j'invite particulièrement le sénégalais à organiser des séminaires de ce genre en vue de vulgariser l'aquaculture. bien cordialement
DEMBA DIALLO Géographe Urbaniste Ecologite et Gestionnaire Ecoystèmes AquatiquesDomicile:(221) 33 961 72 10 Portable : (221) 77 653 95 45
De : Olivier MIKOLASEK <olivier.mikolasek@cirad.fr> À : sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk Envoyé le : Mer 17 août 2011, 16h 35min 03s Objet : Re: [Sarnissa] Re : rapport du séminaire sur l'aquaculture commerciale zone COMHAFAT bonjour, ne faisant pas parti des organisateurs, j'espère qu'ils sont eux mêmes membres de SARNISSA. bien cordialement, Olivier Le 17/08/2011 01:43, Goudiaby
Lansana a écrit :
Olivier MIKOLASEK, J'ai accusé bonne réception du Rapport du Séminaire sur l'Aquaculture Commerciale en Zone COMHAFAT. En retour, je voudrais, par vos soins, adresser mes remerciement aux organisateurs et à l'ensemble des acteurs ayant pris part à ce séminaire. J'ai entreprise l'initiative de partage avec un très grand intérêt les expériences que renferme ce rapport avec mes collaborateurs et mes différents partenaires au niveau national et à l'international. Encore une fois veuillez accepter mes félicitations et encouragement pour un développement durable de l'Aquaculture en Afrique. Ensemble, nous construisons nos Etats-Unis d'Afrique. Lansana GOUDIABY Président Directeur Général ASDIS-Universelle BP:31089 Dakar Sénégal +221 77 576 86 46
--- En date de : Sam 13.8.11, Olivier MIKOLASEK <olivier.mikolasek@cirad.fr> a écrit :
veuillez trouver le rapport du Séminaire régional sur les stratégies de développement de l’aquaculture commerciale en Afrique (Zone COMHAFAT) cordialement Olivier
-----La pièce jointe associée suit-----
| _______________________________________________ Sarnissa-french-aquaculture mailing list Sarnissa-french-aquaculture@lists.stir.ac.uk http://lists.stir.ac.uk/cgi-bin/mailman/listinfo/sarnissa-french-aquaculture -- Dr Olivier Mikolasek Unité Mixte de Recherche 110 (CIRAD/IFREMER) "INTensification Raisonnée & Ecologique pour une Pisciculture Durable" (INTREPID) Département Persyst Centre de
coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) TA B-110/A Avenue Agropolis 34398 Montpellier cedex 5, France tel : 33 (0)4 67 59 38 37 http://aquatrop.cirad.fr/
http://www.sarnissa.org
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010
The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number SC 011159.
-----La pièce jointe associée suit-----
|
The Sunday Times Scottish University of the Year 2009/2010 The University of Stirling is a charity registered in Scotland, number SC 011159.
-----La pièce jointe associée suit-----
|